mardi 18 novembre 2025

L'institut suite 12

 Triple fessée



Alice Léger se présenta l’institut à dix-sept heures précise, elle ne savait pas trop à quoi s’attendre, certes les discussions avec ses collègues avaient été assez explicites. A l’institut on pratiquait la fessée traditionnelle, c’est-à-dire la correction de la fautive sur ses fesses préalablement mises à nu.

Elle frissonna en entendant une voix féminine l’inviter à entrer, dès qu’elle ouvrit la porte elle fut mis dans l’ambiance, deux magnifiques paires de fesses ornait les angles de la pièce. Leur couleur ne laissait pas de place au doute, elles avaient été corrigées sérieusement, un rouge profond recouvrait entièrement la surface de chacun des fessiers.

Ambre qui était de permanence à l’accueil lui adressa un grand sourire et lui demanda si elle avait un rendez-vous. Alice baissa les yeux en rougissant :

— Euh, oui à dix-sept heures avec mademoiselle Aurélie.

La jeune assistante regarda le planning, en face du nom d’Alice se trouvait le type de prestation « correction pour comportement inadapté, adressée par le collège Sainte-Marie ».

Habituellement les prestations qu’Aurélie réalisait pour le collège privé concernait des grandes jeunes filles, Ambre dévisagea la dame d’une quarantaine d’années qui semblait très gênée d’être là :

— Comportement inadapté ? Bien, bien, je ne sais pas encore ce que ça veut dire, mais Aurélie doit être au courant, elle a un peu de retard, je vais vous faire patienter.

Comme Alice se tournait en cherchant un siège où s’asseoir, Ambre lui fit un petit signe.

— Venez ici.

Surprise, la professeure de math regarda le tabouret que lui désignait la jeune femme :

— Vous allez vous mettre à genoux ici, le nez contre le mur. Vous mettez vos mains sur la tête.

Alice comprit soudain qu’à partir de maintenant elle n’avait plus le choix, sa punition commençait. Elle sentit les mains d’Ambre se glisser sous sa jupe, l’air frais sur ses cuisses la renseigna, elle était troussée. La jeune assistante avait vite appris son métier, elle tira de sa poche une épingle et fixa l’ourlet de la jupe dans le dos d’Alice. Le large fessier débordait de la culotte noire ornée de dentelle, elle était adepte des tenues sexy, ses bas autofixants fumés avaient une couture à l’arrière. Elle sentit avec horreur les doigts de la jeune femme se glisser sous la ceinture de sa culotte et celle-ci descendre inexorablement.

Elle n’avait jamais subi une telle humiliation, se faire déculotter ainsi ne lui était jamais arrivé et qui plus est, elle exposait ses fesses nues à une très jeune femme et dans un lieu ouvert au public, elle se mit à gémir :

— Oh mademoiselle, s’il vous plaît, pas la culotte, pas ici.

Ambre éclata de rire et lui administra une magistrale claque au milieu du derrière :

— Comment ça pas la culotte ? Mais chère madame, vous êtes ici pour recevoir la fessée si j’en juge la raison de votre rendez-vous, et figurez-vous qu’ici la fessée c’est toujours cul nu et mon petit doigt me dit que vous n’avez pas fini de montrer votre bon gros derrière.

Alice se mit à pleurnicher, mais ne protesta plus, Ambre s’approcha et lui palpa les fesses :

— Tenez-vous droite et posez votre nez contre le mur. Avec une si belle paire de fesses, ma collègue va se régaler.

Justement Aurélie sortait de la salle de traitement, elle tenait une dame par l’oreille et celle-ci, comme toutes les patientes sortant de cette pièce, était en pleurs, de grosses larmes coulaient sur ses joues rouges, la culotte baissée autour des genoux indiquait qu’elle venait assurément de goûter à la spécialité maison, la bonne vieille fessée déculottée.

Aurélie tirant toujours sa patiente par l’oreille, jeta un regard circulaire et fit un petit clin d’œil à Ambre :

— Décidément les coins sont encombrés aujourd’hui, deux paires de fesses rouges et une blanche, bon il en reste quand même un pour ma chipie. Allez, avancez !

