Nouvelles fessées
Sophie appréciait de discuter avec la baronne mère, elle avait beaucoup d’humour et avait une grande connaissance de l’éducation stricte et des châtiments corporels. Elle lui racontait sans aucune gêne qu’elle aussi avait goûté dans sa jeunesse et même un peu plus tard à l’humiliation de la fessée déculottée.
— Ma petite Sophie je peux vous dire que les préceptrices que maman engageait avait la main leste, c’était d’ailleurs une des conditions de leur embauche et elle ne se gênait pas pour nous déculotter mes sœurs et moi et nous administrer de sévère fessée, la plupart du temps en public d’ailleurs. Je n’en suis pas morte. Sophie la regarda en souriant :
— Je peux vous demander jusqu’à quel âge vous avez reçu la fessée déculottée ?
Marie De Nouvel lui rendit son sourire :
— Voyons, c’était quand ? Ah oui, je m’en souviens parfaitement c’était au mariage de ma cousine Anna, elle avait vingt-deux ans et moi vingt-cinq, nous avions un peu trop bu, nos mères respectives qui étaient sœurs se sont chargées de nous expliquer comment devait se tenir des jeunes femmes de bonne famille.
Sophie buvait ses paroles :
— Vous me racontez, c’était en quelle année ?
Marie lui décocha un petit sourire coquin :
— Ça t’intéresse tant que ça ? Tu m’imagines la culotte baissée en travers des genoux de maman ? C’était juste avant la guerre, tu vois ça ne nous rajeunit pas.
Elle avait les yeux dans le vague :
— Ça a été une magistrale correction, elles nous ont conduit dans la bibliothèque et on a dû retrousser nos robes longues, tu imagines Anna avec sa robe blanche mariée. Eh bien on était là toutes les deux en culotte et jarretelles, elles nous ont couchées en travers de leurs cuisses et nous ont déculottées comme si on était des gamines. La culotte aux genoux, les fesses parfaitement exposées, on entendait en plus le bruit de la fête, la fessée m’a paru durer une éternité. Ensuite on a pu rejoindre le mariage avec chacune une paire de fesses bien rouges sous nos culottes.
Sophie était fascinée :
— À vingt-cinq ans et pendant un mariage, c’est sûr que ça a dû vous marquer.
— Oh oui surtout que le soir maman m’a fait administrer le martinet par la gouvernante et que j’ai fait mon temps de coin dans le salon devant quelques invitées qui étaient à la maison.
Sophie compta mentalement :
— Vous m’avez dit que vous avez quatre-vingt-deux ans, si je compte bien, ça fait quarante-sept ans que vous n’avez pas reçu la fessée.
La baronne la regarda avec toujours ce petit sourire coquin :
— Eh oui…
— Ça vous manque ?
Sophie se mordit les lèvres, la phrase lui avait échappé. Marie De Nouvel ne se départit pas de son sourire :
— Pourquoi ? Tu serais capable de corriger mes vieilles fesses ?
Sophie avait les joues rouges, elle baissa les yeux :
— Euh, non, non madame la baronne, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire.
Marie se leva et mis un doigt sur sa bouche :
— Viens avec moi.
Elles sortirent du salon et la baronne la conduisit à sa chambre :
— J’aimerais savoir si elles sont encore fessable, comme tu es une spécialiste.
La surprise et la gêne passée, Sophie était un peu excitée par la situation. La vieille dame s’était tournée pour lui présenter sa croupe. Elle était assez volumineuse, comme celle de sa fille, la jupe descendait sous le genou, elle en saisit l’ourlet et se troussa. Comme Élisabeth, elle portait des dessous élégants, bas et porte-jarretelles, une culotte rose pâle moulait le large fessier. Elle tourna la tête vers Sophie :
— Comment procède-t-on ? Vous voulez me déculotter ou dois-je baisser moi-même ma culotte ?
