dimanche 30 novembre 2025

Un traitement pour Sylvie

Procrastination



Bonjour à tous,

Comme nombre d'entre vous, Héloïse trouve que je produis pas trop ces temps-ci.

Elle a donc décidé avec l'aide de Caroline de soigner ma procrastination.... J'ai encore les fesses en feu sous ma culotte en écrivant ce post....


Mlle Héloïse prenait le thé avec deux amies au salon, elle m'a dit d'un ton sévère :

- Va voir Caroline, elle t'attend dans la chambre.

 Effectivement, celle-ci m'attendait de pied ferme. 

- Alors comme ça tu fais la paresseuse, viens ici.

Elle m'a couchée sur ses genoux pour une fessée sur la culotte cinquante sur chaque fesses, je peux vous dire que ça chauffait déjà.

Elle m’a fait relever et m'a envoyé chercher le thermomètre dans la salle de bain et après m'avoir remis sur ses genoux, elle m'a déculottée. 


Puis elle a écarté mes fesses et me l’as introduit bien profondément.  
Elle a enchainé immédiatement avec une fessée déculottée avec le thermomètre dans fesses, cinquante sur chaque fesse. Mes fesses étaient écarlates, elle m'a donné une brosse à cheveux et m'a dit :
- Tu files voir Héloïse. 

Je suis arrivée au salon culotte à mi-cuisse et brosse à cheveux à la main. 


Elle m’a fait tourner pour montrer mes fesses à tous le monde puis elle m’a couchée sur ses genoux elle a renfoncé correctement le thermomètre et m’a administré cinquante coups de brosse sur chaque fesse, c'était ma première fessée publique....

Ensuite elle m’a renvoyé dans la chambre, Caroline m’attendait elle m'a fait me tourner et me pencher en avant pour examiner mes fesses :
- J'espère que tu commences à comprendre.
Elle m'a  saisi l'oreille et m'a mis au coin les mains sur la tête.
- Tu vas rester là à réfléchir pendant dix minutes avec le thermomètre, tu n'as pas intérêt à le faire sortir. Je ne veux plus t'entendre.

A la fin de mon temps de coin, elle m’a remis sur ses genoux et a fait coulisser le thermomètre en m'expliquant que la prochaine fois toute la punition serait publique y compris la mise en place du thermomètre avec la raie bien écartée et que je passerais la soirée au  coin fesses à l’air. 


Puis elle a fini par une fessée à la main, cinquante claques très fortes sur chaque fesse et m’a retiré le thermomètre. 

- En complément de cette punition tu vas aller immédiatement raconter ta punition sur ton blog en n'oubliant aucun détail? tous le monde doit savoir que tu reçois encore la fessée déculottée comme une gamine.



Je vous promets que je vais essayer de publier un peu plus souvent.



mercredi 26 novembre 2025

mardi 18 novembre 2025

L'institut suite 12

 Triple fessée



Alice Léger se présenta l’institut à dix-sept heures précise, elle ne savait pas trop à quoi s’attendre, certes les discussions avec ses collègues avaient été assez explicites. A l’institut on pratiquait la fessée traditionnelle, c’est-à-dire la correction de la fautive sur ses fesses préalablement mises à nu.

Elle frissonna en entendant une voix féminine l’inviter à entrer, dès qu’elle ouvrit la porte elle fut mis dans l’ambiance, deux magnifiques paires de fesses ornait les angles de la pièce. Leur couleur ne laissait pas de place au doute, elles avaient été corrigées sérieusement, un rouge profond recouvrait entièrement la surface de chacun des fessiers.

Ambre qui était de permanence à l’accueil lui adressa un grand sourire et lui demanda si elle avait un rendez-vous. Alice baissa les yeux en rougissant :

— Euh, oui à dix-sept heures avec mademoiselle Aurélie.

La jeune assistante regarda le planning, en face du nom d’Alice se trouvait le type de prestation « correction pour comportement inadapté, adressée par le collège Sainte-Marie ».

Habituellement les prestations qu’Aurélie réalisait pour le collège privé concernait des grandes jeunes filles, Ambre dévisagea la dame d’une quarantaine d’années qui semblait très gênée d’être là :

— Comportement inadapté ? Bien, bien, je ne sais pas encore ce que ça veut dire, mais Aurélie doit être au courant, elle a un peu de retard, je vais vous faire patienter.

Comme Alice se tournait en cherchant un siège où s’asseoir, Ambre lui fit un petit signe.

— Venez ici.

Surprise, la professeure de math regarda le tabouret que lui désignait la jeune femme :

— Vous allez vous mettre à genoux ici, le nez contre le mur. Vous mettez vos mains sur la tête.

Alice comprit soudain qu’à partir de maintenant elle n’avait plus le choix, sa punition commençait. Elle sentit les mains d’Ambre se glisser sous sa jupe, l’air frais sur ses cuisses la renseigna, elle était troussée. La jeune assistante avait vite appris son métier, elle tira de sa poche une épingle et fixa l’ourlet de la jupe dans le dos d’Alice. Le large fessier débordait de la culotte noire ornée de dentelle, elle était adepte des tenues sexy, ses bas autofixants fumés avaient une couture à l’arrière. Elle sentit avec horreur les doigts de la jeune femme se glisser sous la ceinture de sa culotte et celle-ci descendre inexorablement.

Elle n’avait jamais subi une telle humiliation, se faire déculotter ainsi ne lui était jamais arrivé et qui plus est, elle exposait ses fesses nues à une très jeune femme et dans un lieu ouvert au public, elle se mit à gémir :

— Oh mademoiselle, s’il vous plaît, pas la culotte, pas ici.

Ambre éclata de rire et lui administra une magistrale claque au milieu du derrière :

— Comment ça pas la culotte ? Mais chère madame, vous êtes ici pour recevoir la fessée si j’en juge la raison de votre rendez-vous, et figurez-vous qu’ici la fessée c’est toujours cul nu et mon petit doigt me dit que vous n’avez pas fini de montrer votre bon gros derrière.

Alice se mit à pleurnicher, mais ne protesta plus, Ambre s’approcha et lui palpa les fesses :

— Tenez-vous droite et posez votre nez contre le mur. Avec une si belle paire de fesses, ma collègue va se régaler.

Justement Aurélie sortait de la salle de traitement, elle tenait une dame par l’oreille et celle-ci, comme toutes les patientes sortant de cette pièce, était en pleurs, de grosses larmes coulaient sur ses joues rouges, la culotte baissée autour des genoux indiquait qu’elle venait assurément de goûter à la spécialité maison, la bonne vieille fessée déculottée.

Aurélie tirant toujours sa patiente par l’oreille, jeta un regard circulaire et fit un petit clin d’œil à Ambre :

— Décidément les coins sont encombrés aujourd’hui, deux paires de fesses rouges et une blanche, bon il en reste quand même un pour ma chipie. Allez, avancez !

Elle avait claqué les fesses nues de la dame, elle-ci devait être une habituée, car elle prit la position requise sans que la jeune femme ait eu à lui préciser. Le fessier bien rond et ferme d’Edwige était écarlate, Aurélie avait suivi à la lettre les consignes de Lola sa petite amie « Depuis quelque temps Edwige est insupportable malgré mes fessées déculottées, je pense qu’un petit stage à l’institut lui fera le plus grand bien, elle a trois jours de RTT, au moins ils seront bien employés, je la récupère à dix-sept heures, j’espère que son derrière sera bien rouge »

La jeune femme était une habituée de l’institut où elle se fournissait en matériel de punition et elle y amenait souvent Edwige pour que celle-ci soit corrigée par une autre main que la sienne, la cheffe du service marketing exposait très souvent sa croupe rouge dans le secrétariat.