Elle avait claqué les fesses nues de la dame, elle-ci devait être une habituée, car elle prit la position requise sans que la jeune femme ait eu à lui préciser. Le fessier bien rond et ferme d’Edwige était écarlate, Aurélie avait suivi à la lettre les consignes de Lola sa petite amie « Depuis quelque temps Edwige est insupportable malgré mes fessées déculottées, je pense qu’un petit stage à l’institut lui fera le plus grand bien, elle a trois jours de RTT, au moins ils seront bien employés, je la récupère à dix-sept heures, j’espère que son derrière sera bien rouge »

La jeune femme était une habituée de l’institut où elle se fournissait en matériel de punition et elle y amenait souvent Edwige pour que celle-ci soit corrigée par une autre main que la sienne, la cheffe du service marketing exposait très souvent sa croupe rouge dans le secrétariat.

Aurélie avait accepté de prendre Edwige en plus de son planning habituel, mais elle n’avait pas pour autant bâclé la prestation, la cuisson qui enflammait le derrière de la punie était intense.

L’assistante se tourna vers sa jeune collègue et désigna du regard le fessier blanc d’Alice :

— C’est ma patiente ?

— Oui, j’ai pensé qu’un peu d’attente les fesses à l’air lui ferait du bien.

Aurélie s’approcha en souriant de la professeure de math qui serrait déjà ses fesses, elle les palpa d’une main professionnelle :

— Tu as bien fait, ça la met dans l’ambiance. Vous devez avoir un mot de la directrice à me remettre pour que je le signe ?

Elle avait claqué le plantureux fessier :

— Euh, oui mademoiselle, il est dans mon sac… Aïe, aïe…

La main de la jeune femme claqua à nouveau très sèchement le fessier dénudé :

— Vous auriez dû le donner à ma collègue dès votre arrivée, madame il va falloir apprendre à obéir.

La main claqua rapidement une vingtaine de fois la large croupe qui tressautait à chaque gifle. Aurélie se tourna vers Ambre.

— Elle va rester là une demi-heure, ça lui fera du bien. Tu es occupée ?

Ambre désigna les deux fessiers rougis :

— J’ai encore deux fessées à administrer, mais c’est un peu tôt, je mets à jour les fichiers des patientes.

Aurélie s’approcha de la première punie et tapota le derrière brûlant, c’était une belle paire de dame, ronde et ferme :

— Il me semblait avoir reconnu ce postérieur, c’est notre chère Monique. C’est la première fois que tu t’en occupes ?

Ambre souriait satisfaite de son travail :

— Oui, sa fille me l’a amenée en début d’après midi, elle voulait que sa maman goûte à une nouvelle fesseuse. Elle m’a laissée toute latitude pour la punir comme il faut, elle revient la chercher à dix-huit heures. Elle a vraiment un beau derrière, c’est un plaisir de lui claquer les fesses.

Aurélie explorait sans vergogne les formes du derrière de l’ophtalmologue, une fidèle de l’institut (lire chapitre 1 et 2 de l’institut de Mme Rose), celle-ci était maintenant habituée aux punitions magistrales, ses fesses ne passaient pas une journée sans prendre une belle couleur rouge, Elodie sa fille qui avait pris en charge son éducation était d’une sévérité remarquable, ses fessées étaient cuisantes, mais elle aimait aussi varier les humiliations et sa mère devait régulièrement se rendre à l’institut pour y être déculottée et corrigée comme une gamine.

— C’est vrai que notre Monique a vraiment une magnifique paire de fesses, tu l’as bien soignée, bravo.

Aurélie jeta un regard coquin à la jeune femme :

— Tu es donc disponible, j’aimerais avoir une petite discussion avec tes fesses ma chérie. Sophie s’en est occupée aujourd’hui ?

Ambre se renfrogna légèrement, ses deux collègues ne passaient pas une journée sans lui administrer une ou plusieurs fessées et ce n’était jamais des petits panpan cucul, non c’était de véritable correction qui lui laissait le derrière en feu. Sophie lui avait administré une fessée dès le matin et une autre avant sa pause de midi, elle avait pensé que ce serait suffisant, mais le regard d’Aurélie ne laissait pas de place au doute, elle allait devoir à nouveau présenter son derrière déculotté à la jeune femme pour recevoir une fessée qui à n’en pas douter serait magistrale.

