jeudi 28 juillet 2022

A 70 ans, Il n'est pas trop tard. Suite

Agnès, Sylvie et Paola 2ème partie 



 Paola avait proposé d'aller faire une petite promenade en soirée. Après tout, Agnès devrait connaître un peu les environs. 

Sylvie avait pleurniché un peu en disant qu'elle ne pouvait pas sortir avec une jupe aussi courte.

Mais Agnès lui avait pincé un lobe d'oreille entre son pouce et son index et l'avait relevé si haut que la pauvre Sylvie était forcée de se tenir sur la pointe des pieds.

- Est-ce que notre petite Sylvie se rebelle ?

Agnès n’était pas contrariée mais  plutôt un peu surprise. 

- Oh non, Madame Agnès. Aïe ! Non, j'obéirai. Aïe ! S'il vous plaît… mon oreille !

Agnès sourit et lâcha l'oreille.  Sylvie la frotta vigoureusement.

- je suis sûr que tes voisins ont déjà remarqué à quel point tu te laisses aller et combien ton comportement est immature. Je suis sûr qu'ils trouveront tes vêtements très appropriés !

lui indiqua Agnès. Sylvie baissa la tête, puis elle osa une autre objection.  

- mais les gens verront les zébrures sur mes jambes sous l'ourlet de ma jupe  Madame Agnès !

murmura-t-elle timidement.

Agnès soupira et plaça son annulaire et son index sous le menton de la petite dame et le força à relever la tête. 

- où ma petite Sylvie doit-elle regarder quand elle parle à quelqu'un ? 

- désolée Madame Agnès. Je suis tellement désolée. Oui, je dois regarder les gens à qui je parle ou qui me parlent. S'il vous plaît, s'il vous plaît ! Plus de fessée. Je ne l'oublierai plus ! Promis  ! 

Sylvie se tordit les mains et de nouvelles larmes coulèrent sur ses joues.

Paola intervint à ce moment là 

- et qu'est-ce qu'on a envie de dire aux gens quand ils nous interrogent sur les zébrures, ma petite Sylvie ?

Dans cette question se trouvait déjà la réponse, on envisageait de toute façon de montrer les zébrures en public.

-oh, Pa... Madame Paola ! Que... que dois-je dire alors, Madame Paola ?

Sylvie regardait Paola avec de grands yeux larmoyants.

- la vérité, Sylvie. Juste la vérité. Tu as déjà appris que mentir est mauvais pour ton petit popotin, non ?

Paola la regarda avec un sourire et pensa, «Oh, j'aurais du réaliser plus tôt à quel point cette petite fille peut être mignonne!»

 Agnès était d'accord avec Paola.  

- tu dis juste que tu as été une vilaine fille et que tu as été punie, Sylvie. C'est la vérité, n'est-ce pas ?

- Oui ! Oui Madame Agnès ! Oui, la vérité !  

Elle hésita.  Et puis laisse échapper un "Mais..." 

Agnès l'interrompit sévèrement.  

- le mot ‘mais' t'est désormais interdit. Chaque fois que je l'entendrai, il y aura quelques claques sur ton derrière en guise d'avertissement. Est-ce qu'on se comprend ?

- oh!

fit Sylvie et...

- ma...

suivit. Puis elle avala le "mais". 

- oui, Madame Agnès.  Je n'ai plus le droit d'utiliser ce mot !

Paola s'était placée à côté de Sylvie et avait passé sa main sur ses fesses couvertes par la jupe.  

- tes fesses ont eu de la chance que tu n'aies pas réutilisé le mot, n'est-ce pas, Sylvie ?

- ou... oui, Madame Paola. Oui, de la chance !  

Sylvie s'était empressée de répondre rapidement à la question.

- allez, montrons à tout le monde qu'il y a une nouvelle jeune fille en ville qui a besoin d'être éduquée. Mais peut-être que ce ne sera pas une surprise. Il est possible que certains aient entendu le bruit des claques. Les fenêtres n'étaient pas fermées !

Elle prit Sylvie par la main et la tira jusqu'à la porte d'entrée.  Agnès la suivi.

Elles n’ont pas remarqué à quel point Sylvie rougissait. Il ne lui était pas venu à l’idée que d'autres que Paola aient pu entendre les claques sur ses fesses ainsi que ses gémissements et ses cris.  Elle se doutait bien sûr que si c’était le cas, la rumeur ne tarderait pas à se répandre rapidement.

Sylvie n'osa pas résister, même s'il était inimaginable pour elle de quitter la maison dans cette tenue.  Mais le pire, c’est quand Paola lui a pris la main et lorsqu’elles sont arrivées sur le trottoir, Agnès a attrapé l’autre main.  Sylvie se sentait comme une petite fille promenée par ses parents par la main.  Elle priait intérieurement pour qu'ils ne rencontrent personne.  Du moins personne qui la connaisse.

Bien sûr, c'était presque impossible car il faisait beau et il y avait beaucoup de monde.  De plus, elle connaissait presque tous les habitants.  Après tout, elle avait grandi ici, était allée à l'école et avait été médecin pendant quelques décennies.

Elle essaya timidement de retirer ses mains de celles des "parents".  Mais Agnès siffla 

- ne t’avise pas de faire ça, ou il y aura un avertissement sur tes fesses !

Bien sûr, Sylvie ne voulait pas ça non plus, alors elle a accepté son sort.

Heureusement, ils n'ont rencontré personne qui la connaissait assez bien pour entamer une petite conversation.  Mais tous ceux qu'elles ont croisées lui on dit bonjour et ont même fait référence à l'ancien médecin qu’elle était en la saluant par son titre et son nom.  Et bien sûr Sylvie devait dire bonjour.  Elle était consciente qu'elle rougissait à chaque fois.  De plus, elle avait la forte impression que les gens la regardaient d'une manière étrange, voire moqueuse.

Néanmoins, Sylvie s'habituait lentement à la situation.  "C'est comme ça quand tu redeviens une petite fille, mais tout le monde sait que tu as atteint tes 70 ans."

Soudain Paola eu l'idée de manger une glace et s'est dirigée vers l'unique glacier du village.

Et Sylvie a oublié qu'elle n'avait pas le droit de dire « mais ».

- Pardon !  

Agnès s'est arrêtée.  Elle a lâché la main de Sylvie et lui a ordonné 

- tu te penches et tu tends bien tes fesses. Tout de suite. Et je le répète... tais-toi !

Sylvie n'a pas réfléchi.  Elle a été si surprise et intimidée qu'elle a obéi sur-le-champ.  Paola lui lâcha la main et recula d'un pas pour observer l'affaire de près.

Sylvie se tenait les genoux fléchis, les mains appuyées dessus.  Et cela sur le trottoir, au milieu du village.

 Elle sentit Agnès soulever le bas de sa robe.

- non!!  

Elle respirait, mais était pétrifiée.  Et puis elle a crié « aïe » exactement quatre fois, parce qu'Agnès lui a donné deux grandes claques sur chaque fesses avec la paume de la main, puis elle a lâché l'ourlet de la jupe et a dit très calmement 

- tu peux te relever. J'espère que c'était le dernier rappel nécessaire sur cette promenade, ma chérie !

- oh oui, Madame Agnès. Oui, le dernier !... Dernier avertissement. Oui, Madame Agnès !   

Les deux dame-parents la reprirent paôr la main et bientôt elles arrivèrent devant leur  glacier.  Sylvie avait regardé timidement autour d'elle, heureusement personne n'avait remarqué ce moment très gênant.

 Elles rentrèrent dans la boutique, il n'y avait personne sauf la vendeuse, une très jeune femme d'à peine 20 ans. C'est Paola qui parla.

- que veux tu comme glace Agnès ?

Celle-ci choisi les parfums pistache et chocolat, la vendeuse souriait en regardant les trois dames, un peu surprise par celle du milieu qui était la plus âgée mais habillée comme une gamine et qui ne disait rien. Paola continuait. 

- bien, pour moi ce sera menthe, chocolat et pour Sylvie vanille, fraise.

Sylvie releva la tête et regarda sa jeune voisine. Elle ne put s'empêcher de protester, elle détestait la fraise. 

- euh, non madame Paola, pas fraise. 

- c'est ce qui convient aux gamines, cesse de faire des caprices. 

- mais...

Sylvie se rendit compte trop tard qu'elle venait de prononcer le mot interdit. Agnès la regarda sévèrement et lui lâcha la main. Elle désigna une petite table. 

- mets tes mains là, vite !

Sylvie était pétrifiée mais elle obéi. Elle était légèrement penchée vers l'avant, ses fesses tournées vers la vendeuse. Elle n'osait pas imaginer ce qui allait arriver. 

- décidément ma chérie, je pense que le premier avertissement n'a pas suffit, je vais être plus persuasive. 

Elle souleva à nouveau la jupe, la retroussant largement sur les reins. Sylvie retenait son souffle, la jeune vendeuse regardait la scène. La petite culotte blanche tendue sur les fesses par la position rentrait légèrement dans la raie fessière. Mais Sylvie poussa un petit cri en sentait les doigts de sa nouvelle maman, saisir la ceinture. 

- noon madame Agnès, pardon. 

Agnès en souriant, regardait Paola et la jeune femme. 

- notre petite Sylvie a besoin d'une leçon. 



La culotte descendit lentement, Agnès la baissa juste sous les fesses. Elles étaient encore un peu rouges des fessées précédentes, les traces laissées par le martinet était bien visibles sur l'arrière des cuisses. 

- aïe aïe aïe non maman pardon. 

Agnès avait commencé à claquer les fesses tendues, elle ne se contenta pas de quatre claques cette fois-ci. Une vingtaine de claques retentirent sur le fessier si bien présenté. Puis  calmement Agnès remonta la culotte sur les fesses rouges et remis la jupe en place.

- voilà ma chérie, j'espère que tu as compris. 

Puis se tournant vers la jeune vendeuse. 

- je suis désolée de vous avoir imposée ce spectacle mais la punition doit être immédiate en cas de désobéissance. 

La jeune femme souriait toujours, sa mère l'avait fessée jusqu'à son adolescence, elle savait donc ce que c'était qu'une fessée cul nu comme disait sa mère quand elle la troussait et la déculottait. Mais ce qui était plus surprenant c'est que la dame qui avait reçu la fessée déculottée, avait l'âge de sa grand-mère et qu'elle était habillée comme une gamine avec une jupe courte et une petite culotte blanche en coton. Elle la regardait maintenant d'un air différent, elle lui tendit sa glace vanille, fraise et soudain elle reconnut Sylvie. 

- mais vous êtes le docteur Bouger, vous ne vous rappelez certainement  pas de moi, mais moi, je m'en souviens. Ma mère m'avait administré une fessée cul nu dans votre cabinet un jour que je vous avais mal parlé, je devais avoir 12 ans. Aujourd'hui c'était à votre tour de me montrer vos fesses. 

Sylvie se rappelait très bien de cet incident. Elle reconnut également la jeune fille qui n'avait pas beaucoup changé. Paola intervint. 

- votre maman était adepte des méthodes traditionnelles ?

- oh oui, je n'en suis pas morte vous savez. D'ailleurs quand je fais du baby-sitting  les gamines ont droit à la fessée si elles n’obéissent pas.

Les deux amies se jetèrent un regard complice. 

- vous faites du baby-sitting, ça pourrait nous intéresser, donnez moi votre numéro de téléphone. 

- pas de problème, je m'appelle Ophélie. 

Dès qu'elles furent sur le trottoir, Agnès s'adressa sévèrement à Sylvie. 

- nous allons avoir à parler de ton comportement dès notre arrivée à la maison ma chérie. 

Quand elles furent rentrées, Agnès demanda à Sylvie si elle avait des haricots secs et lui demanda de les lui apporter, puis elle alla chercher des feuilles de papier et un stylo dans le bureau, qu'elle déposa sur la table. Elle prit les haricots qu'elle disposa sur une chaise puis elle s'adresse à Sylvie. 

- viens ici et tourne toi !

Sylvie obéit immédiatement, Agnès lui retroussa la jupe et la coinça dans la ceinture puis elle baissa rapidement la culotte jusqu'au genoux. 


Les fesses de Sylvie portait encore les traces des fessées précédentes. 

- ma chérie, je suis très mécontente de toi, tu as eu deux avertissements cet après midi. En punition tu vas poser tes petites fesses sur la chaise et tu vas copier 20 fois la phrase suivante "Je ne dois plus jamais désobéir à Paola ou Agnès, sinon je recevrai une bonne fessée cul nu"

Sylvie posa délicatement ses fesses sur la chaise, elle ne put retenir une grimace, le contact direct des haricots secs avec ses fesses nues était très désagréable. Paola se mit à rire. 

- notre petite Sylvie a mal à son petit derrière. 

Agnès souriait également.

- ça va lui rappeler qu'il faut être sage. 

Posant la feuille de papier devant elle, Paola l'a exhortée à écrire très bien et à ne pas faire de ratures.

- oui, Madame Paola. Pas de ratures et bien écris, c’est promis.

Agnès ajouta d'un ton sévère.

- je vais barrer les lignes qui ne me conviendrons pas et tu devras les réécrire, deux fois. … Et maintenant nous allons te laisser tranquille. Appelle-nous quand tu as fini. Nous allons nous asseoir un peu sur la terrasse et parler, mais nous ne fermerons pas la porte. Comme ça nous t’entendrons.

