vendredi 31 octobre 2025

Randonnée fesses rouges

 Début de week-end cuisant 




Caroline rangeait sa voiture ce vendredi soir quand elle vit Sylvie arriver, elle lui avait donné rendez-vous à seize heures, pour un départ en week-end dans la foulée.

Elle avait prévu ce séjour à la montagne depuis un moment, un week-end un peu particulier avec sa mère et Sylvie qui mêlerait randonnée en montagne et séjour coquin.

Faisons les présentations, Julie la mère de Caroline, une jolie femme brune de quarante-cinq ans dotée de forme avantageuse, était en train de finir son sac de voyage quand elles entrèrent dans la maison. Julie embrassa sa fille ainsi que Sylvie qu’elle avait déjà vue une ou deux fois.

— Tu vas bien ma petite maman, tu as bien rangé la maison j’espère sinon gare.

Caroline avait tapoté sans façon le derrière rebondi de sa mère Celle-ci rougit et baissa les yeux :

— Bien sûr Caroline.

Que de choses avaient changé dans sa vie depuis son licenciement de son poste de secrétaire, c’était très difficile de retrouver du travail après un licenciement pour faute grave, elle en faisait l’amère expérience. Elle avait été obligée de demander à Caroline qui avait une bonne situation de l’héberger, en contrepartie elle entretenait la maison. Mais ce n’était pas tout, Caroline avait posé ses conditions, elle avait trouvé là l’occasion rêvée de prendre sa revanche sur Julie, en effet celle-ci était restée une partisane de l’éducation traditionnelle et Caroline jusqu’à récemment pouvait recevoir la fessée déculottée comme quand elle était gamine.

Le soir de son installation, la jeune femme avait mis les choses au point :

— Ma petite maman, puisque nous avons inversé les rôles et que c’est moi qui subviens à tes besoins, nous allons le faire complètement. C’est moi qui aurai l’autorité dans cette maison et si c’est nécessaire tu seras punie.

— Oui, mais ma chérie je suis quand même ta mère.

Julie avait été surprise par cette annonce, Caroline ne s’arrêta pas en si bon chemin :

— Je crois que tu n’as pas le choix, sauf si tu veux quitter la maison. D’ailleurs nous allons commencer immédiatement, à partir de maintenant chaque fois que tu diras, mais tu seras punie. Viens ici !

Complètement sidérée la sévère mère de famille n’avait pas osé protester quand l’impensable s’était produit. Caroline l’avait coincé sous son bras et courbé en avant puis d’un geste sec l’avait déculottée. Elle portait un legging, sa fille avait saisi la ceinture et dans le même mouvement elle l’avait baissé en même temps que la culotte. La belle paire de fesse de dame mûre de Julie était apparu aux yeux émerveillés de sa fille, un derrière d’un blanc nacré, bien ferme, deux hémisphères joufflus séparés par une profonde raie médiane qui était à cet instant serrée par l’angoisse.

La première fessée fille-mère avait été rapide, mais suffisante pour que Julie cache sous sa culotte une croupe bien rouge. Depuis cette date, les déculottages et les fessées étaient devenus très fréquents dans cette maison.

Sylvie était dans l’entrée son sac de voyage à la main, elle avait une soixante-dix ans, assez grande et relativement mince, elle était dotée d’un généreux popotin. Amatrice de soirée coquine, elle avait rencontré Caroline au cours de l’une d’entre elle. Ce jour-là, Sylvie était accompagnée d’une jeune et jolie jeune femme, Héloïse qui apparemment s’occupait de l’éducation de la sexagénaire. En effet au cours de la soirée exclusivement féminine, la dame d’âge mûre pour un prétexte futile s’était retrouvée couchée en travers des genoux d’Héloïse qui l’avait prestement troussée puis déculottée comme une gamine. Et devant un public amusé la dame avait reçu une mémorable fessée qui avait ravi Caroline, surtout que Sylvie avait ensuite passé une bonne partie de la soirée au coin les fesses à l’air et les mains sur la tête. Caroline connaissait vaguement Héloïse, elle avait sympathisé et la jeune femme avait proposé de lui confier Sylvie certain week-end quand elle serait absente. Elle avait ajouté en souriant et en montrant le large derrière de son amie :

— Il ne faut pas la laisser sans surveillance, sinon elle fait des bêtises et puis tu vois avec une si bonne paire de fesses la sanction est toute trouvée.

Caroline regarda la dame avec son sac à la main et lui lança un regard coquin :

— Alors ma petite Sylvie, tatie Héloïse s’est bien occupée de toi ? Elle m’a envoyé un message pour me dire qu’elle avait été obligée de te corriger. C’est vrai ?

La dame de soixante-dix ans ne faisait pas son âge à cet instant, on aurait dit une gamine interrogée par sa maman, elle avait les joues rouges, elle voyait bien où Caroline voulait en venir.

— Euh… oui mademoiselle.

— Eh bien on va voir ça viens ici.

Sylvie avait pris l’habitude d’obéir sans discuter, elle s’approcha. La jeune femme s’installa sur un tabouret qu’on aurait dit posé là exprès et elle la coucha en travers de ses genoux. La jupe large fut facile à retrousser, Caroline esquissa un sourire en voyant la petite culotte en coton ornée de petite fleurs, décidément Héloïse s’y entendait pour humilier sa petite Sylvie, elle tapota le derrière culotté :

— Jolie petite culotte, comme celle que portent les gamines qui reçoivent encore la fessée.

Elle glissa ses doigts sous l’élastique et déculotta largement la sexagénaire qui n’en menait pas large. Les fesses étaient encore bien rouges, au centre dépassant à peine de la raie fessière, la rondelle rose d’un plug apparaissait. Caroline écarta les fesses avec deux doigts :

— Mazette, madame a eu droit au plug. Tu as dû être vilaine, une fessée déculottée et le derrière bien garni.

Elle claqua la croupe si bien exposée :

— A quelle heure Héloïse t’a-t-elle mis le plug ?

Sylvie était au comble de la confusion, elle bégaya :

— Euh… euh… je… aïe, aïe…

La main de Caroline venait de claquer à nouveau le gros derrière :

— Vas-tu te dépêcher, à moins que tu ne veuilles une fessée supplémentaire !!

— Non, non mademoiselle Caroline, c’était à onze heures ce matin.

— Bien, et tu dois le garder jusqu’à quelle heure.

— Mademoiselle Héloïse a dit que c’est vous qui décideriez.

Caroline tourna la rondelle du plug, c’était agréable d’avoir le pouvoir de punir à sa guise cette bourgeoise qui aurait pu être sa grand-mère et qui gémissait couchée sur ses genoux dans l’attente de la sanction.

— Ça fait donc cinq heures, c’est bien je vais te le retirer mais en compensation tu vas avoir droit à une petite fessée pour que ton derrière garde ses bonnes couleurs.

Elle leva la main et claqua joyeusement le plantureux fessier, il était musclé malgré tout et c’était très agréable de le claquer, la main rebondissait et le derrière s’ouvrait et semblait se tendre vers la paume pour recevoir une nouvelle offrande.

Caroline avait annoncé une petite fessée, malheureusement pour les fesses de Sylvie ce fut une fessée magistrale et suffisamment longue pour que la punie finisse en pleurs.

— Voilà, ton derrière va rester bien rouge, on va retirer ce plug. Tu sais que si tu n’es pas sage ce week-end, Caroline te le remettra.

Sylvie pleurnichait, mais malgré la honte de sentir les doigts de sa jeune maîtresse écarter largement ses fesses, elle était soulagée que sa punition se termine.

Pendant ce temps Julie avait regardé cette dame plus âgée qu’elle, recevoir la fessée comme une gamine. Elle était contente que sa fille ne s’intéresse pas à son derrière et comme toute fesseuse elle avait apprécié la danse des fesses que leur avait offert Sylvie.

Sylvie était maintenant debout, Caroline l’avait reculotté elle-même comme l’aurait fait une maman, elle regarda en souriant les deux adultes qu’elle avait sous sa coupe :

— Vous allez vous changer pour le week-end, je veux deux gentilles petites filles bien sage, venez avec moi.

Elle les entraîna dans la chambre d’amis et ouvrit une commode, elle en sorti deux jupettes écossaises, un tee-shirt blanc et des socquettes blanches :

— Mettez ça en vitesse, on est pas en avance, Sylvie, ta culotte est parfaite, maman j’espère que tu as ta culotte de petite fille.

Julie piqua un fard à l’évocation de ses sous-vêtements, Caroline avait été intraitable et après une magistrale fessée déculottée, elle s’était résolue à mettre ces petites culottes blanches en coton.

En voyant cette jupette la mère de famille ne put réprimer une moue, Caroline la surveillait :

— Maman !!! Qu’est-ce que c’est que cette grimace ?

Elle s’approcha de Julie et lui saisit l’oreille :

— Aïe, non, non pardon Caroline… Je… Aïe.

La jeune femme s’amusait de la détresse de sa mère, elle continuait de tirer sur l’oreille pour la faire mettre sur la pointe des pieds :

— Elle ne te plaît pas cette jupe ? C’est pourtant ce qui te convient ma petite chipie.

— Oui, oui, Caroline… Mais… Aïe.

La main libre venait de claquer le derrière de Julie.

— Ah oui ? Tu sais pourtant que c’est un mot que je ne veux plus entendre. On va régler ça immédiatement.

Elle posa son pied sur le tabouret et bascula sa mère sur sa cuisse, cette position enfantine était vraiment infamante surtout en public, Caroline le savait. Elle voulait que sa mère lui obéisse sans discuter et cette fessée déculottée lui servirait de leçon. Les pieds décollés du sol, la tête pendant de l’autre côté, Julie était vraiment à sa merci, elle troussa rapidement la jupe et la déculotta dans la foulée :

— Je vais t’apprendre !!! Une bonne fessée cul nu, il n’y a rien de tel pour faire obéir les vilaines filles.

La culotte glissa jusqu’aux genoux de Julie qui se cramponnait au tabouret pour rester en équilibre, Caroline la ceintura fermement et commença à claquer le magnifique derrière, il prit rapidement des couleurs et Sylvie put se régaler, Julie ouvrait largement ses cuisses pendant que ses jambes pédalaient dans le vide :

— Ah je vais t’apprendre à dire « mais », tu le sais que je ne veux rien entendre d’autre que « oui Caroline » quand je te donne un ordre, puisque madame ne veut pas comprendre, je vais m’adresser à ses fesses. Tu sais que ton derrière est magnifique. Tu la sens ma main sur tes bonnes grosses fesses ?

