lundi 5 décembre 2022

Camille et Jeanne

 Un récit ancien, déjà publié sur le blog disparu de Caroline. Le voici avec de nouvelles illustrations. En attendant la suite de Leslie et Sylvie qui est en cours d'écriture.

Sylvie

Camille découvre les charmes de l'éducation anglaise


Camille était une jeune étudiante de 22 ans, elle adorait venir à la bibliothèque municipale, elle était attirée depuis de nombreuses années par les livres de la comtesse de segur, elle les avait découvert par hasard et ces histoires où de sévères gouvernantes punissaient des jeunes filles l'emoustillait beaucoup, 



elle n'avait pourtant jamais été fessée par sa mère mais elle rêvait secrètement de culotte baissée et de fesses rouges même si ce n'était que suggéré dans les livres de la comtesse. Jeanne avait 80 ans mais elle en paraissait dix de moins, elle était fine, les cheveux courts, elle portait des lunettes rondes qui rappelait son ancien métier de professeur d'anglais, la pratique régulière de la marche et de la gymnastique la maintenait en forme. Elle était bénévole à la bibliothèque et elle s'était prise d'amitié pour Camille, elle discutait souvent des études de la jeune femme. Jeanne avait remarqué en souriant qu'au milieu d'autres livres, la jeune étudiante empruntait souvent les livres de la comtesse de segur. Un jour elle repéra "un bon petit diable" dans la pile de livres.

- la fessée vous intéresse Camille ?

La jeune femme piqua un fard et baissa les yeux.

- euh... C'est à dire, non, pourquoi me demandez vous ça ?

- oh ne soyez pas gênée ma petite Camille, ce n'est pas grave mais j'ai remarqué que notre bonne comtesse avait vos faveurs et elle n'y allait pas de main morte pour ce qui est de la fessée. Vous voulez qu'on en parle?

Camille était horriblement gênée que Jeanne ait mis à jour son fantasme mais elle était tellement excitée d'enfin pouvoir parler avec quelqu'un de cette chose si mystérieuse qui lui faisait souvent mouiller sa culotte. Jeanne désigna un petit bureau. 

- venez nous serons plus tranquille pour parler.

Émue et rougissante Camille la suivit. Jeanne lui expliqua qu'elle aussi avait le même fantasme mais qu'à la différence de la jeune étudiante elle avait goûté dans sa jeunesse à l'humiliation de la fessée déculottée. Elle ajouta avec un sourire mutin, 



- ça cuisait beaucoup sur le moment mais je me suis vite rendue compte que ça chauffait aussi devant. 

Camille n'en croyait pas ses oreilles, cette mamy qu'elle rencontrait toutes les semaines à la bibliothèque lui racontait tranquillement qu'elle avait eu son premier orgasme à 18 ans après une sévère fessée d'une professeure qui venait lui donner un cours à la maison, seule dans sa chambre, les fesses écarlates, couchée sur son lit la culotte toujours baissée...

Jeanne continua son récit en lui expliquant que dans les années 60, elle était devenue elle même professeure et que dans l'institution privée où elle enseignait les fessées des élèves étaient autorisées. Camille posa la question qui lui brûlait les lèvres.

- la fessée déculottée ?

Jeanne se mit à rire.

- non, pas dans la classe, en public c'était juste une fessée sur la culotte mais quand je gardais une élève en retenue, la culotte ne restait pas sur les fesses. J'en ai vu des derrières bien rouges.



Camille était de plus en plus troublée, elle sentait le regard de Jeanne qui la transperçait, la mamy souriante avait percé son secret, elle poussa son avantage.

- si vous voulez venir chez moi, Camille, je vous ferai découvrir les plaisirs insoupçonnés de la fessée.

Camille les joues aussi rouges que les fesses d'une vilaine fille après la fessée, répondit doucement.

- euh... Oui si vous voulez mais que voulez vous faire ?

- ça sera une petite surprise ma petite Camille, je vous ferai revivre la vie d'une jeune fille des années 50, mettez une jupe assez courte et des socquettes blanches. Je vous attends demain matin. Voici mon adresse.

Camille était ravie bien qu'un peu inquiète, elle rentra chez elle, une légère humidité avait envahi sa petite culotte.

