lundi 31 janvier 2022

Mlle Caroline fessothérapeute

 Il n’y a que ça qu’ils comprennent…..



Mademoiselle Caroline n’a pas son pareil pour s’occuper des messieurs. Une fois qu’ils ont remis leur culotte courte et leurs chaussettes, ils redeviennent des garnements. Et rien de mieux que la fessée déculottée pour les remettre dans le droit chemin. Une belle paire de fesses bien rouges après une très longue fessée manuelle qu’elle va compléter par l'application de la cane. Ensuite monsieur ira réfléchir au coin pendant que mademoiselle Caroline rédigera son compte rendu pour l’épouse de monsieur.

« Chère madame, votre mari a reçu le juste châtiment pour son comportement inapproprié. Une bonne fessée déculottée allongé sur mes genoux suivi de 12 coups de cane sur son fessier dénudé. Je vous conseille de compléter la punition par l’administration d’une nouvelle fessée déculottée avant le coucher et d’une autre demain matin avant son départ au travail. Pour ma part je l’attends à nouveau jeudi prochain pour une deuxième séance de fessothérapie.

Cordialement.

Votre dévouée Mlle Caroline»

dimanche 30 janvier 2022

l'institut chapitre 3

Mme Dumon







Monique était arrivée très énervée à son cabinet, sa secrétaire en avait fait les frais, elle lui avait dit de ne lui passer les appels qu'en cas d'extrême urgence. Sa dernière cliente s'appelait Florence Costa, elle avait 65 ans, grande et élancée elle ne faisait pas son âge, cependant son air sévère trahissait son ancien métier de professeur de français dans une institution religieuse de la ville. La consultation était presque terminée quand le téléphone sonna, excédée Monique Dumon décrocha, un peu gênée sa secrétaire lui expliqua que c'était Mlle Sophie l'assistante du salon de Mme Rose, elle avait déjà appelé 3 fois et elle insistait beaucoup. Un peu inquiète Monique prit la communication. Au bout du fil, elle reconnu la voix sévère de Sophie.

- 1/2 h pour pouvoir vous parler, c'est inadmissible, je ne pense pas que Mme Rose va apprécier !

Mme Dumon bafouilla une excuse sous les yeux étonné de sa patiente.

- ce n'est pas le problème actuel, je vous appelle pour connaître l'état de vos fesses.

Monique, s'embrouilla dans ses réponses.

- euh, c'est à dire, euh, que voulez-vous dire ?

- oh, c'est très simple, je veux savoir si elles sont encore rouges et si elles vous brûlent encore.

- euh, c'est à dire je ne sais pas.

- comment vous ne savez pas, et bien c'est simple, vous baissez votre culotte devant une glace et vous me dites comment elles sont, allez vite, j'attends.

Complètement désemparée, Monique s'excusa auprès de sa patiente et se rendit dans sa salle de repos, comme une automate elle se déculotta et regarda ses fesses dans la glace, elles portaient encore les stigmates des corrections reçues en début d'après-midi. Rapidement après avoir arrangé sa tenue elle revint dans son bureau et repris le téléphone.

- oui elles sont encore un peu rouges

- parfait, et ça vous brûle encore j'espère ?

- euh oui.

- oui quoi, décidément vous voulez que je vienne moi même vérifier.

- oh non, non ce n'est pas la peine, oui ça brûle.

- très bien, à demain Mme, vous pouvez préparer vos fesses !

Pendant toute la conversation Florence Costa avait été très attentive au propos de son ophtalmologue, dès qu'elle eut reposé le combiné elle attaqua

- alors comme ça, vos fesses sont encore rouges et elles vous brûlent ?

Interloquée, Monique Dumon rougis violemment puis se reprenant

- mais enfin qui vous permet, vous êtes folle !

- ne me parlez pas sur ce ton, pouvez vous me dire ce qui peut être rouge et brûler et qui fait bredouiller d'en parler ?

Monique restait sans voix, ses joues étaient de plus en plus rouges. Mme Costa continua calmement

- d'ailleurs j'aimerais bien les voir ces fesses pour constater les effets de la bonne fessée que vous avez du recevoir.

- non mais ça ne va pas, vous n'y pensez pas, sortez de mon bureau !

- certainement pas, à moins que vous ne souhaitiez que toute la ville sache que le Dr Dumon aime jouer à panpan cucul, je connais beaucoup de monde, la nouvelle va se répandre très vite dans les dîners.

Cette fois-ci Monique blêmi, elle sentait le piège se refermer, elle regardait sa future maîtresse sans réagir. Florence Costa souriante s'était levée.

- alors vous vous décidez ?

- je.... que dois-je faire ?

- oh c'est très simple, vous vous levez, vous vous tournez et vous baissez votre culotte.

Florence Costa avait dit ça sur le ton de l'évidence. Monique comme une automate se leva fit le tour du bureau et après avoir retroussé sa jupe, elle se déculotta. Mme Costa s'approcha pour examiner de plus près cette belle paire de fesses encore rouge des fessées précédentes.

- et bien mazette, je ne sais pas qui vous a administré cette correction mais c'est une spécialiste.

Elle posa sa main sur la croupe dénudée, Monique eut un mouvement de recul, une rapide tape sur les fesses la convainquit de ne pas bouger.

- vous êtes donc vraiment une vilaine fille, dans mon collège quand j'étais adolescente, une fessée à l'école valait une fessée à son retour à la maison.

Monique vivait un cauchemar éveillé, passe encore de devoir recevoir la fessée à l'institut mais maintenant dans son propre cabinet elle était obligée de présenter ses fesses à une presque inconnue qui la traitait comme une gamine désobéissante. Mme Costa prit une règle plate sur le bureau, Monique n'avait pas bougé, la main de Florence appuya un peu sur son dos pour la faire pencher sur le bureau de façon que ses fesses soient mieux présentées.

