mercredi 30 mars 2022

L'institut chapitre 16

 Caroline fesses bien rouges 



Quand Sylvie arriva chez madame Costa à midi pour récupérer Caroline, Elodie était déjà là. Monique était sagement assise à sa table et elle écrivait consciencieusement, la seule particularité observable était sa culotte descendue aux genoux et sa jupe épinglée dans son dos ce qui fait qu'elle était assise cul nu directement sur la paille de la chaise, ce qui ne devait pas être très confortable. Quant à Caroline elle était au coin de la pièce, mains sur la tête, jupe également épinglée dans le dos et culotte à mi cuisse, elle exposait une paire de fesses écarlates, signe d'une fessée retentissante.

Sylvie fronça les sourcils.

- a ce que je vois, cette demoiselle n'a pas suivi mes recommandations d'être sage. Vous avez du sévir ?

Madame Costa acquiesça.

- oh, vous savez avec ces jeunes femmes, ce n'est pas d'emblée que l'on obtient l'obéissance, il faut souvent remettre la fessée sur le métier comme on dit. Regardez Monique est devenue une jeune fille parfaite depuis qu'Elodie et moi lui inculquons les principes d'une bonne éducation. Une de mes anciennes institutrice disait que les fesses entendaient beaucoup mieux que les oreilles. Monique n'a reçu aujourd'hui que la fessée matinale. Elodie vous n'aurez pas beaucoup de travail ce soir, juste une petite fessée.

Elodie souriait, satisfaite des compliments.

- rien n'est moins sûr. Vous savez que madame à quand même besoin de plusieurs déculottages par jour, mais c'est vrai que ses fesses perdent de temps en temps leur belle couleur rouge.

Florence Costa tapa dans ses mains.

- bien mesdemoiselles, venez ici, Caroline tu gardes les mains sur la tête.

Les deux punies se présentèrent devant leur institutrice, exposant aux deux maîtresses leur fessier, rosissant pour Monique mais carrément écarlate pour Caroline. La sévère institutrice prit les deux carnets et nota scrupuleusement les fessées reçues, une seule pour Monique, mais trois pour Caroline, celle de l'arrivée, puis une autre car surprise en train de rêvasser au lieu de faire sa copie et enfin la dernière juste avant l'arrivée de Sylvie pour écriture bâclée. Elle tendit les carnets au deux dames, comme Caroline avait toujours les mains sur la tête, c'est Sylvie qui s'en saisit.

- c'est inadmissible, mademoiselle !!

Sa main claqua plusieurs fois rapidement le fessier déculotté.

- nous allons régler ce problème rapidement, ne vous inquiétez Florence. Tu peux te reculotter, mais je t'assure que ça ne va pas être pour longtemps.

Elodie de son côté avait elle même remonté la petite culotte sur les fesses de Monique et remis la jupe en place, d'une petite tape sur les fesses à nouveau culottées elle lui donna le signal du départ.

Madame Costa s'adressa directement à Sylvie.

- je sais que je peux compter sur vous pour corriger cette donzelle, mais je pense que si sa mère s'en occupait ce serait mieux.

- ne vous inquiétez pas, c'est mon intention de la mettre au courant de la conduite de sa fille et des mesures à prendre.

En entendant ces mots le sang de Caroline se glaça dans ses veines, quand elle avait commencé ces conversations avec Sylvie sur le thème de la fessée, elle était bien loin de penser qu'elle en arriverait là. Elle était fesses nues devant deux dames, les mains sur la tête comme une mauvaise élève, elle avait reçu trois fessée dans la matinée et maintenant il était question de faire rentrer sa mère dans ce cercle infernal, inconsciemment elle sentait que pendant une longue période ses fesses allaient rester déculottées et certainement très rouges.

Sylvie la conduisit à sa voiture, Caroline assise à côté d'elle les fesses encore sensibles n'en menait pas large, mais elle osa quand même une protestation.

- vous n'allez quand même pas raconter tout ça à ma mère, ni lui donner mon carnet de punition ?

- bien sûr que si !

- oh non, vous n'avez pas le droit.

- pardon, j'ai mal entendu ?

Ce rendant compte de sa bourde, Caroline essaya de s'excuser mais c'était trop tard. Sylvie s'engagea sur une petite route puis bifurqua sur un chemin qui longeait l'autoroute. Elle stoppa la voiture et fit sortir Caroline.

- alors comme ça, je n'ai pas le droit, et bien moi je vais te montrer comment je punis les petites coléreuses, une bonne fessée déculottée en public.

Elle s'assit sur un rocher et attira Caroline contre ses genoux, rapidement la jeune femme se retrouva dans la position classique pour une bonne fessée. Sylvie s'était placée de telle façon que le postérieur de Caroline soit bien visible par les automobilistes. Elle retroussa la jupe, la culotte blanche trop petite rentrait dans la raie fessière, découvrant déjà largement le fessier encore rouge. Caroline affolée par la situation se mit à crier.

- non, non, pardon, s'il vous plaît pas la fessée, pas ici, non pas la culotte, pardon…

Mais ses plaintes étaient sans effet et la culotte était descendue inexorablement jusqu'à mi cuisse, découvrant la belle croupe de la jeune femme.



Les occupants des véhicules ne pouvaient pas s'arrêter mais ils avaient une vue parfaite sur les fesses déculottées. La fessée commença sous les pleurs et les battements de jambes de Caroline.

La correction fut de courte durée mais l'humiliation de ce châtiment enfantin reçu en public fut intense. Caroline les joues aussi rouges que ses fesses, les yeux rougis par les larmes put enfin se rasseoir à sa place.

- j'espère que tu as compris la leçon, c'est encore une chose que je vais raconter à ta mère.

Elles arrivèrent rapidement à destination, Sylvie se présenta à Julie la mère, celle ci un peu surprise la fit entrer, Caroline n'en menait pas large, sa nouvelle maîtresse mit rapidement au courant Julie de la nouvelle situation de Caroline.