Elles quittèrent le salon.  Agnès s'est assise sur la terrasse et Paola a pris du pastis, de la glace et une carafe d'eau en verre dans la cuisine de Sylvie.

Les choses n'étaient pas si roses pour Sylvie.  Les haricots s’enfonçaient dans son derrière endolori.  Elle essaya de mettre ses mains sur la chaise pour relâcher la pression.  Mais ce n'était pas possible avec une seule main et il lui en fallait au moins une pour écrire. Elle n'osait pas se lever de sa chaise et écrire debout.  Bien qu'Agnès ne l'ait pas spécifiquement dit, Sylvie savait qu'il lui était interdit de le faire.

Donc, la seule chose qui lui restait était d'essayer d'être courageuse et d'en finir rapidement avec ses lignes à copier, mais en écrivant correctement.  Après chaque ligne, elle devait essuyer les larmes de ses yeux avec le dos de sa main.

Pendant ce temps, ses deux dames sirotaient leur pastis. 

- connais tu aussi l'après-réchauffement au coucher, Agnès ? 

Paola avait entendu parler de cette tradition anglaise qui n’avait pas de terme spécifique en français et elle voulait se renseigner

- ah tu veux dire comme punition finale pour les filles qui ont été punies pendant la journée ?  

Agnès sourit.  

- bien sûr que je le sais. Une amie de ma mère travaillait dans un orphelinat comme infirmière de nuit."

- ah ! Et ils pratiquaient le réchauffement ou quelque chose comme ça, là-bas aussi, Agnès ?

- bien sûr ! Mais comme c'était un grand orphelinat et qu'ils ne voulaient pas écrire toutes les punitions pour l'infirmière de nuit, ils avaient imaginé un rituel très pratique.

Agnès sourit au regard curieux de Paola et voulut la taquiner un peu.  C'est pourquoi elle s'est tue.

Paola était très impatiente et dit avec impatience. 

- Agnès, s'il te plaît, raconte-moi tout ! Ne me taquine pas !

Agnès était gentille, elle se mit à raconter. Le soir, lorsque l'infirmière de nuit faisait sa première ronde et entrait dans un dortoir, toutes les filles devaient se tenir devant leur lit et s'appuyer dessus avec leurs mains.  Avant de le faire, bien sûr, elles avaient baissés leur culottes de pyjama jusqu'aux chevilles. Elles devaient également s'assurer que leurs vestes de pyjama ne couvrent pas leurs fesses nues.  L'infirmière de nuit décrochait une lanière de cuir qui était attachée juste à côté de la porte.  Puis elle faisait lentement le tour des douze fesses qui étaient tendues vers elle.

Bien sûr, il lui était facile de dire, d'après la couleur des fesses des filles ou des marques visibles sur celles-ci, lesquelles des filles avaient été punies pendant la journée.



Chaque fille, bien sûr, connaissait l'état de ses fesses.  Et si ses fesses étaient douloureuses, elle pleurait généralement déjà lorsque l'infirmière de nuit venait l'examiner.  C'était d'autant plus probable qu'elle était la plus éloignée dans la rangée des fesses, car elle avait déjà dû écouter ses compagnes d'infortune se faire fesser.

L'infirmière de nuit ne faisait généralement aucun commentaire, mais se contentait d'administrer une série de claques avec la sangle sur la croupe tendue. 

Elle se laissait guider par l'intensité des rougeurs sur les fesses.  Plus elles étaient rouges, plus la fille méritait de claques.

Bien sûr, elle épargnait les filles aux fesses blanches.  Mais tout le monde devait rester dans la position courbée tout le temps jusqu'à ce que le dernier derrière soit traité.

Puis elle se dirigeait vers la porte et remettait la sangle sur le crochet et disait.

- bonne nuit les filles

Elle attendait des réponses, celle-ci était  plus ou moins larmoyantes, puis elle  éteignait la lumière et quittait le dortoir pour aller au suivant.

Ce n'est qu'ensuite que les filles se levaient.  Comme l'infirmière de nuit ne revenait pas tout de suite, elles pouvaient frotter et caresser les fesses maltraitées de leurs compagnes de chambre puis remonter leur bas de pyjama.  Ensuite tout le monde regagnait son lit.

- Waouh

s'est exclamée Paola.  

- quel rituel bien pensé. Je suppose que les filles tenaient à ne pas avoir à présenter des fesses rouges à l'infirmière de nuit le soir !

Agnès rit et dit 

- nous allons certainement savoir si la grand-mère de Sylvie connaissait aussi un tel réchauffement au coucher !

- mais même si ce n'est pas le cas. On ne va pas s'en passer, n'est-ce pas ? 

Paola sourit et Agnès lui fit un clin d'œil.

Sylvie avait fini ses lignes, elle appela doucement Agnès. 

- s'il vous plaît madame Agnès, j'ai fini. 

Elle n'osait pas se lever mais les haricots appuyait vraiment douloureusement sur son petit derrière. Agnès et Paola avaient entendu, elles arrivèrent rapidement. Agnès la regarda en souriant. 

- j'espère que tu t'es appliquée. Lève toi qu'on puisse voir tes jolies fesses. 

Sylvie ne se fit pas prier, elle se leva immédiatement et se tourna pour présenter ses fesses. Elles étaient encore bien rouges, le contact des haricots avaient entretenu la couleur, on voyait la trace sur les fesses, des petits creux qui faisait ressembler chaque fesse à une grosse balle de golf rouge. Paola se mit à rire, elle enleva quelques haricots qui étaient restés collés. Elle écarta même les deux fesses car quelques uns étaient rentrés dans la raie fessière. Cet examen était humiliant, surtout que Paola prenait son temps, ses doigts écartaient largement les fesses de sa nouvelle fille. 

- alors ma petite chérie, on a eu mal à  son petit cucul. 

Elle se tourna vers Agnès pour expliquer cette nouvelle expression. 

- on utilise cucul ou derrière, c'est un peu comme bootie en anglais. Pour une dame c'est un peu gênant et moqueur, mais c'est vraiment le terme qui convient pour parler des fesses bien rouges de notre petite Sylvie désobéissante. N'est ce pas ma chérie ?

Elle avait fini d'examiner les fesses et elle lui avait administré une petite claque. Pendant ce temps, Agnès lisait attentivement la copie de Sylvie. Elle avait pris un stylo, elle fronça les sourcils et raya trois lignes. Elle saisit Sylvie par l'oreille et lui désigna la feuille. 

- je t'avais prévenue, tu vas te rasseoir et me recommencer ces trois lignes mais deux fois chacune. Tant pis pour tes fesses. Elle avait accompagné ces paroles par deux claques magistrales sur chaque fesses.

Sylvie résignée se rassit sur sa chaise de punition en grimaçant. Agnès et Paola restèrent dans la pièce pour la regarder écrire. C'était assez excitant de voir cette dame d'âge mûr, cul nu sur sa chaise, se tortiller pour atténuer la douleur et tenir son stylo comme une écolière appliquée. La deuxième copie fut jugée satisfaisante par Agnès. Sylvie put enfin quitter sa chaise de punition, elle fut autorisée à remonter sa culotte, bien sûr Paola lui avait examiné soigneusement les fesses avant, elle avait glissé ses doigts entre les fesses, provoquant la gêne de Sylvie, ce qui lui avait attiré une remarque moqueuse de la jeune femme. 

- oh ce n'est pas la peine d'être gênée ma petite chérie, je connais bien tes fesses maintenant et je crois bien que j'aurai l'occasion de les examiner souvent .

Agnès posa à nouveau des questions à Sylvie sur la façon dont sa grand-mère la punissait. 

- dis moi ma chérie, quand tu avais été punie, comment se passait la soirée ?

Sylvie expliqua que souvent bien sûr elle passait beaucoup de temps au coin fesses à l'air et que quand elle allait se coucher sa grand-mère examinait ses fesses en lui relevant sa chemise de nuit car à l'époque les jeunes filles ne portaient pas de pyjama, elle n'avait pas le droit de garder une culotte pour la nuit. Sa grand mère lui faisait toujours un bisou en lui caressant les fesses. Paola fit une petite grimace, pas de fessée au coucher. Agnès lui fit un petit clin d'oeil. 

- je suis sûr que l'heure du coucher n'a pas toujours été si agréable.

Lorsque Sylvie entendit cette remarque, elle tressaillit et rougit profondément.

- oh s'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'y ai vraiment pas pensé. Cela m'est sorti de l'esprit. Je ne voulais vraiment rien cacher. Honnêtement ! Vraiment ! Pas cette fois !

Les deux amies se regardèrent un peu surprises. Puis elles se tournèrent toutes deux vers leur pupille. 

- qu'y a-t-il, ma petite Sylvie ?

Agnès l'attira contre elle et l'assit sur ses genoux. Bien sûr, Sylvie se mit à gémir car s'asseoir n'était pas très agréable à ce moment là. 

Mais quand Agnès a commencé à lui caresser le cou, elle s'est un peu détendue.

- calme-toi, ma chérie. Dis-nous juste ce qui t'est sorti de l'esprit !

Sylvie s'est efforcée de le décrire de la manière la plus factuelle possible, mais il était facile de voir, d'après le tremblement de sa voix, qu'elle était très inquiète. Agnès sentait même sur ses cuisses que les fesses qui reposaient dessus se resserraient régulièrement.

Ce que Sylvie rapportait du rituel du soir de sa grand-mère rappelait en partie ce qu'Agnès avait dit précédemment à Paola sur les fonctions d'infirmière de nuit à l'orphelinat.

Bien que sa grand-mère sache bien que Sylvie avait été punie pendant la journée, elle insistait pour vérifier les fesses de la petite Sylvie, les rougeurs et les marques.

Bien sûr, Sylvie savait aussi ce que donnerait le résultat d'une telle inspection, car on ne peut pas oublier de telles punitions.

Donc s'il y avait des punitions pendant la journée, la règle de la grand-mère disait qu'une rémanence était nécessaire.

- une quoi?

Paola ne connaissait pas cette expression. 

- une rémanence, Madame Paola. Tout simplement une autre fessée avec la paume de la main couchée son genou. C'était là pour rafraîchir la cuisson et les douleurs de la journée. Elle l'appelait aussi parfois "traitement de perspicacité et de pardon". C'est parce que pendant la fessée, qui n'était pas très sévère, elle me demandait si je regrettais mes bêtises et si je pensais que les punitions étaient bien méritées. Ça me faisait pleurer et même crier souvent, sans parler des contorsions de mes fesses et du battement de mes jambes. Mais la chose agréable, c'est que grand-mère finissait toujours par me serrer dans ses bras et me pardonner, puis elle me mettait dans le lit et me bordait.

- oh, ta grand-mère devait t'aimer beaucoup, Sylvie. Elle s'est donnée tant de mal avec toi.

Paola semblait touchée et excitée.

- oui, je le pense aussi. Une femme très responsable ! 

ajouta Agnès. Mais ensuite elle continua un peu pensivement 

- mais on aime aussi notre petite Sylvie, n'est-ce pas, Paola ? Et on est aussi très responsables envers elle !

Paola la regarda d'un air interrogateur. 

-tu veux dire qu'on devrait reprendre la rémanence de la grand-mère de Sylvie ?

Sylvie n'avait montré aucune réaction. Elle savait depuis plusieurs minutes que ça allait arriver. Et même si elle ne voulait pas être fessée à nouveau, elle se souvenait parfaitement à quel point le pardon avait été merveilleusement rédempteur à la fin. Ce sentiment compensait largement dans son souvenir la douleur précédente. Et elle ne doutait pas qu'il en serait autrement avec ses deux nouvelles mamans. D'une certaine manière, c'était presque comme si elle attendait avec impatience le «traitement de perspicacité et de pardon».

Il a donc été décidé qu'une telle rémanence aurait lieu juste après le dîner. Sylvie devrait se préparer pour aller au lit puis attendre ses mamans en pyjama dans sa chambre. Bien sûr, son nez devrait être contre le mur et sa culotte de pyjama descendue jusqu'aux genoux.

Et c'est exactement comme ça qu'était Sylvie dans sa chambre à neuf heures et quart du soir. Bien sûr, ses mains étaient sur sa tête, même si ses mamans ne l'avaient pas explicitement mentionné. Avec des sentiments très mitigés, bien sûr. Parce qu'elle savait qu'avant le pardon son pauvre derrière encore sensible aurait à souffrir.

Au bout d'un moment, elle entendit des pas, la porte s'est ouverte et quelqu'un est entré, sans aucun doute, il n'y avait qu'une seule personne. Pourtant, Sylvie n'osait pas se retourner et regarder.

Elle entendit la personne s'asseoir sur le lit, puis la voix de Paola a dit 

- tu es vraiment obéissante maintenant, Sylvie. Viens ici !

Sylvie obéit aussitôt. Mais ses mains restèrent là où elles étaient.

Paola remarqua le trouble sur le visage de Sylvie. Elle se mit à rire. 

- madame Agnès voulait prendre des notes pour son rapport. Elle m'a demandé de démarrer la rémanence moi-même, elle nous rejoindra bientôt.

Elle lissa sa jupe courte, qui laissait encore voir les deux tiers de ses cuisses puis elle tapota ses genoux et demanda poliment.

- est-ce que ma chère Sylvie veut bien s'allonger sur mes genoux maintenant ?