Aurélie avait accepté de prendre Edwige en plus de son planning habituel, mais elle n’avait pas pour autant bâclé la prestation, la cuisson qui enflammait le derrière de la punie était intense.

L’assistante se tourna vers sa jeune collègue et désigna du regard le fessier blanc d’Alice :

— C’est ma patiente ?

— Oui, j’ai pensé qu’un peu d’attente les fesses à l’air lui ferait du bien.

Aurélie s’approcha en souriant de la professeure de math qui serrait déjà ses fesses, elle les palpa d’une main professionnelle :

— Tu as bien fait, ça la met dans l’ambiance. Vous devez avoir un mot de la directrice à me remettre pour que je le signe ?

Elle avait claqué le plantureux fessier :

— Euh, oui mademoiselle, il est dans mon sac… Aïe, aïe…

La main de la jeune femme claqua à nouveau très sèchement le fessier dénudé :

— Vous auriez dû le donner à ma collègue dès votre arrivée, madame il va falloir apprendre à obéir.

La main claqua rapidement une vingtaine de fois la large croupe qui tressautait à chaque gifle. Aurélie se tourna vers Ambre.

— Elle va rester là une demi-heure, ça lui fera du bien. Tu es occupée ?

Ambre désigna les deux fessiers rougis :

— J’ai encore deux fessées à administrer, mais c’est un peu tôt, je mets à jour les fichiers des patientes.

Aurélie s’approcha de la première punie et tapota le derrière brûlant, c’était une belle paire de dame, ronde et ferme :

— Il me semblait avoir reconnu ce postérieur, c’est notre chère Monique. C’est la première fois que tu t’en occupes ?

Ambre souriait satisfaite de son travail :

— Oui, sa fille me l’a amenée en début d’après midi, elle voulait que sa maman goûte à une nouvelle fesseuse. Elle m’a laissée toute latitude pour la punir comme il faut, elle revient la chercher à dix-huit heures. Elle a vraiment un beau derrière, c’est un plaisir de lui claquer les fesses.

Aurélie explorait sans vergogne les formes du derrière de l’ophtalmologue, une fidèle de l’institut (lire chapitre 1 et 2 de l’institut de Mme Rose), celle-ci était maintenant habituée aux punitions magistrales, ses fesses ne passaient pas une journée sans prendre une belle couleur rouge, Elodie sa fille qui avait pris en charge son éducation était d’une sévérité remarquable, ses fessées étaient cuisantes, mais elle aimait aussi varier les humiliations et sa mère devait régulièrement se rendre à l’institut pour y être déculottée et corrigée comme une gamine.

— C’est vrai que notre Monique a vraiment une magnifique paire de fesses, tu l’as bien soignée, bravo.

Aurélie jeta un regard coquin à la jeune femme :

— Tu es donc disponible, j’aimerais avoir une petite discussion avec tes fesses ma chérie. Sophie s’en est occupée aujourd’hui ?

Ambre se renfrogna légèrement, ses deux collègues ne passaient pas une journée sans lui administrer une ou plusieurs fessées et ce n’était jamais des petits panpan cucul, non c’était de véritable correction qui lui laissait le derrière en feu. Sophie lui avait administré une fessée dès le matin et une autre avant sa pause de midi, elle avait pensé que ce serait suffisant, mais le regard d’Aurélie ne laissait pas de place au doute, elle allait devoir à nouveau présenter son derrière déculotté à la jeune femme pour recevoir une fessée qui à n’en pas douter serait magistrale.

Elle ne protesta pas, la dernière fois qu’elle avait osé le faire, elle avait été bonne pour une journée fesses rouges, c’est-à-dire que ses deux collègues s’étaient relayée pour lui administrer très régulièrement la fessée afin que son derrière reste écarlate du matin au soir. Elle était victime de la qualité de son fessier, volumineux, mais si ferme et si rond qu’il donnait vraiment envie de le claquer.

Elle bénéficia quand même d’un petit sursis car sa collègue désigna l’autre croupe écarlate exposée :

— Et ce fessier, je ne le reconnais pas ?



Ambre, ravie d’échapper brièvement à la cuisante sanction qui s’annonçait, s’approcha de la jolie paire de fesses bien joufflue, elle la claqua sèchement :

— Mais si tu les connais ces fesses, ce sont celles de Caroline. C’est vrai que sa mère qui me l’a amenée ce matin m’a dit que ça faisait un moment qu’elle ne nous l’avait pas confiée. Elle a passé la journée avec moi pour un petit stage de remise à niveau, je pense qu’elle aura encore les fesses rouges demain matin, comme pour Monique sa maman vient la rechercher à dix-huit heures.

— C’est bien, j’ai donc le temps de m’occuper de ton joli postérieur et toi tu pourras ensuite te charger de ces deux chipies avant qu’on ne vienne les chercher. Allez file, box numéro un.

Elle avait fini sa phrase en administrant une claque magistrale sur le joufflu d’Ambre qui sans un mot se dirigea vers la porte, Aurélie s’adressa aux quatre punies exposant leurs fesses nues :

— Vous savez ce qui arrive quand on bouge de son coin ou qu’on parle !!

Dès qu’elle eut refermé la porte, elle posa son pied sur un tabouret, saisit sa jeune collègue par la taille et la jucha sur sa cuisse horizontale, la mini-jupe que madame Rose faisait porter à ses assistantes remonta naturellement découvrant le haut des cuisses et même la base des fesses. Ambre désormais portait des petites culottes en coton bien sage, pour une fois Sophie ne l’avait pas privée de son sous-vêtement, Aurélie en fut ravie, elle adorait déculotter ses patientes.

La culotte avait du mal à contenir le fessier si joufflu de la jeune femme, elle rentrait dans la raie médiane découvrant le pli fessier, Aurélie commença à claquer cet endroit si sensible, Ambre se mit à pédaler dans le vide et à gémir :

— Aïe,aïe, mademoiselle Aurélie, non… Non ça brûle…

En souriant celle-ci continua à claquer l’arrière des cuisses et la base des fesses découvertes, elle voulait retarder au maximum l’instant si excitant du déculottage. Quand cette zone fut bien rouge, elle tapota le fond de la culotte :

— Ma petite Ambre, on va passer au moment le plus agréable de notre métier, baisser la culotte de la punie. C’est vrai que pour toi ça va l’être un peu moins. Bon voyons un peu ce bon gros derrière.

Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la lingerie et la fit glisser lentement sur les rotondités de la jeune femme, ses fesses étaient crispées, même si depuis le temps, elle commençait à s’habituer à cet humiliant effeuillage, c’était toujours un moment d’angoisse pour elle que de sentir l’air frais caresser son derrière.

— Voilà ma grande, cul nu, prête pour la bonne déculottée de tatie Aurélie.

Elle leva la main et se mit à claquer sèchement le fessier tendu, il ne portait plus les traces de la fessée du midi, à peine une légère teinte rosée. Rapidement un rouge brillant le recouvrit tandis que la jeune assistante exécutait une danse des fesses endiablée, ses jambes battaient l’air frénétiquement au rythme des claques magistrales. Aurélie s’arrêta et caressa la belle paire de fesses écarlate :

— Maintenant la touche finale.

