Un récit qui n'est pas écrit par moi mais que je vous propose avec plaisir. Cette histoire a été écrite par ma très chère amie Caroline, qui après avoir abandonné son blog bullesdefessee, s'est remis à l'écriture. C'est avec joie que je l'héberge et vous propose cette histoire.
Ça avait été été une des plus difficiles décisions qu'Hélène n'ait jamais prises. Changer de métier. Même le divorce avec le père de ses enfants a été plus simple.
A 43 ans, Hélène avait bénéficié d'une rupture conventionnelle après 20 ans dans le monde de la vente. Libérée, délivrée! Fini les journées à rallonge, les horaires décalés et le travail le weekend. Après avoir réalisé un bilan de compétences, elle s'était lancée dans un parcours de formation dans les ressources humaines. Assise derrière un bureau ! Un rêve pour elle qui avait passé autant d'années debout. C'est toute guillerette qu'elle avait démarré sa formation. Elle s'était sentie rajeunir. Une nouvelle vie allait démarrer.
Mais elle ne s'était pas rendu compte de la charge de travail que ça allait représenter. Il fallait fournir beaucoup de travail personnel et être rigoureuse dans l'acquisition des connaissances.
Pour Hélène c'était très dur, maman célibataire, elle avait toujours placé sa famille au dessus de toute priorité.
Les premiers résultats, les premières notes étaient implacables. C'était mauvais. Tout simplement mauvais. Elle avait manifestement sous-estimé l'ampleur de la tâche. Mais Hélène était forte et têtue. Non ! elle n'allait pas abandonner, elle allait se battre ! Mais pas toute seule. Il lui fallait une aide extérieure. Les jeunes ont souvent recours pour leurs études alors pourquoi pas elle ?
Ce n'était pas vraiment un prof dont elle avait besoin mais plutôt d'une sorte de coach. Quelqu'un qui la soutiendrait et l'aiderait a travailler.
Une petite annonce trouvée sur le bon coin l'avait mise en confiance immédiatement.
''Madame Martin, Coach avec 30 ans d'expérience, vous guide et vous aide à mener vos projets à bien. Travail mené sur la base de la confiance et de la récompense. Tarifs sur demande, je reçois et me déplace.''
C'était exactement ce que cherchait Hélène, pas une prof mais une sorte de guide, de mentor. Hélène, la contacta et prit rendez-vous chez elle pour la semaine suivante.
Madame Martin, habitait dans une grande maison de caractère en brique rouge, très élégante. Elle l'accueillit avec chaleur et courtoisie. Après les présentations d'usage, elles allèrent toutes deux s'installer dans le salon, sur un confortable canapé.
Hélène lui exposa les raisons qui l'avait amenée à opérer une reconversion et surtout pourquoi elle avait besoin de soutien dans ses études.
Madame Martin manifesta un grand intérêt pour la mission que lui confiait Hélène. Elle commença à lui décrire sa méthode de coaching. C'est elle-même qui l'avait mis au point. Cela consistait en un parfait équilibre entre encouragements et réprimandes.
- C'est une motivation parfaite qui encourage la progression, la rassura-t-elle, mais ne vous en faites pas. Chaque chose en son temps. Je vous propose de commencer immédiatement voulez-vous ?
- Absolument,
répondit Hélène avec entrain, quoique un peu intriguée par les réprimandes dont avait parlé sa nouvelle Coach.
Les deux femmes se mirent au travail, Hélène lui détaillant son programme et lui montra le devoir de recherche qu'elle devait rédiger et qui lui posait autant de problèmes. Elles terminèrent cette première séance par un travail de recherche précis que lui donna Mme Martin, a faire pour la semaine prochaine. " Elle me donne des devoirs!'' pensa en souriant Hélène sur le trajet retour.
La semaine suivi son cours avec le stress et la fatigue du quotidien. Elle n'avait eu aucun courage pour faire " ses devoirs"
Le vendredi, Mme Martin l'accueillit avec autant de chaleur que la semaine précédente, elles allèrent s'installer directement autour de la table du salon qui servirait de bureau.
- Bien, commençons par ce que je vous ai demandé de faire pour cette semaine, dit Mme Martin.
- Euh, et bien c'est que je n'ai pas eu le temps, je suis désolée, si vous voulez, je le fais immédiatement ?
