jeudi 30 mai 2024

Deux étudiantes 10

Fin de partie pour Chloé 



La main d’Odile était restée en suspens au-dessus des fesses rouges de Clémence :

— Tu as reçu une fessée ?

Elle passa ses doigts sur l’épiderme enflammé. La jeune femme était affolée, elle avait déjà reçu son compte de claques sur son derrière dénudé et elle était en passe de recevoir une nouvelle fessée, aucun mot ne sortit de sa bouche.

Odile la relâcha et la prit par la main :

— Tu as sans doute beaucoup de choses à me raconter, on va s’installer plus confortablement.

Clémence se prit à espérer, mais son espoir fut de courte durée. Odile s’installa sur le canapé et la fit basculer en travers de ses genoux, sa jupe qui était retombée fut immédiatement retroussée et sa nouvelle maman lui tapota les fesses :

— Bien, je t’écoute. Ton derrière est en parfaite position et ma main est disponible pour te stimuler. Je te conseille de me dire toute la vérité, le fait que tu aies déjà été fessée ne m’empêchera pas de t’en reflanquer une si c’est nécessaire.

Le ton était sans réplique et Clémence commençait à connaître Odile. Elle avait déjà reçu trois sévères corrections, ses fesses étaient encore cuisantes, elle se décida à tout raconter.

Odile l’écoutait attentivement de temps en temps elle claquait sèchement la croupe de la jeune femme pour l’inciter à continuer. Elle interrompit la confession quand il fut question de Clara :

— Où est-elle ? Clara, viens un peu ici !

La jeune étudiante s’était éclipsée dès l’arrivée de Clémence, elle apparut timidement, Odile la regarda sévèrement :

— Chloé t’a fessé ? Pourquoi ne m’as-tu rien dit ?

Comme Clara restait sans voix, elle continua :

— Viens ici et déculotte-toi !!

Clara avait les joues aussi rouges que les fesses de Clémence. Elle savait qu’il ne fallait jamais discuter un ordre de maman et c’était Odile qui tenait ce rôle aujourd’hui. Elle glissa ses mains sous sa jupe et entreprit de baisser sa culotte. La sévère maman avait posé sa main sur le derrière de Clémence et elle la regardait :

— Retrousse ta jupe et tourne-toi !



La magnifique croupe de la jeune femme apparut, deux hémisphères bien rebondis, d’un joli blanc nacré, mis en valeur par la petite culotte blanche descendue juste sous le pli fessier. Odile n’était pas insensible aux charmes de ces derrières juvéniles, ses yeux allaient de l’un à l’autre, décidément le rôle de maman de substitution n’était pas désagréable :

— Approche-toi plus près !

Clara s’exécuta, dès qu’elle fut à sa portée, Odile administra deux claques sur les fesses de la jeune femme :

— Je répète, pourquoi ne m’as-tu rien dit ?

— Aïe, aïe, pardon madame… Mais…

— Mais quoi ?

La main avait à nouveau sèchement claqué le fessier dénudé qui se crispa mais ne chercha pas à éviter la punition.

— Tes fesses sont encore blanches ma chérie mais si tu persistes à ne rien dire, je te promets qu’elles vont bientôt être de la couleur de celles de Clémence.

Clara avait les larmes aux yeux, ses fesses commençaient à brûler, elle savait qu’Odile tenait toujours parole quand il s’agissait de rougir un derrière, elle avala sa salive :

— J’avais peur de Chloé, elle nous a dit qu’elle publierait la vidéo sur Tik Tok.

Odile claqua les fesses de Clémence :

— C’est vrai ?

— Oui madame.

Les deux jeunes femmes étaient soulagées, même si la crainte de la réaction de Chloé était toujours présente. La sévère maman claqua à nouveau les fesses de Clara :

— Va la chercher, tu peux baisser ta jupe, mais tu ne remontes pas ta culotte.

Ravie, la jeune femme s’éclipsa, Chloé pouvait préparer ses fesses.

Celle-ci était au salon, elle accueillit Clara avec un petit sourire coquin :

— Bonjour chipie, tu as besoin toi aussi de ta fessée déculottée, tu as vu le derrière de Clémence ? On ne l’a pas ratée avec Louisa, ne t’inquiète pas demain ça sera ton tour, toi aussi tu auras du mal à t’asseoir.

Elle se mit à rire, mais Clara, contrairement à d’habitude ne semblait pas gênée elle répondit en souriant :

— On verra, en attendant ta mère t’attends chez nous, je crois qu’elle a quelque chose à te dire.

Le rire malicieux de Chloé se figea et elle pâlit. Clara poussa un peu plus son avantage :

— Tu devrais te dépêcher. Ça fait longtemps que tu ne t’en es pas pris une bonne ?

La jeune fille ne répondit pas et se dirigea vers la porte, Clara la suivit. Sur le palier, elle ne put se retenir, elle claqua la croupe juvénile par-dessus la jupe :

— Je crois que tu peux préparer tes fesses ma petite chérie.

Quand elles entrèrent dans le salon des étudiantes, Chloé resta figée devant le spectacle. Clémence était toujours couchée sur les genoux d’Odile les fesses à l’air.

Pendant que Clara était allée chercher Chloé, la sévère maman avait continué d’interroger la jeune femme tout en lui caressant les fesses, elle avait poussé l’examen du fessier en écartant largement les deux globes pour mettre à nu son anus, elle avait posé son doigt dessus comme pour le forcer :

— Alors comme ça, Clara a eu droit au manche du martinet dans son petit trou ? Et toi, à part mon thermomètre tu as déjà eu droit à autre chose ?

La question resta en suspens car Chloé accompagnée de Clara venait d’arriver, Odile jeta un regard noir à sa fille :

— Ah, te voilà. Tu vas pouvoir compléter les explications de Clémence, j’aimerais que tu m’expliques pourquoi elle est cul nu sous sa jupe et pourquoi elle a le derrière bien rouge alors que je ne lui ai pas donné la fessée depuis trois jours ?

Chloé hésita, la situation semblait compromise, elle tenta un pari :

— Mais j’en sais rien moi !!

Odile la regarda en souriant :

— Ah oui ? Tu veux qu’on demande à Louisa ? J’ai appelé sa mère, en ce moment elle doit être sur les genoux de celle-ci dans la même tenue que Clémence.

Chloé baissa la tête et ne répondit pas, Odile continuait :

— Je te conseille de te dépêcher de tout avouer, de toute façon tu vas être sévèrement punie, mais si tu mens ou si tu persistes à ne rien dire, j’augmenterai la punition autant que nécessaire. Tu vas rester très longtemps avec les fesses rouges ma petite !

Chloé avait les larmes aux yeux, Clara avait dit vrai, elle pouvait préparer ses fesses, la suite s’annonçait cuisante.

— Avant de commencer, tu te déculottes et tu tiens ta jupe retroussée.

Sans un mot la jeune fille s’exécuta, Clara qui était derrière elle put se régaler du charmant spectacle du déculottage, la jolie petite paire de fesses blanches était serrée par l’angoisse, la culotte baissée sous le pli fessier mettait la croupe juvénile en valeur.

— Tourne-toi que je voie tes fesses ! Clara tu retrousses aussi ta jupe et tu vas au coin en attendant.

Il y avait maintenant trois derrières nus dans la pièce. Odile était en colère mais ce ravissant spectacle était agréable malgré tout. Elle administra une vigoureuse claque sur les fesses de sa fille qui était maintenant juste à sa portée :

— Tu commences, et je te conseille de ne rien oublier.