- je vous conseille de ne pas bouger et de ne pas faire trop de bruit si vous ne voulez pas que votre secrétaire vous voie dans cette position et cette tenue peu enviable.

La règle claqua le derrière tendu arrachant un petit cri étouffé à la pauvre Monique, son derrière encore douloureux des fessées précédentes était en feu après une cinquantaine de coups de règle. Satisfaite la nouvelle maîtresse se recula pour admirer son œuvre, une paire de fesses parfaitement rougie, un rouge très foncé qui descendait jusqu'à la racine des cuisses à la lisière des fesses, la où la peau est la plus sensible. Monique sanglotait en silence sous la cuisson, il ne fallait surtout pas alerter sa secrétaire, disciplinée par plusieurs séances à l'institut, elle ne bougeait pas et ne frottait pas ses fesses, attendant les consignes. Celle-ci ne tardèrent pas.

- je n'ai pas le temps de vous envoyer au coin, ce sera pour la prochaine fois, reculottez vous.

La fin de la consultation se passa comme dans un rêve, si ce n'est la brûlure de son postérieur qui la rappelait à la réalité. Elle raccompagna sa fesseuse, jusqu'à la porte. Celle ci en lui serrant la main lui dit.

- je vois avec votre secrétaire pour mon rdv de vendredi ?

La secrétaire fit remarquer que le planning était complet à moins de la rajouter en fin de journée. Monique acquiesça un peu inquiète.

- c'est parfait, vous aurez un peu plus de temps à m'accorder.

Florence était souriante en sortant du cabinet de son ophtalmologue, quelle bonne surprise pensa t elle. Son attirance pour la fessée datait de sa jeunesse, elle en avait reçu des fessées quand elle était chez les sœurs, celle-ci avait la main leste et elle troussait et baissait les culottes des gamines mais aussi des adolescentes sans se soucier de leur pudeur, les fesses rougissaient et les pleurs et gémissements ne les arrêtaient pas. Quand elle avait fait ses études elle avait goûté au plaisir d'administrer à son tour des fessées déculottées à quelques amies. Quand elle était devenue à son tour professeur dans cette institution, les châtiments corporels publiques avaient disparu des classes mais ils avaient toujours cours lors des leçons particulières si les parents donnaient leur autorisation ce qui était toujours le cas. Florence ne s'était pas privé de déculotter ces jeunes filles de bonne famille, elle pouvait se vanter quand elle se promenait en ville de connaître l'anatomie postérieure de nombreuses dames, qui de nombreuses années plus tard la saluait avec déférence.

Le vendredi suivant, elle se présenta au cabinet du Dr Dumon, la secrétaire la fit patienter et quand Monique appela sa patiente elle prit congé,

- je ferme la porte docteur, vous serez tranquille.

Monique Dumon acquiesça, se demandant si c'était une bonne idée, mais comme elle se doutait de ce qui allait lui arriver, elle se dit que c'était mieux que personne ne la découvre fesses à l'air en train de recevoir une fessée.

- bien, alors à quand remonte votre dernière fessée ?

Florence avait décidé d'entrer sans attendre dans le vif du sujet, Monique rougit une nouvelle fois, elle avait eu un rdv au cabinet de Mme Rose le matin même et ses fesses étaient encore sensibles des quatre fessée reçues, la dernière donnée comme à son habitude par cette petite peste de Sophie devant les trois personnes qui attendaient, allongée en travers de ses cuisses comme une maman sévère l'aurait fait, sauf que la maman avait 20 ans et que la fillette était une dame de plus de quarante ans culotte descendue à mi cuisse.

- euh, ce…. ce matin.

- et bien on va voir ça, venez ici.

En disant ça, Mme Costa s'était assise sur une chaise et elle faisait signe avec son doigt à Monique d'approcher. Des qu'elle fut à sa portée elle lui prit la main et la fit basculer sur ses genoux, habituée à ce genre de situation Mme Dumon ne résista pas, à quoi bon depuis une semaine elle commençait à connaître les sensations ressenties, les mains posées par terre pour stabiliser la position, l'air frais sur ses cuisses signe que la jupe était retroussée et puis l'humiliation suprême la culotte qui glissait, les fesses étaient maintenant exposées à la vue de sa fesseuse. Et puis la brûlure de la première claque, mais elle n'arrivait pas, Florence examinait soigneusement ce fessier si bien tendu par la position, elle souriait, appréciant le spectacle que lui offrait bien malgré elle le docteur Dumon, la jupe retroussée sur les reins, la culotte descendue sous les fesses mettant bien en valeur ses deux globes rebondis, présentant encore les signes d'une sévère déculottée.



- et bien, on n'a pas du être très sage pour mériter une si bonne fessée.

Tout en caressant les fesses Mme Costa employait le langage d'une institutrice sévère, se plaisant à faire retomber en enfance cette bourgeoise hautaine, elle insinua ses doigts dans la raie fessière ce qui provoqua une réaction de sa victime qui serra vivement les fesses, quelques vigoureuses claques eurent tôt fait de calmer cette petite rébellion.

- ma chère, vous n'êtes ni en position ni en tenue pour désobéir, donc vous allez écarter vos cuisses bien gentiment et desserrer vos fesses sinon il va vous en cuire.

Monique effectivement n'était pas en bonne posture, elle s'exécuta et laissa sa nouvelle maîtresse violer un peu son intimité. Jugeant l'humiliation suffisante, elle posa sa main sur les fesses pour en apprécier la chaleur.

- ça vous cuit encore un peu, mais vous connaissez la règle, une fessée à l'école, une fessée par maman à la maison, et aujourd'hui c'est moi la maman.