Julie restait silencieuse, ses yeux ronds marquait sa surprise, surtout que Sylvie fit pivoter Caroline et lui retroussa la jupe. La croupe débordait largement de la culotte et on voyait distinctement les traces de la dernière fessée, elle saisi l'élastique de la culotte et la descendit sous les fesses.

- vous pouvez constater que cette demoiselle a reçu le prix de sa désobéissance, une bonne fessée déculottée…

Le sang de Julie ne fit qu'un tour, elle prit la main de sa fille et l'attira vers elle.

- ah, c'est donc ça, à mademoiselle s'intéresse à la fessée et en plus, mademoiselle désobéi, et bien moi je vais m'intéresser à tes fesses ma chérie.

Julie fit basculer sa fille en travers de ses cuisses, elle descendit plus complètement la culotte pour bien dégager les fesses et se mit en devoir de corriger cette croupe appétissante. Les fesses étaient encore bien colorées et sensibles, aussi Caroline se mit immédiatement à crier puis à pleurer pour implorer la clémence, mais tout à sa colère Julie n'en avait cure et elle administra ce jour la à sa fille sa plus sévère correction. Les battements de jambes de la punie, ses fesses qui s'écartaient découvrant son intimité ne laissait pas de doute sur l'efficacité de la punition. 



Dès que la fessée fut terminée, Caroline fut conduite au coin.

Calmée par l'administration de cette magistrale correction, Julie se tourna vers Sylvie et lui proposa un café, pendant que les deux dames papotaient, Caroline exposait ses fesses écarlates, elle regrettait amèrement d'avoir commencé ces conversations avec Sylvie, maintenant elle était ramenée au rang de gamine que l'on peut trousser et déculotter à sa guise.

Sylvie présenta à Julie le carnet de punition et lui en expliqua le fonctionnement, une fessée notée sur le carnet valait une fessée à la maison. Julie le parcouru attentivement

- 3 fessées ma chérie, et bien tes fesses vont rester chaudes tout l'après midi.

Sylvie lui fit remarquer que Caroline venait déjà d'en recevoir une et qu'il n'en restait plus que 2.

- pas du tout ma chère, la fessée que vient de recevoir Caroline c'était pour m'avoir menti en ne me disant pas pourquoi elle ne rentrait pas hier soir.

Puis jetant un regard coquin vers Sylvie, elle ajouta.

- d'ailleurs vous êtes complice, en toute justice, vous devriez également recevoir une fessée, quand pensez vous ?

Sylvie rougit, elle était fesseuse mais depuis son séjour à l'institut, elle était également passée du côté des punies et son amie Isabelle ne se gênait plus pour la traiter comme une gamine, il lui arrivait assez régulièrement de se retrouver fesses à l'air allongée sur les genoux de sa correctrice, pleurant sous la cuisson d'une bonne fessée. Elle bredouilla comme une élève prise en faute. Julie en souriant tapota ses genoux.

- il est temps de payer votre faute ma chère.

C'était intéressant de voir comment un passage entre les mains redoutables de madame Rose pouvait modifier le caractère, si on avait dit à Sylvie quelques semaines auparavant qu'elle accepterait sans beaucoup de résistance de recevoir à son âge ce châtiment enfantin, elle aurait ri. Pourtant sans protester elle se leva et se laissa basculer en position disciplinaire. Julie n'avait pas une grande expérience en matière de fessée, elle se contentait de corriger sa fille quand elle dépassait les bornes, une rapide déculottée et le problème était réglé. Mais depuis sa discussion avec Sylvie et la correction administrée à sa fille, elle se rendait compte qu'on pouvait prendre du plaisir à déculotter une dame et à lui rougir les fesses.

Elle positionna Sylvie de façon à ce que sa croupe fut bien à portée de sa main, puis elle retroussa la jupe et mit à jour une jolie culotte rose, bordée de dentelle au niveau des cuisses et qui moulait parfaitement ce fessier encore bien rond et musclé malgré la soixantaine passée de la dame.

Par jeu, elle décida de retarder le déculottage et elle commença la fessée sur la culotte. Ce n'était pas une fessée pour rire et les claques bien qu'amorties par la lingerie surprirent Sylvie qui commença à trémousser ses fesses au rythme de la correction.

- voilà ce qui arrive aux menteuses, madame une bonne fessée, mais ne croyez pas que vous allez vous en tirer avec une simple fessée sur la culotte, à votre âge et avec une bonne paire de fesses comme les vôtres c'est une fessée cul nu qu'il vous faut.

Et joignant le geste à la parole, elle déculotta largement Sylvie, descendant la culotte jusqu'aux genoux.

- bien, maintenant passons aux choses sérieuses.



La fessée fut mémorable, Julie apprenait vite et la correction n'avait rien à envier à celle que Sylvie avait reçu à l'institut, quand elle put se relever sa croupe écarlate n'était plus qu'un brasier, elle failli se frotter les fesses pour atténuer la cuisson mais juste à temps, elle se rappela que ça valait à Gérard une fessée supplémentaire, cela risquait de lui arriver.

Julie souriait, satisfaite du résultat, elle saisit l'oreille de Sylvie.

- ça chauffe n'est-ce pas ? Un petit séjour au coin les fera refroidir.

Elle conduisit cette dame d'une soixantaine d'année redevenue une gamine dans l'autre coin de la pièce.

,- tenez votre jupe relevée que je puisse surveiller vos fesses.

Puis S'adressant à sa fille.

- ma chérie, tu vas venir sur les genoux de maman, ma main va avoir une conversation avec tes fesses.

La conversation fut animée, les deux joues postérieures de Caroline exécutèrent une splendide chorégraphie, elle pleurait à chaudes larmes quand elle rejoignit à nouveau son coin. La croupe écarlate que Sylvie lui montrait bien malgré elle fut cependant une petite consolation. Elle n'était pas la seule à présenter ses fesses à la main sévère de sa mère.

Julie mit fin à la pénitence de Sylvie jugeant qu'elle avait été assez punie. Elle put se reculotter et reprendre une tenue plus conforme à son âge.

- bien ma chère, ce petit problème étant réglé, si nous parlions de l'institut de madame Rose.