Elle ne protesta pas, la dernière fois qu’elle avait osé le faire, elle avait été bonne pour une journée fesses rouges, c’est-à-dire que ses deux collègues s’étaient relayée pour lui administrer très régulièrement la fessée afin que son derrière reste écarlate du matin au soir. Elle était victime de la qualité de son fessier, volumineux, mais si ferme et si rond qu’il donnait vraiment envie de le claquer.

Elle bénéficia quand même d’un petit sursis car sa collègue désigna l’autre croupe écarlate exposée :

— Et ce fessier, je ne le reconnais pas ?



Ambre, ravie d’échapper brièvement à la cuisante sanction qui s’annonçait, s’approcha de la jolie paire de fesses bien joufflue, elle la claqua sèchement :

— Mais si tu les connais ces fesses, ce sont celles de Caroline. C’est vrai que sa mère qui me l’a amenée ce matin m’a dit que ça faisait un moment qu’elle ne nous l’avait pas confiée. Elle a passé la journée avec moi pour un petit stage de remise à niveau, je pense qu’elle aura encore les fesses rouges demain matin, comme pour Monique sa maman vient la rechercher à dix-huit heures.

— C’est bien, j’ai donc le temps de m’occuper de ton joli postérieur et toi tu pourras ensuite te charger de ces deux chipies avant qu’on ne vienne les chercher. Allez file, box numéro un.

Elle avait fini sa phrase en administrant une claque magistrale sur le joufflu d’Ambre qui sans un mot se dirigea vers la porte, Aurélie s’adressa aux quatre punies exposant leurs fesses nues :

— Vous savez ce qui arrive quand on bouge de son coin ou qu’on parle !!

Dès qu’elle eut refermé la porte, elle posa son pied sur un tabouret, saisit sa jeune collègue par la taille et la jucha sur sa cuisse horizontale, la mini-jupe que madame Rose faisait porter à ses assistantes remonta naturellement découvrant le haut des cuisses et même la base des fesses. Ambre désormais portait des petites culottes en coton bien sage, pour une fois Sophie ne l’avait pas privée de son sous-vêtement, Aurélie en fut ravie, elle adorait déculotter ses patientes.

La culotte avait du mal à contenir le fessier si joufflu de la jeune femme, elle rentrait dans la raie médiane découvrant le pli fessier, Aurélie commença à claquer cet endroit si sensible, Ambre se mit à pédaler dans le vide et à gémir :

— Aïe,aïe, mademoiselle Aurélie, non… Non ça brûle…

En souriant celle-ci continua à claquer l’arrière des cuisses et la base des fesses découvertes, elle voulait retarder au maximum l’instant si excitant du déculottage. Quand cette zone fut bien rouge, elle tapota le fond de la culotte :

— Ma petite Ambre, on va passer au moment le plus agréable de notre métier, baisser la culotte de la punie. C’est vrai que pour toi ça va l’être un peu moins. Bon voyons un peu ce bon gros derrière.

Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la lingerie et la fit glisser lentement sur les rotondités de la jeune femme, ses fesses étaient crispées, même si depuis le temps, elle commençait à s’habituer à cet humiliant effeuillage, c’était toujours un moment d’angoisse pour elle que de sentir l’air frais caresser son derrière.

— Voilà ma grande, cul nu, prête pour la bonne déculottée de tatie Aurélie.

Elle leva la main et se mit à claquer sèchement le fessier tendu, il ne portait plus les traces de la fessée du midi, à peine une légère teinte rosée. Rapidement un rouge brillant le recouvrit tandis que la jeune assistante exécutait une danse des fesses endiablée, ses jambes battaient l’air frénétiquement au rythme des claques magistrales. Aurélie s’arrêta et caressa la belle paire de fesses écarlate :

— Maintenant la touche finale.

Elle prit sa brosse à cheveux et administra rapidement une cinquantaine de coups sur le magnifique derrière d’Ambre, la pauvre criait et pleurait en même temps, mais solidement tenue par la taille, sa croupe ne pouvait échapper aux brûlantes caresses de la brosse.