Elle leva la main et commença à claquer vigoureusement les deux fesses que lui présentait Monique. Celle ci instruite par le séjour à l'institut se gardait bien de se dérober mais bientôt la brûlure intense la fit sangloter et supplier sa nouvelle maman. Celle-ci continuait toujours souriante d'appliquer le châtiment qu'elle jugeait nécessaire. Quelques instants plus tard, Monique en pleurs était conduite au coin tenue par l'oreille comme si elle était revenue 30 ans en arrière.

- Voilà une belle paire de fesses bien rouge, mettez vos mains sur la tête vilaine fille et que je ne vous voies pas bouger.

Florence avait coincé la jupe dans la ceinture pour bien dégager les fesses. Elle s'assit au bureau et contempla le spectacle. Elle laissa Monique au coin pendant 10 minutes. Puis elle la fit venir et se levant elle lui désigna une chaise.

- mettez vous à genoux et tenez vous droite, vous allez me raconter pourquoi vous avez mérité de recevoir toutes ces fessées chez Mme Rose, et n'oubliez rien, j'ai la règle à portée de vos fesses pour vous rafraîchir la mémoire si il en était besoin.

Monique en pleurnichant du se confesser, les quelques coups de règles soigneusement appliqué sur son derrière tendu furent d'une aide précieuse.

- et bien c'est du joli, si votre mère savait cela, mais je vois que Mme Rose connaît son métier, je pense qu'à la fin de votre séjour chez elle vous n'aurez plus envie de recommencer. Je crois cependant que vous avez besoin que quelqu'un vous prenne en charge, je vous attends lundi soir chez moi, vous me raconterez votre journée et je contrôlerai l'état de vos fesses. En attendant comme punition supplémentaire vous me copierez 500 fois la phrase suivante :" je suis une vilaine fille qui mérite de recevoir régulièrement des bonnes fessée déculottée, je vous remercie Mme Costa de bien vouloir vous en charger" et vous me conjuguerez à tous les temps "je mérite la fessée déculottée" ça aussi 100 fois. Vous m'amenez tout ça lundi soir, et bien écrit sans rature et sans faute.

Mme Dumon était sans voix, d'un seul coup elle était retombée en enfance quand elle était au collège, elle ne recevait pas la fessée mais elle avait souvent des lignes à copier, elle put enfin se relever et se reculotter




vendredi 28 janvier 2022

l'institut chapitre 2

 Deux amies



Pendant que Gérard recevait sa deuxième fessée et que Monique exposait sa croupe écarlate, Sophie s'occupait des deux clientes. Elles s'étaient présentées, Lola était la plus jeune et à la voir prendre la parole on se doutait bien que c'était elle qui portait la culotte dans ce petit couple, Edwige était plus âgée mais son air soumis suggérait que pour ce qui était de la culotte la sienne devait être souvent baissée.

Le salon de Mme Rose en plus de ses activités de soins du corps et de fessothérapie avait une activité de vente d'accessoires nécessaires à la discipline domestique. Lola avait eu l'adresse par une amie qui l'avait introduit, Edwige semblait peu enthousiaste sachant que sans doute ses fesses feraient rapidement connaissance avec quelques uns de ces instruments. Sophie leur avait présenté en premier les martinets, désigné comme nous l'avons déjà vu par des numéros de 1 à 3 en fonction de la longueur des lanières, Sophie leur expliqua l'intérêt de choisir le un avec ses courtes lanières pour une fessée en position classique le sujet allongé sur les genoux, mais également pour sa facilité à le glisser dans un sac à main.

- il est toujours intéressant d'avoir un martinet à disposition n'est ce pas ?

Lola approuvait mais Edwige faisait la grimace, Sophie leurs présenta la spécialité maison, une petite raquette en cuir de forme ronde.

- voyez mesdames, elle est faite sur mesure par un artisan sur les instructions de Mme Rose, la taille correspond à la surface d'une fesse standard comme celle de madame,

Elle désignait Edwige qui rougit fortement à cette allusion à un futur châtiment.

- ainsi par rapport à une fessée manuelle, vous gagnez en efficacité.

Elle leurs présenta ensuite une autre spécialité le plug avec compteur, cet instrument notait chaque manipulation, ainsi quand on l'introduisait il marquait un et deux quand on le retirait, Sophie expliqua l'intérêt de la chose, si on mettait un plug à sa punie pour plusieurs heures, on pouvait contrôler qu'elle n'avait pas essayé de le toucher ou pire de l'enlever. Cependant Sophie leur expliqua que cet instrument n'était vendu qu'après une séance d'apprentissage auprès de Mme Rose car la mise en place pouvait être délicate. Elle leurs présenta enfin ce pour quoi elles étaient venue, à savoir la culotte à fessée, c'était également une spécialité maison, en apparence c'était une culotte blanche classique mais le fond de ce sous vêtement était séparé du reste, il était retenu à la ceinture par 3 pressions, ce qui fait leur expliqua Sophie facilitait grandement le déculottage.

- en cas de nécessité, fessée rapide en extérieur par exemple, vous courbez madame sous votre bras, vous relevez la jupe et juste en tirant sur les pressions vous avez les fesses à disposition le fond de la culotte restant attaché à l'entrejambe vous pouvez reculotter rapidement la punie et continuer votre route, si vous désirez la laisser fesses à l'air vous retirez la dernière pression entre les cuisses et il n'y a plus de fond juste des bandes de dentelle à la ceinture et autour des cuisses, le devant reste en place pour respecter la pudeur de madame. C'est également pratique pour les dames un peu forte avec un volumineux postérieur où le déculottage est quelque fois un peu compliqué. Et puis sentir que son fond de culotte peut être enlevé aussi rapidement c'est assez angoissant pour la punie n'est ce pas madame.