Sylvie rassembla tout son courage et dit 

- est-ce que... je dois toujours vous appeler Madame Paola et Madame Agnès ? Cela ne me convient pas !

- ah bon!  Qu'est-ce qui te plairait mieux Sylvie ?

Sylvie fut ravie que Paola lui réponde amicalement et n'ait pas l'air contrariée.

- quelque chose comme maman ou autre chose comme ça. Je pense que ça irait mieux !

Paola réfléchit un instant. 

- et bien, nous devrons en discuter avec Madame Agnès bien sûr. Mais je ne pense pas qu'elle sera gênée si tu l'appelle maman Agnès. Et puis tu pourras... alors... eh bien, je serai tante Paola !

Le visage de Sylvie rayonna. 

- oh merci ! Merci beaucoup, tante Paola ! Merci !

Elle se jeta sur les genoux de Paola avec tant d'élan que Paola dû la rattraper pour qu'elle ne glisse pas de ses genoux et tombe à côté du lit.

Elle remonta la veste de pyjama sur le dos de Sylvie. Le postérieur bien rouge et encore sensible était maintenant exposé à son regard. Elle le caressa de sa main droite. "Encore assez chaud", pensa-t-elle. "Ça va rebrûler rapidement, même si je fais attention !



Elle n'a pas hésité longtemps néanmoins, un grand claquement retenti quand sa main atteignit la fesse droite de Sylvie.

- maintenant raconte-moi tous les bêtises  et omissions de la journée pour lesquels tu as dû être punie, Sylvie ! 

Paola avait l'air calme, voire amicale. Elle se rendit compte immédiatement que tout ce que Sylvie avait raconté sur sa grand-mère était vrai. La dame mûre redevenue une gamine, couchée  sur ses cuisses à demi nues, n'oubliait rien 

Elle parla de ses mensonges, de ses oublis, déclara que les châtiments avaient été bien mérités et nécessaires. Elle a expliqué à quel point elle était désolée pour ses actes répréhensibles et à quel point il était inacceptable qu'elle ait agi de manière si immature que cela nécessitait le genre de punitions infligées aux petites filles. Elle a également avoué qu'il était logique que ces punitions aient été appliquées sur ses fesses nues. 

Tout cela jaillissait d'elle presque sans interruption, la main de Paola giflait une fesse après l'autre, elle utilisait un rythme très lent. Il y avait toujours environ trente secondes entre chaque claque 

Même si Sylvie a essayé au début de prendre les claques aussi stoïquement que possible, elle a rapidement été forcée d'insérer un « aïe » ou un « aïe, aie » occasionnel dans son discours. L'une ou l'autre de ses jambes se levait régulièrement. La rougeur et la brûlure se sont effectivement ravivés très rapidement, bien que les coups aient été administrés plutôt lentement et pas particulièrement fortement. Sylvie était bien consciente que Paola aurait pu certainement frapper beaucoup plus fortement.

Nonchalamment, Paola posait parfois des questions pour avoir des éclaircissements, et Sylvie s'excusait alors toujours de ne pas s'exprimer assez clairement. Bientôt les premières larmes commencèrent à couler, que Sylvie tenta timidement d'essuyer du revers de la main. Les larmes n'étaient pas principalement dues à la douleur, ni à la honte de la situation. Elles étaient plutôt le résultat d'une certaine émotion. Elle ressentait de la gratitude d'avoir été autorisée à se débarrasser de tout ce poids de culpabilité et que Paola prenne la peine de l'écouter.

Et elle était particulièrement reconnaissante que tante Paola ait également accepté de l'éduquer. De plus, elle était manifestement disposée à faire de même à l'avenir une fois que sa nouvelle maman serait partie. Elle serait toujours sa tante stricte mais aimante.

Puis maman Agnès apparut dans la chambre, elle s'assit sur le lit à côté de Paola. Elle se rapprocha de Paola, ce qui fit reposer la tête de Sylvie sur ses genoux. Elle passa sa main dans les cheveux de Sylvie et lui caressa également la nuque.

Paola demanda alors à Sylvie de tout redire à maman. Et pendant ce deuxième rapport sa main continua le traitement douloureux non seulement des fesses mais aussi du haut des cuisses avec une lenteur exténuante.

Maintenant, les "Ow" et "Ouch" sont devenus des gémissements des cris plus perçants. C'était très embarrassant pour Sylvie, car elle ne voulait pas se plaindre ni même pleurnicher. Elle méritait chaque claque. Elle l'avait déjà admis et le pensait vraiment. Mais comme le dit le dicton, "L'esprit est bien disposé mais la chair est faible !"

Maman Agnès écoutait patiemment et attentivement, elle continuait à caresser. Elle ne se plaignait pas non plus du débit inégal de la parole. Elle devinait à quel point les fesses de Sylvie brûlaient à nouveau.

Ce n'est que lorsque Sylvie eut répété le rapport en entier pour la deuxième fois qu'elle laissa échapper la première plainte pendant la rémanence. 

- s'il vous plaît, s'il vous plaît maman Agnès, s'il vous plaît tante Paola, s'il vous plaît, ça fait tellement mal!

Agnès dit avec un sourire.

- mais on le sait, ma chérie !

Mais elles n'ont pas répondu autrement à cette plainte.

Au lieu de cela, Paola expliqua à Agnès  pourquoi Sylvie les appelait désormais maman et tante. Agnès fut très contente de cette nouvelle façon de s'adresser à elle et accepta immédiatement 

Même pendant cette petite conversation, la main de Paola poursuivait son activité éducative.

Et cela n'a pas varié quand le pardon est venu. Tante Paola, mais surtout maman Agnès, donnèrent l'absolution à Sylvie qui désormais pleurait à chaudes larmes. Elles devaient tous les deux parler très fort pour étouffer les cris désespérés et les sanglots de Sylvie.

En conclusion, il y eu le sprint final, si on peut dire, Paola accéléra le rythme de ses claques pendant un peu moins d'une minute et en donnant plus d'élan à chacune d'elles.

Sylvie hurlait et se tordait comme une anguille. Ses jambes ont cessé de donner des coups de pied et sont restées dressées aussi haut qu'elles le pouvaient.

Puis la main de Paola se posa enfin sur ses fesses rouges. Ni la maman ni la tante n'ont dit un mot. Elles écoutèrent les supplications et les cris de Sylvie et attendirent que leur petite chérie se calme. Ce n'est que lorsqu'elle a commencé à sangloter bruyamment et que la vigueur de ses tortillements et de ses coups de pied eurent diminué de manière significative qu'elles remirent Sylvie sur ses pieds.

Cette fois, elle ne lui ont rien dit alors qu'elle commençait à se frotter et à pétrir furieusement ses fesses.

Tous deux regardaient en souriant jusqu'à ce que Sylvie réalise soudain ce qu'elle faisait. Ses mains se levèrent immédiatement et se posèrent sur sa tête.

- Oh ! Oh désolé ! Oh je ne voulais pas ! Oh mais ça fait tellement mal ! S'il vous plait, pardonnez-moi maman ! Tante !

Elles lui ont tous deux pardonné, puis Agnès l'a portée sur le lit et l'a bordée. Puis elle s'est penchée sur la dame de 70 ans et l'a embrassée sur le front. Elle lui a chuchoté.

- dors bien chérie ! 

- merci, maman Agnès ! 

sanglota Sylvie. Mais on pouvait entendre à quel point elle était heureuse à ce moment là. Puis elle a également reçu un baiser de tante Paola.

Toutes deux quittèrent la chambre de Sylvie en éteignant la lumière mais en laissant la porte entrouverte. Comme le faisait grand-mère autrefois. Sylvie était encore bien trop désemparée pour penser à la façon dont les deux étaient au courant, puisqu'elle ne leur avait rien dit à ce sujet.

Bientôt les sanglots s'arrêtèrent aussi, bien que les larmes continuaient à couler, puis Sylvie entendit le bruit typique du débouchage d'une bouteille de vin. Ses deux nouvelles éducatrices s'étaient manifestement assises dans le salon pour boire un peu de vin et discuter.

Sylvie ne doutait pas un instant qu'il s'agissait d'elle. Mais elle ne pouvait qu'entendre les voix, pas comprendre les mots.

Sylvie avait très mal aux fesses, le contact de la culotte du pyjama sur sa peau brûlante était très difficile à supporter. Agnès ne lui avait pas dit mais elle le savait puisque sa grand-mère faisait ainsi. Elle devait rester sur le dos afin de mieux ressentir les effets de la punition et bien sûr ne pas frotter ses fesses. C'était sans doute le plus difficile. Elle se souvenait d'une seule fois où elle avait désobéi à sa grand-mère, elle avait soulevé sa chemise de nuit et frotté ses fesses en se tournant sur le côté. Sa grand-mère était rentrée à l'improviste dans la chambre, elle l'avait tirée hors du lit, l'avait recouchée sur ses genoux et lui avait dit d'un ton très calme. 

- nous allons recommencer la fessée de rémanence ma chérie. Puisque tu as frotté tes fesses pour effacer la douleur, elle ne compte pas. 

Elle se doutait bien que maman Agnès ferait la même chose si elle la découvrait en train de baisser sa culotte de pyjama pour frotter son pauvre petit derrière. Il lui fallait attendre qu'elle soit couchée. Elle procédait ainsi avec sa grand-mère, une fois qu'elle avait éteint la lumière après un moment de silence, elle se couchait sur le ventre, retroussait sa chemise de nuit sur ses reins et frottait énergiquement ses fesses douloureuses. 

Les deux amies continuait à boire tranquillement en discutant. Paola était encore excitée par la longue et sévère fessée qu'elle avait administré à sa voisine. Elle aimait Sylvie et elle aimait donner la fessée, son nouveau rôle de tante Paola ne pouvait que lui plaire. Elle interrogea Agnès, est ce que la fessée avait été correcte ?

Agnès la rassura, la fessée avait été parfaite, des claques pas trop fortes mais une très longue fessée qui avait dû  imprégner complètement l'esprit de Sylvie, ce n'était pas une fessée de maman en colère. Puis elle ajouta en souriant.

-  Dans ce cas là, la leçon rentre par les fesses de la punie et pas par ses oreilles. 

Il était temps d'aller se coucher. Paola s'éclipsa et Agnès rejoignit sa chambre. En passant elle jeta un œil dans la chambre de sa nouvelle fille. Sylvie était sagement couchée sur le dos, ses mains posées sur les draps. De légers mouvements montraient qu'elle essayait d'atténuer la brûlure de son postérieur mais elle ne frottait pas ses fesses. Agnès souri, décidément la fessée cul nu a  du bon, même les dames de 70 ans deviennent obéissantes après un séjour sur les genoux la culotte baissée. Elle éteignit la lumière du couloir et referma la porte de sa chambre. Après un moment de silence, Sylvie saisit la ceinture de sa culotte de pyjama et la baissa juste sous ses fesses, c'était un peu moins pratique que la chemise de nuit. Elle se coucha sur le ventre et poussa un soupir de satisfaction en massant son petit cucul endolori. Elle avait un peu honte de désobéir à sa maman mais on ne devient pas une petite fille modèle du premier coup. La cuisson s'atténuait légèrement remplacée par une sensation étrange de plénitude qui lui envahissait le ventre, le clitoris et bien sûr les fesses. Elle s’endormit la culotte baissée en rêvant à ses nouvelles éducatrice.

Ici on a envie de quitter ces trois endormies, mais pas sans la certitude que Sylvie ne pourra pas cacher sa petite tricherie. Plus d'une fois auparavant, elle avait éprouvé douloureusement où ce genre de mensonge pouvait la mener face à la sévérité de maman Agnès.

Bien sûr, Agnès ne put s'empêcher de remplacer immédiatement la douleur intense par une autre avec les intérêts en plus, en claquant encore et encore de sa main sévère sur les fesses encore rouges de sa nouvelle pupille. Mais cependant l'honnêteté de Sylvie à se confesser lui évitèrent le Martinet.

La fin du premier jour



 


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A 70 ans, il n'est pas trop tard

Un nouveau récit très long qui j'espère va vous plaire. Par Agnès et Sylvie.

C'est un récit écrit à deux mains avec une amie Allemande, Agnès. C'est un récit "ping-pong". Chacune écrit une partie et l'autre reprend la suite.

Le récit a été écrit en Anglais, il va être publié sur le site d'Agnès Benniza. J'ai fait une traduction française que je publierai en plusieurs fois car ce récit est assez long.





Agnès et Sylvie

Depuis qu'elle vivait seule dans sa grande maison, Sylvie s'ennuyait un peu. Elle ne s'était jamais préoccupée des tâches matérielles et maintenant elle était un peu débordée. Toute sa vie elle l'avait consacrée à son métier de médecin et maintenant à 70 ans, son mari disparu, sa fille habitant à l'autre bout de la France, elle se laissait aller. Ses amies et sa jeune voisine Paola essayait bien de la stimuler, rien n'y faisait.

Par contre elle était une habituée d'internet où elle pouvait passer des heures. Elle y avait fait la connaissance d'Agnès qui était une femme énergique un peu plus jeune qu'elle. Lors de leurs discussions, Agnès n'avait pas caché à Sylvie qu'elle était adepte des méthodes traditionnelles pour éduquer ou rééduquer les dames jeunes ou moins jeunes. Elle avait si bien sympathisé que Sylvie afin de meubler sa vie avait invité Agnès à passer une semaine de vacances dans sa grande maison du sud de la France.

