Retour au gîte
La descente se passa sans incident notable, les larges derrières
se dandinaient devant les yeux ravis de Caroline, la rougeur
dépassait largement du short, une observatrice avisée aurait deviné
que ces deux dames avaient sans nul doute reçu une bonne fessée.
Sur la terrasse du refuge, Joanna discutait avec des randonneuses,
Caroline reconnut immédiatement les trois jeunes femmes du lac,
celles-là même qui avait assisté à la fessée de Julie et qui
avait pu observer les deux derrières rougeoyants garnis avec la
racine de gingembre.
La gardienne accueillit les trois nouvelles arrivantes avec un
grand sourire, elle s’adressa à Caroline :
— Ah, vous voilà, alors ça c’est bien passé, tes deux
chipies ont bien marché ?
Les trois jeunes femmes attablées regardaient Sylvie et Julie
avec un petit sourire narquois, elles les avaient vues dans une
position et une tenue peu enviable et le ton de la conversation entre
Joanna et Caroline laissait entrevoir que le spectacle n’était
peut-être pas fini.
— J’ai été obligée de les stimuler, mais tu as raison
une dame avec une paire de fesses bien rouges marche beaucoup plus
vite.
Joanna regarda les deux punies qui n’en menaient pas large,
elles trouvaient que la conversation prenait un tour glissant.
— Tu leur a offert ma petite friandise ?
— Oh oui, maman n’a pas trop apprécié j’ai été
obligée de sévir, d’ailleurs ces demoiselles ont assisté à sa
fessée.
Les trois jeunes femmes regardaient alternativement Julie et
Caroline, effectivement il y avait un air de ressemblance entre les
deux, mais ce qu’elle venait d’entendre était quand même
inconcevable, cette jeune femme avait administré une fessée cul nu
à sa mère. Joanna s’était approchée de Julie, elle la fit
pivoter et d’un geste sec, elle la déculotta. Les fesses étaient
encore bien colorées signes des nombreuses fessées reçues depuis
le réveil. La sévère jeune femme caressa le derrière en
souriant :
— Effectivement, elles sont encore bien chaudes. Tu vas
aller les faire refroidir au coin, allez file !
Une bonne claque au milieu du fessier propulsa la mère de famille
vers la maison, Julie sans qu’on ne lui dise rien de plus posa ses
mains sur la tête et son nez contre le mur. Caroline fit un petit
signe à Sylvie :
— Viens ici !
En un clin d’œil la sexagénaire se retrouva les fesses à
l’air et rejoignit sa compagne d’infortune. Les trois jeunes
randonneuses n’en croyaient pas leurs yeux, ainsi on pouvait encore
recevoir la fessée déculottée à un âge avancé et même être
obligée d’exposer son derrière dénudé en public.
La plus délurée des trois se mit à rire :
— Eh bien, je vois que ça ne rigole pas ici, si on est pas
sage c’est panpan cucul.
Joanna la fixa avec son regard perçant :
— Exactement quand on ne file pas droit, c’est les fesses
à l’air immédiatement et il n’y a pas d’âge pour recevoir
une bonne fessée déculottée.
La jeune fille rougit, l’allusion à son derrière était
transparente, elle regarda ses amies :
— Bon on va y aller les filles, on a encore du chemin.
Caroline fit un petit clin d’œil à Joanna en regardant
s’éloigner les trois fessiers juvéniles :
— Dommage, on aurait pu s’amuser un peu.
— C’est vrai qu’elles avaient des derrières
appétissants, mais je ne vais pas me mettre à déculotter toutes
mes clientes.
Elle se tourna vers les deux larges fessiers encore rouge qui
ornaient le mur du refuge :
— Avec tes deux chipies, il y a déjà de quoi s’occuper
les mains, le derrière de Sylvie est vraiment très confortable.
Caroline se mit à rire :
— Oui c’est sûr qu’il y a de quoi donner une bonne
fessée, mais celui de maman n’est pas mal non plus, j’aime les
belles raies bien profondes et les fessiers joufflus mais bien ferme
comme le sien.
