Reprise en main
Oui je sais ça brûle mais garde tes larmes, je n’ai pas encore baissé ta jolie petite culotte. Tes fesses vont prendre une jolie couleur tu vas voir.
Maintenant on va passer à la vraie punition, la bonne fessée déculottée.
Je suis sûr qu’après ce séjour sur mes genoux tu vas redevenir une mignonne petite fille.
Mais ne brûlons pas les étapes, revenons quelques heures en arrière.
Julie avait décidé de faire du rangement, ça allait la calmer. Caroline devenait de plus en plus impossible.
Elle adorait sa fille mais celle-ci malgré ses vingt-trois ans se comportait comme une gamine, elle ne supportait aucune remarque, lui répondant mal ou boudant pendant des journées entières.
Elle avait éduqué sa fille à l’ancienne si on peut parler comme ça, elle avait reproduit avec Caroline le même schéma qui avait cours chez sa mère. En cas de désobéissance ou de mauvais comportement elle était punie et la seule punition qui vaille c’était la bonne vieille fessée déculottée.
Quand on parle de fessée déculottée, j’espère que vous comprenez qu’il ne s’agissait pas de quelques claques rapides administrées sur le derrière de la contrevenante. Non c’était toujours une vraie correction avec les fesses mises à nu, la position pouvait changer en fonction des circonstances, soit la punie courbée sous le bras de maman et coincée contre sa hanche, plus rarement la jeune fille pouvait se retrouver couchée sur la cuisse de Julie qui ayant posé son pied sur un tabouret la maintenait en équilibre avec les fesses parfaitement exposées, mais la position la plus fréquente restait traditionnelle, la délinquante couchée en travers des cuisses de sa mère, la tête près du sol et les fesses pointées vers le ciel, offertes à la main vengeresse de la sévère maman.
Julie dans sa jeunesse avait connu ces instants humiliants où malgré son âge on sent sa culotte descendre et l’air frais sur les fesses, suivi immédiatement par la cuisson de la correction maternelle.
Depuis combien de temps n’avait-elle pas administré une bonne fessée déculottée à Caroline ? Sans doute trop longtemps vu son comportement.
Pour sa part elle se souvenait de sa dernière punition, elle était enceinte de Caroline et malgré son état, Agnès n’avait pas hésité à lui administrer une magistrale déculottée après laquelle toute honte bue elle avait dû aller se mettre au coin la culotte baissée pour exposer ses fesses bien rouges.
Caroline avait vingt-trois ans, donc le calcul était vite fait, depuis cette date, elle ne s’était plus fait déculotter par sa mère.
Sur une étagère elle trouva le martinet, une bouffée de souvenirs lui remontèrent. Elle saisit l’instrument de punition traditionnel et caressa le manche jaune poli, elle fit glisser les lanières entre ses doigts. Ses larges fesses de dame mure se contractèrent sous sa culotte en dentelle. Il avait souvent servi celui-là, c’était exactement le même que celui qui était toujours suspendu à un crochet dans la cuisine. Agnès, sa mère, l’utilisait de deux façons bien différentes, le plus souvent c’était pour une correction rapide de maman en colère, dans ce cas là, c’était les mollets et les cuisses qui goûtaient aux morsures des lanières, à cette époque les filles ne portaient pas de pantalon et les jupes courtes facilitaient l’administration du châtiment. Si elle évitait l’humiliation du déculottage, les traces bien visible sur les mollets ou sur les cuisses au ras de la courte jupette était une honte à porter quand elle devait sortir après la punition. Julie avait une sœur un peu plus âgée et elle était soumise également à cette éducation stricte. Les voisines utilisaient les mêmes méthodes et les remarques ironiques sur l’aspect des mollets et des cuisses étaient monnaie courante.
Mais ce qui avait entraîné la contraction bien involontaire de ses fesses, c’était le souvenir d’une autre utilisation du martinet. Dans le cas de grosses bêtises après une magistrale fessée déculottée, Agnès utilisait le martinet en complément de punition.