Julie n’avait pas vraiment des grosses fesses, juste un bon derrière joufflu de dame mature, mais Caroline aimait employer ce vocable, « bonnes grosses fesses » pour faire honte à sa mère.

La croupe était maintenant de la même couleur que celle de Sylvie, Caroline reposa sa maman punie par terre et lui désigna la jupe posée sur le lit :

— Tu l’enfiles illico, ne remonte pas ta culotte, tu resteras cul nu jusqu’à ce qu’on parte.

Sylvie s’approcha et dégrafa sa jupe sans un mot, elle trouvait également cette jupette ridicule, mais la correction reçue par Julie l’incitait à la prudence.

Quelques instants plus tard, deux dames d’âge mûr étaient côte à côte habillées pareillement d’une mini-jupe écossaise qui leur arrivait à mi-cuisse, d’un tee-shirt blanc, ainsi que de socquettes et de ballerines pour compléter leur transformation en collégienne.

Caroline les avait regardés s’habiller en souriant :

— Vous êtes mignonne toutes les deux, tournez-vous que je vous voie sous toutes les coutures.

Les deux dames se gardèrent bien de protester, la culotte de Julie apparaissait indiquant qu’elle était encore déculottée :

— Troussez-vous !

Les deux derrières apparurent simultanément celui nu de sa mère et celui culotté de Sylvie, Caroline s’approcha et d’un geste sec elle déculotta la plus âgée, puis elle se recula pour mieux apprécier le spectacle :

— Voilà deux jolis derrières bien rouges. Vous avez intérêt à être sage pendant le voyage, sinon je vous garantis que vos fesses resteront rouges jusqu’au coucher. Allez, reculottez-vous on y va.

Les deux punies ne se le firent pas dire deux fois, arrivées devant la voiture, Caroline leur désigna l’arrière :

— Vous montez derrière, à votre âge, c’est mieux.

Julie se mordit les lèvres pour ne pas protester, Sylvie déjà bien éduquée par Héloïse, s’installa à la place désignée par la jeune femme.

Le voyage se passa bien, mis à part lors de la pause pipi décrétée par la jeune femme, Julie lui expliqua qu’elle n’avait pas envie, Caroline la regarda en souriant :

— On en a encore pour une bonne demi-heure, ne t’avise pas de me demander de m’arrêter avant.

Sylvie revenait des toilettes, Caroline lui jeta un regard noir :

— Tu as sali tes ballerines, tu aurais pu faire attention où tu marchais. Bon on est en retard, on réglera ça tout à l’heure.

Elle roulait depuis un moment quand la jeune femme jeta un regard dans le rétroviseur :

— Maman, qu’est-ce que tu as à te tortiller comme ça ?

Julie piqua un fard et bégaya :

— Non… non, rien Caroline…

— Tu te moques de moi, je suis sûr que tu as envie de faire pipi, pourquoi n’y as-tu pas été tout à l’heure ?

Julie détestait les toilettes publiques et elle avait pensé pouvoir tenir, mais l’envie devenait trop forte. Caroline avisa un chemin et se gara :

— Tu te dépêches !!

Julie regarda aux alentours il n’y avait rien pour se dissimuler aux regards, sa fille la toisa ironiquement :

— Tu as peur qu’on voit tes fesses, je peux te dire que c’est superflu, de toute façon tout le monde va les voir tout à l’heure ma chérie, je te garantis que tu vas te recevoir une fessée cul nu magistrale.

Honteuse, Julie s’accroupit à côté de la voiture, troussa sa jupe et baissa sa culotte, Caroline se régalait de l’humiliation de sa mère, Sylvie de son côté trouvait que cette jeune maîtresse était décidément aussi sévère qu’Héloïse.

La fin du voyage se passa en silence, deux fessées avaient été annoncées par Caroline.

Le gîte se trouvait au fond d’une vallée isolée des Pyrénées ariégeoises, on y arrivait après une dizaine de kilomètres de route très étroite, personne à l’horizon, Joanna les attendait sur le pas de la porte. Caroline gara la voiture, la jeune gardienne du refuge était grande ses longs cheveux bruns attachés en queue de cheval, elle fit une bise à la conductrice qui tomba immédiatement sous le charme.

Joanna jeta un regard à l’arrière de la voiture, les deux dames n’avaient pas osé sortir avant que Caroline ne les y autorise :

— Ah tu as amené tes deux chipies, Héloïse m’en a parlé hier.

— Oui, ça tu peux le dire le terme chipie est très adapté, elles ne perdent rien pour attendre. Allez les filles venez dire bonjour à Joanna.

En rougissant Julie et Sylvie sortirent de la voiture, la jeune hôtesse se mit à rire en les voyant habillées comme des adolescentes :

— Mais qu’elles sont mignonnes, elles sont à croquer, ça donne vraiment des idées.

Caroline souriait de la gêne de ses deux punies :

— On va passer rapidement aux travaux pratiques, il y a deux fessées qui chauffent. Vous montez vos sacs dans la chambre et vous redescendez fissa… Allez exécution.

Sylvie était la plus proche d’elle, une magistrale claque sur le derrière l’a fit démarrer.

Joanna leur montra l’escalier :

— Vous êtes dans la première chambre à droite.

Elle se tourna vers Caroline avec un petit sourire coquin :

— Tu as la chambre juste en face de la mienne…

L’allusion était transparente, Caroline en eu des petits picotements dans le bas-ventre.

Il faisait très beau, Joanna proposa de s’installer sur la terrasse, la vue était magnifique :

— Si j’ai bien compris tu as prévu de t’occuper de leurs derrières, autant profiter du panorama, quoi de mieux qu’une bonne déculottée en plein air.

Caroline appela les deux dames :

— Dépêchez-vous de descendre, si je dois aller vous chercher, ça va chauffer.

Sylvie et Julie ne tardèrent pas à sortir timidement du gîte, elles avaient toutes les deux les joues rouges, elles savaient pertinemment ce que Caroline avait l’intention de faire. Elles allaient chacune recevoir une fessée déculottée en plein air et en public.

Si Sylvie avait déjà goûté à la honte de se faire déculotter et rougir le derrière devant des inconnues, c’était nouveau pour Julie, jamais Caroline ne lui avait fait subir pareil humiliation. Qui plus est la spectatrice avait l’âge d’être sa fille et la punition se déroulerait devant le chalet, bien qu’il soit isolé, des éventuels randonneurs auraient une vue parfaite sur ses fesses dénudées.

Caroline regarda les deux dames déguisées en collégiennes avec un sourire moqueur :

— Alors mes chipies, je vous avais pourtant prévenue avant de partir que toute bêtise pendant le voyage vous vaudrait un petit séjour sur mes genoux. C’est à croire que vous aimez vous faire déculotter, vous n’avez pas pu vous en empêcher.

Julie et Sylvie regardaient leur pied, Joanna souriait, ravie de ce qui n’allait pas manquer d’arriver.

— Vous allez expliquer à Joanna pourquoi vous allez être punie, Sylvie à toi.

En rougissant la plus âgée des punies s’approcha, elle avait l’habitude de ces humiliations publiques :

— J’ai sali mes ballerines en marchant dans la boue…

— Très bien, viens ici !

Caroline retroussa la jupette et la coinça dans la ceinture, puis elle baissa la culotte sous les fesses et les claqua :

— Va te mettre le nez contre le mur, tu mets tes mains sur la tête. Julie à toi.

La mère de famille aurait voulu disparaître sous terre, elle n’osait pas lever les yeux vers les deux jeunes femmes qui la regardait un sourire ironique sur les lèvres, Caroline s’impatienta :

— Dépêche-toi un peu, de toute façon tu n’éviteras pas la fessée, elle risque juste d’être plus sévère.

— Je… euh…

Julie n’arrivait pas à parler, Caroline s’approcha la fit pivoter et lui claqua l’arrière des cuisses juste sous la jupe :

— Je vais t’aider si tu veux… ça te suffit ?

Julie surprise avait crié et sautillé sur place :

— Oui, oui Caroline, pardon… je n’ai pas été faire pipi quand tu me l’as demandé et j’ai fait arrêter la voiture ensuite.

La jeune femme se tourna vers Joanna :

— Malgré son âge maman se comporte comme une gamine, je la traite donc comme telle.

Joanna regarda la mère et la fille, son regard était explicite, jamais elle n’aurait imaginé ça :

— Tu, tu veux dire que Julie, c’est ta mère ? Et, et tu lui donnes la fessée ?

Caroline était satisfaite de son petit effet, ce n’était évidemment pas banal comme situation :

— Eh oui, il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée tu le sais et maman la mérite souvent. Allez viens un peu ici.

Elle avait saisi sa mère par la main, elle la bascula sans ménagement en travers de ses genoux, la jupette courte dévoila immédiatement le fond de la culotte, elle la retroussa rapidement et tapota le fessier tendu sous la fine culotte :

— Elle a une bonne paire de fesses, on peut la corriger sans problème. Alors ma chérie, pourquoi n’as-tu pas été faire pipi quand Caroline te l’a demandé ?

C’était la honte totale pour cette mère de famille autrefois si stricte, Caroline s’adressait à elle comme si elle était une gamine.

— La prochaine fois tu m’obéiras, je te garantis que tu n’es pas près de recommencer, de toute façon ce sera la fessée déculottée devant tous le monde.

Elle déculotta Julie d’un geste rapide, la large paire de fesse était serrée par l’angoisse, Joanna était ravie :

— Voilà ce que j’appelle un déculottage express, madame est prête, tu as raison de ne pas céder à ses caprices.

La fessée se mit à pétarader, avec la falaise toute proche, le bruit des claquements sur la peau nue semblaient se démultiplier, Julie pédalait dans le vide en pleurnichant, toute à la cuisson qui lui embrasait le derrière, elle ne songeait pas aux éventuels spectateurs, ni au bruit de sa correction :

— Non, non, aïe, aïe… ça brûle, pardon Caroline je ne recommencerai plus… aïe, aïe.

— J’espère bien que tu ne recommenceras plus, mais comme je veux en être sûr, je vais continuer un peu.

Le fessier était écarlate, Joanna en amatrice de fesses et de fessées appréciait le spectacle :

— Quelle jolie danse des fesses, ta maman est douée ma chérie.

Après cinq minutes de fessée ininterrompue, le derrière de Julie fumait littéralement, pour une première correction publique, Caroline avait voulu marquer le coup, en plus elle avait vraiment été agacée par le comportement de sa mère.