Les deux punies écoutaient sans bouger les commentaires sur leur
croupe.
— Ah au fait Lucie m’a appelée, elle a beaucoup apprécié
d’avoir fait ta connaissance, comme elle voulait te revoir, je l’ai
invitée. Elle vient avec sa nièce.
Caroline battit des mains :
— Oh super, elle a l’air vraiment sympa et question
fessées, elle en connaît un rayon.
Joanna esquissa un petit sourire et rougit légèrement :
— Ça tu peux le dire… c’est vraiment une spécialiste.
Elle passa sa main sur ses fesses :
— Mon derrière a payé pour le savoir.
Caroline se mit à rire :
— Ah, toi aussi tu montres tes fesses de temps en temps, ça
me fait plaisir de l’apprendre.
Joanna lui lança un sourire coquin :
— Ne te réjouis pas trop ma petite, ce soir tu couches
encore dans ma chambre, si tu vois ce que je veux dire.
— Oui, oui… J’ai compris. Tu as parlé de sa nièce,
elle s’appelle comment.
— Ce n’est pas sa nièce, mais comme elle est jeune et
que Lucie veut éviter que ça jase dans le village, elle l’a
présenté comme sa nièce, mais en fait c’est sa petite copine et
je peux te dire qu’elle a souvent les fesses bien rouges. Je crois
qu’elle aime ça, enfin sauf quand Lucie est vraiment en colère,
là ça chauffe vraiment pour son popotin
Elle se tourna vers les deux punies :
— Après cette randonnée, je pense que ces deux chipies
ont besoin d’une bonne douche, on va s’en occuper.
Caroline la regarda un peu surprise, mais immédiatement elle
comprit où voulait en venir la perverse jeune femme :
— Oui, tu as raison ces deux gamines ont besoin qu’on
s’occupe d’elle. Allez les filles, vous monter à la salle de
bain, ce n’est pas la peine de vous reculotter.
Elles suivirent les deux larges fessiers qui se dandinaient en
montant l’escalier, c’était vraiment mignon.
La salle de bain donnait sur le couloir des chambres, elle était
vaste, avec une grande baignoire, un tabouret était posé contre le
mur, Joanna prit la direction des opérations :
— Je vais m’occuper de laver Sylvie, je suppose que ça
va te faire plaisir de t’occuper de ta maman.
Les deux dames, les fesses toujours à l’air se regardèrent
effarées, il était question à présent de leur faire la toilette
comme quand elles étaient gamines.
Malheureusement l’état de leur derrière et la brûlure
persistante qui l’envahissait les incitèrent à la prudence,
Joanna s’adressa à la plus âgée :
— Tu te déshabilles et tu montes dans la baignoire, avec
toute cette transpiration de la journée tu as besoin d’un bon
récurage.
Elle avait dit ça en riant, Sylvie avait les joues aussi rouges
que ses fesses, elle se mit toute nue sans rien dire et enjamba la
baignoire.
Caroline regarda Julie :
— Va te mettre le nez contre le mur pendant que Joanna fait
la toilette de Sylvie et tu n’oublies pas de mettre tes mains sur
ta tête.
Joanna avait pris la pomme de douche et elle dirigea le jet sur
Sylvie, celle-ci poussa un cri et se recula :
— C’est trop froid !
Immédiatement, la jeune femme saisit la brosse de bain et claqua
deux fois le gros popotin :
— Vas-tu bien te tenir tranquille ! Puisque c’est
ça, ce sera lavage du derrière à l’eau froide comme pour les
vilaines filles. Tourne-toi pour me présenter ton derrière.
Elle tourna le robinet sur eau froide et dirigea le jet sur les
fesses rouges de Sylvie, qui se contenta de sautiller sur place en
poussant des petits cris sous le regard amusé des deux jeunes
femmes.
Puis Joanna prit un gant de toilette et comme l’aurait fait une
maman, elle savonna soigneusement la dame âgée redevenue gamine.