Chloé en sanglotant avoua tout à sa mère, quand elle eut fini, encouragée par quelques claques sur son derrière, Odile fit relever Clémence et repris la parole :

— À ce que je vois ma petite chérie Tu es très intéressée par la fessée déculottée et bien je vais te satisfaire, tu vas en recevoir suffisamment pour ne plus jamais recommencer. Tu vas en recevoir une, matin et soir pendant 15 jours, tu passeras également toutes les soirées sur mes genoux avec le thermomètre dans les fesses. Ce week-end j’ai invité ta tatie et ta cousine, je vais dire à mamie de venir et tu recevras une fessée déculottée devant tout le monde. Bien sûr tu es privée de téléphone pendant 2 mois, pour ce qui concerne cette vidéo, si jamais j’apprends qu’elle a été publiée, je te promets que tes fesses vont s’en souvenir longtemps, je t’administrerai une bonne fessée déculottée devant toutes tes copines à la sortie du lycée.

Chloé écoutait la sentence sans dire un mot, à chaque fois que sa mère rajoutait une punition supplémentaire, elle serrait un peu plus ses fesses. Odile s’était arrêtée pour juger de l’effet de ses paroles, elle regarda Clémence et lui désigna le mur :

— Va te mettre au coin à côté de Clara et tu tiens ta jupe retroussée, on a encore à discuter.

Puis elle prit la main de Chloé :

— Quant à toi, on va commencer par chauffer ton petit derrière, ça ne te privera pas de la fessée de ce soir, c’est un acompte.

En un clin d’œil la jeune fille se retrouva couchée en travers des genoux de sa mère, sa jupe rapidement retroussée pour mettre à nu son derrière, une avalanche de claques s’abattit sur la croupe juvénile, en quelques instants celle-ci fut écarlate. Chloé hurlait et ses jambes battaient l’air au rythme de la magistrale correction, Odile était concentrée sur son objectif, faire regretter à sa cadette son impudence et sa perversité. Les pleurs de Chloé emplissaient maintenant la pièce. Les deux amies, le nez collé contre le mur appréciaient le concert donné par cette petite garce. Le bruit des claques sur la peau nue et les sanglots de la jeune fille étaient une douce musique pour leurs oreilles.



La fessée fut relativement courte mais vraiment sévère, Chloé avait maintenant deux tomates bien mûres en guise de fessier. Odile la fit se relever :

— Retire ta culotte et donne-la moi, tu n’en auras plus besoin d’ici ce soir.

La jeune fille lui tendit piteusement son sous-vêtement :

— Tourne-toi !

La sévère maman coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture et administra une dernière claque sur le derrière écarlate :

— Tu files à la maison et tu te mets au coin. Je veux t’y trouver quand j’arriverai.

La honte de traverser le palier cul nu n’avait finalement pas beaucoup d’importance par rapport à la brûlure de ses fesses et aux punitions à venir.

Dès qu’elle eut quitté la pièce, Odile interpella les deux étudiantes :

— Venez un peu ici !

Clara et Clémence se dirigèrent vers elle, tenant toujours leurs jupes retroussées.

— Tournez-vous que je voie vos jolies fesses.

Docilement, elles s’exécutèrent, c’était curieux comme en quelques semaines elles étaient devenues obéissantes pensa la sévère maman. Les deux belles croupes des jeunes femmes s’étalaient maintenant devant ses yeux, l’une encore bien rouge, l’autre blanche, mais toutes les deux serrées par l’appréhension de ce qui risquait de leur arriver. La sentence tomba :

— Vous allez être punie toutes les deux pour ne pas m’avoir tenu au courant de ce que tramait Chloé. Je sais bien ma petite Clémence que tu as les fesses certainement douloureuses, mais ça t’apprendra, je dois être au courant de tout ce qui se passe dans votre vie.

Elle tapota les fesses des deux jeunes femmes :

— Vous avez toutes les deux une bonne paire de fesses, ça va vous faire le plus grand bien. Clara va me chercher le martinet.

La jeune étudiante ne put s’empêcher de protester :

— Oh non madame, pas…

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase, Odile s’était levée d’un bond et l’avait courbée sous son bras. Sa main se mit à claquer le fessier nacré qui rapidement vira au rose foncé. Clara trépignait sur place mais bien dressée par l’éducation sévère de sa mère, elle ne cherchait pas à s’échapper se contentant de supplier :

— Aïe, aïe, pardon madame, pardon, aïe…

Odile la relâcha après une centaine de claques généreusement distribuées :

— Maintenant tu files à la cuisine et tu ramènes le martinet, vite !!

Deux claques supplémentaires vinrent ponctuer la phrase, Clara se précipita vers la cuisine. Elle revint quelques secondes plus tard tenant à la main le redoutable instrument de punition. Elle le connaissait bien c’était sa mère qui l’avait acheté lors de son dernier séjour et c’était exactement le même que celui qui était toujours suspendu dans la cuisine de la maison familiale et qui servait régulièrement à lui « épousseter » les fesses comme disait sa mère quand elle était d’humeur coquine.

Elle le tendit à Odile qui le posa à côté d’elle puis tapota ses cuisses :

— Avant de te faire goûter à ce cher martinet, je vais d’abord échauffer ton petit derrière. Viens un peu ici ma chérie.

La jeune étudiante se coucha en travers des genoux de sa nouvelle maman, Odile caressa les fesses rosées par la première fessée. Elle adorait corriger de jolis derrières et avec ces deux jeunes femmes, elle était gâtée, Clara avait vraiment le plus beau fessier. Odile savait que c’était un peu injuste de les punir puisque tout était de la faute de Chloé mais outre qu’il fallait que ces deux donzelles sachent qu’elle lui devait une obéissance totale, elle ne pouvait résister au plaisir d’administrer une bonne fessée déculottée. Être la tutrice de ces deux jeunes femmes était vraiment une aubaine ça la changeait des croupes juvéniles de ses deux filles, bien que celle d’Amélie commence vraiment à ressembler à celle d’une femme.

Ses doigts s’égaraient entre les deux globes rebondis, Clara essayait de ne pas trop serrer ses fesses sachant que la sanction serait immédiate. Elle sentit les doigts d’Odile s’insinuer dans sa raie fessière :

— Alors comme ça, cette coquine de Chloé à mis le manche du martinet dans ton petit trou ? C’est une idée, si tu n’es pas sage, tu y goûteras à nouveau.

Puis la main commença son travail, lentement elle s’abattait sur la fesse droite puis la gauche, c’était une fessée d’échauffement mais rapidement Clara ne put retenir ses pleurs. Odile ne savait pas donner de petites fessées.



Clémence n’avait pas bougé, elle tenait toujours sa jupe retroussée exposant sa croupe à Odile, celle-ci la regardait de temps en temps comme pour comparer la couleur avec celle de Clara. Elle fit relever la punie :

— Voilà deux derrières bien rouges, ils sont prêts pour le martinet. Vous allez vous agenouiller côte à côte sur le canapé et vous tendez bien vos jolies fesses.

Les deux amies s’installèrent, c’était ma première fois qu’elles étaient punies en même temps, Odile leur annonça la sentence :

— Deux séries de vingt coups de martinet, je commence par toi Clémence, et je veux t’entendre compter.

Le premier coup surpris la jeune femme qui hurla et se releva. Immédiatement elle reçut deux coups rapides sur l’arrière des cuisses :

— Remets-toi en position, ce coup ne compte pas ! Si jamais tu te relèves à nouveau, tu auras droit à une série supplémentaire.

En pleurant Clémence tendit à nouveau ses fesses au martinet et elle compta sans bouger les vingt coups prévus.

Puis ce fut le tour de Clara de danser sous la morsure des lanières.

Après les deux séries, les fessiers étaient écarlates du bas du dos jusqu’au sommet des cuisses, la rougeur s’étalait également sur les hanches. Les deux étudiantes pleuraient comme des madeleines. Odile posa le martinet sur la table :

— Maintenant au coin pendant une demi-heure et gare à vous si vous bavardez ou si vous bougez. Amélie viendra vous libérer tout à l’heure.

