jeudi 23 juin 2022

Les fessées partent en vacances


Ma petite Sylvie avant les vacances, tu vas nous montrer tes fesses. 
Oui je sais à ton âge ce n'est pas très agréable de se retrouver au coin la culotte baissée, mais ça va te faire réfléchir à de nouveaux récits. 


 Sylvie part en vacances pendant 15 jours, pour vous faire patienter quelques photos commentées.

 



Et oui mesdemoiselles, ça brûle, je sais. Mais c'est fait pour ça la fessée cul nu. 




Maintenant ma petite Sylvie, tu files à la maison !!

Je t'ai suffisamment prévenue !

Puisque tu ne veux pas comprendre,  à partir de maintenant à chaque incartade, ça sera la fessée déculottée !





Et oui, je sais que ce n'est pas très agréable de se faire baisser la culotte devant tous le monde. Mais je t'avais prévenue, la prochaine fois que tu désobéirais ça sera la fessée déculottée. Et bien nous y voilà.

Ces dames vont voir que tu as une belle paire de fesses.

Je te l'ai toujours dit. Avec un si joli derrière il n'y a que la fessée déculottée comme punition.





Voilà, c'est terminé ma petite chérie, maintenant tu files au lit. Oui je sais qu'il n'est que 9 heure du soir, mais tu m'as désobéi, tu es punie. Tu vas voir on dort beaucoup mieux avec une paire de fesses bien rouge et chaude.





Oui madame, je comprends un peu votre surprise, mais Sylvie a désobéi. Elle est punie, elle réfléchi aux conséquences de son comportement.

Oui, oui elle a déjà reçu une bonne fessée sur la culotte, vous avez bien vu, ses fesses sont déjà rouges. Mais ce n'est que le début, même à son âge, c'est la fessée cul nu qu'il lui faut.

D'ailleurs si ça ne vous dérange pas je vais lui administrer sa fessée devant vous, rien de mieux qu'une fessée déculottée publique pour rappeler aux dames qu'il faut obéir.

Sylvie ! Tu peux venir s'il te plait. Je vais avoir une conversation avec ton petit derrière.





Et oui mesdemoiselles, voilà ce qui arrive quand on se moque de ses professeurs. Non, il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée déculottée ! Il fallait y réfléchir avant.

 
Oui je sais ça brûle, c'est même fait pour ça la fessée cul nu figurez vous ! On ne frottes pas ses fesses, vous allez rester là à nous montrer vos fesses bien rouges jusqu'à la fin du cours. Vos petites camarades vont les admirer, je pense qu'elles ont compris qu'ici on est là pour travailler.




Tu colles bien ton nez contre le mur. Je ne veux plus t'entendre !
Cesse de pleurnicher, tu as juste reçu ta première fessée de la soirée. 
Ton petit derrière bien rouge est très mignon, on va le laisser refroidir un peu et puis tu reviendras faire un petit séjour sur mes genoux. 
Si, si. Et tu vas même goûter à ma brosse à cheveux. Je vais te faire passer l'envie de faire des colères. 
Tant que tu te comporteras comme une gamine, je te traiterai comme une gamine.




 Sylvie Je t'avais pourtant prévenue. La prochaine fois que tu bavarderais en classe tu aurais droit à la fessée déculottée. J'espère bien que tu te rends compte que toutes tes camarades ont une vue parfaite sur tes fesses. Oui ça fait mal, je le sais mais ton petit derrière n'est pas encore assez rouge à mon goût. 
Quand j'en aurai fini avec tes fesses, tu iras au coin fesses à l'air. Ça va te faire le plus grand bien. 



Bonne vacances avec des culottes baissées et des derrières bien rouges.






 

mercredi 22 juin 2022

Punie par Caroline

 Punie par Caroline.



Caroline était furieuse, depuis 2 semaines, elle n'avait plus aucune nouvelle de Sylvie, plus de mail, elle avait même suspendu son compte Twitter et elle ne l'avait même pas prévenue. Ce n'était pas la première fois que ça arrivait et à chaque fois Sylvie revenait penaude en s'excusant. C'était la fois de trop, Caroline savait que son amie avait l'habitude d'aller flâner dans une zone de loisirs à deux pas de la maison de Caroline, elle décida d'aller à sa recherche, nous étions en début d'après-midi, il n'y avait pas grand monde, Caroline arpentait les allées depuis un moment quand elle aperçut son amie assise sur un banc en train de prendre le soleil. Elle était vêtue d'une ravissante robe d'été à fleur, Caroline était partagée entre la joie de la retrouver et la colère vis à vis de son comportement. Sylvie leva les yeux et lui fit un sourire en la reconnaissant.

- oh, bonjour ma chérie  comment vas tu ?

Caroline était estomaquée, même pas un mot d'explication, son sang ne fit qu'un tour.

- très mal, si tu veux le savoir et ça va très mal aller pour toi dans quelques instants.

Sylvie n'avait jamais vu sa jeune amie dans un état pareil.

- mais enfin Caroline, qu'est ce qui t'arrive.