— Tu te tournes pour me montrer tes bonnes grosses fesses
que je les savonne, elles en ont bien besoin, tu les écartes avec
tes mains que je te nettoie aussi la raie et tu te penches que je
voie ton minou. Allez dépêche-toi un peu.
Elle avait accompagné sa dernière phrase d’une claque sur le
derrière écarlate.
Sans un mot Sylvie s’exécuta et prit la position humiliante
exigée par sa jeune maman. Joanna fit un petit clin d’œil à
Caroline :
— N’est-elle pas mignonne comme ça à nous présenter
son gros popotin.
Le gant de toilette fit son œuvre, s’insinuant entre les
cuisses pour savonner les parties intimes et la raie fessière
largement ouverte, elle s’attarda sur la petite rondelle brune
dilatée par la position :
— Son petit trou est irrité, c’est le gingembre, on va
s’en occuper tout à l’heure.
Elle reprit la pomme de douche et dirigea le jet sur le fessier
tendu, Sylvie sursauta à nouveau, l’eau était toujours aussi
froide, mais elle garda la position.
Quand elle fut entièrement rincée, Joanna après avoir reposé
la douchette, s’installa sur le tabouret, posa une serviette sur
ses cuisses et lui fit un signe :
— Viens ici, je vais te sécher le derrière à ma façon.
En un instant la dame mature retrouva la position qui lui était
devenue familière depuis le début du week-end, étalée en travers
des cuisses d’une jeune femme et les fesses parfaitement exposées.
La fessée crépita immédiatement sur la croupe mouillée. Sylvie se
cabra, la brûlure était supérieure à celle d’une fessée
classique, Joanna était très musclée il n’y avait aucun moyen
d’échapper aux claques généreusement distribuées. Sylvie criait
et battait des jambes, la main de la jeune femme n’oubliait aucun
endroit de la surface fessière, le derrière était cramoisi et une
légère buée s’élevait au-dessus. Joanna s’arrêta et caressa
l’épiderme brûlant :
— Voilà tes fesses sont sèches, tu finis le reste avec la
serviette et tu vas te mettre au coin qu’on puisse admirer ton bon
gros popotin tout rouge.
Sylvie se releva en pleurant et s’exécuta rapidement, quand
elle passa devant Caroline, celle-ci lui tapota la croupe :
— Tu as vraiment des fesses magnifiques ma chérie, elles
brillent, Joanna a raison ça serait dommage de ne pas les montrer.
Elle se tourna vers sa mère :
— Allez ma petite maman, à ton tour, tu te mets toute nue
en vitesse et tu montes dans la baignoire.
Julie au comble de la confusion quitta ses vêtements et enjamba à
son tour la baignoire. Caroline fit un clin d’œil à son amie :
— C’est fou comme la bonne fessée déculottée rend
obéissante les dames, tu as vu comme elle est mignonne. Allez un bon
récurage, tu en as vraiment besoin.
Julie sursauta et hurla quand l’eau froide l’atteignit :
— Non, non… c’est trop… Aïe.
La main libre de Caroline venait d’atteindre sa fesse. Joanna
lui tendit la brosse à cheveux :
— Je crois que tu vas avoir besoin de ça.
Caroline prit l’instrument et ceintura Julie et la courba vers
l’avant :
— Ah oui madame fait encore des manières, tes fesses n’en
ont pas eu encore assez. Eh bien on va recommencer, vingt coups de
brosse et tu comptes !!
Le redoutable instrument de punition se leva et s’abattit avec
un bruit sec sur le fessier tendu :
— Aïe, pardon Caroline… un… deux… aïe… ça brûle…
La jeune femme se mit à rire ;
— Mais oui ma petite maman chérie, je sais que ça brûle,
c’est même fait pour ça, tu vas voir que ça va te faire le plus
grand bien.
La brosse entra à nouveau en action et Julie ne tarda pas à
pleurer tout en comptant consciencieusement les coups qui cinglaient
son large derrière. Caroline la relâcha et repris la pomme de
douche :
— Ton bon gros derrière est bien chaud ma chérie on va le
refroidir, allez tu me présentes bien tes fesses.