Dans ce cas là punie après un séjour au coin pour méditer après sa première fessée, devait se pencher sur la table, la jupe retroussée et la culotte aux genoux. Les fesses déjà écarlates étaient étalées devant les yeux de la sévère maman qui annonçait la sanction, c’est à dire le nombre de coup qui allait cingler la tendre croupe. C’était en général entre vingt et cinquante, après une première fessée manuelle, la cuisson était intense et durait longtemps.
Après ce genre de punition exemplaire, les filles étaient envoyées au coin pendant un temps plus ou moins long, puis au lit sans dîner.
C’est en pensant à ces corrections que le derrière de Julie avait frissonné sous la fine lingerie en dentelle, il lui semblait ressentir encore la cuisson de la fessée.
Quand Caroline était née, Agnès lui avait offert le même martinet en lui disant :
— Il faut toujours avoir un martinet à la maison, regarde comme ça a réussi avec toi et ta sœur, vous avez toutes les deux une bonne situation.
Julie avait questionné sa sœur qui lui avait confirmé qu’elle aussi avait reçu en cadeau un martinet à la naissance de son premier enfant.
Les deux jeunes femmes avaient ri en souvenir des cuisantes corrections reçues et des massages mutuels qu’elles prodiguaient à leur fessier cramoisi après une magistrale fessée déculottée d’Agnès.
Elles avaient donc reproduit avec leur progéniture le même système éducatif, Caroline et ses deux cousines avaient eu souvent le derrière bien rouge dans leur enfance et même leur adolescence. Elles avaient goûté à la discipline de leur tante et de leur grand-mère. C’était une évidence dans la famille, les adultes avaient un « droit de déculottage » quel que soit l’âge des fautives.
Julie tenait toujours le martinet à la main, curieusement ces souvenirs cuisants l’avaient légèrement excitée, elle se souvenait qu’après une très sévère correction, les douces caresses de sa sœur ainsi que l’application d’une crème hydratante lui avait fait de l’effet et qu’elle avait connu un petit orgasme qui avait fait rire sa sœur qui lui avait tapoté les fesses en lui disant :
— Coquine, tu mériterais que je t’en reflanque une.
Elle se dirigea vers sa chambre et ferma la porte, puis elle retroussa sa jupe devant la grande glace, ses belles et larges fesses débordaient un peu de la fine culotte en dentelle. Sans hésiter elle se déculotta, ses fesses étaient un peu contractées, elle se sentait un peu fautive, elle avait l’impression de sentir le regard d’Agnès sur sa croupe. Sa culotte était baissée juste sous sa croupe, elle la descendit à mi-cuisse et levant la main, elle claqua son derrière, d’abord doucement, puis un peu plus fort, elle était surprise du bruit qui résonnait dans la pièce. Elle administra une vingtaine de claques sur ses fesses tendues qui prirent une jolie couleur rosée, ce n’était pas douloureux, juste un picotement, mais surtout une excitation se faisait jour entre ses cuisses. Le martinet était posé sur le lit, les lanières étalées sur la couette blanche, c’était inquiétant et excitant à la fois, Julie se rappelait de la cuisson de son derrière comme si c’était hier. Elle prit le manche, se pencha en avant et tourna la tête pour voir sa croupe, elle leva l’instrument et cingla son bon gros derrière comme disait sa mère quand elle la punissait. La brûlure la surprit un peu, mais ce n’était pas très pratique quand même, elle ne s’appliqua que quatre coups. Quelques traînées rouges apparurent sur le haut de ses cuisses.
Elle était très excitée, elle avait quarante-cinq ans et elle s’imaginait devant sa maman dans la même tenue. Vingt-trois ans déjà ? Lui donnerait-elle encore une fessée déculottée si elle la méritait ?
Elle se reculotta, remis sa jupe en place et pris le martinet. Elle se dirigea vers la cuisine et accrocha l’instrument punitif à un crochet, il était parfaitement visible dès qu’on entrait dans la pièce.
C’était décidé, ce soir Caroline irait au lit avec une paire de fesses bien rouges.