La jeune assistante n’en croyait pas ses oreilles, la baronne l’avait vouvoyé comme si c’était elle la nouvelle maîtresse, décidément ce nouveau service de fessée à domicile ouvrait des perspectives, elle s’approcha de Marie exposant son derrière culotté :
— Je pense que je vais vous déculotter ma chère, vous êtes une dévergondée.
La baronne baissa les yeux :
— Vous avez sans doute raison Sophie… Aïe…
La main de la jeune femme venait de claquer le pli fessier à la base du derrière :
— Mademoiselle Sophie !!
— Pardon… mademoiselle Sophie.
La jeune assistante s’installa sur une chaise :
— Venez-ici, je serai plus à l’aise pour examiner votre derrière et répondre à votre question. Vos fesses sont-elles encore fessables.
Marie De Nouvel sembla hésiter un instant, elle regarda Sophie, celle-ci souriait mais son regard était déterminé, elle s’avança et s’arrêta quand elle fut contre les genoux de la jeune femme, c’était quand même difficile de se mettre elle-même en position disciplinaire.
La jeune assistante compris son hésitation :
— C’est si compliqué que ça ma petite Marie ?
Elle avait dit ça sans se départir de son sourire, c’est vrai qu’au début elle avait été elle-même surprise de son audace, mais vu la tournure des événements elle avait retrouvé ses accents de maîtresse sévère et elle traitait maintenant la vieille dame comme une cliente de l’institut, elle l’avait appelée par son prénom sans aucune considération pour son âge.
Elle prit la main de la baronne et la força à se coucher en travers de ses cuisses, la dame d’âge mûr, sembla prendre conscience de la situation, elle poussa un petit cri :
— Oh… mademoiselle Sophie…
La jeune femme se mit à rire :
— Eh oui ma chère Marie, vous voilà en bonne position, ça vous rappelle quelque chose ? C’était comme ça que vous a mis votre gouvernante la dernière fois.
Elle retroussa la jupe qui était retombée :
— Voyons un peu ce derrière.
Elle caressa la culotte rose pâle en soie :
— Très joli dessous, je vous félicite, il faut rester élégante à tout âge. Malheureusement cette jolie petite culotte ne va pas rester sur vos fesses.
Marie De Nouvel, était partagée entre deux sentiments contradictoires, elle était excitée par ce petit jeu pervers qui la rajeunissait, mais en même temps elle était un peu honteuse de sa position sur les genoux d’une si jeune femme et celle-ci venait calmement lui annoncer qu’elle allait la déculotter comme l’aurait fait une maman sur sa gamine mal élevée.
Elle sentit les doigts se glisser sous l’élastique de sa lingerie, malgré le temps passé, elle n’avait pas oublié ce sentiment de honte indicible, elle ne put s’empêcher de gémir :
— Oh non, mademoiselle Sophie s’il vous plaît, pas la culotte. Aïe, aïe, aïe, aïe.
La main de la jeune femme venait de claquer quatre fois l’arrière des cuisses.
— Vas-tu cesser de gémir, c’est un peu tard ma petite, il fallait y réfléchir avant !
La petite fessée était venue naturellement, ni la fesseuse, ni la punie n’avait semblé surprise, Sophie se comportait dorénavant comme à l’institut que la dame couchée sur ses genoux soit très âgée n’avait plus d’importance et Marie à cet instant précis n’était plus baronne, elle l’avait d’ailleurs naturellement tutoyée.
Elle déculotta largement la grand-mère, qui n’en menait pas large.
— Si tu veux que j’examine ton derrière ma petite Marie, il faut bien que je te déculotte !
Sophie fut surprise par la découverte du fessier de la baronne, certes il était un peu ramolli, la cellulite envahissait les deux hémisphères, mais la position le faisait bomber et il gardait toutes les caractéristiques d’une bonne paire de fesses bien large et comme l’avait demandé Marie, il était en effet fessable. Elle commença son examen minutieux de la bonne paire de fesses, ses gestes étaient professionnels, elle palpa et pinça le derrière grassouillet, les claques qu’elle avait administrée à la base des fesses avaient légèrement rougi la peau. Comme elle en avait l’habitude elle glissa ses doigts entre les cuisses :
— Écarte tes jambes, mieux que ça !
