mardi 29 juillet 2025

L'institut suite 5

 Ambre



Madame Rose s’était dirigée vers la salle de traitement. Sophie venait de retirer la canule du derrière d’Ambre et celle-ci était morte de honte après les consignes de la jeune assistante :

— Tu te lèves doucement et tu serres bien les fesses, s’il tombe une goutte je te pèle le derrière, maintenant tu files aux toilettes.

La jeune fille, les fesses cramoisies et contractées s’était dirigée vers la porte sous le regard moqueur de Sophie.

— Ton derrière est ravissant, dépêche-toi, je n’ai pas encore fini de m’en occuper.

Ambre avait les fesses en feu et les joues très rouges, elle se remémora ce qui l’avait conduit à se retrouver ainsi.

Elle avait dix-neuf ans et venait de finir une formation d’esthéticienne, les offres d’emploi n’étaient pas légion, aussi quand une amie de sa mère lui avait parlé d’un institut un peu particulier qui éventuellement cherchait une assistante elle n’avait pas hésité.

Olga l’amie de sa mère l’avait quand même mis en garde :

— Tu sais ce n’est pas un institut classique, on y pratique le ppcc.

Ambre avait ouvert grand les yeux :

— Ppcc ? Ça veut dire quoi ?

Olga l’avait regardé avec un air mutin :

— Tu ne connais pas ? Ça veut dire panpan cucul…

Devant le regard surpris de la jeune fille elle avait éclaté de rire :

— Ben oui… la fessée si tu veux et j’ajouterais même la fessée déculottée.

Ambre avait souri, c’était inespéré, depuis son adolescence elle était attirée par les fessiers féminins, ses copines avaient bien souvent dû se plier à ses petites manies, dès que l’une d’elles avait le malheur de se pencher, si sa main était à portée, elle avait droit à une bonne claque sur le derrière. Elle appréciait particulièrement les fessiers rebondis et moulés dans un legging ou un mini short. L’été était sa saison préférée puisque ses “victimes” portaient des minijupes qu’elle pouvait trousser pour claquer ou malaxer les fesses. Si elles étaient seules, il n’était pas rare que la demoiselle se retrouve cul nu. Elle avait une technique redoutable pour déculotter et claquer un fessier bien rebondi.

Elle ne laissa rien paraître et joua les innocentes en questionnant Olga qui avait une quarantaine d’années :

— La fessée déculottée ? Même pour des dames ? J’y crois pas. Tu y vas souvent ?

La secrétaire de direction bien en chair, rougit légèrement :

— Euh… oui, je fais un traitement pour la cellulite. L’effet est remarquable.

En souriant Ambre la regarda droit dans les yeux :

— Tu as eu droit au ppcc ?

Cette fois-ci, les joues d’Olga prirent la couleur d’une paire de fesses après un passage sur les genoux de madame Rose. Mais elle ne se démonta pas et affronta le regard de la jeune fille :

— Bien sûr, c’est un passage obligé quand on va à l’institut. Tu sais il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée et on en meurt pas.

Ambre commençait à regarder différemment l’amie de sa mère, elle n’avait été attirée jusqu’à présent uniquement par des fessiers juvéniles, mais celui d’Olga lui parut soudain désirable.

Elle téléphona immédiatement à madame Rose qui lui confirma qu’elle cherchait effectivement une assistante et elle lui donna rendez-vous pour le lendemain.

Quand elle se présenta à l’institut, elle portait son jeans habituel, Aurélie la dévisagea de la tête aux pieds, son regard aiguisé s’était porté sur le fessier de la jeune femme quand celle-ci avait été s’asseoir. Comme habituellement il y avait une dame aux fesses rouges dans un coin du secrétariat, Ambre l’avait remarqué bien sûr et elle était impressionnée, ça n’avait rien à voir avec les claques qu’elle administrait à ses copines, celles-ci avaient juste le fessier coloré et parfois la marque de ses doigts sur une fesse. Mais jamais elle n’avait vu un derrière aussi rouge, celui-ci appartenait visiblement à une dame d’âge mûr, le fessier était large bien joufflu avec une profonde raie médiane, il semblait moins ferme que ceux qu’elle avait l’habitude de claquer.

Aurélie s’adressa à la punie :

— Vous voulez revenir faire un petit séjour sur mes genoux ?

La dame émit un petit gémissement :

— Oh non mademoiselle Aurélie, ça brûle…

— Mais que vous êtes nigaude, c’est fait pour ça la fessée ma chère Dominique, votre mère m’a recommandé de vous soigner et je peux vous dire que quand vous allez lui présenter votre joli derrière, il sera encore rouge. En attendant cessez de renifler et de vous dandiner, sinon ça va vraiment vous brûler.

Ambre n’en croyait pas ses yeux ni ses oreilles, cette dame qui n’était plus une gamine était traitée comme telle par la secrétaire et elle venait d’apprendre que c’était sa mère qui avait demandé à ce qu’elle soit punie.

Elle fixait la croupe rubiconde quand la porte en face d’elle s’ouvrit, c’était madame Rose :

— Vous êtes Ambre ? Suivez-moi.

La voix était impérieuse. La jeune esthéticienne en eu des frissons, elle d’habitude si effrontée n’en menait pas large, elle suivit la directrice. Dès qu’elle eut fermé la porte, madame Rose la dévisagea et prit cet air sévère qui impressionnait tant les patientes :

— Avant toute chose ma petite, vous devez savoir que les jeans ou les pantalons sont interdits, vous allez quitter immédiatement cette chose affreuse que vous portez sur le derrière.

La jeune femme la regarda complètement estomaquée :

— Mais, mais madame, je…

— Je ne vous demande pas de discuter ma petite, je ne ferai pas votre entretien d’embauche tant que vous serez en jeans. Donc deux solutions, ou vous l’enlevez ou vous partez.

Ambre regarda la sévère matrone pour être sûr qu’elle ne plaisantait pas, ses yeux qui la fixaient confirmèrent ses craintes, si elle voulait ce poste, il lui fallait faire son entretien d’embauche en petite culotte. Elle n’était pas spécialement pudique mais enlever son pantalon devant une inconnue c’était un peu spécial malgré tout, elle rougit et commença à déboutonner son jeans, sans regarder madame Rose elle le fit glisser sur sa croupe puis elle le descendit jusqu’aux chevilles et l’enjamba. La directrice de l’institut s’était assise à son bureau et contemplait la scène en souriant, la petite culotte rose pâle était assez échancrée et ne cachait pas grand-chose du généreux derrière bien rebondi de la jeune femme. Ambre tenait son jeans à la main, madame Rose désigna une chaise :

— Posez-le là, vous n’en aurez plus besoin jusqu’à la fin de notre entretien.

Quand la jeune esthéticienne se tourna pour mettre son pantalon sur la chaise, elle put apprécier le galbe et la fermeté de ce fessier de jeune femme, un vrai derrière à fessée.

— Assieds-toi là.

Ambre remarqua immédiatement le changement de ton, la dame venait de la tutoyer, elle était devant elle en petite tenue, la situation devenait gênante, elle s’installa sur la chaise. Elle tendit timidement son dossier de candidature que madame Rose parcouru rapidement, puis elle leva les yeux et fixa la jeune femme :

— Ton dossier me parait correct, il faut cependant que je te précise quelques points de détail. Tu n’as pas été sans remarquer que les méthodes utilisées dans cet institut sont un peu particulières et peuvent surprendre. Cependant toutes les patientes s’y soumettent de leur plein gré puisqu’elles ont signé la charte et le règlement intérieur de l’institut. Celui-ci précise que les châtiments corporels en particulier la fessée déculottée peuvent être administrés par moi-même ou l’une de mes assistantes, bien sûr avec tact et modération et toujours adapté à la faute commise.