Pour ce qui était des siennes, c’était une autre histoire, elle sentait confusément qu’elle avait besoin d’être reprise en main, l’image de sa mère le martinet à la main désignant la table où elle devait se coucher lui revenait sans cesse.
Elle regarda sa montre, il était seize heures, sa fille ne tarderait pas à rentrer, elle se surprit à être impatiente de découvrir à nouveau son joli derrière.
Caroline passa la porte d’entrée et sans dire un mot se dirigea vers sa chambre, Julie l’interpella :
— Chérie, tu peux venir.
Comme c’était son habitude depuis quelque temps, la jeune femme répondit d’un ton agacé :
— Oui ? Qu’est-ce qu’il y a encore ?
La mine boudeuse de sa fille ne contraria pas Julie, ça la confortait dans sa détermination à corriger Caroline, celle-ci lui tendait la perche.
Elle prit son air sévère, celui qui ne disait rien de bon à la jeune femme :
— Tu pourrais me parler sur un autre ton !
Caroline leva les yeux vers sa mère visiblement surprise, son regard était noir, elle se sentit fondre, elle connaissait trop bien ce ton et ces yeux de sa maman, elle hésita :
— Euh, oui pardon, je… je pensais à autre chose.
Elle avait baissé les yeux, l’orage grondait et se rapprochait. Julie la regarda fixement, « décidément pourquoi ai-je tant tardé ? »
— Ça fait un moment que tu te comportes comme une sale gamine ma chérie, j’en ai plus qu’assez. Je vais réutiliser les bonnes vieilles méthodes. Va mettre une jupe et reviens vite. Tâche de ne pas traîner, tu ne ferais qu’aggraver ton cas !
Caroline regarda sa mère bouche bée, elle n’en croyais pas ses oreilles, elle savait exactement ce que Julie avait en tête, mais elle essayait de se convaincre du contraire. « Non, elle n’allait pas lui administrer une fessée… Ce soir… A son âge ».
— Tu devrais te dépêcher, je suis déjà assez agacée comme ça, si tu veux pouvoir t’asseoir ce soir je te conseille d’obéir immédiatement.
Cette fois la menace était explicite, Caroline se dirigea vers sa chambre, elle portait un legging comme souvent, sa mère ne se gênait pas pour lui baisser quand elle voulait la corriger, d’ailleurs souvent la culotte descendait avec le legging, et elle se retrouvait immédiatement cul nu.
Pourquoi diable, voulait-elle qu’elle mette une jupe ? C’est vrai que dans ses souvenirs, se faire trousser la jupe avant d’être déculottée, était plus humiliant. Elle choisit une jupe courte, l’enfila et revint tête basse vers le salon.
Elle remarqua immédiatement la chaise posée bien au milieu, nul doute que sa mère allait utiliser sa position favorite et celle que Caroline détestait, car elle la ramenait à un statut de gamine. Le regard de Julie s’était un peu radouci, un léger sourire planait sur ses lèvres :
— C’est bien, tu n’as pas traîné, ça ne t’évitera pas la fessée que je t’ai promise, mais elle ne sera pas doublée.
Elle s’installa sur la chaise et fit un petit signe à Caroline :
— En piste ma chérie.
Caroline était rouge jusqu’aux oreilles, elle avait oublié la honte de devoir se coucher sur les genoux de sa mère :
— Maman, s’il te plaît… Non, je regrette, promis, je ne recommencerai plus… Pas la fessée, je suis trop grande.
Le sourire de Julie se fit plus grand :
— C’est un peu tard pour regretter ma chérie, j’ai été patiente, ça fait plus d’un mois que tu es impossible, que tu te comportes comme une gamine mal élevée. Je suis sûr qu’après la bonne fessée que je vais t’administrer tu ne recommenceras plus, ça c’est certain. Quant à savoir si tu es trop grande pour recevoir la fessée déculottée, je peux te dire que ça n’a strictement aucune importance. Il n’y a pas d’âge pour ça quand on l’a méritée.