Les fesses cramoisies semblèrent convenir à la perverse fesseuse, elle reposa la punie par terre :

— J’adore ton derrière après la fessée ma chérie, tu peux remonter ta culotte, Sophie a eu raison de te la laisser, c’est tellement agréable de déculotter une chipie.

Ambre ne se le fit pas dire deux fois, son fessier écarlate disparu à la vue de sa fesseuse, celle-ci en souriant lui tapota le derrière :

— On sera seules pour la fermeture, je pense que je les reverrai ma chérie.

Ambre esquissa un sourire, certes Aurélie était une redoutable fesseuse, mais elle avait su se montrer câline avec sa jeune collègue quand elles se retrouvaient seules dans l’institut.

Elles retournèrent dans le secrétariat, les quatre fessiers n’avaient pas bougé d’un pouce

Aurélie se dirigea vers Edwige qui serrait encore convulsivement ses fesses pour essayer d’atténuer la cuisson, elle palpa la croupe pour apprécier la chaleur :

— Je crois que Lola sera contente, mais je pense que vos fesses n’ont pas fini de vous cuire ma chère Edwige.

Elle se tourna vers sa collègue :

— Quand sa petite amie vient la récupérer tu m’appelles.

Il était temps de s’occuper d’Alice, elle saisit l’oreille de la professeure du collège Sainte-Marie, celle-ci poussa un petit cri, la dernière fois qu’elle s’était fait tirer les oreilles, elle devait avoir une douzaine d’années, la main libre d’Aurélie claqua le large fessier :

— En piste madame, vous devez avoir plein de choses à me raconter.

Elles disparurent dans la salle de traitement qui était souvent ironiquement appelée par les assistantes, la salle aux culs rouges.

La sonnette retentit et Ambre contrôla le visiophone, deux dames attendaient, l’une assez jeune et l’autre d’âge mûr, elle reconnut Elodie, la fille de Monique et Julie la mère de Caroline. Elle s’empressa de leur ouvrir et annonça aux deux punies :

— On vient vous chercher, vous allez avoir des spectatrices pour votre dernière fessée.

Julie et Elodie entrèrent en discutant, elles s’étaient déjà croisées à des soirées organisées par madame Rose, mais également en venant récupérer Caroline ou Monique comme aujourd’hui. En entrant le spectacle des trois paires de fesses écarlates ornant les coins du secrétariat était un régal pour deux amatrices de fessées comme elle, Elodie félicita Ambre :

— Mazette, vous leur avez mis une belle culotte rouge sur le derrière, mes félicitations.

La jeune femme rougit sous le compliment, ce travail était vraiment une bénédiction des dieux, certes ses deux collègues ne se gênaient pas pour lui baisser la culotte et lui rougir le derrière, mais ce désagrément était largement compensé par le plaisir qu’elle prenait à coucher en travers de ses cuisses des dames de tout âge et de toutes conditions.

Depuis qu’elle avait commencé, elle avait eu le plaisir de déculotter pour les fesser, une baronne, une cadre dirigeante, une grand-mère et bien d’autres profils. Elles avaient mis à nu et rougis toutes sortes de fessiers, des fermes, des rebondis, des bien larges, des très joufflus, le panel des paires de fesses exposées à l’institut était large.

Elle regarda Elodie, elle savait qu’elle entretenait une relation avec Sophie et qu’elle avait goûté à la fessée déculottée de madame Rose, peut-être qu’un jour elle aurait le plaisir de découvrir son derrière, en attendant c’était le tour de sa mère :

— Je n’en ai pas tout à fait terminé avec Monique, si vous permettez, je dois lui administrer sa dernière fessée.

Elodie regarda les fesses encore bien rouges de sa mère et adressa un sourire à la jeune assistante :

— Faites comme prévu, je vous ai confié Monique pour l’après-midi, elle a une bonne paire de fesses qui peut facilement supporter de solides corrections, de toute façon elle n’a pas fini de me les montrer.