- quoi !! Tu me laisse en plan, sans explication et tu me demande ce qui m'arrive !! Non mais je rêve !!

Sylvie commençait à se rendre compte que son cas s'aggravait, elle rougit et baissa les yeux.

- euh...Je vais t'expliquer...

- j'y compte bien, mais tu m'expliqueras mieux avec les fesses bien rouges !!

Sylvie l'a regarda bouche bée et essaya de protester.

- mais enfin, Caroline...tu ne vas pas...ici ?

- oh que si, tu as parfaitement compris, je vais te flanquer une bonne fessée déculottée et ici !!!

Elle avait pris la main de Sylvie pour la faire se lever puis elle prit sa place et sans lui donner le temps de réfléchir elle la bascula en travers de ses genoux. Sylvie poussa un cri.

- noon, Caroline, s'il te plaît...pas ici, si quelqu'un arrive.

La jeune femme, se mit à rire, elle était déjà en train de retrousser la robe.

- et bien si quelqu'un arrive, il verra une vilaine mamie mal élevée en train de recevoir une fessée cul nu.

Effectivement Sylvie était maintenant fesses à l'air, Caroline n'avait pas perdu de temps, la petite culotte blanche était descendue sous les fesses. Elle leva la main et commença à claquer les fesses tendues de son amie. Sylvie était terrorisée à l'idée que que quelqu'un puisse arriver, elle avait l'impression que le bruit des claques sur la peau nue de ses fesses pouvait s'entendre à des kilomètres. Mais bientôt elle oublia tout ça, car la cuisson de son derrière était intense et elle se mit à gémir et à supplier comme toutes les punie recevant ce châtiment enfantin.

- non, non, aïe aïe aïe, pardon Caroline, ça fait trop mal, pardon....

Caroline voulait marquer le coup, la fessée fut rapide mais intense. Sa colère était un peu retombée mais elle décida que la punition devait être plus complète. Elle fit relever Sylvie, celle ci fit mine de frotter ses fesses et de remonter sa culotte.

- tu ne touches pas à tes fesses et tu laisse ta culotte où elle est !!



Sylvie obéi instantanément, sa robe était retombée cachant sa croupe écarlate. Un joggeuse apparu, elle leur fit un sourire. Qui aurait pu imaginer que la dame avec les joues rouges, quelques instants auparavant se débattait couchée sur les genoux de l'autre jeune femme et recevait une magistrale fessée déculottée et qu'elle était toujours cul nu sous sa robe.

Caroline prit la main de Sylvie et la conduisit à sa voiture. Devant le regard interrogatif de Sylvie, elle lui précisa dans un sourire.

- on va chez moi, maman est en vacances et je n'ai pas fini de m'occuper de tes fesses. Tu relève ta robe avant de t'asseoir, cul nu sur le siège madame !

Dès qu'elles furent arrivées, elle la conduisit au coin du salon, elle épingla sa robe haut dans le dos pour dégager les fesses et lui fit mettre les mains sur la tête. Elle prit son téléphone et fit une photo.



- tu sais que tu est très mignonne au coin avec les fesses à l'air. Mais la couleur ne me plaît pas.

Sylvie savait qu'elle était en tort, elle ne protesta pas. Caroline revenait déjà avec la brosse à cheveux.

- viens ici !

Sans un mot, Sylvie s'approcha de sa nouvelle maîtresse, elle s'était assise sur le canapé. Elle la fit basculer à nouveau en travers de ses cuisses. Elle était déjà déculottée mais Caroline baissa la culotte jusqu'aux genoux. Elle tapota les fesses tendues avec la brosse.

- alors ma petite chérie....ça te fait quel effet de recevoir la fessée déculottée par une jeune femme de 20 ans….

Sylvie essaya de protester.

- oh Caroline, c'est bon, j'ai compris, promis je ne recommencerai plus.

- j'espère bien, mais je crois qu'il faut que je parle encore un peu à tes petites fesses.

Elle leva la brosse et commença la fessée. Les fesses étaient encore sensibles de la première fessée en plein air, Sylvie se mit immédiatement à crier puis rapidement  à pleurer. 




Caroline avait un peu pitié mais elle était encore en colère, il fallait que la leçon porte ses fruits. Quand la correction cessa, les fesses de Sylvie étaient d'un rouge profond sur toutes leurs surface. Une fois debout, elle se mit à trépigner sur place, ce qui fit rire la jeune femme.



- ma petite chérie à mal à  son cucul ? Tu vas aller réfléchir à ton attitude au coin.

Elle remonta la culotte à mi cuisses. Sylvie posa docilement ses mains sur la tête.

Caroline la laissa une heure en pénitence. Puis elle l'autorisa à se reculotter et lui offrit un thé.

- je te garde à la maison cette nuit. Il nous reste encore un détail à régler pour que l'ardoise soit effacée.

Sylvie ne protesta pas, elle avait tellement envie que Caroline lui pardonne. Elles passèrent l'après-midi à discuter, Sylvie grimaçant un peu à chaque fois qu'elle s'asseyait. Mais après le repas la douleur s’était estompée. Caroline regarda sa montre.