Elle avait pris la main de Caroline pour la faire approcher, elle était contre ses genoux. Celle-ci serrait déjà les fesses sous sa jupe et sa culotte, elle redoutait cet instant, elle n’eut pas longtemps à attendre. Julie la bascula rapidement en travers de ses cuisses, elle les avait légèrement écartées afin d’offrir une assise confortable à sa fille, les pieds de Caroline quittèrent le sol, elle posa ses mains par terre, elle avait l’habitude de cette position. Quand elle était plus jeune au moment de sa crise d’adolescence c’était bien souvent une fois par jour qu’elle se retrouvait ainsi les fesses offertes à la main de sa mère.
Mais aujourd’hui c’était différent, elle avait eu vingt-trois ans, il n’y a pas si longtemps et sa mère ne l’avait pas punie de la sorte depuis un bon moment, elle avait fini par penser que c’était terminé, qu’elle était passée du côté des dames qui ne reçoivent plus la fessée, qui plus est déculottée.
Elle comprit pourquoi Julie l’avait envoyé mettre une jupe, quelle honte que de sentir l’air frais sur ses cuisses, signe que celle-ci était retroussée, elle tourna la tête pour regarder le miroir, le tableau était édifiant, une grande fille couchée sur les genoux de sa mère s’apprêtant à recevoir une bonne fessée de gamine. Julie lissa la petite culotte bleu ciel :
— Te voilà en bonne position pour la fessée ma chérie, c’est quand même malheureux que je sois toujours obligée d’en arriver là, on dirait que tu la cherches et bien rassure-toi maman n’est pas fatiguée et tant que tu en auras besoin, tu la recevras.
La fessée ne tarda pas, Julie attendait depuis trop longtemps cet instant, sa main s’abattit sèchement sur le fessier rebondi de Caroline, la main claquait alternativement la fesse droite puis la gauche, elle s’attarda également sur la base du fessier qui débordait légèrement de la culotte. Caroline gémissait doucement, elle avait l’habitude de cette punition et savait que la cuisson ressentie maintenant n’avait rien à voir avec celle d’une vraie bonne fessée déculottée et elle était sûre que Julie n’allait pas se priver du plaisir du déculottage. Son derrière était déjà bien chaud quand elle sentit les doigts de sa mère se glisser sous la ceinture de sa culotte :
— Non, maman, pardon…
Elle savait bien que c’était inutile mais se faire baisser la culotte était toujours une épreuve. Julie souriait en voyant les jolies fesses apparaître :
— Bien sûr que si, mais chérie, tu sais bien que maman donne toujours la fessée cul nu.
Caroline avait un joli derrière, assez large avec une belle raie médiane, il était déjà rosé, elle ne put s’empêcher de contracter sa croupe dans l’attente de la correction, sa mère tapota les fesses :
— Tu regrettes ton comportement ma chérie, mais c’est trop tard, tu vas voir comment maman va s’occuper de ton derrière, je suis sûre que tu vas devenir très mignonne avec des fesses bien rouges.
Caroline avait les larmes aux yeux, elle supplia doucement en sentant la main de sa mère prendre possession de ses fesses :
— Pardon maman, pardon… Aïe, aïe, nooon…
La vraie fessée déculottée venait de commencer et celle-là nul doute que la jeune femme allait s’en souvenir. Une avalanche de claques magistrales s’abattirent sur le mignon fessier, transformant en quelques instants chaque fesse en une belle tomate bien mûre. Caroline s’était rapidement mise à crier, malgré son habitude elle avait oublié comment la main de Julie pouvait être sévère. Ses jambes battaient l’air, elle se mit à pleurer, ce qui n’arrêta pas sa mère. Depuis le temps que cette chipie la cherchait, il fallait vraiment qu’elle se souvienne de cette fessée. Les gigotements de la jolie paire de fesses n’était pas sans déplaire à la sévère maman, c’était mignon, elle se surprit comme cet après-midi devant sa glace à ressentir une légère excitation devant le spectacle de la croupe cramoisie de Caroline.
Elle posa sa main sur l’épiderme brûlant :
— Voilà un derrière cuit à point ma petite chérie, mais tu as été vraiment insupportable et je n’en ai pas terminé avec lui. Tu vas filer au coin pour le moment.
