Fin de partie pour Chloé
La main d’Odile était restée en suspens au-dessus des fesses rouges de Clémence :
— Tu as reçu une fessée ?
Elle passa ses doigts sur l’épiderme enflammé. La jeune femme était affolée, elle avait déjà reçu son compte de claques sur son derrière dénudé et elle était en passe de recevoir une nouvelle fessée, aucun mot ne sortit de sa bouche.
Odile la relâcha et la prit par la main :
— Tu as sans doute beaucoup de choses à me raconter, on va s’installer plus confortablement.
Clémence se prit à espérer, mais son espoir fut de courte durée. Odile s’installa sur le canapé et la fit basculer en travers de ses genoux, sa jupe qui était retombée fut immédiatement retroussée et sa nouvelle maman lui tapota les fesses :
— Bien, je t’écoute. Ton derrière est en parfaite position et ma main est disponible pour te stimuler. Je te conseille de me dire toute la vérité, le fait que tu aies déjà été fessée ne m’empêchera pas de t’en reflanquer une si c’est nécessaire.
Le ton était sans réplique et Clémence commençait à connaître Odile. Elle avait déjà reçu trois sévères corrections, ses fesses étaient encore cuisantes, elle se décida à tout raconter.
Odile l’écoutait attentivement de temps en temps elle claquait sèchement la croupe de la jeune femme pour l’inciter à continuer. Elle interrompit la confession quand il fut question de Clara :
— Où est-elle ? Clara, viens un peu ici !
La jeune étudiante s’était éclipsée dès l’arrivée de Clémence, elle apparut timidement, Odile la regarda sévèrement :
— Chloé t’a fessé ? Pourquoi ne m’as-tu rien dit ?
Comme Clara restait sans voix, elle continua :
— Viens ici et déculotte-toi !!
Clara avait les joues aussi rouges que les fesses de Clémence. Elle savait qu’il ne fallait jamais discuter un ordre de maman et c’était Odile qui tenait ce rôle aujourd’hui. Elle glissa ses mains sous sa jupe et entreprit de baisser sa culotte. La sévère maman avait posé sa main sur le derrière de Clémence et elle la regardait :
— Retrousse ta jupe et tourne-toi !
La magnifique croupe de la jeune femme apparut, deux hémisphères bien rebondis, d’un joli blanc nacré, mis en valeur par la petite culotte blanche descendue juste sous le pli fessier. Odile n’était pas insensible aux charmes de ces derrières juvéniles, ses yeux allaient de l’un à l’autre, décidément le rôle de maman de substitution n’était pas désagréable :
— Approche-toi plus près !
Clara s’exécuta, dès qu’elle fut à sa portée, Odile administra deux claques sur les fesses de la jeune femme :
— Je répète, pourquoi ne m’as-tu rien dit ?
— Aïe, aïe, pardon madame… Mais…
— Mais quoi ?
La main avait à nouveau sèchement claqué le fessier dénudé qui se crispa mais ne chercha pas à éviter la punition.
— Tes fesses sont encore blanches ma chérie mais si tu persistes à ne rien dire, je te promets qu’elles vont bientôt être de la couleur de celles de Clémence.
Clara avait les larmes aux yeux, ses fesses commençaient à brûler, elle savait qu’Odile tenait toujours parole quand il s’agissait de rougir un derrière, elle avala sa salive :
— J’avais peur de Chloé, elle nous a dit qu’elle publierait la vidéo sur Tik Tok.
Odile claqua les fesses de Clémence :
— C’est vrai ?
— Oui madame.
Les deux jeunes femmes étaient soulagées, même si la crainte de la réaction de Chloé était toujours présente. La sévère maman claqua à nouveau les fesses de Clara :
— Va la chercher, tu peux baisser ta jupe, mais tu ne remontes pas ta culotte.
Ravie, la jeune femme s’éclipsa, Chloé pouvait préparer ses fesses.