Ambre songea aux fesses écarlates de la dame au coin dans le secrétariat, c’était donc cela une fessée administrée avec tact et modération. La sévère directrice continuait :

— Si tu es embauchée, tu seras amenée à administrer également des punitions et en particulier la fessée.

Ambre se retint de marquer son enthousiasme, surtout que madame Rose ajouta immédiatement :

— Avant d’être autorisée à le faire tu devras effectuer une formation d’une semaine pendant laquelle Sophie et Aurélie à tour de rôle te montreront et te feront expérimenter toutes les pratiques de l’institut ainsi bien sûr que tous les châtiments auxquels les patientes peuvent être soumises en cas de manquement à la discipline.

La jeune fille faillit ouvrir la bouche pour protester mais comme tout à l’heure pour le jeans, le regard sévère de madame Rose l’en dissuada. La sévère matrone prit un exemplaire du contrat et le parapha :

— Si tu es d’accord avec les conditions, je vais te demander de signer ton contrat.

Malgré une petite pointe d’inquiétude, Ambre se voyait mal refuser, le salaire était alléchant, avec en plus la perspective de pouvoir satisfaire sa perversité, elle signa sans même relire le feuillet :

— Oui madame j’accepte.

Madame Rose se leva en souriant :

— Je suis ravie de te compter dans mon personnel, je dois toutefois commencer par t’examiner un peu plus en détail, lève-toi.

Ambre s’exécuta, la directrice la fit pivoter :

— Tu as un très joli derrière, c’est un très bon argument pour travailler chez moi.

Elle prit la place de la jeune fille sur la chaise et la fit basculer en travers de ses genoux, Ambre poussa un petit cri. Si elle appréciait les fesses de ses copines et qu’elle aimait claquer les derrières, elle n’avait jamais reçu la fessée et ne s’était jamais retrouvée dans cette position humiliante.



Madame Rose sourit en découvrant ce magnifique fessier, la culotte rentrait dans la raie, la belle paire de fesses bien rebondie était quasiment dénudée. La main experte se glissa sous la lingerie et palpa la croupe :

— C’est bien ton derrière est très ferme, tu verras que l’administration régulière de la fessée raffermit grandement les postérieurs féminins. Tu reçois souvent la fessée ?

Ambre était gênée d’exposer ainsi sa croupe et de sentir les doigts s’immiscer sous sa culotte, mais il lui fallait répondre aux questions indiscrètes de sa future patronne :

— Oh non madame jamais !

— Comment ça jamais ? Ta maman ne te déculotte pas quand tu as fait une bêtise ?

— Non madame…

— Eh bien, elle a tort, attends-toi à en recevoir ici, chaque fois que ce sera nécessaire. On va voir tes jolies fesses de plus près.

Ambre se doutait que ça allait arriver dès l’instant où elle s’était retrouvée couchée sur les cuisses de madame Rose, mais l’annonce de la mise à nu de son derrière la glaça.

Elle sentit les doigts de la directrice s’insinuer sous l’élastique de la culotte puis celle-ci glissa inexorablement sur sa croupe, c’était la première fois qu’elle subissait l’humiliation d’un déculottage, ce ne serait pas la dernière. La fine lingerie était maintenant aux genoux, madame Rose pouvait se livrer à une de son activité préférée, l’exploration dans le détail d’un nouveau derrière féminin. Elle glissa sa main entre les cuisses pour les écarter, et ses doigts remontèrent jusqu’aux fesses pour les séparer, ses doigts avaient effleuré la vulve, provoquant une légère excitation de la jeune femme. La sévère matrone pratiquait l’examen de l’intimité de son employée sans se soucier de sa gêne éventuelle. Il fallait qu’elle intègre que sa croupe et ses alentours appartenait désormais à sa patronne et qu’elle perdait tout droit à la pudeur. Son index effleura l’anus et le força légèrement, Ambre ne put s’empêcher de contracter ses fesses. La sanction fut immédiate une dizaine de claques s’abattirent sur son fessier :

— Tu desserres tes fesses immédiatement et ne t’avise pas de recommencer !

La jeune femme relâcha ses muscles fessiers et madame Rose écarta les fesses avec deux doigts, la raie largement ouverte, Ambre était consciente du spectacle qu’elle offrait à sa future patronne. C’était honteux mais excitant en même temps.

— Tu seras souvent amenée à examiner les fesses de tes patientes, il n’y a rien de plus désagréable qu’une dame qui renâcle, il ne faut pas hésiter à sévir immédiatement. Comme tu n’as jamais reçu une vraie bonne fessée déculottée, je vais te montrer ce que c’est, comme ça tu sauras ce que tes patientes ressentiront quand ce sera à ton tour de les déculotter.

La main se leva et s’abattit sèchement sur le fessier particulièrement rebondi de la jeune femme, il était bien ferme et la main rebondissait sur cette croupe orgueilleuse, madame Rose adorait donner la fessée, vous le savez depuis le temps et quand c’était un nouveau derrière le plaisir était décuplé. Elle ne faisait pas de différence entre les paires de fesses à sa disposition, bien sûr certaine était plus agréable à corriger, mais qu’elles soient menues ou larges, fendues profondément ou serrées en deux boules rondes, très fermes ou un peu grassouillettes toutes rougissaient sous les sévères fessées de madame Rose.

Ce qui la mettait en joie c’était un derrière cramoisi, luisant et brûlant, une belle couleur couvrant toute la surface qui habituellement sert à s’asseoir. L’âge de la punie n’avait pas non plus d’importance, le panel des derrières répertoriés dans le fichier de l’institut allait de dix-huit à quatre-vingts ans et toutes ces dames s’étaient retrouvées un jour ou l’autre, couchées sur ses genoux et déculottées avec les fesses bien rouges.

La punition continuait imperturbablement, Ambre qui aimait claquer le derrière de ses copines ne pensait pas qu’une vraie fessée déculottée fasse aussi mal. Elle avait crié d’emblée, maintenant elle suppliait madame Rose de cesser la correction, elle pleurait comme une gamine sur les genoux de son institutrice. La sévère matrone souriait devant son comportement, les dames couchées sur ses genoux avaient toujours la même attitude, tout en ouvrant largement leurs fesses et en pédalant dans le vide elle promettait d’être sage et de ne plus recommencer. « Cette petite a vraiment un magnifique derrière, elle va souvent venir me rendre visite. »

Elle interrompit la correction et posa sa main sur les fesses d’Ambre :

— Tes petites fesses sont très mignonnes, pendant ta semaine de formation nous aurons souvent l’occasion de les examiner avec Sophie et Aurélie, tu vas finir par t’habituer à avoir les fesses cuisantes. Je vais te montrer ce que c’est qu’une vraie punition.

Ambre poussa un gémissement, elle trouvait que cette déculottée était déjà sévère et constituait une punition :

— Oh non madame, s’il vous plaît, j’ai trop mal aux fesses…

Madame Rose se mit à rire :

— Tu plaisantes j’espère, toutes ces simagrées pour une petite fessée d’échauffement, décidément tu as beaucoup de choses à apprendre.