Elle fit relever sa fille, qui le visage inondé de larmes, se mit à frotter ses fesses brûlantes.
— Cesse un peu ces simagrées, mets tes mains sur la tête, il faut que ça te brûle pour que tu t’en souviennes.
Caroline s’exécuta et se dirigea vers le coin qui lui était réservé après la fessée. Elle y avait passé de long moment, les fesses écarlates exposées à la vue de tous le monde. La culotte était arrivée au niveau de ses genoux, Julie retroussa la jupe et coinça l’ourlet dans la ceinture :
— Tu as vraiment un très joli derrière ma chérie, surtout quand il est bien rouge, tu vas l’exposer un moment.
L’angoisse de Caroline à ce moment précis c’était une visite impromptue, d’une voisine où même d’une personne étrangère, elle savait que sa mère ne lui épargnerait pas l’humiliation de devoir montrer ses fesses bien rouges.
Julie était satisfaite, elle avait corrigé sa fille, mais elle était troublée par l’excitation ressentie, elle revoyait ses fesses nues rosées et les lanières du martinet.
Il faudrait qu’elle en parle à sa sœur, Cécile avait été éduquée comme elle et ses deux filles étaient soumises à la même stricte discipline que Caroline. Elle n’avait pas de secret l’une pour l’autre.
Après une demi-heure passée au coin, Caroline put enfin venir la voir :
— Comme je te l’ai dit tout à l’heure ma chérie, une simple fessée déculottée, même si elle a été soignée ne saurait solder ton compte. Tu vas aller à la cuisine, tu vas voir ce qui est pendu au crochet, je l’ai ressorti spécialement pour toi, tu me le ramènes en vitesse.
Caroline se dirigea vers la cuisine, elle vit immédiatement le martinet, elle s’arrêta sur le pas de la porte. Si elle n’avait pas reçu la fessée déculottée depuis un moment, le martinet n’avait pas cinglé son derrière depuis au moins deux ans, d’ailleurs elle croyait qu’il avait disparu. La voix de sa mère la fit sursauter :
— Tu devrais te dépêcher ma chérie, je ne t’ai pas encore dit combien de coups j’avais prévu, mais ça pourrait augmenter.
Caroline saisit l’instrument de sa punition et tête basse elle revint au salon, elle se sentait un peu ridicule avec sa culotte aux genoux, ses fesses rouges bien visible et ce martinet à la main. Elle le tendit à sa mère, en souriant celle-ci lui désigna un guéridon avec le manche :
— Tu vas te pencher là pour que je voie bien tes fesses et que monsieur martinet puisse s’en occuper.
Caroline savait que c’était inutile de protester, elle était à nouveau soumise à la stricte discipline des filles de la famille. Cindy sa cousine qui avait deux ans de plus qu’elle avait reçu la semaine dernière une fessée déculottée en présence de la voisine de sa mère. Sa tante Cécile était encore plus sévère que Julie.
Elle posa son buste sur le plateau du guéridon, ses fesses étaient parfaitement exposées, elle essaya de se détendre et attendit la sentence.
Julie passa sa main sur la peau échauffée par la première fessée, puis elle fit glisser les lanières sur les fesses et dans la raie médiane :
— Tu as un bon derrière ma petite chérie et il est bien échauffé. On va dire trente coups et on sera quitte.
Caroline ne put s’empêcher de protester :
— Oh non, maman, s’il te plaît…
Julie claqua sèchement le fessier tendu :
— Ah oui ? C’est trop ? Eh bien disons trente-cinq. Ça te va ?
Caroline se mordit les lèvres, elle avait oublié que toute récrimination entraînait une augmentation de la punition.
— Tu compteras bien sûr ma chérie.
Les lanières glissaient toujours sur la croupe de la jeune femme.
— Oui maman… Pardon.
Caroline pleurait doucement.
— Garde tes larmes pour la fessée au martinet ma fille. Ça va te cuire longtemps je te le promets.