Sylvie avait écouté avec attention la correction, elle l’avait trouvée particulièrement sévère, les cris et les pleurs de Julie l’avait impressionnée, Joanna regarda la punie au coin :

— On dirait que madame craint pour son derrière, regarde comme elle serre les fesses.

Caroline fit relever sa mère et la conduisit à côté de Sylvie, elle coinça la jupe dans la ceinture et laissa la culotte entortillée autour des chevilles. Julie pleurait abondamment, sa fille lui claqua sèchement les fesses :

— Pleure en silence, tu n’as eu que ce que tu mérites.

Elle saisit l’autre punie par l’oreille et la tira vers le haut pour la faire marcher sur la pointe des pieds, de sa main libre elle lui claqua la croupe pour la faire avancer :

— Allez en piste, vilaine fille, je vais t’apprendre à faire attention à tes affaires.

Le spectacle de cette mamie les fesses à l’air et tenue par l’oreille tandis qu’elle sautillait au rythme des claques, était saisissant. Joanna en avait mouillé sa culotte.

Caroline s’était a nouveau installée sur une chaise, Sylvie se retrouva rapidement dans cette position qu’elle connaissait si bien, elle était déjà déculottée, son bon gros derrière était encore rosé des fessées reçues dans la journée,. La jeune femme baissa un peu plus la culotte et tapota la croupe étalée devant ses yeux, elle regarda Joanna :

— Maman a une belle paire de fesses, mais le popotin de Sylvie est vraiment confortable, il y a de la place pour claquer.

— Oui, c’est vrai, Héloïse m’en a souvent parlé, je comprends mieux maintenant que je le vois pour de vrai, elle doit se régaler.

La fessée avait commencé et Sylvie malgré son habitude ne put retenir ses cris et ses supplications, ses battements de jambes furent dignes de ceux d’une grande fille corrigée par sa maman :

— Alors tu feras attention maintenant ?

— Aïe, aïe, aïe, oui, oui mademoiselle, aïe… ça brûle…

La fessée se poursuivit jusqu’à son but ultime une dame en pleurs, affalée en travers des cuisses de Caroline. La croupe était cramoisie, Joanna s’approcha et posa sa main sur l’épiderme enflammé :

— Eh bien, ça c’est du panpan cucul, madame va sentir son derrière. Tu la mets au coin, je vais chercher quelque chose à boire.


Quand elle revint les deux punies étaient côte à côte, le nez collé contre le mur et les mains sur la tête, les culottes baissées laissaient voir deux derrières également rougis, c’était magnifique, les épaules se levaient de temps en temps signe qu’elles n’avaient pas fini de pleurer et les fesses se serraient, la cuisson devait persister.

Elles restèrent exposées ainsi jusqu’au repas puis elles purent se reculotter, la conversation roula bien évidemment sur la fessée déculottée, leur pêché commun.

Une fois que les deux dames déguisées en gamine eurent débarrassés la table, Caroline leur annonça le programme :

— Demain randonnée, les filles, il faut aller au lit tôt. Comme je tiens à ce que vous dormiez bien, vous allez prendre une bonne déculottée, on dort mieux avec les fesses rouges. Vous montez vous mettre en pyjama et vous redescendez pour le panpan cucul du soir.

Il commençait à faire frais, mais les deux jeunes femmes avaient mis une petite laine, les deux dames apparurent sur le pas de la porte, elles avaient chacune un pyjama d’été, le bas était un short et le haut un tee-shirt, celui de Sylvie était à petites fleurs et celui de Julie qui avait été choisi par Caroline était orné de nounours.

Caroline leur fit un petit signe du doigt :

— Venez un peu ici les chipies, je ne voudrais pas que vous preniez froid on va vous réchauffer les fesses.

Elle se tourna vers Joanna :

— Tu vas m’aider, laquelle veux-tu déculotter ?

La jeune gardienne du refuge, dévisagea l’une après l’autre les deux futures punies qui se tenaient devant elle, les bras ballants. Fesser une mamie comme Sylvie, c’était tentant, totalement inattendu et un peu transgressif, mais elle tourna son regard vers Julie, le magnifique et large fessier de la mère de Caroline dansait encore devant ses yeux. C’était de loin le plus appétissant et puis elle savait que Julie avait été une redoutable fesseuse, quel plaisir que de la rabaisser et de lui faire subir l’humiliation de la fessée déculottée.

— Je vais m’occuper du derrière de Julie si tu permets.

La mère de famille piqua un fard, elle n’avait encore jamais reçu ce châtiment honteux par une autre main que celle de sa fille, Joanna lui faisait déjà un petit signe du doigt :

— Viens un peu me montrer tes fesses ma petite Julie.

Cette façon de lui parler eut raison de la quarantenaire qui sentit les larmes lui monter aux yeux, elle jeta un regard implorant à sa fille, celle-ci en souriant appelait Sylvie :

— Sylvie, en piste ! Quant à toi ma petite maman je te conseille d’obéir à Joanna rapidement.

Les deux dames se retrouvèrent allongées tête bêche sur les genoux des jeunes femmes, en levant la tête, elle pouvait apercevoir le fessier de leur compagne d’infortune.

Joanna se mit à rire devant ce spectacle peu banal :

— La lune n’est pas encore levée, mais on a de la chance on va en avoir deux d’un seul coup.

Les deux belles lunes apparurent donc simultanément, les culottes de Pyjama glissèrent sur les fesses pour s’arrêter aux genoux. Caroline tapota les fesses de Sylvie :

— Il faut vraiment les réchauffer.

Joanna explorait avec gourmandise le large fessier de Julie :

— La plus vilaine c’est quand même ta maman, je pense qu’elle mérite la brosse.

Julie gémit doucement en entendant la sentence tandis que Caroline approuvait :

— Oui vas-y, son derrière n’y a pas goûté depuis un moment, ça va lui faire du bien.

Joanna avait tout prévu, elle sortit de sa poche une brosse à cheveux et caressa le derrière encore rosé avec le dos en bois :

— Tu vas voir ma petite Julie après la fessée de Joanna tu iras faire pipi quand on te le dira.

Le rappel de cet épisode n’avait d’autre but que de ramener Julie au rang de gamine, celle-ci se mit à pleurer.

— Garde tes larmes pour tout à l’heure ma petite chérie.

Caroline leva la main pour donner le signal du début de la fessée et bientôt dans le silence de la montagne retentit le bruit caractéristique des claques sur la peau nue, mêlé aux cris puis aux pleurs des punies.

Chacune des fesseuses voulaient prouver à l’autre son talent, les fessiers de Julie et Sylvie en subirent les conséquences. Quand la fessée cessa, ils étaient tous les deux d’un beau rouge profond, cependant celui de Julie virait sur le carmin. Les deux dames sanglotaient de concert, elles furent remises sur pied, les culottes de pyjama remontées à mi-cuisse. Caroline prit la direction des opérations :

— Maintenant au dodo, vous restez fesses à l’air pour le moment, arrivé à l’étage, elle claqua les deux fessiers :

— Vous allez faire pipi et vous lavez vos dents, dépêchez-vous, je reviens.

Joanna avait assisté à la montée de l’escalier des deux paires de fesses écarlates, elle en était tout émoustillée :

Caroline lui adressa un regard enamouré :

— On va pouvoir s’occuper de nous quand les deux chipies seront au lit, je ne pense pas vu l’état de leur derrière qu’elles vont nous déranger.

Quelques instants plus tard les deux dames étaient au pied de leur lit les fesses à l’air, Caroline s’installa devant sa mère et la bascula en travers de ses genoux, puis elle écarta les fesses et explora son entre-cuisse :

— Je crois que tu avais vraiment besoin de cette déculottée ma petite maman, tu recommenceras à désobéir ?

— Non, non Caroline, pardon.

La jeune femme caressa les fesses écarlates et remonta la culotte :

— J’espère bien, maintenant au lit et je ne veux plus t’entendre.

Julie se glissa sous les draps, tandis que Sylvie subissait le même examen de son intimité, la jeune femme lui tenait les fesses largement écartées :

— Et toi ma petite Sylvie, tu feras attention à tes affaires :

— Oui, mademoiselle Caroline.

La culotte cacha les rondeurs écarlates de la mamie qui elle aussi se glissa dans son lit.

Caroline ferma la porte après avoir éteint la lumière :

— Si j’entends quelque chose, je vous garantis que vous ne pourrez pas vous asseoir demain !

Cette dernière recommandation était inutile, après les punitions de la journée, les deux dames n’avaient aucune envie de subir à nouveau les foudres de la jeune femme.










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dimanche 19 octobre 2025

L'institut suite 11

Correction pour deux chipies



 

En sortant du bureau de madame Desrodes, les deux élèves avaient les larmes aux yeux.

Clémentine surtout, elle se souvenait de son dernier séjour à l’institut, Aurélie l’avait particulièrement soignée elle avait reçu pas moins de trois fessées successives, une à la main, une avec mademoiselle Claquefesse et la dernière au martinet, ses fesses étaient restées rouges et cuisantes pendant toute la soirée et la sévère assistante l’avait prévenue ;

— Si je suis obligée de recommencer à nouveau, je te promets que tu auras du mal à t’asseoir pendant plusieurs jours.

Audrey avait juste entendu parler de l’institut par les autres élèves, elle n’avait jamais reçu la fessée et elle était complètement affolée à l’idée de se faire baisser la culotte à son âge, car bien sûr toutes celles qui y étaient passées lui avait précisé que les fessées administrées à l’institut, c’était toujours cul nu.

La directrice les avait grondées comme si elles étaient des gamines et les avaient prévenues qu’elles allaient passer toute la matinée à l’institut et qu’à leur retour elles viendraient lui montrer leurs fesses rouges.

Judith les croisa, elle les arrêta en souriant :

— Alors comme ça, vous allez montrer vos jolis derrière à la demoiselle de l’institut ?

Elles baissèrent la tête en rougissant, Judith était en verve, elle saisit la main de Clémentine et la fit pivoter, puis elle lui claqua sèchement la croupe par-dessus la jupe :

— Ton derrière a vraiment besoin de ça ma petite, je pense que j’examinerai tes fesses à ton retour.

Elle regarda Audrey qui semblait tétanisée, elle lui fit un petit signe du doigt :

— Tourne-toi !

La main claqua le magnifique derrière :

— J’espère que tu as bien honte ma chérie, une bonne fessée déculottée, voilà qui va te rajeunir.