Celle-ci était au salon, elle accueillit Clara avec un petit sourire coquin :
— Bonjour chipie, tu as besoin toi aussi de ta fessée déculottée, tu as vu le derrière de Clémence ? On ne l’a pas ratée avec Louisa, ne t’inquiète pas demain ça sera ton tour, toi aussi tu auras du mal à t’asseoir.
Elle se mit à rire, mais Clara, contrairement à d’habitude ne semblait pas gênée elle répondit en souriant :
— On verra, en attendant ta mère t’attends chez nous, je crois qu’elle a quelque chose à te dire.
Le rire malicieux de Chloé se figea et elle pâlit. Clara poussa un peu plus son avantage :
— Tu devrais te dépêcher. Ça fait longtemps que tu ne t’en es pas pris une bonne ?
La jeune fille ne répondit pas et se dirigea vers la porte, Clara la suivit. Sur le palier, elle ne put se retenir, elle claqua la croupe juvénile par-dessus la jupe :
— Je crois que tu peux préparer tes fesses ma petite chérie.
Quand elles entrèrent dans le salon des étudiantes, Chloé resta figée devant le spectacle. Clémence était toujours couchée sur les genoux d’Odile les fesses à l’air.
Pendant que Clara était allée chercher Chloé, la sévère maman avait continué d’interroger la jeune femme tout en lui caressant les fesses, elle avait poussé l’examen du fessier en écartant largement les deux globes pour mettre à nu son anus, elle avait posé son doigt dessus comme pour le forcer :
— Alors comme ça, Clara a eu droit au manche du martinet dans son petit trou ? Et toi, à part mon thermomètre tu as déjà eu droit à autre chose ?
La question resta en suspens car Chloé accompagnée de Clara venait d’arriver, Odile jeta un regard noir à sa fille :
— Ah, te voilà. Tu vas pouvoir compléter les explications de Clémence, j’aimerais que tu m’expliques pourquoi elle est cul nu sous sa jupe et pourquoi elle a le derrière bien rouge alors que je ne lui ai pas donné la fessée depuis trois jours ?
Chloé hésita, la situation semblait compromise, elle tenta un pari :
— Mais j’en sais rien moi !!
Odile la regarda en souriant :
— Ah oui ? Tu veux qu’on demande à Louisa ? J’ai appelé sa mère, en ce moment elle doit être sur les genoux de celle-ci dans la même tenue que Clémence.
Chloé baissa la tête et ne répondit pas, Odile continuait :
— Je te conseille de te dépêcher de tout avouer, de toute façon tu vas être sévèrement punie, mais si tu mens ou si tu persistes à ne rien dire, j’augmenterai la punition autant que nécessaire. Tu vas rester très longtemps avec les fesses rouges ma petite !
Chloé avait les larmes aux yeux, Clara avait dit vrai, elle pouvait préparer ses fesses, la suite s’annonçait cuisante.
— Avant de commencer, tu te déculottes et tu tiens ta jupe retroussée.
Sans un mot la jeune fille s’exécuta, Clara qui était derrière elle put se régaler du charmant spectacle du déculottage, la jolie petite paire de fesses blanches était serrée par l’angoisse, la culotte baissée sous le pli fessier mettait la croupe juvénile en valeur.
— Tourne-toi que je voie tes fesses ! Clara tu retrousses aussi ta jupe et tu vas au coin en attendant.
Il y avait maintenant trois derrières nus dans la pièce. Odile était en colère mais ce ravissant spectacle était agréable malgré tout. Elle administra une vigoureuse claque sur les fesses de sa fille qui était maintenant juste à sa portée :
— Tu commences, et je te conseille de ne rien oublier.