— Aïe, non… Aïe… Un… Deux…
Les lanières du martinet suivaient la courbe du fessier, Caroline sautillait sur place, mais n’oubliait pas de compter, elle savait que sa mère n’hésiterait pas à prolonger la fessée. Après vingt coups, Julie s’arrêta et caressa le derrière cramoisi :
— Ça brûle, n’est-ce pas ma chérie, tu seras encore insolente ?
— Non, non… maman, pardon, plus la fessée s’il te plaît.
Julie glissait sa main sur la peau brûlante, elle introduisit ses doigts dans la raie médiane.
— Bien sûr que je vais continuer à te corriger ma chérie, tu l’as mérité cette fessée et tu l’auras jusqu’au bout, compte sur moi. En attendant, écarte un tes cuisses que je voie bien ta jolie raie. Voilà, c’est bien, ton derrière est vraiment mignon.
Caroline était troublée par cette inspection intime, mais elle obéit. Julie se recula légèrement et repris la correction, au milieu des pleurs et des cris de la jeune femme. Elle s’arrêta à nouveau à trente :
— Il en reste cinq ma petite Caroline, tu le sais pourtant que maman déteste quand tu refuses ta punition, eh bien tant pis pour toi, ton joli derrière va te cuire encore un peu plus.
La fin de la fessée fut terrible, la punie pleurait comme une madeleine, mais la sévère maman administra la punition sans faiblir. Elle la laissa couchée sur le guéridon afin de profiter du spectacle des fesses qui s’ouvraient et se fermaient pour essayer d’atténuer la brûlure :
— J’espère que ça te servira de leçon ma chérie, tu vas retourner au coin et je te garantis que tu vas y rester un moment.
Elle remonta la culotte de Caroline à mi-cuisse et avec une dernière claque sur le fessier brûlant, elle indiqua à sa fille que la pénitence commençait.
Julie jeta un œil à sa montre, il était dix-sept heures trente, Caroline allait regarder la tapisserie un bon moment.
Elle appela Cécile :
— Allô, coucou ma chérie, tu vas bien ? Devine un peu ce que je viens de faire ?
— Aucune idée, tu as fait du rangement ?
— Oui entre autres, j’ai d’ailleurs retrouvé mon martinet.
Cécile se mit à rire :
— Tu l’avais perdu ? ce n’est pas le genre de chose qu’on doit égarer.
Julie était un peu gênée d’avouer à sa grande sœur, qu’elle avait un peu négligé l’éducation de Caroline :
— Ben, tu sais, comme Caroline devenait raisonnable, je l’avais mis de côté.
Un soupir de réprobation de Cécile lui fit comprendre qu’elle n’était pas d’accord :
— Tu crois que les filles deviennent adultes comme par enchantement, c’est nouveau. Je peux te dire que ça se saurait. Je ne pense pas que ta petite Caroline soit différente des miennes.
— Je m’en suis rendu compte, c’est de ça que je voulais te parler justement, en plus du rangement, j’ai épousseté les fesses de ma petite chérie.
Cécile éclata de rire :
— Ah c’était ça ta surprise et je suppose que du coup monsieur martinet a repris du service.
— Et pas qu’un peu, elle a une belle culotte rouge et si j’en juge à ses trémoussements, je pense que ça lui cuit à cette chipie.
— Eh bien ce n’est pas trop tôt, je pense que si tu ne l’avais pas fait, je m’en serais occupé, elle devenait vraiment impossible. J’espère que ce n’est pas qu’un feu de paille et que tu vas continuer à t’occuper de son derrière.
— Rassure-toi, le martinet a retrouvé sa place dans la cuisine et ce soir mademoiselle va aller au lit à dix-neuf heures sans manger.
— Parfait, tu sais que ma grande Cindy malgré ses vingt-cinq ans me présente encore régulièrement son derrière, je pense qu’elle en a besoin, elle ne s’en vante pas auprès de ses copines et de ses collègues, mais elle est partie travailler avec une paire de fesses bien rouges hier matin.
— Tu lui flanques encore la fessée déculottée ?