Ça lui changerait les idées pensait elle. Cependant ce lundi matin en allant chercher Agnès à la gare, une petite inquiétude gagnait Sylvie. Comment Agnès allait prendre sa nonchalance qui pouvait même être de la paresse de temps en temps. Bon la maison était à peu près en ordre puisque la femme de ménage était passée hier. Son bureau était dans un désordre indescriptible et sa chambre pas rangée mais c'était un détail.

À l'exception de l'âge, elles n'avaient rien échangé sur l'apparence, la taille ou tout autre choses sur leur apparence physique lors de leurs conversations. Pas de photos envoyées non plus. Néanmoins, Sylvie reconnut immédiatement Agnès sur le quai. Cette grande dame fortement bâtie dans son tailleur-pantalon gris foncé très élégant et extrêmement moulant devait être Agnès. Lorsque ses yeux gris-bleu tombèrent sur Sylvie, elle sembla la reconnaître elle aussi, car elle lui adressa un sourire complice mais prudent. Elles allèrent à la rencontre l'une de l'autre  Alors qu'elle s'approchait, Agnès regarda attentivement son hôte. Lorsqu'ils se serrèrent la main à la germanique, Agnès dit sérieusement.

- tu t'es vraiment laissé aller, ma chérie !

C'est exactement ce que Sylvie pensait en voyant l'apparence élégante d'Agnès. Elle se sentait complètement négligée avec ses vêtements décontractés. Elle rougit en regardant Agnès, ce n'était que le premier rougissement, de nombreux allaient suivre, elle a baissé les yeux.

- tu as raison, Agnès.

murmura-t-elle, embarrassée.

Agnès n'avait pas l'intention de la laisser s'en tirer comme ça. Une main apparut dans le champ de vision de Sylvie et un index se replia sous son menton, la forçant à lever la tête et à regarder droit dans les yeux perçants d'Agnès.

Le simple fait qu'elle doive regarder Agnès, qui mesurait plus d'une demi-tête qu'elle, la faisait se sentir minuscule. De plus, le doigt sous son menton l'avait instantanément transformée en une jeune écolière réprimandée. Un sentiment qu'elle n'avait pas ressenti depuis des décennies.

D'un ton un peu sévère mais toujours souriant, Agnès ajouta.

- il va falloir travailler là-dessus, n'est-ce pas, chère Sylvie ?

Le rougissement augmenta jusqu'à devenir vraiment visible sur les joues de Sylvie, dont le regard était capté par les yeux gris-bleu. Elle murmura à nouveau,

- tu as raison, Agnès !

Le front d'Agnès se plissa légèrement lorsqu'elle demanda.

- qu'as-tu dit, Sylvie ?

Celle ci, ainsi réprimandée dut s'éclaircir la gorge. Puis elle dit plus fort.

- oui, Agnès, nous allons devoir travailler là-dessus, je suis désolée !

D'une certaine façon, cela lui rappelait  son enfance, lorsque vous répondiez, vous deviez toujours inclure une partie de la question pour montrer que vous compreniez qui détenait l'autorité. C'est du moins ce qu'on lui avait appris quand elle était petite.

D'un seul coup lui sont revenues des images de son enfance. Sa mère n'était pas sévère, elle était même plutôt laxiste, ce qui pouvait expliquer le caractère de Sylvie, par contre sa grand-mère était une dame très stricte d'une génération où les enfants devait être bien élevé et elle pouvait utiliser pour se faire obéir des techniques anciennes mais aux qualités éprouvées. Lors des vacances chez sa mamie, Sylvie avait goûté de nombreuses fois à l'humiliation de la fessée déculottée et ceci jusqu'à son adolescence. Elle pensait que sa mère y avait goûté également, certainement jusqu'à son mariage, le martinet suspendu dans la cuisine bien en vue ne laissait pas de place au doute.

En découvrant Agnès, Sylvie avait revu immédiatement le visage de sa grand-mère qui pouvait être douce et sévère à la fois. Ces sentiments bouillonnaient dans sa tête tandis qu'elle accompagnait son amie à sa voiture.

Malgré son pantalon mal repassé, Agnès en la suivant eu le regard attiré par les fesses de Sylvie, elle était sportive et malgré ses 70 ans on sentait qu'elle s'entretenait physiquement, bien que plus petite qu'Agnès elle avait une magnifique paire de fesses. Le balancement de ce derrière attira un léger sourire sur les lèvres de la maîtresse femme.

Elles arrivèrent rapidement chez Sylvie qui habitait à la campagne, une grande maison avec un jardin clôturé et une piscine. Paola la jeune voisine de Sylvie prenait son courrier dans sa boîte aux lettres, elle leur fit un signe amical. Agnès s'enquit.

- qui est cette jeune femme ?

- oh, c'est Paola ma voisine, son jardin est mitoyen du mien, elle s'occupe bien de moi quand je m'ennuie.

- elle à l'air très énergique. Quel âge à t elle ?

- oh pour ça c'est sûr, chez elle ça marche droit. Elle a 35 ans.

Sylvie gara la voiture et fit entrer Agnès. Elle était inquiète, comme une gamine devant passer un examen. Le regard d'Agnès fit rapidement le tour de la maison.

- tu as une belle maison, tu me fais visiter.

Sylvie rougit légèrement, elle pensa au désordre de son bureau et à sa chambre. Elle regarda Agnès, avec son air strict et sa tenue impeccable elle n'apprécierait certainement pas ça. Mais après tout elle n'était pas obligée de lui montrer toutes les pièces.

Agnès était très impressionnée par ce qu'elle voyait. La vue à travers la grande baie vitrée sur la véranda ombragée et le jardin aux allures de parc très bien entretenu était magnifique. Sylvie s'est abstenue de mentionner que le jardin n'était pas son domaine d'activité, mais celui d'une entreprise d'entretien de jardin. Elle ne lui a pas dit non plus que l'ordre et la propreté qui régnait dans les chambres résultait du travail de la femme de ménage. Elle était satisfaite des éloges de sa nouvelle amie, mais une certaine culpabilité l'envahissait.

Sylvie essaya d'éviter la porte de son bureau, mais elle semblait bien trop inquiète pour ne pas laisser voir à Agnès qu'elle essayait de lui cacher cette pièce.

- qui a-t-il derrière cette porte ?

demanda-t-elle, intéressée et même un peu suspicieuse.

- Oh ! Oh ! Juste… juste mon bureau. Peu importe. Allez, je vais te montrer la chambre d'amis, Agnès !"

Agnès lui fit un clin d'œil et lui demanda

- comment ça ? As tu quelque chose à me cacher, Sylvie ?

Elle saisit la poignée et ouvrit la porte du bureau.

- oh! S'il te plaît…

Encore une fois, Sylvie rougit jusqu'à la racine des cheveux. Mais Agnès était déjà entrée.

- c'est quoi ce bazar ici ?

gronda-t-elle.

- tu m'as parlé de ta grand-mère stricte. Que t'aurait-elle fait si elle avait vu une chose pareille, ma chérie ?

C'était une question purement rhétorique car d'après le ton il était clair qu'elle avait déjà une assez bonne idée de la réaction de la grand-mère de Sylvie.

Et Sylvie le savait aussi. Ses fesses se serrèrent immédiatement d'appréhension.

- Ma grand-mère m'aurait peut-être couchée sur ses genoux, Agnès. Oh s'il te plaît. Ne pouvons-nous pas quitter le bureau ?

Agnès ignorant la deuxième phrase lui a demandé avec ironie.

- ta grand-mère aurait fait ça, Sylvie ? Peut-être ? ou certainement, ma chérie ?

Sylvie était de plus en plus rouge, elle baissa les yeux.

- euh… c’est à dire… elle balbutiait comme une élève prise en faute.

 Mais comme à la gare, Agnès la força à la regarder en lui relevant le menton avec son index.

- ma chérie, il va falloir que tu t’habitues à me regarder quand tu me parles, c’est très malpoli, ta grand mère ne te l’as pas appris ?

C’était la deuxième fois qu’Agnès faisait allusion à l’éducation stricte de sa grand mère. Sylvie instinctivement serra à nouveau ses fesses sous sa petite culotte, un léger picotement parcouru son derrière. Sa grand mère lui parlait toujours très calmement avant de la fesser, c’était un retour en arrière très inattendu. Agnès la fixait avec son regard gris bleu qui l’avait tant impressionnée à la gare.

- alors ma chérie, à ton avis ta grand mère t’aurais administré une fessée n’est ce pas ?

- oh oui sans aucun doute !

La phrase était sortie de la bouche de Sylvie sans qu’elle s’en rende compte. Un sourire se dessina sur les lèvres d’Agnès, nous étions sur la bonne voie.

- à quand remonte ta dernière fessée ma chérie ?

Agnès avait dit ça d’un air très naturel, comme si elle lui demandait si elle avait bien dormi. C’était assez curieux de voir cette dame de 70 ans interrogée comme une gamine sur un châtiment enfantin. Sylvie bredouilla.

- oh, je devais avoir 14 ans.

Elle avait répondu sans hésiter, elle était complètement subjuguée par Agnès. Celle-ci toujours souriante ne la quittait pas des yeux.

- et bien ma chérie, nous devons nous dépêcher si nous voulons rattraper le temps perdu.

Elle prit une chaise et la disposa  au milieu de la pièce, elle s'y assis et fit un petit signe à Sylvie avec son doigt replié pour lui signifier de s'approcher. Comme hypnotisé la dame de 70 ans se plaça devant Agnès.

- peux-tu me dire pourquoi tu vas recevoir la fessée ?

Elle avait prononcé cette phrase comme une évidence, comme si il était normal qu'une dame de cet âge puisse recevoir ce châtiment habituellement réservé aux gamines désobéissantes. Les joues de Sylvie étaient aussi rouges que ses fesses après une bonne fessée. Elle articula difficilement.

- parce que…. mon bureau…. n'est pas rangé.

- parfait.

Agnès déboutonna tranquillement le pantalon de toile et le fit glisser jusqu'aux chevilles. Sylvie portait une sage petite culotte en coton blanche, ce qui fit sourire Agnès. Une vraie culotte de petite fille. Elle prit la main de son amie et la força à se coucher en travers de ses cuisses. La culotte moulait parfaitement les fesses tendues par la position. Sylvie avait retrouvé les reflexes de son enfance, elle avait posé ses mains par terre, ses pieds touchaient à peine le sol. Agnès tapota le derrière si bien présenté.

- tu es prête ma chérie ?

Elle n'attendit pas la réponse, sa main glissa sous la ceinture de la culotte pour la baisser. Sylvie poussa un cri.

- oh noon Agnès s'il te plait.

Avec sa main droite, elle essaya de retenir sa culotte. Mais Agnès la frappa brutalement sur les doigts.

- Aie !

s'écria Sylvie. Pas tellement parce que ça faisait mal, mais parce que c'était une surprise. Elle remit rapidement sa main sur le sol. Comment avait-t-elle pu oublier que quand que elle était punie, ses mains devaient rester loin de ses fesses. De plus, essayer d'empêcher la descente de la culotte aurait été considéré comme une rébellion par grand-mère et aurait entraîné une sanction plus sévère.

- Je suis désolée, Agnès ! Je ne le ferai plus !

- C'est une bonne résolution, mon enfant. la félicita Agnès.

Les fesses doivent être nue pour la fessée. C'était différent avec ta grand-mère ?

« Non, non ! Grand-mère avait aussi l'habitude de me déculotter ! Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça. S'il te plaît, pardonne-moi, Agnès !

Les premières larmes coulèrent, mais les mains de Sylvie étaient maintenant collées au sol de sorte qu'elle ne pouvait même pas les essuyer.

- je le pensais bien.

Agnès souriait mais Sylvie ne le voyait  pas bien sûr. Puis elle lui a demandé gentiment.

-  Maintenant, puis-je s'il te plait baisser ta culotte librement, ma chérie  ?

- Oui, oui ! Bien sûr ! Excuse moi Agnès. S'il te plaît, s'il te plaît !

Agnès s'est tout de suite mise au travail et elle a baissé la culotte jusqu'aux genoux de Sylvie.

- Bien sûr que je te pardonne, Sylvie. Mais la punition devra être un peu plus sévère maintenant, n'est-ce pas ?

Elle laissa sa main caresser les larges courbes des fesses.

- Oui, plus sévère ! Oui, je comprends ça, pardon Agnès !

Agnès  soupira.

- 56 ans sans fessée  ! Quelle négligence !

De la main gauche, elle remonta encore le chemisier sur les reins de Sylvie. Puis elle leva la main droite et dit calmement.

- Eh bien, commençons alors.

- oh s'il te plait Ag... Ouch !

La main venait de frapper de plein fouet la fesse droite et la faire se balancer puis, sans hésitation, Agnès fit subir le même traitement à la fesse gauche.

Sylvie se mordit la lèvre. Elle ne voulait pas crier. Après tout, elle était une femme adulte de 70 ans. C'était déjà vraiment humiliant d'être allongée sur les genoux d'Agnès comme une petite fille. Elle ne voulait pas non plus se comporter comme une gamine.

