vendredi 30 décembre 2022

Joyeuse année 2023



 Je vous souhaite à tous une année 2023 avec des culottes baissées, des fesses bien rouges des temps de coin fesses à l'air. Des thermomètres bien en place dans vos fesses.

Sylvie est prévenue l'année 2023 sera claquante.

  


Allô, oui c'est moi Caroline, notre petite Sylvie a décidé de finir l'année avec des fesses bien rouges. Les fessées que nous lui avons administré pendant l'année 2022 n'ont pas suffit. Oui elle est en position sur mes genoux, elle a encore sa culotte mais pas pour longtemps.

 


Et oui ma petite chérie, tu le sais avec Caroline la fessée c'est toujours cul nu. 

Tu vas voir tu vas bien commencer l'année.

 


Une bonne fessée déculottée.

Ensuite tu vas présenter tes fesses à tout le monde. Oui oui, tu te penches et tu nous montre tes jolies fesses. 



Ce n'est pas fini ma chérie, je veux que tu te souviennes de cette fessée déculottée pendant toute l'année. Maintenant tu files au coin fesses à l'air pour que tous le monde voient tes petites fesses bien rouges. 


Oui je sais c'est long 1/4 d'heure au coin.  Maintenant tu viens ici, vite !!

Oui ma chérie, te voilà en bonne position sur mes genoux, les fesses bien présentées pour la bonne fessée déculottée à la brosse. 



Tes petites fesses commencent à prendre une jolie couleur. Montre les aux lecteurs du blog. 


C'est ce qui s'appelle une bonne déculottée, n'est ce pas ma petite Sylvie. Oui je sais ça brûle, mais c'est fait pour ça la fessée.

 

Maintenant tu montes dans ta chambre et vite.


Et oui cul nu bien sûr, tu n'as pas besoin de culotte pour la suite. 


Décidément tu n'as pas encore compris que ce n'est pas toi qui décide. Je t'ai dis que tu finirais l'année 2022 avec des fesses bien rouges, Caroline va te l'expliquer un peu mieux. Oui tu reviens sur mes genoux ma petite chérie, je vais m'adresser à tes fesses.



De toute façon avec une si bonne paire de fesses, tu peux en recevoir encore des fessées, il n'y a aucun souci. 

Allez maintenant ton moment préféré ma petite Sylvie. 

Je sais que ce n'est pas très agréable à ton âge de montrer tes fesses à tout le monde, surtout pour que ta petite maman te prenne la température, mais c'est ainsi.




Tu vas le garder 1/2 heure bien en place ans ton petit trou, ça va te faire le plus grand bien, tu sais que tu es très mignonne comme ça.




J'espère que tu commence à comprendre. Nous allons commencer l'année sur de bonnes bases. Désormais à chaque incartade se sera la fessée déculottée et devant tout le monde, je pense que j'ai été clair.

Oui tu as bien compris même et surtout si il y a des invités je te baisserai la culotte si nécessaire.




Tu vas finir par devenir une mignonne petite fille ma petite Sylvie.

En attendant on va terminer l'année par une bonne fessée déculottée traditionnelle. Allez viens au salon, on sera plus à l'aise. Il n'y a rien de mieux que la bonne fessée déculottée couchée sur les genoux de maman. Je ne suis pas fatiguée et tes fesses non plus. 




La fessée déculottée administrée par une dame vous le savez chers lecteurs, c'est la raison d'exister de ce blog.

L'année qui s'achève a été riche en derrière déculotté et en fesses rouges. 

L'année 2023 ne sera pas en reste rassurez vous, j'ai dans ma hotte de nombreuses histoires en réserve que je publierai régulièrement. 

Mes fesses n'ont pas fini de rougir non plus, mes petites amies Mel et Caroline ne vont pas se gêner pour me coucher sur leurs genoux et me baisser la culotte. Sans oublier  Agnès, Paola et Ophélie qui pense toutes qu'il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée cul nu. 

Pour finir  deux photos de ma collection personnelle. 



Avant la fessée....







 Et après.... Sylvie avec ses fesses bien rouges ne fait plus la fière. 


Bonne année à tous.

lundi 26 décembre 2022

Le choix d'Hélène

Un récit qui n'est pas écrit par moi mais que je vous propose avec plaisir. Cette histoire a été écrite par ma très chère amie Caroline, qui après avoir abandonné son blog bullesdefessee, s'est remis à l'écriture. C'est avec joie que je l'héberge et vous propose cette histoire.





Ça avait été été une des plus difficiles décisions qu'Hélène n'ait jamais prises. Changer de métier. Même le divorce avec le père de ses enfants a été plus simple.