- il est 9 heures, c'est le moment d'aller au lit.

Sylvie la regarda bouche bée. Elle ne se couchait jamais avant 11 heures. Caroline compris et ajouta en souriant.

- je sais ma chérie, mais tu es punie, les vilaines filles vont au lit sans discuter. Je t'ai préparé un pyjama, tu te laves les dents et les fesses et je te rejoins dans 5'.

Quand elle arriva dans la chambre, Sylvie l'attendait assise sur le lit. On aurait dit une gamine attendant sa maman. Elle fut un peu inquiète en voyant la règle plate et la brosse à cheveux dans sa main. Caroline la fit se lever et prit sa place. Elle tapota ses cuisses.

- en position ma chérie.

Sylvie se coucha docilement sur ses genoux. Caroline baissa immédiatement la culotte du pyjama, elle sourit en voyant que Sylvie avait gardé sa culotte dessous. Elle la baissa également, elle passa sa main sur les fesses tendues puis glissa ses doigts entre les fesses et les cuisses pour vérifier que Sylvie avait obéi et s'était lavée les fesses.

- c'est bien ma chérie, mais on ne garde pas sa culotte sous son pyjama. Nous allons donc finir ta punition. Rappelle moi depuis combien de temps tu m'as abandonnée.

- euh...Je ne sais pas. Aïe aïe.

Deux claques avaient retenti sur le derrière de la mamie.

- euh. Deux semaines.

- c'est ça, donc si je compte bien ça fait 14 jours. Et bien on va finir par une fessée de 14'.

Sylvie protesta.

- oh noon.



Mais déjà la fessée avait commencé. Et elle dura vraiment le temps prévu, Caroline alternait la main puis la règle puis la brosse. Sylvie hoquetait, pleurait comme une gamine, mais elle ne se déroba pas. Caroline avait une vue imprenable sur son intimité quand elle ouvrait ou serrait ses fesses. Quand ce fut fini, elle la fit se relever, lui enleva la petite culotte et lui remis sa culotte de pyjama.



- au lit, sur le dos, les mains sur les draps, tu ne frottes pas tes fesses. Je sais ça brûle mais c'est fait exprès. Bonne nuit ma chérie.

Sylvie avait une seule envie c'était de se frotter les fesses mais Caroline avait laissé la porte entrouverte pour pouvoir la surveiller. Elle aurait bien aimer aussi dormir sur le ventre, c'est la meilleure position après une sévère fessée déculottée, mais sa jeune maîtresse avait été très clair, il fallait qu'elle ressente le plus longtemps possible la cuisson de la fessée. 

Elle repensa à son après midi, Caroline avait eu raison de la corriger de la sorte. Elle ne recommencerait plus.

 

 

 

 

 

 

vendredi 17 juin 2022

Chapitre 25

 Une soirée à l'institut, 2ème partie 



Monique savait ce qui allait lui arriver, la fessée n’était pas une nouveauté pour elle, ni même de la recevoir devant d’autres personnes. Ce qui était nouveau c’était la solennité du châtiment, être le centre du spectacle avec une vingtaine de paires d’yeux qui la scrutait, qui allait voir sa culotte descendre, admirer ses fesses nues et assister à sa punition où c’était sûr elle finirait par supplier et pleurer comme une gamine punie par sa maman
- tu vas dire à tous le monde pourquoi tu vas recevoir la fessée déculottée. Vite !
Elle avait accompagné sa phrase d'une bonne claque sur la cuisse de Monique. Celle-ci avait maintenant l'habitude des petites humiliations de sa fille mais celle là était inédite, elle rougit violemment et se mit à bafouille.
- euh...C'est à dire..euh...aie aie. 
Elodie avait claqué les cuisses juste sous la jupe. 
- dépêche toi, on a pas que ça à faire !
- aïe aïe aïe, pardon momy...j'ai désobéi...
- c'est vrai. Et tu mérites quoi ?
- aïe aïe aïe, une bonne fessée déculottée.
Les claques sur les cuisses avaient continué. Sophie et Aurélie appréciait l'autorité et la perversité de la jeune femme. 
- parfait, puisque c'est toi qui le dit, je vais te satisfaire. En position ma fille. 
La différence d'âge était complètement gommée par la tenue et l'attitude des deux dames. Les rôles étaient inversés.  C'était Monique la gamine qui s'apprêtait à recevoir une fessée cul nu par sa maman Elodie. Elle se laissa coucher en travers des cuisses de sa momy. La jupette était si courte que déjà apparaissait la base des fesses et la petite culotte. Elodie retroussa largement le vêtement de gamine, la culotte en coton à petites fleurs moulait parfaitement le fessier bien tendu, dévoilant un peu le pli séparant les fesses des cuisses, elle tapota le fin tissu. 
- tu m'as bien dit, une fessée déculottée n'est ce pas ? Et bien on va baisser cette mignonne petite culotte, que tous le monde puisse bien voir ton petit derrière. Voilà mesdames, Monique va recevoir une fessée cul nu devant vous  j'espère que ça va lui faire comprendre qu'il ne faut pas désobéir. 
Pendant cette tirade, elle avait doucement descendu la culotte, la faisant glisser sur la courbe des fesses. Elle voulait prolonger son plaisir et celui des spectatrices. C'était une fessée solennelle, pas une punition rapide de maman en colère. Une fois la culotte baissée elle assura la position de Monique, elle l'a fit basculer un peu plus vers l'avant de façon à ce que ses pieds décollent légèrement du sol, rendant la position encore plus humiliante. Monique avait la tête près du sol, ses mains posées par terre, ses fesses bien à disposition de la main de sa fesseuse. La fessée débuta rapidement, Elodie claquait de façon méthodique, une fesse après l'autre, c'était des claques très puissantes, la main semblait rebondir sur les fesses tendues, Monique ne put retenir ses cris, elle avait maintenant l'habitude des fessées sévères, ses fesses avaient connu de nombreuses mains différentes mais les fessées de sa fille étaient souvent les plus douloureuses. Elle se mit comme à chaque fois à supplier. 
- aïe aïe aïe non momy, aie aie aie, ça fait mal, promis je serai sage....