Une petite claque était venue ponctuer la demande. Docilement Marie De Nouvel écarta ses cuisses, consciente de l’impudeur de sa position, elle rougit violemment. Mais ce n’était pas assez pour la perverse jeune femme, ses doigts remontèrent entre les fesses pour explorer la raie médiane, la vieille dame gémit et contracta son large derrière :
— Oh mademoiselle Sophie, s’il vous plaît, c’est très gênant.
Celle-ci se mit à rire :
— Oh tu sais ma petite Marie, j’en vois tous les jours des derrières et le tien n’est pas différent, tu m’as demandé un avis, il faut bien que je l’examine. Desserre tes fesses !!
Les muscles fessiers se relâchèrent et avec deux doigts la jeune femme ouvrit la raie médiane mettant à jour l’intimité de la grand-mère redevenue une vulgaire punie comme à l’institut.
L’examen se prolongea encore quelques instants, puis satisfaite, Sophie remonta elle-même la culotte sur le large fessier et tapota le derrière maintenant caché :
— Tu peux te relever.
Quand elle fut debout, la baronne De Nouvel ne put masquer son trouble, ses joues étaient aussi rouges que les deux paires de fesses qui ornaient le mur de son salon. Elle arrangea sa jupe qui était retombée, Sophie la regardait avec un sourire malicieux :
— Ma chère pour répondre à votre interrogation, votre derrière est tout à fait fessable, par contre si je peux me permettre, il aurait besoin d’un peu d’entretien afin de le raffermir. À votre âge, je comprends bien que vous n’allez pas vous mettre à la gym, il reste donc deux options, la première c’est l’administration régulière de bonnes fessées déculottées, vous pouvez constater que l’aspect des fesses de notre chère petite Élisabeth s’est grandement amélioré depuis qu’elle vient régulièrement se faire corriger à l’institut. La deuxième option qui me parait plus adaptée, c’est notre traitement spécial cellulite, nous obtenons de très bon résultat, je vais vous donner une brochure que vous pourrez étudier tranquillement.
Marie De Nouvel avait écouté sagement la jeune femme, elle avait encore le rose aux joues quand elle leva les yeux vers elle et énonça d’une petite voix :
— Vous me trouvez vraiment trop âgée pour recevoir une bonne fessée déculottée ?
Sophie la regarda un peu interloquée :
— Euh… Non, pourquoi ?
— Parce qu’en général quand a couché une dame sur ses genoux et qu’on l’a déculottée, ça finit toujours par une bonne fessée.
Sophie regarda la dame qui lui faisait face, elle paraissait déterminée, elle sourit et lui prit la main :
— Vous avez raison Marie, où avais-je la tête ? Je vous préviens cependant que dans quelques secondes vous ne serez plus la baronne De Nouvel, mais une dame qui mérite d’être punie, vous perdrez vos privilèges.
— Oui mademoiselle Sophie.
La jeune femme s’installa à nouveau sur la chaise et fit basculer la grand-mère en travers de ses genoux, celle-ci poussa un petit cri mais se laissa faire. Sans plus attendre, elle troussa la jupe bien haut sur les reins, la culotte rose moulant le derrière n’était plus une découverte. Elle voulait recevoir une bonne fessée, qu’à cela ne tienne, d’un geste sec elle baissa la culotte à mi-cuisse :
— Voilà, vilaine fille. Cul nu ! Tu devrais avoir honte de me montrer tes fesses à ton âge. Tu vas voir je vais te les chauffer.