A 43 ans, Hélène avait bénéficié d'une rupture conventionnelle après 20 ans dans le monde de la vente. Libérée, délivrée! Fini les journées à rallonge, les horaires décalés et le travail le weekend. Après avoir réalisé un bilan de compétences, elle s'était lancée dans un parcours de formation dans les ressources humaines. Assise derrière un bureau ! Un rêve pour elle qui avait passé autant d'années debout. C'est toute guillerette qu'elle avait démarré sa formation. Elle s'était sentie rajeunir. Une nouvelle vie allait démarrer. 

Mais elle ne s'était pas rendu compte de la charge de travail que ça allait représenter. Il fallait fournir beaucoup de travail personnel et être rigoureuse dans l'acquisition des connaissances.

Pour Hélène c'était très dur, maman célibataire, elle avait toujours placé sa famille au dessus de toute priorité.

Les premiers résultats, les premières notes étaient implacables. C'était mauvais. Tout simplement mauvais. Elle avait manifestement sous-estimé l'ampleur de la tâche. Mais Hélène était forte et têtue. Non ! elle n'allait pas abandonner, elle allait se battre ! Mais pas toute seule. Il lui fallait une aide extérieure. Les jeunes ont souvent recours pour leurs études alors pourquoi pas elle ?


Ce n'était pas vraiment un prof dont elle avait besoin mais plutôt d'une sorte de coach. Quelqu'un qui la soutiendrait et l'aiderait a travailler.


Une petite annonce trouvée sur le bon coin l'avait mise en confiance immédiatement.


''Madame Martin, Coach avec 30 ans d'expérience, vous guide et vous aide à mener vos projets à bien. Travail mené sur la base de la confiance et de la récompense. Tarifs sur demande, je reçois et me déplace.''

C'était exactement ce que cherchait Hélène, pas une prof mais une sorte de guide, de mentor. Hélène, la contacta et prit rendez-vous chez elle pour la semaine suivante.


Madame Martin, habitait dans une grande maison de caractère en brique rouge, très élégante. Elle l'accueillit avec chaleur et courtoisie. Après les présentations d'usage, elles allèrent toutes deux s'installer dans le salon, sur un confortable canapé.




Hélène lui exposa les raisons qui l'avait amenée à opérer une reconversion et surtout pourquoi elle avait besoin de soutien dans ses études.


Madame Martin manifesta un grand intérêt pour la mission que lui confiait Hélène. Elle commença à lui décrire sa méthode de coaching. C'est elle-même qui l'avait mis au point. Cela consistait en un parfait équilibre entre encouragements et réprimandes. 


- C'est une motivation parfaite qui encourage la progression, la rassura-t-elle, mais ne vous en faites pas. Chaque chose en son temps. Je vous propose de commencer immédiatement  voulez-vous ?


- Absolument,


répondit Hélène avec entrain, quoique un peu intriguée par les réprimandes dont avait parlé sa nouvelle Coach.

Les deux femmes se mirent au travail, Hélène lui détaillant son programme et lui montra le devoir de recherche qu'elle devait rédiger et qui lui posait autant de problèmes. Elles terminèrent cette première séance par un travail de recherche précis que lui donna Mme Martin, a faire pour la semaine prochaine. " Elle me donne des devoirs!'' pensa en souriant Hélène sur le trajet retour. 


La semaine suivi son cours avec le stress et la fatigue du quotidien. Elle n'avait eu aucun courage pour faire " ses devoirs"


Le vendredi, Mme Martin l'accueillit avec autant de chaleur que la semaine précédente, elles allèrent s'installer directement autour de la table du salon qui servirait de bureau.




- Bien, commençons par ce que je vous ai demandé de faire pour cette semaine, dit Mme Martin.


- Euh, et bien c'est que je n'ai pas eu le temps, je suis désolée, si vous voulez, je le fais immédiatement ?


- C'est regrettable de commencer de cette manière, ma petite Hélène. Nous en reparlerons en fin de séance. Nous aurons moins de temps pour votre accompagnement aujourd'hui mais tant pis, faites le maintenant. Je vais dans la cuisine, prévenez moi quand vous aurez fini.


- Entendu.


Hélène était assez surprise de la familiarité avec laquelle Mme Martin lui avait parlé, elle se mit immédiatement au travail.

Au bout d'une demi-heure, Hélène vint prévenir sa coach qu'elle avait terminé.


Mme Martin lu attentivement la copie d'Hélène.


- C'est du bon travail ma chère, vous avez de grandes capacités, c'est dommage que vous manquiez de rigueur et de motivation. Nous allons tout faire pour que vous réussissiez vos examens. Et vous les réussirez, cela ne fait aucun doute. Vous avez eu raison de venir me voir. Vous verrez, avec ma méthode, vous allez progresser très rapidement.


- oui je suis rassurée aussi de vous avoir trouvé dit Hélène.