Ambre regarda le fessier rebondi de la dame de quarante-cinq ans, elle savait qu’elle était ophtalmologue et la traiter comme une gamine décuplait son plaisir. Elle se tourna vers Julie :

— Le stage de remise à niveau de Caroline s’est très bien passé, je crois que vous allez récupérer une jeune fille toute mignonne, mais comme pour Monique, il me reste également une fessée à lui administrer.

Julie en souriant s’installa sur la banquette de la salle d’attente :

— Aucun problème pour moi non plus, je vais assister à la fessée de ma chipie avec le plus grand plaisir.

Elodie s’installa à côté d’elle, Ambre avait décidé de commencer par le fessier un peu plus large de la quarantenaire, elle alla chercher Monique et en la tirant par l’oreille elle l’amena au centre de la pièce, la punie, les yeux rougis baissait la tête pour ne pas croiser le regard de sa fille et de cette inconnue qui allait assister à son humiliante punition. La jeune assistante s’était assise sur la chaise à fessée et elle tapota ses cuisses :

— Ma petite Monique vous connaissez la position n’est-ce pas ?

Sans un mot celle-ci se coucha sur les genoux de cette très jeune femme, c’était toujours un spectacle curieux que de voir une dame d’âge mûr obéir sans discuter et se faire appeler « ma petite », la culotte était déjà à mi-cuisse, Ambre la baissa jusqu’aux genoux et tapota le derrière tendu :

— Vous allez expliquer à Elodie ce que vous avez reçu comme fessée depuis que vous êtes arrivée, je pense que vous vous en souvenez, sinon vous êtes en bonne position pour que je vous rafraîchisse la mémoire.

Les fesses rouges de Monique se serrèrent à l’évocation de cette éventuelle fessée, une petite claque l’incita à commencer sa confession.

— Euh… mademoiselle Ambre m’a administré une fessée à la main… Aïe…

La main venait de gifler sèchement son derrière :

— Une fessée ? Quel genre de fessée ?

— Aïe, pardon mademoiselle… Une fessée déculottée…

— Ensuite !!

— Aïe, aïe… j’ai été chercher madame Tapecul et j’ai reçu une deuxième fessée déculottée…

— Parfait et ensuite ?

— Euh, j’ai été au coin… et mademoiselle Ambre a utilisé le martinet.

Elodie applaudit en riant :

— Mais c’est parfait, je comprends maintenant pourquoi ton derrière est si joli ma petite maman.

La main d’Ambre claqua à nouveau le fessier :

— Dépêchez-vous de finir, ma main me démange !

— Euh oui, oui…aïe, aïe… J’ai été au coin et j’ai reçu une fessée déculottée avec mademoiselle Claquefesse.

La jeune assistante se tourna vers les deux spectatrices :

— Je pense que madame va avoir un peu de mal à s’asseoir ce soir et que ses fesses seront encore rouges demain, je vais donc lui administrer sa dernière fessée avec la brosse à cheveux.

Monique poussa un petit gémissement ce qui lui valu une dizaine de claques généreusement appliquées.

— Qu’est-ce que j’entends ?

— Aïe, aïe, aïe… non, non, pardon mademoiselle Ambre, je n’ai rien dit.

La jeune assistante adressa un petit clin d’œil à Elodie.

— Bien, puisque nous sommes d’accord, allons-y.

Elle leva sa brosse à cheveux et commença à claquer minutieusement le bon gros derrière tendu devant ses yeux. Chaque assistante avait sa propre brosse à cheveux qui vous vous en doutez bien ne servait jamais à se coiffer. Au moment de leur embauche, à la fin de la semaine d’essai madame Rose leur offrait leur instrument de punition personnel, sur le manche était gravé leur prénom. C’était une solide brosse, lourde avec un dos large, recevoir une fessée avec cet instrument était vraiment une expérience cuisante, Monique y goûtait à cet instant précis, ses cris mêlés à ses pleurs, les mouvements désespérés de ses jambes et la couleur de sa croupe ne laissait pas de place au doute, elle recevait une sévère correction.



Ambre continuait tranquillement de tanner ce derrière si joufflu, elle adorait donner la fessée et depuis qu’elle avait la possibilité d’en administrer à des dames d’âge mûr, c’était encore plus excitant.

