vendredi 17 juin 2022

Chapitre 25

 Une soirée à l'institut, 2ème partie 



Monique savait ce qui allait lui arriver, la fessée n’était pas une nouveauté pour elle, ni même de la recevoir devant d’autres personnes. Ce qui était nouveau c’était la solennité du châtiment, être le centre du spectacle avec une vingtaine de paires d’yeux qui la scrutait, qui allait voir sa culotte descendre, admirer ses fesses nues et assister à sa punition où c’était sûr elle finirait par supplier et pleurer comme une gamine punie par sa maman
- tu vas dire à tous le monde pourquoi tu vas recevoir la fessée déculottée. Vite !
Elle avait accompagné sa phrase d'une bonne claque sur la cuisse de Monique. Celle-ci avait maintenant l'habitude des petites humiliations de sa fille mais celle là était inédite, elle rougit violemment et se mit à bafouille.
- euh...C'est à dire..euh...aie aie. 
Elodie avait claqué les cuisses juste sous la jupe. 
- dépêche toi, on a pas que ça à faire !
- aïe aïe aïe, pardon momy...j'ai désobéi...
- c'est vrai. Et tu mérites quoi ?
- aïe aïe aïe, une bonne fessée déculottée.
Les claques sur les cuisses avaient continué. Sophie et Aurélie appréciait l'autorité et la perversité de la jeune femme. 
- parfait, puisque c'est toi qui le dit, je vais te satisfaire. En position ma fille. 
La différence d'âge était complètement gommée par la tenue et l'attitude des deux dames. Les rôles étaient inversés.  C'était Monique la gamine qui s'apprêtait à recevoir une fessée cul nu par sa maman Elodie. Elle se laissa coucher en travers des cuisses de sa momy. La jupette était si courte que déjà apparaissait la base des fesses et la petite culotte. Elodie retroussa largement le vêtement de gamine, la culotte en coton à petites fleurs moulait parfaitement le fessier bien tendu, dévoilant un peu le pli séparant les fesses des cuisses, elle tapota le fin tissu. 
- tu m'as bien dit, une fessée déculottée n'est ce pas ? Et bien on va baisser cette mignonne petite culotte, que tous le monde puisse bien voir ton petit derrière. Voilà mesdames, Monique va recevoir une fessée cul nu devant vous  j'espère que ça va lui faire comprendre qu'il ne faut pas désobéir. 
Pendant cette tirade, elle avait doucement descendu la culotte, la faisant glisser sur la courbe des fesses. Elle voulait prolonger son plaisir et celui des spectatrices. C'était une fessée solennelle, pas une punition rapide de maman en colère. Une fois la culotte baissée elle assura la position de Monique, elle l'a fit basculer un peu plus vers l'avant de façon à ce que ses pieds décollent légèrement du sol, rendant la position encore plus humiliante. Monique avait la tête près du sol, ses mains posées par terre, ses fesses bien à disposition de la main de sa fesseuse. La fessée débuta rapidement, Elodie claquait de façon méthodique, une fesse après l'autre, c'était des claques très puissantes, la main semblait rebondir sur les fesses tendues, Monique ne put retenir ses cris, elle avait maintenant l'habitude des fessées sévères, ses fesses avaient connu de nombreuses mains différentes mais les fessées de sa fille étaient souvent les plus douloureuses. Elle se mit comme à chaque fois à supplier. 
- aïe aïe aïe non momy, aie aie aie, ça fait mal, promis je serai sage....



Puis les pleurs arrivèrent rapidement signe de la sévérité de la fessée. C'était toujours un spectacle étonnant de voir ces dames d'âge mûr redevenir des gamines sous l'effet de la fessée déculottée. Maintenant les deux fesses étaient d’un rouge soutenu, Elodie cessa la fessée et se tourna vers Sophie.
- comme je n’avais pas prévu de punir Monique ce soir, je n’ai pas amené d’instrument à part ma brosse à cheveux qui est toujours dans mon sac. Pourriez vous me fournir quelque chose pour que ce joli derrière soit un peu plus coloré.
Sophie en souriant lui tendit la spécialité maison la petite raquette en cuir que tous le monde appelait par son petit nom "Mlle claquefesse". La plupart des fesses assises sur les chaises avait goûté à la brûlure de cet instrument. 
- tenez Elodie, voilà qui va faire l'affaire. 
La jeune femme se saisi de la petite raquette en cuir, caressa la peau des fesses rouges de sa mère. 
- on va finir en beauté cette punition ma petite chérie, puisque tu m'as demandé si gentiment une bonne fessée déculottée, je ne veux pas te décevoir, tu vas montrer à toutes ces dames comme tu fais bien la danse des fesses. 
Ça pour danser, elles dansèrent les fesses de Monique, la petite raquette claquait à toute vitesse les fesses qui s'ouvraient largement puis se resserraient sous la brûlure, ses jambes pédalant dans le vide, la petite culotte était maintenant enroulée autour des chevilles, Monique pleurait à chaudes larmes, elle avait oublié le public qui assistait à sa correction, elle n'était plus qu'une gamine fessée par sa mère, ses deux fesses étaient semblable à deux belles tomates bien mûres. La fessée cessa, laissant une Monique sanglotante, les fesses largement ouverte laissant voir son petit abricot bien lisse puis elle les serraient pour essayer d'atténuer la brûlure. Elodie l'a fit se relever, Sophie s'était approchée, comme pour Sylvie elle arrangea sa tenue puis elle la fit pivoter pour présenter ses fesses à l'assemblée, des applaudissements avaient salué la fin de la fessée, des oh d'admiration devant la couleur du fessier. Elodie était fière de cette retentissante fessée, sa mère s'était bien comportée malgré son âge, le public avait assisté à la punition d'une gamine désobéissante. Elle adorait lui flanquer une bonne déculottée mais la présence du public décuplait son plaisir. Maintenant Monique avait été reconduite au côté de Sylvie, il y avait deux paires de fesses bien rouges,