Sylvie lui expliqua rapidement le fonctionnement de cette "maison de la fessée". Elle lui indiqua qu'elle pourrait lui avoir rapidement un rendez-vous pour Caroline si elle jugeait que celle-ci avait besoin d'une punition supplémentaire. Elle pensait notamment au forfait "vilaine fille" qui serait particulièrement adapté au comportement de Caroline. Julie, ravie acquiesça.

- je pense effectivement que Caroline a besoin d'une bonne reprise en main. Enfin pour cet après-midi c'est la main de maman qui va s'occuper d'elle.

Sylvie approuva et prit congé, ses fesses étaient encore douloureuses de la correction reçue, son mari allait sans nul doute devoir lui aussi présenter ses fesses.

Caroline dut rester en exposition avec ses fesses écarlates pendant une bonne heure. Elle avait rapidement calculé, aujourd'hui elle avait déjà reçu 5 fessées et il lui en restait encore 2 en attente. Quand Julie l'appela ses fesses étaient encore légèrement sensibles mais la grosse cuisson avait disparu. Elle tenait toujours sa jupe retroussée avec ses mains croisées dans le dos. Sa mère la fit se retourner et elle lui coinça la jupe dans la ceinture.

- comme tu le sais ma chérie, tu dois recevoir encore 2 fessées d'ici ce soir, je t'en ai déjà donné 2 et je commence à avoir mal à la main, c'est vrai que je préfère la fessée manuelle mais je vais suivre le conseil de Sylvie. Tu vas aller me chercher ma brosse à cheveux qui est sur la commode dans ma chambre.

Caroline gémis à cette demande.

- oh non, maman pas la brosse à cheveux, ça fait trop mal…

Julie se mit à rire

- mais ma chérie, c'est fait pour ça la fessée, tu dois avoir très mal pour ne pas recommencer. Et puis tu sais, une si belle paire de fesses, il lui en faut des bonnes fessées. Bon assez discuté, tu files me chercher cette brosse avant que je ne décide de doubler la punition.

Caroline ne se le fit pas dire deux fois, elle se dirigea vers la chambre de sa mère, exposant ses fesses dénudées. Quand elle revint, Julie avait disposé une chaise au milieu de la pièce, ça sentait la fessée mémorable, Caroline frissonna. Julie lui prit l'instrument punitif des mains et le posa à côté d'elle, puis elle tira sa fille par la main pour la faire basculer en travers de ses cuisses.

Caroline était déjà troussée et déculottée, la fessée pouvait commencer, la main de Julie claqua le fessier rebondi une cinquantaine de fois.

- voilà, on va passer à la vraie fessée, je suis gentille j'ai commencé par un petit échauffement.

Caroline trouvait que ce sois disant, petit échauffement, était déjà une vraie fessée, elle avait commencé à gémir sous la brûlure mais elle se doutait bien que la douleur provoquée par la brosse serait bien pire, elle avait raison.

Le claquement provoqué par la brosse frappant sa croupe nue fut une surprise pour la jeune femme, elle poussa un cri, mais déjà le deuxième coup avait atteint l'autre fesse, et la fessée pétaradante éclata dans toute sa plénitude.



Caroline suppliait sous la brûlure, elle tortillait ses fesses sans aucun souci de décence, Julie s'appliquait à ne laisser aucune partie des fesses à l'abri de la brosse. De la racine des cuisses, jusqu'au creux des reins et débordant sur les flancs une rougeur intense envahissait le splendide derrière. Caroline pleurait maintenant à chaudes larmes, ses pieds battaient l'air désespérément.

Julie cessa la correction, elle posa sa main sur l'épiderme écarlate.

- voilà ce que j'appelle une bonne fessée, ma petite chérie je pense que tu vas t'en souvenir longtemps de cette fessée de maman, tes fesses fument…

Caroline affalée sur les genoux maternel pleurait et ne bougeait plus, seule ses fesses se contractaient pour essayer d'atténuer la cuisson.

Julie la fit se relever et lui indiqua du doigt le coin de la pièce.

- tu files te mettre le nez contre le mur et tu mets tes mains sur la tête, vite !

Une vigoureuse claque sur le derrière cuisant avait accompagné ses paroles. Caroline tout à sa douleur ne protesta pas, depuis qu'elle était arrivée à la maison, elle n'avait quitté le coin de cette pièce que pour se retrouver allongée en travers des genoux maternels. Elle y resta 1h.

Pendant sa pénitence le téléphone de sa mère sonna, c’était Sylvie qui lui annonçait qu’elle avait put avoir un rendez vous pour Caroline, elle était attendue lundi matin à 8 h à l’institut pour un forfait "vilaine fille".

Julie la remercia et annonça à sa fille la nouvelle.

- et bien ma chérie tu vas voir ce qu'il en coûte de mal se conduire, lundi matin tu étais en rtt et bien je t'ai trouvé une occupation, tu iras faire la connaissance de madame Rose et de ses assistantes, je crois que tes fesses vont beaucoup apprendre à leurs contact. Tu peux quitter ton coin et te reculotter, je te donnerai ta dernière fessée avant le coucher.

Caroline était ravie d'enfin pouvoir cacher son derrière rougi et douloureux mais le spectre d'un séjour à l'institut ne l'enchantait pas, au cours de ses conversations avec Sylvie, celle-ci lui avait expliqué les techniques de madame Rose et elle en avait conclu qu'il valait mieux éviter son contact.

 La soirée fut plus sereine pour sa croupe et quand Julie lui indiqua qu'il était l'heure d'aller au lit, elle se demanda si sa mère avait oublié la fessée promise. Son interrogation fut de courte durée car dès qu'elle fut dans sa chambre après un passage à la salle de bain sa mère la rejoignit. Caroline était en pyjama, sa mère s'assit sur le lit et lui fit signe de s'approcher. La suite était inévitable, la mise en place de la punie, la culotte descendue sur les mollets et la main qui claque et reclaque les rotondités jumelles sans se soucier des cris et des pleurs de la jeune femme.