Elle ceintura un peu plus fermement la punie, une fessée avec la brosse était beaucoup plus douloureuse que celle administrée à la main. Elle leva sa large et lourde brosse avec son manche en ébène et commença à claquer le fessier rebondi. Ambre hurla et se cabra, mais madame Rose la tenait solidement, seul le bas du corps pouvait se contorsionner, les pieds battaient dans le vide et la brosse claquait alternativement chaque fesse, elles étaient déjà rouges, mais la teinte fonça rapidement et la punie se remit à pleurer :

— Eh oui ma petite, c’est ça la bonne fessée déculottée, tu la sens bien sur ton bon gros derrière ? Je te garantis que ça va te cuire un bon moment.

Ambre ne croyait pas ce fut possible de recevoir une telle correction, son derrière n’était plus qu’une boule de feu, ses cris, ses pleurs mêlés à ses supplications, rien n’y faisait la fessée continuait inexorablement. Les deux autres assistantes avaient reçu le même genre de punition lors de leur entretien d’embauche, madame Rose tenait à ce qu’elle s’en souvienne longtemps. Avoir reçu une magistrale fessée déculottée leur permettaient de connaître les sensations ressenties par les patientes de l’institut. Quand c’était leur tour de baisser les culottes et de corriger les dames elles ne marquaient aucune faiblesse et ne s’arrêtaient pas aux premiers gémissements ou pleurs des punies.



Enfin la sévère directrice posa la brosse et caressa les fesses cramoisies :

— Ça te brûle n’est-ce pas ? C’était une bonne fessée déculottée et tu l’avais bien méritée. Maintenant on va aller montrer ton joli derrière et tu vas aller le faire refroidir un peu.

La culotte d’Ambre était entortillée autour de ses chevilles, madame Rose la remonta à mi-cuisses puis elle saisit l’oreille de la jeune femme et sortit du bureau en la tirant comme une gamine indisciplinée. Elle accompagna la marche par quelques bonnes claques bien senties sur le fessier écarlate :

— Allez tu avances, on va montrer à tous le monde ton joli derrière.

Les larmes coulaient sur les joues rouges de la punie, elle baissa les yeux pour ne pas croiser le regard des spectatrices, à ce moment précis elle ne savait plus si elle désirait vraiment ce travail. Ses fesses cuisantes, la honte d’être ainsi tirée par l’oreille, sa croupe nue exposée, c’était vraiment beaucoup. Mais elle n’avait pas encore connu la mise au coin, ce fut rapide, la matrone la poussa contre le mur :

— Colle ton nez contre le mur, mets tes mains sur la tête et ne t’avise pas de bouger. Il faut qu’on puisse admirer tes bonnes grosses fesses bien rouges !!

En pleurnichant la jeune femme s’exécuta, une claque magistrale administrée au milieu du fessier la rappela à l’ordre :

— Tu pleures en silence, je ne veux pas t’entendre.

Aurélie assise au secrétariat souriait en voyant sa future jeune collègue dans cette position peu enviable, sa première impression se confirmait, cette petite avait vraiment une magnifique paire de fesses.

Madame Rose se tourna vers elle :

— Tu me surveilles cette péronnelle, une heure au coin lui fera le plus grand bien, tu lui donneras une jupe pour rentrer chez elle et pour commencer son stage demain matin ? C’est Sophie qui s’en occupera et tu prendras la suite le lendemain.

La jeune assistante acquiesça, puis madame Rose désigna les fesses rouges de la dame dans l’autre coin :

— C’est le derrière de Dominique il me semble ?

— Oui madame, sa maman nous l’a envoyé pour un forfait vilaine fille. Elle a été impossible cette semaine d’après elle.

La directrice se dirigea vers la dame qui avait serré les fesses en entendant parler d’elle. Elle la saisit par l’oreille et l’amena au milieu de la pièce. La dame de quarante-cinq ans, directrice financière dans une grande société, n’en menait pas large, elle était habillée du costume réservé aux vilaines filles, sa jupette ultra-courte épinglée dans le dos et la petite culotte blanche baissée aux genoux. Son large derrière bien joufflu était d’un beau rouge foncé, signe des deux fessées déjà reçues de la main d’Aurélie. La main de madame Rose claqua la belle paire de fesses :

— Alors comme ça malgré vos séjours ici vous continuez à être une vilaine fille ? Eh bien croyez-moi je vais vous soigner, venez un peu avec moi.

Elle se tourna vers son assistante :

— Je vais avoir une petite conversation avec les fesses de Dominique, ensuite je te la renvoie.

La porte resta entrebâillée, la directrice appréciait que les personnes présentes dans le secrétariat assiste par l’oreille aux corrections qu’elle administrait. Quelques secondes plus tard après quelques éclats de voix, tels ceux d’une maman grondant sa fille, le bruit caractéristique d’une fessée appliquée sur des fesses dénudées parvint aux oreilles d’Aurélie.

Dès qu’elle était arrivée dans son bureau, madame Rose avait lâché l’oreille de la dame et l’avait ceinturée pour la courber sous son bras :

— On dirait que tu ne comprends que la fessée ma petite Dominique et bien crois-moi ma main n’est pas fatiguée, je vais m’adresser à tes bonnes grosses fesses puisque apparemment il n’y qu’elles qui écoutent.

Le large derrière était tendu par ma position et à disposition de la main de la sévère maîtresse la fessée pouvait commencer et elle fut magistrale, la quarantenaire trépignait sur place et pleurait comme une gamine.

Elle avait l’habitude de recevoir ce châtiment humiliant, sa mère n’avait jamais cessé de la corriger de cette façon même quand elle était devenue adulte. Son évolution professionnelle non plus ne lui avait pas permis d’éviter la honte d’être déculottée et fessée comme quand elle était plus jeune, madame la directrice financière arrivait souvent à son bureau avec une paire de fesses bien rouges sous sa culotte.

Son mariage n’avait pas changé les choses puisque madame sa mère avec son autorité et sa sévérité naturelle avait pris en main son ménage et son mari avait rapidement connu la honte de présenter à sa belle-mère son derrière dénudé pour recevoir une magistrale correction.

Elle était donc toujours soumise à une éducation traditionnelle et stricte et depuis qu’elle avait découvert l’existence de l’institut, Marie-Louise la sévère maman s’en servait comme complément de punition. Si Dominique recevait plus de deux fessées dans la semaine, elle avait droit à un forfait vilaine fille chez madame Rose.

La sévère matrone venait de la relâcher, elle pleurait et sautillait sur place, elle ne put s’empêcher de porter ses mains à sa croupe cramoisie. Madame Rose la regarda en souriant, c’était un spectacle charmant que de voir cette dame d’âge mûr, la culotte entourant ses genoux, frottant son derrière brûlant en reniflant :

— Ça brûle n’est-ce pas ? Malheureusement pour toi, c’est formellement interdit de se frotter le derrière après la fessée, tu le sais pourtant.

Dominique cessa immédiatement :

— Pardon, pardon madame Rose, je n’ai pas fait exprès, ça brûle trop…

La fesseuse se mit à rire :

— Tu ne l’as pas fait exprès ? Tu te moques de moi. Je vais t’apprendre ! Viens-ici !

Penaude, Dominique s’approcha, la maîtresse lui fit un petit signe du doigt :

— Tourne-toi, je veux voir ton derrière.

Elle s’approcha et palpa le fessier :

— Il est en parfait état, la nature t’a dotée d’une bonne paire de fesses ma chérie, c’est pour ça qu’il te faut des fessées sévères. Mets tes mains sur la tête, nous avons à parler.