 les trois autres étaient serrées d'angoisse, qui serait la prochaine. 
Edwige reculottez vous et allez voir lola. Cette jeune femme était la plus jeune des punies, elle avait à peine 40 ans, sa jeune maîtresse en avait 25. Elle décida de faire preuve d'originalité dans l'administration de la punition. Elle posa son pied sur la chaise et fit basculer Edwige sur sa cuisse horizontale. C'était la position "à l’écolière" car fréquemment utilisée par les institutrices pour fesser les élèves récalcitrantes, c'était une position très inconfortable pour la punie car ses pieds ne touchaient plus le sol, bien maintenue par la taille ses jambes pouvaient gigoter mais ses fesses étaient directement à portée de la main de sa fesseuse, la position avait fait remonter la jupe évasée, on apercevait la racine des fesses et la petite culotte blanche ornée de dentelle, la jupe retroussée, les fesses magnifiquement tendues par la position apparurent, la culotte rentrait légèrement dans la raie fessière.




Lola très fière d'elle se tourna vers le public. 
- mesdames, je vous présente Edwige, enfin les fesses d'Edwige, cette dame avait décidé qu'elle était trop grande pour recevoir une fessée déculottée publique et bien je vais lui prouver le contraire et lui baisser la culotte devant vous pour que vous puissiez admirer ses jolies fesses. 
Joignant le geste à la parole, elle déculotta largement sa petite amie, la culotte s'arrêta à la pliure des genoux. 
- alors ma petite chérie, tu penses toujours que je n'oserais pas te baisser la culotte devant tous le monde. Et oui toutes les dames voient bien ton petit derrière. 
Edwige sanglotait doucement sous l'humiliation du déculottage public mais rapidement ce fut la douleur qui la fit réagir Lola avait commencé la punition proprement dite, elle administrait de grandes claques qui faisaient rebondir les fesses tendues, les jambes battaient l'air désespérément, le rouge vint rapidement aux joues du bas comme aimait les appeler Mlle Rose. La position était fatigante pour la fesseuse, aussi elle reposa assez rapidement Edwige par terre, puis la fit se pencher sur la chaise, les fesses tendues vers le public. Contrairement à Elodie, elle avait prévu la suite de la fessée. Elle prit son martinet et continua la correction, maintenant la jeune femme sautillait sur place mais preuve de sa docilité tendait toujours son postérieur à la brûlure des lanières. Jugeant la punition suffisante Lola se recula pour admirer le résultat et se tourna vers le public qui applaudissait. Sophie faisait son travail, après avoir remonté un peu la culotte elle prit Edwige par l'oreille pour l'amener plus près des spectatrices, elle la fit se pencher pour bien présenter son fessier écarlate et strié de rayures des lanières. 




C'était maintenant au tour d'Irène de recevoir ce châtiment enfantin en public, elle pleurait déjà en arrivant devant Brigitte, celle ci avait pris son air sévère. 
- ce n'est pas la peine de pleurer ma petite Irène, il fallait réfléchir avant. Mesdames je vous présente Irène, malgré ses 60 ans cette dame à des comportements enfantins, notamment celui de me mentir. Elle était prévenue qu'au prochain mensonge, elle aurait droit à une fessée déculottée en public, madame à voulu faire la maligne et bien elle va vous montrer ses fesses. 
Brigitte tira Irène par la main pour la placer face à elle, ainsi elle tournait le dos au public. Elle retroussa la jupe et la coinça dans la ceinture, la ravissante culotte de petite fille ornée de pois rouge était exposée à la salle. Calmement Brigitte glissa ses pouces sous la ceinture de la culotte et la fit descendre lentement, elle prenait son temps pour laisser au public le plaisir de l'apparition progressive des fesses d'Irène.