Le lendemain elle se présenta chez Jeanne, elle avait mis une jupe bleue marine et des socquettes blanches avec des ballerines. Jeanne l'accueilli avec un grand sourire et lui fit une bise. Camille remarqua que contrairement à d'habitude ou elle était très décontractée dans sa tenue, elle avait revêtu un tailleur qui lui donnait un air strict. Jeanne la fit rentrer dans la maison, l'intérieur était un peu vieillot mais coquet et parfaitement rangé, un poêle à bois dans un coin et de nombreuses photos sur les étagères, des jeunes filles et des jeunes femmes. Camille eut une révélation, Jeanne était certainement lesbienne, son regard inquisiteur qui semblait la déshabiller lui confirma son intuition. Ce n'était pas pour lui déplaire elle était elle même bisexuelle, mais elle songea en souriant que jamais elle n'aurait pensé à ça en voyant Jeanne à la bibliothèque.

- quand on arrive à l'école le matin, la première chose que fait la maîtresse c'est de vérifier l'état des culottes. Relevez votre jupe Camille !

Surprise mais décidée à vivre à fond l'expérience Camille saisi le bas de sa jupe et la retroussa. Jeanne s'était assise sur une chaise et elle fit signe à la jeune femme d'approcher quand elle fut devant elle, elle saisit l'élastique de la culotte et la fit descendre en la retournant de manière à inspecter l'intérieur. Nous étions l'après-midi et il faisait un peu chaud, quelques taches de sécrétion intime apparaissait sur le coton blanc.

- votre culotte n'est pas propre mademoiselle, vous savez ce qui arrive aux jeunes filles négligées.

Camille n'avait jamais connu pareille honte, elle était rouge comme une pivoine et n'osait pas regarder Jeanne. Celle ci lui prit la main et la fit s'approcher de ses genoux puis sans lui laisser le temps de réfléchir, elle la coucha en travers de ses cuisses. Camille avait rêvé bien des fois à cet instant mais la c'était bien réel, elle senti que Jeanne retroussait un peu plus sa jupe, l'air frais sur ses fesses lui fit bien comprendre que son amie avait une vue parfaite sur son derrière.

- une bonne fessée déculottée, voilà ce que vous méritez mademoiselle !

Immédiatement Jeanne commença à administrer ce châtiment enfantin qui faisait tant fantasmer la jeune étudiante. Elle se rendit compte que c'était assez douloureux, passé la période d'excitation, elle ressenti la brûlure qui envahissait sa croupe, la mamy ne fessait pas pour rire et bientôt Camille se mit à gémir et à se tortiller sur les genoux de Jeanne, celle-ci la tenait fermement et distribuait généreusement les claques sur les fesses rebondies de sa jeune amie,



 bientôt les gémissements se transformèrent en supplications, les fesses s'ouvraient largement laissant apparaître la petite rondelle brune en leur milieu, Jeanne appréciait cet instant, cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas eu une aussi jolie paire de fesses à sa disposition. Maintenant elles étaient écarlates, elle jugea que pour un début c'était suffisant, la culotte de Camille était arrivée à ses chevilles, elle la saisi et la retira complètement puis fit relever la jeune femme. Camille porta immédiatement ses mains à ses fesses pour les frotter ce qui fit rire Jeanne. 

- ça brûle, c'est fait pour ça. Mais cessez de frotter vos fesses sinon vous revenez sur mes genoux ! Tournez-vous que je les examine.

Camille s'exécuta, elle était vraiment retombée en enfance. Jeanne retroussa la jupe et la coinça dans la ceinture.

- voilà comme ça on peut voir vos jolies fesses. Vous allez me laver cette culotte, il y a une bassine dans la cuisine.

Une claque vigoureuse appliquée au milieu des fesses, confirma à Camille qu'il lui fallait obéir rapidement. Jeanne la regarda faire, les fesses rouges serrées en dessous de la jupe retroussée, le spectacle était charmant. Camille une fois sa petite lessive terminée, regarda Jeanne d'un air interrogateur. 

- vous allez suspendre votre culotte au fil à linge dans le jardin. 



Camille la regarda éberluée, elle n'allait pas sortir dans cette tenue, les fesses à l'air. Mais le regard sévère de son amie était sans équivoque, elle devina ses pensées. 

- rassurez vous, la maison est isolée et les haies sont hautes, personne ne verra vos petites fesses rouges, mais ça vous fera du bien de craindre qu'on les aperçoivent. D'ailleurs vous devriez vous dépêcher d'obéir si vous ne voulez pas que je vous fesses à nouveau mais dehors cette fois ci. 