Sophie s'était volontairement tournée vers Edwige. Lola approuva et demanda si son amie pouvait l'essayer puisque c'était pour elle. Edwige rougit violemment à cette allusion évidente à son statut de punie. Sophie acquiesça et leur indiqua la pièce où Gérard s'était changé. Quelques instants plus tard Edwige tirée par la main par Lola apparu en culotte dans le hall d'accueil.

Pouvez-vous nous faire une démonstration Mlle ?

Sophie n'attendait que cela, mais elle regarda en direction de Monique dont le fessier était encore bien rouge, elle tenait absolument à montrer ses talents de fesseuse.

- pas de problème mais avant je dois m'occuper de madame, ses fesses ont perdu un peu de leur couleur.





Elle saisit la pauvre Monique par l'oreille et l'amena jusqu'à une chaise, elle s'assit et bascula l'ophtalmologue en travers de ses cuisses, celle-ci n'avait pas protesté pourtant à 40 ans cette bourgeoise bien connue dans la bonne société se retrouvait en position disciplinaire fesses à l'air en parfaite position pour recevoir un châtiment habituellement réservé aux gamines insolentes, qui plus est, celle qui allait lui administrer ce châtiment humiliant avait à peine 20 ans. Sophie ne perdit pas de temps elle leva la main et commença la fessée, celle-ci fut rapide à peine 3 minutes pour pas moins de 200 claques généreusement distribuées sur la croupe bien tendue par la position. Quand elle cessa la punition les deux fesses avaient pris une couleur rouge brique et en regardant bien on pouvait voir une légère buée s'élever de la peau brûlante. Monique pleurait à chaudes larmes quand Sophie l'a reconduisit au coin toujours tenue par l'oreille. Les deux dames avaient été impressionnés par la technique de Sophie, surtout Edwige qui craignait d'avoir à l'expérimenter. La suite allait lui donner raison, Sophie s'approcha d'elle puis rapidement elle la courba sous son bras, les trois pressions sauterent et la ravissante paire de fesses apparu au grand jour, Lola applaudi.

- mais c'est parfait, qu'elle rapidité ce déculottage, tenez comme elle est en bonne position, flanquez moi une bonne fessée à cette dame je lui en doit une depuis tout à l'heure pour sa mauvaise humeur.

Sophie ne se fit pas prier, toujours ravie d'avoir une paire de fesses à claquer. Edwige trépignait sur place sous la brûlure de la fessée quand Mme Rose apparu.

- puis je savoir qui vous a donné l'autorisation de fesser cette dame ?

Sophie relâchant Edwige piqua un fard et bredouilla, Mme Rose lui indiqua le comptoir.

- en position !

Sophie s'exécuta, à côté du comptoir il y avait un plan plus bas à la hauteur d'un bureau, elle s'y pencha puis retroussa sa jupe et descendit sa culotte sous ses fesses. Pendant ce temps Edwige cherchait à cacher ses fesses en remontant son fond de culotte, elle fut arrêtée par Mme Rose.

- depuis quand une punie se reculotte sans autorisation ? Allez vous mettre au coin les mains sur la tête.

Edwige se dirigea vers le coin le fond de sa culotte pendant sous ses fesses.

Mme Rose s'approcha de son assistante, elle prit la raquette en cuir de démonstration et administra à Sophie une vigoureuse fessée, celle-ci gémis sous la cuisson mais elle ne bougea pas, quand ce fut fini ses fesses étaient écarlates,

- la culotte au clou !

Mme Rose était inflexible, Sophie retira sa culotte et l'accrocha à un crochet derrière son bureau où était indiqué son nom, en voyant cette culotte suspendue, les clients devinait que la demoiselle était cul nu sous sa jupe.

Mme Rose saisi Edwige par l'oreille et comme elle l'avait fait pour Gérard elle posa son pied sur la chaise et bascula la jeune femme sur sa cuisse, cette position très humiliante faisait retomber les punis en enfance, sous l'autorité d'une sévère maîtresse d'école. Elle avait gardé la raquette en cuir à la main, une centaine de claques plus tard, les fesses d'Edwige n'avaient rien à envier à celle de Monique. Lola était aux anges, certes elle aimait administrer la fessée à son amie, mais la voir punie par une autre personne n'était pas désagréable.

Mme Rose laissa Sophie finir de s'occuper de ces dames, Gérard l'attendait pour une troisième et dernière fessée.

Edwige avait été remise au coin et les deux jeunes femmes discutait des bienfaits de l'éducation claquante pour les dames ou les messieurs. Une sonnerie signifia que la pénitence de Monique Dumon était terminée, Sophie la fit venir.

- tournez-vous que j'examine vos fesses, allez vite, vous faut-il une autre fessée pour vous faire obéir, bien penchez vous.

Elle prenait un malin plaisir à humilier cette dame un peu hautaine habituellement mais qui maintenant n'en menait pas large et docilement montrait ses fesses rouges, les tendant même pour permettre à Sophie de les examiner, elle les palpa, insinuant même sa main dans la raie fessiere pour écarter les deux globes jumeaux, puis elle tapota les fesses rouges.

- c'est bien vous devenez obéissante, c'est fou comme une bonne fessée déculottée peut rendre docile les grandes dames. Bon ces fesses me paraissent en parfait état, vous pourrez recevoir les fessées prévues à votre programme demain, je vais vous donner votre rdv.

Elle retourna à son bureau laissant la pauvre Monique désemparée exposant toujours ses fesses dénudées.

- bien, disons demain à 16 h, vous ferez la fermeture puisque je vois que Mme Rose vous a prévu 2 séances de fessées avec 1 h de pénitence au coin entre les 2.