Chloé en sanglotant avoua tout à sa mère, quand elle eut fini, encouragée par quelques claques sur son derrière, Odile fit relever Clémence et repris la parole :
— À ce que je vois ma petite chérie Tu es très intéressée par la fessée déculottée et bien je vais te satisfaire, tu vas en recevoir suffisamment pour ne plus jamais recommencer. Tu vas en recevoir une, matin et soir pendant 15 jours, tu passeras également toutes les soirées sur mes genoux avec le thermomètre dans les fesses. Ce week-end j’ai invité ta tatie et ta cousine, je vais dire à mamie de venir et tu recevras une fessée déculottée devant tout le monde. Bien sûr tu es privée de téléphone pendant 2 mois, pour ce qui concerne cette vidéo, si jamais j’apprends qu’elle a été publiée, je te promets que tes fesses vont s’en souvenir longtemps, je t’administrerai une bonne fessée déculottée devant toutes tes copines à la sortie du lycée.
Chloé écoutait la sentence sans dire un mot, à chaque fois que sa mère rajoutait une punition supplémentaire, elle serrait un peu plus ses fesses. Odile s’était arrêtée pour juger de l’effet de ses paroles, elle regarda Clémence et lui désigna le mur :
— Va te mettre au coin à côté de Clara et tu tiens ta jupe retroussée, on a encore à discuter.
Puis elle prit la main de Chloé :
— Quant à toi, on va commencer par chauffer ton petit derrière, ça ne te privera pas de la fessée de ce soir, c’est un acompte.
En un clin d’œil la jeune fille se retrouva couchée en travers des genoux de sa mère, sa jupe rapidement retroussée pour mettre à nu son derrière, une avalanche de claques s’abattit sur la croupe juvénile, en quelques instants celle-ci fut écarlate. Chloé hurlait et ses jambes battaient l’air au rythme de la magistrale correction, Odile était concentrée sur son objectif, faire regretter à sa cadette son impudence et sa perversité. Les pleurs de Chloé emplissaient maintenant la pièce. Les deux amies, le nez collé contre le mur appréciaient le concert donné par cette petite garce. Le bruit des claques sur la peau nue et les sanglots de la jeune fille étaient une douce musique pour leurs oreilles.
La fessée fut relativement courte mais vraiment sévère, Chloé avait maintenant deux tomates bien mûres en guise de fessier. Odile la fit se relever :
— Retire ta culotte et donne-la moi, tu n’en auras plus besoin d’ici ce soir.
La jeune fille lui tendit piteusement son sous-vêtement :
— Tourne-toi !
La sévère maman coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture et administra une dernière claque sur le derrière écarlate :
— Tu files à la maison et tu te mets au coin. Je veux t’y trouver quand j’arriverai.
La honte de traverser le palier cul nu n’avait finalement pas beaucoup d’importance par rapport à la brûlure de ses fesses et aux punitions à venir.
Dès qu’elle eut quitté la pièce, Odile interpella les deux étudiantes :
— Venez un peu ici !
Clara et Clémence se dirigèrent vers elle, tenant toujours leurs jupes retroussées.
— Tournez-vous que je voie vos jolies fesses.
Docilement, elles s’exécutèrent, c’était curieux comme en quelques semaines elles étaient devenues obéissantes pensa la sévère maman. Les deux belles croupes des jeunes femmes s’étalaient maintenant devant ses yeux, l’une encore bien rouge, l’autre blanche, mais toutes les deux serrées par l’appréhension de ce qui risquait de leur arriver. La sentence tomba :
— Vous allez être punie toutes les deux pour ne pas m’avoir tenu au courant de ce que tramait Chloé. Je sais bien ma petite Clémence que tu as les fesses certainement douloureuses, mais ça t’apprendra, je dois être au courant de tout ce qui se passe dans votre vie.
Elle tapota les fesses des deux jeunes femmes :
— Vous avez toutes les deux une bonne paire de fesses, ça va vous faire le plus grand bien. Clara va me chercher le martinet.
