vendredi 8 avril 2022

L'institut chapitre 18

La punition d'Elodie



 Elodie suivait Aurèlie, elle tenait toujours ses mains sur la tête, elle avait des crampes mais elle n'osait rien dire, la cuisson de son derrière lui rappelait douloureusement sa condition. Arrivée dans la salle d'examen, Aurèlie lui désigna le banc destiné aux lavements.

- vous pouvez baissez vos mains. Allongez vous la.

Le ton était sans réplique, Elodie s'exécuta rapidement, une fois en place sur le banc, sa tête plus basse que ses fesses, celle-ci étaient parfaitement présentées. Aurèlie lui retira complètement la culotte.

- écartez un peu les jambes, voilà c'est parfait, vous savez que vous avez de magnifiques fesses mademoiselle, le rouge leur va bien.

Comme Sophie, Aurèlie aimait plaisanter sur l'anatomie de ses clientes, surtout quand elles étaient  dans une situation peu avantageuse. Elle laissa la jeune femme dans cette position humiliante, derrière surélevé bien en évidence et elle prépara le matériel destiné au lavement.

Elle revint vers sa patiente avec le bock et la canule mais également une brosse à cheveux. Elle tapota les fesses d'Elodie

- écartez mieux que ça vos fesses mademoiselle, j'ai besoin de voir votre petit trou..

Comme Elodie n'obéissait pas assez vite à son goût elle lui appliqua rapidement 2 claques sur chaque fesses avec la brosse ce qui fit pousser un cri à Elodie mais eut l'effet recherché, la raie fessière s'ouvrit largement. Aurèlie satisfaite posa la brosse sur les reins d'Elodie.

- vous voilà en bonne position, il n'y a rien de mieux que la brosse à cheveux pour faire obéir les jeunes femmes, je la laisse à disposition et je vous promet qu'à la moindre incartade elle saura vous cuire le derrière.

Elle posa une noisette de vaseline sur l'anus de la punie et immédiatement présenta la canule, celle ci pénétra lentement. Elodie gémis sous le viol de son intimité mais instruite par l'expérience se garda bien de bouger, au grand dam d'Aurèlie qui aurait bien aimé lui administrer une fessée supplémentaire. Déçue elle décida une petite vengeance

- vous allez garder le lavement pendant 10' ça vous fera le plus grand bien.

Elodie émit un petit gémissement de protestation, ce qui fit sourire Aurèlie, elle prit la brosse à cheveux

- je vais vous apprendre à vous plaindre..

La brosse claqua une dizaine de fois le derrière bien tendu, Elodie se mit à pleurer sous la cuisson.

- bien, que ça vous serve de leçon, je ne veux plus vous entendre !

Pendant ce temps Caroline exposait ses fesses brûlantes au coin du hall d'accueil, la cuisson était intense et pour essayer de l'atténuer elle serrait convulsivement ses fesses et se dandinait sur place, ce qui avait le don d'énerver Sophie, elle lui avait demandé deux fois de cesser de bouger, voyant que c'était sans effet, elle se leva et saisissant Caroline par l'oreille elle l'attira vers elle, puis elle la courba sous son bras.

- je vais vous calmer rapidement mademoiselle !

Sa main se leva et elle appliqua une rapide fessée à la pauvre Caroline qui pleurait et trépignait sur place, sa taille fermement maintenue par Sophie, seul le bas du corps pouvait bouger.



 Quand Sophie la relâcha ses fesses avaient repris une couleur rouge beaucoup plus sombre.

- vous retournez au coin et vous ne bougez plus, d'ailleurs avec ça vous allez être calmée.

Sophie avait pris le martinet et elle écarta les fesses de la jeune femme puis elle plaça le manche du martinet au fond de la raie fessière.

- Serrez les fesses, mademoiselle, si le martinet tombe, je m'en sers sur vos fesses.