- C'est regrettable de commencer de cette manière, ma petite Hélène. Nous en reparlerons en fin de séance. Nous aurons moins de temps pour votre accompagnement aujourd'hui mais tant pis, faites le maintenant. Je vais dans la cuisine, prévenez moi quand vous aurez fini.
- Entendu.
Hélène était assez surprise de la familiarité avec laquelle Mme Martin lui avait parlé, elle se mit immédiatement au travail.
Au bout d'une demi-heure, Hélène vint prévenir sa coach qu'elle avait terminé.
Mme Martin lu attentivement la copie d'Hélène.
- C'est du bon travail ma chère, vous avez de grandes capacités, c'est dommage que vous manquiez de rigueur et de motivation. Nous allons tout faire pour que vous réussissiez vos examens. Et vous les réussirez, cela ne fait aucun doute. Vous avez eu raison de venir me voir. Vous verrez, avec ma méthode, vous allez progresser très rapidement.
- oui je suis rassurée aussi de vous avoir trouvé dit Hélène.
- malheureusement nous n'avons plus de temps pour aborder la rédaction du plan de votre écrit, à cause de votre paresse
Surprise, Hélène se redressa.
- Oui j'ai bien dit paresse, ma petite Hélène.
- Mais..
- Chut, écoutez-moi quand je vous parle fit sèchement Mme Martin. Je suis là pour vous aider, vous me payez pour cela, alors je vais appliquer ma méthode. Vous souvenez- vous de ce que vous ai expliqué ? Récompenses et réprimandes ? Et bien, votre attitude nécessite que nous commencions par les réprimandes.
- j'en suis bien consciente, je vous assure, mais qu'entendez-vous par réprimandes ?
- C'est bien simple, ma petite, je vais vous donner un autre devoir à rendre la semaine prochaine. Si vous ne l'avez pas fait, je vous punirai par une fessée déculottée.
- Quoi ? Je vous demande pardon ? Vous avez bien dit fessée ?
- Oui, fessée déculottée, pour être précise. C'est à vous de voir. Soit vous faites votre devoir et on pourra avancer, soit vous ne le faites pas et je vous administrerai une fessée déculottée à votre arrivée, avant que vous fassiez votre devoir, les fesses rouges et cuisantes.
- Mais ce n'est pas sérieux !!
- c'est à vous de choisir, rien ne vous oblige à venir vendredi prochain, c'est vous qui payez, c'est votre choix. Mais regardons les choses en face. Vous avez toutes les capacités pour réussir, seulement il faut que vous vous forciez un peu. Voyons Hélène, vous savez exactement ce qu'il vous faut. Réfléchissez-y. Faites votre devoir et tout se passera bien. Vous serez même récompensée.
Hélène prit congé et rentra chez elle, ses pensées bouillonnantes des mots qu'elle avait entendu : fessée déculottée.
La semaine fut quasiment identique à la précédente. Elle avait été submergée par le rythme de sa vie quotidienne. Le jeudi soir, Hélène n'arriva pas à dormir. Elle n'avait rien fait de ce qu'avait demandé Mme Martin. Donc en toute logique, elle serait punie en arrivant. Mais comment pouvait-elle seulement envisager cette option ? A 43 ans, comment pouvait-elle envisager une seule seconde de recevoir ce châtiment ? Elle pouvait tout simplement refuser et cesser de voir sa coach. Après tout c'était elle la cliente. Mais ce qui la torturait vraiment, c'est qu'au fond d'elle-même, elle savait qu'elle avait besoin de ce recadrage et inconsciemment c'est ce genre de monitorat qu'elle était venue chercher.
C'est pleine d'angoisse qu'elle se réveilla. Elle avait rendez-vous avec Mme Martin à 14h30. Elle prit sa douche et s'habilla comme une automate. Une robe en laine marron clair et des collants en laine noirs.
La routine de sa matinée lui fit penser à autre chose mais quand vint le moment de prendre sa voiture pour aller au domicile de Mme Martin, une boule au ventre la tortura.
Une fois garée, elle avança vers la porte, tendit le bras vers la sonnette et en fermant les yeux, appuya.
Mme Martin vint lui ouvrir et l'accueille avec sa chaleur habituelle. Elle la précéda jusqu'à au salon. Elle lui prit son manteau et le rangea avec soin dans la penderie. Puis elle fit face à Hélène.
- Je vois à ta mine, ma petite, que tu n'as pas fait tes devoirs, je me trompe ?