Elle prit sa brosse à cheveux et administra rapidement une cinquantaine de coups sur le magnifique derrière d’Ambre, la pauvre criait et pleurait en même temps, mais solidement tenue par la taille, sa croupe ne pouvait échapper aux brûlantes caresses de la brosse.

Les fesses cramoisies semblèrent convenir à la perverse fesseuse, elle reposa la punie par terre :

— J’adore ton derrière après la fessée ma chérie, tu peux remonter ta culotte, Sophie a eu raison de te la laisser, c’est tellement agréable de déculotter une chipie.

Ambre ne se le fit pas dire deux fois, son fessier écarlate disparu à la vue de sa fesseuse, celle-ci en souriant lui tapota le derrière :

— On sera seules pour la fermeture, je pense que je les reverrai ma chérie.

Ambre esquissa un sourire, certes Aurélie était une redoutable fesseuse, mais elle avait su se montrer câline avec sa jeune collègue quand elles se retrouvaient seules dans l’institut.

Elles retournèrent dans le secrétariat, les quatre fessiers n’avaient pas bougé d’un pouce

Aurélie se dirigea vers Edwige qui serrait encore convulsivement ses fesses pour essayer d’atténuer la cuisson, elle palpa la croupe pour apprécier la chaleur :

— Je crois que Lola sera contente, mais je pense que vos fesses n’ont pas fini de vous cuire ma chère Edwige.

Elle se tourna vers sa collègue :

— Quand sa petite amie vient la récupérer tu m’appelles.

Il était temps de s’occuper d’Alice, elle saisit l’oreille de la professeure du collège Sainte-Marie, celle-ci poussa un petit cri, la dernière fois qu’elle s’était fait tirer les oreilles, elle devait avoir une douzaine d’années, la main libre d’Aurélie claqua le large fessier :

— En piste madame, vous devez avoir plein de choses à me raconter.

Elles disparurent dans la salle de traitement qui était souvent ironiquement appelée par les assistantes, la salle aux culs rouges.

La sonnette retentit et Ambre contrôla le visiophone, deux dames attendaient, l’une assez jeune et l’autre d’âge mûr, elle reconnut Elodie, la fille de Monique et Julie la mère de Caroline. Elle s’empressa de leur ouvrir et annonça aux deux punies :

— On vient vous chercher, vous allez avoir des spectatrices pour votre dernière fessée.

Julie et Elodie entrèrent en discutant, elles s’étaient déjà croisées à des soirées organisées par madame Rose, mais également en venant récupérer Caroline ou Monique comme aujourd’hui. En entrant le spectacle des trois paires de fesses écarlates ornant les coins du secrétariat était un régal pour deux amatrices de fessées comme elle, Elodie félicita Ambre :

— Mazette, vous leur avez mis une belle culotte rouge sur le derrière, mes félicitations.

La jeune femme rougit sous le compliment, ce travail était vraiment une bénédiction des dieux, certes ses deux collègues ne se gênaient pas pour lui baisser la culotte et lui rougir le derrière, mais ce désagrément était largement compensé par le plaisir qu’elle prenait à coucher en travers de ses cuisses des dames de tout âge et de toutes conditions.

Depuis qu’elle avait commencé, elle avait eu le plaisir de déculotter pour les fesser, une baronne, une cadre dirigeante, une grand-mère et bien d’autres profils. Elles avaient mis à nu et rougis toutes sortes de fessiers, des fermes, des rebondis, des bien larges, des très joufflus, le panel des paires de fesses exposées à l’institut était large.

Elle regarda Elodie, elle savait qu’elle entretenait une relation avec Sophie et qu’elle avait goûté à la fessée déculottée de madame Rose, peut-être qu’un jour elle aurait le plaisir de découvrir son derrière, en attendant c’était le tour de sa mère :

— Je n’en ai pas tout à fait terminé avec Monique, si vous permettez, je dois lui administrer sa dernière fessée.

Elodie regarda les fesses encore bien rouges de sa mère et adressa un sourire à la jeune assistante :

— Faites comme prévu, je vous ai confié Monique pour l’après-midi, elle a une bonne paire de fesses qui peut facilement supporter de solides corrections, de toute façon elle n’a pas fini de me les montrer.

Ambre regarda le fessier rebondi de la dame de quarante-cinq ans, elle savait qu’elle était ophtalmologue et la traiter comme une gamine décuplait son plaisir. Elle se tourna vers Julie :

— Le stage de remise à niveau de Caroline s’est très bien passé, je crois que vous allez récupérer une jeune fille toute mignonne, mais comme pour Monique, il me reste également une fessée à lui administrer.

Julie en souriant s’installa sur la banquette de la salle d’attente :

— Aucun problème pour moi non plus, je vais assister à la fessée de ma chipie avec le plus grand plaisir.

Elodie s’installa à côté d’elle, Ambre avait décidé de commencer par le fessier un peu plus large de la quarantenaire, elle alla chercher Monique et en la tirant par l’oreille elle l’amena au centre de la pièce, la punie, les yeux rougis baissait la tête pour ne pas croiser le regard de sa fille et de cette inconnue qui allait assister à son humiliante punition. La jeune assistante s’était assise sur la chaise à fessée et elle tapota ses cuisses :

— Ma petite Monique vous connaissez la position n’est-ce pas ?

Sans un mot celle-ci se coucha sur les genoux de cette très jeune femme, c’était toujours un spectacle curieux que de voir une dame d’âge mûr obéir sans discuter et se faire appeler « ma petite », la culotte était déjà à mi-cuisse, Ambre la baissa jusqu’aux genoux et tapota le derrière tendu :

— Vous allez expliquer à Elodie ce que vous avez reçu comme fessée depuis que vous êtes arrivée, je pense que vous vous en souvenez, sinon vous êtes en bonne position pour que je vous rafraîchisse la mémoire.

Les fesses rouges de Monique se serrèrent à l’évocation de cette éventuelle fessée, une petite claque l’incita à commencer sa confession.

— Euh… mademoiselle Ambre m’a administré une fessée à la main… Aïe…

La main venait de gifler sèchement son derrière :

— Une fessée ? Quel genre de fessée ?

— Aïe, pardon mademoiselle… Une fessée déculottée…

— Ensuite !!

— Aïe, aïe… j’ai été chercher madame Tapecul et j’ai reçu une deuxième fessée déculottée…

— Parfait et ensuite ?

— Euh, j’ai été au coin… et mademoiselle Ambre a utilisé le martinet.

Elodie applaudit en riant :

— Mais c’est parfait, je comprends maintenant pourquoi ton derrière est si joli ma petite maman.

La main d’Ambre claqua à nouveau le fessier :

— Dépêchez-vous de finir, ma main me démange !

— Euh oui, oui…aïe, aïe… J’ai été au coin et j’ai reçu une fessée déculottée avec mademoiselle Claquefesse.

La jeune assistante se tourna vers les deux spectatrices :

— Je pense que madame va avoir un peu de mal à s’asseoir ce soir et que ses fesses seront encore rouges demain, je vais donc lui administrer sa dernière fessée avec la brosse à cheveux.

Monique poussa un petit gémissement ce qui lui valu une dizaine de claques généreusement appliquées.