Elle commença à claquer, les confidences de la vieille dame l’incitèrent à lui administrer une magistrale fessée comme celle qu’elle recevait dans sa jeunesse. Rapidement celle-ci ne fit plus son âge, elle n’était plus qu’une chipie corrigée par une sévère gouvernante. Elle en eut bientôt les accents suppliant puis pleurant sous la cuisson qui envahissait son plantureux derrière, celui-ci s’ouvrait et se fermait, les pieds battaient l’air, c’était une véritable correction. Enfin Sophie cessa la punition et posa sa main sur les fesses brûlantes :
— Je crois que tu vas réfléchir ma petite Marie, à partir d’aujourd’hui chaque fois que ce sera nécessaire tu viendras faire un petit séjour sur mes genoux.
Le derrière de la baronne était écarlate, Sophie savait donner des fessées cuisantes qui vous impriment aussi bien dans la peau du derrière que dans le cerveau le devoir d’obéissance. Elle ne remonta pas la culotte de la punie avant de la faire relever, les larmes avaient coulé sur les joues de la vieille aristocrate, elle ne faisait plus la fière ;
— Tourne-toi !
Sophie saisit l’ourlet de la jupe qui était retombée et la coinça dans la ceinture, la culotte entourait les genoux, elle la remonta à mi-cuisses :
— Mets tes mains sur la tête !
Les ordres claquaient et Marie obéissait, Sophie se recula pour jouir du spectacle de ces bonnes grosses fesses bien rouges encadrées comme dans un écrin par la culotte rose, les jarretelles et la jupe comme un rideau de scène. Elle prit son téléphone et fit une première photo, puis elle demanda à la baronne de tourner sa tête vers elle pour en prendre une autre. Comme toutes les patientes de l’institut la baronne Marie De Nouvel serait dans le fichier confidentiel en compagnie de nombreux autres fessiers tous bien rougis.
— Normalement ma chère tu devrais aller au coin, mais comme c’est la première fois tu vas y échapper, je ne veux pas te priver de la suite de la correction des deux chipies.
Elle s’approcha et tapota le fessier cramoisi :
— Ça t’a plu ?
Marie la regarda en rougissant, mais avec un léger sourire :
— Vous claquez fort mademoiselle Sophie, vous me rappelez ma dernière préceptrice, miss Redling, ses fessées cuisaient autant. Ça m’a rajeuni…
Elle hésita un moment :
— Euh… vous avez dit que vous recommenceriez ?
Sophie se mit à rire :
— Seulement si vous la méritez madame la baronne…
Elle la regarda droit dans les yeux :
— Vous allez signer votre adhésion comme patiente de l’institut, c’est sûr qu’à partir de maintenant il vous faudra filer droit.
La baronne sentit le piège se refermer, ses fesses étaient encore cuisantes :
— C’est… c’est vraiment nécessaire ?
Sophie lui tendit son téléphone, les fesses rouges de la baronne ainsi que son visage étaient parfaitement reconnaissables :
— Je crains que vous n’ayez pas le choix, Marie.
Elle caressa la croupe brûlante :
— Mais vous serez sage n’est ce pas ? Reculottez-vous, deux paires de fesses nous attendent.
Effectivement les deux punies n’avaient pas bougé d’un pouce pendant ce petit intermède, les derrières rougis se contractèrent en entendant des voix. Sophie se dirigea vers la jeune gouvernante, elle avait pris au passage mademoiselle Claquefesse, cette petite spatule en cuir de la taille d’une fesse, elle saisit l’oreille de la jeune femme et l’attira au milieu de la pièce où trônait toujours la chaise à fessée.
Elle s’installa et sans perdre de temps, elle bascula Jenny en travers de ses genoux, elle était troussée et déculottée, prête pour la suite de sa punition. Comme à son habitude, Sophie profita un peu de son pouvoir pour humilier un peu la punie. Elle la força à écarter largement les jambes et glissa ses doigts entre les fesses :
— Après ta fessée d’échauffement, on va passer à la vraie fessée déculottée ma chérie, tu vas voir comme mademoiselle Claquefesse va bien s’occuper de ton joli derrière.