La perspective de voir Amélie venir les surveiller n’était pas très agréable, la soirée risquait d’être encore longue.

Quand l’aînée d’Odile entra, elle ne put réprimer un sourire de satisfaction en voyant les deux étudiantes qui exposait leurs croupes écarlates, le nez collé au mur :



— Alors les chipies, on a encore reçu la fessée cul nu à ce que je vois. Vous savez que vous avez vraiment de jolies fesses, surtout quand elles sont bien rouges. Remarquez, vous n’êtes pas les seules ma petite sœur chérie expose elle aussi son petit cul bien rouge. Venez un peu ici mais vous gardez vos mains sur la tête.

Penaudes, les deux jeunes femmes firent face à Amélie :

— Une demi-heure au coin, vos fesses on dut refroidir, j’ai bien envie de les réchauffer un peu. De toute façon vous n’avez pas le choix, si je dis à maman que vous étiez en train de parler quand je suis arrivé, vous êtes bonne pour une raclée maison. Il vaut mieux un petit panpan cucul par mademoiselle Amélie n’est-ce pas ? Qui va commencer ?

Les deux amies baissaient la tête et ne répondirent pas.

— Bien c’est moi qui décide mais la fessée sera doublée. Cent claques sur chaque fesse à la main et cent sur chaque fesse avec la brosse. Tant pis pour vous. Clémence, va chercher la brosse !

Clémence se précipita dans la salle de bain et revint avec l’instrument de punition. Amélie avait déjà couché Clara sur ses genoux et avait commencé la punition. La jeune femme gigotait et pleurait comme une gamine punie par sa baby-sitter, les fesses étaient encore enflammées par la correction au martinet et même si la jeune fille claquait moins fort que sa mère la punition était sévère. 



Après les deux cents claques bien réparties sur les deux fesses, elle fit relever Clara et fit un petit signe à Clémence :

— A ton tour ma jolie, viens me montrer ton petit cul.

Elle prit la brosse et la posa à côté d’elle puis tenant la jeune femme par la main, elle la guida pour se positionner en travers de ses cuisses, elle la fit basculer vers l’avant pour que ses pieds décollent du sol, c’était encore plus honteux comme position et les fesses étaient ainsi parfaitement à sa portée, Clémence reçut exactement le même nombre de claques que sa copine, elle cria et pleura d’emblée, depuis 16 heures elle avait reçu un nombre incalculable de claques sur le derrière et même si comme le disait Odile les fesses d’une dame étaient faites pour ça, c’était extrêmement douloureux et cuisant.

Amélie se régalait, ces deux chipies étaient vraiment bien pourvues au plan postérieur, sa main rebondissait sur les jolies fesses écarlates. Elle fit relever Clémence, Clara était retournée d’elle-même se mettre au coin, son fessier illuminait la pièce. La jeune fesseuse hésita un peu les fesses des deux jeunes femmes étaient vraiment rouges, elle décida d’être magnanime :

— Je pense que la leçon est suffisante pour ce soir, vous n’êtes pas quitte de la fessée à la brosse. Vous l’aurez un autre jour, ce sera une surprise. Je vais juste vous mettre le thermomètre. Maman m’a dit de vous mettre au lit, vous mangerez mieux demain. Allez filer vous mettre en pyjama je vais chercher le thermomètre de la maison et je reviens.

Dès qu’elle fut sortie, Clémence se mit à gémir :

— Oh non, on ne va jamais s’en sortir quand ce n’est pas Chloé c’est sa sœur.

Clara la regarda en souriant :

— On a quand même évité la fessée à la brosse, vu l’état de tes fesses c’est mieux. J’en ai pris moins que toi, mais je préfère quand même le thermomètre.

Elle lui caressa les fesses tendrement :

— Tu sais qu’elles sont vraiment mignonnes…

Clémence esquissa un sourire, sa copine avait raison, mais les câlins ne seraient pas pour tout de suite, elle lui fit un bisou :

— Dépêchons-nous, sinon cette petite garce pourrait changer d’avis et j’ai vraiment mal aux fesses.

Elles se pressèrent pour se mettre en tenue de nuit, il était bien tôt, mais depuis quelque temps elles ne s’offusquaient plus d’être envoyées au lit comme des fillettes.

Amélie ouvrit la porte de la salle de bain quand elles étaient en train de se laver les dents, elle sourit en les voyant déjà en pyjama :

— C’est bien vous devenez obéissantes mes petites chipies.

Elle leur montra fièrement le thermomètre :

— Regardez ce que j’ai trouvé pour garnir votre petit cul, avec celui que vous avez, il y en a un pour chacune. Allez dépêchez-vous un peu !

Elle avait claqué sèchement les deux croupes, les deux amies la suivirent dans le salon, elle leur expliqua la suite des événements :

— J’ai dit à maman que vous aviez enlevé vos mains de vos têtes, elle m’a autorisée à vous mettre le thermomètre à chacune pendant une heure. Vous êtes contente ?

Elle avait dit ça avec un petit sourire gourmand, elle alla chercher deux oreillers et les disposa sur la table basse :

— Couchez-vous là !

Les deux étudiantes s’installèrent côte à côte, les fesses bien surélevées. Amélie s’approcha et les déculotta soigneusement, descendant le bas du pyjama jusqu’aux genoux. La croupe de Clara était encore rosée, celle de Clémence était encore rouge, la jeune femme les tapota en souriant :

— Vous êtes vraiment mignonnes comme ça, je vais faire une photo de vos jolis petits culs sans thermomètre et avec.

Elle s’approcha de Clémence et écarta avec deux doigts les deux belles fesses, l’anus contracté apparu au grand jour :

— Il fait le timide ton petit trou, il est tout renfrogné, il va falloir te détendre un peu ma chérie sinon c’est panpan cucul.

En disant ces mots elle avait claqué sèchement le derrière enflammé, immédiatement Clémence desserra ses fesses et malgré sa honte écarta largement ses cuisses, exposant son intimité à sa jeune maîtresse. Celle-ci était ravie, décidément ces deux pimbêches devenaient vraiment dociles et quel joli cul elles avaient.

Elle posa le thermomètre sur l’anus et le fit pénétrer lentement, elle guettait les réactions de sa victime prête à lui administrer une nouvelle fessée, celle-ci ne lui fit pas ce plaisir et bientôt le thermomètre fut profondément enfoncé dans le derrière de Clémence. Amélie relâcha les fesses et les tapota :

— C’est bien tu es une mignonne petite fille.

C’était au tour de Clara, celle-ci instruite par l’expérience avait largement ouvert ses cuisses, Amélie eut un petit rire ironique :

— Voilà une lune bien exposée, voyons un peu ton petit abricot.

Ses doigts glissèrent dans la raie et atteignirent la vulve, elle était humide. Elle posa fièrement ses doigts gluants sous le nez de Clara :

— On dirait que ça te fait plaisir que je m’occupe de ton petit cul petite cochonne. Tu vas être contente, maman m’a dit que je devrais encore vous garder samedi, tu peux préparer tes fesses.

Elle écarta un peu plus les deux globes et fit pénétrer le thermomètre :

— Comme c’est mignon ! Deux jolies lunes, allez encore une petite photo.

Elle caressa les deux fessiers et alla s’asseoir :

— Je ne veux plus vous entendre, vous en avez pour une heure à me montrer vos fesses.

Clara et Clémence avaient évité une fessée à la brosse mais pas l’humiliante pénitence imposée par leur jeune maîtresse.






lundi 20 mai 2024

Deux étudiantes 9

La punition de Clémence



Clémence était vraiment inquiète en rentrant à la maison après ses cours, Clara lui avait décris en détail sa punition de la veille. Cette petite peste de Chloé était vraiment perverse, qu’allait-elle encore inventer aujourd’hui. Ses fesses n’avaient pas goûté à la fessée depuis deux jours, elles étaient nickel, prêtes pour la bonne fessée déculottée lui avait dit Chloé hier soir, elle allait certainement tenir sa promesse de bien s’en occuper.