- malheureusement nous n'avons plus de temps pour aborder la rédaction du plan de votre écrit, à cause de votre paresse


Surprise, Hélène se redressa.


- Oui j'ai bien dit paresse, ma petite Hélène.


- Mais..


- Chut, écoutez-moi quand je vous parle fit sèchement Mme Martin. Je suis là pour vous aider, vous me payez pour cela, alors je vais appliquer ma méthode. Vous souvenez- vous de ce que vous ai expliqué ? Récompenses et réprimandes ? Et bien, votre attitude nécessite que nous commencions par les réprimandes. 


- j'en suis bien consciente, je vous assure, mais qu'entendez-vous par réprimandes ?


- C'est bien simple, ma petite, je vais vous donner un autre devoir à rendre la semaine prochaine. Si vous ne l'avez pas fait, je vous punirai par une fessée déculottée.




- Quoi ? Je vous demande pardon ? Vous avez bien dit fessée ?


- Oui, fessée déculottée, pour être précise. C'est à vous de voir. Soit vous faites votre devoir et on pourra avancer, soit vous ne le faites pas et je vous administrerai une fessée déculottée à votre arrivée, avant que vous fassiez votre devoir, les fesses rouges et cuisantes.


- Mais ce n'est pas sérieux !!


- c'est à vous de choisir, rien ne vous oblige à venir vendredi prochain, c'est vous qui payez, c'est votre choix. Mais regardons les choses en face. Vous avez toutes les capacités pour réussir, seulement il faut que vous vous forciez un peu. Voyons Hélène, vous savez exactement ce qu'il vous faut. Réfléchissez-y. Faites votre devoir et tout se passera bien. Vous serez même récompensée.


Hélène prit congé et rentra chez elle, ses pensées bouillonnantes des mots qu'elle avait entendu : fessée déculottée.


La semaine fut quasiment identique à la précédente. Elle avait été submergée par le rythme de sa vie quotidienne. Le jeudi soir, Hélène n'arriva pas à dormir. Elle n'avait rien fait de ce qu'avait demandé Mme Martin. Donc en toute logique, elle serait punie en arrivant. Mais comment pouvait-elle seulement envisager cette option ? A 43 ans, comment pouvait-elle envisager une seule seconde de recevoir ce châtiment ? Elle pouvait tout simplement refuser et cesser de voir sa coach. Après tout c'était elle la cliente. Mais ce qui la torturait vraiment, c'est qu'au fond d'elle-même, elle savait qu'elle avait besoin de ce recadrage et inconsciemment c'est ce genre de monitorat qu'elle était venue chercher.

C'est pleine d'angoisse qu'elle se réveilla. Elle avait rendez-vous avec Mme Martin à 14h30. Elle prit sa douche et s'habilla comme une automate. Une robe en laine marron clair et des collants en laine noirs.

La routine de sa matinée lui fit penser à autre chose mais quand vint le moment de prendre sa voiture pour aller au domicile de Mme Martin, une boule au ventre la tortura. 

Une fois garée, elle avança vers la porte, tendit le bras vers la sonnette et en fermant les yeux, appuya.

Mme Martin vint lui ouvrir et l'accueille avec sa chaleur habituelle. Elle la précéda jusqu'à au salon. Elle lui prit son manteau et le rangea avec soin dans la penderie. Puis elle fit face à Hélène.


- Je vois à ta mine, ma petite, que tu n'as pas fait tes devoirs, je me trompe ?

- Non, je suis désolée.

- Désolée, tu vas bientôt l'être ma petite. Tu sais ce qu'il t'attends n'est-ce pas;

- Oui Mme Martin.

- Tu es toujours d'accord.

- Oui.

- Donc, demande-moi ta punition.

- Punissez moi, murmura t elle.

- Mieux que ça !

- Donnez moi la fessée


Mme Martin donna une claque sur la cuisse d'Hélène.


- Je veux que tu me le demande mieux que ça !


La mine basse, la tête inclinée en avant Hélène murmura.


- S'il vous plaît Mme Martin, donnez moi la fessée déculottée.


- Enfin ! Alors ne perdons pas de temps. Suis moi.


Hélène suivit sa coach jusqu'à une pièce adjacente au salon qui servait de bureau. Un large fauteuil était disposé au centre. Mme martin prit place, lissa sa robe et, en regardant Hélène avec sévérité dit:


- Ma petite, chose promise, chose due. Tu étais prévenue, si tu ne faisais pas tes devoirs, tu serais punie par une fessée déculottée. C'est donc ce que tu vas recevoir. Approche !


Hélène fit les quelques pas qui la séparaient de Mme Martin et se plaça devant elle.


- Met tes mains sur la tête.


