Une matinée cuisante
Nous avons passé une bonne nuit, bien sûr nous avons eu un peu de mal à nous endormir à cause de la brûlure de nos fesses. Le frottement de nos pyjamas sur l’épiderme enflammé de nos fessiers était très douloureux, j’ai fini par me mettre sur le ventre et à descendre ma culotte sous mes fesses.
Leslie est entrée dans notre chambre à 7h30 pour nous réveiller, je savais qu’il ne fallait pas traîner sous peine d’une fessée matinale pour nous aider à nous démarrer la journée. Quelque instants plus tard nous étions dans la cuisine pour le petit déjeuner, elle nous expliqua le déroulé de notre journée. Nous étions assise comme deux enfants sages écoutant leur maman.
- je pars travailler ce matin, vous serez sous la surveillance de Mme Dujou qui arrive à 8h30, Catherine à quelle heure commence tu ton travail?
Catherine lui indiqua qu’elle ne travaillait que l’après midi.
- bien c’est parfait, Mme Dujou pourra s’occuper de toi comme elle te l’a annoncé hier.
Elle avait dit ça avec un petit sourire, Catherine fit une grimace, elle aurait droit au lavage des fesses à l’eau froide et à la fessée qui allait avec. Elle n’avait pas pensé que Mme Dujou viendrait aujourd’hui. Leslie se tourna vers moi.
- quant à toi ma chérie, je n’oublie pas l’entraînement de ton petit trou, tu sais que l’on va te prendre la température matin et soir pendant 15 jours. Ce matin je n’ai pas le temps je vais donc demander à Mme Dujou de s’en charger.
Cette annonce me fit blêmir, j’ouvris la bouche et osai un…
- mais maman….
Leslie exigeait depuis quelque temps que je l’appelle maman, ça correspondait d’ailleurs tout à fait à notre situation. Elle me regarda sévèrement
- oui ma chérie, Mme Dujou va te prendre la température, tu as quelque chose à dire ?
Je rougis et bafouillai
- euh non, non maman pardon ce n’est pas ce que je voulais dire.
Mes fesses se serraient sous ma culotte, la fessée matinale n’était pas loin.
- et bien c'est parfait, je vais l'appeler pour lui expliquer tout ça, vous pouvez rester en pyjama jusqu'à ce qu'elle arrive. Ça sera plus pratique pour ce qu'elle a à faire.
Elle avait dit ça avec un petit sourire pervers. Elle était déjà prête mais avant de partir il restait un petit rituel.
- bon mes petites chéries, je vais bientôt y aller, j'espère que vous serez sage. On va vérifier l'état de vos petites fesses, allez vite en piste, on commence par toi Sylvie.
Elle s'était assise sur une chaise, je savais ce que j'avais à faire. Je m'approchai et me couchai docilement sur ses genoux. Elle me déculotta largement et examina soigneusement mes fesses.
Quand je dis soigneusement, vous savez ce que ça veut dire, écartement des fesses, doigt qui s'insinue entre les cuisses, qui pénètre un peu l'anus. Et enfin pour finir une rapide fessée d'une cinquantaine de claques.
- c'est parfait ton petit derrière est en très bon état ma chérie. Une petite rougeur persistante mais il est bien souple et aucune trace. Mme Dujou pourra te donner la fessée sans problème si c'est nécessaire.
Elle remonta elle même ma culotte de pyjama et me fit relever. Avec son doigt elle fit un petit signe à Catherine.
- à ton tour ma jolie, viens un peu me montrer ton petit derrière.
Catherine s'approcha en rougissant, elle commençait à s'habituer à être traitée en adolescente. Leslie la bascula en travers de ses cuisses, sa tête touchait presque le sol, ses pieds étaient décollés du sol, sa croupe tendait la culotte du pyjama, Leslie eut vite fait de la baisser jusqu'aux genoux. Puis comme moi, Catherine eut droit à un examen détaillé de son anatomie postérieure.
Elle avait été plus sévèrement fessée que moi la veille et ses fesses en portaient encore les traces, elles étaient encore rouges, alors que les miennes n'étaient plus que rosées. Elle eut droit également à sa fessée matinale, qui fut plus sévère que la mienne et qui la fit gémir. Leslie avait vraiment l'intention de la prendre en main rapidement. Puis Catherine fut reculottée par sa nouvelle maman.