Puis elle se leva fit pivoter Monique pour que ses fesses soit en face de Lola, elle la courba sous son bras pour lui faire bien présenter sa croupe rebondie et levant la raquette en cuir elle administra à Mme Dumon sa dernière fessée de la journée. Quand elle la relâcha, celle ci avait des larmes qui coulait sur les joues et elle trepignait sur place pour essayer d'atténuer la cuisson qui lui embrasait le bas du dos, elle avait appris à ses dépens qu'il ne fallait pas frotter ses fesses après la fessée sous peine d'un retour immédiat en position disciplinaire pour une deuxième correction en général plus sévère que la première. Sophie était satisfaite du résultat, la façon dont Monique réagissait était la preuve de l'efficacité de la punition.

- cessez ces manières et reculottez vous, vous n'avez reçu qu'une bonne fessée et vous l'aviez bien mérité ce n'est pas la peine d'en faire tout une histoire, à moins que vous ne vouliez revenir sur mes genoux ?

Immédiatement la jolie bourgeoise transformée par la grâce de la fessée en gamine punie, cessa de pleurnicher et entrepris de remonter sa culotte sur ses fesses brûlantes.

Quelques minutes plus tard, elle était au volant de sa voiture, des lunettes noires pour cacher ses yeux rougis et se dandinant sur son siège pour atténuer la douleur. Elle devait reprendre ses consultations dans 1/2 h.

Pendant ce temps, Sophie avait été chercher Gérard dans le bureau de Mme Rose et le tenant par l'oreille elle l'avait mis au coin, culotte baissée et fesses écarlates, il avait goûté du martinet et son fessier en gardait un souvenir cuisant.

Une jeune femme attendait son tour, elle était la pour une épilation intime, c'était sa première visite et bien qu'ayant signé les conditions d'accès au salon qui précisait que la fessothérapie pouvait être punitive elle avait été surprise de voir une dame déculottée, les fesses bien rouge dans un coin mais quand elle vit Sophie arriver tenant un monsieur en pleur par l'oreille, accompagnant sa marche par quelques claques sur les fesses nues, elle ouvrit de grands yeux.

Sophie signifia à Edwige que sa pénitence était terminée, Lola lui intima l'ordre de rester fesses à l'air tant qu'elle n'aurait pas réglé ses achats, Sophie s'adressa à Valérie, c'était le prénom de la nouvelle cliente.

- je suis à vous dans un instant, en attendant passez dans la cabine et déshabillez vous, ne gardez que la culotte et le soutien gorge, j'arrive pour faire votre dossier.

Un peu surprise de devoir se déshabiller avant de remplir son dossier elle failli poser une question mais la vue des deux fessiers rougis l'incita à la prudence et elle s'exécuta.

Lola s'était décidée elle prit un lot de 7 culottes à fessée, une par jour, le nom de chaque jour était inscrit sur le fond avec une main grande ouverte. Elle prit également un martinet numéro un, pour l'avoir toujours à portée dans son sac à main. Très bon choix approuva Sophie, le martinet de voyage est très bien adapté à la culotte à fessée. En cadeau de bienvenue la jeune femme lui offrit la raquette en cuir qui avait déjà servi sur les fesses d'Edwige. En souriant Lola pris son amie par la main et après s'être assise sur une chaise, elle la bascula en travers de ses genoux puis levant la raquette elle commença à administrer une claquante fessée. Edwige n'était plus cette trentenaire cadre dans une grande entreprise mais une adolescente mal élevée corrigée par sa baby sitter, Lola en avait l'âge, elle qui était encore étudiante.

- c'est vrai que cette raquette fait exactement la taille de ta fesse ma chérie, je vais économiser mes mains, quelle efficacité, une vingtaine de claques et les fesses sont toutes rouges, tu n'avais pas encore eu droit à la fessée de Lola cet après midi et bien voilà qui est fait.

Pendant qu'elle parlait, elle continuait d'appliquer soigneusement de grandes claques sur les fesses tendues de son amie qui s'était mis à pleurer et à supplier comme c'est habituel pendant une bonne fessée. Jugeant le résultat satisfaisant, elle reagraffa le fond de la culotte et permis à Edwige de se relever.

- voilà, une bonne déculottée pour la route. Allez on y va,

Sa main avait accompagné ses paroles et avait claqué la jupe redescendue. 

mercredi 26 janvier 2022

l'institut chapitre 1



L'institut de Mme Rose

Gérard était un peu inquiet quand il sonna à l'interphone, sur la plaque il était simplement indiqué "Institut de Mme Rose, soins du corps et fessothérapie"

Une voix féminine lui répondit, il se présenta, la porte s'ouvrit. Dans le hall d'accueil qui ressemblait à une salle d'attente avec quelques chaises et derrière un comptoir une jeune femme blonde et souriante l'accueillit.

- bonjour, Gérard je vous attendais,

Elle regarda ostensiblement la pendule.

- c'est bien, vous êtes à l'heure, nous sommes très à cheval sur le respect des horaires de rdv.

Gérard était un peu surpris d'être appelé directement par son prénom mais il se garda bien d'en faire la remarque.

- bien, je vois que vous êtes là pour un stage de remise à niveau de 5 jours, suivez moi.

Elle se leva et ouvrit une porte, c'était une pièce avec des porte manteau et une chaise.

- déshabillez vous, je reviens avec votre tenue de stage.

Elle s'éclipsa sans fermer la porte, bien qu'habitué à obéir sans discuter avec la ferme éducation qu'il recevait chez lui, il resta sur place sans réagir. Sophie la jeune assistante de Mme Rose revenait avec des vêtements sous le bras.