La jeune anglaise se mit à crier dès le début de la fessée, elle n’avait jamais goûté à ce genre d’instrument, la fessée était rapide et extraordinairement cuisante, la croupe repris immédiatement une couleur éclatante. La danse des fesses impressionna beaucoup la baronne qui en avait oublié ses fesses rouges sous sa lingerie.
Sophie posa la petite raquette en cuir sur le dos de la jeune femme et palpa le fessier rebondi :
— Tu as compris ma petite Jenny ?
Celle-ci sanglotait, ses fesses se contractaient spasmodiquement :
— Ou… oui mademoiselle Sophie, ça brûle, s’il vous plaît plus la fessée…
La jeune assistante se tourna vers la baronne :
— C’est curieux comme une bonne fessée déculottée fait des miracles, notre petite Jenny est devenue mignonne.
Elle insinua ses doigts entre les fesses et força la jeune gouvernante à ouvrir les cuisses, elle voulait la soumettre complètement à son autorité. Elle écarta la raie fessière et regarda la sévère baronne :
— Cette jeune femme à encore besoin d’être punie, vous me l’enverrez à l’institut. Mais comme je veux qu’elle se souvienne de mademoiselle Sophie, je vais lui tanner un peu plus le derrière.
— Nooonn… aïe, aïe, aïe, plus la fessée… Noon pardon mademoiselle Sophie.
La fessée venait de reprendre, une nouvelle avalanche de claques très rapides s’abattit sur la belle paire de fesses, puis elle reprit mademoiselle Claquefesse et termina la correction par une vingtaine de coups.
Jenny hurlait et pleurait en même temps, elle sautait littéralement sur les cuisses de Sophie à chaque coup de mademoiselle Claquefesse, sa culotte était entortillée autour de ses chevilles, l’intégralité du fessier était d’un rouge profond, la jeune maîtresse se pencha et retira complètement la culotte, elle regarda la baronne en souriant :
— Avec la belle culotte rouge que je lui ai mis sur le derrière, elle n’a plus besoin de celle-là.
Jenny était maintenant debout le visage baigné de larmes, ses mains se dirigèrent vers son postérieur, Sophie la regarda sévèrement :
— Tu ne comptes pas frotter tes fesses ma chérie ? Sauf bien sûr si tu tiens à revenir sur mes genoux.
Instantanément la jeune anglaise posa ses mains sur sa tête, la jeune femme sourit et lança un regard malicieux à la baronne :
— Elle est prête pour aller au coin, je vous laisse juge du temps qu’elle doit y passer.
— Oh je crois qu’elle va y rester un bon moment, de toute façon il faut que son derrière refroidisse.
Sophie s’était approchée d’Élisabeth et lui avait caressé les fesses rouges :
— A nous deux, vilaine fille.
En un clin d’œil la sexagénaire se retrouva dans la position classique d’une gamine fessée, comme à son habitude afin de faire honte à la punie, elle lui fit écarter les jambes et ouvrit sa raie fessière. Juste à l’instant la jeune bonne entra pour desservir le thé, elle eut un petit mouvement d’hésitation, la baronne l’encouragea à entrer :
— Tu peux venir Priscilla, une fessée publique fera le plus grand bien à ma grande chipie. Regarde comme elle nous présente bien ses bonnes grosses fesses.
La jeune fille avait déjà vu la baronne Élisabeth au coin les fesses rougies, mais elle n’avait jamais assisté à la fessée proprement dite. La première fois qu’elle avait vue la fille de sa patronne en pénitence les fesses à l’air, elle n’en avait pas cru ses yeux, mais aujourd’hui c’était encore pire, cette dame qui avait l’âge de sa grand-mère était en position pour recevoir une fessée déculottée. La jeune maîtresse tenait toujours la raie fessière grande ouverte, l’intimité d’Élisabeth était ainsi parfaitement exposée.