- Non, je suis désolée.
- Désolée, tu vas bientôt l'être ma petite. Tu sais ce qu'il t'attends n'est-ce pas;
- Oui Mme Martin.
- Tu es toujours d'accord.
- Oui.
- Donc, demande-moi ta punition.
- Punissez moi, murmura t elle.
- Mieux que ça !
- Donnez moi la fessée
Mme Martin donna une claque sur la cuisse d'Hélène.
- Je veux que tu me le demande mieux que ça !
La mine basse, la tête inclinée en avant Hélène murmura.
- S'il vous plaît Mme Martin, donnez moi la fessée déculottée.
- Enfin ! Alors ne perdons pas de temps. Suis moi.
Hélène suivit sa coach jusqu'à une pièce adjacente au salon qui servait de bureau. Un large fauteuil était disposé au centre. Mme martin prit place, lissa sa robe et, en regardant Hélène avec sévérité dit:
- Ma petite, chose promise, chose due. Tu étais prévenue, si tu ne faisais pas tes devoirs, tu serais punie par une fessée déculottée. C'est donc ce que tu vas recevoir. Approche !
Hélène fit les quelques pas qui la séparaient de Mme Martin et se plaça devant elle.
- Met tes mains sur la tête.
Hélène s'exécuta. Mme Martin prit les pans de la robe en laine d'Hélène et la fit remonter jusqu'à son ventre en l'enroulant.
Hélène se tenait maintenant, les mains sur la tête, troussée, en collant, qui laissaient voir la culotte blanche qu'elle portait dessous.
Cette situation, assez cérémoniale, mettait Hélène dans une situation de soumission. Mais elle le méritait, au fond d'elle-même, elle le souhaitait et l'acceptait. Ce qui lui posait problème, c'est le fait d'être déculottée. La gêne de la nudité devait sans doute faire partie de la punition, se dit-elle. Mais quand même, c'était très embarrassant.
Mme Martin tendit la main vers Hélène qui la prit et la guida vers le côté de ses cuisses. Hélène s'allongea en travers des genoux. Ses bras pendaient en avant, et ses jambes vers l'arrière. Elle offrait à sa coach ses fesses encore protégées par son épais collant et sa culotte.
Sans prévenir, Mme Martin commença à claquer avec une force modérée les fesses d'Hélène. Puis elle augmenta progressivement la force des claques jusqu'à ce qu'elles provoquent la douleur souhaitée par la coach.
De son côté, Hélène fût surprise par les premières claques. Elle sentait la chaleur puis la douleur s'emparer de sa croupe. Qu'est-ce que ce serait quand elle ne serait plus protégée par ses sous-vêtements?
Mme Martin continuait, méthodiquement, à claquer les fesses de sa cliente. Elle n'avait aucun scrupule, elle était prévenue, elle avait accepté et quelque chose lui disait, qu'elle avait souhaité cette fessée déculottée. Enfin déculottée, pas encore, mais ça n'allait pas tarder. D'ailleurs le moment du déculottage était venu. Elle s'arrêta. Et d'un geste précis et net, elle prit l'élastique du collant et le fit glisser jusqu'aux genoux.
Hélène avait reprit son souffle quand Mme Martin avait stoppé ses claques mais cette pause fut de courte durée. En un rien de temps et sans pouvoir anticiper le geste, elle sentit son collant descendre. Elle eut à peine le temps de sentir la fraîcheur et la fessée reprit. Le bruit des claques était plus sonore, plus claquant. La douleur aussi avait évolué. A chaque impact, elle sentait une sorte de brûlure. Sa culotte, seul et dernier rempart de sa pudeur, ne protégeait plus grand chose. Elle ne comptait pas les claques mais le temps avait l'air de s'être arrêté et elle avait dû en recevoir une bonne centaine.
Mme Martin fit une nouvelle pause.
- Bien, j'espère que cette fessée te sera bénéfique et qu'à l'avenir tu ne te trouveras pas d'excuse pour ne pas faire ton travail.
- Oui fit Hélène essoufflée, j'ai compris ma leçon, on peut arrêter
- La fin est proche, en effet, mais nous n'en avons pas encore fini avec cette fessée.
Hélène savait exactement ce qu'insinuait sa coach, elle voulait lui baisser la culotte. Dans un geste désespéré, elle projeta ses mains en arrière et agrippa l'élastique de sa culotte.