- mais je rêve ! Qu'est-ce que vous faites là les bras ballants, je vous ai dit de vous déshabillez.

Elle fit pivoter Gérard et elle lui administra une dizaine de claques sur les fesses encore couvertes par les vêtements. Surpris par cette petite fessée impromptue le monsieur de 45 ans, habitué à de bien plus sévère correction ne protesta pas mais il piqua un fard car la personne qui le traitait comme un gamin désobéissant n'avait guère plus que 25 ans.

- il va falloir apprendre à obéir, monsieur sinon vos fesses vont en payer le prix ! Allez enlever moi ce pantalon, oui et la culotte aussi !

Gérard suivait les consignes à la lettre et il se trouvait maintenant fesses à l'air devant cette jeune femme qui sans manière le courba sous son bras et se mit en devoir de lui administrer sa première vraie fessée à l'institut, mais ce ne serait pas la dernière.

Revenons un peu en arrière, Sylvie l'épouse de Gérard pratiquait la discipline domestique depuis un moment mais par une amie elle avait appris l'existence de cet institut un peu particulier. Mme Rose avait créé cet institut qui proposait des services que l'on ne trouvait que rarement à savoir l'épilation intime, le traitement de la cellulite par une méthode révolutionnaire et la fessothérapie. Cet institut n'était accessible que par cooptation, il fallait être introduit par un membre en effet pour bénéficier des prestations il fallait payer une cotisation et signer la charte qui précisait les différentes conditions d'application des traitements.

Sylvie avait pu adhérer par l'intermédiaire de sa voisine Isabelle et en étudiant la plaquette elle avait trouvé son bonheur, Mme Rose proposait un stage de remise à niveau pour adultes désobéissant ou paresseux consistant en une fessothérapie punitive pendant 5 jours. Elle avait immédiatement pris rdv et Gérard s'était vu offrir ce stage en cadeau d'anniversaire.

Sophie avait relâché Gérard et elle lui présentait sa tenue, un bermuda, une culotte blanche, des socquettes blanches et un polo, une parfaite tenue de collégien anglais. Elle le surveilla pendant qu'il s'habillait, puis elle le laissa. Il s'aperçut qu'il y avait une porte entrouverte, il y jeta un œil, le spectacle était édifiant. Une solide femme d'une cinquantaine d'années assise sur une chaise tenait allongée sur ses genoux une dame, qui malgré son âge était dans une position peu enviable, la jupe retroussée et la culotte descendue sous les fesses.

- bien chère Mme vous voilà en bonne position pour la fessée de maman Rose.

Mme Rose, puisque c'était elle qui tenait Monique Dumon sur ses genoux leva la main et commença à administrer à sa patiente une magistrale fessée, la main claquait alternativement la fesse droite puis la gauche, c'était une redoutable fesseuse et au bout de quelques instants la punie se mit à pleurer et à implorer la clémence.

- et oui, je sais ça brûle la fessée, c'est même fait pour ça, oh, c'est ça remuez bien les jambes, serrez les fesses, vous aurez votre fessée, vous l'avez mérité.

Tout en commentant la punition, elle continuait à administrer de solides claques sur ce fessier si bien présenté, il avait pris rapidement une belle couleur carmin, il ne s'était pas écoulé plus de trois minutes quand elle cessa la correction, une paire de fesses brûlantes qui se contractait sous ses yeux pour atténuer la cuisson, elle souriait satisfaite, c'était toujours un plaisir pour elle d'administrer une fessée à une dame de la bonne société et de les voir pleurer et supplier après une bonne déculottée. Elle fit relever Monique et lui saisissant l'oreille elle la conduisit au coin de la pièce.

- bien, les mains sur la tête et le nez au mur, on ne bouge pas, on va retrousser cette jupe, ce serait dommage de se priver du joli spectacle de vos fesses rouges, mes félicitations Mme, vous avez un magnifique postérieur.

Mme Rose adorait ajouter à l'humiliation d'exposer ses fesses nues un petit commentaire qui pimentait la punition.

Monique Dumon nez au mur et les mains sur la tête ressentait une intense cuisson envahir la partie la plus charnue de son individu, elle regrettait amèrement ce moment d'égarement où sous l'emprise de l'alcool elle avait dragué d'une façon éhontée le mari de sa meilleure amie, celle ci s'en était rendue compte et le lendemain devant les regrets sincères de Monique avait accepté de passer l'éponge à condition que celle-ci accepte de se rendre chez Mme Rose pour dix séances de fessothérapie punitive. Elle avait ajouté en riant.

- et puis en plus ma chérie c'est bon pour la cellulite, ne t'inquiète pas, Mme Rose est une spécialiste ça sera douloureux pour tes fesses et pour ton amour propre mais une bonne déculottée n'a jamais tué personne.

Et c'est comme ça que pour la troisième fois de la semaine, elle se retrouvait culotte baissée et jupe retroussée contrainte d'exposer ses fesses écarlates, elle l'ophtalmologiste réputée, mère de deux grandes filles réduite à une condition de gamine qu'on déculotte et que l'on fesse à volonté.

Pendant que Monique se livrait à ces réflexions, Mme Rose s'était dirigé vers la porte, Gérard s'était reculé vivement. Quand elle ouvrit celle-ci il constata que sa future fesseuse n'était pas très grande mais ses formes rondes, ses cheveux tirés en chignon et son regard bleu d'azur dégageait une autorité naturelle. Elle lui fit signe d'avancer.

- alors c'est vous, Gérard, votre épouse n'a pas l'air très satisfaite de vous à ce qu'on m'a dit, je pense qu'après ce petit stage chez nous elle sera contente du résultat.