Morte de honte, Julie se tourna et se pencha légèrement.
— C’est bien, maintenant tu les écartes bien,
dépêche-toi.
Une fois le derrière bien mouillé, la jeune femme prit le gant
de toilette et lava soigneusement sa mère. Ce renversement des rôles
était jouissif pour elle, son caractère dominant se satisfaisait de
la situation et elle se vengeait ainsi des nombreuses fessées
déculottées que lui avait administré sa maman même quand elle en
avait passé l’âge. La honte que devait ressentir Julie n’était
pas moindre que la sienne les jours où elle la déculottait pour la
corriger devant des voisines ou des amies en visite. Elle en avait
passé du temps à exposer ses fesses écarlates dans le coin de la
pièce et bien maintenant c’était au tour de sa maman de subir la
honte du retour en enfance.
Comme l’avait fait Joanna elle la rinça soigneusement à l’eau
froide, puis couchée en travers de ses cuisses la dame de
quarante-cinq ans eu droit au séchage de son derrière, elle piailla
autant que Sylvie et elle pu enfin finir de se sécher.
Joanna reprit les choses en main :
— Vous filez dans votre chambre pour vous habiller.
Caroline sortit des culottes et des socquettes propre et les posa
sur le lit :
— Mettez ça, vos jupettes et tee-shirt d’hier sont
encore propres, pressez-vous un peu.
Une fois habillée elles restèrent les bras ballants ne
connaissant pas la suite du programme.
— J’oubliais, il faut qu’on s’occupe de leur petit
trou, je prends Julie et toi Sylvie, allez en piste les filles.
Joanna s’était assise sur une chaise, elle saisit la main de la
maman de Caroline pour la coucher en travers de ses cuisses, sa
copine fit de même avec Sylvie. La jeune gardienne du refuge tira de
sa poche un tube de crème et une boite.
— On les déculotte à nouveau, tant pis pour elle.
D’un geste sec, elle baissa la culotte de Julie à mi-cuisse et
Caroline l’imita avec Sylvie. Joanna écarta avec deux doigts la
raie fessière, Julie se mit à pleurer de honte :
— Oh non mademoiselle, s’il vous plaît…
Joanna lui claqua sèchement les fesses :
— Vas-tu bien te taire nigaude, c’est pour ton bien.
Elle mit une noisette de crème sur son doigt et massa l’anus
irrité, elle le força légèrement, les pleurs de Julie
redoublèrent. Caroline sentit une excitation poindre entre ses
cuisses, voir sa mère dans cette position inconfortable avait
quelque chose de jouissif. Sa copine lui passa le tube de crème :
— Occupe-toi de celui de Sylvie, elle en a aussi besoin.
La mamie transformée en gamine avait un peu plus l’habitude de
ce genre d’humiliation, mademoiselle Héloïse s’y entendait de
ce côté-là, elle se laissa faire docilement.
Joanna avait sorti de la boite un suppositoire de bonne taille,
elle le tendit à Caroline et en prit un pour le derrière de Julie :
— Un bon gros suppo ça va calmer l’irritation interne et
en plus ça va leur rappeler leur jeunesse. N’est-ce pas les
filles, quand maman vous mettait un suppositoire dans le derrière.
Elles se mirent à rire de bon cœur et elles écartèrent un peu
plus les profondes raies fessières, les suppos disparurent en même
temps poussé par les doigts habiles des jeunes femmes. Puis elles
relâchèrent les deux globes :
— Maintenant vous serrez les fesses, gare à vous s’il
ressort.
Caroline avait claqué le derrière de Sylvie puis elle la
reculotta et la fit relever. Joanna se dirigea vers le couloir et
prit l’escalier :
— Suivez-moi, vous allez faire un peu de coin, comme ça je
serai sûr que vous ne ferai pas de bêtises.
Elle désigna deux coins de la grande salle :
— Chacune dans un coin, je ne veux pas que vous bavardiez,
le nez contre le mur et les mains sur la tête.