Malheureusement, elle dû abandonner ce plan rapidement lorsque les claques se succédèrent sur ses fesses. Agnès administrait la fessée à un rythme tranquille mais très régulier et avec chaque fois la même force. Il était  toujours très important pour elle de produire une rougeur uniforme sur toute la surface du derrière qui lui était présenté.

"Aïe... aïe… s'il vous plaît… aïe… Agnès… aïe… aïe…

Les cris de Sylvie résonnait dans le bureau. Accompagné du bruit des claques sur la peau nue.

Contrairement â son souhait de se comporter courageusement, Sylvie se mit à se tortiller comme une folle. Ses fesses voulaient échapper aux claques. Bien sûr sans succès.

- Regarde comme ton derrière est content de recevoir enfin la visite d'une main sévère, Sylvie !

Il était clair à entendre Agnès, qu'elle  prenait non seulement son travail au sérieux, mais qu'elle aimait aussi le faire. C'était toujours très important pour elle de bien faire les choses. Et la fessée ne faisait pas exception.

Sylvie n'était plus en mesure de répondre à ce moment-là. Elle sanglotait et criait sans cesse. Des larmes coulaient sur son visage. Et ses jambes avait commencé à se lever à chaque coup. Alors que cela dégénérait en véritables coups de pied, Agnès remarqua à haute voix par-dessus les cris.

- Oh regarde, tes jambes demandent de l'attention. Elles se sentent manifestement négligées.

Et à partir de ce moment-là, elle s'est donné beaucoup de mal pour que la partie des cuisses juste sous les fesses ait la même couleur et reluisent autant que la croupe.

Sylvie intensifia les coups de pied, ses jambes semblaient effectuer des mouvements de nage comme une grenouille. Les sanglots et les rugissements étaient maintenant entrecoupés de cris. Il n'était plus question de bravoure ni de maintien de la dignité.

La fessée cessa brusquement. La main punitive d’Agnès se posa sur les fesses brûlantes. Elle regarda son travail avec satisfaction. Un rouge profond et uniforme couvrait les fesses et les cuisses, juste en dessous de la taille et presque jusqu'à l'arrière du genou et de la hanche à la hanche.

Agnès regarda silencieusement les mouvements désordonnés de la croupe bien rouge se calmer ce qui ne se fit que très lentement. Lorsque les cris arrêtèrent et que les sanglots se furent un peu atténués, elle repris la parole.

- Sylvie, s'il te plaît, ne crois pas que je t'ai punie si sévèrement simplement parce que tu n'as pas bien rangé ton bureau. Non, ça n'aurait nécessité que quelques claques bien appliquées. Ce que j'ai puni, c'est ton manque de sincérité. Tu as voulu me cacher ton bureau, alors que j'avais dit que tu devais tout me montrer. Tu comprends ça ma chérie ?

Sylvie sanglotait doucement, ses fesses se serraient et se resserraient pour essayer d'atténuer la cuisson. Son pantalon avait quitté ses jambes sous les mouvements désordonnés, sa culotte entourait ses chevilles. Elle n'avait jamais reçu une correction pareille, sa grand-mère était sévère mais ses fessées n'avait jamais atteint une telle intensité, enfin peut être ne s'en souvenait elle pas. 56 ans sans présenter ses fesses nues à une main sévère, elle venait de faire dans sa tête le même calcul que Agnès.

La sévère maîtresse se délectait du spectacle que lui offrait sa nouvelle amie. Bien sûr son intransigeance naturelle l'avait conduit à administrer cette punition enfantine à Sylvie mais il ne faisait aucun doute qu'elle aimait donner la fessée et découvrir une nouvelle paire de fesses était toujours un plaisir pour elle. Sylvie était bien pourvue de ce côté là, elle faisait régulièrement du sport et son derrière était rebondi. Il était temps de passer à la suite. Elle fit relever Sylvie, celle-ci avait les joues aussi rouges que ses fesses, honteuse d'avoir reçu cette humiliante punition à son âge, elle regarda quand même Agnès. Celle-ci pensa, mes leçons commencent à être apprise, la fessée déculottée à du bon.

- ma chérie, je pense qu'un petit passage au coin va te permettre de réfléchir à ton attitude et ça va faire refroidir ton petit derrière.

Sylvie toute occupée par la cuisson de ses fesses ne protesta pas, Agnès l’avait prise par la main et la conduisit contre le mur. Elle lui remonta la culotte jusqu’à mi cuisse.

- tu mets tes mains sur la tête, tu sais qu’il ne faut pas frotter tes fesses. Si tu enlevais la brûlure je serais obligée de te remettre sur mes genoux. Ton nez bien contre le mur! Et tu vas réfléchir!

Agnès ramassa le pantalon par terre pour le plier et s’assit sur le fauteuil pour observer le spectacle que lui offrait son amie. C’était assez curieux de voir cette dame de 70 ans, exposer une paire de fesses écarlates, la position nez contre le mur l’obligeait à tendre sa croupe. Celle ci était uniformément rouge, la culotte blanche soulignait encore plus la couleur. C'était évident que la dame venait de recevoir une magistrale fessée déculottée. Ne pouvant pas frotter ses fesses, Sylvie se dandinait d'un pied sur l'autre, ce qui fit sourire Agnès. Décidément cette petite chipie était adorable.

- tu vas rester là, pendant ce temps je vais finir de visiter ta maison pour voir si tu ne m'a pas caché autre chose.

Sylvie pensa avec effroi à l'état de sa chambre. Si Agnès appliquait la même sanction que pour son bureau, elle ne pourrait sans doute pas s'asseoir. Elle voulut la retenir pour lui donner une explication mais Agnès avait déjà quitté la pièce. Un frisson d'effroi parcouru le derrière cuisant de Sylvie.

Agnès en traversant le salon vit Paola qui étendait du linge dans son jardin, elle lui fit un petit signe amical de la main. Elle songea à la surprise de la jeune femme si elle découvrait sa voisine exposant ses fesses nues et bien rouges dans un coin du bureau. Décidément ce séjour en France pourrait se révéler très agréable. Il faudrait bien qu'elle parle à cette jeune femme.

Elle se dirigea vers une porte que Sylvie ne lui avait pas ouverte. Elle poussa un cri en découvrant le désordre de la chambre, le lit n'était pas fait, des vêtements traînaient par terre, il y avait même une culotte sale au pied du lit. Les lèvres serrées par la colère elle revint vers le bureau, elle  se dirigea vers Sylvie qui n'avait pas bougé. Elle lui saisit l'oreille et la força à la suivre.

- aïe, aie, Agnès tu me fais mal s'il te plaît.

Une claque sur la fesse droite puis une autre sur la gauche la fit presser le pas.

- dépêche toi, je pense que dans un moment ce n'est pas à l'oreille que tu vas avoir mal mais à tes jolies fesses.

Sylvie se doutait bien qu'Agnès avait ouvert sa chambre et elle savait malheureusement ce qui l'attendait.

- tu n'as pas honte, à ton âge d'avoir une chambre dans cet état !! A je vais t'apprendre !!

Elle avait lâché l'oreille de Sylvie, posé son pied sur un tabouret et avec une facilité déconcertante, basculé son amie sur sa cuisse horizontale, elle était plus grande et plus forte que Sylvie, celle-ci poussa un cri mais ne pu résister, ses pieds avaient quitté le sol, elle était en équilibre, la tête en bas, elle agrippa le tabouret pour se stabiliser, Agnès la tenait fermement par la taille. Elle leva la main et commença à claquer rapidement les fesses tendues. C'était une fessée de maman en colère, Sylvie pédalait dans le vide. La douleur était intense car la cuisson de la fessée précédente n'était pas encore passée, elle pleurait et suppliait comme une gamine désobéissante. Elle ouvrait largement ses fesses sans aucun souci de pudeur, elle ne pensait pas que ce fût possible de recevoir deux punitions en moins dune demi-heure, Agnès venait de lui prouver le contraire. La fessée fut courte mais intense, quand elle la reposa par terre, Sylvie se mit à danser d'un pied sur l'autre ce qui malgré sa colère eu le don de faire rire Agnès.

- j’espère que tu vas comprendre mes leçons et te comporter en adulte, sinon je te traiterai comme une gamine et tu auras les fesses rouges. En attendant tu n’as pas fini ta pénitence, tu vas retourner au coin.

Elle saisit à nouveau l’oreille de Sylvie et la conduisit dans un coin du salon. Une claque énergique sur le derrière brûlant et Sylvie retrouva instantanément les réflexes d’une fillette punie, elle posa ses mains sur sa tête et mis son nez contre le mur. Comme précédemment, Agnès remonta la culotte jusqu’à mi cuisse, puis elle alla s’asseoir dans un fauteuil, Paola étendait toujours son linge dans le jardin. Agnès se rendit compte qu'une des fenêtres était ouverte, la jeune femme avait sans doute entendu le bruit caractéristique des claques sur les fesses nues de Sylvie. Un sourire apparu sur les lèvres de la sévère allemande.

"Cela pourrait même être utile ", pensa Agnès, et lentement les premiers soupçons d'une idée dans laquelle Paola jouerait un rôle majeur se cristallisèrent dans sa tête.

Agnès remarqua que Paola regardait régulièrement la fenêtre ouverte.  Oui, elle avait manifestement entendu quelque chose.

Pourquoi ne pas tenter sa chance en y allant au culot, se demanda Agnès en se levant et en se dirigeant vers la fenêtre ouverte.

 Une fois là, la voisine la regarda et Agnès  lui fit signe de se rapprocher d'elle.  Paola se précipita vers la haie.  La distance à la fenêtre était suffisamment petite pour pouvoir parler par-dessus la haie.

- J'espère que ce n'était pas trop fort, Mme Paola !

Agnès engagea la conversation, son sourire montrait qu'elle savait que Paola ne s'était pas sentie dérangée, bien au contraire.

 - vous pouvez m'appeler Paola, Agnès! Paola semblait très directe.  Elle poursuivi.

- il était temps que Sylvie se familiarise à nouveau avec une main stricte !  

Elle souriait de contentement.

- à bon, elle vous a-t-elle parlé de sa grand-mère, Paola ?  

Comme c'était facile d'entamer une conversation avec Paola.  Agnès était ravie.

- Oui, elle l'a fait. Mais pas dans les moindres détails. Mais j'ai toujours soupçonné qu'il y avait des châtiments corporels là-dedans, Agnès !

Cette fois, Paola a même osé sourire.

Agnès hocha la tête en guise de confirmation.

- Mais ne continuons pas à parler par-dessus la haie ici. Venez juste ici. Je vais nous faire du thé !"

-Oui, bien sûr ! Mais je dois d'abord raccrocher le reste du linge.

- D'accord. Je vais à la cuisine. Je te retrouve ici sur la terrasse Paola !"

 Elles se retournèrent toutes les deux et Agnès quitta la fenêtre. Pendant la conversation elle avait entendu Sylvie gémir.  Et maintenant, la septuagénaire suppliait.

- S'il vous plaît, s'il vous plaît...Paola ne devrait pas venir, ou au moins autorisez moi à m'habiller correctement à nouveau.

 Mais ce n'était pas ce qu'Agnès avait décidé.  Et après qu'Agnès eut infusé le thé et porté la théière et deux tasses sur un plateau vers la porte-fenêtre elle reprit l'oreille de Sylvie en passant et l'emmena avec elle sur la terrasse.  En route, Sylvie gémissait de nouveau.  Mais cela ne l'a pas empêchée d'être placée devant le mur couvert de vigne.  Avec le visage contre les feuilles bien sûr.  Après qu'Agnès eut posé le plateau  sur la table de jardin, elle remonta la culotte de Sylvie jusqu'au creux des genoux.

 Deux fortes claques sur les fesses brûlantes de Sylvie et la demande de ne parler que lorsqu'on le lui demandait dorénavant firent disparaître les supplications et les gémissements de Sylvie.  Au lieu de cela, elle a recommencé à sangloter.  Agnès passa ses mains sur les fesses rouges et endolories de Sylvie et se réjouit.



- Je ne sais même pas ce que tu as, ma chérie ! C'est vrai que c'est bien rouge. Paola va sûrement aimer ça aussi !

 Les sanglots augmentaient, mais Sylvie n'osait rien dire.  Et comme elle était face au mur, Agnès ne voyait pas non plus le visage rouge de honte.

Agnès mit la table, s'assit et attendit Paola, elle écoutait avec un plaisir non dissimulé  les sanglots de sa nouvelle amie et patiente.  Il faisait agréablement chaud au soleil, et la luminosité faisait bien ressortir le rouge des fesses de Sylvie.

Elle n'attendit pas longtemps, Paola connaissait la maison, elle avait ouvert le portillon et arriva rapidement sur la terrasse. Dès qu'elle vit Sylvie au coin exposant ses fesses écarlates, elle ne pu retenir un petit cri de surprise.

- et bien ! Agnès vous avez fait du bon travail. Je me doutais bien en entendant les claques et les gémissements que Sylvie recevait une bonne fessée déculottée, mais je ne m'attendais pas à un résultat pareil. Je vous félicite.

Agnès souriait, elle ne pensait pas que ce serait aussi facile de faire participer Paola â l'éducation de Sylvie. Finalement celle-ci trouvait naturel qu'une dame de 70 ans reçoive encore la fessée déculottée comme une gamine et qu'elle expose ses fesses nues pendant que ses deux amies prenaient le thé.