Elle regarda autour d’elle, il n’y avait personne dans le couloir, elle retroussa la jupe plissée bleue de l’uniforme, la culotte blanche réglementaire moulait bien le fessier rebondi de la jeune femme, elle claqua la base des fesses au ras de la culotte. Audrey poussa un cri et sautilla sur place :

— Ce n’est qu’un avant-goût de ce qui va t’arriver ma grande, toi aussi tu me montreras tes fesses.

La nuit avait été difficile pour les deux élèves, elles se retrouvèrent devant la porte de l’institut à huit heures pile. Aurélie était déjà là ainsi que Ambre. Celle-ci n’était pas dans une situation enviable, elle n’avait pas encore fini sa formation et même si de temps en temps elle avait le droit de s’occuper des derrières des clientes, elle recevait encore régulièrement la fessée, aujourd’hui c’était au tour de Sophie de s’occuper d’elle.

En la voyant Aurélie avait eu un sourire coquin :

— Sophie n’arrive qu’à huit heures trente, tu ne vas pas rester là les bras ballants, mets-toi là.

Elle avait désigné la plate-forme à côté du secrétariat. Ambre marqua un temps d’arrêt, une magistrale claque atterrit sur son popotin :

— Dépêche-toi.

Résignée, elle se coucha à l’endroit désigné, elle se doutait de la suite, ayant assisté de nombreuses fois à l’humiliation des patientes obligées d’y exposer leur fessier. Elle avait vu juste, elle sentit sa courte jupette se soulever et les doigts de la jeune assistante se glisser dans sa culotte pour la baisser jusqu’à mi-cuisse.

C’est le spectacle de ses fesses nues que les deux jeunes collégiennes avaient vu en premier en entrant dans la pièce, elles en avaient frémi. Bien sûr elle savait ce qui allait leur arriver mais voir cette dame déculottée exposant ses fesses joufflues serrées par l’angoisse, les avaient mis immédiatement dans l’ambiance. Aurélie les accueillit avec un grand sourire :

— À voilà nos deux punies du jour, c’est bien vous êtes à l’heure. Vous avez amené votre bulletin de punition ?

Elles tendirent chacune une feuille où la directrice avait noté le motif de la punition. Aurélie s’en saisit et les parcourus rapidement :

— Eh bien, c’est du joli, on va régler ça tout à l’heure. En attendant venez-ici.

Audrey et Clémentine s’approchèrent, l’assistante les fit pivoter et épingla les jupes dans le dos, puis elle les déculotta comme elle l’avait fait pour Ambre. La culotte à mi-cuisse c’est ce qu’elle préférait, les deux fessiers juvéniles apparurent, Aurélie les claqua joyeusement :

— Voilà deux jolies paires de fesses, elles sont bien blanches, vous allez les exposer un peu avant que je m’en occupe.

Elle saisit les deux jeunes filles chacune par une oreille et les conduisit au coin de la pièce, juste en face de la porte d’entrée. Clémentine avait déjà subit la honte d’exposer ses fesses dénudées en public, c’était une première pour Audrey, elle les serrait, angoissée par la suite des événements.

Aurélie fit mine de se désintéresser des trois postérieurs exposés dans le secrétariat, pour une habituée des lieux, il y avait une certaine incongruité. Non pas dans cette honteuse exposition, mais dans le fait que les croupes soient d’un blanc immaculé. Au bout de quinze minutes, elle se leva, en passant elle tapota le fessier bien dodu d’Ambre :

— Encore un petit quart d’heure à montrer tes fesses ma chérie, soit sage.

Elle s’approcha des deux collégiennes et les saisit chacune par une oreille :

— À nous les chipies, vous allez m’expliquer en détail pourquoi vous êtes ici.

Comme elle en avait l’habitude elle leva les bras pour que les deux filles soient obligées de marcher sur la pointe des pieds, elles étaient toujours fesses à l’air.

En entrant dans le box réservé aux punitions, elle lâcha l’oreille d’Audrey puis conduisit clémentine au coin de la pièce :

— Mains sur la tête et nez au mur !! Je ne veux pas t’entendre.

Elle revint vers la jeune femme qui attendait les bras ballants et le rouge aux joues, elle lui désigna une chaise :

— Mets-toi à genoux ici. Les mains sur ta tête !

Elle prit une grande règle plate en bois et claqua les fesses serrées par l’angoisse :

— Explique-moi un peu pourquoi tu es venue me voir.

Audrey avait les larmes aux yeux, la position inconfortable ses fesses nues bien exposées c’était beaucoup, la règle cingla sèchement deux fois de suite le beau fessier.

— Aïe, aïe… non, non mademoiselle.

Audrey avait porté ses mains à ses fesses.

— Remets tes mains sur la tête immédiatement, je vais t’apprendre !

Aurélie s’était approchée de la punie et l’avait ceinturée, elle administra une vingtaine de coups de règle sur le derrière tendu par la position.

Audrey se mit à hurler surprise par la brûlure, elle ne pouvait que trépigner sur ses genoux, elle avait remis ses mains en place, son derrière était déjà rouge quand cette première fessée cessa, elle avait du mal à reprendre sa respiration au milieu de ses sanglots :

— Cesse de pleurnicher, tu n’as eu que ce que tu mérites, ici on ne protège jamais ses fesses avec sa main. Maintenant tu te dépêches de me dire pourquoi tu es là ou ma règle recommence à te caresser le derrière.

En sanglotant Audrey se mit à parler, ses fesses se serraient et s’ouvraient, Aurélie appréciait ce beau fessier bien rebondi, elle sentait qu’elle allait se régaler à le faire danser.

— Oui, mademoiselle… Euh, j’ai triché au contrôle de math… Aïe, aïe.

— Tu as triché !!

La règle avait cinglé à nouveau les fesses de la jeune femme :

— Eh bien c’est du joli, je te garantis que je vais te faire passer l’envie de recommencer.

Elle saisit l’oreille d’Audrey pour la faire se relever, pris sa place puis la bascula immédiatement en travers de ses cuisses. La fessée démarra immédiatement, une avalanche de claques uniformément réparties sur toute la surface du derrière de la jeune femme, celle-ci s’était remise immédiatement à pleurer, ses jambes battaient l’air. Elle recevait sa première fessée déculottée à vingt-cinq ans et ce n’était vraiment pas une fessée pour rire, elle braillait comme une gamine corrigée par sa maman en colère.

La maman en question était plus jeune qu’elle, mais elle la grondait comme il se doit :

— Ah mademoiselle a triché, eh bien je te garantis que la correction que tu vas recevoir va t’en faire passer l’envie.



Le magnifique derrière de la jeune femme n’était plus qu’une boule écarlate, les deux hémisphères étaient serrés l’un contre l’autre. Aurélie la fit se relever :

— Voilà pour commencer, mais rassure-toi nous ne sommes pas quittes. File te mettre à côté de ta copine et pleure en silence. Clémentine vient ici !!

Aurélie se leva et lui désigna la chaise :

— Mets-toi à genoux et présente-moi bien tes jolies fesses.

Comme elle l’avait fait pour Audrey, elle claqua sèchement la croupe juvénile :

— Allez, tu m’expliques et vite !

Clémentine renifla et serra encore plus ses fesses :

— Pardon mademoiselle, pardon… Aïe, aïe, aïe…

La règle avait claqué le derrière de Clémentine.

— Cesse de gémir, dis-moi ce que tu as fait et vite…

— Je… je n’ai pas fait mes devoirs mademoiselle… Aïe, aïe…

— Très bien, qu’est-ce que je t’avais dit la dernière fois que tu es venue me voir ?

— Euh, oui madame que vous me puniriez plus sévèrement.

— Exactement, viens un peu là.



Elle fit relever la jeune fille, posa son pied sur la chaise et souleva Clémentine pour la basculer sur sa cuisse, la jeune fille poussa un cri et battit des pieds et s’accrocha aux barreaux. La fessée crépita immédiatement, elle ne fut pas moins forte que celle d’Audrey, les cris et les pleurs de la jeune fille parvenait jusqu’au secrétariat. Sophie était arrivée, elle avait caressé la croupe bien joufflue d’Ambre, elle tourna la tête vers la porte :

— On dirait que ça chauffe à côté. Bon puisque ton derrière est prêt on ne va pas perdre de temps. Elle prit une mademoiselle Claquefesse posée sur le bureau et tapota les fesses, Ambre se mit à gémir :

— Mais mademoiselle Sophie, pourquoi est ce que je reçois une fessée tous les jours, ce n’est pas normal, je n’ai rien fait… Aïe, aïe…

La petite raquette en cuir venait de claquer ses fesses tendues :

— Mais vas-tu te taire ! Tu crois que tu es en position et en tenue pour protester, ici quand on est déculottée, c’est pour recevoir la fessée. Et je peux te dire qu’avec ta récrimination tu viens d’en gagner quelques-unes. Madame Rose nous a laissé toute latitude pour qu’on s’occupe de toi avec Aurélie, on a décidé qu’une fessée déculottée tous les matins ne pouvaient que te faire du bien. On avait décidé d’arrêter vendredi et bien tu viens de gagner une semaine supplémentaire à nous montrer ton derrière, on va commencer immédiatement et à midi tu feras une pénitence avec les punies, ça t’apprendra à te plaindre.

Mademoiselle Claquefesse entreprit de rougir la croupe dodue de la jeune femme, celle-ci commençait à avoir l’habitude, mais la première fessée de la journée était toujours la plus cuisante, la peau du derrière n’était pas encore échauffée.

Dans le box voisin, Aurélie en avait terminé avec la fessée de Clémentine, elle la conduisit à côté d’Audrey :

— Je reviens, tâchez de ne pas bouger si vous tenez à la peau de vos fesses.

Sophie continuait de claquer la croupe d’Ambre qui pleurait comme une madeleine, Aurélie s’arrêta pour regarder :

— Elle a vraiment une jolie paire de fesses notre petite Ambre, tu la prives de culotte, je pense qu’il vaut mieux que ses fesses prennent l’air sous sa jupe.

Sophie cessa la correction et approuva :

— Oui, mademoiselle ne va pas avoir froid aux fesses, à au fait c’est toi qui es de permanence à midi, et bien tu auras Ambre en plus des punies, elle s’est plaint qu’on était trop sévère, je crois qu’il faut que tu lui montres ce que c’est qu’une bonne déculottée.

Aurélie s’approcha du bureau et caressa les fesses brûlantes de la jeune femme :

— Tu as du caractère ma petite Ambre, mais tu vas voir il va s’assouplir en même temps que la peau de ton derrière, il est vraiment mignon, tu vas voir à midi je vais m’occuper de te le chauffer.