— Qu’est-ce que j’entends ?

— Aïe, aïe, aïe… non, non, pardon mademoiselle Ambre, je n’ai rien dit.

La jeune assistante adressa un petit clin d’œil à Elodie.

— Bien, puisque nous sommes d’accord, allons-y.

Elle leva sa brosse à cheveux et commença à claquer minutieusement le bon gros derrière tendu devant ses yeux. Chaque assistante avait sa propre brosse à cheveux qui vous vous en doutez bien ne servait jamais à se coiffer. Au moment de leur embauche, à la fin de la semaine d’essai madame Rose leur offrait leur instrument de punition personnel, sur le manche était gravé leur prénom. C’était une solide brosse, lourde avec un dos large, recevoir une fessée avec cet instrument était vraiment une expérience cuisante, Monique y goûtait à cet instant précis, ses cris mêlés à ses pleurs, les mouvements désespérés de ses jambes et la couleur de sa croupe ne laissait pas de place au doute, elle recevait une sévère correction.



Ambre continuait tranquillement de tanner ce derrière si joufflu, elle adorait donner la fessée et depuis qu’elle avait la possibilité d’en administrer à des dames d’âge mûr, c’était encore plus excitant.

Elodie regardait en souriant sa maman recevoir sa punition, cette petite s’y entend pensa-t-elle, la croupe cramoisie de Monique et ses supplications enfantines était agréable pour son esprit pervers. Enfin la fessée prit fin, la punie continuait de pleurer affalée en travers des cuisses de la jeune femme, celle-ci caressa la peau brûlante :

— Un joli derrière cuit à point, je pense qu’elle n’est pas près de recommencer ses bêtises.

Elodie se mit à rire :

— Je ne sais pas, on dirait que madame aime recevoir de bonnes déculottées, de toute façon, elle en recevra encore une avant d’aller au lit.

Ambre tapota les fesses écarlates :

— Allez ! au coin, vilaine fille !

Elle adorait infantiliser ces bourgeoises avec leur derrière bien rouge.

Caroline avait entendu les pleurs et les cris de Monique, elle savait à quoi s’attendre, elle préférait toujours passer la première quand il s’agissait de recevoir une correction. Elle sentit la main de la jeune assistante lui saisir l’oreille, au lieu de l’amener directement à la chaise de punition, elle la conduisit devant Julie et la fit se tourner afin qu’elle lui présente son fessier :

— Penche-toi et présente bien tes jolies fesses à ta maman.

Toute honte bue, Caroline s’exécuta, tendant son derrière rougi à Julie, celle-ci adressa un sourire de remerciement à la jeune assistante, le spectacle était vraiment excitant, elle tendit la main et caressa les fesses enflammées. Ambre lui donna les mêmes consignes qu’à Monique :

— Tu vas raconter à ta maman comment tu as été punie aujourd’hui pour qu’elle juge si c’est suffisant.

Comme sa comparse la jeune femme dut confesser toutes les punitions qu’elle avait reçues depuis son arrivée à l’institut, elle s’en acquitta assez rapidement ne souhaitant pas rester dans cette honteuse position. Julie glissa à nouveau ses doigts sur les fesses de sa fille et elle les écarta :

— J’espère que ça va te servir de leçon ma chérie, mais je pense que ton derrière peut largement supporter la dernière fessée prévue par Ambre. Ce soir on s’occupera du reste, attends-toi à me présenter tes fesses pour ta pénitence préférée.

Caroline fit une grimace, elle savait ce que ça voulait dire, elle passerait la soirée les fesses nues parfaitement exposées avec un thermomètre bien enfoncé profondément en leur centre.

Elle n’eut pas le temps de trop y réfléchir, car la jeune assistante lui avait à nouveau saisi l’oreille et cette fois l’avait couchée en travers de ses cuisses. La brosse à cheveux entra immédiatement en action et la danse des fesses exécutées par Caroline ne fut pas moins expressive que celle de Monique.

Pendant la fessée, Lola était entrée discrètement et depuis la porte elle avait assisté à la fin de la correction :

— Pour une fessée, s’en est une bonne. Bravo mademoiselle Ambre, je vois que je peux vous confier le derrière d’Edwige sans aucun problème.

La fesseuse rougit de plaisir sous le compliment, puis elle fit relever Caroline qui continuait de pleurer et la conduisit au coin de la pièce.



— Vous venez récupérer Edwige, voyez que ses fesses sont parfaitement colorées. Aurélie m’a dit de la prévenir de votre arrivée, je l’appelle.

Lola salua les deux spectatrices, elles se connaissaient pour s’être rencontrées lors d’une soirée fesses rouges à l’institut :

— Vos chipies ont vraiment de jolies culottes rouges.

Elodie se mit à rire et approuva :

— C’est sûr, je ne sais pas si je vais reculotter Monique, elle ne risque pas de prendre froid au derrière.

Julie regarda la croupe d’Edwige :

— Finalement c’est la vôtre qui a le derrière le moins rouge.

Lola s’approcha de son amie et claqua les fesses rubicondes :

— C’est vrai mais ça ne va pas durer, n’est-ce pas ma chérie ?

Aurélie accompagnée de sa jeune collègue rentrait dans le secrétariat juste à cet instant :

— La couleur du derrière d’Edwige ne vous convient pas mademoiselle Lola ?

— Si, si je reconnais votre travail ma chère Aurélie, mais elles ont du mal à soutenir la comparaison avec celles des deux autres punies.

L’assistante regarda les trois paires de fesses :

— En effet, mais si on redonne seulement une fessée à Edwige, son derrière va être automatiquement plus rouge que celui de Monique et de Caroline.

Ambre leva la main :

— Aurélie a raison, mais si je puis me permettre, il y a une solution, qu’elles reçoivent toutes les trois une fessée et que celle d’Edwige soit un peu plus longue pour égaliser les couleurs.

— Tu as raison et pour que ça soit encore plus honteux, elles vont être fessées par une nouvelle maman. Lola tu vas t’occuper de Caroline, Julie vous fesserez Monique, quant à Elodie, elle sera ravie de rougir le derrière d’Edwige.

Les trois maîtresses approuvèrent en riant cette proposition, Ambre déplaça deux chaises qu’elle plaça en arc de cercle autour de la chaise à fessée, les fesseuses s’installèrent. La répartition proposée par Aurélie leur convenait, Lola appréciait de pouvoir fesser le derrière juvénile et bien rond de Caroline, Elodie était ravie d’avoir à sa disposition le fessier d’Edwige, il avait à peu près la même forme que celui de sa mère, mais un peu plus jeune, il semblait plus ferme, quant à Julie, corriger une dame de son âge n’était pas pour lui déplaire, le postérieur de Monique lui faisait envie.

En un instant les trois punies se retrouvèrent en position disciplinaire les fesses bien présentées, offertes aux yeux ravis des trois dames qui allaient se charger de les corriger. Aurélie prit la direction des opérations :

— Une bonne fessée déculottée manuelle devrait suffire, par contre Elodie finira la fessée d’Edwige par quelques coups de brosse pour que les punitions soient identiques.

Les trois derrières se crispèrent à l’annonce de cette punition, particulièrement celui de la cheffe de service couchée sur les genoux d’Elodie.