Caroline était à nouveau punie comme une gamine, ses fesses écarlates en témoignaient. Julie remonta elle même la culotte du pyjama sur la croupe brûlante.

- voilà ma chérie, c'est fini j'espère que tu as compris et que maman ne sera pas obligée de recommencer.. Tu es prévenue si c'est nécessaire c'est immédiatement cul nu sur mes genoux.

Pendant toute cette tirade elle avait laissé Caroline en position disciplinaire pour bien lui faire passer le message.



Une fois relevée, les joues aussi rouges que ses fesses, Caroline eut droit à un bisou.

Elle fit une très bonne nuit, tout le monde sait que l'on dort mieux avec une paire de fesses bien chaudes.

 

samedi 26 mars 2022

Mlle Caroline fessothérapeute 5

 Le premier rendez-vous de Mel 


Ça y est nous y étions, quand elle avait pris son rendez-vous avec Mlle Caroline, Mel se doutait bien que celle ci ne se contenterait pas d'une simple fessée sur la culotte. Non pour qu'une séance de fessothérapie soit efficace c'était une bonne fessée déculottée qu'il leur fallait à ces dames. Le déculottage debout était très humiliant, Caroline regardait sa patiente droit dans les yeux tandis que ses doigts experts faisait glisser la culotte sur le derrière rebondi. 

Ensuite la patiente devrait se coucher d'elle même docilement sur les genoux de la fessothérapeute pour lui présenter ses fesses déjà rouges de la fessée préparatoire. 

La fessée déculottée pouvait commencer. 



Mlle Caroline était une experte une bonne fessée déculottée à la main suffisait généralement à remettre dans le droit chemin les dames les plus rétives.  Elle ne cesserait qu'une fois que toute la surface du fessier serait bien rouge. 

Une fois le traitement appliqué la patiente pouvait se relever. 


Mais ce n'était pas fini, Mel culotte baissée et les fesses brûlantes devrait subir les remontrances de Caroline. Redevenue  une gamine elle baisserait la tête mourant d'envie de frotter ses fesses. Ensuite elle irait au coin exposer son derrière écarlate pour une période de réflexion. 
Mlle Caroline n'en avait pas encore fini avec ses fesses. 






Pour ce genre de patiente lors d'un premier rendez-vous il faudrait bien administrer trois fessées successives afin d'obtenir un résultat satisfaisant. 

Le retour à la maison serait douloureux pour mademoiselle Mel.







vendredi 25 mars 2022

L'institut chapitre 15

Caroline découvre la vraie fessée


Caroline était une jeune femme d'une vingtaine d'années que Sylvie avait rencontré d'abord virtuellement par l'intermédiaire d'un forum où l'on discutait fessée. Au cours de ces discussions, elle lui avait avoué avoir depuis de nombreuses années un intérêt pour la fessée mais que son expérience était limitée à de rapides fessées administrée par sa mère, véritable punition cependant puisque donnée cul nu malgré son âge. Son fantasme était d'assister à une véritable fessée administrée à une adulte. Au bout d'un certain temps, Sylvie lui proposa de la rencontrer, elle avait une idée pour elle.

- je connais bien madame Costa, cette professeur de français à la retraite qui donne des cours particuliers, je peux lui demander si vous pouvez assister à un de ses cours, ça vous plairait ?

Caroline connaissait par oui dire cette madame Costa chez qui les culottes restaient rarement sur les fesses, elle se demanda si c'était bien prudent d'accepter la proposition, mais Sylvie balaya ses doutes.

- c'est vrai que Florence est une fesseuse redoutable, mais elle est juste et ne puni qu'à bon escient et puis vous serez spectatrice, elle adore l'humiliation de la fessée en public, ça va beaucoup lui plaire de déculotter ses élèves devant vous.

Convaincue et surtout tellement curieuse la jeune femme accepta, rendez-vous fut pris pour le samedi.

Sylvie l'accompagna pour faire les présentations, dans l'ascenseur une dame d'un certain âge mais habillée en jeune fille, jupe courte et socquette blanche les salua en rougissant. Florence Costa les accueilli avec un grand sourire

- ah, c'est donc vous Caroline, je vous présente Monique, elle a quelques lacunes en orthographe et je lui donne régulièrement des cours.

Sylvie les présentations faites s'éclipsa non sans avoir dit à sa protégée

- à tout à l'heure Caroline, on se retrouve au bar en face.

Madame Costa s'adressa à Monique pour lui annoncer le programme du jour

- bien, aujourd'hui, dictée, j'espère que vous allez être plus attentive que la semaine dernière, à ce propos, vous m'avez ramené votre carnet signé.

Rougissante d'être traitée à son âge comme une mauvaise élève, Monique lui tendit son carnet de liaison.

- voyons les commentaires d'Elodie, ah c'est très bien 3 fessées ici donc 3 fessées à la maison, j'espère que ça vous a servi de leçon.

Puis se tournant vers Caroline.

- vous n'allez pas rester là sans rien faire que diriez vous de faire la dictée avec Monique.

Sentant vaguement le piège, Caroline essaya de se récrier.

- euh, c'est à dire je n'étais pas venu la pour ça.

Madame Costa la regarda en souriant.

- oui mais c'est moi qui décide, de toute façon une dictée à votre âge ça ne peut que vous être profitable. Bien assez discuté, asseyez vous chacune à votre table et prenez vos feuilles et vos crayons.

Le ton était sans réplique, Caroline et Monique s'installèrent devant leur pupitre. Aux premières phrases, Caroline eut des sueurs froides, la dictée était particulièrement difficile, elle regarda Monique, celle-ci ne semblait pas plus à l'aise.

Quand elles eurent fini, madame Costa ramassa les feuilles.

- la correction ne va pas durer longtemps, j'espère que vous vous êtes appliquées sinon gare à vos fesses !

Caroline avait remarqué que la phrase s'appliquait à elle deux, elle essaya de se rassurer en se disant qu'elle était venue comme spectatrice et qu'il n'était pas question de se laisser déculotter.

Effectivement l'attente fut de courte durée, l'air sévère, madame Costa les fit se lever pour leur rendre leur copie.