À la grande surprise de la jeune bonne, la dame âgée se laissait faire, tout juste de petits reniflement se faisait entendre, signe que les sanglots n’étaient pas loin, mais habituée depuis quelques mois aux sévères corrections de l’institut, elle se gardait bien de protester ou de bouger.
Sophie regarda la jeune bonne en souriant :
— Installe-toi confortablement, Élisabeth va nous exécuter une jolie danse des fesses.
Elle prit la grande brosse à cheveux qu’elle avait sorti de sa mallette et tapota le derrière avec le dos en ébène :
— Tout à l’heure je t’ai corrigée pour tes bêtises d’hier, maintenant tu vas recevoir une bonne fessée en prévision de celle que tu feras avant de revenir me voir à l’institut.
Elle leva la brosse et la correction commença, elle fut aussi intense que celle reçue par Jenny et effectivement comme annoncé, les battements de jambes et les contractions désespérées des fesses donnèrent un magnifique spectacle. Les pleurs et les cris avaient envahi la pièce. Priscilla était fascinée par le large derrière qui s’ouvrait et se refermait, elle ne pensait pas qu’on pouvait administrer et surtout endurer une telle correction.
Les bonnes grosses fesses d’Élisabeth étaient maintenant habituées aux sévères fessées et Sophie savait que son fessier pouvait les supporter, tout juste aurait-elle du mal à s’asseoir ce soir et demain. Mais au moins se souviendrait-elle de sa punition.
La fessée était maintenant terminée, le derrière de la baronne Élisabeth De Nouvel fumait quasiment, une légère buée s’élevait au-dessus de la croupe cramoisie, signe de l’intensité de la chaleur dégagée par le fessier.
Sophie s’adressa à la jeune bonne :
— Regarde dans ma mallette, tu vas y trouver une boite rose, apporte là moi.
La jeune fille s’exécuta, Sophie ouvrit la boite et regarda à la baronne :
— Je pense qu’un petit supplément est nécessaire, je vais mettre un suppositoire au gingembre dans le derrière de cette chipie.
Elle sortit le suppositoire de la boite, madame Rose les faisait fabriquer spécialement et elle avait demandé aux fournisseurs la plus grosse taille de suppo. Il était effectivement très volumineux de la grosseur d’un doigt et long de quatre centimètres. Elle écarta à nouveau largement les fesses écarlates d’Élisabeth pour mettre à jour son petit trou et elle posa le suppositoire dessus puis elle le poussa lentement afin de le faire pénétrer. La baronne Élisabeth De Nouvel était au comble de la honte de se faire mettre un suppositoire dans cette position humiliante, couchée telle une gamine sur les genoux de sa maman.
Dès que le suppo eut disparu dans le fondement de la punie, Sophie resserra les fesses :
— Ma chérie cette fois il te faut bien serrer tes bonnes grosses fesses, si jamais le suppo ressort, je te promets une fessée qui t’empêchera de t’asseoir pendant une semaine.
Le suppo commençait à fondre et Élisabeth en ressenti rapidement les effets, la brûlure ne concernait plus seulement ses fesses, mais également l’intérieur, elle se mit à gémir et à tortiller son derrière de façon suggestive ce qui eut pour effet de faire sourire, la jeune bonne et la baronne qui avait assisté à ce complément de punition, Sophie tapota le derrière contracté et se mit à rire :
— On dirait que notre petite Élisabeth à chaud à son petit cucul. Cesse de te tortiller comme ça.
Elle fit relever la punie et la conduisit au coin en accompagnant sa marche par quelques claques bien senties sur le postérieur. Élisabeth pleurait et serrait convulsivement ses fesses, mais il en fallait plus pour émouvoir Sophie :
— Cesse de pleurnicher, où alors tu le fais en silence.
— Mademoiselle Sophie, ça brûle. Aïe, aïe, aïe.
— Et ça, ça te brûle aussi ?
La sévère jeune femme venait de claquer sèchement la large croupe cramoisie.