Julie et Sylvie choisirent leur coin respectif, Caroline regardait
le spectacle en souriant ? Joanna s’approcha de Julie lui
troussa la jupe et la coinça dans la ceinture, puis elle la
déculotta largement, baissant la culotte presque aux genoux :
— Voilà fesses à l’air ! et ne t’avise pas de
bouger.
Elle se dirigea ensuite vers Sylvie qui avait bien collé son nez
contre le mur, le retroussage et le déculottage fut aussi rapide.
Les deux fessiers cramoisis ornaient les deux coins de la pièce, les
fesses se serraient convulsivement, Caroline pour y être déjà
passée savait que l’envie de se frotter les fesses devaient être
terrible, mais elle pouvait être tranquille, aucune des deux punies
n’oseraient le faire.
Joanna regarda son amie avec un sourire coquin :
— Ma chérie, il va falloir que l’on s’occupe un peu de
toi, je ne voudrais pas que Lucie trouve que tu ne sens pas bon.
Caroline rougit sous l’allusion, la gardienne du refuge lui
claqua gentiment les fesses par dessus son short :
— Allez à la douche mademoiselle.
Caroline était un peu inquiète en gravissant les marches, elle
eut la confirmation en voyant que Joanna la suivait dans la salle de
bain :
— Cul nu ma chérie, je veux que tu sois nickel.
Caroline avait les joues écarlates :
— Euh Joanna, je… je vais quand même me doucher toute
seule.
La jeune maîtresse lui adressa un sourire carnassier :
— Je ne pense pas ma chérie, dépêche-toi de te
déculotter, tu ne voudrais quand même pas que je sois obligée
d’utiliser la brosse de bain sur ton mignon petit derrière.
Vaincue, Caroline se déshabilla entièrement, elle regarda
piteusement son amie qui en souriant lui tapota les fesses :
— Dans la baignoire et vite.
Ce que redoutait Caroline arriva l’eau froide gicla sur ses
fesses et l’ordre humiliant suivi :
— Tu connais la position ma chérie, tu me présentes bien
tes fesses et tu les écartes.
Morte de honte, mais craignant par-dessus tout la redoutable
brosse de bain, Caroline s’exécuta, Joanna se moqua gentiment
d’elle :
— C’est fou comme la menace d’un panpan cucul rend
docile les demoiselles, ton derrière est vraiment adorable ma
chérie.
Elle procéda comme elle avait fait avec Sylvie, elle savonna
soigneusement les fesses, la raie médiane et le petit abricot de son
amie. Le rinçage à l’eau froide la fit trépigner sur place, mais
quand elle vit son amie s’installer sur le tabouret et poser une
serviette sur ses cuisses, elle comprit qu’elle n’échapperait
pas au séchage des fesses spécial Joanna.
Quand elle se releva ses fesses étaient cramoisies comme celle
des deux punies qui patientaient au coin. Malgré son désir de
rester stoïque, elle n’avait pu s’empêcher de crier et de
pleurer abondamment, Sylvie et Julie avaient dû entendre…
Joanna lui montra la porte, tu files dans la chambre j’ai des
projets pour ton joli petit cul.
Caroline traversa le couloir toute nue, son derrière écarlate
éclairait la pièce.
Arrivée dans la chambre, Joanna entreprit de se déshabiller et
ouvrit le tiroir pour en sortir un god ceinture, Caroline le regarda,
il lui semblait plus gros que celui de la veille. La jeune maîtresse
comprit son regard :
— Eh oui ma chérie, c’est la taille au-dessus, ton petit
derrière est habitué maintenant, il faut mieux le garnir… allez
en position sur le lit et vite.
Caroline le rouge aux joues et aux fesses s’installa à quatre
patte sur le lit, la tête sur l’oreiller, les fesses écarlates
tendues vers le god.
Joanna s’installa derrière elle, posa l’engin sur la petite
rondelle frémissante et doucement s’enfonça, Caroline se mit à
gémir puis à haleter, le bassin de Joanna venait de toucher ses
fesses et elle faisait des va-et-vient en elle.