La jeune étudiante ne put s’empêcher de protester :
— Oh non madame, pas…
Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase, Odile s’était levée d’un bond et l’avait courbée sous son bras. Sa main se mit à claquer le fessier nacré qui rapidement vira au rose foncé. Clara trépignait sur place mais bien dressée par l’éducation sévère de sa mère, elle ne cherchait pas à s’échapper se contentant de supplier :
— Aïe, aïe, pardon madame, pardon, aïe…
Odile la relâcha après une centaine de claques généreusement distribuées :
— Maintenant tu files à la cuisine et tu ramènes le martinet, vite !!
Deux claques supplémentaires vinrent ponctuer la phrase, Clara se précipita vers la cuisine. Elle revint quelques secondes plus tard tenant à la main le redoutable instrument de punition. Elle le connaissait bien c’était sa mère qui l’avait acheté lors de son dernier séjour et c’était exactement le même que celui qui était toujours suspendu dans la cuisine de la maison familiale et qui servait régulièrement à lui « épousseter » les fesses comme disait sa mère quand elle était d’humeur coquine.
Elle le tendit à Odile qui le posa à côté d’elle puis tapota ses cuisses :
— Avant de te faire goûter à ce cher martinet, je vais d’abord échauffer ton petit derrière. Viens un peu ici ma chérie.
La jeune étudiante se coucha en travers des genoux de sa nouvelle maman, Odile caressa les fesses rosées par la première fessée. Elle adorait corriger de jolis derrières et avec ces deux jeunes femmes, elle était gâtée, Clara avait vraiment le plus beau fessier. Odile savait que c’était un peu injuste de les punir puisque tout était de la faute de Chloé mais outre qu’il fallait que ces deux donzelles sachent qu’elle lui devait une obéissance totale, elle ne pouvait résister au plaisir d’administrer une bonne fessée déculottée. Être la tutrice de ces deux jeunes femmes était vraiment une aubaine ça la changeait des croupes juvéniles de ses deux filles, bien que celle d’Amélie commence vraiment à ressembler à celle d’une femme.
Ses doigts s’égaraient entre les deux globes rebondis, Clara essayait de ne pas trop serrer ses fesses sachant que la sanction serait immédiate. Elle sentit les doigts d’Odile s’insinuer dans sa raie fessière :
— Alors comme ça, cette coquine de Chloé à mis le manche du martinet dans ton petit trou ? C’est une idée, si tu n’es pas sage, tu y goûteras à nouveau.
Puis la main commença son travail, lentement elle s’abattait sur la fesse droite puis la gauche, c’était une fessée d’échauffement mais rapidement Clara ne put retenir ses pleurs. Odile ne savait pas donner de petites fessées.
Clémence n’avait pas bougé, elle tenait toujours sa jupe retroussée exposant sa croupe à Odile, celle-ci la regardait de temps en temps comme pour comparer la couleur avec celle de Clara. Elle fit relever la punie :
— Voilà deux derrières bien rouges, ils sont prêts pour le martinet. Vous allez vous agenouiller côte à côte sur le canapé et vous tendez bien vos jolies fesses.
Les deux amies s’installèrent, c’était ma première fois qu’elles étaient punies en même temps, Odile leur annonça la sentence :
— Deux séries de vingt coups de martinet, je commence par toi Clémence, et je veux t’entendre compter.
Le premier coup surpris la jeune femme qui hurla et se releva. Immédiatement elle reçut deux coups rapides sur l’arrière des cuisses :
— Remets-toi en position, ce coup ne compte pas ! Si jamais tu te relèves à nouveau, tu auras droit à une série supplémentaire.
En pleurant Clémence tendit à nouveau ses fesses au martinet et elle compta sans bouger les vingt coups prévus.
Puis ce fut le tour de Clara de danser sous la morsure des lanières.