Son téléphone vibra, c’était un message de sa jeune maîtresse « Amélie est à la maison, je t’attends dans le hall, nous allons dans un endroit tranquille, tatie Chloé va s’occuper de ton bon gros derrière ne t’inquiète pas »

Ça commençait bien… il ne fallait surtout pas la faire attendre, clémence descendit rapidement. La jeune fille l’accueillit avec un grand sourire :

— Parfait, tu as été rapide. Tu es pressée de me montrer tes fesses ?

Elle s’était approchée de la jeune étudiante et lui avait claqué les fesses par-dessus la jupe. Clémence piqua un fard. Surtout que la porte venait de s’ouvrir, c’était une jeune femme qui habitait au sixième, elle n’avait rien remarqué, elle leur dit bonjour et s’engouffra dans l’ascenseur. Chloé pouffa :

— Tu as vu ? Bientôt tout le monde va savoir que les chipies reçoivent encore la fessée. Tu as eu de la chance j’aurais pu te baisser la culotte.

Malgré son désir de ne pas répondre, Clémence ne put s’empêcher de protester :

— Oh, non quand même pas ici, tatie Chloé !

La jeune fille lui jeta un regard ironique :

— Ah oui ? Et pourquoi pas ? Viens un peu là !

Clémence était pétrifiée, elle jeta un regard circulaire, personne à l’horizon.

— Dépêche-toi, tu sais ce qui arrive aux vilaines filles désobéissantes !

Chloé prenait vraiment à cœur son rôle de tatie sévère. La jeune étudiante compris qu’elle n’avait pas le choix, elle fit un pas vers sa jeune maîtresse.

Dès qu’elle fut à sa portée, celle-ci la fit pivoter, la ceintura et après lui avoir troussé la jupe la déculotta rapidement. Elle avait juste baissé la culotte sous les fesses mais c’était suffisant pour que l’humiliation de Clémence fut totale, triomphante Chloé tapota les fesses dénudées :

— Alors ma petite chipie ? Ça fait quel effet d’être cul nu dans le hall de l’immeuble ?

Des pas se firent entendre dans l’escalier, Chloé relâcha sa punie et remis la jupe en place, la culotte était toujours baissée sous les fesses, mais ça ne se voyait pas. La jeune fille pris la jeune femme par la main :

— Allez, on y va. Louisa nous attend !

Clémence frissonna, Clara lui avait parlé de cette Louisa. Elle avait assisté depuis sa fenêtre à sa fessée, apparemment aujourd’hui Chloé comptait lui faire vivre sa punition de beaucoup plus près.

Il fallait traverser la rue, sa jupe était retombée mais Clémence sentit l’air frais sur ses fesses, quand elles croisèrent deux passantes, elle eut vraiment l’impression que tout le monde voyait ses fesses nues. Elle ne cessait de regarder autour d’elle, Chloé la tirait par la main pour lui faire accélérer le pas, dès qu’elles furent dans le hall de l’immeuble de Louisa, elle claqua sèchement le derrière de la jeune femme :

— Tu mériterais que je te flanque une fessée cul nu ici. Tu rechignes à venir avec moi chez Louisa, eh bien je peux te dire que tes fesses vont le regretter et ma copine va se régaler à voir ton joli petit cul danser.

Elles furent rapidement au troisième étage, Louisa leur ouvrit. C’était une petite brunette bien en chair avec un regard rieur, elle sauta au cou de Chloé :

— Comme je suis contente que tu m’amènes ta chipie.

Elle regarda Clémence la détaillant de la tête aux pieds :

— Alors, c’est toi Clémence, la chipie que Chloé est obligée de corriger. Qu’est-ce que tu as encore fait comme bêtise aujourd’hui ?

Elle s’amusait à surjouer la dame sévère s’adressant à une gamine. Clémence avait les joues très rouges, elle baissa la tête et ne répondit pas. Chloé lui administra une vigoureuse claque sur la croupe :

— Tu pourrais quand même dire bonjour ! Déjà que je t’ai promis une bonne fessée déculottée, continue comme ça et tu vas en avoir une deuxième.

Clémence essaya de se ressaisir, mais elle était tétanisée, elle était redevenue petite fille quand sa tante la grondait devant une voisine. Elle eut un flash et elle revit clairement ce jour où sa tata lui avait baissé la culotte devant la voisine, elle avait huit ans. Aujourd’hui elle en avait 25, mais Chloé la traitait de la même façon :

— Puisque tu persistes à faire ta mauvaise tête, je vais employer les bonnes vieilles méthodes qui on fait leur preuve.

Elle avait saisi, la jeune femme par l’oreille et en entrant dans le salon, elle adressa un sourire à sa copine :

— D’ailleurs tu vas voir que mademoiselle est déjà prête.

Elle s’installa sur une chaise et fit basculer en travers de ses cuisses la pauvre Clémence qui gémissait déjà, elle retroussa la jupe et les fesses nues apparurent immédiatement. Elles étaient serrées par l’angoisse et recouvertes d’une légère chair de poule. Louisa poussa un petit cri de surprise :

— Mais elle est déjà cul nu !

Chloé tapota le derrière blanc nacré :

— Oui, mademoiselle à fait la maligne tout à l’heure, je l’ai déculottée pour lui flanquer une fessée dans le hall de l’immeuble, elle a eu de la chance que quelqu’un arrive, sinon ses fesses seraient déjà rouges.

Elle descendit la culotte jusqu’aux genoux et rectifia un peu la position de la punie, la faisant basculer un peu plus vers l’avant pour que ses fesses soient mieux présentées.

— Voilà ma petite chipie, tu es bien installée ? tu en as pour un moment à me montrer tes fesses, tatie Chloé est très fâchée et je te garantis que tu vas avoir du mal à t’asseoir ce soir.

Elle adorait jouer à la maman sévère avec cette jeune femme qui était obligée de se soumettre à tous ses désirs. Elle leva la main et commença à administrer à Clémence sa première fessée de la journée. Elle fessait lentement mais très fort alternant les claques sur chaque fesse, tantôt visant le centre bien charnu puis la base sur le pli fessier, Clémence ne put pas retenir longtemps ses cris, maintenant elle gigotait battant des pieds et suppliant sa maîtresse :

— Non, non, aïe, aïe, aïe pardon tatie Chloé, plus la fessée, ça brûle trop.

Louisa assistait ravie à la correction de cette jeune femme redevenue par la grâce de cette punition une gamine implorante. La jeune fesseuse se mit à rire :

— J’espère bien que ça te brûle, c’est pour ça que je te flanque cette fessée, il faut que tu t’en souviennes longtemps de la correction de tatie Chloé et rassure-toi, ce n’est que le début, ton bon gros derrière va te cuire encore plus tout à l’heure. Même ce soir en te couchant tu penseras à moi.

Pendant toute cette tirade, elle n’avait pas cessé de claquer la belle croupe de la jeune étudiante, maintenant celle-ci était bien rouge sur toute sa surface. Elle la caressa pour apprécier le résultat :

— Voilà un petit cul bien échauffé, dis-moi Louisa, tu as bien une brosse à cheveux ?

La petite brunette se leva en souriant :

— Mais bien sûr, celle de maman, je la connais trop bien, je t’assure que ta chipie va la sentir passer.

Elle revint rapidement en tenant une solide brosse à cheveux avec un large manche en ébène :

— Tiens, essaye ça sur le derrière de mademoiselle, je crois qu’elle n’a jamais servi à maman pour se coiffer, elle l’utilise seulement sur mes fesses.

Chloé soupesa l’instrument punitif :

— Effectivement, elle est lourde, mais notre petite chipie a une bonne paire de fesses, il lui faut bien ça.