- voilà c'est bon, maintenant j'y vais, Mme Dujou ne va pas tarder à arriver.
Elle était habillée très chic, avec son tailleur strict, nous nous étions comme deux adolescentes encore en pyjama avec les fesses rouges. Elle nous fit un bisou à chacune.
Dès qu'elle fut partie Catherine se mit à gémir.
- Olala, la mère Dujou qui vient ce matin moi qui croyait être tranquille...mes pauvres fesses ne vont pas supporter….
Je me mis à rire, pourtant je savais que j'étais bonne moi aussi pour une bonne fessée déculottée, mais les mimiques de Catherine pleurnichant et frottant déjà ses fesses étaient amusantes.
- oh tu sais ma chérie, par expérience je peux te dire que tes fesses vont la supporter cette fessée et même si Mme Dujou t'en donne plusieurs. La nature nous a doté d'une bonne paire de fesses et on dirait que c'est justement fait pour recevoir des bonnes déculottées. J'en ai pris beaucoup et mes fesses sont toujours en bon état. Je peux te dire que j'en prends au moins une par jour… c'est douloureux mais on s'en remet rassure toi.
Catherine me regardait avec des yeux ronds…
- une fessée déculottée tout les jours ?
- oui ma chérie et même souvent plusieurs. Mais tu as vu mes fesses sont encore pas mal pour mon âge.
En disant ces paroles, j'avais baissé ma culotte sous mes fesses et je les tortillais suggestivement. Cela eu le don de dérider ma petite amie qui sourit et s'approcha. Elle passa amoureusement sa main sur ma croupe tendue.
- c'est vrai que ton derrière est adorable ma chérie....surtout avec un peu de couleurs…
Elle claqua rapidement mes fesses, mais nous entendîmes la porte s'ouvrir et je me reculottai rapidement. Mme Dujou entra dans la cuisine.
- bonjour mes jolies, vous allez bien ? On a un peu de travail ce matin. Bon débarrassez moi vite ce déjeuner, je vous attends au salon.
On ne traîna pas, nos fesses avaient appris à leurs dépends qu'avec Leslie et Mme Dujou il fallait obéir prestement. Elle nous attendait assise sur le canapé du salon, elle nous fit un petit signe du doigt.
- venez ici, devant moi. Bon Sylvie tu as un petit problème avec le thermomètre, tu vas voir qu'avec maman Dujou le problème va être vite réglé.
Mes fesses se serraient sous ma culotte, j'essayai de l'amadouer.
- oh, vous savez depuis hier ça va beaucoup mieux, Leslie ne vous l'a pas dit.
Elle me regarda en souriant.
- non, justement elle m'a dit le contraire. Catherine va te mettre au coin et tu baisse ta culotte pendant que je m'occupe de Sylvie.
Catherine s'exécuta docilement, elle se déculotta et mis ses mains sur la tête. Mme Dujou tapotait ses genoux, je savais ce qu'il me restait à faire. Quelques secondes plus tard j'étais en position, les doigts de la sévère matrone se glissait sous la ceinture du pyjama et je sentis l'air sur mes fesses. Elle me déculotta largement et se mit à palper mes fesses.
- elles sont en parfait état ces jolies fesses, Mlle Leslie s'en est occupée ce matin ?
- oui madame, une petite fessée du réveil.
- je vois ça, bon tu vas me détendre un peu mieux ton derrière.
Elle mit un gant et écarta largement mes fesses, j'essayais de me détendre le plus possible, je ne voulais pas lui donner l'occasion de me fesser immédiatement. Son doigt appuya sur mon anus et pénétra doucement, puis elle le fit tourner.
- voilà, c'est bien ma petite tu es sage tu vois mon doigt est plus gros que le thermomètre donc il va rentrer tout seul maintenant.
Elle continuait à faire coulisser son doigt, c'était terriblement humiliant mais à ma grande surprise je sentis une humidité entre mes cuisses, malgré la honte j'y prenais un peu de plaisir. Elle retira son doigt, elle claqua mes fesses.
- bon maintenant que ton petit trou est prêt tu vas voir, le thermomètre va se mettre en place facilement.