Après les deux séries, les fessiers étaient écarlates du bas du dos jusqu’au sommet des cuisses, la rougeur s’étalait également sur les hanches. Les deux étudiantes pleuraient comme des madeleines. Odile posa le martinet sur la table :
— Maintenant au coin pendant une demi-heure et gare à vous si vous bavardez ou si vous bougez. Amélie viendra vous libérer tout à l’heure.
La perspective de voir Amélie venir les surveiller n’était pas très agréable, la soirée risquait d’être encore longue.
Quand l’aînée d’Odile entra, elle ne put réprimer un sourire de satisfaction en voyant les deux étudiantes qui exposait leurs croupes écarlates, le nez collé au mur :
— Alors les chipies, on a encore reçu la fessée cul nu à ce que je vois. Vous savez que vous avez vraiment de jolies fesses, surtout quand elles sont bien rouges. Remarquez, vous n’êtes pas les seules ma petite sœur chérie expose elle aussi son petit cul bien rouge. Venez un peu ici mais vous gardez vos mains sur la tête.
Penaudes, les deux jeunes femmes firent face à Amélie :
— Une demi-heure au coin, vos fesses on dut refroidir, j’ai bien envie de les réchauffer un peu. De toute façon vous n’avez pas le choix, si je dis à maman que vous étiez en train de parler quand je suis arrivé, vous êtes bonne pour une raclée maison. Il vaut mieux un petit panpan cucul par mademoiselle Amélie n’est-ce pas ? Qui va commencer ?
Les deux amies baissaient la tête et ne répondirent pas.
— Bien c’est moi qui décide mais la fessée sera doublée. Cent claques sur chaque fesse à la main et cent sur chaque fesse avec la brosse. Tant pis pour vous. Clémence, va chercher la brosse !
Clémence se précipita dans la salle de bain et revint avec l’instrument de punition. Amélie avait déjà couché Clara sur ses genoux et avait commencé la punition. La jeune femme gigotait et pleurait comme une gamine punie par sa baby-sitter, les fesses étaient encore enflammées par la correction au martinet et même si la jeune fille claquait moins fort que sa mère la punition était sévère.
Après les deux cents claques bien réparties sur les deux fesses, elle fit relever Clara et fit un petit signe à Clémence :
— A ton tour ma jolie, viens me montrer ton petit cul.
Elle prit la brosse et la posa à côté d’elle puis tenant la jeune femme par la main, elle la guida pour se positionner en travers de ses cuisses, elle la fit basculer vers l’avant pour que ses pieds décollent du sol, c’était encore plus honteux comme position et les fesses étaient ainsi parfaitement à sa portée, Clémence reçut exactement le même nombre de claques que sa copine, elle cria et pleura d’emblée, depuis 16 heures elle avait reçu un nombre incalculable de claques sur le derrière et même si comme le disait Odile les fesses d’une dame étaient faites pour ça, c’était extrêmement douloureux et cuisant.
Amélie se régalait, ces deux chipies étaient vraiment bien pourvues au plan postérieur, sa main rebondissait sur les jolies fesses écarlates. Elle fit relever Clémence, Clara était retournée d’elle-même se mettre au coin, son fessier illuminait la pièce. La jeune fesseuse hésita un peu les fesses des deux jeunes femmes étaient vraiment rouges, elle décida d’être magnanime :
— Je pense que la leçon est suffisante pour ce soir, vous n’êtes pas quitte de la fessée à la brosse. Vous l’aurez un autre jour, ce sera une surprise. Je vais juste vous mettre le thermomètre. Maman m’a dit de vous mettre au lit, vous mangerez mieux demain. Allez filer vous mettre en pyjama je vais chercher le thermomètre de la maison et je reviens.
Dès qu’elle fut sortie, Clémence se mit à gémir :
— Oh non, on ne va jamais s’en sortir quand ce n’est pas Chloé c’est sa sœur.
Clara la regarda en souriant :
— On a quand même évité la fessée à la brosse, vu l’état de tes fesses c’est mieux. J’en ai pris moins que toi, mais je préfère quand même le thermomètre.