Les trois fessées se mirent à pétarader dans le secrétariat accompagné des cris et des pleurs des punies. Quand Elodie prit la brosse pour finir de rôtir les fesses d’Edwige celle-ci se mit à pleurer encore plus fort et à supplier, mais rien n’y fit, et la correction alla à son terme.

Comme l’avait prédit Ambre les trois paires de fesses étaient toutes de la même couleur, un rouge brique profond couvrait l’intégralité de la surface corrigée.

La jeune assistante prouva qu’elle avait pris de l’assurance, elle annonça avec un petit sourire pervers :

— Vous êtes privée de culottes, vous rentrez cul nu sous vos jupes. Allez vite, vous les enlevez et vous les posez sur le bureau.

Aurélie la regarda et lui fit un petit clin d’approbation, penaudes les trois dames firent glisser leur culotte et les enjambèrent puis l’une après l’autre, elles les posèrent dans une petite corbeille.

Aurélie salua les trois maîtresses :

— Je vous laisse, j’ai du travail.

Ambre avait fait tourner les trois punies afin qu’elles lui présentent leurs fesses, elle commença par Monique, elle caressa le derrière brûlant, ses doigts s’immiscèrent également dans la raie fessière, puis elle enleva l’épingle qui tenait la jupe retroussée :

— J’espère que vous allez être sage ma petite Monique, votre derrière va certainement vous faire penser à moi pendant un moment.

Ce fut au tour de Caroline de subir l’humiliant examen :

— Ton derrière est bien chaud ma chérie, si j’ai bien compris ta maman va compléter ta punition en rentrant, ça t’apprendra.

Elodie en tapotant les fesses de Monique précisa :

— Pour ma petite maman, j’ai également prévu un petit supplément.



Edwige avait l’habitude de ces petites humiliations, mais sentir les doigts de cette jeune femme qui écartaient ses fesses lui sembla encore pire, surtout que Lola ne voulant pas être en reste lui annonça qu’elle serait pluggée en arrivant et qu’elle passerait la soirée au coin.

Une fois que les trois couples eurent quitté le secrétariat, Ambre ramassa les trois culottes et les mis dans son sac. Depuis quelque temps elle avait entrepris de faire la collection des culottes confisquées aux patientes, elle ne savait pas si madame Rose apprécierait, mais c’était un petit plaisir qu’elle s’accordait.



jeudi 13 novembre 2025

Randonnée fesses rouges 3

 

Retour au gîte




La descente se passa sans incident notable, les larges derrières se dandinaient devant les yeux ravis de Caroline, la rougeur dépassait largement du short, une observatrice avisée aurait deviné que ces deux dames avaient sans nul doute reçu une bonne fessée.

Sur la terrasse du refuge, Joanna discutait avec des randonneuses, Caroline reconnut immédiatement les trois jeunes femmes du lac, celles-là même qui avait assisté à la fessée de Julie et qui avait pu observer les deux derrières rougeoyants garnis avec la racine de gingembre.

La gardienne accueillit les trois nouvelles arrivantes avec un grand sourire, elle s’adressa à Caroline :

— Ah, vous voilà, alors ça c’est bien passé, tes deux chipies ont bien marché ?

Les trois jeunes femmes attablées regardaient Sylvie et Julie avec un petit sourire narquois, elles les avaient vues dans une position et une tenue peu enviable et le ton de la conversation entre Joanna et Caroline laissait entrevoir que le spectacle n’était peut-être pas fini.

— J’ai été obligée de les stimuler, mais tu as raison une dame avec une paire de fesses bien rouges marche beaucoup plus vite.

Joanna regarda les deux punies qui n’en menaient pas large, elles trouvaient que la conversation prenait un tour glissant.

— Tu leur a offert ma petite friandise ?

— Oh oui, maman n’a pas trop apprécié j’ai été obligée de sévir, d’ailleurs ces demoiselles ont assisté à sa fessée.

Les trois jeunes femmes regardaient alternativement Julie et Caroline, effectivement il y avait un air de ressemblance entre les deux, mais ce qu’elle venait d’entendre était quand même inconcevable, cette jeune femme avait administré une fessée cul nu à sa mère. Joanna s’était approchée de Julie, elle la fit pivoter et d’un geste sec, elle la déculotta. Les fesses étaient encore bien colorées signes des nombreuses fessées reçues depuis le réveil. La sévère jeune femme caressa le derrière en souriant :

— Effectivement, elles sont encore bien chaudes. Tu vas aller les faire refroidir au coin, allez file !

Une bonne claque au milieu du fessier propulsa la mère de famille vers la maison, Julie sans qu’on ne lui dise rien de plus posa ses mains sur la tête et son nez contre le mur. Caroline fit un petit signe à Sylvie :

— Viens ici !

En un clin d’œil la sexagénaire se retrouva les fesses à l’air et rejoignit sa compagne d’infortune. Les trois jeunes randonneuses n’en croyaient pas leurs yeux, ainsi on pouvait encore recevoir la fessée déculottée à un âge avancé et même être obligée d’exposer son derrière dénudé en public.

La plus délurée des trois se mit à rire :

— Eh bien, je vois que ça ne rigole pas ici, si on est pas sage c’est panpan cucul.

Joanna la fixa avec son regard perçant :

— Exactement quand on ne file pas droit, c’est les fesses à l’air immédiatement et il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée.

La jeune fille rougit, l’allusion à son derrière était transparente, elle regarda ses amies :

— Bon on va y aller les filles, on a encore du chemin.

Caroline fit un petit clin d’œil à Joanna en regardant s’éloigner les trois fessiers juvéniles :

— Dommage, on aurait pu s’amuser un peu.

— C’est vrai qu’elles avaient des derrières appétissants, mais je ne vais pas me mettre à déculotter toutes mes clientes.

Elle se tourna vers les deux larges fessiers encore rouge qui ornaient le mur du refuge :

— Avec tes deux chipies, il y a déjà de quoi s’occuper les mains, le derrière de Sylvie est vraiment très confortable.

Caroline se mit à rire :

— Oui c’est sûr qu’il y a de quoi donner une bonne fessée, mais celui de maman n’est pas mal non plus, j’aime les belles raies bien profondes et les fessiers joufflus mais bien ferme comme le sien.

Les deux punies écoutaient sans bouger les commentaires sur leur croupe.

— Ah au fait Lucie m’a appelée, elle a beaucoup apprécié d’avoir fait ta connaissance, comme elle voulait te revoir, je l’ai invitée. Elle vient avec sa nièce.

Caroline battit des mains :

— Oh super, elle a l’air vraiment sympa et question fessées, elle en connaît un rayon.

Joanna esquissa un petit sourire et rougit légèrement :

— Ça tu peux le dire… c’est vraiment une spécialiste.

Elle passa sa main sur ses fesses :

— Mon derrière a payé pour le savoir.

Caroline se mit à rire :

— Ah, toi aussi tu montres tes fesses de temps en temps, ça me fait plaisir de l’apprendre.

Joanna lui lança un sourire coquin :

— Ne te réjouis pas trop ma petite, ce soir tu couches encore dans ma chambre, si tu vois ce que je veux dire.

— Oui, oui… J’ai compris. Tu as parlé de sa nièce, elle s’appelle comment.