Soudain elles explosèrent ensemble, la jeune maîtresse se retira
et Caroline allongée à plat ventre sur le lit lui offrit sa belle
paire de fesses écarlates et grande ouverte encore animée de
spasmes de plaisir.
En souriant, elle se coucha à côté d’elle :
— C’est encore mieux avec les fesses bien rouges et
brûlantes tu ne trouves pas ?
— Oh oui ma chérie… mais quand même…
Joanna en riant la fit glisser sur ses cuisses :
— Tu as besoin d’un petit supplément ma chérie.
La fessée crépita à nouveau sur le derrière brûlant de
Caroline, elle fut courte mais très sévère. Bien maintenue sur les
cuisses de son amante, Caroline tapa des pieds sur le lit, mais ne
put échapper à cette nouvelle correction.
À peine avait-elle fini que Joanna se mit rire, elle avait
entendu la porte du gîte s’ouvrir :
— Nos deux chipies sont en train de montrer leurs derrières
bien rouges à une visiteuse.
En effet Lucie venait d’arriver accompagnée de sa nièce
Clémentine, en entrant dans la grande pièce, elle poussa un petit
“oh” de surprise en voyant les deux fessiers rougeoyants qui
ornaient deux des coins de la salle :
— Comme c’est mignon, quelle belle surprise, Joanna sait
vraiment recevoir.
Elle se tourna vers la jeune femme :
— Il reste un coin ma chérie, tu te déculottes et tu vas
t’y mettre tout de suite.
Sans discuter la jeune femme, retroussa sa jupe et baissa sa
culotte sous ses fesses, on sentait qu’elle avait une grande
habitude, elle posa son nez contre le mur et croisa ses mains dans
son dos pour tenir sa jupe retroussée. Ses fesses étaient rondes et
bien joufflues avec une belle raie médiane, elles étaient rouges
signe d’une déculottée récente. Au milieu du fessier une tige
blanche dépassait de la raie serrée, Lucie s’approcha et fit
tourner la racine de gingembre :
— Tu le sens bien ton gros suppo mais chérie ?
Caroline et Joanna entrèrent juste à ce moment :
— Tu nous as amené les fesses de Clémentine ? C’est
mignon ces trois derrières, ils ont chacun leur charme.
La jeune femme se mit à geindre :
— Tatie, ça brûle… s’il te plaît.
Lucie fronça les sourcils et s’approcha de sa nièce, elle fit
tourner à nouveau la racine de gingembre entre les fesses serrées :
— Tu dois mieux la sentir comme ça… Bon vient un peu
ici.
Elle avait saisi Clémentine par l’oreille et après s’être
installée sur une chaise, elle la coucha en travers de ses cuisses.
Elle retroussa la jupe sur les reins et baissa la culotte à
mi-cuisse :
— Alors comme ça, tu veux que je t’enlève ce bon gros
suppo ?
— Oui tatie, ça brûle trop.
Lucie se mit à rire et tapota le derrière de la jeune femme :
— Voyez-vous ça, bien sûr que ça brûle ma chérie,
c’est même fait pour ça figure-toi. Bon je veux bien te
l’enlever, mais en contrepartie je te flanque une bonne fessée
déculottée, qu’est-ce que tu choisis ?
Clémentine pleurnichait en tortillant son derrière :
— Oh tatie… Oui si tu veux donne-moi la fessée et enlève
le suppo.
Lucie jeta un regard gourmand aux deux spectatrices :
— Mademoiselle préfère la fessée, on va lui faire
plaisir.
Elle tapota à nouveau la croupe rougie :
— Je t’administre d’abord la fessée et ensuite je
t’enlève le gingembre, ça te va ?
— Oui, oui tatie.
— Bien, puisque tu as l’air d’avoir vraiment envie de
recevoir cette fessée, tu vas me la demander.