Clémence avait aperçu la brosse et écouté la conversation des deux copines, elle se mit à supplier :

— Non, non s’il vous plaît tatie Chloé, pas la brosse, non… Aïe…

Chloé avait administré un coup sec sur la fesse droite de la punie :

— Tais-toi, vilaine… Tu as bien mérité cette correction et ton beau gros derrière n’est pas encore cuit à point. Je veux que tu ne puisses pas le poser sur une chaise pour toute la soirée. Je vais t’apprendre à obéir, tu vas voir après la fessée de tatie Chloé tu vas devenir une gentille petite fille.

Elle ceintura un peu mieux la taille de Clémence et commença la deuxième fessée, la punie se mit à pousser des cris déchirants et les pleurs ne tardèrent pas.

Louisa était impressionnée par la sévérité de son amie. Elle aussi était soumise à une stricte discipline par sa mère, c’est d’ailleurs leur condition commune de grande fille encore soumise à la fessée déculottée qui l’avait rapprochée de Chloé, mais elle ne se souvenait pas avoir reçu ou avoir assisté à une telle correction. La croupe de la jeune étudiante était maintenant rouge foncé, avec quelques traces plus foncées, effectivement pensa-t-elle, cette chipie aurait beaucoup de mal à s’asseoir ce soir.



Clémence hoquetait quand la fessée cessa, c’était certainement la plus sévère correction qu’elle ait jamais reçue. Elle sentit les doigts de sa jeune maîtresse qui caressait son fessier brûlant et qui se glissait entre ses cuisses, elle se laissa faire tout à sa douleur. Chloé souriait fière de son autorité :

— Tu vois comme elle est devenue mignonne notre petite chipie au cul rouge, je peux lui examiner tranquillement le derrière, et elle se laisse faire. C’est bien dommage que je n’aie pas le martinet, je l’aurais mis dans son petit trou comme pour Clara. Ce sera pour une autre fois, tu ne perds rien pour attendre, tu verras tu y goûteras bientôt.

Elle claqua sèchement le derrière de sa punie :

— Allez debout, tu vas aller montrer tes jolies fesses à Louisa.

Penaude, de grosses larmes coulant sur ses joues, la jeune étudiante se dirigea vers la jeune fille, celle-ci lui fit un petit signe avec le doigt :

— Tourne-toi, que j’examine ton petit cul de plus près.

Clémence s’exécuta, Louisa lui appuya sur le dos pour la faire se pencher en avant, ses fesses étaient tendues vers la jeune fille, celle-ci passa sa main sur l’épiderme brûlant :

— Olala que c’est chaud.

Elle se tourna vers Chloé :

— Tu me la prêtes ?

La jeune maîtresse se mit à rire :

— Bien sûr, elle a vraiment une mignonne paire de fesses n’est-ce pas ?

Louisa prit Clémence par la main et la fit se coucher en travers de ses cuisses, puis elle caressa et tapota la croupe écarlate. Chloé voyait bien qu’elle mourait d’envie d’administrer elle aussi une fessée à la jeune femme :

— Allez, vas-y, la peau des fesses repousse toujours dit ma grand-mère, on ne meurt pas d’une bonne fessée. La nature nous a doté d’un derrière bien joufflu, il est fait pour ça.

Clémence reçut donc sa troisième fessée déculottée, elle fut moins sévère que les deux précédentes, mais son derrière déjà brûlant eut du mal à supporter cette punition supplémentaire et elle se mit à sangloter et à implorer immédiatement :

— Non, non, plus la fessée mademoiselle, je vais être sage promis, plus la fessée, non, non, aïe, aïe, aïe…

Ces supplications de gamine punie par sa maîtresse eurent le don de faire sourire les deux amies, c’était si bon de pouvoir claquer cette magnifique paire de fesses alors qu’habituellement, c’était elle qui gigotait sous la fessée :

— J’espère bien que tu vas être sage ! Sinon tu reviendras faire un tour sur mes genoux.

C’était Chloé qui lui avait répondu en riant, elle s’adressa ensuite à son amie :

— Ne t’arrête pas, cette chipie a bien mérité cette fessée, regarde-moi comment elle tortille son derrière, on dirait qu’elle en redemande.

Louisa ne demandait pas mieux que de continuer, c’était la première fois qu’elle administrait une vraie fessée déculottée et c’est vrai que la croupe de Clémence était vraiment appétissante. Elle avait déjà reçu plus de trois cents claques bien réparties sur ses deux fesses, une légère buée s’élevait au-dessus du fessier, signe d’un véritable échauffement de la peau. Louisa cessa la punition, elle regarda Chloé :

— On la met au coin ?

— Et comment ! Mademoiselle va exposer son joli derrière bien rouge à tout le monde, devant la fenêtre comme Clara hier.

Louisa se chargea de conduire la punie devant la grande fenêtre du salon, puis elle ouvrit les rideaux au grand désespoir de la jeune étudiante :

— Voilà, cul nu devant tout le monde !



Elle avait fait tourner la jeune femme afin que ses fesses soient tournées vers l’extérieur. Elle lui coinça la jupe dans la ceinture, la culotte était enroulée autour des chevilles, elle lui fit enjamber pour s’en saisir puis elle lui mit sous le nez :

— Privée de culotte, en plus elle n’est pas très propre.

Chloé était ravie de l’inventivité de sa copine, elle décida d’en rajouter un peu :

— Ah oui ? On va lui laver les fesses à l’eau froide quand elle aura fini son temps de coin.

Clémence avait posé sans qu’on lui demande, ses mains sur sa tête, elle serrait et desserrait convulsivement ses fesses pour essayer d’atténuer la brûlure qui envahissait sa croupe. Elle n’avait jamais reçu une correction aussi sévère, elle songeait avec angoisse aux voisins d’en face qui pouvaient admirer à loisir son fessier écarlate.

Le téléphone de Chloé vibra, elle y jeta un œil, il y avait un message d’Amélie. « Maman vient d’arriver, elle a demandé où tu étais ». Un soupçon d’inquiétude parcouru la jeune fille, elle se dirigea vers la punie et remis sa jupe en place :

— Bon, ça suffira pour aujourd’hui, tu échappes au lavage de ton derrière à l’eau froide, on rentre.

Elle mit la culotte de Clémence dans sa poche et lui prit la main :

— Tu restes cul nu, ça t’apprendra, allez ouste !

Une magistrale claque sur la croupe de Clémence lui indiqua qu’il fallait obéir sans tarder.

Louisa un peu déçue que la séance ne dure pas plus, leur fit une bise, elle en profita pour glisser sa main sous la jupe de la jeune femme :

— Tu as vraiment un joli petit cul ma chipie, j’espère bien que je pourrai à nouveau m’en occuper bientôt.

Arrivée devant l’appartement des deux étudiantes, Chloé lui donna une petite claque sur la jupe :

— Allez, file. On se revoit dans deux jours, demain ce sera à Clara de me présenter ses fesses.

En entrant dans le salon, le sang de Clémence se glaça, Odile se tenait debout et avait sa tête des mauvais jours :

— Où étais-tu ? Tes cours finissaient à 16 heures, tu as encore été traîner !!

Elle avait saisi la jeune femme et l’attirait déjà contre elle, Clémence savait ce que cela signifiait, elle essaya de protester :

— Non, non, madame, je vais vous expliquer.

Odile la tenait fermement par la taille, elle la força à se courber :

— Je suis sûr que tu vas m’expliquer, mais quand je t’aurai mis les fesses à l’air, tu auras les idées plus claires.

Elle souleva la jupe et poussa un petit cri :

— Mais qu’est-ce que c’est que ça ! Tu es cul nu, où as-tu mis ta culotte ?