Sophie se pencha pour retirer complètement la petite culotte blanche de gamine qu’Ambre était obligée de porter depuis qu’elle travaillait à l’institut, puis elle lui claqua les fesses et lui tendit la lingerie :

— Tu connais l’endroit où l’accrocher, alors dépêche-toi si tu ne veux pas que ta première patiente te voies avec les fesses à l’air.

Aurélie revenait avec deux petits paillassons en plastique vert, elle entra dans le box où Audrey et Clémentine exposaient leur fessier rubicond. Elle posa les paillassons sur deux chaises installées devant la table :

— Venez ici, vous allez poser vos jolis derrières sur ces chaises de réflexions.

Les deux collégiennes regardèrent incrédule l’endroit où elles devaient s’asseoir, les picots en plastiques avaient l’air particulièrement rugueux, Aurélie les regarda en souriant :

— C’est sûr que ça ne va pas être trop confortable pour vos fesses mes chéries, mais elles resteront bien rouges et prêtes pour votre deuxième fessée et comme son nom l’indique cette chaise de réflexions va vous permettre de méditer sur vos bêtises. Dépêchez-vous !

Les deux punies s’installèrent en grimaçant, elles avaient essayé de poser le plus délicatement possible leur postérieur sur ces paillassons, mais maintenant que tout leur poids reposait sur le siège, la brûlure des fesses était accentuée, des larmes coulaient sur leurs joues.

— Cessez de pleurnicher pour rien sinon, je vous reflanque à chacune une fessée immédiatement. Clémentine tu te rappelles ce que je t’avais dit la dernière fois, je ne devais pas te revoir il me semble, quant à toi Audrey, tricher à ton âge, tu devrais avoir honte.

Elle posa une série de feuille devant chacune des filles avec un stylo :

— Vous allez me copier cent fois la phrase suivante « Je ne ferai plus de bêtises à l’institut Sainte-Marie sinon je viendrai voir mademoiselle Aurélie pour recevoir une bonne fessée déculottée ». Tâchez de vous appliquez, je ne veux pas de pattes de mouches où de rature, sinon vous recommencez. À vous de savoir si vous voulez passer la matinée sur vos sièges de réflexions.

Elle laissa les deux punies et se dirigea vers le secrétariat, elle avait pris soins de laisser la porte ouverte pour pouvoir les surveiller. Sophie y jeta un œil :

— Elles sont mignonnes à tortiller leurs petits derrières bien rouges, cette idée de siège de réflexions est vraiment super.

Depuis la salle de traitement le bruit d’une conversation animée et claquante s’échappait, Aurélie interrogea Sophie du regard, celle-ci eut un sourire mutin :

— J’ai confié à Ambre le soin de s’occuper du bon gros derrière d’Agnès, vu la chaleur des fesses de notre petite chérie, je pense que madame la responsable du magasin de lingerie ne va pas avoir froid aux siennes ce matin.

En effet dès qu’elle était arrivée pour son traitement du matin, Sophie lui avait présenté Ambre :

— Bonjour Agnès, à partir d’aujourd’hui, c’est notre nouvelle collègue qui va s’occuper de votre popotin, je lui ai transmis toutes les informations vous concernant et le traitement prescrit par madame Rose. Je pense qu’entre ses mains vos fesses vont se raffermir rapidement perdre en volume et gagner en tonicité. Tâchez d’être sage, elle a été formée par nos soins et elle à la main leste.

En effet, Agnès avait rapidement pu se rendre compte qu’elle n’avait pas gagné au change, Ambre avait jugé qu’elle mettait trop de temps à se mettre en petite tenue et elle lui avait administré une première fessée courbée sous son bras comme une maman l’aurait fait pour une gamine capricieuse. Même si elle en avait l’habitude, elle avait été humiliée d’être traitée ainsi par une aussi jeune femme. Elle avait fini d’enlever le haut la culotte baissée sous ses fesses rouges, dès qu’elle avait eu terminé, Ambre l’avait pris par la main et l’avait basculée en travers de ses cuisses :

— Allez on va vous mettre le thermomètre, tâchez de me desserrer ces fesses.

Se faire introduire l’instrument dans cette position infantile était une petite humiliation supplémentaire, surtout que la nouvelle assistante avait vite appris et son caractère pervers avait fait le reste, elle écarta largement les hémisphères :

— Voyons un peu ce que nous cachent ces deux bonnes grosses fesses ? Que c’est mignon ce petit trou… Ma chère Agnès votre raie fessière est vraiment magnifique, je vais faire une photo pour votre dossier, tournez la tête qu’on vous reconnaisse. Voilà, pleine lune comme on dit chez moi, un bon gros derrière bien présenté.

Tandis qu’elle parlait elle tenait toujours les larges fesses bien ouvertes, elle se décida enfin à mettre en place le thermomètre. Comme lui avait montré ses collègues, elle le fit pénétrer très profondément, mais en le faisant coulisser plusieurs fois pour que sa patiente le sente bien. Quand il fut bien enfoncé, elle tapota le large popotin :

— J’espère que vous êtes bien installée, je vais vous garder sur mes genoux, comme c’est la première fois que je mets un thermomètre, je préfère vous surveiller de près.

Agnès soupira doucement, que pouvait-elle répondre à cette nouvelle atteinte à sa dignité, elle essaya de se relaxer afin que l’instrument introduit dans son fondement ne ressorte pas.

Ambre avait le derrière sensible après la magistrale fessée que lui avait administrée Sophie, elle se dandinait d’une fesse sur l’autre, mais le magnifique spectacle de la croupe d’Agnès étalé devant ses yeux compensait ce petit désagrément. La prise de température devait durer au minimum un quart d’heure, de toute façon elle n’avait pas d’autre patiente prévue, autant profiter du magnifique derrière de la cinquantenaire installée en travers de ses genoux. Sa perversité et son goût pour les derrières féminins allait pouvoir être satisfaite. Elle glissa ses doigts entre les cuisses d’Agnès qui les serra inconsciemment, une dizaine de claques atterrirent immédiatement sur son fessier :

— Desserre-moi tes fesses, sinon tu vas voir !!

Sous le coup de la colère, la jeune femme avait tutoyé sa patiente qui aurait pu être sa mère, celle-ci obéit immédiatement :

— Pardon mademoiselle, je ne l’ai pas fait exprès, j’ai été surprise.

Docilement elle écarta ses cuisses pour laisser les doigts inquisiteurs explorer son intimité, Ambre souriait ravie de son nouveau pouvoir, si de temps en temps elle avait pu forcer quelques copines à lui livrer leur intimité, là elle pouvait en toute impunité contraindre une dame d’âge mûr. Elle ne s’en priva pas, pendant un quart d’heure, elle écarta les fesses, les palpa, glissa ses doigts entre les lèvres gluantes. Agnès malgré sa honte n’était pas insensible à ses attouchements intimes, ironiquement la jeune femme lui fit remarquer :

— On dirait que ça te plaît petite coquine, ça mérite la fessée…

Elle administra une courte mais magistrale fessée à Agnès qui gémit autant de douleur que de plaisir.

— Ah tu en veux des fessées, ah ça te plaît que je claque ton bon gros derrière et bien je te garantis que tu vas repartir avec des fesses bien chaudes.

Les deux larges fesses s’ouvraient puis se refermaient au rythme de la correction, elles étaient déjà bien rouges quand Ambre s’arrêta, elle les palpa :

— Ton derrière est déjà chaud ma chipie.

Elle ne parlait plus à madame Agnès la responsable de magasin, mais à une adolescente insolente qui méritait d’être fessée. Elle retira le thermomètre et nota la température sur la fiche de la patiente :

Comme prévu dans le traitement il fallait échauffer les fesses avant l’application de la crème, elle jugea que cette courte fessée était insuffisante, elle en administra une deuxième encore plus copieuse à la pauvre Agnès, celle-ci ne put retenir ses larmes ce qui fit sourire la jeune femme, ça compensait les fessées qu’elle avait reçue ce matin.

Puis elle prit le pot de crème et tartina largement le derrière bien rouge :

— Maintenant tu vas t’allonger là et tâche de rester tranquille.

Elle régla la minuterie sur trente minutes et ouvrit grand la porte pour que le fessier soit visible depuis le bureau. Sophie avait son sac à la main, elle partait pour une séance de fessée à domicile, elle jeta un œil sur le bon gros derrière exposé.

— On dirait que tu n’as pas mégoté sur l’échauffement du derrière.

Ambre lui rendit son sourire, elle fit mine de frotter ses fesses :

— J’ai été à bonne école, vous ne m’avez pas manqué ce matin.

Sophie se mit à rire et l’attrapa par la main :

— C’est vrai ? J’aimerais bien voir si la couleur me convient encore.

En un clin d’œil, Ambre fut ceinturée et courbée sous le bras de la jeune assistante, privée de culotte, ses fesses furent rapidement mises à nu. Elles étaient encore bien colorées, Sophie les tapota, tu es une petite dévergondée ma chérie tu mériterais que je t’en reflanque une, mais je suis pressée.

Elle la relâcha. Ambre, les joues rouges, lissa sa jupe sur ses fesses, Sophie était d’humeur badine :

— Tu as vraiment un derrière très mignon, bon au fait tu peux nous tutoyer avec Aurélie, on est collègue maintenant, même si tu vas continuer à nous montrer tes fesses.

Ambre rougit à nouveau, mais de plaisir, même si les deux assistantes savaient se montrer sévères et intransigeantes, elle commençait à aimer ce travail et la confirmation par Sophie de son intégration dans l’équipe lui allait droit au cœur. Sophie lui fit la bise et palpa ses fesses en même temps :

— N’oublie quand même pas qu’à midi tu auras droit à une séance de panpan cucul.

Aurélie traversait le secrétariat pour s’occuper de ces deux punies, elle avait entendu, elle se mit à rire :

— Eh oui encore une fessée déculottée ma chérie, je te laisserai quand même claquer un ou deux derrières avant. Au fait cet après-midi, Héloïse vient pour sa séance, je n’ai pas le temps de m’en occuper je vais te la confier. Tu sais c’est la jeune qui a un peu de mal avec le thermomètre et les suppos.

Ambre essaya de cacher sa joie, quel magnifique cadeau lui faisait sa collègue, son ancienne copine allait passer une après-midi cuisante. Elle avait déjà eu l’occasion de lui administrer une fessée et de lui mettre un suppositoire, mais cette fois-ci elle l’aurait à sa disposition pour une séance entière, elle en aurait mouillé sa culotte si elle n’avait pas été suspendue au crochet.