Elle lui caressa les fesses tendrement :
— Tu sais qu’elles sont vraiment mignonnes…
Clémence esquissa un sourire, sa copine avait raison, mais les câlins ne seraient pas pour tout de suite, elle lui fit un bisou :
— Dépêchons-nous, sinon cette petite garce pourrait changer d’avis et j’ai vraiment mal aux fesses.
Elles se pressèrent pour se mettre en tenue de nuit, il était bien tôt, mais depuis quelque temps elles ne s’offusquaient plus d’être envoyées au lit comme des fillettes.
Amélie ouvrit la porte de la salle de bain quand elles étaient en train de se laver les dents, elle sourit en les voyant déjà en pyjama :
— C’est bien vous devenez obéissantes mes petites chipies.
Elle leur montra fièrement le thermomètre :
— Regardez ce que j’ai trouvé pour garnir votre petit cul, avec celui que vous avez, il y en a un pour chacune. Allez dépêchez-vous un peu !
Elle avait claqué sèchement les deux croupes, les deux amies la suivirent dans le salon, elle leur expliqua la suite des événements :
— J’ai dit à maman que vous aviez enlevé vos mains de vos têtes, elle m’a autorisée à vous mettre le thermomètre à chacune pendant une heure. Vous êtes contente ?
Elle avait dit ça avec un petit sourire gourmand, elle alla chercher deux oreillers et les disposa sur la table basse :
— Couchez-vous là !
Les deux étudiantes s’installèrent côte à côte, les fesses bien surélevées. Amélie s’approcha et les déculotta soigneusement, descendant le bas du pyjama jusqu’aux genoux. La croupe de Clara était encore rosée, celle de Clémence était encore rouge, la jeune femme les tapota en souriant :
— Vous êtes vraiment mignonnes comme ça, je vais faire une photo de vos jolis petits culs sans thermomètre et avec.
Elle s’approcha de Clémence et écarta avec deux doigts les deux belles fesses, l’anus contracté apparu au grand jour :
— Il fait le timide ton petit trou, il est tout renfrogné, il va falloir te détendre un peu ma chérie sinon c’est panpan cucul.
En disant ces mots elle avait claqué sèchement le derrière enflammé, immédiatement Clémence desserra ses fesses et malgré sa honte écarta largement ses cuisses, exposant son intimité à sa jeune maîtresse. Celle-ci était ravie, décidément ces deux pimbêches devenaient vraiment dociles et quel joli cul elles avaient.
Elle posa le thermomètre sur l’anus et le fit pénétrer lentement, elle guettait les réactions de sa victime prête à lui administrer une nouvelle fessée, celle-ci ne lui fit pas ce plaisir et bientôt le thermomètre fut profondément enfoncé dans le derrière de Clémence. Amélie relâcha les fesses et les tapota :
— C’est bien tu es une mignonne petite fille.
C’était au tour de Clara, celle-ci instruite par l’expérience avait largement ouvert ses cuisses, Amélie eut un petit rire ironique :
— Voilà une lune bien exposée, voyons un peu ton petit abricot.
Ses doigts glissèrent dans la raie et atteignirent la vulve, elle était humide. Elle posa fièrement ses doigts gluants sous le nez de Clara :
— On dirait que ça te fait plaisir que je m’occupe de ton petit cul petite cochonne. Tu vas être contente, maman m’a dit que je devrais encore vous garder samedi, tu peux préparer tes fesses.
Elle écarta un peu plus les deux globes et fit pénétrer le thermomètre :
— Comme c’est mignon ! Deux jolies lunes, allez encore une petite photo.
Elle caressa les deux fessiers et alla s’asseoir :
— Je ne veux plus vous entendre, vous en avez pour une heure à me montrer vos fesses.
Clara et Clémence avaient évité une fessée à la brosse mais pas l’humiliante pénitence imposée par leur jeune maîtresse.