Caroline regardait avec intérêt cette sévère maîtresse, elle
tenait fermement Clémentine par la taille, celle-ci devait être
habituée à la perversité de Lucie, d’une petite voix, elle
prononça les paroles attendues :
— S’il te plaît tatie, peux-tu me donner la fessée
déculottée.
Lucie regarda triomphalement Joanna et Caroline :
— Cette petite est adorable n’est-ce pas ? Alors
comme ça ma chérie tu veux que tatie t’administre une bonne
fessée cul nu ?
— Oui tatie…
— Et après, je t’enlève le gingembre ?
— Oui tatie.
— D’accord ma chérie, mais ce sera la fessée à la main
puis à la brosse, tu es d’accord ? Sinon tu gardes le suppo
toute la soirée.
Clémentine se mit à gémir, mais elle savait qu’elle n’avait
pas le choix, ses fesses étaient parfaitement exposées.
— Oh tatie, la brosse… euh oui tatie, si tu veux…
— Eh bien puisqu’on est d’accord allons-y.

La main de Lucie se leva et s’abattit sèchement en plein milieu
de la fesse droite de la jeune femme, celle-ci poussa un cri,
surprise par la rapidité et la force de la claque. Caroline regarda
un peu plus attentivement le derrière de la punie, il était très
mignon, bien joufflu, des fesses rondes et fermes faites pour
recevoir de magistrales corrections. D’ailleurs celle qu’elle
recevait à cet instant ne dérogeait pas à la règle, c’était
une fessée crépitante, la main s’abattait à une vitesse folle
sur chacune des fesses, elle semblait rebondir sur cette boule rouge.
Clémentine pleurait à chaudes larmes, ses plaintes redoublèrent
quand sa sévère tatie lui annonça :
— Ton derrière est prêt pour la bonne fessée déculottée
ma chérie.
Caroline ouvrit de grands yeux, certes elle était habituée à
administrer de sévères fessées à sa mère, mais la première
correction administrée par Lucie sur le postérieur de Clémentine
lui paraissait déjà être une punition en soi. Entendre la fesseuse
annoncer que ce n’était somme toute qu’un échauffement avait de
quoi surprendre, surtout que le fessier de la jeune femme était déjà
d’un rouge profond.
Lucie sortit de sa poche une belle brosse à cheveux avec un dos
bien large, elle frotta les fesses avec le redoutable instrument :
— Allez ma petite chérie, tatie va te donner la bonne
fessée déculottée que tu lui as réclamée et ensuite elle
t’enlèvera le gingembre du derrière. Tu es prête ?
Clémentine n’eut pas le temps de répondre une deuxième fessée
encore plus sévère que la première venait de commencer. La jeune
fille se cabra et hurla sous la brûlure, elle se mit à pédaler
désespérément dans le vide, ses fesses s’ouvraient largement,
Caroline et Joanna qui appréciaient les dames se régalaient du
spectacle.
Bien tenue par la taille, seul le bas de son corps pouvait gigoter
et la danse de son derrière était vraiment excitante.
Le fessier cramoisi s’étalait devant les yeux ravis des deux
jeunes femmes, Lucie posa la brosse :
— Voilà un derrière cuit à point, tu me l’avais
demandé cette fessée ma chérie, tu es contente ?
Clémentine pleurait, elle ne répondit pas, elle avait l’habitude
de recevoir des fessées très sévères, mais celle-ci contrait
parmi les meilleures. Lucie regarda les deux jeunes femmes d’un air
satisfait :
— Elle a vraiment une mignonne paire de fesses ma petite
Clémentine.
Elle massa le fessier brûlant et écarta les deux globes
écarlates :
— Chose promise, chose due, je vais t’enlever ton suppo.
Elle tira doucement sur la racine de gingembre pour l’extraire
du derrière. Quand ce fut fait, elle fit relever la punie et lui
claqua les fesses :
— Tu retournes te mettre au coin, la couleur de tes fesses
n’a rien à envier à celle des deux chipies.
En effet les trois postérieurs qui ornaient les coins de la pièce
étaient tous cramoisis, Joanna proposa de boire quelque chose.