Puis les pleurs arrivèrent rapidement signe de la sévérité de la fessée. C'était toujours un spectacle étonnant de voir ces dames d'âge mûr redevenir des gamines sous l'effet de la fessée déculottée. Maintenant les deux fesses étaient d’un rouge soutenu, Elodie cessa la fessée et se tourna vers Sophie.
- comme je n’avais pas prévu de punir Monique ce soir, je n’ai pas amené d’instrument à part ma brosse à cheveux qui est toujours dans mon sac. Pourriez vous me fournir quelque chose pour que ce joli derrière soit un peu plus coloré.
Sophie en souriant lui tendit la spécialité maison la petite raquette en cuir que tous le monde appelait par son petit nom "Mlle claquefesse". La plupart des fesses assises sur les chaises avait goûté à la brûlure de cet instrument. 
- tenez Elodie, voilà qui va faire l'affaire. 
La jeune femme se saisi de la petite raquette en cuir, caressa la peau des fesses rouges de sa mère. 
- on va finir en beauté cette punition ma petite chérie, puisque tu m'as demandé si gentiment une bonne fessée déculottée, je ne veux pas te décevoir, tu vas montrer à toutes ces dames comme tu fais bien la danse des fesses. 
Ça pour danser, elles dansèrent les fesses de Monique, la petite raquette claquait à toute vitesse les fesses qui s'ouvraient largement puis se resserraient sous la brûlure, ses jambes pédalant dans le vide, la petite culotte était maintenant enroulée autour des chevilles, Monique pleurait à chaudes larmes, elle avait oublié le public qui assistait à sa correction, elle n'était plus qu'une gamine fessée par sa mère, ses deux fesses étaient semblable à deux belles tomates bien mûres. La fessée cessa, laissant une Monique sanglotante, les fesses largement ouverte laissant voir son petit abricot bien lisse puis elle les serraient pour essayer d'atténuer la brûlure. Elodie l'a fit se relever, Sophie s'était approchée, comme pour Sylvie elle arrangea sa tenue puis elle la fit pivoter pour présenter ses fesses à l'assemblée, des applaudissements avaient salué la fin de la fessée, des oh d'admiration devant la couleur du fessier. Elodie était fière de cette retentissante fessée, sa mère s'était bien comportée malgré son âge, le public avait assisté à la punition d'une gamine désobéissante. Elle adorait lui flanquer une bonne déculottée mais la présence du public décuplait son plaisir. Maintenant Monique avait été reconduite au côté de Sylvie, il y avait deux paires de fesses bien rouges,




 les trois autres étaient serrées d'angoisse, qui serait la prochaine. 
Edwige reculottez vous et allez voir lola. Cette jeune femme était la plus jeune des punies, elle avait à peine 40 ans, sa jeune maîtresse en avait 25. Elle décida de faire preuve d'originalité dans l'administration de la punition. Elle posa son pied sur la chaise et fit basculer Edwige sur sa cuisse horizontale. C'était la position "à l’écolière" car fréquemment utilisée par les institutrices pour fesser les élèves récalcitrantes, c'était une position très inconfortable pour la punie car ses pieds ne touchaient plus le sol, bien maintenue par la taille ses jambes pouvaient gigoter mais ses fesses étaient directement à portée de la main de sa fesseuse, la position avait fait remonter la jupe évasée, on apercevait la racine des fesses et la petite culotte blanche ornée de dentelle, la jupe retroussée, les fesses magnifiquement tendues par la position apparurent, la culotte rentrait légèrement dans la raie fessière.