Comprenant que Jeanne ne plaisantait pas, Camille se précipita dehors sous le regard amusé de l'ancienne professeur. L'air frais sur ses fesses cuisantes lui rappelait sa tenue, elle trouva rapidement le fil à linge, épingla sa petite culotte blanche et revint en courant à l'intérieur. Jeanne l'attendait en souriant. 

- vous n'allez pas resté cul nu, c'est indécent, j'ai une petite surprise pour vous. 

Elle désignait sur la table une pile de culotte blanche. 

- j'ai retrouvé les culottes de mon uniforme de pensionnat quand j'avais 18 ans, je pense qu'elles seront à votre taille. 

Camille s'approcha de la table et prit une culotte, c'était des sous vêtements des années 50, en coton de forme haute, bien couvrante mais leurs caractéristiques principales étaient le jour de la semaine brodé sur le fond de chacune. 



- on appelait ça les "culottes du jour", une pour chaque jour de la semaine, le matin la surveillante ou la professeur dans la journée pouvait vérifier rien qu'en soulevant notre jupe qu'on avait bien changé notre culotte ! Nous sommes mardi, prenez la culotte qui correspond. 

Camille en rougissant choisi la bonne culotte et ravie de pouvoir enfin cacher ses fesses l'enfila. Effectivement elle lui allait, ses fesses étaient bien potelées mais elles étaient bien couverte par la culotte, Jeanne lui fit signe avec son doigt de pivoter pour lui présenter son derrière, elle tira sur l'élastique de la culotte pour bien la mettre en place,, ce qui eu pour effet de la faire légèrement rentrer dans la raie fessiere et de la plaquer sur son sexe, ce qui l'excita encore plus. Que lui réservait maintenant son amie maîtresse. Jeanne décoinça la jupe de la ceinture et Camille retrouva une tenue plus normale. La professeure lui désigne la table où était posée un stylo et un cahier. 

- nous allons faire une dictée pour vérifier votre niveau en anglais. 

Camille frémis, elle se doutait de la suite, elle avait souvent plaisanté avec Jeanne sur son anglais qui était vraiment très mauvais, la suite était écrite, elle était bonne pour une deuxième fessée. Elle s'assit à la table et commença à écrire, les mots qu'elle entendait lui était pour la plupart inconnu sauf le terme "spanking" qu'elle écrivit correctement. Jeanne prit le cahier et fronça les sourcils immédiatement. 

- mais c'est incroyable, 10 fautes en 10 lignes, vous vous moquez du monde mademoiselle !! 

Elle avait saisi l'oreille de la jeune femme pour la faire lever de sa chaise, elle posa son pied sur celle ci et d'un geste brusque elle fit basculer Camille sur sa cuisse horizontale. Elle n'était pas très grande et ses pieds quittèrent le sol, elle se cramponna à la chaise pour garder l'équilibre, Jeanne malgré son âge avait encore suffisamment de force pour assurer la position, on sentait chez elle une grande habitude, ce n'était visiblement pas la premièore fois qu'elle plaçait une jeune fille dans cette position très humiliante. Camille n'avait pas eu le temps de protester, elle sentit à nouveau l'air frais sur ses cuisses signe que sa jupe était retroussée, une grêle de claques s'abattit sur son derrière culotté. 



- je vais vous apprendre à faire attention ma petite et je connais une excellente méthode pour faire vous apprendre l'orthographe, je l'imprime sur les fesses ! 

La fessée cessa quelques instants et Camille sentit les doigts de Jeanne s'insinuer sous l'élastique de la culotte, elle allait subir pour la deuxième fois l'humiliation du déculottage, mais cette fois ci, ses fesses étaient bien présentées et c'était le prélude à son fantasme une bonne fessée déculottée. La culotte descendit lentement sur la croupe bien tendue par la position, Jeanne prenait son temps, elle connaissait la honte de sentir son intimité ainsi découverte, elle voulait que Camille en profite complètement. Maintenant la lingerie était juste sous les fesses, la fessée reprit, les claques retentissaient dans la pièce