Hélène s'exécuta. Mme Martin prit les pans de la robe en laine d'Hélène et la fit remonter jusqu'à son ventre en l'enroulant.

Hélène se tenait maintenant, les mains sur la tête, troussée, en collant, qui laissaient voir la culotte blanche qu'elle portait dessous.

Cette situation, assez cérémoniale, mettait Hélène dans une situation de soumission. Mais elle le méritait, au fond d'elle-même, elle le souhaitait et l'acceptait. Ce qui lui posait problème, c'est le fait d'être déculottée. La gêne de la nudité devait sans doute faire partie de la punition, se dit-elle.  Mais quand même, c'était très embarrassant. 

Mme Martin tendit la main vers Hélène qui la prit et la guida vers le côté de ses cuisses. Hélène s'allongea en travers des genoux. Ses bras pendaient en avant, et ses jambes vers l'arrière. Elle offrait à sa coach ses fesses encore protégées par son épais collant et sa culotte.



Sans prévenir, Mme Martin commença à claquer avec une force modérée les fesses d'Hélène. Puis elle augmenta progressivement la force des claques jusqu'à ce qu'elles provoquent la douleur souhaitée par la coach.

De son côté, Hélène fût surprise par les premières claques. Elle sentait la chaleur puis la douleur s'emparer de sa croupe. Qu'est-ce que ce serait quand elle ne serait plus protégée par ses sous-vêtements?

Mme Martin continuait, méthodiquement, à claquer les fesses de sa cliente. Elle n'avait aucun scrupule, elle était prévenue, elle avait accepté et quelque chose lui disait, qu'elle avait souhaité cette fessée déculottée. Enfin déculottée, pas encore, mais ça n'allait pas tarder. D'ailleurs le moment du déculottage était venu. Elle s'arrêta. Et d'un geste précis et net, elle prit l'élastique du collant et le fit glisser jusqu'aux genoux.

Hélène avait reprit son souffle quand Mme Martin avait stoppé ses claques mais cette pause fut de courte durée. En un rien de temps et sans pouvoir anticiper le geste, elle sentit son collant descendre. Elle eut à peine le temps de sentir la fraîcheur et la fessée reprit. Le bruit des claques était plus sonore, plus claquant. La douleur aussi avait évolué. A chaque impact, elle sentait une sorte de brûlure. Sa culotte, seul et dernier rempart de sa pudeur, ne protégeait plus grand chose. Elle ne comptait pas les claques mais le temps avait l'air de s'être arrêté et elle avait dû en recevoir une bonne centaine.

Mme Martin fit une nouvelle pause.


- Bien, j'espère que cette fessée te sera bénéfique et qu'à l'avenir tu ne te trouveras pas d'excuse pour ne pas faire ton travail.

- Oui fit Hélène essoufflée, j'ai compris ma leçon, on peut arrêter

- La fin est proche, en effet, mais nous n'en avons pas encore fini avec cette fessée.


Hélène savait exactement ce qu'insinuait sa coach, elle voulait lui baisser la culotte. Dans un geste désespéré, elle projeta ses mains en arrière et agrippa l'élastique de sa culotte.


- Tu crois vraiment que tu vas y échapper de cette manière ma petite Hélène ? Lève toi.

Tout en maintenant d'une main sa culotte, Hélène s'aida de sa main libre pour se redresser et se lever. Elle se replaça devant Mme Martin.

- Je me doute bien que tu préférerais qu'on s'arrête là, mais vois tu, si tu veux que cette fessée te soit bénéfique, il faut aller au bout. Une fessée déculottée veut dire que je dois te baisser la culotte. Je sais que c'est très humiliant pour toi. Mais c'est nécessaire. Alors remets tes mains sur la tête.


Hélène, en fermant les yeux, monta très lentement ses mains sur sa tête.

Mme Martin prit l'élastique de la culotte d'Hélène de chaque côté des hanches de sa cliente.




Elle marqua un temps d'arrêt. Fixa les yeux de sa punie et maintint cette connexion  tandis qu'elle faisait glisser doucement le long des jambes jusqu'aux genoux. Là, devant elle, se tenait une femme d'âge mûr, mains sur sa tête, la robe retroussée, collant et culotte baissée, dévoilant une épaisse toison pubienne sombre.

Mme Martin fit reprendre à Hélène sa place en travers de ses genoux.

Hélène peinait à réaliser ce qu'il lui arrivait. Elle était en train de recevoir une fessée déculottée !


- Bien, maintenant que ta culotte est baissée, nous allons poursuivre. Je vais t'administrer 30 claques très fortes pour que tu te souviennes des conséquences d'un devoir non rendu. Es tu prête ?