La punie s’exécuta, elle avait l’habitude de ses situations où elle exposait ainsi ses fesses nues. Madame Rose alla s’installer derrière son bureau, elle avait une vue parfaite sur le postérieur joufflu de Dominique. La brûlure devait être intense, les fesses se contractaient convulsivement pour essayer d’atténuer la douleur, c’était un des spectacles préférés de madame Rose. Elle tapota sur le bureau :

— Tu le sais pourtant que c’est interdit de se frotter les fesses…

— Oui madame…

— Que t’arrive-t-il chez maman quand tu le fais ?

Dominique était au supplice, bien sûr elle savait qu’elle avait fait une bêtise et que son derrière allait en subir les conséquences, mais pourquoi diable madame Rose ne lui flanquait-elle pas une correction immédiatement. Il lui fallait répondre dans cette position humiliante.

— Elle double la fessée madame…

— C’est exactement ce qui va t’arriver ma chérie, puisque tu as désobéi tatie Rose va te punir comme il se doit. Avec quoi vais-je claquer ton bon gros derrière ?

Les fesses se serraient et s’ouvraient de plus en plus vite signe de l’angoisse de la punie. Madame Rose tapotait toujours son bureau :

— Avec le martinet ? Tu aimes le martinet ma chérie ?

— Oh non madame Rose, s’il vous plaît, ça brûle trop…

La sévère matrone se mit à rire à nouveau :

— Ça c’est sûr, mais c’est fait pour ça, pour que tu ne recommences pas à frotter tes fesses. Et mademoiselle Claquefesse, tu l’aimes aussi ?

Dominique se mit à pleurer :

— Pardon, madame, pardon je ne recommencerai plus.

— Ça j’en suis sûr ma chérie, après la fessée déculottée que tu vas recevoir, tu vas penser à ta tatie Rose chaque fois que tu vas t’asseoir et je suis sûr que tu ne désobéiras plus.

Elle prit la petite raquette en cuir posée sur son bureau, de la taille d’une fesse, elle remplissait parfaitement son rôle, un derrière fessé avec mademoiselle Claquefesse gardait longtemps le souvenir de la punition.

Elle contourna le bureau et saisit l’oreille de la dame aux fesses écarlates :

— Je crois que tes fesses vont goûter à mademoiselle Claquefesse.

Elle s’installa sur une chaise et bascula Dominique en travers de ses cuisses. Ce serait une fessée classique. Rapidement la dame de quarante-cinq ans retrouva ses accents d’adolescente punie par une sévère tatie, madame Rose apprécia particulièrement la danse de ses larges fesses joufflues, la raie s’ouvrant largement puis se resserrant quand la punie se cabrait et pédalait dans le vide. Le fessier était brûlant, une légère buée s’élevait au-dessus de la croupe, inutile de préciser que Dominique pleurait toutes les larmes de son corps, comme l’avait prévenu sa maîtresse, elle penserait à elle chaque fois qu’elle poserait ses fesses sur un siège.



Madame Rose reposa mademoiselle Claquefesse et caressa le postérieur brûlant :

— Tu désobéiras encore ?

Dominique sanglotait encore :

— Non, non madame Rose, pardon…

La sévère directrice de l’institut claqua un peu le derrière cramoisi :

— Tu frotteras encore tes fesses ?

— Non, non madame…

— Très bien, tu vas te relever et tu vas aller voir Aurélie pour qu’elle te remette au coin.

Dominique se remit debout, sa culotte était légèrement descendue, madame Rose la remonta à mi-cuisse et claqua le large fessier :

— Allez, file.

Dans le secrétariat, Aurélie surveillait toujours la paire de fesses rebondies de la jeune Ambre, en voyant arriver la punie, les joues baignées de larmes elle leva les yeux en souriant :

— On dirait que ça a chauffé pour vos fesses ma petite Dominique ? Racontez-moi ça.

En reniflant la dame dut confesser qu’elle avait été punie, Aurélie insista :

— Vous avez reçu combien de fessées ?

— Deux, mademoiselle Aurélie.

— À la main ?

— Oui mademoiselle et avec mademoiselle Claquefesse.

— Très bien, approchez et tournez-vous que je vois le résultat.

Dominique présenta sa croupe, Aurélie apprécia à sa juste valeur la technique de sa patronne, elle savait corriger les derrières des dames.

— Et maintenant ?

— Euh… Je dois aller au coin.

— Pourquoi ?

— Pour faire refroidir mes fesses et que tous le monde les voie.

La jeune assistante claqua le fessier :

— Eh bien dépêchez-vous d’y aller, et vous mettez bien vos mains sur la tête et le nez contre le mur.

Ambre trouvait le temps long, elle n’avait jamais fait du temps de coin comme on dit. Dès que madame Rose avait disparu dans son bureau en tenant Dominique par l’oreille, Aurélie s’était levée et avait palpé le derrière dodu de sa future collègue :

— Alors ma petite chérie on a eu panpan cucul ?

La jeune femme avait frissonné en sentant la main sur ses fesses brûlantes, Aurélie avait utilisé la même expression que l’amie de sa mère pour parler de la fessée. Elle s’était rendu compte que finalement ce mignon petit mot, cachait une véritable correction.

— Aïe, aïe…

La main avait claqué deux fois très sèchement chaque fesse :

— Je t’ai posé une question, il va falloir t’habituer à répondre immédiatement sinon ton joli cul va en payer le prix.

— Oui, oui mademoiselle… ça brûle…

— Oh ça ma petite chérie, ce n’est que le début, ton derrière va te cuire toute la semaine, en attendant colle bien ton nez contre le mur, tu en as pour une heure.

Maintenant la jeune assistante avait deux fessiers rougeoyants à contempler, elle en profita pour effectuer des tâches administratives, mettre à jour le fichier des patientes avec les dernières photos des derrières rougis, elle consulta son carnet de rendez-vous et constata avec plaisir que Caroline la jeune femme qui venait de temps en temps pour un forfait vilaine fille devait venir cet après-midi, sa mère avait pris un rendez-vous pour elle.

L’heure passée au coin paru longue à Ambre, enfin Aurélie l’appela :

— Ta pénitence est terminée, viens avec moi.

Elle ouvrit une porte et la jeune fille découvrit un dressing où était suspendue des tenues variées. Il y avait un nombre incalculable de jupette de collégienne, plissées bleue marine ou à carreaux, des chemisiers blancs, des tenues de soubrette avec des jupes très courtes noires. Sur des étagères étaient empilées des culottes blanches en coton et des socquettes blanches également ainsi que des ballerines bleues ou blanches.

La jeune assistante décrocha une jupette à carreaux et pris une petite culotte blanche qu’elle tendit à Ambre :

— Tiens tu mets ça, madame Rose m’a dit de te donner une jupe, celle-ci est très mignonne. Pour ta culotte elle n’en a pas parlé, mais je pense qu’avec ta jupette de collégienne, c’est ce genre de culotte qu’il te faut.

La grimace que fit la jeune femme en voyant le genre de tenue qu’elle lui tendait fit sourire Aurélie :

— Ça n’a pas l’air de te plaire ? Il va falloir que tu t’habitues à mettre des jupes ma petite chérie, chez madame Rose c’est obligatoire et même quand tu ne travailles pas. Un jour où j’étais de repos, elle m’a rencontré, j’avais mis un jean, j’ai pris une bonne claque sur les fesses dans la rue et j’ai dû la suivre. Elle était garée à côté, le parking était désert, elle a ouvert la porte côté passager et s’est assise puis elle a déboutonné mon jean l’a baissé sous mes fesses en même temps que la culotte et m’a basculé sur ses genoux. Ça a été ma première fessée déculottée en plein air, je te garantis que je m’en souviens encore, je travaillais à l’institut depuis un mois et je n’ai plus jamais remis un pantalon.