Je sentis à nouveau mes fesses s'écarter et l'embout froid du thermomètre, malgré moi je me crispai. Immédiatement la main de Mme Dujou entra en action, elle avait relâché mes fesses, on aurait dit qu'elle n'attendait que ça. Je me mis à crier de douleur et de surprise.
- aïe aïe aïe, non, pardon Mme Dujou, je n'ai pas fait exprès.
- j'espère bien !! Mais tu vas voir je crois que tes fesses ont besoin d'une petite fessée pour être bien détendue.
Ce ne fut pas une petite fessée, mais une vraie bonne fessée déculottée comme Mme Dujou savait les donner. Quand elle eut fini j'étais en pleurs sur ses genoux et mes fesses devaient être bien détendue car le thermomètre rentra facilement, je sentis qu'elle le faisait pénétrer très profondément.
- bien, maintenant tu vas te lever et tu serres bien les fesses, si jamais il ressort je te flanque une fessée dont tu te souviendras longtemps.
Je me levai donc les fesses brûlantes et bien serrées. Elle posa un coussin sur la table basse du salon et me fit coucher dessus.
- tu vas rester là une heure avec le thermomètre dans les fesses, ça va t'apprendre.
Puis elle se tourna vers Catherine.
- toi, tu files dans la salle de bain et tu te déshabille, je te veux toute nue quand j'arrive.
Catherine s’empressa d’obéir. Quand Mme Dujou entra dans la salle de bain elle l’attendait en tenue d'Eve, elle lui désigna la baignoire.
- allez ma petite dépêche toi de monter là, nous n’avons pas de temps à perdre.
Catherine essaya de négocier.
- s’il vous plaît madame, pas trop froid la douche.
Un sourire sur les lèvres, Mme Dujou pris la brosse de bain.
- je t’ai déjà dit que je ne voulais pas t’entendre, si tu as peur d’avoir froid aux fesses, je vais remédier à ça !
Elle fit pivoter Catherine et la saisissant par la taille elle la fit se courber en avant afin qu’elle tende bien ses fesses, puis elle leva la brosse de bain et se mit à claquer le derrière bien tendu? Catherine se mit à hurler et à trépigner sur place,
elle était bien maintenue et la brosse claquait les fesses que lui présentait si aimablement Catherine. La fessée fut assez courte mais ce redoutable instrument brûle énormément et même si la correction est rapide la douleur est intense. Les fesses de Catherine étaient à nouveau écarlates, une couleur maintenant habituelle pour son fessier. Calmement Mme Dujou la relâcha, posa la brosse de bain à côté d'elle. Puis elle prit la savonnette et la glissa dans la bouche de la punie.
- quand tu en auras assez de te faire savonner la bouche tu réfléchiras peut être avant de parler. Maintenant tu ne bouge pas, tes fesses sont en bonne position, tu vois la brosse, elle ne demande qu'à s'occuper à nouveau de ton derrière. Je vais te refroidir un peu les fesses, écarte les jambes !
Soumise et pleurnichante, ma petite amie s'exécuta. Elle poussa un cri étouffé par la savonnette dans sa bouche, Mme Dujou venait de diriger l'eau froide sur ses fesses et entre ses cuisses. Catherine hoquetait mais elle ne se dérobait pas, elle avait la brosse sous les yeux et le goût du savon dans la bouche. C'était la punition traditionnelle des mamans en Angleterre et Mme Dujou avait travaillé dans sa jeunesse dans une famille à Londres elle en avait gardé les bonnes habitudes. Elle prit un gant de toilette et comme la veille elle savonna soigneusement les fesses écarlates puis sa main experte explora l'intimité de Catherine un doigt pénétra même dans son petit trou. Catherine était matée elle ne disait rien se contentant de pleurer doucement. Le rinçage se fit également à l'eau froide puis Mme Dujou retira la savonnette de la bouche de la pauvre Catherine.
- bien, j'espère que tu as compris, je ne veux plus t'entendre, maintenant tes jolies petites fesses sont bien propres, on va les sécher.
Catherine se retrouva à nouveau couchée sur les genoux de sa baby-sitter occasionnelle puis la main se mit à claquer les fesses mouillées jusqu'à ce qu'elle soit sèche.