- Tu crois vraiment que tu vas y échapper de cette manière ma petite Hélène ? Lève toi.
Tout en maintenant d'une main sa culotte, Hélène s'aida de sa main libre pour se redresser et se lever. Elle se replaça devant Mme Martin.
- Je me doute bien que tu préférerais qu'on s'arrête là, mais vois tu, si tu veux que cette fessée te soit bénéfique, il faut aller au bout. Une fessée déculottée veut dire que je dois te baisser la culotte. Je sais que c'est très humiliant pour toi. Mais c'est nécessaire. Alors remets tes mains sur la tête.
Hélène, en fermant les yeux, monta très lentement ses mains sur sa tête.
Mme Martin prit l'élastique de la culotte d'Hélène de chaque côté des hanches de sa cliente.
Elle marqua un temps d'arrêt. Fixa les yeux de sa punie et maintint cette connexion tandis qu'elle faisait glisser doucement le long des jambes jusqu'aux genoux. Là, devant elle, se tenait une femme d'âge mûr, mains sur sa tête, la robe retroussée, collant et culotte baissée, dévoilant une épaisse toison pubienne sombre.
Mme Martin fit reprendre à Hélène sa place en travers de ses genoux.
Hélène peinait à réaliser ce qu'il lui arrivait. Elle était en train de recevoir une fessée déculottée !
- Bien, maintenant que ta culotte est baissée, nous allons poursuivre. Je vais t'administrer 30 claques très fortes pour que tu te souviennes des conséquences d'un devoir non rendu. Es tu prête ?
- Oui murmura Hélène
Hélène, pourtant s'était préparée à ressentir une certaine douleur, mais pas à ça. Son derrière était littéralement en feu ! Elle avait beau gesticuler dans tous les sens, battre des jambes, rien n'y fit. C'était un véritable déluge qui s'abattait sur ses fesses !
Mme Martin tenait fermement la taille d'Hélène, qui tentait vainement d'échapper à sa fessée. Plus aucune pudeur n'était de mise. Les fesses d'Hélène s'ouvraient et se refermaient, dévoilant son intimité.
Elle levait sa main bien haut et claquait très fort. Les fesses d'Hélène étaient maintenant cramoisies.
28, 29, 30.
Chacune reprenait son souffle.
- Voilà ma petite Hélène, tu as reçu ta juste punition. C'est fini, tu peux te relever.
En gémissant de douleur, Hélène se releva et frotta ses fesses endolories.
- Tu vas aller coller ton nez sur ce mur pendant 5 minutes pour méditer, non! Tu laisses ta culotte là où elle est. Tu ne te reculotteras qu'après et tu viendras me rejoindre au salon.
La démarche entravée par ses sous-vêtements qui était maintenant tombés à ses chevilles, Hélène se mit face au mur indiqué.
Une fois seule, elle sourit. Elle ressentait de la satisfaction et de l'excitation après cette fessée déculottée. Son sexe était chaud et humide. Est-ce que Mme Martin s'en était aperçu ? Peut être mais qu'importe.
Elle réalisait qu'en sollicitant l'aide de Mme Martin elle était venue chercher ce genre de chose.
Au bout de cinq minutes, elle remis sa culotte, son collant et lissa sa robe.
Elle rejoignit sa coach dans le salon. Un plateau chargé de petits gâteaux et d'une théière fumante.
Elle fit un petit outch ! En s'asseyant.
- Bien, commençons, voyons ce fameux devoir.
Elles travaillèrent le plus simplement du monde en buvant une bonne tasse de thé.
Hélène rentra chez elle, heureuse, elle avait un nouveau devoir à faire.
Qui fut fait le soir même…
Elle connaissait la suite en cas de paresse….
I loved the story. Thank you Caroline for the story and Sylvie for publishing it.
RépondreSupprimerChinmay
Thanks
RépondreSupprimerJe suis très contente de vous avoir fait plaisir.
SupprimerSylvie
🥰🥰
SupprimerMerci pour cette très joli histoite
RépondreSupprimerMerci
RépondreSupprimerJ'aimerais tellement être a la place de Madame Martin ou d'Hélène !! 🔥🍑🔥
RépondreSupprimerC'est vrai qu'une bonne fessée déculottée donnée ou reçue permet de bien démarrer l'année.
SupprimerSylvie