Elle regarda Aurélie s’engouffrer dans le box où l’attendaient les deux collégiennes, la jeune femme laissa volontairement la porte ouverte, depuis le secrétariat Ambre allait pouvoir assister au spectacle.

Aurélie s’approcha du bureau, elle prit les feuilles et les lus rapidement :

— C’est bien ce que je pensais, vous n’êtes pas capable d’écrire correctement, elle les saisit chacune par une oreille et les fit se lever :

— Penchez-vous sur la table ;

Les deux fessiers rouges étaient marqués par les picots en plastique des paillassons, elle appuya sur le dos pour qu’elles présentent mieux leur derrière, puis elle prit une mademoiselle Claquefesse et commença à claquer les deux paires de fesses, elle procédait avec méthode, d’abord la fesse droite d’Audrey puis la gauche et ensuite celles de Clémentine et ainsi de suite.

Les deux jeunes femmes trépignaient sur place, mais elles ne bougeaient pas. Rapidement les deux croupes furent écarlates et les larmes fusèrent.

Ambre se régalait, mais la minuterie sonna, il était temps d’aller s’occuper du popotin d’Agnès. Les fesses de la cinquantenaire se contractèrent en entendant les pas de la jeune assistante. Celle-ci était excitée par le spectacle offert par Aurélie, elle fit relever sa patiente en la tirant par l’oreille comme si elle était une gamine :

— Allez en piste madame.

Elle la coucha en travers de ses genoux comme pour lui donner la fessée et se mit en devoir de faire pénétrer la crème, sa perversité était satisfaite, ses doigts s’insinuaient entre les deux globes et massait vigoureusement le bon gros derrière. Quand tout le produit eu disparu, elle tapota les fesses :

— Nous arrivons à la fin du traitement ma grande, une bonne fessée pour bien chauffer la peau, un suppo et tu vas pouvoir partir travailler.



Elle se mit en devoir d’administrer une magistrale déculottée à la pauvre Agnès, certes la fessée était théoriquement thérapeutique, mais en fait ce fut une véritable correction que la jeune femme flanqua à sa patiente. Puis elle écarta largement les deux bonnes grosses fesses et lui mit le suppositoire prévu dans le protocole.

Quand la responsable du magasin se releva des genoux de la jeune femme, de grosses larmes coulaient sur ses joues du haut, celles du bas étaient cramoisies.

Ambre lui fit quitter sa culotte :

— Au travail cul nu sous ta jupe ma chère, ton derrière refroidira mieux.

Sans un mot elle se rhabilla, Ambre la regardait en souriant, elle retroussa une dernière fois la jupe pour apprécier son travail et claqua le large derrière :

— Allez file, n’oublie pas qu’Aurélie t’attend à midi.

Aurélie en avait fini avec sa double fessée, les deux collégiennes exhibaient leur derrière cramoisi dans le secrétariat, chacune occupait un coin de la pièce, les fesses se contractaient sous la cuisson et les deux punies reniflaient doucement, Aurélie les avait prévenues :

— Je ne veux pas vous entendre, vous n’avez eu que ce que vous méritiez, alors pleurez en silence.



Elles passèrent une heure au coin, sous le regard amusé ou inquiet des visiteuses, tout dépendait du statut de celle-ci fesseuse ou fessée on appréciait pas de la même façon le spectacle d’une dame exposant une croupe écarlate dans un coin de la pièce.

Aurélie avait décidé que leur dernière correction serait publique, elle appela Ambre :

— Je vais avoir besoin de toi, en plus tu vas apprendre à donner une double fessée.

La jeune femme se souvenait de celle que lui avait administré les deux perverses assistantes, cette fois-ci elle serait du bon côté de la fessée. Aurélie disposa deux chaises face à face où elles s’intallèrent, les genoux se touchant puis elle interpella les deux punies :

— C’est l’heure de la fessée mes petites chipies, amenez-moi vos fesses.

Les mains sur la tête, Audrey et Clémentine s’approchèrent, Aurélie se régalait de les voir si piteuse et angoissée :

— On va commencer par Clémentine, Audrey tu auras le plaisir de regarder et de te préparer à ce qui va t’arriver ensuite.

Elle saisit la main de la plus jeune des collégiennes et la bascula en travers de leur quatre cuisses, elle baissa un peu plus la culotte et tapota les fesses encore rougies :

— Dernière fessée ma petite chérie, je t’avais prévenue la dernière fois, tu vas avoir du mal à t’asseoir.

Elle regarda Ambre et commenta :

— Elle a vraiment une mignonne paire de fesses notre petite Clémentine, on va la faire danser. D’abord la main puis mademoiselle Claquefesse.

Elle expliqua à la nouvelle assistante la technique, claquer rapidement la même fesse, afin que la punie n’ait aucun répit. Elle se réserva la fesse droite laissant la gauche à Ambre.

Immédiatement sous la brûlure la punie se mit à hurler et à se débattre, Audrey regardait ce spectacle complètement affolée, s’imaginant que bientôt ce serait son tour de gigoter sous la double fessée. Son angoisse augmenta encore quand les fesseuses continuèrent la punition armée chacune de la petite raquette en cuir, les fesses de Clémentine étaient maintenant d’un rouge profond, virant sur le brique, les joues baignées de larme elle se releva, ses mains firent mine de se porter à son derrière :

— Si tu frottes tes fesses tu reviens sur nos genoux !! Mets-les sur ta tête !!

L’ordre avait claqué, Clémentine s’exécuta, Ambre en souriant regarda Audrey, elle était plus âgée qu’elle, ça décuplait son plaisir de la corriger, elle tapota ses cuisses :

— En piste chipie et dépêche-toi !!

La correction d’Audrey fut au moins aussi sévère, pendant qu’elle se tortillait sur les genoux des fesseuses, une dame était arrivée et elle regardait avec intérêt se dérouler la fessée. A la fin elle ne put s’empêcher d’applaudir :

— Eh bien cette fessée était vraiment magistrale, je vous félicite mesdemoiselles, je vois que madame Rose sait former son personnel.

Aurélie regarda la visiteuse en souriant :

— Bonjour Isabelle, je suis contente que ça vous ait plu, vous savez que je suis toujours à votre disposition si vos fesses en ont besoin.

La cliente piqua un fard et ne répondit pas, c’était toujours dangereux d’aborder le thème de la fessée avec les assistantes de l’institut, le terrain pouvait devenir rapidement glissant et surtout cuisant.

Audrey était maintenant debout à côté de Clémentine, elle avait naturellement mis ses mains sur sa tête.

— Tournez-vous que tous le monde puisse voir vos jolies fesses.

Aurélie prit une photo des deux derrières cramoisis qui se contractaient spasmodiquement puis elle autorisa les punies à se reculotter.

Elle s’installa au bureau et remplit les fiches de liaison à destination de la directrice, elle y détailla les punitions reçues par les deux jeunes filles.

Audrey et Clémentine savaient que ce n’était pas fini, il leur fallait maintenant aborder madame Desrodes, la sévère directrice du collège Sainte-Marie.

Dans le bus, elles préférèrent rester debout, Aurélie avait vu juste, elles auraient dû mal à s’asseoir pendant quelques heures.

En traversant les couloirs les menant au bureau directorial, leur hantise était de croiser mademoiselle Judith la professeure d’anglais, elle leur avait promis qu’elle examinerait leur fesses à leur retour, vu sa perversité, elle aurait été capable de les déculotter dans le couloir.

Heureusement elles ne rencontrèrent personne, elles frappèrent à la porte.

Hélène Desrodes était assise à son bureau, elle regarda avec gourmandise les deux punies qui regardaient leurs chaussures :

— Ah, voilà nos chipies, Aurélie s’est bien occupée de vos derrières ? On va vérifier ça de suite ! Vous vous retournez, vous troussez vos jupes et vous baissez vos culottes et vite !!!

Clémentine avait déjà subi l’humiliation de devoir montrer ses fesses nues à la directrice, elle s’exécuta immédiatement, par contre Audrey ne bougea pas, comme tétanisée.

— Audrey, tu as entendu ce que je t’ai dit ! Tu as trois secondes pour obéir, si c’est moi qui dois te déculotter, tu retourneras à l’institut demain matin.

Affolée la jeune femme se tourna, saisi l’ourlet de sa jupe et de l’autre main elle baissa sa culotte. Les deux fessiers portaient encore les traces des fessées reçues dans la matinée, ils étaient écarlates, Hélène sentit une excitation monter entre ses cuisses, elle se leva et posa sa main successivement sur chaque croupe :

— Vos fesses sont adorables mes chéries, j’espère que ça va vous cuire un moment, en attendant vous allez rester en pénitence dans mon bureau avec les fesses à l’air.

Elle saisit les oreilles des deux filles et les conduisit contre le mur qui faisait face à son bureau, elle coinça les ourlets des jupes dans les ceintures et claqua les fessiers :

— Allez, mettez vos nez contre le mur et vos mains sur la tête, ce serait vraiment dommage de se priver d’un si joli spectacle.

Elle retourna s’asseoir pour profiter de ce tableau si excitant, au moment où elle fourrageait sous sa jupe pour glisser sa main dans sa culotte, Judith entra sans frapper, la directrice sursauta et retira sa main de son sous-vêtement. Sa maîtresse lui lança un regard ironique et ferma la porte du bureau à clé :

— Eh bien, on dirait qu’Aurélie a fait du bon travail.

Elle s’approcha des deux punies et caressa les fesses brûlantes.

— Vous êtes très bien là, je ne veux pas vous voir bouger une oreille sinon je complète la punition de l’institut.

Elle se tourna vers Hélène en souriant, mis son doigt sur sa bouche et lui fit signe de se lever. Surprise et rougissante d’avoir été surprise en train de se caresser, la directrice s’exécuta. Judith s’installa à sa place et sans dire un mot lui désigna ses cuisses d’un air autoritaire. Hélène s’approcha inquiète, elle avait compris ce que semblait vouloir faire sa maîtresse, mais c’était si troublant.

Judith lui prit la main et lui susurra à l’oreille :

— La fessée viendra plus tard ma chérie, pour le moment, c’est tes fesses que je veux voir.

La directrice bascula en travers de ses genoux et rapidement sa culotte en dentelle apparu au grand jour, les doigts experts de Judith eurent vite fait de la déculotter.