Lola très fière d'elle se tourna vers le public. 
- mesdames, je vous présente Edwige, enfin les fesses d'Edwige, cette dame avait décidé qu'elle était trop grande pour recevoir une fessée déculottée publique et bien je vais lui prouver le contraire et lui baisser la culotte devant vous pour que vous puissiez admirer ses jolies fesses. 
Joignant le geste à la parole, elle déculotta largement sa petite amie, la culotte s'arrêta à la pliure des genoux. 
- alors ma petite chérie, tu penses toujours que je n'oserais pas te baisser la culotte devant tous le monde. Et oui toutes les dames voient bien ton petit derrière. 
Edwige sanglotait doucement sous l'humiliation du déculottage public mais rapidement ce fut la douleur qui la fit réagir Lola avait commencé la punition proprement dite, elle administrait de grandes claques qui faisaient rebondir les fesses tendues, les jambes battaient l'air désespérément, le rouge vint rapidement aux joues du bas comme aimait les appeler Mlle Rose. La position était fatigante pour la fesseuse, aussi elle reposa assez rapidement Edwige par terre, puis la fit se pencher sur la chaise, les fesses tendues vers le public. Contrairement à Elodie, elle avait prévu la suite de la fessée. Elle prit son martinet et continua la correction, maintenant la jeune femme sautillait sur place mais preuve de sa docilité tendait toujours son postérieur à la brûlure des lanières. Jugeant la punition suffisante Lola se recula pour admirer le résultat et se tourna vers le public qui applaudissait. Sophie faisait son travail, après avoir remonté un peu la culotte elle prit Edwige par l'oreille pour l'amener plus près des spectatrices, elle la fit se pencher pour bien présenter son fessier écarlate et strié de rayures des lanières. 




C'était maintenant au tour d'Irène de recevoir ce châtiment enfantin en public, elle pleurait déjà en arrivant devant Brigitte, celle ci avait pris son air sévère. 
- ce n'est pas la peine de pleurer ma petite Irène, il fallait réfléchir avant. Mesdames je vous présente Irène, malgré ses 60 ans cette dame à des comportements enfantins, notamment celui de me mentir. Elle était prévenue qu'au prochain mensonge, elle aurait droit à une fessée déculottée en public, madame à voulu faire la maligne et bien elle va vous montrer ses fesses. 
Brigitte tira Irène par la main pour la placer face à elle, ainsi elle tournait le dos au public. Elle retroussa la jupe et la coinça dans la ceinture, la ravissante culotte de petite fille ornée de pois rouge était exposée à la salle. Calmement Brigitte glissa ses pouces sous la ceinture de la culotte et la fit descendre lentement, elle prenait son temps pour laisser au public le plaisir de l'apparition progressive des fesses d'Irène.



Celle-ci sanglotait doucement, elle avait conscience qu'une trentaine de paire d'yeux fixait maintenant son petit derrière comme l'appelait Brigitte. Elle baissa la culotte jusqu'au genoux. 
- voilà madame cul nu, tous le monde voit bien tes jolies fesses. Elles sont un peu blanche, on va leur donner meilleur mine. En piste !
Elle prit la main main de sa mère redevenue une gamine et la fit basculer en travers de ses genoux. Le public était ravi, chacune des fesseuses avait donné un style particulier à la punition. Le déculottage d'Irène avait été particulièrement réussi. Maintenant elle était dans la position traditionnelle des gamines menteuses, c'est ce que lui disait Brigitte en tapotant ses fesses. 
- allez ma petite chérie, desserre moi un peu ces fesses, voilà c'est bien, écarte un peu mieux tes cuisses que ces dames profitent bien du joli tableau. 
Brigitte adorait administrer la fessée  ça se voyait mais elle aimait également tout le cérémonial humiliant qui l'accompagnait. Il était temps de passer aux choses sérieuses, la main se leva et rapidement Irène oublia la honte de montrer ses fesses en public pour ne plus penser qu'à la brûlure de ses fesses. Brigitte ne voulait pas être en reste avec les autres fesseuse, aussi les claques pétaradaient sur le fessier joufflu, Irène retrouva rapidement ses accents de petite fille fessée. 
- aïe aïe aïe non maman, ça brûle, noon maman s'il te plaît noon...aïe aïe aïe aïe. 
Les cris et supplications se mêlaient, les fesses prenaient déjà une jolie couleur. Elle cessa brièvement de claquer ce derrière si bien présentés pour saisir sa brosse à cheveux puis la fessée repris, les cris redoublèrent et se firent plus strident. Les trois fessées précédentes avaient été magistrales mais celle d'Irène fut sans nul doute la plus sévère. 