— Je sais bien que ça brûle, c’est même pour ça que je t’ai mis ce suppo, si tu veux revenir sur mes genoux, tu n’as qu’à continuer à chouiner et je te garantis que ton derrière va te brûler encore plus.
Calmée par la menace qui planait au-dessus de ses fesses, la sexagénaire, se mit à pleurer silencieusement, seul le mouvement de ses épaules montrait sa douleur, elle avait posé son nez contre le mur et mis ses mains sur la tête sans qu’on lui demande.
Sophie se tourna vers les deux spectatrices et désigna les deux dames en pénitence :
— Ne sont-elles pas mignonnes avec leurs derrières bien rouges. Élisabeth est en train de muscler son fessier à le serrer comme ça.
Elle avait dit ça en souriant, elle ajouta en s’adressant à la baronne :
— L’effet du suppo disparaît au bout d’une heure environ, c’est suffisant en général pour que la chipie ne recommence pas ses bêtises. Par contre je pense que madame aurait besoin d’un petit supplément, un suppositoire avant d’aller au lit serait parfait.
La baronne approuva :
— Vous avez raison, elle n’a pas été fessée hier, il faut rattraper cela. Mais qui va lui mettre ?
La perverse jeune femme regarda le fessier rougeoyant puis elle se tourna vers les deux spectatrices :
— Vous pourriez parfaitement vous en charger, mais j’ai une meilleure idée, Priscilla est tout à fait apte à le faire.
La jeune bonne regarda Sophie avec surprise, ses joues étaient roses de plaisir, la jeune maîtresse la regarda fixement :
— Vous avez vu comment je fais, ce n’est pas sorcier, vous saurez le faire j’en suis sûr.
— Fière de ce nouveau rôle la jeune fille se redressa :
— Vous pouvez compter sur moi mademoiselle.
— Bien sûr avant de mettre le suppo, vous redonnerez un peu de couleurs à son derrière.
— Bien mademoiselle.
La sévère jeune femme se tourna vers la baronne :
— Je vais y aller, mais j’aimerais vérifier la tenue de Priscilla, si vous permettez.
Un peu surprise Marie De Nouvel se tourna vers la jeune bonne :
— Bien sûr je n’y vois aucun inconvénient, Priscilla va voir mademoiselle Sophie.
La jeune assistante fit un petit signe du doigt :
— Viens un peu ici, je pense que comme toutes les jeunes tu as plus l’habitude de porter des jeans que des jupes et des bas. Il y a des règles à respecter, tourne-toi.
Complètement déstabilisée par la tournure des événements, Priscilla s’exécuta présentant son derrière rebondi à Sophie, celle-ci sans perdre une minute, retroussa la jupe.
— C’est bien ce que je craignais, elle tapota le derrière culotté. Quand on met un porte-jarretelle ma petite Priscilla on enfile pas sa culotte avant d’agrafer ses bas, sinon on ne peut pas te déculotter correctement.
En effet la fine culotte en dentelle était glissée sous les jarretelles, rapidement d’une main experte Sophie détacha les pinces fixées au bas :
— Enlève ta culotte avant de ragrafer tes bas !
La jeune bonne hésita un instant, mais une claque sèche sur son fessier culotté l’incita à obéir :
— Dépêche-toi, ma main me démange.
Elle se tourna vers la baronne :
— J’en étais sûre, le nombre de fois où je suis forcée de sévir pour ce genre d’erreur, ce n’est pas croyable. Ces petites s’imaginent peut-être échapper au déculottage complet.
Priscilla glissa ses doigts dans la ceinture de sa culotte et la fit glisser sur ses rondeurs, elle tournait le dos à Sophie ce qui permit à celle-ci de jauger immédiatement la paire de fesses de la jeune fille. Comme elle l’avait deviné de prime abord, cette petite avait un beau derrière juvénile ferme et rebondi, potelé à souhait. Un vrai derrière à fessée.