Caroline vaincue par la succession de fessée qui lui embrasait les fesses, contracta ses deux hémisphères. Le manche du martinet dépassait en haut et en bas du sillon, les lanières pendaient sur les fesses.

Effectivement Caroline concentrée sur le maintien du martinet à sa place ne bougea plus.

Aurèlie revenait de la salle de lavement, elle avait laissé Elodie avec la canule plantée au milieu des fesses. Elle s'adressa à sa collègue.

- je vais avoir besoin de ton aide, je suis un peu débordée, peux-tu t'occuper d'Amelie, je lui ai mis le thermomètre depuis un moment, il faudrait lui donner sa fessée thérapeutique. Sophie acquiesça, c'était toujours un plaisir pour elle d'administrer une fessée, thérapeutique ou punitive elle adorait rougir les derrières

Aurèlie s'approcha de Hervé qui exposait toujours ses fesses rougies.

- c'est bien monsieur, je pense que votre épouse sera satisfaite.

Elle refixa le fond de la culotte avec les pressions.

- vous pouvez vous rhabiller. Vous gardez cette culotte, votre épouse pourra l'essayer dès votre arrivée. Je vous fais un paquet cadeau pour le lot de culotte à fessée.

Elle avait dit cela avec un petit sourire malicieux, elle se doutait bien que Christine la femme d'Hervé allait se faire un plaisir de mettre à nu le derrière de son mari

Elle jeta un regard sur le fessier rougeoyant de Caroline serré sur le manche du martinet. Décidément Sophie avait de très bonnes idées, le spectacle offert par la jeune femme était très suggestif. Il était temps d'aller libérer Elodie de sa canule.

Dès qu'elle lui eut retirée, elle lui prodigua les conseils d'usage.

- vous serrez bien les fesses mademoiselle, il ne faudrait pas qu'il y ait une fuite, vous pouvez aller aux toilettes.

Elodie morte de honte, jupe épinglée dans le dos, se dirigea à petit pas vers les toilettes fesses écarlates bien serrées.

Dès qu'elle revint, Aurèlie lui saisi l'oreille pour la conduire chez madame Rose qui l'attendait pour la mise en place du plug.

Sophie avait administré la fessée thérapeutique à Amelie et l'avait laissé avec les fesses rouges enduites de crème. Elle se dirigea vers Caroline, elle lui tapota les fesses.

- alors mademoiselle, on ne sera plus vilaine ? Je vais vous enlever le martinet, j'espère que vous êtes calmée, il vous reste encore 1/2 h de pénitence, soyez sage.

Caroline définitivement soumise, ne protesta pas, elle avait intégré l'idée qu'à 20 ans, il était normal de recevoir la fessée déculottée et d'exposer pendant de longues minutes ses fesses rougies.

A la fin de sa pénitence, Sophie la reprit sur ses genoux pour une nouvelle fessée, mais cette fois ci, elle utilisa mademoiselle claquefesse, cette raquette en bois percée de trous. 



Le résultat fut à la hauteur de ses espérances, Caroline hurla sous la brûlure et effectua une magnifique danse des fesses. Elle la garda allongée en position disciplinaire le temps qu'elle se calme puis elle lui annonça.

- voilà ce qui arrive aux vilaines filles, vous allez pouvoir rentrer chez vous pour montrer vos fesses à votre maman.

Quand Caroline fut remise sur ses pieds, elle la fit s'approcher et lui remonta elle même la culotte, comme pour confirmer à la jeune femme son statut de gamine. Elle lui tendit un sac.

- j'ai mis vos affaires dans ce sac, vous gardez votre tenue de collégienne pour rentrer chez vous, ça va vous apprendre l'humilité.

Caroline jeta un regard affolé dans la glace, elle se sentait ridicule avec cette jupette bleue marine ultra courte, son chemisier blanc et ces socquettes. Elle songea aux regards des passants, en plus elle devait prendre le bus pour rentrer chez elle. Heureusement personne ne saurait qu'elle cachait sous sa jupe une paire de fesses bien rouge.