- merci pour vos compliments, mais je pense que Sylvie en avait vraiment besoin. N'est ce pas ma chérie ?

Elle s'était adressée à Sylvie, celle-ci était au comble de la confusion. En quelques heures, elle avait changé de statut. Elle n'était plus une médecin en retraite mais une gamine désobéissante punie par sa sévère maman et qui n'hésitait pas à la punir en public. Cette situation la ramenait plus de 50 ans en arrière mais en réfléchissant bien, sa conduite immature nécessitait certainement un tel traitement.

Agnès n'attendait pas de réponse à sa question, elle invita Paola à s'asseoir et elle engagea la conversation sur les bienfaits des châtiments corporels et particulièrement de la fessée déculottée. Paola était fascinée par les fesses rouges de Sylvie.

- je suis entièrement d'accord avec vous, une bonne fessée cul nu, remet souvent les idées en place mais je ne pensais pas que ça pouvait s'appliquer à un adulte.

- détrompez vous ma chère Paola, il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée. Je pense que c'est même beaucoup plus efficace sur une personne d'un certain âge. La honte de devoir montrer ses fesses nues augmente l'efficacité de la punition.

- c'est vrai que le comportement de Sylvie m'a souvent agacé et que ma main me démangeait de la voir se comporter comme une gamine.

Paola pensait en souriant à sa propre mère, elle mériterait bien elle aussi un passage sur ses genoux la culotte baissée. Elle allait y penser sérieusement.

En entendant ses deux amies discuter de son cas sans se soucier d'elle ni de son âge, Sylvie émit une petite protestation.

Agnès fronça les sourcils et se leva. Elle  saisit l'oreille de Sylvie pour l'amener au milieu de la terrasse. Puis elle la courba sous son bras pour que ses fesses soient bien présentées. Elle leva la main et administra une rapide mais très forte fessée à son amie redevenue une gamine.

- je t'ai dit tout à l'heure que quand on est au coin on ne parle pas ! Je vais t'apprendre à obéir.

- aie aie aie , pardon Agnès, ça fait mal, promis je vais être sage.

Paola regardait la punition de sa voisine en souriant, les fesses bien rouges de Sylvie étaient à moins d'un mètre d'elle, elles se serraient puis s'ouvraient largement sous la douleur des claques. Elle trépignait sur place bien maintenue par Agnès qui, c'était évident, était une experte en fessée.

Elle était satisfaite que Sylvie lui ait donné l'occasion de la punir devant Paola. Elle la relâcha, elle pleurait maintenant comme une gamine, autant de honte d'avoir reçu sa première fessée déculottée en public que de la douleur ressentie par son derrière.

Désormais son âge ne serait plus une protection. Elle fut reconduite au coin avec une magistrale claque sur chaque fesse pour lui faire comprendre qu'il fallait reprendre la position main sur la tête et nez contre le mur. Agnès frotta sa main.

- décidément, Sylvie a vraiment  besoin de fessée sévère pour comprendre . Je pense qu'il va falloir que j'utilise autre chose que ma main.

- vous êtes là pour longtemps ?

- non juste une semaine et ça ne sera pas suffisant pour reprendre l'éducation de Sylvie. Peut-être pourriez-vous m'aider.

Paola était fascinée par la sévérité d’Agnès, elle avait traité Sylvie qui avait 70 ans comme elle même le faisait avec ses nièces qui en avait 16 et 18. Une deuxième fessée en cas de désobéissance et celle ci n’avait pas protesté. Finalement elle avait raison l’âge n’avait pas d’importance, si la dame méritait la fessée, il fallait lui donner immédiatement. Elle songeait aux larges fesses de sa mère qui mériteraient bien de rougir elles aussi. Maintenant Sylvie sanglotait doucement mais elle ne disait plus rien, chacune de ses fesses était comme un belle tomate bien mûre.

Agnès lui tendit sa tasse de thé en souriant.

Paola le sirota et sourit. Posant la tasse sur la table et se retournant vers cette dame mûre en pleurs qui était forcée de fixer le mur, elle dit.

- la rougeur de ces fesses est impeccable… Tu as beaucoup d'expérience en matière de fessée. N'est-ce pas Agnès ?

- tout à fait Paola ! J'ai commencé très jeune à aider mes amies et mes connaissances avec la fessée. Et chacune d'entre elles s'est retrouvé un jour ou l'autre sur mes genoux. Ça a aidé beaucoup de monde, et elles l'ont toutes reconnues.

Agnès étudiait le visage de Paola pour voir si elle comprenait et approuvait. Paola souriait en acquiesçant, elle avoua même qu'elle était un peu jalouse d'Agnès.

Elle se leva, alla vers Sylvie et lui caressa les fesses.  

- comme elles sont mignonnes et bien chaudes!

dit-elle avec enthousiasme.

- Et notre chère Sylvie a sûrement déjà appris quelque chose, n'est-ce pas ?

Sylvie n'osait pas se tourner vers Paola. Non seulement parce qu'elle savait qu'elle devait faire face au mur jusqu'à ce qu'Agnès l'en libère, mais aussi parce qu'elle ne voulait pas que Paola voie la rougeur intense sur son visage, mais elle savait qu'elle devait répondre. Elle sanglota.

- Oh… oui ! Oui, Paola. Oui, j'ai… j'ai appris que je ne devais jamais rien cacher à Madame Agnès, même si cela doit entraîner une sévère punition !

Paola se rassit. Et la conversation continua sur l'éducation stricte des femmes plus âgées. Agnès expliqua que les femmes qui ont grandi avec une éducation stricte en avaient également besoin plus tard dans la vie. C'était particulièrement vrai pour des femmes comme Sylvie, qui vivait seule et sont à la retraite. Elles perdaient leur structure quotidienne et cela les amenait rapidement à se laisser aller.

- c'est le cas de Sylvie, je l'ai deviné dès le début quand j'ai commencé à discuter avec elle.

- dans son cas, c'était sa grand-mère qui était sévère, autant que je sache!

dit Paola.

- Je le pense aussi ! Le mieux serait que Sylvie s'assoie tout de suite sur ses fesses bien chaudes et écrive exactement comment et pour quoi sa grand-mère l'a punissait. J'aimerais m'en servir comme guide dans mes propres actions. Et aussi pour toi, Paola, cela te servirait à l'avenir.

Un sanglot particulièrement profond et bruyant se fit entendre, Sylvie commençait à soupçonner cela allait la mener. Paola jouerait un rôle plus important dans sa vie, un rôle pédagogique. Elle s'en rendait compte, comme elle savait qu'elle n'aurait pas à donner son avis sur ce sujet. Agnès déciderait au cas où Paola accepterait d'assumer ce rôle. Et Sylvie ne se faisait aucune illusion. Paola serait plus qu'heureuse d'assumer cette nouvelle fonction.

- Sylvie, ma chérie ! Voudrais-tu aller dans ton bureau et le ranger correctement. Et puis tu t'assieds à ton bureau et tu écris comment et pourquoi ta grand-mère te punissait. J'aimerais savoir ce qui se passait lorsque tu omettais des choses importantes !

Sylvie se tourna vers les deux dames qui sirotaient leur thé, mais n'osa pas encore retirer ses mains de sa tête. Son visage était mouillé de larmes.

- Oui, Madame Agnès.

sanglota-t-elle.

- cesse cette bêtise de dire madame. Je suis toujours Agnès, ton amie. Oh, et puis s'il te plaît, enlève ta culotte. Tu n'en auras plus besoin aujourd'hui !

-Oh, s'il te plaît… Ma… désolé Agnès!

gémit Sylvie mais elle obéit aussitôt et enleva sa culotte. Ce n'est qu'alors qu'elle essuya les larmes de ses yeux avec le dos de sa main.

- et bien, qu'est-ce que tu attends ?

Agnès lui claqua les fesses.

Et Sylvie haleta sous le choc et se précipita hors de la pièce, sa culotte à la main et les yeux des deux dames sur  ses fesses rouges et gonflées, jusqu'à ce qu'elle referme la porte derrière elle.

Sylvie entra dans son bureau sa culotte à la main, ses fesses étaient douloureuses mais elle n'osait pas les frotter, elle était redevenue une gamine obéissante, elle avait l'impression d'avoir les yeux d'Agnès et de Paola posé sur ses fesses. Elle déposa sa culotte sur un coin du bureau, ce sous vêtement posé la, bien en évidence lui rappelait qu'elle était punie. Elle commença à trier ses papiers, c'était assez long, elle fit des tas. Elle s'aperçut qu'elle n'avait pas payé quelques factures, il faudrait le faire rapidement mais sans qu'Agnès s'en rendent compte sinon ses fesses rougiraient certainement. Le bureau enfin libéré, elle posa délicatement ses fesses douloureuses sur le fauteuil. Elle prit une feuille et commença sa confession.



" ma grand-mère était une institutrice en retraite, elle était d'une génération où on hésitait pas à administrer des fessées cul nu devant toute la classe aux gamines désobéissante ou étourdie. Je pense que ma mère n'y avait pas échappé, d'ailleurs dans la cuisine bien en évidence était suspendu un martinet, cet instrument de punition typiquement français et que l'on trouvait dans toutes les familles. Celui de ma grand-mère avait un manche vernis assez court et une dizaine de lanières en cuir, usées par les années d'utilisation sur les derrières de ses enfants. Le martinet était réservé aux punitions sévères quand il était utilisé sur les fesses dénudées, ma grand-mère nous retroussait la robe après nous avoir fait penché sur la table puis elle nous baissait la culotte jusqu'aux genoux, nous avions droit en général à une vingtaine de coups, elle n'était pas trop sévère mais ça brûlait beaucoup, j'ai reçu ma dernière fessée au martinet cul nu à 15 ans parce que je lui avais mal parlé, j'étais une adolescente rebelle et ma mère me laissait faire. Ce jour là j'ai eu droit à une vraie punition et j'ai été envoyée au lit sans manger avec des fesses très rouges et très douloureuses. Elle utilisait également le martinet pour les petites bêtises mais c'était juste quelques cinglades sur les cuisses ou les mollets. Mais là punition habituelle c'était la fessée culotte baissée couchée sur ses genoux. J'ai été souvent punie par ma grand-mère car elle ne supportait pas les chambres mal rangée ou les désobéissances. Elle était également très stricte sur la toilette, il fallait qu'on se lave bien, les fesses et les parties intimes, elle vérifiait nos culottes et gare à nous si nous avions une culotte sale. C'était lavage des fesses à l'eau froide…. Et une bonne fessée. "

Sylvie posa son stylo, écrire tous ces souvenirs lui faisait des petits picotements dans le ventre, en plus elle était également sans culotte et les fesses rouges. Il lui revint soudain un souvenir très gênant à raconter, elle hésitait. Mais Agnès l'avait prévenu, il lui fallait tout raconter sans rien oublier. Elle reprit son stylo, elle se tortillait sur sa chaise, les fessées d'Agnès avaient été vraiment sévère.

"ma dernière fessée sur les genoux de ma grand-mère je m'en rappelle bien car c'était très humiliant. J'avais 14 ans. Je ne voulais pas l'aider à faire le jardin et j'ai fait semblant d'être malade, ma grand-mère avait un doute. Elle est arrivée dans ma chambre avec un thermomètre rectal, c'était encore très utilisé à cette époque en France. Elle m'a fait sortir du lit et c'est assise sur le bord, puis à ma grande surprise elle m'a couchée sur ses genoux, j'ai crié mais je n'osais pas refuser. Ma mère me laissait prendre ma température toute seule. Elle a baissé ma culotte de pyjama, m'a écarté les fesses et m'a mis le thermomètre. Elle m'a dit si tu as de la fièvre tu es en bonne position pour que je te mette un suppositoire et si tu m'as menti tu es en bonne position pour recevoir une bonne fessée. C'était la honte de ma vie, je pleurais sous l'humiliation mais j'ai pleuré encore plus quand elle a retiré le thermomètre car je n'avais pas de fièvre, j'ai reçu ce jour la une fessée mémorable et je n'ai plus jamais recommencé. "

Sylvie avait les joues rouges d'avoir raconté cette dernière fessée. Elle rajouta un petit mot.

" ma grand-mère n'était pas un bourreau, elle nous aimait beaucoup, nous faisait plein de gâteau et des câlins mais elle était très stricte sur l'éducation. "

Elle venait de finir cette phrase quand Agnès accompagnée de Paola rentra dans le bureau. Elle ne put retenir un sourire en voyant le bureau libéré de toute sa paperasse et la petite culotte blanche posée à côté de Sylvie.

- tu as vu, notre chère Sylvie peut être très gentille, Paola. N'est-ce pas ?

Agnès riait joyeusement. Et Paola a ri aussi quand elle a ajouté

- Oui, surtout quand son derrière  est rouge et douloureux je pense ! Ai-je raison, ma chère Sylvie ?

Se faire interpeller ainsi par Paola fit enfin comprendre à Sylvie que grâce à Agnès, leur relation allait fondamentalement changer. Et il lui vint aussi à l'esprit qu'il fallait toujours répondre aux figures d'autorité par des phrases complètes, dans lesquelles le sujet de la question devait être mentionné.

- Oui, tu as tout à fait raison, Paola. Un derrière rouge et douloureux m'aide beaucoup dans ce genre de choses.