Ambre pris la jupe et l’enfila, elle continuait à douter de sa volonté de travailler à l’institut. Elle se regarda dans la glace, la jupette lui arrivait à mi-cuisse, elle saisit la culotte tendue par Aurélie, c’était vraiment un sous-vêtement de collégienne, sage et couvrante, elle finit de retirer la sienne qui entourait ses genoux et enfila cette culotte de gamine. Elle retroussa sa jupe pour la remonter sur son derrière encore rouge. En levant les yeux, elle croisa le regard moqueur de la jeune assistante :

— Tu es vraiment mignonne, demain tu viens dans la même tenue.

Ambre fit une moue ce qui fit bien rire la jeune assistante :

— Eh oui, je sais que tu risques de te faire remarquer dans le bus, mais c’est comme ça. Au fait je voulais te montrer les photos que je vais mettre dans ton dossier personnel, tu vas voir elles sont ravissantes tes fesses rouges.

Elles étaient dans le secrétariat, Aurélie tourna l’écran pour que Ambre puisse voir défiler les photos. Elles étaient toutes très évocatrices. Ambre couchée sur les genoux de madame Rose la culotte aux genoux, ses pieds pédalant dans le vide, les fesses écarlates ne laissaient pas de place au doute, c’était une vraie fessée que recevait la jeune femme, une autre prise dans la même position montrait bien le visage de la punie, des larmes coulant sur ses joues. Il y avait également un cliché qui la montrait tenue par l’oreille par madame Rose et une autre prise juste après où elle était au coin exposant son derrière cramoisi. Aurélie guettait les réactions de la punie, elle avait les joues aussi rouges que ses fesses.

— Ces photos resteront confidentielles tant que tu travailleras pour l’institut, ensuite elles pourront être utilisées pour nos plaquettes publicitaires.

Ambre compris qu’elle n’avait pas le choix, elle devait accepter cet emploi, en y réfléchissant, ça serait certainement agréable, même s’il fallait en passer par des séances de panpan cucul sur les genoux de la patronne. La jeune assistante la rassura :

— Un jour je te montrerai mon dossier, mes fesses sont aussi rouges que les tiennes je te rassure.

Elle jeta un œil au fessier de Dominique toujours au coin, elle décida de faire un petit cadeau à Ambre, elle lui tendit mademoiselle Claquefesse :

— Le derrière de Dominique a perdu un peu de couleur, je vais voir ce dont tu es capable. Tu peux y aller elle a des fesses faites pour la fessée.

Ambre se retint de montrer sa joie, elle fit comme elle avait vu faire madame Rose, elle saisit l’oreille de la directrice financière, s’installa sur la chaise à fessée et commença à administrer la première fessée de sa nouvelle vie professionnelle.

Dominique se mit à pleurer immédiatement, autant de douleur que de honte d’être ainsi corrigée par une aussi jeune fille. La fessée fut magistrale, Aurélie apprécia la technique, quand la punie se releva elle s’approcha, la courba sous son bras pour palper le fessier brûlant :

— C’est parfait, mais ne te fait pas trop d’illusion pendant dix à quinze jours, c’est toi qui devras présenter tes fesses.

Ambre prit congé, son derrière était brûlant sous sa petite culotte, mais cet intermède l’aidait à le supporter.

Quand elle eut quitté l’institut, madame Rose appela Aurélie. Quelques instants plus tard la jeune assistante criait et suppliait sous la brûlure de la brosse à cheveux :

— Je vais t’apprendre à n’en faire qu’à ta tête ! Depuis quand une stagiaire donne la fessée ! Ce soir une fessée avant de quitter ton travail et ta culotte au crochet.



Aurélie regagna le secrétariat en tenant sa culotte à la main, elle l’accrocha à la patère sous son prénom, puis discrètement elle glissa sa main sous sa jupe pour frotter ses fesses brûlantes.



lundi 21 juillet 2025

mercredi 9 juillet 2025

L'institut suite 3

La soubrette fesseuse



 Les deux punies étaient toujours les fesses à l’air, le nez collé contre le mur. La baronne se leva et appela Priscilla :

— Ma petite, je les laisse sous votre surveillance, elles en ont encore pour une demi-heure à nous montrer leurs fesses.

Jenny et Élisabeth contractèrent légèrement leur derrière en entendant ces mots, elles étaient là depuis déjà un bon moment et elles allaient encore contempler la tapisserie pendant trente minutes. Et en plus sous la surveillance de cette gamine, de toute façon elle n’avait pas le choix.

Priscilla en profita pour faire la poussière dans le salon, ça lui permettait de se régaler du spectacle de ces deux fessiers écarlates. Quand le temps fut enfin passé, elle s’approcha et en souriant claqua légèrement chaque paire de fesses :

— Votre pénitence est terminée, vous pouvez vous reculotter.

Les deux punies ne demandèrent pas leur reste et quelques instants plus tard, elles avaient retrouvé une tenue plus conforme à leur statut, personne ne pouvait deviner que cette aristocrate et cette jeune femme un peu snob cachaient une paire de fesses bien rouges sous leurs élégantes tenues. Le reste de la journée se passa sans incident notable, après le repas la baronne s’adressa à sa fille :

— Tu files au lit dès maintenant, tu connais le tarif puisque tu as été punie.

Élisabeth rougit, car Priscilla était en train de débarrasser la table, c’était assez humiliant de se faire rappeler à l’ordre ainsi devant la domestique. Marie De Nouvel n’en avait cure, elle avait instauré ce complément de punition depuis quelque temps, chaque fois que sa fille avait été punie, elle était obligée d’aller au lit comme une gamine à vingt et une heures. Et comme en ce moment elle allait quasiment quotidiennement à l’institut se faire rougir les fesses, c’était tous les soirs qu’elle était privée de soirée.

Elle était passée à la salle de bain pour faire ses ablutions et elle venait de revêtir sa chemise de nuit, celle-ci était simple, à bretelle descendant juste au-dessus du genou, blanche en coton avec un liseré de dentelle aux épaules et au niveau de l’ourlet.

Elle s’apprêtait à se mettre au lit quand après avoir frappé à la porte, Priscilla entra. Un peu surprise, Élisabeth interrogea du regard la jeune bonne, celle-ci tenait une boite rose dans sa main :

— Je viens vous mettre le suppositoire comme me l’a demandé mademoiselle Sophie.

La sexagénaire eut l’impression que le sol se dérobait sous ses pieds, elle était encore au coin quand la jeune assistante de madame Rose avait fait sa prescription et tout à la brûlure du premier suppositoire, elle n’avait pas fait attention à la prescription de Sophie. Elle avait les joues rouges, elle regardait incrédule la très jeune femme qui allait lui faire subir ce traitement humiliant :

— Euh, oui… mais enfin Priscilla… Vous êtes sûr.

La jeune soubrette la regarda en souriant :

— Je préférerais que vous m’appeliez mademoiselle Priscilla… Je dois également vous rougir les fesses avant de vous mettre le suppo…

Élisabeth se mit à bégayer :

— Mais, mais, mademoiselle Priscilla vous voulez…

La phrase resta en suspens, la jeune femme continuait de sourire :

— Vous administrez une fessée ? Oui certainement, sinon comment voulez-vous que je vous rougisse le derrière.