Pendant toute la durée du trajet elle garda les yeux baissés n'osant pas croiser le regard des autres passagers, elle avait l'impression qu'à la moindre erreur de sa part, n'importe qui aurait pu lui trousser sa jupette pour lui administrer une fessée déculottée.

A son arrivée à la maison, Julie l'accueilli avec un grand sourire.

- oh mais tu es ravissante ma chérie, une vraie jeune fille de bonne famille, alors Aurèlie s'est bien occupée de toi, on va vérifier ça tout de suite.

Elle prit la main de Caroline pour l'attirer vers elle et quelques instants plus tard, la jeune femme se retrouva dans une position qui lui devenait familière, allongée sur les genoux de sa mère. Un des intérêts de la courte jupette était la facilité du retroussage, on voyait déjà le bas de la culotte dès la mise en place de la punie. Ce qui n'empêcha pas Julie de la retrousser haut sur les reins de sa fille. La dernière fessée avait été particulièrement sévère et la rougeur dépassait largement la culotte.

- olala, ça a du bien te chauffer ma chérie, voyons ça de plus près.

Elle baissa lentement la petite culotte blanche pour faire apparaître le fessier rebondi de sa fille. Les deux fesses étaient encore écarlates des nombreuses fessées reçues, Julie passa la main sur l'épiderme rougeoyant.



- c'est encore bien chaud, tu vas aller les faire refroidir au coin.

Décidément pensa Caroline, durant cette matinée elle n'avait connu que deux positions, couchée sur les genoux ou au coin mains sur la tête.

Pendant ce temps à l'institut Elodie pluggée par les soins de madame Rose, effectuait une très belle danse des fesses sous les coups de mademoiselle Tapecul, cette redoutable petite raquette en cuir spécialité de la maison. Aurèlie lui avait à nouveau réservé la position à l'écolière et les clients avaient apprécié le spectacle offert bien malgré elle par Elodie.

Une fois remise sur ses pieds, la jeune assistante lui avait tendu une culotte à fessée.

- tenez mettez cette culotte pour cacher vos jolies fesses bien rouges, ça sera plus facile pour vous déculotter à midi, en attendant filez au travail.

Elodie en levant les yeux aperçu sa petite culotte accrochée au mur avec son nom en dessous.

Sa journée allait être très difficile avec ce plug planté dans son fondement et ses fesses douloureuses. En plus, elle allait être en retard au travail, elle avait prévenu sa responsable la veille mais les fessées reçues ce matin l'avait transformée en gamine et c'est en rougissant un peu qu'elle croisa le regard de Laure. Elle s'imagina avec horreur que celle-ci pourrait la gronder pour son retard et lui administrer ce châtiment habituellement réservé aux gamines à savoir une bonne fessée déculottée.



 Heureusement il n'en fut rien, Laure lui dit juste bonjour avec un sourire, c'était juste un cauchemar. Mais quand elle s'assit à son bureau le plug et ses fesses douloureuses la firent revenir à la réalité.

La journée n'était pas finie…. 

2 commentaires:

  1. Cela chauffe toujours autant pour les fesses chez Madame Rose ! Pauvre Élodie, passer de fesseuse à fessée doit être bien douloureux pour l'égo ;)

    RépondreSupprimer
  2. Sans aucun doute, mais elle l'a bien cherché tout de même. Elle n'en a pas fini encore d'ailleurs, nous n'avons pas fini de pouvoir admirer son derrière bien rouge. Mais savoir ce que ressent la punie ne peut que parfaire son expérience de fesseuse. Bientôt la suite.
    Sylvie

    RépondreSupprimer

Discipline traditionnelle 2

 Julie découvre la fessée Depuis qu’elle avait réintroduit les bonnes vieilles méthodes d’éducation dans la maison, Julie était ravie. Après...