Je ne vous félicite pas, Monique 10 fautes, c'est donc zéro quant à Caroline c'est un peu mieux mais 6 fautes c'est également zéro, bien Monique vous connaissez le tarif, venez ici.

Les joues écarlates Monique s'approcha. Florence avait déplacé sa chaise et s'était assise. La dame de cinquante ans redevenue une mauvaise élève était maintenant contre ses genoux.

- qu'est ce qui arrive quand on a zéro, madame ?

- euh, aie, aie.

La main de Florence avait claqué fermement les fesses sur la jupe

- euh, oui, pardon, on a la fessée.

- la fessée ? Comment ?

- la fessée déculottée....

- c'est bien ça, oui une bonne fessée déculottée avant toute chose.

En disant ces paroles, elle avait basculé son élève en travers de ses cuisses et entrepris immédiatement la préparation à la fessée, à savoir le retroussage de la jupe et le déculottage.

Caroline regardait le spectacle fascinée, oui devant elle, une dame adulte s'apprêtait à recevoir ce châtiment enfantin, une fessée déculottée. Elle n'eut pas longtemps à attendre, la main de madame Costa faisait son œuvre et rapidement comme d'habitude, Monique ne put retenir ses cris puis ses supplications et enfin ses pleurs sous la brûlure de la correction, ses fesses étaient maintenant écarlates, elle fut relevée et tenue par l'oreille conduite au coin.

C'est alors que Caroline se rendit compte du piège dans lequel elle était tombée, car madame Costa se tourna vers elle

- bien, à nous mademoiselle, que pensez-vous que mérite vos 6 fautes et donc votre zéro ?

Caroline rougit et balbutia.

- euh, c'est à dire, je ne sais pas, enfin je n'étais pas venue pour faire une dictée, elle était très difficile.

- vous ne répondez pas à ma question, mademoiselle, et bien je vais vous le dire, ici un zéro signifie un petit passage sur mes genoux, la culotte baissée.

Caroline protesta.

- non, non, vous n'avez pas le droit, non.

Elle reculait vers la porte.

- mademoiselle, cessez ces enfantillages, vous avez mérité une bonne fessée et vous allez la recevoir, de toute façon la porte est fermée, vous allez bien gentiment venir vous coucher sur mes genoux pour recevoir votre punition. Je ne suis pas très patiente.

Comme Caroline ne bougeait pas, elle ajouta.

- bien, je vais commencer à compter, à 5, la fessée sera doublée, à 10 triplée et ainsi de suite, 1, 2, 3, 4, 5 vous recevrez deux fessées mademoiselle, je continue 6

Se rendant compte qu'elle avait perdu, Caroline s'approcha

- non, non, c'est bon, oui, je viens.

Elle était maintenant contre les genoux de Florence Costa, celle ci la regarda en souriant

- vous allez vous mettre toute seule en position mademoiselle et vite, je continue 7, 8 bientôt c'est trois fessées...

Vaincue et honteuse, Caroline se coucha d'elle même en position disciplinaire, offrant sa croupe à la punition.

- et bien, c'était un peu laborieux, avouez que ce n'était pas bien compliqué, vous voilà en bonne position, un peu plus de rapidité vous aurait évité une deuxième fessée.

Elle corrigea un peu la posture de la jeune femme pour que son derrière soit bien à portée de sa main. Puis Caroline comprit que sa correction allait commencer, l'air frais sur ses cuisses, sa jupe retroussée faisant apparaître sa petite culotte en coton bleu clair, ses fesses rondes tendues sous le fin tissu, elle imaginait le spectacle qu'elle offrait, ses rondeurs qui la complexait un peu et qui faisait rire sa mère quand quelques fois elle les lui claquait

- tu as une belle paire de fesses Caroline, se serait dommage de les priver d'une petite fessée.

C'était très vexant mais, c'était sa mère, là pour la première fois elle exposait son intimité à une étrangère, ce fut un moment horrible quand elle sentit sa culotte descendre, Florence prenait son temps, elle savait la honte provoquée par cet instant, la mise à l'air des fesses pour une adulte surtout dans cette position humiliante était très importante pour le résultat d'une bonne fessée. De son côté Caroline qui était très pudique était au comble de la honte de présenter ainsi ses parties intimes, elle serrait ses cuisses mais la culotte descendait inexorablement. Elle ferma les yeux, mais la brûlure de la première claque la surpris, cela n'avait rien à voir avec celle donnée par sa mère quand elle la fessait sous le coup de la colère. L'avalanche de claques qui s'abattaient sur ses fesses étaient intolérable, elle ne put retenir ses cris et ses supplications mais c'était en vain, madame Costa était une redoutable fesseuse et Caroline s'en rendait compte, sa croupe n'était plus qu'une boule de feu. La fessée lui parut interminable, quand enfin elle cessa, madame Costa la garda dans cette position humiliante le temps que ses pleurs se calment puis comme elle le faisait après chaque fessée elle conduisit Caroline en la tenant par l'oreille au coin de la pièce à côté de Monique qui ne bougeait pas.

- voilà deux belles paires de fesses, vous allez rester la 10' et tâchez de ne pas bouger sinon vous revenez faire un séjour sur mes genoux.



Caroline avait l'impression de faire un mauvais rêve mais la brûlure qui embrasait sa croupe la ramenait à la réalité. Elle était bien une mauvaise élève punie par son institutrice.

Après les 10 minutes passées à exposer leurs derrières écarlates, elles purent revenir à leur table mais sans remonter leur culotte et c'est donc cul nu sur la paille de la chaise qu'elles se mirent à leur pénitence.

- vous allez me recopier cette dictée 20 fois et sans faute cette fois-ci et vous vous appliquez pour l'écriture. Si vous n'avez pas fini, vous reviendrez demain.

Évidemment la tâche était trop longue et la sanction tomba.

- bien, je vous attends toutes les deux demain à 10h. Vous pouvez vous reculottez.

Caroline se fit une joie de recouvrir ses fesses mais sa satisfaction fut de courte durée. Florence lui prit la main et s'asseyant sur une chaise elle lui annonça

- j'espère que tu n'as pas oublié que je te dois une deuxième fessée pour ta désobéissance.