Priscilla posa la boite rose sur le lit et s’installa au bout de celui-ci, puis elle tapota ses cuisses :

— Ne perdons pas de temps madame, je sais que ce n’est pas un moment très agréable pour vous, alors autant s’en débarrasser rapidement.

Désespérée, l’aristocrate de soixante-deux ans s’approcha des genoux de la soubrette. Quand elle était adolescente, sa mère la faisait de temps en temps fesser par une domestique pour lui faire honte, mais aujourd’hui la situation était très différente, la dame qui s’apprêtait à la corriger de cette manière si honteuse avait l’âge d’être sa petite fille.

Priscilla consciente de la gêne d’Élisabeth, lui prit la main et la tira pour qu’elle se couche en travers de ses cuisses, la chemise de nuit remonta légèrement, découvrant l’arrière ses cuisses. La jeune femme était excitée par son nouveau pouvoir, elle voulut découvrir son nouveau terrain de jeu. Elle saisit l’ourlet de la chemise de nuit et la retroussa brusquement bien haut sur les reins, elle avait déjà vu les fesses de la jeune baronne quand elle était au coin ou cet après-midi quand Sophie lui avait mis le suppo, mais là elle les avait tout près de ses yeux, elle pouvait les toucher, les palper.

Elle fut surprise par leur volume, madame Élisabeth avait vraiment une bonne paire de fesses, elles étaient encore rebondies malgré son âge, elle les caressa et les pinça un peu. Elles étaient encore rosées des corrections reçues dans la journée, mais effectivement mademoiselle Sophie avait raison, il fallait leur redonner un peu de couleur.

Elle n’avait jamais administré de fessée, mais elle en avait reçu une tout à l’heure, elle en gardait d’ailleurs un souvenir cuisant et elle avait assisté à la fessée de Jenny.

Elle leva la main et commença à claquer le large derrière, Élisabeth fut surprise agréablement, ça la changeait des magistrales déculottées qu’elle recevait habituellement à l’institut. Priscilla était déçue de ne pas voir les fesses danser et la punie rester stoïque sous les claques. Il lui fallait augmenter la force de la fessée, elle leva plus haut la main et l’abattit rapidement sur l’orgueilleux fessier, le résultat ne se fit pas attendre, Élisabeth se mit à gémir et les jambes se mirent en mouvement, satisfaite la jeune bonne accentua encore la force des claques, les fesses se serrèrent et s’ouvrir au rythme de la correction et la punie se mit à crier. La soubrette était aux anges, elle souriait et sa main ne semblait pas vouloir s’arrêter, ce n’était pas une petite fessée pour rougir le derrière, ce fut une véritable correction que reçut ce soir-là la baronne Élisabeth De Nouvel. 



Sa croupe était cramoisie quand Priscilla s’arrêta, elle passa sa main sur la peau brûlante :

— Je crois que mademoiselle Sophie sera satisfaite, je vais faire une photo de votre derrière, elle m’a demandé de lui envoyer.

Elle prit son téléphone pour immortaliser le résultat de la première fessée d’Élisabeth reçue des mains de sa bonne, ce ne serait pas la dernière. Elle ouvrit ensuite la boite rose posée sur le lit et en extrait un suppositoire :

— Je vais vous mettre votre suppo madame, il va falloir vous laisser faire, desserrez-moi ces fesses.

Avec deux doigts, elle écarta les deux bonnes grosses fesses écarlates et mit à jour l’anus de la baronne. Elle était subjuguée par un sentiment de puissance. Elle la petite bonne, tenait sur ses genoux une dame de soixante-deux d’une famille aristocratique et cette baronne qu’elle avait troussée et fessée comme une vulgaire gamine, elle lui tenait les fesses grandes ouvertes et elle allait lui mettre un suppositoire :

— J’espère que vous avez bien honte madame de me montrer ainsi vos fesses, si j’ai bien compris vous n’avez pas été très sage et bien après cette punition je pense que vous y réfléchirez à deux fois avant de recommencer.

Élisabeth était au comble de la honte, elle pleurait doucement autant de la cuisson qui envahissait son fessier que de l’humiliation que lui faisait subir cette jeune femme. Elle sentit le suppositoire pénétrer et dès qu’il eut disparu, les doigts de Priscilla qui resserraient ses fesses :

— Il ne doit pas ressortir, sinon je vous en remets un avec une bonne fessée en prime.

Le suppositoire commença à fondre et la brûlure du fessier s’étendit à l’intérieur, la punie se mit à gémir :

— Oh non… mademoiselle Priscilla ça brûle, aïe, aïe…

La main de la jeune femme avait reclaqué le derrière cramoisi :

— Veux-tu bien te taire vilaine fille. Je sais que ça brûle, serre les fesses.

Elle l’avait tutoyé naturellement, c’était normal après l’avoir traitée comme une gamine. Elle la fit se relever et posa un oreiller au milieu du lit :

— Tu vas t’allonger sur le ventre et tu restes sans bouger jusqu’à ce que je revienne.

Elle retroussa un peu plus la chemise de nuit pour bien dégager le large fessier et le claqua sèchement :

— Tu cesses de pleurnicher immédiatement.

Élisabeth se mit à sangloter en silence, les fesses se contractaient pour essayer d’atténuer la cuisson externe et interne, mais c’était peine perdue. Priscilla se surprit à être excitée par le spectacle de ces bonnes grosses fesses rouges comme des tomates bien mûres, étalées devant ses yeux.

Elle laissa la baronne au fessier écarlate pendant un bon quart d’heure, quand elle était redescendue, la mère d’Élisabeth s’était enquise :

— Tu lui as mis son suppo ?

— Oui madame et les fesses bien rouges également.

— C’est bien et que fait-elle maintenant, tu l’as mis au lit ?

— Non madame, elle expose son derrière bien rouge avec le suppo qui lui brûle le derrière.

Marie De Nouvel esquissa un sourire, décidément cette petite apprenait vite.

Quand Priscilla remonta dans la chambre, Élisabeth serrait toujours convulsivement son derrière, la jeune femme s’approcha et sans ménagement, elle écarta largement les fesses :

— C’est bien tu l’as gardé, bon une petite fessée et au lit.

Elle tira Élisabeth par l’oreille pour la faire se relever, puis elle la coinça sous son bras la forçant à tendre son large fessier, elle bouchonna la chemise de nuit sous sa main gauche pour bien dégager la surface à corriger et elle administra une deuxième fessée à la baronne qui trépigna sur place, effectivement cette petite apprenait vite.

Elle relâcha la punie et lui indiqua le lit :

— Au dodo et que je ne t’entende pas. Demain matin je vérifierai tes fesses.

 

Le lendemain matin, elle vint réveiller la sexagénaire en ouvrant grand les rideaux et en tirant sur la couette, Élisabeth dormait profondément confirmant l’adage qui dit qu’on dort très bien avec une paire de fesses bien rouge et bien chaude. Sa chemise de nuit était légèrement retroussée laissant apparaître la base du large fessier, elle ouvrit les yeux et surprise de voir Priscilla elle tira sur sa chemise de nuit. La jeune femme se mit à rire :

— Vous savez madame vos fesses n’ont plus de secret pour moi, d’ailleurs je vais les examiner, mettez-vous sur le ventre.

Élisabeth obéit immédiatement depuis qu’elle allait à l’institut son caractère s’était assoupli et tous ses réflexes d’aristocrate hautaine et méprisante avait disparu. Elle obéissait au doigt et à l’œil à toutes ses maîtresses quel que soit leur âge et sa jeune bonne vu le traitement qu’elle lui avait fait subir hier soir en faisait partie maintenant.