Elle s’apprêtait à lever la main quand elle se rendit compte que les fesses de Clémence étaient écarlates.

 

 


 

 

 

jeudi 9 mai 2024

Deux étudiantes 8

 Chloé sévère maîtresse





Clémence regardait la télé tranquillement quand soudain la porte d’entrée s’ouvrit brusquement. Depuis qu’elles étaient passées sous la tutelle d’Odile, celle-ci leur interdisait de fermer la porte à clé, elle voulait pouvoir rentrer à tout moment à l’improviste afin de les surveiller.

C’était bien le style de leur sévère nouvelle maman que d’enter ainsi, la jeune femme se redressa, mais qu’elle ne fut pas sa surprise en voyant entrer Chloé, la jeune sœur d’Amélie.

— Tu pourrais quand même frapper !

Clémence était excédée devant l’air ironique de la jeune fille :

— Salut la chipie, tu es seule ? On peut parler ?

S’en était trop pour la jeune étudiante, qu’Amélie l’ait traité de chipie l’autre soir avait déjà été dur à supporter mais que cette gamine se le permette également, c’était intolérable :

— Non mais dis donc, où tu te crois ? Sors d’ici immédiatement !

Chloé la regarda avec un air moqueur :

— Ça ne te plaît pas que je t’appelle chipie ? Pourtant quand on reçoit encore la fessée cul nu, c’est bien ce qu’on est !

Clémence se leva et désigna la porte :

— Sors !!

Chloé la regarda fixement :

— Comme tu veux, mais avant je voudrais que tu regardes cette petite vidéo. J’ai bien envie de la mettre sur Tik Tok, j’aimerais avoir ton avis.

Elle tendit son téléphone vers la jeune femme. Immédiatement le son d’une fessée retentissante envahi la pièce. Clémence se reconnut sur l’écran, c’était bien elle qui gigotait les fesses à l’air sur les genoux d’Amélie, ses cris et la couleur de ses fesses ne laissait guère de place au doute, elle était en train de recevoir une magistrale fessée déculottée. En face d’elle Clara recevait la même de la main d’Odile. Leurs visages étaient parfaitement reconnaissables.

Clémence pâlit, Chloé était hilare :

— Elle te plaît ? C’était vraiment une belle séance de panpan cucul.

Elle pianota sur son téléphone :

— Regarde, j’en ai une autre, celle-là elle est vraiment super.

Sur l’écran Clémence put voir Amélie qui lui écartait largement les fesses écarlates et qui posait sur son anus le thermomètre. Chloé surveillait sa réaction :

— Tu as vraiment un beau petit cul, ça te fait quel effet de voir ton petit trou en grand sur l’écran ?

Clémence avait les larmes aux yeux :

— Non, s’il te plaît… Tu ne vas pas publier ça ?

Chloé se mit à rire :

— Ça dépend de toi ma chérie. Tu vas être mignonne avec Tatie Chloé ?

Clémence sentit l’étau se refermer, après Amélie c’était sa petite sœur qui allait profiter de la situation, elle baissa les yeux :

— Oui Chloé, si tu veux mais surtout tu ne mets rien sur Tik Tok.

La jeune fille s’approcha :

— Lève-toi !

Dès que Clémence eut obéi, elle prit sa place :

— Tourne-toi !

Dès que la jeune femme se fut exécutée, elle lui administra une magistrale claque sur le derrière :

— Pour commencer, tu vas m’appeler Tatie Chloé, c’est compris !

Elle avait claqué à nouveau les fesses de Clémence. Celle-ci avait les larmes aux yeux :

— Aïe… oui Tatie… Chloé…

— Parfait, maintenant tu te déculottes et tu retrousses ta jupette !!

Clémence hésita un instant, la jeune fille sourit et se leva :

— Il va falloir que tu t’habitues à obéir immédiatement ma petite chipie.

Elle avait ceinturé la jeune femme, elle la fit se pencher en avant. La jupe rapidement retroussée, la culotte descendit sous les fesses et elle se mit à claquer sèchement le derrière dénudé. Clémence surprise n’avait pas protesté ni chercher à se défendre, un mois de punition sévère par maman Odile avait fini par la rendre docile. Elle piétinait sur place en gémissant :

— Aïe, aïe, pardon tatie Chloé, aïe, aïe…

La jeune fille avait la main leste, elle claquait sèchement le joli derrière de l’étudiante. Elle remonta la culotte et relâcha sa victime, les fesses étaient déjà bien colorées, elle se rassit :

— Bien je répète pour la dernière fois, tu te déculottes et tu retrousses ta jupe !

En pleurnichant, clémence s’exécuta, ce n’était pas tellement la douleur mais la honte d’être traitée ainsi par une adolescente de 17 ans. Elle présentait maintenant sa croupe rosée à sa nouvelle maîtresse :



— Approche un peu !

Clémence recula légèrement, Chloé était ravie mais un peu jalouse des fesses de la jeune femme. Elle passa sa main sur les rondeurs qui présentaient une légère chair de poule :

— Tu as vraiment un joli petit cul, je vais me régaler. On va faire une photo, tends bien tes fesses.

Clémence entendit le déclic, Chloé se mit à rire :

— Ne serre pas tant les fesses, ça ne t’évitera pas la fessée. Je vais publier ça sur Twitter, tu as de la chance on ne voit que ton derrière. Maintenant tu tournes la tête, c’est pour ma collection personnelle, je dois pouvoir reconnaître à qui appartient ce joli petit cul.

Clémence était rouge de honte, mais elle obéit. Chloé prit la seconde photo :

— Tu mets tes mains sur la tête, je vais t’expliquer ce que j’attends de toi. Pour commencer je te déconseille de me désobéir ou de te rebeller sinon je publie la vidéo illico. Deuxièmement je vais m’occuper de tes fesses et de celles de ta copine, elles sont mignonnes, mais il faut les entretenir pour qu’elles restent bien rebondies. Vous viendrez tous les jours, chacune à votre tour me rendre une petite visite pour que je vous tanne le cul. Et quand j’en aurai envie vous aurez droit à un petit supplément, tu as déjà reçu une fessée déculottée en plein air ? Ça doit être excitant, on essayera.

Clémence avait écouté sans mot dire, cette petite était une vraie peste, mais tout valait mieux que la publication de cette vidéo. Chloé passa à nouveau la main sur la croupe de sa victime :

— Aujourd’hui c’est toi qui vas recevoir la fessée, demain j’aurai le plaisir de déculotter Clara. À propos, elle rentre bientôt ?

Clémence lui répondit qu’elle n’allait pas tarder.

— C’est parfait, comme ça, elle sera tout de suite au courant. Allez en piste ma petite chipie.

Elle avait claqué sèchement les fesses de Clémence pour l’inciter à bouger.

Quelques secondes plus tard, la jeune étudiante était dans cette position humiliante qu’elle commençait à connaître. Mais être couchée fesses à l’air sur les genoux de cette gamine c’était vraiment trop, elle ne put s’empêcher de pleurer. Chloé lui tapota les fesses en souriant :

— Eh bien ma petite chipie, je n’ai pas encore commencé et tu pleures déjà ? Garde tes larmes pour tout à l’heure, tu vas voir comment Tatie Chloé va s’occuper de ton derrière, je te promets que ça va vraiment te cuire.

Au même moment, Clara entra dans la pièce, elle poussa un petit cri de surprise en voyant sa copine allongée sur les genoux de Chloé, les fesses à l’air, prête pour recevoir une bonne fessée déculottée :

— Mais, mais… Qu’est-ce qui se passe ?

Chloé la regarda amusée :

— Tu tombes bien, la première chipie va recevoir sa déculottée et la deuxième va regarder pour savoir ce qui va lui arriver demain !

— Non mais ça va pas, tu te crois où ?