— Ce n’est pas sa nièce, mais comme elle est jeune et que Lucie veut éviter que ça jase dans le village, elle l’a présenté comme sa nièce, mais en fait c’est sa petite copine et je peux te dire qu’elle a souvent les fesses bien rouges. Je crois qu’elle aime ça, enfin sauf quand Lucie est vraiment en colère, là ça chauffe vraiment pour son popotin

Elle se tourna vers les deux punies :

— Après cette randonnée, je pense que ces deux chipies ont besoin d’une bonne douche, on va s’en occuper.

Caroline la regarda un peu surprise, mais immédiatement elle comprit où voulait en venir la perverse jeune femme :

— Oui, tu as raison ces deux gamines ont besoin qu’on s’occupe d’elle. Allez les filles, vous monter à la salle de bain, ce n’est pas la peine de vous reculotter.

Elles suivirent les deux larges fessiers qui se dandinaient en montant l’escalier, c’était vraiment mignon.

La salle de bain donnait sur le couloir des chambres, elle était vaste, avec une grande baignoire, un tabouret était posé contre le mur, Joanna prit la direction des opérations :

— Je vais m’occuper de laver Sylvie, je suppose que ça va te faire plaisir de t’occuper de ta maman.

Les deux dames, les fesses toujours à l’air se regardèrent effarées, il était question à présent de leur faire la toilette comme quand elles étaient gamines.

Malheureusement l’état de leur derrière et la brûlure persistante qui l’envahissait les incitèrent à la prudence, Joanna s’adressa à la plus âgée :

— Tu te déshabilles et tu montes dans la baignoire, avec toute cette transpiration de la journée tu as besoin d’un bon récurage.

Elle avait dit ça en riant, Sylvie avait les joues aussi rouges que ses fesses, elle se mit toute nue sans rien dire et enjamba la baignoire.

Caroline regarda Julie :

— Va te mettre le nez contre le mur pendant que Joanna fait la toilette de Sylvie et tu n’oublies pas de mettre tes mains sur ta tête.

Joanna avait pris la pomme de douche et elle dirigea le jet sur Sylvie, celle-ci poussa un cri et se recula :

— C’est trop froid !

Immédiatement, la jeune femme saisit la brosse de bain et claqua deux fois le gros popotin :

— Vas-tu bien te tenir tranquille ! Puisque c’est ça, ce sera lavage du derrière à l’eau froide comme pour les vilaines filles. Tourne-toi pour me présenter ton derrière.

Elle tourna le robinet sur eau froide et dirigea le jet sur les fesses rouges de Sylvie, qui se contenta de sautiller sur place en poussant des petits cris sous le regard amusé des deux jeunes femmes.

Puis Joanna prit un gant de toilette et comme l’aurait fait une maman, elle savonna soigneusement la dame âgée redevenue gamine.

— Tu te tournes pour me montrer tes bonnes grosses fesses que je les savonne, elles en ont bien besoin, tu les écartes avec tes mains que je te nettoie aussi la raie et tu te penches que je voie ton minou. Allez dépêche-toi un peu.

Elle avait accompagné sa dernière phrase d’une claque sur le derrière écarlate.

Sans un mot Sylvie s’exécuta et prit la position humiliante exigée par sa jeune maman. Joanna fit un petit clin d’œil à Caroline :

— N’est-elle pas mignonne comme ça à nous présenter son gros popotin.

Le gant de toilette fit son œuvre, s’insinuant entre les cuisses pour savonner les parties intimes et la raie fessière largement ouverte, elle s’attarda sur la petite rondelle brune dilatée par la position :

— Son petit trou est irrité, c’est le gingembre, on va s’en occuper tout à l’heure.

Elle reprit la pomme de douche et dirigea le jet sur le fessier tendu, Sylvie sursauta à nouveau, l’eau était toujours aussi froide, mais elle garda la position.

Quand elle fut entièrement rincée, Joanna après avoir reposé la douchette, s’installa sur le tabouret, posa une serviette sur ses cuisses et lui fit un signe :

— Viens ici, je vais te sécher le derrière à ma façon.



En un instant la dame mature retrouva la position qui lui était devenue familière depuis le début du week-end, étalée en travers des cuisses d’une jeune femme et les fesses parfaitement exposées. La fessée crépita immédiatement sur la croupe mouillée. Sylvie se cabra, la brûlure était supérieure à celle d’une fessée classique, Joanna était très musclée il n’y avait aucun moyen d’échapper aux claques généreusement distribuées. Sylvie criait et battait des jambes, la main de la jeune femme n’oubliait aucun endroit de la surface fessière, le derrière était cramoisi et une légère buée s’élevait au-dessus. Joanna s’arrêta et caressa l’épiderme brûlant :

— Voilà tes fesses sont sèches, tu finis le reste avec la serviette et tu vas te mettre au coin qu’on puisse admirer ton bon gros popotin tout rouge.

Sylvie se releva en pleurant et s’exécuta rapidement, quand elle passa devant Caroline, celle-ci lui tapota la croupe :

— Tu as vraiment des fesses magnifiques ma chérie, elles brillent, Joanna a raison ça serait dommage de ne pas les montrer.

Elle se tourna vers sa mère :

— Allez ma petite maman, à ton tour, tu te mets toute nue en vitesse et tu montes dans la baignoire.

Julie au comble de la confusion quitta ses vêtements et enjamba à son tour la baignoire. Caroline fit un clin d’œil à son amie :

— C’est fou comme la bonne fessée déculottée rend obéissante les dames, tu as vu comme elle est mignonne. Allez un bon récurage, tu en as vraiment besoin.

Julie sursauta et hurla quand l’eau froide l’atteignit :

— Non, non… c’est trop… Aïe.

La main libre de Caroline venait d’atteindre sa fesse. Joanna lui tendit la brosse à cheveux :

— Je crois que tu vas avoir besoin de ça.

Caroline prit l’instrument et ceintura Julie et la courba vers l’avant :

— Ah oui madame fait encore des manières, tes fesses n’en ont pas eu encore assez. Eh bien on va recommencer, vingt coups de brosse et tu comptes !!

Le redoutable instrument de punition se leva et s’abattit avec un bruit sec sur le fessier tendu :

— Aïe, pardon Caroline… un… deux… aïe… ça brûle…

La jeune femme se mit à rire ;

— Mais oui ma petite maman chérie, je sais que ça brûle, c’est même fait pour ça, tu vas voir que ça va te faire le plus grand bien.



La brosse entra à nouveau en action et Julie ne tarda pas à pleurer tout en comptant consciencieusement les coups qui cinglaient son large derrière. Caroline la relâcha et repris la pomme de douche :

— Ton bon gros derrière est bien chaud ma chérie on va le refroidir, allez tu me présentes bien tes fesses.

Morte de honte, Julie se tourna et se pencha légèrement.

— C’est bien, maintenant tu les écartes bien, dépêche-toi.

Une fois le derrière bien mouillé, la jeune femme prit le gant de toilette et lava soigneusement sa mère. Ce renversement des rôles était jouissif pour elle, son caractère dominant se satisfaisait de la situation et elle se vengeait ainsi des nombreuses fessées déculottées que lui avait administré sa maman même quand elle en avait passé l’âge. La honte que devait ressentir Julie n’était pas moindre que la sienne les jours où elle la déculottait pour la corriger devant des voisines ou des amies en visite. Elle en avait passé du temps à exposer ses fesses écarlates dans le coin de la pièce et bien maintenant c’était au tour de sa maman de subir la honte du retour en enfance.