Depuis le salon j'entendais tout, ça me faisait un peu oublier ma position humiliante les fesses rouges bien exposées avec un thermomètre planté au milieu. Je vis Mme Dujou traverser le salon en tenant Catherine par l'oreille, elle était toute nue, la couleur de ses fesses, d’un beau rouge profond était impressionnante.
Arrivée dans notre chambre, Mme Dujou ouvrit la commode et choisi une petite culotte à fleur de gamine, la jupette plissée bleu, le corsage blanc et les socquettes blanches complétaient l'uniforme que nous devions porter dès que nous étions à la maison. Catherine qui était habituée à porter des dessous sexy avait du se résoudre après quelques passages sur les genoux de Leslie à les abandonner au profit de sage petite culotte en coton. Elle s'empressa de cacher ses larges fesses rubicondes non sans une petite grimace quand le tissu frotta les fesses endolories.
Mme Dujou avait repris son travail habituel, elle me surveillait du coin de l'oeil, j'avais l'impression que cela faisait très longtemps que j'étais en exposition fesses à l'air dans le salon, mais je ne pouvais rien dire. Catherine était restée dans la chambre, pour que ses fesses soient le plus loin possible de la main de Mme Dujou. Enfin celle-ci s'approcha de moi, elle écarta avec deux doigts mes fesses et se mit à faire coulisser le thermomètre.
- c'est parfait, je pense que ce soir Mlle Leslie n'aura pas de problème pour te le mettre.
J'étais honteuse de ma réaction, car je sentais une excitation monter en moi quand elle rentrait et sortait le thermomètre, je suis sûr qu'elle s'en rendait compte et s'amusait de ma confusion. Enfin elle le retira complètement, puis elle glissa ses doigts entre mes cuisses.
- c'est bien ce qui me semblait, tu as chaud aux fesses ma petite Sylvie. Tu as de la chance que je doive partir car tu mériterais un lavage des fesses à l'eau froide comme ta petite copine. Je vais en parler à Mlle Leslie. Mon visage était écarlate quand je me relevai, elle m’administra deux magistrales claques sur les fesses.
- allez file te laver et t'habiller.
J'étais un peu inquiète de la réaction de ma jeune belle-fille, mais au moins j'avais évité l'humiliant traitement qu'avait subi Catherine.
Nous étions maintenant seule puisque Leslie ne rentrait que dans l'après-midi et que Mme Dujou était partie. Catherine commençait à travailler à 14 h, nous avions un peu de temps pour nous. Les fesses rouges de Catherine eurent droit à un massage langoureux qu'elle me rendit après m'avoir couchée sur ses genoux comme pour me donner la fessée, mais c'était beaucoup plus agréable.
Catherine quitta son uniforme de collégienne pour un ensemble jupe et veste de dame, bien sûr elle n'avait pas le droit de changer de culotte mais elle pouvait mettre des bas autofixants. Si ses collègues avaient deviné que sous sa tenue élégante elle cachait un culotte de petite fille et une paire de fesses bien rouges ils auraient été surpris.
Elle m'avait confié que sa grande crainte s'était d'être convoquée à la médecine du travail et d'être obligée de se déshabiller devant le médecin qui ne manquerait pas de remarquer ses dessous enfantins
et pire encore les traces d'une bonne fessée. J'avais compatis mais je lui avais fait remarquer que comme je ne travaillais pas, j'étais condamnée à porter mon uniforme de collégienne en permanence ce qui était assez humiliant quand même.
Une fois Catherine partie je reçus un sms de Leslie,
«coucou ma chérie, j’espère que la matinée s’est bien passée, tu vas être contente, Chloé vient prendre le thé, tu vas avoir deux mamans pour s’occuper de toi. Bien sûr je compte sur toi pour faire le service comme une jeune fille de bonne famille. A tout à l’heure ma chérie»
C'était une mauvaise nouvelle, la venue de Chloé signifiait automatiquement une chaude après midi pour mon fessier et sans doute quelques séquences humiliantes dont cette petite garce avait le secret. Je retroussai ma jupe, baissai ma culotte et palpai mes fesses, elles n’étaient presque plus chaudes de la fessée matinale de Mme Dujou, mais cela n’allait pas durer.