Chloé tapota les fesses de Clémence :

— Tu devrais dire à ta copine de se calmer, sinon ce n’est pas demain qu’elle va recevoir sa fessée cul nu mais aujourd’hui !

Clémence tourna la tête vers Clara :

— Chérie, tu devrais écouter Chloé, je t’expliquerai, elle veut publier une vidéo compromettante, s’il te plaît, laisse-la faire.

Clara regarda successivement son amie qui paressait affolée et semblait accepter le traitement humiliant de la jeune fille, puis Chloé qui avait un regard triomphant. Elle resta sans voix, c’est Chloé qui reprit la parole :

— Approche un peu ma petite chipie, tu as le droit de la voir cette vidéo.

Clara s’approcha, la jeune fille tendit le téléphone vers elle :

— Regarde un peu comme vous êtes mignonnes avec vos jolis derrières bien rouges.

La jeune étudiante poussa à nouveau un « oh », ce n’était pas la surprise mais l’effroi qui la faisait réagir, elle venait de comprendre la situation. Chloé enfonça le clou :

— Il va falloir être plus polie avec ta tatie Chloé ma petite chipie, je vais t’apprendre, tu vas voir ! Pour commencer tu fais comme ta copine, tu te tournes, tu retrousses ta jupe et tu te déculottes. Et vite !!

Complètement abasourdie, Clara s’exécuta, ses magnifiques fesses apparurent dans toutes leurs splendeurs juste au-dessus de la petite culotte blanche.

— Tu as vraiment un joli cul ma chipie, va te mettre au coin pendant que je m’occupe de ta copine. Ne t’inquiète pas tu n’auras pas froid aux fesses longtemps.

Clara en jeune femme habituée à la stricte éducation de sa mère ne tergiversa pas et alla poser son nez contre le mur.

Immédiatement la fessée pétarada dans la pièce, accompagnée par les cris de Clémence. Cette petite peste avait vraiment de la poigne, la cuisson n’avait rien à envier à celle ressentie lors des corrections administrées par sa mère ou sa sœur

Quand Clémence se releva pour rejoindre le coin, sa croupe était cramoisie et elle pleurait à chaudes larmes. 



La punition de Clara ne fut pas moins sévère, ce fut deux demoiselles aux derrières brûlants qui écoutèrent la jeune fille leur expliquer ce qu’elle attendait d’elles dorénavant :

— Comme je l’ai dit à Clémence tout à l’heure, à partir de maintenant, vous avez intérêt à filer droit, sinon c’est cul nu illico et la bonne fessée de tatie Chloé, j’espère que je me fais bien comprendre. À partir de demain, chacune votre tour le soir en rentrant des cours, vous viendrez me présenter vos derrières pour que je m’en occupe. Demain c’est Clara qui commencera. Pour ce soir c’est fini, vous avez de la chance, j’ai un contrôle à réviser, mais vous ne perdez rien pour attendre, de temps en temps on essayera quelques nouveautés sur vos jolies fesses. Vous pouvez vous reculotter.

Une fois seules, les deux jeunes femmes discutèrent de la situation, ce fut pour constater qu’elles étaient coincées. Il n’y avait aucun moyen d’échapper à la sévère tutelle de cette petite peste.

Clara se présenta donc le lendemain à l’heure dite dans la chambre de Chloé, il était 16 heures, Odile ne rentrait qu’à 18 heures et Amélie était à son cours de danse. Chloé avec un petit sourire gourmand s’adressa à la jeune étudiante :

— Tu as de la chance, j’ai deux heures tranquilles pour m’occuper de tes fesses, j’espère que tu es contente, tu as Tatie Chloé pour toi toute seule.

Elle avait fini en éclatant de rire. Puis elle avait mis son doigt sous le menton de Clara pour la forcer à la regarder :

— Pour commencer, comme d’habitude tu vas te déculotter pour que j’examine tes fesses et tu te dépêches !

Clara s’exécuta sans rechigner, elle savait par expérience qu’il ne fallait pas énerver une fesseuse. Elle se pencha légèrement pour bien présenter son fessier, histoire d’amadouer sa nouvelle maîtresse. Chloé n’était pas insensible au charme de cette magnifique croupe, une excitation se fit jour entre ses cuisses. Elle approcha de sa soumise, c’était tellement bon de pouvoir faire ce qu’elle avait envie avec cette pimbêche qui il y a encore quelques jours la snobait, lui disant à peine bonjour.

Elle glissa sa main entre les cuisses serrées de Clara :

— Il va falloir que tu écartes les jambes ma petite chipie, tatie Chloé a le droit d’aller fouiller là-dedans.

Elle écarta sans vergogne les deux fesses, mettant à jour la profonde raie médiane et la petite rondelle brune de l’anus, Clara ne put s’empêcher de contracter son fessier, ce qui lui valu de recevoir une dizaine de claques généreusement distribuées sur son derrière tendu :

— Tu as intérêt à te laisser faire sinon ça va te cuire encore plus ma petite chipie. Tu as déjà gagné une fessée supplémentaire pour cette petite rébellion. Qu’est-ce que je vous ai dit hier ?

La main claqua à nouveau les fesses pour accompagner la question :

— Alors qu’est-ce-que j’ai dit hier ?

— Aïe, aïe, aïe, pardon tatie Chloé… Aïe…

— Je n’ai rien entendu, répète ce que j’ai dit hier !!

— Aïe, oui… vous avez dit qu’il fallait qu’on file droit…

— Sinon ?

— Aïe… sinon… c’est cul nu illico et la bonne fessée de tatie Chloé… Aïe !

Chloé était aux anges, elle administra quelques claques supplémentaires sur le fessier tendu :

— A la bonne heure. Est-ce que tu as filé droit ?

Elle caressait à nouveau les fesses de la jeune femme, alterner douceur et sévérité pour que la punie perde pied c’était une spécialité de sa mère, elle avait retenu la leçon.

— Non… tatie Chloé.

— C’est bien ce qu’il me semble. Donc ?

Elle insinuait ses doigts entre les fesses de la jeune femme, celle-ci était rouge de honte, se faire traiter ainsi par cette gamine c’était vraiment insupportable, mais elle savait qu’il lui fallait répondre.

— Aïe, aïe… c’est la fessée… Aïe…

Chloé avait claqué sèchement les fesses de Clara :

— Exactement ! Une bonne fessée déculottée, c’est tout ce que tu mérites en plus de celle que j’avais déjà prévu de t’administrer. Reculotte-toi !!

Un peu surprise, la jeune femme s’exécuta. À peine sa culotte avait-elle caché son derrière, que sa jeune maîtresse l’avait saisie par l’oreille :

— Qu’est-ce que tu penserais d’une petite fessée en public ma chérie ?

Complètement affolée Clara se mit à supplier :

— Non, non, pardon tatie Chloé… Aïe, aïe…

La main venait de claquer l’arrière de ses cuisses :

— Avance, et cesse de chouiner. C’est tout ce que tu mérites.

Arrivée au salon, elle ouvrit grand les rideaux et la fenêtre. Les habitants de l’immeuble d’en face avaient une vue plongeante sur la pièce. Ils étaient habitués aux spectacles que leur offrait souvent Odile en corrigeant ses filles fenêtre ouverte où même l’été quelques fois sur le balcon.

Des fesses nues bien rouges et des jambes battant l’air au rythme des claques ne les surprendrait pas. Chloé avait lâché l’oreille de sa punie pour préparer la scène, elle installa une chaise de profil face à la fenêtre et s’installa un peu dans l’ombre afin de ne pas être reconnue puis elle saisit la main de Clara pour la basculer en travers de ses genoux :

— Tes fesses sont tellement ravissantes qu’il serait dommage d’en priver les spectateurs. Allez, cul nu ma petite chipie.

