mercredi 1 juin 2022

Clémentine 3



Après avoir raccompagné Clémentine, Valérie revint dans son salon. Dorothée Duval exposait toujours sa magnifique paire de fesses qui n'avait pas encore perdu ses couleurs, la sévère professeure esquissa un sourire, décidément avec un fessier pareil cette dame attirait inévitablement la fessée cul nu. 

- bien, venez ici!

Dorothée se tourna et sans enlever ses mains de sa tête s'approcha, quand elle fut à sa portée, Valérie la fit pivoter afin d'examiner ses fesses. 

- penchez vous un peu que je vois votre vilain derrière. Bien c'est encore chaud, j'espère que vous avez retenu la leçon. Vous pouvez enlever vos mains et allez vous asseoir. 

Devant l'air interrogateur de son élève, elle ajouta. 

- non, vous ne remontez pas votre culotte. Cet après midi, vous aurez votre cours fesses à l'air, ça vous apprendra. En plus, j'ai bien l'impression que je n'en ai pas encore fini avec votre derrière, si j'ai besoin de vous administrer une fessée, vous serez prête. 

Rouge de confusion mais sachant par expérience que Valérie ne tolérait pas les récriminations, Dorothée sans un mot posa délicatement son fessier brûlant sur la chaise. La petite grimace qu'elle fit, attira un sourire sur les lèvres de sa professeur.

- bien comme d'habitude nous allons commencer par une dictée, votre orthographe laisse vraiment à désirer. J'espère que vous ferez un peu plus attention que la dernière fois. Je vous rappelle le barème, 5 fautes égal zéro et une fessée déculottée, de six fautes à dix fautes c'est deux fessées successives, 50 claques par fautes, si vous voulez vous amuser à faire plus de dix fautes, en plus des deux fessées vous viendrez matin et soir pendant trois jours me présenter vos fesses. C'est bien compris! Alors tâchez de vous appliquer, on commence. 

Pendant toute cette tirade, Dorothée avait baissé les yeux et fixé sa feuille blanche. La dictée avait toujours été sa terreur quand elle était à l'école et ça lui avait valu de nombreuses mauvaises notes. Mais heureusement aucune de ses maîtresses n'avaient utilisé les méthodes de Valérie. Elle eu une angoisse rétrospective en pensant au nombre de fois où ses camarades auraient pu contempler ses fesses bien rouges si pareille méthode avait eu cours. La dictée commença et les craintes de Dorothée se confirmèrent, le texte était vraiment difficile, les conjugaisons n'étaient pas sa spécialité, bref elle commença insensiblement à serrer ses fesses encore douloureuses. Valérie en fesseuse perverse savait que le niveau de la dictée dépassait les compétences de son élève, elle marchait dans la pièce en parlant lentement, de temps en temps elle se trouvait derrière Dorothée et elle contemplait son large fessier qui dépassait légèrement de la chaise, elle se régalait à l'avance des fessées qu'elle se ferait un malin plaisir à lui administrer. Quand la dictée fut terminée, Valérie ramassa la feuille et désigna le prie dieu qu'elle avait placé au centre de la pièce. 

- mettez vous à genoux et prenez votre livre de français pour réviser un peu vos règles de conjugaison, je pense que c'est nécessaire et puis vous serez prête pour le corrigé de votre dictée. 

Inquiète de la tournure des événements, Dorothée s'exécuta, elle était toujours fesses à l'air, elle prit son livre et l'ouvrit mais elle eu du mal à se concentrer. 



Elle repensa aux circonstances qui l'avait amené, elle la pétillante secrétaire de 50 ans à se retrouver en train de prendre des cours particuliers de français et recevoir des fessées déculottées comme une gamine. Sa supérieure à la mairie l'avait convaincue de passer ce concours pour accéder à un poste plus intéressant mais connaissant ses lacunes elle lui avait conseillé de prendre des cours auprès de Valérie qui était une amie. La rencontre avait été surprenante et cuisante pour Dorothée, surtout qu'à l'humiliation d'avoir reçu ce châtiment enfantin dès son premier cours elle avait du  le lendemain répondre aux questions insistantes et intéressées de Mme Dubois sa supérieure, celle-ci était au courant des méthodes de son amie. 

- alors Dorothée, ça c'est bien passé? Valérie n'a pas été trop sévère ?

Devant les yeux baissés et la rougeur des joues de sa subordonnée Jacqueline Dubois avait vite compris. 

- elle vous a donné la fessée ? Dès le premier cours…. à la bonne heure, je ne vous félicite pas, mais vous verrez c'est très efficace vous allez faire des progrès. Je la vois ce soir, on va certainement discuter de vos problèmes. 