Priscilla retroussa bien haut la chemise de nuit sur les reins, les fesses étaient encore un peu rosées, elle les claqua gentiment :

— Votre derrière est en parfait état, Sophie m’a félicité pour la couleur de vos fesses hier soir, elle vous attend à l’institut à midi pour une petite séance de pénitence.

Comme elle était sur le ventre exposant ses fesses nues, la soubrette ne vit pas la grimace de la baronne. Elle connaissait trop bien ces séances du midi où Sophie rassemblait quelques punies pour leur administrer une bonne correction suivie d’une exposition des fessiers écarlates pendant une heure avant de finir par une deuxième fessée avant de laisser les punies se reculotter.

Priscilla lui claqua une dizaine de fois les fesses en souriant :

— Quelque chose me dit que vos fesses seront moins blanches quand vous reviendrez de l’institut. Allez vilaine fille vous pouvez aller déjeuner.

En sortant de la chambre de la baronne Élisabeth, la soubrette tomba nez à nez avec miss Sterling la gouvernante, elle lui jeta un regard sombre :

— Vous n’avez pas encore commencé votre service ?

Prise au dépourvu, Priscilla bégaya un peu, elle n’allait pas expliquer à la gouvernante qu’elle venait d’examiner les fesses de la baronne :

— Je… je… euh… j’y allais miss…

— Quelle heure est-il mademoiselle ?

— Euh… huit heures miss…

— Votre service est censé débuter à quelle heure ?

La soubrette baissa les yeux :

— Sept heures trente miss.

Jennifer Sterling tenait sa vengeance, cette petite avait assisté à son humiliation, l’administration d’une fessée déculottée et la mise au coin les fesses à l’air. Elle avait même été chargée de sa surveillance pendante cette honteuse pénitence. Elle fit un petit signe à la jeune fille :

— Suivez-moi Priscilla, nous allons régler ce petit problème d’indiscipline.

Elle ouvrit la porte de l’office, la cuisinière était déjà au travail, elle leva les yeux. Miss Sterling avait le regard sévère et Priscilla la suivait tête basse, la jeune gouvernante tira une chaise et s’installa dessus, elle s’adressa à Mathilda qui s’affairait :

— Vous vous souvenez ce que je vous ai dit hier, eh bien je vais vous en faire une démonstration.

En effet hier après la levée de sa pénitence, tout à sa colère d’avoir été punie, elle avait été à l’office et avait prévenue la cuisinière qu’en cas de manquement à ses obligations, la baronne l’avait autorisé à punir le personnel avec les méthodes traditionnelles qui incluaient bien sûr la fessée déculottée.

Elle fit un petit signe à la jeune bonne :

— Viens ici, je vais t’apprendre la ponctualité.

Elle avait changé de ton et tutoyé Priscilla, après tout n’allait-elle pas lui administrer un châtiment habituellement réservé à une gamine.

La soubrette frissonna, elle avait déjà reçu une déculottée hier et miss Sterling semblait avoir l’intention de recommencer. La gouvernante saisit la main de la jeune fille et l’attira contre elle, puis sans hésiter elle la bascula en travers de ses genoux. La courte jupe noire ne cachait pas grand-chose des cuisses gainée par les bas fumés. Jennifer Sterling allait pouvoir mettre en pratique les cours de fessée qu’elle avait reçu à l’école des gouvernantes.

Elle fit basculer Priscilla vers l’avant, ses pieds décollèrent du sol et la petite culotte blanche apparu au ras de l’ourlet de la jupe. Mathilda la cuisinière, une forte femme âgée d’une quarantaine d’années, regardait avec attention le spectacle, elle avait cessé d’éplucher ses légumes et souriait légèrement en voyant sa jeune collègue dans cette honteuse position.

Miss Sterling leva la tête et la fixa :

— Ce n’est pas votre âge qui vous empêchera de vous retrouver dans la même position ma chère Mathilda.

Elle saisit l’ourlet de la jupette et la retroussa bien haut sur les reins, elle constata avec satisfaction que la leçon de Sophie avait porté ses fruits, Priscilla avait enfilé sa culotte par-dessus son porte-jarretelle. Elle était blanche en dentelle et moulait parfaitement le joli derrière de la soubrette, la base des fesses était visible. On devinait le derrière contracté par l’angoisse, c’était seulement la deuxième fois qu’elle se retrouvait dans cette position humiliante et elle n’en avait pas encore l’habitude. Miss Sterling sourit en devinant la panique intérieure de la jeune bonne, « C’est difficile au début, mais tu vas voir tu vas t’y habituer, ton petit cul va rougir souvent », ses pensées vagabondaient pendant qu’elle glissait ses doigts sous la culotte au niveau des cuisses pour mieux dégager la base de la croupe :

— Chaque fois que tu seras en retard, tu recevras une bonne fessée, ton joli derrière bien rouge te le rappellera.

Elle claqua une dizaine de fois le pli fessier, Priscilla se mit à gémir :

— Aïe, non, aïe, mademoiselle… Pardon.

Jennifer se mit à rire :

— Tu pleurniches déjà alors que je n’ai pas commencé la fessée, attend que je te déculotte et tu pourras pleurer.

Sans attendre elle saisit l’élastique de la fine lingerie et la fit glisser sur le postérieur potelé, les deux fesses étaient serrées, la raie médiane n’était plus qu’une fine ligne. La jeune gouvernante tapota le derrière :

— Tu devrais desserrer les fesses ma petite Priscilla, la fessée sera plus douloureuse sinon.

La soubrette relâcha un peu ses muscles fessiers et immédiatement la main sèche de Jennifer s’abattit sur les fesses blanches et les firent passer rapidement au vermillon puis au rouge cramoisi. Les jambes de Priscilla battaient l’air, sa culotte descendit jusqu’aux chevilles et elle se mit à pleurer comme une madeleine.

Miss Sterling n’avait pas eu l’occasion de donner la fessée depuis longtemps, la dernière fois c’était à son premier poste juste après sa sortie de l’école, elle avait corrigé les trois filles adolescentes d’une grande famille londonienne et elle gardait un souvenir ému des trois fessiers juvéniles qu’elle avait rougis.



Celui de la soubrette était vraiment mignon, il se serrait convulsivement pour atténuer la cuisson, elle la fit se relever, et se baissa pour remonter la culotte sous les fesses, puis elle agrafa la jupe dans le dos :

— Tu vas rester les fesses à l’air pour que je puisse surveiller la couleur de ton derrière, va te mettre au coin en attendant, je dois parler à Mathilda.

La cuisinière rougit en entendant son nom, elle avait assisté avec un plaisir mêlé d’un peu d’inquiétude à la fessée de Priscilla, la gouvernante s’était approchée d’elle :

— Je voudrais juste vérifier votre tenue Mathilda, tournez-vous et troussez votre jupe.

Interloquée la dame de quarante ans bégaya :

— Mais… mais miss… Pourquoi… Je… enfin… non s’il vous plaît.

La jeune anglaise la regardait sévèrement.

— Ce n’est pas un souhait ma chère Mathilda, c’est un ordre, dépêchez-vous, je n’ai pas que ça à faire.

Les joues écarlates, la cuisinière se tourna et retroussa sa jupe, elle portait des collants et on devinait dessous une culotte rose. Jennifer s’approcha et claqua les fesses rebondies :

— Les collants sont interdits ! Pourquoi n’avez-vous pas des bas ?