Elodie regardait en souriant sa maman recevoir sa punition, cette petite s’y entend pensa-t-elle, la croupe cramoisie de Monique et ses supplications enfantines était agréable pour son esprit pervers. Enfin la fessée prit fin, la punie continuait de pleurer affalée en travers des cuisses de la jeune femme, celle-ci caressa la peau brûlante :

— Un joli derrière cuit à point, je pense qu’elle n’est pas près de recommencer ses bêtises.

Elodie se mit à rire :

— Je ne sais pas, on dirait que madame aime recevoir de bonnes déculottées, de toute façon, elle en recevra encore une avant d’aller au lit.

Ambre tapota les fesses écarlates :

— Allez ! au coin, vilaine fille !

Elle adorait infantiliser ces bourgeoises avec leur derrière bien rouge.

Caroline avait entendu les pleurs et les cris de Monique, elle savait à quoi s’attendre, elle préférait toujours passer la première quand il s’agissait de recevoir une correction. Elle sentit la main de la jeune assistante lui saisir l’oreille, au lieu de l’amener directement à la chaise de punition, elle la conduisit devant Julie et la fit se tourner afin qu’elle lui présente son fessier :

— Penche-toi et présente bien tes jolies fesses à ta maman.

Toute honte bue, Caroline s’exécuta, tendant son derrière rougi à Julie, celle-ci adressa un sourire de remerciement à la jeune assistante, le spectacle était vraiment excitant, elle tendit la main et caressa les fesses enflammées. Ambre lui donna les mêmes consignes qu’à Monique :

— Tu vas raconter à ta maman comment tu as été punie aujourd’hui pour qu’elle juge si c’est suffisant.

Comme sa comparse la jeune femme dut confesser toutes les punitions qu’elle avait reçues depuis son arrivée à l’institut, elle s’en acquitta assez rapidement ne souhaitant pas rester dans cette honteuse position. Julie glissa à nouveau ses doigts sur les fesses de sa fille et elle les écarta :

— J’espère que ça va te servir de leçon ma chérie, mais je pense que ton derrière peut largement supporter la dernière fessée prévue par Ambre. Ce soir on s’occupera du reste, attends-toi à me présenter tes fesses pour ta pénitence préférée.

Caroline fit une grimace, elle savait ce que ça voulait dire, elle passerait la soirée les fesses nues parfaitement exposées avec un thermomètre bien enfoncé profondément en leur centre.

Elle n’eut pas le temps de trop y réfléchir, car la jeune assistante lui avait à nouveau saisi l’oreille et cette fois l’avait couchée en travers de ses cuisses. La brosse à cheveux entra immédiatement en action et la danse des fesses exécutées par Caroline ne fut pas moins expressive que celle de Monique.

Pendant la fessée, Lola était entrée discrètement et depuis la porte elle avait assisté à la fin de la correction :

— Pour une fessée, s’en est une bonne. Bravo mademoiselle Ambre, je vois que je peux vous confier le derrière d’Edwige sans aucun problème.

La fesseuse rougit de plaisir sous le compliment, puis elle fit relever Caroline qui continuait de pleurer et la conduisit au coin de la pièce.



— Vous venez récupérer Edwige, voyez que ses fesses sont parfaitement colorées. Aurélie m’a dit de la prévenir de votre arrivée, je l’appelle.

Lola salua les deux spectatrices, elles se connaissaient pour s’être rencontrées lors d’une soirée fesses rouges à l’institut :

— Vos chipies ont vraiment de jolies culottes rouges.

Elodie se mit à rire et approuva :

— C’est sûr, je ne sais pas si je vais reculotter Monique, elle ne risque pas de prendre froid au derrière.

Julie regarda la croupe d’Edwige :

— Finalement c’est la vôtre qui a le derrière le moins rouge.

Lola s’approcha de son amie et claqua les fesses rubicondes :

— C’est vrai mais ça ne va pas durer, n’est-ce pas ma chérie ?

Aurélie accompagnée de sa jeune collègue rentrait dans le secrétariat juste à cet instant :

— La couleur du derrière d’Edwige ne vous convient pas mademoiselle Lola ?

— Si, si je reconnais votre travail ma chère Aurélie, mais elles ont du mal à soutenir la comparaison avec celles des deux autres punies.