Si les deux punies avaient eu le loisir de se retourner elles auraient vu les larges fesses nacrées de madame Desrodes exposées dans toute leur splendide nudité. Les doigts de la perverse professeure écartèrent les deux globes joufflus et se glissèrent jusque dans l’entre-cuisse trempée, elle titilla la rondelle brune qui frémissait d’angoisse et de désir. Elle avisa un stylo posé sur le bureau, il était gros avec un bout bien arrondi, elle le posa sur l’anus et le fit pénétrer, puis elle le fit coulisser lentement. Hélène essayait de retenir ses gémissements, elle était morte de honte et de désirs.

Cet épisode érotique dura dix bonnes minutes, puis Judith après avoir fait pénétrer très profondément le stylo, remonta la culotte et fit relever son amante et lui remit la jupe en place et lui chuchota à l’oreille :

— Tu vas garder ce petit souvenir entre tes fesses, jusqu’à ce que je revienne te flanquer la fessée que tu mérites, fais attention en t’asseyant ma chérie.

Elle quitta le souvenir après avoir embrassé Hélène, les deux punies tout à leur honte et à la cuisson qui embrasait leurs fesses n’avaient rien remarqué.

Madame Desrodes était complètement déstabilisée par cet intermède et ce plug improvisé qui garnissait ses fesses, elle décida de lever la pénitence :

— Vous pouvez vous reculotter et rejoindre vos classes, vous viendrez me montrer vos fesses ce soir à la fin des cours.

En sortant elles croisèrent la prof d’anglais qui entra sans frapper dans le bureau directorial, quelques instants plus tard, derrière la porte capitonnée, une dame d’âge mûr gigotait en travers des genoux d’une dame beaucoup plus jeune, la culotte baissée à mi-cuisse et les fesses rouges.



Judith n’avait pas perdu de temps, elle avait saisi Hélène par l’oreille comme une vulgaire gamine l’avait mise en position et déculottée en un clin d’œil, elle avait laissé le stylo en place pendant toute la fessée :

— Ah tu aimes voir les fesses rouges des gamines et tu te caresses en les regardant et bien je peux te dire que les tiennes n’ont rien à leur envier.

Elle quitta le bureau en laissant la directrice au coin le nez au mur exposant sa large croupe écarlate, le stylo dépassait entre les deux grosses fesses, elle avait fermé a porte à clé en partant :

— Tu en as pour une heure au coin ma chérie, je reviens à la fin de mon prochain cours.



 

 

 

 

 

jeudi 9 octobre 2025

L'institut suite 10

 Fessée scolaire



Aurélie était très occupée avec sa nouvelle activité. Depuis la rentrée madame Rose sous traitait les punitions pour un collège privé de la ville.

Les châtiments corporels étant interdits, l’institution privée qui recevait de grandes élèves de plus de dix-huit ans en échec scolaire avait passé un accord avec madame Rose, si les parents étaient d’accord, les élèves ayant un comportement inadapté étaient envoyées à l’institut et avaient droit à la fessée traditionnelle.

Madame Rose avait proposé à Aurélie de se charger de ce nouveau service proposé par l’institut, après un passage dans le box réservé à cet effet, les jeunes filles repartaient toujours avec un derrière cramoisi. Dès leur retour à l’école elle devait se présenter au bureau de la directrice.

Celle-ci était une cliente de madame Rose, ses fesses avaient goûté à la sévérité des dames de l’institut. C’était un régal pour elle de voir ces jeunes bourgeoises, les joues rouges de honte, retrousser leur jupe et baisser leur culotte pour présenter leurs fesses rougies par la main d’Aurélie ou par sa brosse à cheveux. Elle les laissait un moment, le derrière ainsi exposé :

— Vous avez été bien punie mademoiselle, j’espère que ça vous brûle. Vous recommencerez à être insolente ?

— Non, madame, s’il vous plaît puis-je remonter ma culotte.

Madame Desrodes se mettait à rire :

— Ça vous tarde tant que ça de cacher votre vilain derrière, il faut le faire refroidir. Vous avez de la chance que ça ne se fasse plus, sinon vous iriez exposer vos fesses devant toute la classe. Aurélie vous a mis au coin ?

La jeune fille au comble de la honte sanglotait :

— Oui madame dans le secrétariat.

— C’est parfait, vous allez rester un peu dans mon bureau avec les fesses à l’air ça vous fera le plus grand bien. Je vais faire un mot pour votre maman et vous me le ramènerez demain signé.

La directrice avait quarante ans et elle aimait passionnément les derrières féminins, elle profitait de ce privilège pour se caresser pendant que la grande jeune fille lui exposait sa croupe juvénile rougie.

Hélène Desrodes était lesbienne, dotée d’un plantureux popotin, elle avait eu recours au service de l’institut pour essayer de traiter sa cellulite et comme toutes les dames dans sa situation, elle s’était retrouvée rapidement prise dans les filets de madame Rose, elle recevait donc régulièrement de sévères déculottées.

Malgré la cuisson et la honte de recevoir à son âge cet humiliant châtiment, elle s’était découvert un caractère soumis et elle prenait un certain plaisir à se faire rougir le derrière. Son amante qui était professeure dans l’établissement qu’elle dirigeait s’en était rendu compte quand un jour lors d’un de leurs ébats, elle lui avait demandé de lui flanquer une fessée. D’abord surprise, Judith qui était professeure d’anglais avait rapidement pris goût à ses jeux claquants et depuis cette date, Hélène avait souvent les fesses rouges sous sa stricte tenue de directrice.

Un jour juste avant un conseil de classe, alors qu’elles se trouvaient seules dans le bureau, la jeune professeure, elle avait tout juste trente ans, avait fermé la porte à clé et avec un sourire coquin avait annoncé à son amante :

— Je crois que tu as bien mérité un petit panpan cucul ma chérie, depuis le temps que je t’ai promis de te flanquer une fessée dans ton bureau, voici l’occasion rêvée.

Hélène avait rougi et protesté :

— Non, non, tu n’y penses pas Judith, le conseil de classe a lieu dans un quart d’heure, pas ici, pas maintenant.

En souriant la jeune femme avait tiré une chaise au milieu de la pièce et s’y était installée :

— Bien sûr que j’y pense ma chérie et je peux même t’annoncer qu’avec cette remarque, tu viens de gagner une fessée supplémentaire après le conseil de classe. Tu as intérêt à venir me présenter ton bon gros popotin tout de suite sinon ce soir tu iras au lit avec une paire de fesses bien chaude.

La directrice de l’institution Sainte-Marie s’était approchée en baissant les yeux, à l’instant présent elle n’était plus qu’une vilaine fille qui allait être corrigée. Judith avait rapidement progressé dans sa technique de fesseuse, la fessée toujours déculottée bien sûr suivait un rituel parfaitement établi.

Hélène s’était posté devant elle les mains sur la tête et lui présentant son derrière, en souriant la jeune femme avait retroussé lentement la jupe et l’avait épinglé dans le dos de la directrice. Celle-ci portait toujours des dessous sexy et élégants, des bas fumés retenu par un porte-jarretelle noir et une culotte en dentelle noire également. Son large derrière avait du mal à contenir dans cette fine culotte, la base des fesses débordait largement. Judith en riant avait pincé cette zone sensible :

— Quand tu vas retourner à l’institut je pense que Sophie et Aurélie vont se régaler de traiter ta cellulite ma chérie. Bon assez traîné en piste.

Docilement Hélène s’était tournée et placée contre les genoux de sa jeune amante, Judith lui avait pris la main pour la guider en travers de ses cuisses. Malgré son caractère soumis c’était toujours un moment de honte pour la directrice de se retrouver dans cette position, la croupe tendue vers le ciel, la culotte rentrant dans sa raie fessière. Judith aimait les belles paires de fesses et avec Hélène elle était servie, elle les palpa et les caressa doucement comme pour en prendre possession. Elle pratiquait toujours ainsi avant de fesser son amante, ses corrections étaient de plus en plus sévères mais c’était toujours des fessées coquines, elle n’avait encore jamais claqué le derrière d’Hélène pour la punir, mais ça viendrait certainement :

— Ton derrière est vraiment mignon ma chérie, comme on est un peu pressée, tu n’auras pas droit à la fessée d’échauffement on va passer directement à la fessée cul nu.

Le déculottage fut expéditif et la fine lingerie se retrouva rapidement au niveau des genoux de la quarantenaire qui n’en menait pas large à cet instant précis. Bien sûr Judith avait fermé la porte à clé, mais elle imaginait les professeurs passer devant sans se douter de la scène qui se jouait derrière l’huis capitonné. Une dame d’âge mûr copieusement déculottée et fessée d’importance comme une vulgaire gamine.

Judith n’avait pas tardé à administrer une magistrale fessée à son amante, le plantureux derrière s’était immédiatement mis à danser, Hélène retenait ses cris, elle suppliait et gémissait doucement :

— Non, non, aïe, aïe… s’il te plaît Judith… aïe ça brûle…

La jeune professeure s’arrêta un instant et caressa la croupe déjà rouge :

— En effet c’est chaud, mais je veux que tu sentes ton bon gros derrière pendant tout le conseil de classe.

Elle s’était tournée vers le bureau et avait saisi la longue et large règle en bois qui y était posée, l’effet sur le derrière de son amante avait été immédiat, Hélène n’avait pas pu s’empêcher de pousser un cri qu’elle avait rapidement étouffé et elle s’était cabrée sous la cuisson. Judith en souriant admirait le large postérieur de la directrice, s’ouvrir largement et dévoiler l’intimité de la punie :

— Ça brûle n’est-ce pas ma chérie, tu vas penser à moi quand tu vas t’asseoir.

Elle termina la correction par une salve de coups de règle savamment administré sur toute la surface du fessier et elle posa l’instrument pour caresser les fesses brûlantes d’Hélène :

— Voilà ce que j’appelle une bonne déculottée.



Elle baissa la culotte complètement et la retira.

— Tu es privée de culotte, tes fesses sont bien chaudes. Une fois assise, tu relèveras discrètement ta jupe, je veux que tes fesses rouges soient posées directement sur ton fauteuil. Ne triche pas, n’oublie pas que j’assiste au conseil de classe je vais te surveiller.

Hélène était debout, ses joues étaient quasiment de la même couleur que son derrière, elle était admirative devant l’ingéniosité perverse de sa jeune maîtresse, elle remit sa jupe en place et en profita pour frotter discrètement sa croupe. Judith le remarqua et elle en sourit, c’était interdit, mais tellement mignon de voir cette dame d’âge mûr se comporter comme une gamine punie qu’elle décida de passer l’éponge.

Il était juste l’heure du conseil, Hélène ouvrit la porte, les professeurs attendaient devant la salle réservée aux réunions, elles saluèrent respectueusement la directrice sans se douter qu’elle était les fesses nues sous sa jupe et que celles-ci étaient d’un beau rouge flamboyant.