Gérard n'en menait pas large, si il était habitué à recevoir la fessée par sa femme, il n'avait jamais été fessé par une autre personne, sauf tout à l'heure par Sophie pensa t'il rapidement, mais il se doutait bien après avoir assisté à la correction de la dame qui l'avait précédé que la petite fessée de la jeune femme n'était qu'un apéritif. En entendant Mme Rose parler, Monique sut que quelqu'un d'autre était dans la pièce et avait tout le loisir d'admirer le spectacle qu'elle offrait bien malgré elle, ses fesses rondes écarlates soulignées par la blancheur de la culotte descendue juste en dessous. C'était un plaisir que s'offrait Mme Rose, fesser deux personnes dans la même pièce mais sans qu'il puisse se reconnaître puisqu'il ne voyait que les fesses de leur malheureux compagnon ou compagne. Gérard se rendit compte que en plus de recevoir la fessée d'une main étrangère il allait exposer ses cris et ses supplications à une dame inconnue.

Mme Rose n'avait cure de ses interrogations, elle s'était assise sur une chaise avait fait approcher ce monsieur redevenu un collégien soumis à la rude discipline d'une professeur en colère. Le bermuda avait glissé sur les chevilles et Gérard se retrouvait maintenant dans la position classique pour une bonne fessée, allongé en travers des cuisses de sa fesseuse, les mains sur le sol, les pieds pendant de l'autre côté et au milieu de cette courbe, son fessier bien exposé encore protégé par la culotte blanche qui tendue par la position avait tendance à rentrer dans la raie fessière. La protection ne dura pas longtemps, Mme Rose était une experte en déculottage, le dernier rempart de sa pudeur était maintenant descendu à mi cuisse. Et soudain la fessée commença une succession de formidables claques qui embrasèrent son postérieur, il s'était promis de résister, mais la cuisson était trop intense, il se mit à crier et à supplier puis à pleurer comme Monique quelques instants auparavant. Les fessées de Mme Rose étaient toujours très rapides mais très intenses au bout de quelques minutes les fesses étaient écarlates et brûlantes. Gérard se rendait compte que les fessées de Sylvie bien que très douloureuse étaient bien moins sévères que celle-ci, quand enfin l'avalanche des claques cessa une intense cuisson lui embrasait le bas des reins, il avait l'impression d'être assis sur un poêle brûlant. Mme Rose savourait ces moments où un adulte perdait de sa superbe en exposant un derrière bien rouge, retombé en enfance, redevenu un sale gosse déculotté sur les genoux de sa maman, sanglotant et implorant la clémence elle les laissaient en général quelques instants dans cette position humiliante.



Elle le fit se relever et le conduisit devant une grande glace qui permettait au puni si il le désirait de se voir dans une position peu enviable en train de recevoir leur correction.

- tenez, mettez vos mains sur la tête et tournez vous pour bien voir vos jolies fesses bien rouges, on va faire une photo que votre épouse puisse constater que j'ai bien travaillé.

La photo était éloquente, on voyait la paire de fesses bien rouge soulignée par la culotte à mi cuisse et dans la glace on distinguait bien le visage du puni. Mme Rose pratiquait toujours ainsi, elle avait une très belle collection de fessiers écarlates de nombreuses personnes de cette ville, la simple suggestion que ces photos pourraient illustrer une page Facebook incitait ses clients à la discrétion et à l'obéissance.

Gérard rejoignit rapidement le coin qui lui était assigné, encouragé par une vigoureuse claque sur son derrière brûlant.

Mme Rose appela Monique Dumon, celle ci se dirigea à petit pas vers sa fesseuse en gardant ses mains sur la tête.

- tournez-vous que je voie vos fesses, c'est parfait elles sont prête pour la suite, vous allez demander à Sophie de vous donner le martinet numéro deux.

Monique marqua un instant d'hésitation, la main de Mme Rose lui claqua vivement la fesse droite puis la gauche pour lui rappeler à l'obéissance immédiate. Elle se dirigea vers la porte qui donnait sur le hall d'accueil et ce qu'elle craignait se réalisa, Sophie n'était pas seule, elle discutait avec deux dames. En la voyant arriver elle s'interrompit et interrogea Monique du regard, celle-ci les joues rouges comme ses fesses bredouilla quelques mots.

- mais enfin, Monique, articulez, je ne comprends rien.

En fait elle avait parfaitement compris la demande de la pauvre Monique mais elle voulait enfoncer le clou et la forcer à bien la reformuler.

- euh, Mme Rose voudrait que vous me donniez, euh, euh, le martinet.

- ah, c'est donc ça, un martinet pour vos petites fesses, et lequel, elle a bien du vous le dire.

- euh, euh, oui le numéro deux.

- et bien, ça va bien claquer sur votre joli derrière, je peux vous l'assurer.

Puis s'adressant à ces deux clientes.

- comme je vous le disais tout à l'heure nous avons plusieurs modèles de martinet, ils portent chacun un numéro qui correspond à la longueur des lanières, le numéro deux c'est celui là, les lanières mesurent environ 30 cm ce qui permet plusieurs positions pour la fessée ou classique allongée sur les genoux où bien sur un chevalet ou un fauteuil et cette longueur permet une fessée sévère.

Tout en disant cela elle caressait les lanières, Monique était effrayée par cet instrument et la description de sa future punition. Sophie lui tendit le martinet, elle le prit et pour éviter d'exposer ses fesses dénudées elle commença à reculer vers la porte, Sophie eut vite fait de la rappeler à l'ordre,

- cessez ces simagrées Mme, et tournez-vous ! Vous n'allez tout de même pas rentrer en marche arrière dans le bureau de Mme Rose !