Quand Sophie la prit en charge pour présenter ses fesses écarlates au public, son visage était inondé de larmes et ses fesses se serraient convulsivement. Elle rejoignit ses compagnes d'infortune, les quatre paires de fesses étaient toutes plus rouges les unes que les autres. 
C'était maintenant le tour d'Élisabeth, elle se reculotta selon les consignes de Mlle Rose. Aurélie plaça une deuxième chaise sur l'estrade face à l'autre puis elle y prit place avec Sophie, leurs genoux se croisaient de façon à offrir une large plateforme, Sophie fit un petit signe du doigt à Elisabeth pour lui indiquer l'endroit où elle devait se coucher. Les chaises étaient placées obliquement de façon que le public puisse voir les fesses de la punie, Sophie se chargea du retroussage et Aurélie du déculottage. Les fesses de la baronne De Nouvel étaient maintenant pointées vers le public, encadrées par la ceinture du porte jarretelles et les bas, la culotte en satin descendue à mi cuisses, le spectacle était excitant. Mlle Rose prit la parole. 
- Elisabeth a été particulièrement indisciplinées cette semaine aussi elle a droit à la spécialité de l'institut la double fessée. Allez y mesdemoiselles. 
Sophie et Aurélie levèrent leurs mains et chaque fesse reçu en même temps une claque magistrale. Elisabeth hurla sous la douleur. La double fessée était beaucoup plus sévère car les deux fesses étaient claquées à chaque fois. La punie recevait dans le même laps de temps le double d'une fessée normale. Les jambes de la pauvre Elisabeth menait une danse effrénée, jamais depuis qu'elle fréquentait l'institut elle n'avait reçu pareil correction. Mais ce fut pire quand les deux assistantes prirent chacune une "mademoiselle claquefesse", les cris redoublèrent et les fesses n'eurent bientôt rien à envier aux autres punies. La fessée cessa sous les applaudissements de la salle. Elisabeth dut également présenter ses fesses écarlates au public puis rejoignit les quatre autres dames pour son temps de coin après la fessée. Le tableau des cinq paires de fesses était saisissant, les jupes épinglées dans le dos, le rouge souligné par la culotte à mi cuisses. Des murmure d'admiration et de craintes parcoururent la salle. Presque toutes les personnes présentes avait un jour où l'autre du subir l'humiliation du déculottage et de la mise au coin fesses à l'air. Les fesses se serraient sous les culottes en pensant qu'elles auraient pu être à la place d'une de ces dames. 

A suivre...






















mercredi 15 juin 2022

Clara

 Un texte un peu ancien, jamais publié. Il est tiré d'une expérience réelle pour une bonne part auquel j'ai rajouté une touche personnelle.  Cette jeune fille voulait découvrir la fessée féminine, je me suis dévouée. 



Clara

Clara attendait Sylvie bien sagement dans sa chambre, elle était à la fois émoustillée et un peu inquiète. Bien sûr son grand fantasme c'était de recevoir une fessée par une main féminine et elle ne l'avait réalisé jusqu'à lors qu'une fois. Elle ne connaissait Sylvie que par internet, elle savait beaucoup de choses sur elle, qu'elle avait 68 ans et qu'elles partageaient toutes les deux la même passion pour la fessée déculottée. Leurs longues conversations par mail ou sur Twitter les avaient convaincues toutes les deux qu'il était temps de passer aux travaux pratiques. Les raisons pour Clara de recevoir une bonne fessée déculottée ne manquaient pas, le désordre de sa chambre et ses couchers tardifs avait fourni à Sylvie l'occasion de sévir "pour de vrai".

Clara se remémora sa première fessée féminine, c'était le mois dernier, Maria une amie avait réalisé son fantasme, cela avait été excitant mais aussi très humiliant car en plus d'être une première fessée administrée par une dame celle-ci avait été publique. A la fin d'un repas avec des amis, Clara comme souvent s'était amusée à provoquer Maria, s'imaginant que ça lui donnerait des idées pour une future punition mais à sa grande surprise celle ci lui avait annoncée qu'elle allait lui donner une fessée immédiatement, il y avait quatre autres personnes présentes, Clara avait rougi mais avait obéi quand Maria lui avait demandé de venir devant elle. La jeune femme lui avait dégraffé le pantalon et l'avait descendu.... A sa grande honte elle présentait ses fesses nues aux convives qui n'en perdait pas une miette. En effet ce jour là, elle ne portait pas de culotte, elle avait été punie par Sylvie lors d'un de leurs échanges par internet et la sanction avait été la privation de culotte pendant tout le week-end.

Maria surprise et amusée d'avoir les fesses de son amie immédiatement à sa disposition s'était un peu moquée d'elle et l'avait traitée de dévergondée. Clara s'était ensuite retrouvée allongée en travers des cuisses de Maria qui lui avait administré une bonne fessée cul nu devant ses quatre amis qui avaient bien ri de sa punition enfantine, surtout que pour parfaire son humiliation Maria l'avait mise au coin avec le pantalon aux chevilles et les fesses toutes rouges bien exposées.

Ce souvenir l'excitait encore, c'est à ce moment que Sylvie frappa à la porte.

Elle était exactement comme elle s'était décrite, assez grande, mince, cheveux courts, sportive et souriante. Elle ne faisait pas ses 68 ans mais pensa Clara, elle avait quand même l'âge de m'administrer une bonne fessée déculottée. Elles se firent la bise et immédiatement Sylvie examina la chambre d'un œil circulaire, Clara n'avait bien sûr fait aucun effort de rangement.

- c'est bien ce à quoi je m'attendais, ma petite Clara tu sais que je ne supporte pas le désordre. Ta chambre est dans un état catastrophique, j'espère que tu en as conscience.