- Oui murmura Hélène


Hélène, pourtant s'était préparée à ressentir une certaine douleur, mais pas à ça. Son derrière était littéralement en feu ! Elle avait beau gesticuler dans tous les sens, battre des jambes, rien n'y fit. C'était un véritable déluge qui s'abattait sur ses fesses !



Mme Martin tenait fermement la taille d'Hélène, qui tentait vainement d'échapper à sa fessée. Plus aucune pudeur n'était de mise. Les fesses d'Hélène s'ouvraient et se refermaient, dévoilant son intimité.

Elle levait sa main bien haut et claquait très fort. Les fesses d'Hélène étaient maintenant cramoisies.

28, 29, 30.

Chacune reprenait son souffle.

- Voilà ma petite Hélène, tu as reçu ta juste punition. C'est fini, tu peux te relever.


En gémissant de douleur, Hélène se releva et frotta ses fesses endolories.

- Tu vas aller coller ton nez sur ce mur pendant 5 minutes pour méditer, non! Tu laisses ta culotte là où elle est. Tu ne te reculotteras qu'après et tu viendras me rejoindre au salon.




La démarche entravée par ses sous-vêtements qui était maintenant tombés à ses chevilles, Hélène se mit face au mur indiqué.

Une fois seule, elle sourit. Elle ressentait de la satisfaction et de l'excitation après cette fessée déculottée. Son sexe était chaud et humide. Est-ce que Mme Martin s'en était aperçu ? Peut être mais qu'importe. 

Elle réalisait qu'en sollicitant l'aide de Mme Martin elle était venue chercher ce genre de chose. 

Au bout de cinq minutes, elle remis sa culotte, son collant et lissa sa robe.

Elle rejoignit sa coach dans le salon. Un plateau chargé de petits gâteaux et d'une théière fumante.



Elle fit un petit outch ! En s'asseyant.


- Bien, commençons, voyons ce fameux devoir.


Elles travaillèrent le plus simplement du monde en buvant une bonne tasse de thé.

Hélène rentra chez elle, heureuse, elle avait un nouveau devoir à faire.


Qui fut fait le soir même…


Elle connaissait la suite en cas de paresse.









vendredi 16 décembre 2022

Leslie et Sylvie 9

Une matinée cuisante

 

Nous avons passé une bonne nuit, bien sûr nous avons eu un peu de mal à nous endormir à cause de la brûlure de nos fesses. Le frottement de nos pyjamas sur l’épiderme enflammé de nos fessiers était très douloureux, j’ai fini par me mettre sur le ventre et à descendre ma culotte sous mes fesses.



Leslie est entrée dans notre chambre à 7h30 pour nous réveiller, je savais qu’il ne fallait pas traîner sous peine d’une fessée matinale pour nous aider à nous démarrer la journée. Quelque instants plus tard nous étions dans la cuisine pour le petit déjeuner, elle nous expliqua le déroulé de notre journée. Nous étions assise comme deux enfants sages écoutant leur maman.

- je pars travailler ce matin, vous serez sous la surveillance de Mme Dujou qui arrive à 8h30, Catherine à quelle heure commence tu ton travail?

Catherine lui indiqua qu’elle ne travaillait que l’après midi.

- bien c’est parfait, Mme Dujou pourra s’occuper de toi comme elle te l’a annoncé hier.

Elle avait dit ça avec un petit sourire, Catherine fit une grimace, elle aurait droit au lavage des fesses à l’eau froide et à la fessée qui allait avec. Elle n’avait pas pensé que Mme Dujou viendrait aujourd’hui. Leslie se tourna vers moi.

- quant à toi ma chérie, je n’oublie pas  l’entraînement de ton petit trou, tu sais que l’on va te prendre la température matin et soir pendant 15 jours. Ce matin je n’ai pas le temps je vais donc demander à Mme Dujou de s’en charger.

Cette annonce me fit blêmir, j’ouvris la bouche et osai un

- mais maman….

Leslie exigeait depuis quelque temps que je l’appelle maman, ça correspondait d’ailleurs tout à fait à notre situation. Elle me regarda sévèrement

- oui ma chérie, Mme Dujou va te prendre la température, tu as quelque chose à dire ?

Je rougis et bafouillai

- euh non, non maman pardon ce n’est pas ce que je voulais dire.

Mes fesses se serraient sous ma culotte, la fessée matinale n’était pas loin.

- et bien c'est parfait, je vais l'appeler pour lui expliquer tout ça, vous pouvez rester en pyjama jusqu'à ce qu'elle arrive. Ça sera plus pratique pour ce qu'elle a à faire.

Elle avait dit ça avec un petit sourire pervers. Elle était déjà prête mais avant de partir il restait un petit rituel.

- bon mes petites chéries, je vais bientôt y aller, j'espère que vous serez sage. On va vérifier l'état de vos petites fesses, allez vite en piste, on commence par toi Sylvie.