Comme l’avait fait Joanna elle la rinça soigneusement à l’eau froide, puis couchée en travers de ses cuisses la dame de quarante-cinq ans eu droit au séchage de son derrière, elle piailla autant que Sylvie et elle pu enfin finir de se sécher.

Joanna reprit les choses en main :

— Vous filez dans votre chambre pour vous habiller.

Caroline sortit des culottes et des socquettes propre et les posa sur le lit :

— Mettez ça, vos jupettes et tee-shirt d’hier sont encore propres, pressez-vous un peu.

Une fois habillée elles restèrent les bras ballants ne connaissant pas la suite du programme.

— J’oubliais, il faut qu’on s’occupe de leur petit trou, je prends Julie et toi Sylvie, allez en piste les filles.

Joanna s’était assise sur une chaise, elle saisit la main de la maman de Caroline pour la coucher en travers de ses cuisses, sa copine fit de même avec Sylvie. La jeune gardienne du refuge tira de sa poche un tube de crème et une boite.

— On les déculotte à nouveau, tant pis pour elle.

D’un geste sec, elle baissa la culotte de Julie à mi-cuisse et Caroline l’imita avec Sylvie. Joanna écarta avec deux doigts la raie fessière, Julie se mit à pleurer de honte :

— Oh non mademoiselle, s’il vous plaît…

Joanna lui claqua sèchement les fesses :

— Vas-tu bien te taire nigaude, c’est pour ton bien.

Elle mit une noisette de crème sur son doigt et massa l’anus irrité, elle le força légèrement, les pleurs de Julie redoublèrent. Caroline sentit une excitation poindre entre ses cuisses, voir sa mère dans cette position inconfortable avait quelque chose de jouissif. Sa copine lui passa le tube de crème :

— Occupe-toi de celui de Sylvie, elle en a aussi besoin.

La mamie transformée en gamine avait un peu plus l’habitude de ce genre d’humiliation, mademoiselle Héloïse s’y entendait de ce côté-là, elle se laissa faire docilement.

Joanna avait sorti de la boite un suppositoire de bonne taille, elle le tendit à Caroline et en prit un pour le derrière de Julie :

— Un bon gros suppo ça va calmer l’irritation interne et en plus ça va leur rappeler leur jeunesse. N’est-ce pas les filles, quand maman vous mettait un suppositoire dans le derrière.

Elles se mirent à rire de bon cœur et elles écartèrent un peu plus les profondes raies fessières, les suppos disparurent en même temps poussé par les doigts habiles des jeunes femmes. Puis elles relâchèrent les deux globes :

— Maintenant vous serrez les fesses, gare à vous s’il ressort.

Caroline avait claqué le derrière de Sylvie puis elle la reculotta et la fit relever. Joanna se dirigea vers le couloir et prit l’escalier :

— Suivez-moi, vous allez faire un peu de coin, comme ça je serai sûr que vous ne ferai pas de bêtises.

Elle désigna deux coins de la grande salle :

— Chacune dans un coin, je ne veux pas que vous bavardiez, le nez contre le mur et les mains sur la tête.

Julie et Sylvie choisirent leur coin respectif, Caroline regardait le spectacle en souriant ? Joanna s’approcha de Julie lui troussa la jupe et la coinça dans la ceinture, puis elle la déculotta largement, baissant la culotte presque aux genoux :

— Voilà fesses à l’air ! et ne t’avise pas de bouger.

Elle se dirigea ensuite vers Sylvie qui avait bien collé son nez contre le mur, le retroussage et le déculottage fut aussi rapide. Les deux fessiers cramoisis ornaient les deux coins de la pièce, les fesses se serraient convulsivement, Caroline pour y être déjà passée savait que l’envie de se frotter les fesses devaient être terrible, mais elle pouvait être tranquille, aucune des deux punies n’oseraient le faire.

Joanna regarda son amie avec un sourire coquin :

— Ma chérie, il va falloir que l’on s’occupe un peu de toi, je ne voudrais pas que Lucie trouve que tu ne sens pas bon.

Caroline rougit sous l’allusion, la gardienne du refuge lui claqua gentiment les fesses par dessus son short :

— Allez à la douche mademoiselle.

Caroline était un peu inquiète en gravissant les marches, elle eut la confirmation en voyant que Joanna la suivait dans la salle de bain :

— Cul nu ma chérie, je veux que tu sois nickel.

Caroline avait les joues écarlates :

— Euh Joanna, je… je vais quand même me doucher toute seule.

La jeune maîtresse lui adressa un sourire carnassier :

— Je ne pense pas ma chérie, dépêche-toi de te déculotter, tu ne voudrais quand même pas que je sois obligée d’utiliser la brosse de bain sur ton mignon petit derrière.

Vaincue, Caroline se déshabilla entièrement, elle regarda piteusement son amie qui en souriant lui tapota les fesses :

— Dans la baignoire et vite.

Ce que redoutait Caroline arriva l’eau froide gicla sur ses fesses et l’ordre humiliant suivi :

— Tu connais la position ma chérie, tu me présentes bien tes fesses et tu les écartes.

Morte de honte, mais craignant par-dessus tout la redoutable brosse de bain, Caroline s’exécuta, Joanna se moqua gentiment d’elle :

— C’est fou comme la menace d’un panpan cucul rend docile les demoiselles, ton derrière est vraiment adorable ma chérie.

Elle procéda comme elle avait fait avec Sylvie, elle savonna soigneusement les fesses, la raie médiane et le petit abricot de son amie. Le rinçage à l’eau froide la fit trépigner sur place, mais quand elle vit son amie s’installer sur le tabouret et poser une serviette sur ses cuisses, elle comprit qu’elle n’échapperait pas au séchage des fesses spécial Joanna.

Quand elle se releva ses fesses étaient cramoisies comme celle des deux punies qui patientaient au coin. Malgré son désir de rester stoïque, elle n’avait pu s’empêcher de crier et de pleurer abondamment, Sylvie et Julie avaient dû entendre…

Joanna lui montra la porte, tu files dans la chambre j’ai des projets pour ton joli petit cul.

Caroline traversa le couloir toute nue, son derrière écarlate éclairait la pièce.

Arrivée dans la chambre, Joanna entreprit de se déshabiller et ouvrit le tiroir pour en sortir un god ceinture, Caroline le regarda, il lui semblait plus gros que celui de la veille. La jeune maîtresse comprit son regard :

— Eh oui ma chérie, c’est la taille au-dessus, ton petit derrière est habitué maintenant, il faut mieux le garnir… allez en position sur le lit et vite.

Caroline le rouge aux joues et aux fesses s’installa à quatre patte sur le lit, la tête sur l’oreiller, les fesses écarlates tendues vers le god.

Joanna s’installa derrière elle, posa l’engin sur la petite rondelle frémissante et doucement s’enfonça, Caroline se mit à gémir puis à haleter, le bassin de Joanna venait de toucher ses fesses et elle faisait des va-et-vient en elle.

Soudain elles explosèrent ensemble, la jeune maîtresse se retira et Caroline allongée à plat ventre sur le lit lui offrit sa belle paire de fesses écarlates et grande ouverte encore animée de spasmes de plaisir.

En souriant, elle se coucha à côté d’elle :

— C’est encore mieux avec les fesses bien rouges et brûlantes tu ne trouves pas ?

— Oh oui ma chérie… mais quand même…

Joanna en riant la fit glisser sur ses cuisses :

— Tu as besoin d’un petit supplément ma chérie.