Valérie avait fini la correction de la dictée, comme elle l'avait prévu les fautes s'étaient accumulées pour arriver au total fatidique de 11 qui impliquait deux fessées successives aujourd'hui et une fessée matin et soir pendant trois jours. Dorothée avait les larmes aux yeux en pensant aux conséquences de son étourderie car la plupart des fautes étaient évitables, Valérie lisait à voix haute la dictée et à chaque faute sa règle s'abattait sur le large fessier tendu entrainant un cri de la punie. 

- mais c'est quand même incroyable ! Ce ne sont que des fautes d'inattention ou de conjugaison que ne ferait pas une élève de sixième ! A je vous promets que je vais vous en faire passer l'habitude ! Venez ici!

Valérie s'était assise sur une chaise et elle désignait ses genoux à Dorothée, en pleurnichant celle-ci redevenue une gamine se coucha docilement en travers des cuisses de la sévère professeure. Les fesses étaient déjà bien rouges mais cela n'arrêta pas Valérie, elle se mit en devoir de corriger à nouveau ce derrière qui semblait fait pour la fessée. Dorothée se mit immédiatement à pleurer, ses fesses étaient en feu, elle battait des jambes pour atténuer la brûlure, à la douleur de son fessier s'ajoutait la honte de sa position et de sa tenue. Une grande glace sur le côté lui renvoyait son image, une dame de 50 ans la culotte baissée aux genoux, les fesses écarlates gigotant et pleurnichant sous les vigoureuses claques de Valérie. 



La punition ne dura pas trop longtemps et comme d'habitude Dorothée fut conduite au coin pour faire refroidir ses fesses et réfléchir à ses fautes. Elle songea avec effroi que ses fesses déjà brûlantes n'en avait pas fini avec les fessées. 

Valérie répondait au téléphone à une maman désespérée par les résultats de sa grande fille de 20 ans et qui désirait lui faire prendre des cours ayant eu vent de ses méthodes très efficaces. 

- aucun problème madame, Caroline peut venir demain. Nous ferons un petit test pour voir ses lacunes. Juste une petite précision, vous êtes au courant de ma méthode, j'utilise si nécessaire la fessée. Bien si cela ne vous dérange pas c'est parfait, prévenez Caroline tout de même. C'est un détail mais j'y tiens, je souhaite que mes élèves portent une jupe, c'est beaucoup plus pratique pour administrer la fessée déculottée….. à oui, chez moi la fessée c'est toujours cul nu…. vous verrez Caroline va faire très vite des progrès et je vous garantis une jeune femme toute mignonne à la maison. 

Elle raccrocha en souriant, encore une nouvelle paire de fesses à découvrir. Elle contempla le magnifique derrière écarlate de son élève, il était temps de continuer son cours. Dorothée s'assit avec précaution sur sa chaise. Les règles de conjugaison se succédaient et elle se tortillait sur son siège pour atténuer la cuisson ce qui faisait sourire Valérie. Quand la leçon fut terminée, elle lui annonça qu'avant de la laisser partir elle avait quand une dernière fessée à lui administrer. Dorothée poussa un soupir et se leva. Valérie lui montra le prie dieu. 

- agenouillez vous là et tendez moi bien vos fesses. Puisque ma main ne semble pas suffisante vous allez goûter au martinet, ça vous rappellera votre jeunesse. 

Valérie devinait que vu son âge, Dorothée avait du recevoir de sa mère quelques cinglées de cet instrument qui ornait toutes les maisons dans les années soixante. Le redoutable martinet en avait corrigé bien des derrières, ses lanières étaient usées mais encore très efficaces et c'est les fesses rouge carmin avec un entrelacs de traces plus foncées que Dorothée larmoyante put enfin se reculotter. 



Elle avait passé tout l'après-midi les fesses à l'air. Valérie lui annonça la suite. 

- je vous attends demain matin et demain soir pour la suite de votre punition, je vais appeler Jacqueline pour la prévenir que vous serez un peu en retard au bureau, je ne voudrais pas qu'en plus vous receviez une fessée pour ça. 

Elle avait ajouté cette dernière phrase en riant. Mais Dorothée avait piqué un fard, sa supérieure serait donc au courant de son infortune, pourvu qu'elle ne lui demande pas de lui montrer ses fesses pour voir le résultat de la fessée. 



1 commentaire:

  1. donc Valérie aurait 6 globes à fesser et la chère Sylvie n'en aurait que deux. c'est tellement injuste. y a-t-il une tournure des événements entre Valérie et Sylvie. hâte d'en savoir plus
    Chinmay

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