Elle s'était assise sur une chaise, je savais ce que j'avais à faire. Je m'approchai et me couchai docilement sur ses genoux. Elle me déculotta largement et examina soigneusement mes fesses. 



Quand je dis soigneusement, vous savez ce que ça veut dire, écartement des fesses, doigt qui s'insinue entre les cuisses, qui pénètre un peu l'anus. Et enfin pour finir une rapide fessée d'une cinquantaine de claques.

- c'est parfait ton petit derrière est en très bon état ma chérie. Une petite rougeur persistante mais il est bien souple et aucune trace. Mme Dujou pourra te donner la fessée sans problème si c'est nécessaire.

Elle remonta elle même ma culotte de pyjama et me fit relever. Avec son doigt elle fit un petit signe à Catherine.

- à ton tour ma jolie, viens un peu me montrer ton petit derrière.

Catherine s'approcha en rougissant, elle commençait à s'habituer à être traitée en adolescente. Leslie la bascula en travers de ses cuisses, sa tête touchait presque le sol, ses pieds étaient décollés du sol, sa croupe tendait la culotte du pyjama, Leslie eut vite fait de la baisser jusqu'aux genoux. Puis comme moi, Catherine eut droit à un examen détaillé de son anatomie postérieure. 



Elle avait été plus sévèrement fessée que moi la veille et ses fesses en portaient encore les traces, elles étaient encore rouges, alors que les miennes n'étaient plus que rosées. Elle eut droit également à sa fessée matinale, qui fut plus sévère que la mienne et qui la fit gémir. Leslie avait vraiment l'intention de la prendre en main rapidement. Puis Catherine fut reculottée par sa nouvelle maman.

- voilà c'est bon, maintenant j'y vais, Mme Dujou ne va pas tarder à arriver.

Elle était habillée très chic, avec son tailleur strict, nous nous étions comme deux adolescentes encore en pyjama avec les fesses rouges. Elle nous fit un bisou à chacune.

Dès qu'elle fut partie Catherine se mit à gémir.

- Olala, la mère Dujou qui vient ce matin moi qui croyait être tranquille...mes pauvres fesses ne vont pas supporter….

Je me mis à rire, pourtant je savais que j'étais bonne moi aussi pour une bonne fessée déculottée, mais les mimiques de Catherine pleurnichant et frottant déjà ses fesses étaient amusantes.

- oh tu sais ma chérie, par expérience je peux te dire que tes fesses vont la supporter cette fessée et même si Mme Dujou t'en donne plusieurs. La nature nous a doté d'une bonne paire de fesses et on dirait que c'est justement fait pour recevoir des bonnes déculottées. J'en ai pris beaucoup et mes fesses sont toujours en bon état. Je peux te dire que j'en prends au moins une par jour… c'est douloureux mais on s'en remet rassure toi.

Catherine me regardait avec des yeux ronds

- une fessée déculottée tout les jours ?

- oui ma chérie et même souvent plusieurs. Mais tu as vu mes fesses sont encore pas mal pour mon âge.

En disant ces paroles, j'avais baissé ma culotte sous mes fesses et je les tortillais suggestivement. Cela eu le don de dérider ma petite amie qui sourit et s'approcha. Elle passa amoureusement sa main sur ma croupe tendue.



- c'est vrai que ton derrière est adorable ma chérie....surtout avec un peu de couleurs

Elle claqua rapidement mes fesses,  mais nous entendîmes la porte s'ouvrir et je me reculottai rapidement. Mme Dujou entra dans la cuisine.

- bonjour mes jolies, vous allez bien ? On a un peu de travail ce matin. Bon débarrassez moi vite ce déjeuner, je vous attends au salon.

On ne traîna pas, nos fesses avaient appris à leurs dépends qu'avec Leslie et Mme Dujou il fallait obéir prestement. Elle nous attendait assise sur le canapé du salon, elle nous fit un petit signe du doigt.

- venez ici, devant moi. Bon Sylvie tu as un petit problème avec le thermomètre, tu vas voir qu'avec maman Dujou le problème va être vite réglé.

Mes fesses se serraient sous ma culotte, j'essayai de l'amadouer.

- oh, vous savez depuis hier ça va beaucoup mieux, Leslie ne vous l'a pas dit.

Elle me regarda en souriant.

- non, justement elle m'a dit le contraire. Catherine va te mettre au coin et tu baisse ta culotte pendant que je m'occupe de Sylvie.



Catherine s'exécuta docilement, elle se déculotta et mis ses mains sur la tête. Mme Dujou tapotait ses genoux, je savais ce qu'il me restait à faire. Quelques secondes plus tard j'étais en position, les doigts de la sévère matrone se glissait sous la ceinture du pyjama et je sentis l'air sur mes fesses. Elle me déculotta largement et se mit à palper mes fesses.