La fessée crépita à nouveau sur le derrière brûlant de Caroline, elle fut courte mais très sévère. Bien maintenue sur les cuisses de son amante, Caroline tapa des pieds sur le lit, mais ne put échapper à cette nouvelle correction.

À peine avait-elle fini que Joanna se mit rire, elle avait entendu la porte du gîte s’ouvrir :

— Nos deux chipies sont en train de montrer leurs derrières bien rouges à une visiteuse.

En effet Lucie venait d’arriver accompagnée de sa nièce Clémentine, en entrant dans la grande pièce, elle poussa un petit “oh” de surprise en voyant les deux fessiers rougeoyants qui ornaient deux des coins de la salle :

— Comme c’est mignon, quelle belle surprise, Joanna sait vraiment recevoir.

Elle se tourna vers la jeune femme :

— Il reste un coin ma chérie, tu te déculottes et tu vas t’y mettre tout de suite.

Sans discuter la jeune femme, retroussa sa jupe et baissa sa culotte sous ses fesses, on sentait qu’elle avait une grande habitude, elle posa son nez contre le mur et croisa ses mains dans son dos pour tenir sa jupe retroussée. Ses fesses étaient rondes et bien joufflues avec une belle raie médiane, elles étaient rouges signe d’une déculottée récente. Au milieu du fessier une tige blanche dépassait de la raie serrée, Lucie s’approcha et fit tourner la racine de gingembre :

— Tu le sens bien ton gros suppo mais chérie ?

Caroline et Joanna entrèrent juste à ce moment :

— Tu nous as amené les fesses de Clémentine ? C’est mignon ces trois derrières, ils ont chacun leur charme.

La jeune femme se mit à geindre :

— Tatie, ça brûle… s’il te plaît.

Lucie fronça les sourcils et s’approcha de sa nièce, elle fit tourner à nouveau la racine de gingembre entre les fesses serrées :

— Tu dois mieux la sentir comme ça… Bon vient un peu ici.

Elle avait saisi Clémentine par l’oreille et après s’être installée sur une chaise, elle la coucha en travers de ses cuisses. Elle retroussa la jupe sur les reins et baissa la culotte à mi-cuisse :

— Alors comme ça, tu veux que je t’enlève ce bon gros suppo ?

— Oui tatie, ça brûle trop.

Lucie se mit à rire et tapota le derrière de la jeune femme :

— Voyez-vous ça, bien sûr que ça brûle ma chérie, c’est même fait pour ça figure-toi. Bon je veux bien te l’enlever, mais en contrepartie je te flanque une bonne fessée déculottée, qu’est-ce que tu choisis ?

Clémentine pleurnichait en tortillant son derrière :

— Oh tatie… Oui si tu veux donne-moi la fessée et enlève le suppo.

Lucie jeta un regard gourmand aux deux spectatrices :

— Mademoiselle préfère la fessée, on va lui faire plaisir.

Elle tapota à nouveau la croupe rougie :

— Je t’administre d’abord la fessée et ensuite je t’enlève le gingembre, ça te va ?

— Oui, oui tatie.

— Bien, puisque tu as l’air d’avoir vraiment envie de recevoir cette fessée, tu vas me la demander.

Caroline regardait avec intérêt cette sévère maîtresse, elle tenait fermement Clémentine par la taille, celle-ci devait être habituée à la perversité de Lucie, d’une petite voix, elle prononça les paroles attendues :

— S’il te plaît tatie, peux-tu me donner la fessée déculottée.

Lucie regarda triomphalement Joanna et Caroline :

— Cette petite est adorable n’est-ce pas ? Alors comme ça ma chérie tu veux que tatie t’administre une bonne fessée cul nu ?

— Oui tatie…

— Et après, je t’enlève le gingembre ?

— Oui tatie.

— D’accord ma chérie, mais ce sera la fessée à la main puis à la brosse, tu es d’accord ? Sinon tu gardes le suppo toute la soirée.

Clémentine se mit à gémir, mais elle savait qu’elle n’avait pas le choix, ses fesses étaient parfaitement exposées.

— Oh tatie, la brosse… euh oui tatie, si tu veux…

— Eh bien puisqu’on est d’accord allons-y.




La main de Lucie se leva et s’abattit sèchement en plein milieu de la fesse droite de la jeune femme, celle-ci poussa un cri, surprise par la rapidité et la force de la claque. Caroline regarda un peu plus attentivement le derrière de la punie, il était très mignon, bien joufflu, des fesses rondes et fermes faites pour recevoir de magistrales corrections. D’ailleurs celle qu’elle recevait à cet instant ne dérogeait pas à la règle, c’était une fessée crépitante, la main s’abattait à une vitesse folle sur chacune des fesses, elle semblait rebondir sur cette boule rouge. Clémentine pleurait à chaudes larmes, ses plaintes redoublèrent quand sa sévère tatie lui annonça :

— Ton derrière est prêt pour la bonne fessée déculottée ma chérie.

Caroline ouvrit de grands yeux, certes elle était habituée à administrer de sévères fessées à sa mère, mais la première correction administrée par Lucie sur le postérieur de Clémentine lui paraissait déjà être une punition en soi. Entendre la fesseuse annoncer que ce n’était somme toute qu’un échauffement avait de quoi surprendre, surtout que le fessier de la jeune femme était déjà d’un rouge profond.

Lucie sortit de sa poche une belle brosse à cheveux avec un dos bien large, elle frotta les fesses avec le redoutable instrument :

— Allez ma petite chérie, tatie va te donner la bonne fessée déculottée que tu lui as réclamée et ensuite elle t’enlèvera le gingembre du derrière. Tu es prête ?

Clémentine n’eut pas le temps de répondre une deuxième fessée encore plus sévère que la première venait de commencer. La jeune fille se cabra et hurla sous la brûlure, elle se mit à pédaler désespérément dans le vide, ses fesses s’ouvraient largement, Caroline et Joanna qui appréciaient les dames se régalaient du spectacle.

Bien tenue par la taille, seul le bas de son corps pouvait gigoter et la danse de son derrière était vraiment excitante.

Le fessier cramoisi s’étalait devant les yeux ravis des deux jeunes femmes, Lucie posa la brosse :

— Voilà un derrière cuit à point, tu me l’avais demandé cette fessée ma chérie, tu es contente ?

Clémentine pleurait, elle ne répondit pas, elle avait l’habitude de recevoir des fessées très sévères, mais celle-ci contrait parmi les meilleures. Lucie regarda les deux jeunes femmes d’un air satisfait :

— Elle a vraiment une mignonne paire de fesses ma petite Clémentine.

Elle massa le fessier brûlant et écarta les deux globes écarlates :

— Chose promise, chose due, je vais t’enlever ton suppo.

Elle tira doucement sur la racine de gingembre pour l’extraire du derrière. Quand ce fut fait, elle fit relever la punie et lui claqua les fesses :

— Tu retournes te mettre au coin, la couleur de tes fesses n’a rien à envier à celle des deux chipies.

En effet les trois postérieurs qui ornaient les coins de la pièce étaient tous cramoisis, Joanna proposa de boire quelque chose.












L'institut suite 15

Sophie fesse à domicile Sophie était guillerette ce lundi matin, c’était un jour de fessée à domicile et elle avait deux prestations prévues...