Camille commença à se tortiller sous la brûlure, elle se rendit compte que cette position empêchait toute dérobade, sa taille était bien maintenue, ses mains occupées à garder son équilibre, seules ses jambes pouvaient bouger et elles ne s'en privaient pas, ses pieds battaient l'air au rythme de la fessée. Jeanne était ravie du spectacle, les fesses de sa jeune amie, s'ouvraient largement lui laissant voir toute l'intimité de Camille, elle s'arrêta pour baisser un peu plus la culotte et prit une règle plate en bois sur la table. Camille hurla sous la brûlure du premier coup, elle rua pour essayer d'échapper au deuxième mais Jeanne la maintenait fermement et elle continua d'administrer la correction. Camille ne se doutait pas qu'une fessée puisse faire aussi mal, elle regrettait amèrement d'avoir accepté de réaliser son fantasme ce n'était pas une fessée pour rire qu'elle recevait mais une véritable punition. Son derrière maintenant n'était plus qu'une boule de feu, Jeanne n'avait appliqué qu'une vingtaine de coups de règle sur les fesses de sa jeune amie, mais les deux fessées manuelles précédentes avaient préparé le terrain, maintenant Camille lui exposait une magnifique paire de fesses écarlate. Elle reposa la punie par terre, Camille porta immédiatement ses mains à ses fesses, Jeanne fronça à nouveau les sourcils. 

- on ne frotte pas ses fesses ! Mettez vos mains sur la tête. 

Camille s'exécuta, la cuisson était intolérable, des larmes coulaient sur ses joues, Jeanne ne se laissa pas attendrir, il fallait que son amie aille au bout de son expérience. Elle saisit à nouveau l'ourlet de la jupe et la coinça dans la ceinture, une claque sur les fesses douloureuses suivi. 

- vous allez réfléchir au coin vilaine fille. Le nez bien collé contre le mur et vos mains sur la tête. 



Camille obéi sans discuter, la chaleur qui envahissait ses fesses  s'étendit bientôt à son entrejambe, elle avait très mal aux fesses c'était certain mais une excitation commençait à poindre, elle avait atteint son but, elle avait reçu une fessée déculottée comme une gamine et maintenant elle exposait ses fesses nues et brûlantes à sa maîtresse. Jeanne contemplait le spectacle avec ravissement, cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas administré une si belle fessée et cette petite Camille avait des fesses adorables. Elle les serrait convulsivement pour essayer d'atténuer la brûlure, Jeanne connaissait cette sensation pour l'avoir expérimentée elle même dans sa jeunesse. Elle savait l'humiliation de présenter sans défense ses fesses rougies encadrées par la jupe retroussée et la culotte blanche descendue à mi cuisse. Mais elle savait également qu'elle mouillait régulièrement au fur à mesure que la chaleur envahissait tous son bassin. Il fallait laisser Camille un bon moment au coin pour qu'elle apprécie complètement son humiliation et son plaisir. Après 1/4 d'heure elle appela sa jeune amie. 

- venez me voir vilaine fille. 

Camille se retourna et n'ayant pas reçu de consignes, elle garda ses mains sur la tête. Ce qui fit sourire Jeanne, ravie d'une telle soumission. Elle lui désigna la chaise. 

- asseyez-vous la…

Elle lui tendit une feuille. 

- c'est la dictée, vous allez me la copier 5 fois et sans fautes ! 

Camille ressentait douloureusement la paille de la chaise sur ses fesses endolories, elle essayait de ne pas bouger, c'était plus pénible que d'exposer ses fesses au coin. Jeanne avait posé un stylo plume à côté de la feuille de papier c'était un instrument d'écriture que Camille n'avait jamais utilisé, elle s'appliqua pour bien écrire malgré la difficulté et la cuisson de ses fesses, elle avait le pressentiment qu'une mauvaise copie pourrait lui valoir une autre fessée. 



Quand elle eu fini, elle leva les yeux vers son amie devenue une sévère maîtresse, celle ci prit les feuilles en souriant. 

- il y a du progrès à faire question écriture mademoiselle, nous y remédierons, en attendant venez me montrer vos fesses. 

Docilement Camille se leva et se présenta debout devant Jeanne, elle la fit pivoter et lui appuya légèrement sur le dos pour la faire se pencher. Sans façon elle passa sa main sur l'épiderme rougi puis elle l'insinua entre les cuisses, Camille se laissait faire, Jeanne voulait vérifier l'état d'excitation de sa jeune amie, ses doigts curieux entraient maintenant dans l'intimité de la punie. Camille serra instinctivement les cuisses quand elle senti les doigts de Jeanne toucher ses lèvres humides et gluantes de ses sécrétions. Jeanne lui claqua les fesses de sa main libre, mais ce n'était pas une nouvelle fessée juste un petit encouragement à se laisser faire. 