- elles sont en parfait état ces jolies fesses, Mlle Leslie s'en est occupée ce matin ?

- oui madame, une petite fessée du réveil.

- je vois ça, bon tu vas me détendre un peu mieux ton derrière.

Elle mit un gant et écarta largement mes fesses, j'essayais de me détendre le plus possible, je ne voulais pas lui donner l'occasion de me fesser immédiatement. Son doigt appuya sur mon anus et pénétra doucement,  puis elle le fit tourner.

- voilà, c'est bien ma petite tu es sage tu vois mon doigt est plus gros que le thermomètre donc il va rentrer tout seul maintenant.

Elle continuait à faire coulisser son doigt, c'était terriblement humiliant mais à ma grande surprise je sentis une humidité entre mes cuisses, malgré la honte j'y prenais un peu de plaisir. Elle retira son doigt, elle claqua mes fesses.

- bon maintenant que ton petit trou est prêt tu vas voir, le thermomètre va se mettre en place facilement.

Je sentis à nouveau mes fesses s'écarter et l'embout froid du thermomètre, malgré moi je me crispai. Immédiatement la main de Mme Dujou entra en action, elle avait relâché mes fesses, on aurait dit qu'elle n'attendait que ça. Je me mis à crier de douleur et de surprise.

- aïe aïe aïe, non, pardon Mme Dujou, je n'ai pas fait exprès.

- j'espère bien !! Mais tu vas voir je crois que tes fesses ont besoin d'une petite fessée pour être bien détendue.



Ce ne fut pas une petite fessée, mais une vraie bonne fessée déculottée comme Mme Dujou savait les donner. Quand elle eut fini j'étais en pleurs sur ses genoux et mes fesses devaient être bien détendue car le thermomètre rentra facilement, je sentis qu'elle le faisait pénétrer très profondément.

- bien, maintenant tu vas te lever et tu serres bien les fesses, si jamais il ressort je te flanque une fessée dont tu te souviendras longtemps.

Je me levai donc les fesses brûlantes et bien serrées. Elle posa un coussin sur la table basse du salon et me fit coucher dessus.



- tu vas rester là une heure avec le thermomètre dans les fesses, ça va t'apprendre.

Puis elle se tourna vers Catherine.

- toi, tu files dans la salle de bain et tu te déshabille, je te veux toute nue quand j'arrive.

Catherine s’empressa d’obéir. Quand Mme Dujou entra dans la salle de bain elle l’attendait en tenue d'Eve, elle lui désigna la baignoire.

- allez ma petite dépêche toi de monter là, nous n’avons pas de temps à perdre.

Catherine essaya de négocier.

- s’il vous plaît madame, pas trop froid la douche.

Un sourire sur les lèvres, Mme Dujou pris la brosse de bain.

- je t’ai déjà dit que je ne voulais pas t’entendre, si tu as peur d’avoir froid aux fesses, je vais remédier à ça !

Elle fit pivoter Catherine et la saisissant par la taille elle la fit se courber en avant afin qu’elle tende bien ses fesses, puis elle leva la brosse de bain et se mit à claquer le derrière bien tendu? Catherine se mit à hurler et à trépigner sur place,


 

elle était bien maintenue et la brosse claquait les fesses que lui présentait si aimablement Catherine.  La fessée fut assez courte mais ce redoutable instrument brûle énormément et même si la correction est rapide la douleur est intense. Les fesses de Catherine étaient à nouveau écarlates, une couleur maintenant habituelle pour son fessier. Calmement Mme Dujou la relâcha, posa la brosse de bain à côté d'elle. Puis elle prit la savonnette et la glissa dans la bouche de la punie.



- quand tu en auras assez de te faire savonner la bouche tu réfléchiras peut être avant de parler. Maintenant tu ne bouge pas, tes fesses sont en bonne position, tu vois la brosse, elle ne demande qu'à s'occuper à nouveau de ton derrière. Je vais te refroidir un peu les fesses, écarte les jambes !

Soumise et pleurnichante,  ma petite amie s'exécuta. Elle poussa un cri étouffé par la savonnette dans sa bouche, Mme Dujou venait de diriger l'eau froide sur ses fesses et entre ses cuisses. Catherine hoquetait mais elle ne se dérobait pas, elle avait la brosse sous les yeux et le goût du savon dans la bouche. C'était la punition traditionnelle des mamans en Angleterre et Mme Dujou avait travaillé dans sa jeunesse dans une famille à Londres elle en avait gardé les bonnes habitudes. Elle prit un gant de toilette et comme la veille elle savonna soigneusement les fesses écarlates puis sa main experte explora l'intimité de Catherine  un doigt pénétra même dans son petit trou. Catherine était matée elle ne disait rien se contentant de pleurer doucement. Le rinçage se fit également à l'eau froide puis Mme Dujou retira la savonnette de la bouche de la pauvre Catherine.