Julie marqua un temps de surprise, Cindy à vingt-cinq ans était responsable dans une agence bancaire. Savoir qu’hier en accueillant ses premiers clients elle devait se trémousser sur son fauteuil pour atténuer la cuisson de son fessier était assez excitant.
— Je vais te quitter ma chérie, je passe dans la semaine, j’ai des précisions à te demander.
Cécile riait au bout du fil :
— Ah oui ? sur la fessée déculottée ?
Julie se surprit à rougir :
— Euh, non, enfin oui… Bon, bisous.
Caroline avait suivi la conversation, sa mère avait dit qu’elle irait au lit à dix-neuf heures et sans manger, elle était donc décidée à renouer avec les punitions sévères. Elle avait perdu un peu la notion du temps avec le nez collé contre le mur et les mains sur la tête. La cuisson s’atténuait légèrement, mais ses bras commençaient à lui faire mal. Elle ne bougeait pas, elle n’avait pas envie de refaire un séjour sur les genoux de sa maman. Il lui fallait prendre son mal en patience, elle entendait Julie aller et venir derrière elle.
Soudain, elle sentit la main de sa mère se poser sur son fessier :
— Alors ma chérie, tu seras encore insolente ?
Caroline avait serré les fesses, ce qui fit sourire Julie.
— Non, non, maman promis.
La sévère maman glissa ses doigts dans la raie fessière et descendit entre les cuisses :
— Ton joli derrière avait besoin de ça.
Caroline était troublée par ces attouchements intimes, elle essaya de ne pas contracter ses fesses. Julie claqua sèchement chaque fesse :
— Je lève la pénitence, tu files dans ta chambre et tu te mets en pyjama. Je ne veux plus t’entendre, tu laisses ton téléphone ici, tu iras au lit à dix-neuf heures comme une vilaine fille.
Caroline ne se le fit pas dire deux fois, même si la perspective d’être en pyjama à cette heure n’était pas réjouissante, elle était contente de quitter ce coin et de ne plus exposer ses fesses nues.
À dix-neuf heures précises, Julie entra dans sa chambre, sa fille lisait couchée sur son lit :
— Debout ma grande, tu vas me montrer tes fesses.
Surprise et rougissante, Caroline se leva. Sa mère s’installa au bout du lit et la coucha en travers de ses cuisses, elle baissa immédiatement la culotte du pyjama. Le derrière encore rosé était crispé.
Julie caressa cette jolie croupe qu’elle venait de reconquérir :
— Eh bien, elles sont parfaites ces petites fesses, il n’y paraît presque plus rien. Ça te cuit encore j’espère ?
Caroline malgré son habitude était un peu honteuse de l’examen de son fessier :
— Oui, maman, ça brûle encore…
— C’est parfait, il faut que tu t’en souviennes. J’espère ne pas avoir à recommencer bientôt, mais s’il le faut je suis à ta disposition.
Elle leva la main et claqua une vingtaine de fois chaque fesse :
— Voilà tu vas t’endormir en pensant à ta maman, demain nous aurons à discuter. En attendant lumière éteinte et dodo !
Caroline était debout, la culotte du pyjama aux genoux, elle frotta ses fesses sous l’œil amusé de sa mère. Puis elle se reculotta et se glissa dans le lit.
Julie l’embrassa tendrement sur le front.
Magnifique histoire excitante de cette délicieuse fessée déculottée
RépondreSupprimerJ'attends avec impatience les suites des aventures de Caroline et de ses cousines !! 🔥
Merci, ma chère pour ce joli récit ❣️
RépondreSupprimerMerci Caroline, la suite arrive bientôt, les fesses vont continuer à rougir. Il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée déculottée.
SupprimerMerci pour ce récit. J'attend la suite avec impatience, je suis d'accord il n'y a pas d'age pour une bonne fessée surtout si on la mérite.
RépondreSupprimerLa suite ne devrait pas tarder. Merci pour votre commentaire. En effet la fessée déculottée est de plus en plus efficace quand on avance en âge. Je peux en témoigner.
SupprimerSylvie