De plus en plus rouge, Monique s'exécuta et les trois femmes purent admirer ses fesses écarlates encadrées par la culotte blanche descendue sous les fesses et la jupe épinglée dans le dos. La plus jeune des deux dames émis un petit cri surprise.

- et bien ça c'est une belle fessée, quelle résultat, tu vois ma chérie ce qui arrive au vilaines filles.

Son amie piqua un fard mais ne répondis pas. Monique tenant son instrument de punition à la main rentra dans le bureau, elle aperçu le monsieur qui avait reçu sa fessée pendant qu'elle était au coin, la couleur de ses fesses ne laissait aucun doute sur la sévérité de la correction, la cuisson devait être encore intense au vu des contactions du fessier cherchant à atténuer la douleur. Elle tendit le martinet à Mme Rose. Celle-ci s'en saisi et avec le manche elle lui montra un fauteuil.

- mettez vous à genoux là et vous me tendez bien vos fesses, voilà c'est bien, penchez vous encore un peu, quelle belle paire de fesses, ne les serrez pas trop sinon le martinet vous cuira encore plus, c'est ça voilà allez on écarte un peu les jambes.

Mme Rose en fesseuse experte plaçait sa punie comme il fallait pour que la fessée au martinet produise son effet au maximum.

Monique Dumon était rouge de honte de devoir exposer ainsi son intimité, ses fesses nues, bien tendues et présentées aux lanières qui allaient dans un instant mordre ses chairs si tendres. Elle n'eut pas longtemps à attendre, elle poussa un cri quand ses fesses furent cinglées par les 10 lanières de cuir, Mme Rose habituée à entendre ses punies pleurer et implorer la fin de la punition ne se laissa pas émouvoir et elle continua jusqu'au bout la punition prévue. Après une cinquantaine de cinglades, elle fit une pause pour passer sa main sur la croupe écarlate.

- cessez ces pleurnicheries madame, vous avez mérité la fessée et vous l'aurez jusqu'à ce que je juge la punition suffisante, ces fesses sont tout juste chaudes, encore un peu de martinet et vous irez les faire refroidir dans le hall, tout le monde pourra les voir.

La fessée repris et Monique reçu comme prévu une cinquantaine de cinglées supplémentaires. La fessée terminée, Mme Rose la laissa quelques instants sangloter et serrer ses fesses, puis elle appela Sophie.

- vous m'emmener cette vilaine fille et vous la mettez au coin, que tout le monde puisse voir ses fesses rouges, une heure au coin et je compte sur vous pour que ses fesses restent à la bonne couleur. Sophie souri, ça lui donnait la permission de fesser cette bourgeoise à sa guise et elle ne s'en priverait pas, elle saisi Monique par l'oreille pour la faire se relever et elle la conduisit au coin en face de son bureau, les deux clientes étaient toujours là et elles regardaient avec attention ce spectacle, une dame d'une quarantaine d'années, culotte à mi cuisse, jupe retroussée, tenue par l'oreille par une très jeune femme qui la traitait comme une gamine et accompagnait sa marche de quelques claques sur les fesses déjà très rouges.

- je pense que vous vous rappelez comment vous devez vous tenir, c'est comme hier, le nez bien collé au mur et les mains sur la tête et vous ne bougez pas.

Sophie avait ostensiblement parlé  de la veille afin que les spectateurs sachent que cette dame n'en était pas à sa première punition.

Pendant ce temps Mme Rose s'était dirigé vers Gérard qui exposait toujours ses fesses écarlates dans le coin de la pièce, elle le saisi par l'oreille pour l'amener vers son bureau où elle prit une belle règle plate en bois longue de 50 cm, puis elle posa son pied sur la chaise et soulevant Gérard qui n'était très grand elle le fit basculer sur sa cuisse horizontale, ses pieds ne touchait plus le sol, il se cramponna au dossier de la chaise, mais Mme Rose le tenait solidement, elle était d'une force peu commune et son habitude d'administrer des fessées la rendait très à l'aise pour maintenir ses patients avec les fesses bien présentées. Elle leva la règle et commença la correction, Gérard se mit à crier et à supplier, la brûlure de l'instrument était nouvelle, il n'avait jamais reçu de fessée aussi cuisante, de plus la position adoptée par sa fesseuse tendait parfaitement les fesses rendant les coups de règles encore plus douloureux et bien tenu par la taille il ne pouvait que battre les jambes au rythme de la fessée. Il jeta un œil dans la glace et ce qu'il vit le projeta 25 ans en arrière quand pendant un cours particulier d'anglais sa professeur avait utilisé la même méthode pour lui inculquer les règles de la bonne conduite , il avait 14 ans et elle n'avait pas hésité à le déculotter après une énième désobéissance.

Aujourd'hui il en avait 40 mais madame Rose n'en avait cure et tandis qu'elle s'appliquait à lui rougir uniformément la croupe, elle le grondait comme un gamin.

- ah, je vais vous apprendre à obéir mon petit ami, oh ce n'est pas la peine de supplier, cette fessée vous l'avez mérité et je peux vous dire qu'elle n'est pas finie, après un séjour sur les genoux de Mme Rose on devient doux comme un agneau, c'est ça gigotez autant que vous voulez, si vous voyez le spectacle que vous offrez vous auriez honte, une bonne déculottée à 40 ans comme un sale gosse !

La règle n'avait pas cessé ses allers et retours pendant cette tirade. Elle décida que la punition devait être suffisante, toute la surface des fesses du bas des reins à la racine des cuisses était rouge. Elle le reposa par terre et le saisissant immédiatement par l'oreille, elle le reconduisit au coin. 



Discipline traditionnelle 2

 Julie découvre la fessée Depuis qu’elle avait réintroduit les bonnes vieilles méthodes d’éducation dans la maison, Julie était ravie. Après...