- bien, j'espère que tu as compris, je ne veux plus t'entendre,  maintenant tes jolies petites fesses sont bien propres, on va les sécher.

Catherine se retrouva à nouveau couchée sur les genoux de sa baby-sitter occasionnelle puis la main se mit à claquer les fesses mouillées jusqu'à ce qu'elle soit sèche. 



Depuis le salon j'entendais tout, ça me faisait un peu oublier ma position humiliante les fesses rouges bien exposées avec un thermomètre planté au milieu. Je vis Mme Dujou traverser le salon en tenant Catherine par l'oreille, elle était toute nue, la couleur de ses fesses, d’un beau rouge profond était impressionnante.

Arrivée dans notre chambre, Mme Dujou ouvrit la commode et choisi une petite culotte à fleur de gamine, la jupette plissée bleu, le corsage blanc et les socquettes blanches complétaient l'uniforme que nous devions porter dès que nous étions à la maison. Catherine qui était habituée à porter des dessous sexy avait du se résoudre après quelques passages sur les genoux de Leslie à les abandonner au profit de sage petite culotte en coton. Elle s'empressa de cacher ses larges fesses rubicondes non sans une petite grimace quand le tissu frotta les fesses endolories.

Mme Dujou avait repris son travail habituel, elle me surveillait du coin de l'oeil, j'avais l'impression que cela faisait très longtemps que j'étais en exposition fesses à l'air dans le salon, mais je ne pouvais rien dire. Catherine était restée dans la chambre, pour que ses fesses soient le plus loin possible de la main de Mme Dujou. Enfin celle-ci s'approcha de moi, elle écarta avec deux doigts mes fesses et se mit à faire coulisser le thermomètre.

- c'est parfait, je pense que ce soir Mlle Leslie n'aura pas de problème pour te le mettre.

J'étais honteuse de ma réaction, car je sentais une excitation monter en moi quand elle rentrait et sortait le thermomètre, je suis sûr qu'elle s'en rendait compte et s'amusait de ma confusion. Enfin elle le retira complètement, puis elle glissa ses doigts entre mes cuisses.

- c'est bien ce qui me semblait, tu as chaud aux fesses ma petite Sylvie. Tu as de la chance que je doive partir car tu mériterais un lavage des fesses à l'eau froide comme ta petite copine. Je vais en parler à Mlle Leslie. Mon visage était écarlate quand je me relevai, elle madministra deux magistrales claques sur les fesses.

- allez file te laver et t'habiller.

J'étais un peu inquiète de la réaction de ma jeune belle-fille, mais au moins j'avais évité l'humiliant traitement qu'avait subi Catherine.

Nous étions maintenant seule puisque Leslie ne rentrait que dans l'après-midi et que Mme Dujou était partie. Catherine commençait à travailler à 14 h, nous avions un peu de temps pour nous. Les fesses rouges de Catherine eurent droit à un massage langoureux qu'elle me rendit après m'avoir couchée sur ses genoux comme pour me donner la fessée, mais c'était beaucoup plus agréable.



Catherine quitta son uniforme de collégienne pour un ensemble jupe et veste de dame, bien sûr elle n'avait pas le droit de changer de culotte mais elle pouvait mettre des bas autofixants. Si ses collègues avaient deviné que sous sa tenue élégante elle cachait un culotte de petite fille et une paire de fesses bien rouges ils auraient été surpris.

Elle m'avait confié que sa grande crainte s'était d'être convoquée à la médecine du travail et d'être obligée de se déshabiller devant le médecin qui ne manquerait pas de remarquer ses dessous enfantins



 et pire encore les traces d'une bonne fessée. J'avais compatis mais je lui avais fait remarquer que comme je ne travaillais pas, j'étais condamnée à porter mon uniforme de collégienne en permanence ce qui était assez humiliant quand même.

Une fois Catherine partie je reçus un sms de Leslie,

«coucou ma chérie, j’espère que la matinée s’est bien passée, tu vas être contente, Chloé vient prendre le thé, tu vas avoir deux mamans pour s’occuper de toi. Bien sûr je compte sur toi pour faire le service comme une jeune fille de bonne famille. A tout à l’heure ma chérie»

C'était une mauvaise nouvelle, la venue de Chloé signifiait automatiquement une chaude après midi pour mon fessier et sans doute quelques séquences humiliantes dont cette petite garce avait le secret. Je retroussai ma jupe, baissai ma culotte et palpai mes fesses, elles n’étaient presque plus chaudes de la fessée matinale de Mme Dujou, mais cela n’allait pas durer.





Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...