Avant qu'elle n'ait pu protester, Caroline se retrouva à nouveau couchée sur les genoux de son institutrice, la jupe à nouveau troussée et la culotte sous les fesses. La brûlure qu'elle ressenti n'avait rien à voir avec ce qu'elle connaissait, elle cria mais la règle plate maniée avec vigueur par madame Costa ne s'arrêtait pas et en quelques secondes sa croupe était à nouveau cuisante. Quand elle se releva des larmes coulaient sur ses joues aussi rouges que ses fesses. Elle dut tenir sa jupe retroussée pour exposer son derrière écarlate. Madame Costa remplissait les carnets de correspondance,

- Monique tu me ramène ton carnet signé demain matin, je pense qu'Elodie va s'occuper de tes fesses ce soir, quant à toi Caroline il va falloir que tu expliques à ta maman que j'ai été obligée de t'administrer une fessée et tu me ramèneras aussi ton carnet signé.

Caroline toujours fesses à l'air était atterrée, comment expliquer ça à sa mère. En plus ça risquait de lui donner des idées et une autre fessée était probable.

Enfin reculottée, elle retrouva Sylvie au bar, celle ci en voyant ses yeux rougis ne put s'empêcher de sourire.

- voilà une jeune femme qui n'a pas du être très sage, on a les fesses un peu cuisantes non ?

À ce moment là, c'était surtout les joues de Caroline qui était rouges, elle essaya d'éluder les questions, mais elle finit par raconter son après midi cuisante.

- et bien c'est du joli, et je suppose que tu as un carnet à signer, comment vas tu expliquer ça à ta mère ?

Caroline lui fit part de son désarroi. Sylvie la regarda avec un sourire moqueur.

- mademoiselle va encore montrer ses fesses... Bon je peux te proposer quelque chose, tu vas appeler ta mère et tu lui dis que tu couches chez une copine ce soir, comme ça tu viens à la maison et c'est moi qui te signerai ton carnet.

Caroline folle de joie l'embrassa et quelques instants plus tard elles étaient chez Sylvie. A peine entrée, Sylvie demanda à voir le carnet.

- deux fessées, une pour un zéro en dictée et une autre pour désobéissance, je ne te félicite pas.

Caroline baissa la tête comme une élève prise en faute.

- tu connais le principe, une fessée à l'école, une fessée à la maison, si je compte bien ça fait deux fessées ce soir.

Caroline se mit à protester.

- mais tu n'as pas le droit, tu m'avais dit....

- je ne t'ai rien dit du tout, je t'ai proposé de remplacer ta mère, mais si tu préfères lui expliquer que tu voulais assister à une fessée donnée à une adulte et que c'est toi qui l'a reçue, libre à toi.

Caroline était à nouveau piégée, elle fit un petit signe de la tête pour acquiescer.

- j'aime mieux ça, je devrais te donner une fessée supplémentaire pour ce petit caprice mais comme c'est la première fois je passe l'éponge, tu vas venir bien gentiment me présenter tes fesses.

Elle s'était assise sur le canapé et elle indiquait ses cuisses, Caroline savait qu'elle n'avait pas le choix, elle se retrouva à nouveau dans cette position enfantine. Sylvie comme chaque fois qu'elle découvrait une nouvelle paire de fesses prit son temps, elle déculotta la jeune femme doucement, mettant progressivement à jour la belle paire de fesses de Caroline, deux hémisphères bien joufflus, serrés par la crainte et encore bien coloré par la fessée à la règle. Elle les caressa doucement.

- tu sais que tu as des fesses à fessée ma chérie, ça va être un vrai plaisir de les faire danser, mais desserre moi ça, aller écarte un peu tes cuisses, voilà

Sous les petites claques de Sylvie, Caroline s'était décontractée et sa raie fessiere s'était ouverte, elle savait qu'elle offrait un spectacle certainement très intéressant pour sa maîtresse, elle ferma les yeux honteuse. La première claque la surpris, Sylvie avait commencé doucement mais rapidement le rythme et l'intensité augmenta et comme elle l'avait prévu les fesses de Caroline se mirent à danser. Tout à sa douleur, elle avait perdu toute pudeur et elle exposait largement son intimité.



La fessée terminée, Sylvie la conduisit au coin.

- tu connais le principe, le nez contre le mur et les mains sur la tête.

Quelques instants plus tard, son sang se glaça, elle entendit la porte s'ouvrir et une voix étrangère et masculine. Mais Sylvie annonça la couleur immédiatement.

- ça c'est bien passé à l'institut mon chéri, bon tu me poses ton carnet sur la table et tu vas dans la chambre, je t'appelle bientôt.

Sylvie avait rapidement recadré Gérard, Caroline morte de honte d'exposer ses fesses avait appuyé un peu plus son visage dans le coin pour éviter d'être reconnue.

- rassure toi, Gérard a vu tes fesses mais tu auras l'occasion de voir les siennes. Il te reste encore 1/4h à exposer tes jolies fesses toutes rouges.

Elle parcouru rapidement la liste des punitions que son mari avait reçu chez madame Rose, elle souriait en imaginant son mari à près de 60 ans pleurant comme un gamin allongé sur les genoux d’Aurélie qui en avait à peine 20. Elle l'appela.

- alors que penses tu de mon petit cadeau, un forfait vilain garnement, ça réchauffe les fesses, tu vas me montrer ça.

Elle dégrafa le pantalon de Gérard et rapidement le bascula en travers de ses cuisses, puis elle le déculotta largement faisant apparaître un fessier rougeoyant, marqué par des lignes plus sombre signe de l'application de la règle plate. Elle prenait son temps pour parfaire l'humiliation du monsieur redevenu un gamin sur les genoux de sa maman, ses doigts écartait les deux fesses, les palpait, testait leurs chaleur.

- ça fait quel effet de se faire corriger par Aurélie ? Elle est sévère, je vais la féliciter, le résultat est parfait, ton petit derrière est bien rouge. Mais tu le sais, fessée à l'institut égal fessée à la maison.