Affolée Mathilda tenait toujours sa jupe retroussée :

— Mais… mais je ne savais pas… pardon mademoiselle.

— Comment ça vous ne saviez pas, ne rajoutez pas le mensonge à votre désobéissance. Enlevez-moi ce collant immédiatement.

Pour être plus persuasive, elle avait accompagné sa phrase d’une bonne claque au milieu du fessier. Complètement abasourdie et repensant à la magistrale fessée reçue par sa jeune collègue, Mathilda glissa ses doigts sous son collant et le fit glisser, elle se déchaussa et l’enleva complètement. Jennifer tendit la main :

— Donnez-moi le, vous resterez jambes nues aujourd’hui ça vous apprendra, demain je vérifierai si vous avez mis des bas. En attendant on va régler immédiatement ce problème d’indiscipline, venez ici !

Elle s’était réinstallée sur la chaise, elle saisit le bras de la forte cuisinière qui se retrouva en quelques secondes dans la position qu’elle faisait prendre à sa fille pour la corriger, sauf que sa fille avait dix ans et elle quarante.

La jeune gouvernante retroussa à nouveau la jupe, la culotte rose couvrait bien le plantureux fessier, pour marquer son autorité et faire comprendre à Mathilda que c’était une punition méritée, elle la déculotta immédiatement comme une maman en colère corrigeant sa progéniture. La culotte baissée à mi-cuisse, la fessée pétarada dans l’office accompagné des cris et supplications de la dame de quarante ans redevenue une gamine punie. La correction fut courte mais magistrale, quand elle se releva, la cuisinière avait les joues baignées de larme.

Comme elle l’avait fait pour Priscilla, elle remonta la culotte sous les fesses et agrafa la jupe dans le dos, puis elle claqua sèchement la large croupe cramoisie :

— Au travail, tu restes cul nu comme ta comparse, tes fesses sont à ma disposition si nécessaire.

Elle s’approcha de la soubrette qui était au coin :

— Tu files au travail, maintenant.

Elle regarda avec satisfaction les deux fesses rougies s’éloigner, c’était vraiment charmant.

Priscilla les joues rouges se mit à faire la poussière dans la bibliothèque, elle entendit la porte s’ouvrir, elle se retourna pour éviter de présenter ses fesses nues, mais c’était trop tard la baronne De Nouvel les avaient aperçues :

— Qu’est-ce que c’est que cette tenue ? Tournez-vous et expliquez-moi ça ma petite.

Les joues du haut aussi rouges que celle du bas Priscilla s’exécuta et présenta son derrière dénudé. La vieille dame approcha en souriant et caressa le derrière rougi :

— On a pris une bonne fessée à ce que je vois. C’est miss Sterling ?

— Oui madame.

— Elle avait sûrement ses raisons, elle a bien fait, votre derrière bien rouge est charmant ma petite, continuez votre travail si vous ne voulez pas revenir sur ses genoux.



Elle s’installa dans un fauteuil pour lire son journal jetant de temps en temps un œil sur la mignonne paire de fesses de sa bonne. Quand Jennifer entra elle sourit satisfaite du spectacle offert par Priscilla, sa patronne avait l’air d’apprécier, la baronne leva les yeux de son journal :

— Mes félicitations Jenny, je ne sais pas pourquoi vous avez administré une fessée déculottée à cette petite, mais le résultat est plaisant.

— Merci madame, j’ai puni Priscilla pour son retard, je pense qu’une bonne fessée déculottée traditionnelle est la méthode la plus efficace.

La baronne la regarda avec un sourire gourmand :

— Vous pensez qu’une seule fessée sera suffisante pour corriger ce genre de comportement ?

Miss Sterling lui rendit son sourire :

— Je pense effectivement qu’une deuxième fessée devant vous, donnerais plus de poids à la punition. Que pensez-vous de la brosse à cheveux ?

Marie De Nouvel était ravie, elle ne donnait plus la fessée mais voir une dame en recevoir une la remplissait d’aise.

— Ce sera parfait, vous en avez une ou faut-il que je vous prête la mienne ?

Jennifer Sterling portait une veste verte, elle tira de sa poche, une solide brosse à manche d’ébène :

— Elle ne me quitte jamais, c’est un cadeau de fin d’étude. Elle a beaucoup servi sur les derrières des trois filles de mon premier emploi, mais depuis elle était au chômage Priscilla vient ici !

La jeune bonne avait suivi la conversation, elle savait donc ce qui l’attendait, elle s’approcha en tremblant :

— Mais miss, vous m’avez déjà punie ce matin.

— Et alors la belle affaire, ton derrière peut très bien supporter deux fessées, il faut que madame la baronne assiste à ta punition, dépêche-toi avant que je ne me fâche.

La gouvernante voulait prouver à sa patronne qu’elle savait y faire pour tenir le personnel et le punir si nécessaire, elle tenait à lui montrer son savoir faire en matière de châtiments corporels.

Dès que la soubrette fut à sa portée, elle lui prit la main pour la faire s’approcher, elle posa son pied sur un tabouret et saisissant la jeune fille par la taille, elle la fit basculer sur sa cuisse horizontale, Priscilla poussa un cri, ses pieds décollèrent du sol, elle était en équilibre, les fesses bien exposées, sa culotte déjà baissée ne gênait pas l’application de la correction, mais Jennifer la baissa à mi-cuisse. Elle ceintura fermement la punie, celle-ci s’agrippait au tabouret en gémissant :

— Non, non, miss, s’il vous plaît…

Les fesses de la jeune bonne étaient dirigées vers la baronne qui appréciait le spectacle, la brosse commença son œuvre punitive, et Priscilla se mit à hurler immédiatement. La brosse était large et lourde elle couvrait pratiquement la surface d’une fesse et pour impressionner sa patronne, la jeune gouvernante claquait vraiment très fort. Bientôt la croupe ne fut plus qu’une boule rouge, les cris se mêlaient aux pleurs de la jeune fille corrigée.





Jugeant le résultat satisfaisant, miss Sterling reposa Priscilla par terre :

— Va montrer ton derrière à madame la baronne !

Les larmes coulaient sur les joues de la soubrette, elle se dirigea vers Marie De Nouvel qui souriait, elle se tourna pour lui présenter sa croupe rouge écarlate. La baronne appuya légèrement sur le dos pour la faire se pencher en avant :

— Quand tu viens me présenter tes fesses, il faut que je les voie de près. Voilà, comme ça c’est bien.

Elle caressa la peau brûlante et regarda Jennifer :

— Mes compliments miss Sterling, voilà une bien jolie paire de fesses.

Elle tapota la croupe :

— Tu vas aller te mettre au coin le nez contre le mur et les mains sur la tête et tu y resteras pendant une heure. Allez file !!

Une petite claque avait accompagné sa phrase, Priscilla en reniflant se dirigea vers le coin de la pièce et pris la position requise.

La baronne se tourna vers la jeune gouvernante :

— Je viens d’avoir Sophie de l’institut au téléphone, elle m’a rappelé votre rendez-vous. Demain matin à huit heures, je vous laisse votre journée.

Jennifer rougit, le souvenir des deux déculottées que lui avait administré la jeune assistante de madame Rose était encore cuisant. Marie De Nouvel la regarda en souriant :

— Elle a prévu un forfait « vilaine fille », je pense que vous n’aurez pas froid aux fesses ma chère.

 

 




Mademoiselle Héloïse 3

 Nouvelle punition publique pour Sylvie J’étais vraiment excitée par le déroulement de cet après-midi, le superbe fessier d’Ambre moulé dans...