Elle réussit même à regarder dans les yeux de Paola sans rougir.

- tu vois, Paola. Notre petite Sylvie peut être très gentille et respectueuse !

Agnès avait l'air contente et cela rendit Sylvie heureuse en retour.

Oui, elle était redevenue la petite Sylvie, dont les fesses nues étaient claquées quand c'était nécessaire. Il n'y avait rien de mal à cela. C'est ainsi que sa grand-mère le faisait et c'est ainsi que cela se ferait périodiquement avec elle à partir de maintenant. C'était simplement pour son propre bien, elle le sentait au plus profond de son cœur.

Agnès se plaça derrière Sylvie afin qu'elle puisse voir le morceau de papier que Sylvie venait d'écrire au-dessus d'elle et posa une main sur son épaule.

Paola se tenait à côté d'elle et posa sa main sur son autre épaule.

Agnès se mit à lire à haute voix ce que Sylvie avait écrit.

Elle l'a lu d'une traite, sans interruption et sans commentaire.

Maintenant qu'elle entendait ses propres phrases venant d'Agnès, Sylvie ne put s'empêcher de rougir à nouveau.

Il y eut ensuite un bref silence puis Agnès força Sylvie à se lever et à  lui faire face. Sylvie savait qu'elle n'avait plus le droit de détacher ses yeux du visage d'Agnès, peu importe à quel point c'était difficile pour elle.

- As-tu honte, ma chérie ? demanda Agnès avec un sourire.

- je… je suis… désolé, Agnès. Non… oh oui… Mais je n'ai pas à avoir honte, n'est-ce pas ? Tout ce que j'ai écris est exact Agnès !

Les larmes lui montèrent à nouveau aux yeux. Et le rougissement augmenta lorsqu'elle sentit la main de Paola caresser ses fesses nues encore sensibles.

- c'est bien, Sylvie. Mais pourquoi ne m'as-tu pas parlé du martinet plus tôt, ma chérie ? Pensais-tu que c'était sans importance comme tu le pensais avec ton bureau et ta chambre en désordre ?

Agnès dut mettre un doigt sous le menton de Sylvie parce qu'elle regardait vers le bas.

- Oh, s'il te plaît, Agnès ! Je n'y avais vraiment pas pensé. Mais tu as raison. C'est important. Oh, et maintenant je peux penser à autre chose d'important !

Elle se mit à sangloter et tomba dans les bras d'Agnès, qui se laissa faire et serra même fort Sylvie dans ses bras.

- et bien, quelle chose importante ma petite Sylvie va m'avouer maintenant ! Voyons ça ?

Agnès semblait très maternelle maintenant. Il n'y avait actuellement aucune sévérité dans sa voix. Mais par-dessus l'épaule de Sylvie, elle fit un clin d'œil à Paola, qui ne cessait de caresser les fesses merveilleusement chaudes.

- le martinet ! Je l'ai gardé, ma grand-mère me l'a transmis personnellement. Elle m'a dit que je devrais l'avoir parce que c'est sur mes fesses qu'il avait été utilisé plus souvent que sur n'importe qui d'autre !

Ses paroles étaient difficiles à comprendre à cause des sanglots.

Très doucement, Agnès s'écarta de Sylvie et posa ses mains sur ses épaules à une petite distance.

- mais, c'est merveilleux, Sylvie. Alors donne-nous vite le martinet. Je pense qu'on en a besoin de toute urgence maintenant. Tu ne crois pas ?

Elle relâcha Sylvie redevenue une gamine sanglotante et poursuivit.

- On se retrouve dans le salon dans cinq minutes. Paola, moi, toi et le martinet ! En attendant, tu devrais te laver le visage !

Sylvie se dirigea vers la porte du bureau exposant ses fesses écarlates aux deux dames qui souriait. Il ne lui était pas venu à l'idée de protester, elle était redevenue une gamine punie qui obéissait sans discuter. Le martinet traditionnel de sa grand-mère était rangé dans le placard de sa chambre, elle l'avait gardé comme une relique. De temps en temps elle le sortait et en caressait les lanières. Mais cette fois-ci elle allait le sortir pour le confier à Agnès et il ne faisait aucun doute que c'est de ces petites fesses comme avait dit Paola en les caressant que les lanières allait s'occuper. L'appréhension lui fit serrer les fesses, elle tenait le martinet à la main, elle nettoya son visage dans la salle de bain. Par curiosité elle regarda ses fesses dans la glace, son petit derrière comme disait Agnès était encore bien rouge. Nul doute que dans quelques minutes il aurait repris des couleurs encore plus éclatantes.

Quand elle arriva dans le salon, Paola et Agnès papotait comme deux vieilles amies.

- ah, voilà donc ce fameux martinet, donne moi le que je l'examine de plus près.

Agnès caressait les lanières en songeant à toutes les fesses qu'elles avaient corrigé. Paola intervint.

- j'en ai un à la maison que j'utilise sur les fesses de mes nièces quand je les garde. Vous savez Agnès cet instrument n'a pas disparu malgré les discours sur l'interdiction de la fessée, ça reste très pratique quand on a des adolescentes un peu rebelle, une petite fessée cul nu au martinet et ces demoiselles redeviennent mignonnes.

Sylvie regardait maintenant sa jeune voisine avec un autre œil, son caractère énergique et autoritaire l'avait toujours impressionnée et c'est vrai que quand elle gardait ses deux grandes nièces elle avait entendu de temps en temps le bruit caractéristique de la fessée administrée sur les fesses nues mais elle n'y avait pas porté une grande attention. Maintenant qu'elle était fesses à l'air devant elle, son sourire ironique était un peu inquiétant.

- bien, ma petite Sylvie. Nous n'en avons pas fini avec ta punition, avant l'arrivée de Paola tu as reçu une bonne fessée à la main pour ton mensonge et le désordre de ton bureau, je t'en ai donné une autre pour ta chambre mais c'était juste une petite fessée sous le coup de la colère. Tu conviendras que si ta grand mère avait vu ta chambre dans cet état tu n'aurais pas échappé à une fessée cul nu au martinet. En plus tu m'as encore menti en oubliant de me parler de ce joli martinet.

Sylvie protesta faiblement.

- oh non Agnès, c'est moi qui t'ai dit que je l'avais gardé.

- tss tss… cesse de mentir, tu aggrave ton cas. Si je ne t'avais pas demandé d'écrire cette confession tu ne m'en aurais jamais parlé.

Agnès était toujours souriante mais le ton de sa voix était autoritaire. Elle désigna la table.

- tu te rappelle la position que te faisait prendre ta grand mère pour te donner la fessée au martinet? Tu vas nous montrer.

- Oh ! Oh s'il te plait ! Dois-je le faire ? Sylvie regardait le Martinet avec effroi.

- oui, tu le dois !

dit Agnès avec sévérité et exigence. Puis elle ajouta

- et je veux entendre la vérité, Sylvie. Comprends tu cela ?

Les yeux de Sylvie s'humidifièrent, mais elle hocha la tête.

- oui, la vérité ! Bien sûr Agnès !

Elle regarda Agnès, puis Paola, et enfin le martinet. Puis elle s'assit et prit une profonde inspiration.

- je… j'avais l'habitude de m'inquiéter pour…

Elle commença à pleurer.

- voulez-vous… le faire comme ma grand-mère ? Je veux dire… avec le martinet. Oh s'il vous plaît…"

- dites-le nous et nous déciderons, Sylvie. Je pense que ce sera la meilleure solution!

dit Agnès d'un ton neutre, mais pas sévère.

Paola, qui commençait à avoir l'impression de faire partie de l'équipe éducative, ajouta.

- sois mignonne, Sylvie, ma chérie !

La jeune fille de 70 ans essaya de se calmer elle essuya les larmes de ses yeux avec le dos de ses mains. Elle regarda l'un des vieux gros fauteuils ronds.

- je devais toujours me tenir derrière un tel fauteuil et me pencher sur le dossier jusqu'à ce que mon front atteigne le coussin du siège. Ce n'était pas facile car le dossier était si haut et je devais toujours sauter un peu. Et puis mes pieds perdaient le contact avec le sol. Je me suis toujours senti si impuissante parce que mon pauvre derrière était alors tout en haut bien tendu et qu'il était si facile pour le martinet de le trouver. Mes fesses étaient toujours nues car je devais enlever tout ce qui aurait pu le recouvrir au préalable.

- oh, et bien tu vas nous montrer ça, Sylvie. Heureusement que tu as déjà les fesses nues. Tu n'as plus à t'embêter avec ça, n'est-ce pas ?

Agnès avait l'air d'être à l'heure du thé et qu'elle demandait à Sylvie de lui tendre le sucre.

Bien sûr, Sylvie ne pouvait résister à une invitation aussi amicale, même si les larmes recommencèrent à couler.

Elle se dirigea vers le fauteuil. Paola toujours aussi dynamique s'y est également précipitée. Et un accident a failli se produire, car Sylvie n'était plus aussi agile qu'à 14 ans. Elle a réussi à se pencher et à sauter sur le dossier mais si Paola ne l'avait pas attrapée prestement,  Sylvie serait simplement tombée et aurait frappé violemment le coussin avec son visage. Elle n'était tout simplement plus assez souple pour se retenir avec la main.

- Oups.

 rit Paola en attrapant les épaules de Sylvie, puis en l'abaissant lentement jusqu'à ce que son front soit au bon endroit.

Agnès, qui regardait, ne put s'empêcher de sourire. Sylvie était une petite chose si mignonne.

C'était comme Sylvie l'avait dit. Son derrière était juste au bon endroit maintenant. Il semblait se tendre vers le martinet avec insolence.

Agnès glissa les lanières de cuir dans sa main gauche dans un geste solennel.

- y a-t-il autre chose à dire sur les actions de ta grand-mère avec le martinet, Sylvie ?

- oui,

sanglota Sylvie, un peu étouffée par le rembourrage du siège qui était contre sa bouche.

- Grand-mère a toujours souhaité que je sois courageuse et que je n'interrompe pas ses coups de martinet. Mais je n'ai jamais réussi à le faire. Quand ça commençait vraiment à brûler après quelques coups de martinet, surtout quand les lanières concluaient l'arrière de mes cuisses, je mettais toujours mes mains sur mes fesses pour les protéger ou rouler sur le côté du dossier pour échapper à la brûlure.

- tu n'as jamais réussi, Sylvie ?

Agnès était vraiment surprise.

- oui, jamais !

Sylvie sanglotait toujours.

- ma grand-mère était toujours tellement déçue de moi. Je devais alors mettre mes mains derrière mon dos et elle attrapait les deux poignets avec sa main libre,

- et elle continuait la flagellation avec le Martinet, je suppose!

Agnès laissa frotter les lanières de cuir qui pendaient de la poignée contre les fesses relevées de Sylvie et les vit se tendre et la chair de poule les couvrir.

- n'aimeriez-vous pas essayer de le faire pour honorer votre grand-mère, Sylvie ? Agnès parlait doucement.

- ou voudrais-tu que Paola te tienne la main dès le début ?

Paola est intervenue.

- bien sûr que Sylvie aimerait le faire aujourd'hui. Elle sera plus courageuse aujourd'hui que jamais ! n'est-ce pas, ma petite Sylvie ?

Et Sylvie le voulait vraiment. Pour l'instant, il n'y avait rien qu'elle désirait de plus. Pour montrer à sa grand-mère pour une fois qu'elle pouvait endurer courageusement ce genre de punition, peu importe si sa grand-mère la regardait du ciel ou d'ailleurs.

- oui, je veux ça, Paola!

dit-elle fermement et solennellement, accrochant ses doigts au bord avant du rembourrage du siège, ne voulant pas le lâcher avant que le martinet ne se taise à nouveau. Le changement de posture lui fit pousser ses fesses rouges encore plus haut.

C'était vraiment une position très humiliante à 14 ans mais à 70 c'était presque insupportable. Sylvie se mit à gémir. Elle savait que ses deux amies devenues ses éducatrices regardait ses fesses tendues et prêtes pour la fessée.

- oh...s'il vous plaît Agnès, j'ai trop honte. Pardon...Je vais être sage.

Agnès souriait en voyant Sylvie retrouver ses accents de petite fille avant la punition par sa grand-mère. Bien sûr elle avait accepté sans rechigner de se remettre dans la position qu'exigeait sa grand-mère. Mais maintenant qu'elle savait que la punition était imminente ce n'était plus la même chose.

Agnès s'en rendit compte et repris son air sévère.

- il fallait réfléchir avant ma chérie, si tu ne m’avais pas menti, je ne serais pas obligée de te punir. Tu ne m’as pas parlé du martinet parce que tu savais que ta grand mère t’aurais certainement donné une bonne fessée cul nu et avec le martinet pour ne pas avoir rangé ta chambre. C’est bien ça n’est ce pas? Donc tu as menti sciemment ? Je ne peux pas laisser passer çà.

Elle tapota les fesses tendues et glissa même ses doigts dans le sillon fessier

- ton petit derrière est très bien présenté ma petite Sylvie. Tu devrais détendre tes fesses.

Sylvie se mit à pleurer au souvenir de la brûlure des lanières sur ses fesses.

- bien tu vas nous rappeler pourquoi tu vas recevoir une fessée cul nu au martinet.

Sylvie pleurait toujours, mais une vigoureuse claque sur ses fesses tendues lui fit comprendre qu'Agnès s'impatientait.