Gérard protesta pour la forme.

- oh, non Sylvie, pardon pas la fessée ça brûle, aie, aie.

La main de Sylvie avait commencé à claquer les deux fesses tendues et rapidement le bruit d'une bonne fessée retentit dans la pièce.



Caroline toujours en pénitence les fesses à l'air dans son coin était un peu rassurée, elle exposait ses fesses certes mais le monsieur recevait lui une correction en public, si elle n'avait pas la vue, elle avait le son. La punition fut de courte durée, les nombreuses fessées reçues au cours de l'après-midi avaient rendu le fessier très sensible et Sylvie tenait à garder son terrain de jeux en parfait état. Tenu par une oreille Gérard regagna l'autre coin de la pièce.

Sylvie libéra Caroline, celle-ci fut également autorisée à se reculotter, ce qu'elle fit avec soulagement. Elle regarda avec un peu de perversité le monsieur dans le coin, le pantalon aux chevilles, la culotte à mi cuisse, exposant une paire de fesses d'un rouge éclatant. Sylvie avait dit juste, c'était maintenant à son tour d'admirer le résultat d'une bonne déculottée...

Le repas ne fut pas très animé, les deux punis étaient un peu gênés d'avoir eu à montrer leur intimité, seul Sylvie parlait et riait en parlant de culotte baissée et de croupe écarlate.

Gérard fut privé de télé et envoyé au lit, ce qui soulagea Caroline, elle se doutait que Sylvie n'en avait pas fini avec ses fesses et elle ne souhaitait pas qu'il la voie en position disciplinaire la culotte descendue.

Sa nouvelle maîtresse s'était absentée, mais quand elle revint Caroline eut un petit frisson, elle tenait dans la main une brosse à cheveux. La jeune femme connaissait l'usage détourné de cet instrument mais sa mère ne l'avait jamais utilisé sur ses fesses.

Posément Sylvie plaça une chaise au milieu de la pièce, ça sentait la fessée magistrale, ses fesses se contractèrent sous sa jupe, la cuisson avait disparu. D'un petit signe Sylvie lui indiqua qu'il était temps de se mettre en position. La suite fut malheureusement très classique pour Caroline, elle en était à son quatrième déculottage, sa petite culotte en coton fut descendue aux genoux pour bien dégager la surface à punir.

La brûlure de la brosse était terrible et rapidement Caroline ne put retenir ses cris puis ses pleurs, ses jambes battaient l'air frénétiquement, maintenue fermement à la taille c'était la seule partie de son corps en mouvement mis à part bien sur ses belles fesses rebondies qui s'ouvraient et se refermaient offrant à Sylvie tous les trésors de son intimité. Elle la fit se relever mais ne la conduisit pas au coin, sa culotte était arrivée sur ses chevilles, elle la lui remonta à mi cuisse et lui demanda de tenir sa jupe retroussée pour qu'on voit bien ces jolies fesses lui dit elle.

Caroline les fesses brûlantes ne se souciait pas trop d'être plantée au milieu de la pièce culotte baissée et jupe retroussée.

Sylvie ne la laissa pas trop longtemps dans cette position gênante, assise sur le canapé, elle la coucha à nouveau sur ses genoux, Caroline protesta

- non, non, pardon, plus la fessée, s'il vous plaît..

Sylvie la rassura en riant.

- mais non, rassure toi ma petite chérie, c'est fini le pan pan cucul, mais tu as bien chaud aux fesses, je vais vérifier ta température.

A ces mots la jeune femme se crispa, elle n'allait quand même pas lui prendre la température comme à une gamine. Et bien si, les doigts de Sylvie écartaient les deux fesses joufflues.

- tu vas bien vite me desserrer tes fesses ma chérie sinon ma brosse va encore agir.

Vaincue par la menace, Caroline laissa sa maîtresse débusquer son anus, elle était morte de honte, passe encore de recevoir la fessée déculottée comme une vilaine fille, mais la prise de température "dans les fesses", elle ne croyait pas ça possible. Elle sentit l'instrument pénétrer, dans ses souvenirs d'enfant ce n'était pas douloureux mais très humiliant et c'était le cas. Comme à son habitude, Sylvie fit pénétrer très profondément le thermomètre de façon qu'il tienne bien en place. Puis elle tapota les fesses écarlates de sa nouvelle fillette.



- voilà, il est bien en place, tu vas me le garder pendant toute la durée de ma série, ça te fera le plus grand bien et te rappellera à l'obéissance. Caroline était bien installée, le buste reposant sur le canapé, les jambes également, elle exposait ses fesses rougies, la raie fessiere serrée sur le petit bout de verre. Sa honte se dissipa peu à peu, de temps en temps, Sylvie passait la main sur ses rondeurs comme pour en apprécier la chaleur et la fermeté.

- c'est bien, tu es sage, il n'y a rien de mieux après une bonne fessée qu'une petite séance de thermomètre sur les genoux de tati Sylvie.

Au bout de 50', elle lui retira l'instrument punitif et la conduisit à sa chambre. Elle lui tendit une nuisette.

- tient, vilaine fille, enlève ta culotte et met moi ça pour la nuit.

Au réveil, elle trouva Sylvie en train de préparer le petit déjeuner, Gérard arriva en même temps qu'elle, la maîtresse les arrêta tous les deux.

- avant de vous asseoir, vous allez me montrer vos fesses, allez on se tourne.

En rougissant ils obéirent, Sylvie baissa la culotte de pyjama de son mari et retroussa la chemise de nuit de Caroline, les deux paires de fesses étaient encore rosées des fessées précédentes.

- c'est bien, ces fesses sont en parfait état, si vous n'êtes pas sage, elles pourront recevoir de nouvelles fessées. Vous pouvez les cacher.

Caroline avait rendez-vous à 10h chez madame Costa, Sylvie la fit se doucher rapidement et comme elle n'avait amené aucune affaire, elle lui prêta une culotte propre, Caroline avait une bonne paire de fesses, elle faisait du 40, Sylvie quant à elle était plus fine, la culotte taille 38, masquait difficilement les rondeurs de la jeune femme, elle rentrait un peu dans la raie fessiere et la base des fesses était bien visible ce qui fit rire Sylvie.