La jeune fille fit glisser sa lingerie jusqu’à ses chevilles et l’enjamba, sa jupe était retombée masquant son joli fessier, Sophie s’approcha et comme elle le faisait pour mettre une dame en pénitence, elle coinça l’ourlet de sa jupe dans la ceinture. Priscilla avait les joues aussi rouges que les deux paires de fesses exposées contre le mur. Elle entreprit de refixer ses bas ce qui augmenta le côté sexy de la scène, malgré son âge, la baronne n’était pas insensible au charme du tableau, elle fit un petit clin d’œil à Sophie au moment où la jeune bonne remettait sa culotte en place par-dessus le porte-jarretelle :
— Je crois ma chère Sophie que vous devriez faire une démonstration à cette petite godiche de l’intérêt de mettre sa culotte comme ça.
La sévère assistante acquiesça du regard, c’était son intention. À peine Priscilla reculottée, elle l’attrapa par le bras pour la coincer contre sa hanche et la faire pencher en avant. Les fesses étaient tendues sous la fine culotte blanche avec un petit liseré de dentelle au niveau des cuisses, elle caressa la lingerie :
— Ta patronne a raison ma petite chérie, il faut que tu comprennes comment bien s’habiller et tu mérites une sanction, je vais te montrer comment je déculotte les péronnelles.
En un clin d’œil la culotte fut abaissée jusqu’aux genoux de la jeune fille et la main de Sophie claqua sèchement les rondeurs tendues devant ses yeux. La jeune femme ne savait pas donner de petites fessées, aussi Priscilla reçut ce jour-là sa première fessée magistrale, ce ne serait pas la dernière.
Elle n’avait jamais été punie de la sorte pendant son enfance aussi la découverte fut cuisante et douloureuse. Elle se mit immédiatement à crier et à supplier tandis qu’elle piétinait sur place, bien maintenue par la taille, elle ne pouvait échapper aux morsures des claques sèches de Sophie. Avant que son derrière ne fut écarlate elle pleurait déjà à chaudes larmes. La correction alla à son terme, puis la sévère assistante de madame Rose la relâcha, immédiatement elle se frotta les fesses pour atténuer la brûlure, Sophie et Marie la regardèrent faire en souriant, c’était tellement mignon même si c’était rigoureusement interdit :
— Ma chérie tu vas arrêter de frotter ton joli derrière bien rouge, sinon je te remets une autre fessée. Va plutôt le montrer à madame la baronne.
Rouge de honte, les yeux rougis par les pleurs, Priscilla se dirigea vers sa maîtresse et docilement se tourna pour lui présenter ses fesses rebondies :
— C’est bien, que cela te serve de leçon. La prochaine fois tu iras au coin comme Jenny et Élisabeth, mais aujourd’hui tu vas retourner au travail. Remonte ta culotte !
Sophie était ravie la séance se terminait bien, c’était toujours un plaisir pour elle de découvrir un nouveau fessier. Aujourd’hui c’était trois paires de fesses qui avaient fait connaissance avec sa sévérité.
Elle allait prendre congé, mais avant elle prit son carnet de rendez-vous :
— Lundi prochain je reviens pour m’occuper d’Élisabeth, nous devons également nous voir pour votre cellulite ma chère Marie, je vous propose mercredi après-midi, je réserve toute la demi-journée pour m’occuper de vous.
Marie De Nouvel rougit en entendant la dernière partie de la phrase « m’occuper de vous », voulait sûrement dire « m’occuper de vos fesses », Sophie continuait :
— J’en profiterai également pour faire le point avec Priscilla, vous me noterez ses manquements. Pour Jenny, je pense qu’une séance à l’institut sera nécessaire, que diriez-vous d’un forfait « vilaine fille ».
La baronne sourit et regarda le derrière écarlate de la jeune gouvernante :
— En effet ça me paraît tout indiqué, vous avez un créneau ?
Sophie parcourut son carnet :
— Je n’ai rien, mais Aurélie fait ça très bien. Jenny peut venir après-demain matin à huit heures. Le forfait dure la matinée ou plus si nécessaire.