L’assistante regarda les trois paires de fesses :

— En effet, mais si on redonne seulement une fessée à Edwige, son derrière va être automatiquement plus rouge que celui de Monique et de Caroline.

Ambre leva la main :

— Aurélie a raison, mais si je puis me permettre, il y a une solution, qu’elles reçoivent toutes les trois une fessée et que celle d’Edwige soit un peu plus longue pour égaliser les couleurs.

— Tu as raison et pour que ça soit encore plus honteux, elles vont être fessées par une nouvelle maman. Lola tu vas t’occuper de Caroline, Julie vous fesserez Monique, quant à Elodie, elle sera ravie de rougir le derrière d’Edwige.

Les trois maîtresses approuvèrent en riant cette proposition, Ambre déplaça deux chaises qu’elle plaça en arc de cercle autour de la chaise à fessée, les fesseuses s’installèrent. La répartition proposée par Aurélie leur convenait, Lola appréciait de pouvoir fesser le derrière juvénile et bien rond de Caroline, Elodie était ravie d’avoir à sa disposition le fessier d’Edwige, il avait à peu près la même forme que celui de sa mère, mais un peu plus jeune, il semblait plus ferme, quant à Julie, corriger une dame de son âge n’était pas pour lui déplaire, le postérieur de Monique lui faisait envie.

En un instant les trois punies se retrouvèrent en position disciplinaire les fesses bien présentées, offertes aux yeux ravis des trois dames qui allaient se charger de les corriger. Aurélie prit la direction des opérations :

— Une bonne fessée déculottée manuelle devrait suffire, par contre Elodie finira la fessée d’Edwige par quelques coups de brosse pour que les punitions soient identiques.

Les trois derrières se crispèrent à l’annonce de cette punition, particulièrement celui de la cheffe de service couchée sur les genoux d’Elodie.

Les trois fessées se mirent à pétarader dans le secrétariat accompagné des cris et des pleurs des punies. Quand Elodie prit la brosse pour finir de rôtir les fesses d’Edwige celle-ci se mit à pleurer encore plus fort et à supplier, mais rien n’y fit, et la correction alla à son terme.

Comme l’avait prédit Ambre les trois paires de fesses étaient toutes de la même couleur, un rouge brique profond couvrait l’intégralité de la surface corrigée.

La jeune assistante prouva qu’elle avait pris de l’assurance, elle annonça avec un petit sourire pervers :

— Vous êtes privée de culottes, vous rentrez cul nu sous vos jupes. Allez vite, vous les enlevez et vous les posez sur le bureau.

Aurélie la regarda et lui fit un petit clin d’approbation, penaudes les trois dames firent glisser leur culotte et les enjambèrent puis l’une après l’autre, elles les posèrent dans une petite corbeille.

Aurélie salua les trois maîtresses :

— Je vous laisse, j’ai du travail.

Ambre avait fait tourner les trois punies afin qu’elles lui présentent leurs fesses, elle commença par Monique, elle caressa le derrière brûlant, ses doigts s’immiscèrent également dans la raie fessière, puis elle enleva l’épingle qui tenait la jupe retroussée :

— J’espère que vous allez être sage ma petite Monique, votre derrière va certainement vous faire penser à moi pendant un moment.

Ce fut au tour de Caroline de subir l’humiliant examen :

— Ton derrière est bien chaud ma chérie, si j’ai bien compris ta maman va compléter ta punition en rentrant, ça t’apprendra.

Elodie en tapotant les fesses de Monique précisa :

— Pour ma petite maman, j’ai également prévu un petit supplément.



Edwige avait l’habitude de ces petites humiliations, mais sentir les doigts de cette jeune femme qui écartaient ses fesses lui sembla encore pire, surtout que Lola ne voulant pas être en reste lui annonça qu’elle serait pluggée en arrivant et qu’elle passerait la soirée au coin.

Une fois que les trois couples eurent quitté le secrétariat, Ambre ramassa les trois culottes et les mis dans son sac. Depuis quelque temps elle avait entrepris de faire la collection des culottes confisquées aux patientes, elle ne savait pas si madame Rose apprécierait, mais c’était un petit plaisir qu’elle s’accordait.



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