- tu as un joli popotin ma chérie, il va falloir que je te prenne un rendez vous chez madame Rose, elle a un très bon traitement pour la cellulite.

Caroline rougit, elle était un peu complexée et devoir s'habiller devant Sylvie était un peu humiliant pour elle, ce qui était un peu curieux car Sylvie connaissait parfaitement son anatomie postérieure.

Elle se rendit compte qu'en moins de 24h son statut avait changé, elle était passée du stade d'amie à celui moins enviable de jeune fille punie qui peut à tout moment montrer ses fesses.

Sylvie l'accompagna chez madame Costa, elles y retrouvèrent Monique accompagnée elle aussi par Elodie, Caroline était un peu gênée d'être dans la posture de la mauvaise élève devant cette jeune femme à l'air autoritaire qui avait le même âge qu'elle.

- bien voilà nos deux chipies, j'espère que vos carnets sont signés et que vos "mamans" se sont bien occupées de vos fesses.

Les deux mamans en question acquiescèrent.

- quand une punie revient en retenue le dimanche, je commence toujours par une bonne fessée, si vous voulez rester mesdames.

Une fesseuse aime donner la fessée mais assister à une correction n'était pas pour leur déplaire. Elles s'installèrent sur deux chaises et s'apprêtait à assister à ce spectacle claquant du dimanche matin quand Florence se ravisa.

- mais j'y pense, que diriez vous d'administrer chacune une fessée, une fessée déculottée appliquée par une personne étrangère est toujours plus efficace, Sylvie vous allez fesser Monique et Elodie se chargera de Caroline.

Celle ci piqua un fard, c'était déjà dur de recevoir une fessée déculottée en public mais se la faire administrer par Elodie était encore plus humiliant. Monique quant à elle avait tellement l'habitude d'être déculottée par de nombreuses personnes que la situation ne la choquait pas et l'âge de Sylvie correspondait plus à celui d'une fesseuse.

- allez mesdames en position,

Caroline et Monique se présentèrent chacune devant leur maîtresse. Elodie avec un petit sourire moqueur saisi la main de Caroline et la fit basculer en travers de ses genoux, elle retroussa la jupe et fit apparaître la croupe de Caroline qui débordait largement de la culotte trop petite.

- oh mais que voilà une belle paire de fesses, ce serait dommage de les priver de la fessée, un derrière comme ça c'est parfait pour une bonne déculottée maison.

Caroline était morte de honte, déjà que de se retrouver en position disciplinaire à son âge n'était pas très agréable mais les commentaires sur ses rondeurs finissaient de l'humilier, surtout qu'Elodie continuait.

- bon, cette culotte ne cache pas grand chose de votre anatomie mademoiselle, mais je veux quand même voir de plus près votre fessier, voilà, cul nu mais c'est parfait ma main va se régaler, détendez vous.

Pendant qu'Elodie mettait à nu les belles fesses de Caroline, Sylvie n'était pas restée inerte, Monique avait rejoint ses cuisses et elle exposait elle aussi son derrière moulé dans sa culotte blanche. Elle avait l'habitude maintenant, elle savait que chaque fesseuse avait une technique différente pour le déculottage. Sylvie aimait prendre son temps pour baisser une culotte, elle savait que c'était le moment fatidique, pour la punie qui était à ce moment là complètement à la merci de sa maîtresse et pour la fesseuse qui découvrait un nouveau terrain de jeu. Monique avait de belles fesses bien musclées, rondes à souhait, entretenues par des fessées régulières. Les deux punies étaient maintenant prêtes pour la fessée, celle ci commença, elle fut pétaradante, les deux fesseuse adaptaient leur rythme, les deux dames couchées sur les genoux n'étaient pas en reste, elles effectuaient une magnifique danse des fesses.



Caroline découvrait une nouvelle fesseuse, c'était la troisième depuis hier et elle aussi était une experte, les fessées de sa mère étaient vraiment des caresses à côté des corrections qu'elle avait reçue depuis 24h. Maintenant elle n'était plus une jeune femme mais simplement une gamine punie, l'humiliation était accentuée par l'âge d'Elodie, sa nouvelle maîtresse avait le même âge qu'elle. A présent elle pleurait à chaudes larmes tout en tortillant son derrière de façon très expressive ce qui entraîna des remarques sarcastique d'Elodie.

- cessez de gigoter comme ça mademoiselle, vous en montrez vraiment beaucoup, votre intimité n'a plus de secret pour nous. Et oui ça brûle, mais c'est fait pour ça la fessée et puis avec une telle paire de fesses, ils leurs en faut des claques... Alors on désobéira encore, ah oui, elles disent toutes ça, je serai sage et le lendemain, il faut recommencer à les déculotter, et bien je crois que cette fois ci vous allez comprendre.

Pendant toute cette tirade la main d'Elodie n'avait pas cessé de claquer la croupe de Caroline. Puis s'adressant à Sylvie qui n'était pas en reste

- savez-vous comment on appelle un si beau derrière, un joufflu, c'est très exactement le cas du fessier de mademoiselle, oui un beau joufflu bien rouge...

Madame Costa jugeant la couleur des fesses satisfaisants arrêta les deux fesseuses.

- c'est bien mesdames, je crois que ces deux donzelles on compris qu'il va falloir bien travailler ce matin.

Les punies furent relevées et conduites chacune tenue par l'oreille au coin avec interdiction de se toucher les fesses. Les deux paires de fesses étaient colorées de la même façon, on aurait dit quatre tomates bien mûres, elles se serraient convulsivement pour essayer d'atténuer la cuisson.

- elles vont rester au coin pendant 1/4h, exposer ses fesses après la fessée est un très bon exercice de modestie. Vous pourrez venir les chercher à midi.

Les deux maîtresses prirent congé non sans avoir recommandé chacune à leur punie d'être bien sage.

 

 

 

 

 

 

 

 

Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...