Clara baissa les yeux, bien sûr elle s'attendait à ça mais la présence réelle de Sylvie la faisait revenir en enfance, pourtant sa mère était loin d'être sévère. Elle bredouilla. 

- vous avez raison Sylvie, mais vous savez je travaille beaucoup... 

Sylvie avait pris un air sévère, elle sourit légèrement. 

- je le sais, mais ce n'est pas une excuse, tu sais ce que je t'ai promis ? 

Elle s'était assise sur le bord du lit et elle tapotait ses cuisses, Clara compris que c'était le moment.... Elle s'approcha de son amie, devenue en un instant une maman sévère, dès qu'elle fut contre elle, Sylvie lui prit la main et la fit basculer en travers de ses genoux. Clara portait un pyjama à petits carreaux noir et blanc, Sylvie glissa ses doigts dans la ceinture et baissa le pantalon, découvrant une fine culotte en coton rose pâle, moulant parfaitement le joli derrière de la jeune femme. Clara n'avait pas menti, elle avait de très jolies fesses bien rondes et musclées. Sylvie était ravie, depuis le temps qu'elle fantasmait sur la fessée, enfin son rêve se réalisait, bien sûr elle aurait bien aimé être dans la position de Clara mais elle ne boudait pas son plaisir, administrer une vraie fessée c'était aussi un désir inassouvi. Elle leva la main et commença à claquer le généreux postérieur encore culotté. Elle savait que Clara était amatrice de forte fessée aussi elle ne retenait pas ses claques et rapidement malgré la protection du fin coton, Clara commença à ressentir les effets de la correction et se mit à gémir, c'est le moment que choisit Sylvie pour lui baisser la culotte. 

- bien mademoiselle, on va passer aux choses sérieuses, la fessée déculottée ! 

Les fesses nues et déjà rosées de la jeune femme apparurent dans toute leurs splendeurs. 

- oh quelle jolies fesses, mes félicitations ma petite Clara... Des fesses pareilles ça nécessitent une vraie bonne fessée... 

La main reprit son œuvre, les claques magistrales s'abattaient sur les fesses exposées de la jeune femme, ce n'était pas une fessée pour rire mais une véritable punition, la main rebondissait sur le fessier qui rougissait à vue d'œil. Clara malgré son habitude des fortes fessées ne put retenir longtemps ses supplications, la brûlure qui lui embrasait la croupe était intolérable. 

- aie aie, pardon Sylvie, noon ça fait trop mal, arrêtez je vous en prie... C'est bon j'ai compris je rangerai ma chambre. 

Mais Sylvie tout à son plaisir de fesser cette belle paire de fesses juvénile ne comptait pas en rester là. Les claques se succédaient sur la fesse droite puis sur la gauche, maintenant elles étaient rouges écarlates sur toute leur surface. Elle s'attaqua au haut des cuisses, c'était une zone encore plus sensible, les cris de Clara redoublèrent et bientôt les larmes se mêlèrent aux gémissements, elle était vraiment redevenue une gamine punie, ses fesses s'ouvraient et se refermaient au rythme de la correction. La fessée durait depuis 5' quand Sylvie jugea le résultat satisfaisant, les deux hémisphères charnus n'étaient plus que deux boules rouges carmin et la jeune femme couchée sur ses genoux pleurait à chaudes larmes. Elle cessa la fessée et passa sa main sur la peau brûlante. 

- voilà ce qui arrive aux paresseuses désobéissantes, j'espère que tu as compris la leçon ma petite Clara. 

La jeune étudiante en médecine sanglotait toujours allongée en position disciplinaire, effectivement la fessée avait été sévère, elle ne pensait pas que Sylvie eu de tel talent de fesseuse. Ses fesses la brûlait, elle les serrait puis les ouvrait sans aucun souci de pudeur. Sa nouvelle maman la fit se relever et pour parfaire l'illusion de la punition familiale elle la saisit par l'oreille et la conduisit au coin de la chambre. Le pantalon du pyjama était enroulé autour de ses chevilles et sa culotte descendue aux genoux. 

- voilà vilaine fille, tu vas me faire refroidir ces jolies fesses et tu vas pouvoir réfléchir à la suite. 



Claire sanglotait doucement, elle avait entendu le mot suite, cela voulait dire que Sylvie ne comptait pas en rester là. Elle aurait pu protester qu'elle avait déjà été bien punie mais redevenue une gamine soumise elle colla son nez contre le mur et mit ses mains sur la tête. Sylvie satisfaite de la tenue de sa jeune amie, jeta un coup d'œil circulaire à la pièce, c'était un véritable capharnaüm, elle pensa que la fessée était vraiment méritée. 

Elle laissa Clara en pénitence pendant 5', puis elle la fit revenir devant elle, la jeune femme avait toujours les mains sur la tête et lui exposait sa toison, c'était une posture très humiliante, Sylvie savourait l'instant. 

- alors mademoiselle, on a compris ? 