- allez ma belle, écarte moi bien tes cuisses, olala mais dis moi ça te fait un drôle d'effet la fessée. 

Jeanne n'avait encore jamais tutoyé Camille mais l'inspection soigneuse de son intimité avait changé leur rapport. Elle sortit ses doigts et les mit sous le nez de la jeune femme. 

- ça t'a fait plaisir de me montrer tes fesses et que je te corrige comme une gamine et bien on va continuer. 

Camille avait les fesses encore brûlantes et la perspective de recevoir une nouvelle fessée la terrifia. 

- oh non, Jeanne pardon, plus la fessée.. Non pardon. 

Jeanne se mit à rire. 

- mais ma petite chérie, ce n'est pas toi qui décide et il me semble que tu y prends vraiment du plaisir, petite hypocrite. Mets toi à genoux sur le fauteuil et tends bien tes jolies petites fesses. 

Jeanne enleva une de ses sandales, la semelle en cuir caressa les fesses de Camille. Quand elle était à l'internat la surveillante anglaise utilisait cet instrument pour fesser les désobéissantes. Elle voulait faire découvrir cette sensation à la jeune femme. 



Elle leva la sandale et l'appliqua sur la fesse droite de Camille sous la brûlure elle poussa un cri et voulu se relever mais Jeanne avait prévu la réaction de sa punie, elle avait posé fermement sa main sur le dos de Camille et la sandale avait claqué immédiatement l'autre fesse. La cuisson était bien supérieure à celle d'une fessée administrée à la main et rapidement Camille se mit à supplier puis à pleurnicher, ses fesses s'ouvraient et se refermaient au rythme de la fessée, elle n'avait plus aucun souci de pudeur, Jeanne appréciait le spectacle des jolies fesses rouges de sa jeune amie mais elle n'était pas cruelle, elle savait pour l'avoir elle même expérimentée qu'une fessée avec une sandale en cuir était très douloureuse. Elle se contenta d'administrer une vingtaine de claques sur les fesses tendues. Puis elle passa à nouveau sa main sur la croupe de Camille. 

- voilà ma petite chérie, une bonne fessée par mamie Jeanne,  tes fesses sont douces et chaudes, huum un vrai délice. 

Camille ne savait plus si la chaleur qui embrasait maintenant tout son bassin était due à la fessée ou à la caresse de sa nouvelle maîtresse. Elle savourait et se laissait faire, ouvrant ses cuisses et tendant encore plus ses fesses rougies vers la main de Jeanne. La vieille dame retrouvait des sensations anciennes quand elle déculottait et fessait ses jeunes amies et ensuite les fesses écarlates les emmenait dans sa chambre pour d'autres plaisirs. 


Elle eu un instant une onde de désir mais elle prit conscience de la grande différence d'âge. Après tout le plaisir qu'elle avait pris à donner la fessée à Camille était suffisant. Elle fit relever la jeune femme et d'un geste maternel elle remonta la culotte blanche. 

- voilà vilaine fille, j'espère que la leçon sera salutaire.

Un léger sourire sur les lèvres, Camille lui sauta au coup. 

- merci Jeanne, c'était vraiment une expérience inoubliable. 

Puis frottant ses fesses par dessus sa culotte. 

- mais vous n'y avez pas été de main morte, j'ai les fesses en feu. 

Jeanne se mit à rire devant le spectacle ravissant de cette jeune femme jupe troussée frottant énergiquement ses fesses. 



- pas seulement les fesses…. 

Camille rougit sous l'allusion. 

-oh, Jeanne, je suis désolée, je… je ne sais pas ce qui m'a prit. 

Jeanne lui fit un bisou sur la joue. 

- c'est normal ma chérie, dommage que mamie Jeanne soit si vieille. 

Elle passa sa main sur la culotte de Camille et tapota les fesses. 

- tu es ravissante et tes fesses particulièrement, j'espère que tu vas en faire profiter quelqu'un rapidement. 



2 commentaires:

  1. Merci Sylvie de m'avoir rappelé un très bon souvenir...histoire très bien écrite....en attendant votre dernier bijou bien sur

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  2. transmettre la connaissance de la fessée et aussi apprendre à la main à la jeune fille

    Chinmay

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