- cesse de pleurnicher !!

- oui, oui, pardon Agnès…. Je vais recevoir une fessée cul nu au martinet parce que je t’ai menti.

Agnès souriait toujours, Sylvie apprenait vite  elle avait repris une partie de la question dans la réponse et elle avait été obligée de prononcer la phrase honteuse, "je vais recevoir une fessée cul nu au martinet"

- c'est bien, puisque tu la réclame, je ne vais pas te faire attendre.



Elle leva le martinet et les lanières s'abattirent en travers du fessier rebondi. Sylvie poussa un cri et ses jambes se tendirent sous la brûlure, Paola s'était placé devant le fauteuil pour surveiller les mains de Sylvie qui tenait fermement le fauteuil. Les coups de martinet se succédaient, Agnès essayait de couvrir toute la surface de la croupe. Bientôt elle reprit la magnifique couleur rouge qui plaît tant aux fesseuses. Sylvie maintenant criait et pleurait en même temps. Pourtant Agnès n'était pas trop sévère, pour une première fessée au martinet, elle voulait simplement que Sylvie se rappelle qu'elle était redevenue l'adolescente punie par sa grand-mère. Les fesses étaient maintenant écarlates, il fallait passer aux cuisses, les pleurs de Sylvie redoublèrent.

- noon Agnès, ça fait trop mal...aïe aïe. Non s'il te plaît plus la fessée….

Agnès était concentrée sur sa tâche, elle s'appliquait à  claquer toute la surface depuis la racine des fesses jusqu'à la pliure des genoux. Soudain Sylvie lâcha le fauteuil pour protéger ses fesses, mais Paola veillait, elle les saisi et força Sylvie à les garder sur le coussin du fauteuil. Agnès posa le martinet et caressa les fesses tendues, elles étaient brûlantes mais la peau était douce au toucher. Après une bonne fessée, elle appréciait toujours son travail en palpant les fesses.

- ton petit derrière est très mignon ma chérie.

Elle fit un petit signe à Paola qui relâcha les mains de la jeune fille de 70 ans  Puis elle l'aida à se relever. Ses joues étaient couvertes de larmes. Elle se mit à danser sur place, elle aurait voulu frotter ses fesses mais redevenue une gamine punie, elle savait qu'elle n'en avait pas le droit. Ses fesses se serraient et s'ouvraient ce qui fit rire Paola.

- on dirait que notre petite Sylvie a bien chaud à son popotin.

Devant le regard surpris d'Agnès, elle expliqua.

- tu ne connais pas ce mot, c'est un terme familier pour parler des fesses d'une dame, surtout quand elles sont bien rebondies comme celle de notre Sylvie.

Jugeant qu'il était temps que Sylvie cesse de se trémousser, elle lui désigna le coin de la pièce.

- file te mettre au coin, vilaine fille, mains sur la tête et nez au mur. Et je ne veux plus t'entendre !

Sylvie s'exécuta sans discuter. Elle avait très mal aux fesses mais elle était quand même contente d'avoir supporté son châtiment jusqu'au bout.  Le spectacle de ses fesses et de ses cuisses écarlates était saisissant. Paola était impressionnée par la sévérité et le calme d'Agnès. Celle-ci lui désigna le fauteuil.

- asseyons nous, j'aimerais que nous discutions du cas de Sylvie. Je ne serai là qu'une semaine, je pense qu'elle a besoin qu'on s'occupe d'elle.

- je pense qu'il y a vraiment beaucoup de choses à dire, Agnès. Et ne devrions-nous pas également établir des règles pour notre chère pupille qui l'aideront à mener à nouveau une vie bien ordonnée ?"

Paola regarda Sylvie et s'approcha pour palper le « popotin » rouge et fouetté. Elle  poursuivi.

- j'ai bien peur que tant que Sylvie n'aura pas appris à se comporter selon ces règles, elle devra très souvent se tenir dans un coin de la pièce avec des fesses bien rouges, comment appelez-vous ça en allemand, 'Popo' et aussi des cuisses bien striées par les lanières.

Agnès s'assit et rit,

- dans ma région westphalienne, nous appelons la partie des cuisses juste sous les fesses « bollen ».

Maintenant, Paola riait aussi.

- ça sonne bien, ce mot. Je m'en souviendrai !

Elle se tourna vers la porte.

- mais je vais nous faire du thé. Je connais bien la cuisine de Sylvie. Et je suis sûr que ça ne la dérangera pas !

- bien sûr, Paola. Mais je peux faire le thé ?

Ce n'était pas comme si Sylvie essayait de sortir du coin de cette façon. C'était juste qu'elle estimait qu'il était de son devoir de bien recevoir.

Paola sourit.

- non, ma fille, il est bien plus important pour toi de te tenir dans un coin et de réfléchir à tes bêtises que de nous accueillir.

Elle ajouta d'un ton sévère.

- et s'il te plait, tiens-toi droit et pas la tête baissée, ma chérie !

Sylvie se redressa.

- oh, désolé ! Oui, je vais me tenir droite. Je comprends, Paola. Ça n'arrivera plus. Je te le promets.

Il était clair que Sylvie avait peur d'une nouvelle fessée. Agnès se doutait que la grand-mère de Sylvie insistait toujours  sur une bonne posture pendant le temps de coin.

D'ailleurs sa posture voûtée aurait pu très bien être considérée comme une désobéissance. Mais Agnès décida de laisser tomber cette fois. Mais si cela se reproduisait, il lui faudrait certainement sévir.

Une fois que Paola eut quitté le salon, Agnès demanda à haute voix.

- n'est-ce pas merveilleux ma petite Sylvie,  que j'aie trouvé quelqu'un qui habite tout prêt de chez toi et qui pourra s'occuper de toi après mon départ ?

Sylvie répondit, mais sans se détourner du mur.

- oui, merveilleux, Agnès ! Je n'aurais jamais imaginé qu'elle s'inquiète autant pour moi. Et elle ne semble pas non plus avoir de problème avec vos méthodes d'éducation.

Agnès remarquait, bien sûr, qu'il n'y avait pas de véritable enthousiasme dans la voix de Sylvie. Mais c'était à prévoir, avec la perspective de punitions régulières et fréquentes à l'avenir ?

Paola était revenue avec un plateau. Une théière, deux tasses à thé, des cuillères et un sucrier étaient posé dessus.

Elle mit la table.

Agnès proposa que Sylvie s'assoie avec elle afin qu'il leur soit plus facile de l'entendre sur des questions spécifiques. En plus, tout cela la concernait. Mais bien sûr, elle n'était autorisée à parler que si elle était questionnée ou si elles lui permettaient explicitement de parler.

Sylvie s'approcha lentement de la table, mais n'osa pas enlever ses mains de sa tête, même si elles commençaient à lui faire mal.

- assieds toi Sylvie. Et tu peux baisser les mains maintenant.

ordonna Agnès.

Sylvie aurait demandé avec plaisir un oreiller pour ne pas avoir à s'asseoir les fesses nues et brûlantes sur la chaise mais elle n'avait pas le droit de parler sans être sollicitée. Agnès et Paola ignorèrent le bref soupir lorsque les fesses de Sylvie touchèrent le siège.

- mais Sylvie veut certainement boire quelque chose.

Paola se précipita vers la cuisine. En disant qu'elle allait lui chercher un verre de jus d'orange.

Il était évident qu'une femme aussi immature que Sylvie n'avait bien sûr pas le droit de boire du thé ou du café. C'étaient des boissons pour adultes.

Pendant ce temps, Agnès versait le thé. Quand tous les trois furent assises, elle commença par dire en premier.

- Je ne pense pas que ce soit bien que Sylvie nous appelle par notre nom. Nous sommes des personnes qu'elle doit respecter maintenant. Je me suis dit qu'elle ferait mieux de nous appeler madame. Donc Madame Paola et Madame Agnès !

Paola pensa que c'était une bonne idée. Sylvie n'avait pas été interrogée à ce sujet. Mais secrètement, elle pensait aussi que ce serait une bonne chose car cela diminuerait un peu son embarras. La  hiérarchie serait établie entre elles et même si elle n'était pas vraiment une petite fille, elle était quand même une gamine qui recevait régulièrement la fessée

Paola se tournant vers Agnès ajouta.

- il y a une chose qui me paraît également importante. C'est l'heure du coucher et du lever. J'ai remarqué que Sylvie avait des heures de sommeil très décalée, ce qui n'est pas bon pour son équilibre. Elle se couche très tard et bien sûr le matin elle a du mal à se lever. Ça  désorganise complètement sa journée.

Agnès acquiesça en souriant.

- je pense que tu as raison Paola, que suggère tu?

- c'est assez simple, je pense que 9h30 est une bonne heure pour aller au lit, le temps de se brosser les dents et d'aller faire pipi. Notre petite Sylvie doit avoir éteint la lumière à 9h45 au plus tard.

Sylvie faillit ouvrir la bouche pour protester mais ses fesses douloureuses sur la chaise lui rappelait qu'elle ne devait pas parler.

- ça me paraît correct, ainsi Sylvie aura ses 9h de sommeil si elle se lève à 7h.

Agnès avait repris la parole et elle regardait Sylvie avec un air maternel.

- comme ça, tu auras tout le temps pour déjeuner, faire ta toilette et bien ranger ta chambre. Tu vas voir ta journée va bien démarrer.

Sylvie baissait la tête, elle n'en croyait pas ses oreilles. Agnès s'adressa à elle un peu plus sévèrement.

- je t'ai déjà dit qu'il fallait me regarder quand je te parle ! Te faut il une autre fessée ?

Immédiatement Sylvie releva la tête et fixa Agnès en rougissant.

- pardon, pardon madame Agnès, excusez-moi.

- voilà, c'est mieux, je pense que tes petites fesses sont assez rouges pour aujourd'hui mais tâche de mieux te comporter si tu ne veux pas revenir faire un petit tour sur mes genoux.

Paola repris la parole.

- nous devrions aborder la question des vêtements, je pense que Sylvie se laisse aller, elle est toujours habillée avec des joggings ou des pantalons informes.

- tu as raison, ça m'a choquée quand elle est venue me chercher à la gare. À partir de maintenant tu vas mettre des jupes, comme il convient à une jeune fille sage.

Elle avait dit ça d'un air moqueur. Sylvie la regarda avec un peu surprise.

- mais madame Agnès, je n'en ai pas.

- comment ça, tu n'as pas de jupe ?

- c'est vrai que je ne l'ai jamais vue habillée en dame. Mais j'y pense, tu m'as bien dit que ta fille avait laissé son armoire pleine de vêtements, tu fais la même taille. Nous allons bien trouver quelques jupes à te mettre.

Sylvie soupira doucement, sa fille Elodie, s'habillait toujours avec des jupes ou des robes qu'elle jugeait un peu courte. A son âge porter des jupes 10 cm ou même  plus au dessus du genoux, elle aurait l'air ridicule. Agnès approuva en riant.

- c'est une très bonne idée Paola, notre petite Sylvie sera très mignonne. D'ailleurs je pense qu'il est temps que tu caches tes petites fesses, tu vas aller chercher ta culotte sur ton bureau et nous irons voir ce que tu peux mettre sur ton joli popotin dans la chambre d'Elodie.

Elle avait utilisé le terme popotin en riant, elle adorait ce petit mot français. Sylvie s’était levée en même temps que ses deux nouvelles mamans. Elodie prenait de plus en plus d'assurance. Elle donna une petite claque sur les fesses nues de sa voisine.

- allez, on se dépêche mademoiselle, tu vas chercher ta culotte.

Sylvie quitta la pièce, ses deux fesses encore bien rouges se trémoussant au rythme de ses pas. C'était amusant et sexy, les deux nouvelles amies se regardèrent en souriant.

Quelques instants plus tard, elles étaient dans la chambre d'Elodie, Sylvie avait remis sa petite culotte blanche, on voyait quand même la rougeur à la limite des fesses et des cuisses et les traces que le martinet avait laissé derrière les cuisses. Quand elle avait remonté sa culotte, elle en avait profité pour frotter discrètement ses fesses. Agnès l'avait remarqué mais elle n'avait rien dit. Elle savait se montrer indulgente de temps en temps. Paola ouvrit l'armoire, Elodie avait bon goût de nombreuses jupes étaient suspendues. Agnès en prit une. Elle était assez courte, de forme évasée. Ça sera pratique pour la retrousser pensa t elle. Elle la tendit à Sylvie.

- celle-ci me plaît bien, tu vas l'essayer.

Sylvie s'exécuta, la jupe s'arrêtait 15 cm au dessus de ses genoux. Elle avait rajeunit d'un seul coup. Paola applaudit.

- tu es ravissante ma chérie,  tourne toi qu'on te voies bien.



Agnès était également satisfaite. Elle prit également une jupe plissée bleue marine.

- c'est vraiment une jupette de collégienne celle-ci. Tu la mettras si jamais tu fais trop de bêtises et que nous sommes obligées de te traiter en gamine.

Sylvie n'osait pas se plaindre ni répliquer, même si elle pensait qu'une jupe aussi courte était totalement inappropriée pour une femme de son âge.  Elle pensa avec défi, "Il est hors de question que je quitte la maison habillée ça!

Mais c'est exactement ce qui se passa peu de temps après.  

A suivre

Deux étudiantes 22

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