Madame Desrodes leur fit signe de s’installer, Judith la surveillait, un fin sourire se dessina sur ses lèvres, la quarantenaire avait discrètement relevé sa jupe avant de poser son confortable popotin sur le fauteuil directorial. Hélène avait réprimé une petite grimace quand son fessier douloureux avait touché le siège, mais en même temps une excitation avait parcouru son entrejambe.

Elle entama immédiatement l’examen des dossiers des élèves, la professeure principale Alice Léger souleva le problème de deux des élèves :

— Clémentine continue a ne rien faire, elle a déjà été à l’institut il y a un mois, je pense qu’un nouveau passage entre les mains de la demoiselle spécialisée va être nécessaire.



Hélène jeta un regard à son amante, les fesses rouges de la jeune fille dansaient encore devant ses yeux. Comme elle en avait l’habitude, elle l’avait forcée à se déculotter pour lui présenter le résultat de son séjour à l’institut et son derrière était vraiment cramoisi :

— Pourtant Aurélie l’avait soigné la dernière fois, j’ai vérifié moi-même l’état de ses fesses, elle avait reçu une bonne déculottée. Mais bon puisqu’elle n’a pas compris, elle va y retourner, sa mère est d’accord, nous avons toute latitude pour agir.

Elle regarda d’un œil circulaire les cinq professeurs :

— D’ailleurs j’aimerais avoir votre avis sur cette nouvelle méthode, les filles qui y ont goûtés sont-elles plus sérieuses ?

Judith prit la parole en premier :

— C’est indéniable, j’en ai deux dans une de mes classes, je peux vous dire que depuis leur petit stage chez madame Rose, elles se tiennent à carreaux. De toute façon c’est simple, je leur ai dit qu’elles y auraient droit à chaque note en dessous de la moyenne.

Un petit « oh » de surprise parcouru l’assemblée, madame Léger repris la parole :

— Tu y vas fort Judith, si on utilise toutes cette méthode, il risque d’y avoir un embouteillage.

— Cette technique semble faire ses preuves, ne vous inquiétez pas pour ça, madame Rose nous débloquera autant de créneaux que nécessaire.

C’était Hélène qui avait répondu, elle se régalait par avance d’avoir de nouveaux fessiers juvéniles bien rouges à contempler.

— D’ailleurs je dois vous annoncer une nouvelle décision du conseil d’administration du collège, en cas de fautes professionnelles, le même traitement sera proposé aux professeurs en remplacement du blâme ou de la procédure disciplinaire.

Les cinq dames présentes autour de la table n’osèrent pas protester, elles se contentèrent de baisser les yeux et quelques joues rosirent, après tout aucune d’entre elles n’avaient reçu de blâme jusqu’à présent.

Madame Léger étaient de celles dont les joues avaient le plus rougis, elle reprit la parole :

— Le deuxième cas, c’est Audrey, vous savez cette jeune femme qui reprend ces études, je l’ai surprise à tricher lors du dernier contrôle. C’est vrai qu’elle est plus âgée que les autres élèves, mais ça mérite une sanction.

— Aucun problème, elle était prévenue, quand elle s’est inscrite je l’ai mise au courant du risque d’aller faire un séjour à l’institut en cas de résultat insuffisant ou de mauvais comportement, elle a signé une autorisation. La tricherie est inadmissible, une bonne fessée déculottée à vingt-cinq ans lui fera le plus grand bien.

Hélène était ravie, cette Audrey était dotée d’un magnifique fessier, la mettre au coin dans son bureau les fesses à l’air serait vraiment un plaisir, elle referma le cahier où elle avait noté les résultats du conseil de classe :

— Vous m’enverrez ces deux chipies, je vais me faire un plaisir de leur annoncer ce qui les attend, demain matin ne vous étonnez pas de ne pas les voir en classe.

Les professeures sortaient de la salle, la directrice toucha l’épaule de la professeure principale :

— Madame Léger, vous pouvez passer dans mon bureau, j’ai un petit problème à régler avec vous.

La sévère Alice Léger sursauta légèrement et ses joues rosirent à nouveau :

— Euh oui madame la directrice, vous voulez dire tout de suite ?

— Oui, j’ai vérifié, vous n’avez pas de cours.

Judith regardait de loin la conversation des deux dames, elle esquissa un sourire ironique en voyant la gêne de la professeure de math. « Tu peux préparer tes fesses ma grande », il était de notoriété publique que ces deux-là ne s’appréciaient guère. Hélène avait mis au courant sa jeune amante de ce qui pendait au nez d’Alice Léger.

Une fois dans le bureau, madame Desrodes, désigna une chaise à la dame de quarante ans qui n’en menait pas large, la directrice du collège Sainte-Marie était réputée pour sa sévérité et il ne faisait jamais bon être convoquée dans son bureau en plein milieu de la journée. Hélène Desrodes s’installa dans son fauteuil et pris une feuille de papier à en-tête tricolore qui était posée devant elle :

— Pouvez-vous m’expliquer ce que vous faisiez au magasin de lingerie de la rue de la République il y a deux jours ?

La rigide professeure de math, piqua un énorme fard et regarda ses pieds.

— J’attends une réponse madame Léger !!!

Le ton était sans réplique, Alice comme une élève prise en faute se mit à bégayer :

— Euh… madame… je… je ne sais pas que voulez-vous dire ?

— Vous vous moquez du monde !!!

— Non madame, non…

— Sur ce procès verbal, il est noté que vous avez été prise en flagrant délit de vol !!! Vous avez une explication ?

Le sol se déroba sous les pieds de la quarantenaire, quand la policière municipale alertée par la gérante du magasin avait rédigé le procès verbal, elle lui avait laissé entendre que vu son absence d’antécédents et le fait qu’elle avait remboursé intégralement la marchandise dérobée, les choses n’iraient pas bien loin.

En effet, le procès verbal avait atterri directement au collège Sainte-Marie où la policière avait fait ses études.

Elle voyait dans les mains de la directrice, la feuille qu’elle avait signée, elle sembla s’affaisser sur sa chaise. Hélène lui jeta un regard carnassier, la première cliente pour l’institut de madame Rose était assise devant elle :

— Les choses semblent claires Alice, vous avez reconnu les faits en signant le procès verbal. Vous avez de la chance, maintenant que le conseil d’administration m’a donné la possibilité de vous faire échapper au licenciement en contrepartie d’un petit séjour à l’institut, je vais utiliser cette possibilité. Ce procès verbal ne sortira pas de ce tiroir, sauf si vous m’y obligiez en refusant cette transaction.

La professeure de math acquiesça en hochant la tête :

— Oui madame, merci…

Hélène esquissa un sourire :

— Ne me remerciez pas trop vite… Votre premier rendez-vous à l’institut est fixé à demain dix-sept heures, j’ai vérifié, vos cours se terminent à seize heures.

— Euh… oui madame, mais pourquoi mon premier rendez-vous ?

Hélène se mit à rire :

— Ma chère Alice, vous ne vous imaginez pas j’espère qu’un seul séjour à l’institut peut solder votre faute. Vous irez voir Aurélie jusqu’à ce que je juge que votre punition suffisante.

Elle se leva et fit un petit signe du doigt à madame Léger :

— Juste une formalité ma chère, vous allez vous tourner et trousser votre jupe, je voudrais voir à quoi ressemble le fessier dont Aurélie va s’occuper.

La professeure de math avait perdu depuis longtemps toute sa superbe, elle ne songea même pas à protester et elle s’exécuta Sa jupe retroussée dévoila à Hélène une belle croupe bien joufflue moulée dans une élégante culotte bleu pâle ornée de dentelle.

Alice Léger adorait les dessous élégants c’est ce qui l’avait perdu, tout en exposant son derrière culotté, elle repensait à ce moment de folie où avant de sortir de la cabine d’essayage, elle avait dissimulé un ensemble culotte et soutien-gorge dans son sac à main. Elle ne savait pas ce qui lui était passé par la tête, elle avait largement de quoi payer cette parure, mais l’attrait de l’interdit avait été plus fort.

Maintenant elle allait le payer, le plus original dans cette situation, c’est que ça la ramenait de nombreuses années en arrière, elle avait quinze ans et elle s’était fait prendre à chaparder dans un magasin et à cette occasion sa mère lui avait administré sa dernière fessée déculottée.

Il lui semblait à cet instant précis qu’elle en ressentait encore la cuisson. Elle sursauta, la main de la directrice venait de tapoter son derrière :

— Très jolie culotte ma chère Alice. Bien sûr en sortant de l’institut vous viendrez dans mon bureau pour me montrer le résultat. Vous pouvez y aller.

En sortant madame Léger croisa Judith, celle-ci lui adressa un petit sourire ironique, elle eut un petit frisson, elle était au courant des relations de la directrice avec la professeure d’anglais, il ne faisait aucun doute qu’elle allait être mise au courant de son infortune.

Par contre ce qu’elle ne savait pas c’est que dans quelques minutes l’autoritaire directrice allait se retrouver couchée en travers des genoux de son amante, puis déculottée et fessée.

En entrant dans le bureau d’Hélène, la jeune femme avait claqué dans ses mains puis fermé la porte à clé :

— Allez en piste, j’ai un cours dans une demi-heure, tu m’expliqueras tout ça quand tu seras en position.

La directrice du collège Sainte-Marie n’était plus qu’une gamine morigénée par sa maîtresse.

— Tu sais pourquoi tu reçois cette fessée n’est-ce pas ?

Tout en parlant, elle avait retroussé la jupe, Hélène étant privée de culotte son plantureux fessier s’étala immédiatement devant les yeux de Judith, elle tapota le derrière encore rouge de la précédente correction :

— Alors, pourquoi es-tu cul nu ?

— Pardon, oui… j’ai protesté.

— Et alors ?

— Euh… chaque fois que je proteste j’ai droit à une fessée supplémentaire.

— C’est exact. Allons-y.

La correction fut sévère, Judith était excitée par son après-midi, les fesses de son amante lui servir de défouloir.

La fessée terminée, elle remit Hélène sur ses pieds et lui annonça :

— Tu feras ton temps de coin ce soir en rentrant à la maison, en attendant tu es toujours privée de culotte.

Elle fit une bise à son amante et lui caressa les fesses :

— Tu as vraiment un popotin adorable ma chérie.





L'institut suite 12

  Triple fessée Alice Léger se présenta l’institut à dix-sept heures précise, elle ne savait pas trop à quoi s’attendre, certes les disc...