Celle-ci sanglotait doucement, elle avait conscience qu'une trentaine de paire d'yeux fixait maintenant son petit derrière comme l'appelait Brigitte. Elle baissa la culotte jusqu'au genoux. 
- voilà madame cul nu, tous le monde voit bien tes jolies fesses. Elles sont un peu blanche, on va leur donner meilleur mine. En piste !
Elle prit la main main de sa mère redevenue une gamine et la fit basculer en travers de ses genoux. Le public était ravi, chacune des fesseuses avait donné un style particulier à la punition. Le déculottage d'Irène avait été particulièrement réussi. Maintenant elle était dans la position traditionnelle des gamines menteuses, c'est ce que lui disait Brigitte en tapotant ses fesses. 
- allez ma petite chérie, desserre moi un peu ces fesses, voilà c'est bien, écarte un peu mieux tes cuisses que ces dames profitent bien du joli tableau. 
Brigitte adorait administrer la fessée  ça se voyait mais elle aimait également tout le cérémonial humiliant qui l'accompagnait. Il était temps de passer aux choses sérieuses, la main se leva et rapidement Irène oublia la honte de montrer ses fesses en public pour ne plus penser qu'à la brûlure de ses fesses. Brigitte ne voulait pas être en reste avec les autres fesseuse, aussi les claques pétaradaient sur le fessier joufflu, Irène retrouva rapidement ses accents de petite fille fessée. 
- aïe aïe aïe non maman, ça brûle, noon maman s'il te plaît noon...aïe aïe aïe aïe. 
Les cris et supplications se mêlaient, les fesses prenaient déjà une jolie couleur. Elle cessa brièvement de claquer ce derrière si bien présentés pour saisir sa brosse à cheveux puis la fessée repris, les cris redoublèrent et se firent plus strident. Les trois fessées précédentes avaient été magistrales mais celle d'Irène fut sans nul doute la plus sévère. 



Quand Sophie la prit en charge pour présenter ses fesses écarlates au public, son visage était inondé de larmes et ses fesses se serraient convulsivement. Elle rejoignit ses compagnes d'infortune, les quatre paires de fesses étaient toutes plus rouges les unes que les autres. 
C'était maintenant le tour d'Élisabeth, elle se reculotta selon les consignes de Mlle Rose. Aurélie plaça une deuxième chaise sur l'estrade face à l'autre puis elle y prit place avec Sophie, leurs genoux se croisaient de façon à offrir une large plateforme, Sophie fit un petit signe du doigt à Elisabeth pour lui indiquer l'endroit où elle devait se coucher. Les chaises étaient placées obliquement de façon que le public puisse voir les fesses de la punie, Sophie se chargea du retroussage et Aurélie du déculottage. Les fesses de la baronne De Nouvel étaient maintenant pointées vers le public, encadrées par la ceinture du porte jarretelles et les bas, la culotte en satin descendue à mi cuisses, le spectacle était excitant. Mlle Rose prit la parole. 
- Elisabeth a été particulièrement indisciplinées cette semaine aussi elle a droit à la spécialité de l'institut la double fessée. Allez y mesdemoiselles. 
Sophie et Aurélie levèrent leurs mains et chaque fesse reçu en même temps une claque magistrale. Elisabeth hurla sous la douleur. La double fessée était beaucoup plus sévère car les deux fesses étaient claquées à chaque fois. La punie recevait dans le même laps de temps le double d'une fessée normale. Les jambes de la pauvre Elisabeth menait une danse effrénée, jamais depuis qu'elle fréquentait l'institut elle n'avait reçu pareil correction. Mais ce fut pire quand les deux assistantes prirent chacune une "mademoiselle claquefesse", les cris redoublèrent et les fesses n'eurent bientôt rien à envier aux autres punies. La fessée cessa sous les applaudissements de la salle. Elisabeth dut également présenter ses fesses écarlates au public puis rejoignit les quatre autres dames pour son temps de coin après la fessée. Le tableau des cinq paires de fesses était saisissant, les jupes épinglées dans le dos, le rouge souligné par la culotte à mi cuisses. Des murmure d'admiration et de craintes parcoururent la salle. Presque toutes les personnes présentes avait un jour où l'autre du subir l'humiliation du déculottage et de la mise au coin fesses à l'air. Les fesses se serraient sous les culottes en pensant qu'elles auraient pu être à la place d'une de ces dames. 

A suivre...






















1 commentaire:

  1. vraiment super mise à jour sylvie.je défilais vers le bas et j'ai senti .... où est la partie restante ... je veux plus ...... Monique, edwige, Elisabeth .... toutes des fessées bien méritées.
    Chinmay

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