- oh oui, pardon Sylvie, je vous promet je vais ranger ma chambre. 

- j'espère bien, tourne toi que j'examine tes fesses. 

Docilement Clara s'exécuta et elle présenta sa croupe écarlate. Sylvie carressa la peau brûlante. 

- c'est ce qu'on peut appeler une bonne fessée mais je pense qu'il te faut un petit supplément. 

Comprenant qu'elle allait à nouveau recevoir une fessée, Clara se remit à gémir et à supplier. 

- oh noon, s'il vous plaît, Sylvie plus la fessée, j'ai compris, c'est bon, non ça fait trop mal.. Pardon... 

Sylvie souriait, c'était si agréable de voir cette jeune femme redevenue une gamine suppliante, elle lui avait prit la main et elle la guidait sur ses genoux. 

- oh si mademoiselle la vilaine ! Je veux que la leçon soit bien comprise et je pense que je vais te la faire rentrer par les fesses. Clara était à nouveau en position, ses fesses bien présentées, Sylvie assura la position, la tête de la jeune femme était presque au sol, ses pieds décollés, elle était vraiment à sa merci. Elle avait sorti sa brosse à cheveux, pour l'avoir testé sur elle même la veille, elle savait que la fessée serait douloureuse aussi elle ne frappa pas trop fort. Clara poussa un cri et voulu protéger ses fesses avec sa main, calmement comme une fesseuse expérimentée, Sylvie lui saisi la main et la coinça dans le dos tandis qu'elle continuait à fesser le postérieur rubicond. Elle administra une cinquantaine de coups, Clara s'était remise à pleurer, cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas reçu une punition aussi sévère. La fessée s'arrêta mais Sylvie ne la fit pas se relever. Soudain elle sentit les doigts de sa maîtresse écarter ses fesses. Ce petit viol de son intimité était trop humiliant, elle serra les fesses, deux claques solidement appliquées eurent raison de sa pudeur. 

- tu me desserre ces fesses immédiatement, sauf si tu veux une autre fessée. 

Vaincue Clara se laissa faire, elle se doutait où Sylvie voulait en venir. C'était une conversation récurrente qu'elle avait eu sur internet, Sylvie pensait que la prise de température rectale était une punition complémentaire très efficace. Elle sentit l'embout froid du thermomètre s'appuyer sur sa petite rondelle et violer son intimité. Nous y étions, elle s'était déjà mis elle même le thermomètre mais maintenant elle était carrément redevenue une fillette sur les genoux de sa maman.



 L'instrument médical pénétrait doucement, puis Sylvie le ressortait pour l'introduire encore plus profondément, ce n'était pas douloureux mais tellement humiliant, Clara se remit à pleurer. 

- noon, s'il vous plaît madame, j'ai trop honte, noon... 

Sylvie souriait et s'appliquait à faire pénétrer le thermomètre le plus profondément possible, elle savait que Clara allait finir par y prendre goût, la honte fait partie du plaisir. Quand le thermomètre ne dépassa plus que de quelques centimètres, elle relâcha les deux fesses, le petit morceau de verre apparaissait à peine dans la raie fessiere. 

- c'est bien, tu as été très sage, tu vas me garder ce thermomètre un moment, ça va t'aider à réfléchir. 

Clara était vaincue, elle se laissa aller, elle ne pensait plus au spectacle qu'elle offrait, culotte baissée aux genoux, fesses écarlates bien serrées sur le thermomètre. 

La cuisson qui lui envahissait la croupe et le thermomètre qui excitait doucement son fondement tout cela se transformait en une curieuse sensation qui la faisait fondre. Surtout que maintenant Sylvie redevenue une douce maman lui caressait les fesses. 

- quelle gentille petite fille tu es ma chérie, c'est dommage qu'il faille en passer par la fessée déculottée... 

Comme si la situation était banale elle commença à poser des questions à la jeune femme qui lui exposait ses fesses écarlates et Clara docilement lui répondait tout aussi naturellement. Sylvie de temps en temps faisait coulisser le thermomètre ou tapotait la croupe de sa jeune amie. La conversation dura un bon quart d'heure, les fesses de Clara étaient toujours aussi rouges et appétissantes, Sylvie décida d'arrêter la pénitence, elle retira lentement le thermomètre. 

- voilà ta punition est terminée, j'espère ne plus avoir à sévir pour cela. Si c'est le cas, tu goûteras au martinet et tu garderas le thermomètre pendant une heure. 

Clara avait les joues presque aussi rouges que ses fesses, plaisir ou honte c'était difficile à dire. Maintenant elle était debout devant Sylvie, celle-ci la reculotta comme si elle était sa fillette puis elle la fit s'asseoir sur ses genoux et lui fit un gros câlin tout en lui caressant les fesses à travers le pyjama. 

- voilà ce qui arrive aux vilaines filles. Tu vas bien ranger ta chambre maintenant. 

Clara savourait l'instant mais elle se doutait que ce n'était qu'un début, ses fesses risquaient de lui cuire assez souvent dorénavant. 


Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...