En un clin d’œil, elle retroussa la jupe. Clara compris pourquoi elle lui avait fait remettre sa culotte. C’était pour lui faire subir l’humiliation d’un déculottage en public, elle se mit à pleurer :

— Pardon, pardon… Non s’il vous plaît tatie Chloé, fermez la fenêtre… Aïe…

La main de la jeune fille venait de claquer l’arrière de ses cuisses juste sous la culotte :

— Je t’ai dit d’arrêter de pleurnicher, la prochaine fois tu obéiras quand tatie Chloé te dira quelque chose. J’espère que tu as bien honte de te faire baisser la culotte devant tout le monde. Tu mérites une bonne fessée cul nu et tu vas la recevoir !

Clara sentit avec horreur les doigts s’insinuer sous sa petite culotte blanche, celle-ci glissa inexorablement sur sa croupe.

Certes elle avait l’habitude de recevoir la fessée déculottée et Laurence sa mère la fessait quelques fois en public même si c’était plus rarement maintenant qu’elle était adulte mais sa dernière fessée cul nu devant des inconnus remontait à son adolescence. Son humiliation était accentuée par le fait que ce soit Chloé qui lui administre ce châtiment. Cette gamine se régalait de la déculotter, elle sentit l’air frais sur ses fesses, elle était prête pour recevoir à 25 ans une fessée déculottée en public.

La jeune fille jeta un œil sur la façade de l’immeuble voisin, elle constata avec joie que mademoiselle Vilpot, la vieille fille du deuxième avait ouvert sa fenêtre, on la devinait, elle adorait assister aux punitions qu’Odile administrait à ses filles. Chloé pensa en souriant qu’elle serait sans doute ravie de découvrir une nouvelle paire de fesses. Elle aperçut au troisième étage sa copine Louisa, elle lui avait envoyé un SMS pour la prévenir, elle tapota gentiment les fesses blanches recouverte d’une fine chair de poule :

— Tu as du succès, il y a au moins deux spectatrices pour assister à ta déculottée.

Elle leva la main et commença la punition, comme la veille, elle ne ménagea pas sa peine et Clara malgré son désir de rester stoïque se comporta comme toutes les punies, battant désespérément des jambes et pleurant sous la cuisson des claques. Ses fesses étaient tournées vers la fenêtre, les deux spectatrices purent constater que la fessée avait été efficace si l’on en jugeait par la couleur du derrière.



Avant de faire se relever, elle lui épingla la jupe dans le dos, ainsi quand Clara fut sur pied son fessier rougeoyant resta parfaitement exposé. Elle la força à se placer dos à la fenêtre afin que les deux amatrices de fessées soient satisfaites :

— Mets tes mains sur ta tête, tu vas rester là un moment, quand on a un si joli derrière, il faut le montrer.

Elle se dirigea vers la cuisine et revint avec le martinet, puis elle appela Louisa :

— Tu as bien vu ?

— …

— Oui, c’est vrai qu’elle a vraiment un beau cul.

— …

— Non je ne vais pas la laisser trop longtemps là, c’est juste pour lui faire bien honte.

— …

— Tu l’as entendu brailler ? Une vraie gamine qui reçoit encore la fessée cul nu. C’est sûr qu’elle va s’en souvenir. Mais je n’ai pas fini.

— …

— Oui, une deuxième fessée au martinet.

— …

— Non pas ici, j’ai peur qu’Amélie rentre plus tôt, je vais lui flanquer sa fessée dans ma chambre. Bon j’y vais. Bisous.



Clara pleurait en silence, autant de honte que de douleur, cette petite garce savait y faire, et en plus elle comptait la punir au martinet. Elle contracta ses fesses. Chloé venait de lui saisir l’oreille, de l’autre main elle tenait le martinet :

— Viens un par ici ma jolie, tu as reçu ta punition pour avoir désobéi, maintenant tu vas recevoir l’habituelle, celle que tu recevras tous les deux jours.

Elle entraîna la jeune étudiante dans sa chambre et lui désigna son fauteuil :

— Tu te mets à genoux et tu tends bien ton derrière.

Clara s’exécuta en gémissant, ses fesses étaient encore brûlantes :

— S’il vous plaît tatie Chloé, j’ai déjà été bien punie.

Chloé souriait, elle jubilait de la soumission de la jeune femme. Elle fit glisser les lanières sur la croupe tendue :

— Oui, c’est vrai, mais je pense que ce n’est pas suffisant. Tu es une vraie chipie et tu as une bonne paire de fesses. Quand on a un beau derrière comme toi, il faut beaucoup plus qu’une fessée pour le corriger. Une fessée avec le martinet familial ça sera parfait. Disons cinquante coups et tu vas compter.

La première cinglée barra les fesses de Clara d’une trace bien rouges qui déborda sur les cuisses.

— Aïe… Pardon tatie Chloé… ça brûle…

— Je n’ai rien entendu ! On recommence !

— Aïe, aïe… Un…

Au milieu des cris et des pleurs, Clara compta jusqu’au bout sa punition. À la fin sa croupe n’était plus qu’une boule rouge tellement ses fesses étaient serrées. Chloé la laissa à genoux le temps qu’elle se calme.

Elle regarda sa montre, il lui restait encore une heure pour jouer à la maîtresse. Ce beau fessier, c’était trop tentant, mais Clara avait déjà pris deux bonnes fessées, il ne fallait pas exagérer. Elle sourit contente de sa nouvelle idée, elle se dirigea vers la salle de bain et en revint avec le thermomètre qui servait si souvent à sa mère pour compléter sa punition. Elle s’installa confortablement sur l’autre fauteuil et appela Clara :

— Viens un peu ici ma chipie, tatie Chloé va s’occuper de ton bon gros derrière.

La paire de fesses de la jeune femme était magnifique et rebondie à souhait, elle ne méritait cependant pas l’appellation humiliante de « bon gros derrière » mais cette expression plaisait à Chloé c’est ainsi que sa mère avait dénommé les fesses d’une de ses cousines bien en chair, un jour qu’elle la corrigeait. Elle avait beaucoup aimé voir ce « bon gros derrière » se trémousser et rougir sous les claques.

Clara avait rougi un peu plus, mais elle se tenait sagement devant sa jeune maîtresse, celle-ci tapota ses cuisses d’un air impatient :

— Allez vite en position, comme si tu ne savais pas que c’est là que tu dois être !

Clara se coucha en travers de ses cuisses, Chloé descendit la culotte jusqu’aux genoux puis elle écarta les deux hémisphères écarlates :

— On se détend petite chipie, tatie Chloé veut vérifier ta température, tu sais bien qu’il faut te laisser faire.

La jeune étudiante n’avait aucune envie de reprendre une nouvelle fessée aussi desserra-t-elle ses fesses le plus qu’elle le pouvait. Son petit trou mis à jour, la jeune fille n’eut aucun mal à faire pénétrer profondément l’instrument médical. 



Elle le fit coulisser d’une main tandis que l’autre se glissait un peu plus bas. Malgré elle, Clara était mouillée, Chloé ressortit sa main et la plaça sous le nez de sa soumise :

— On dirait que ça te plaît que je m’occupe de ton petit trou. Attends tu vas voir, j’ai beaucoup mieux, ça va te calmer !

Elle ressortit le thermomètre et attrapa le martinet, l’extrémité de son manche était fine et arrondie. C’était l’idée perverse qui avait traversé le cerveau de la jeune maîtresse tout à l’heure :

— Ah mademoiselle aime se faire enculer ? Eh bien je vais t’apprendre !

Elle posa son doigt sur l’anus, le thermomètre l’avait légèrement dilaté, elle introduisit doucement son index et le fit tourner. Clara morte de honte se mit à gémir :

— Non, non, tatie Chloé pas ça…

La jeune maîtresse se mit à rire :

— Ah oui, et pourquoi donc ? Tu crois que tu es en position de décider ? Je vais te mettre le martinet à la place du thermomètre, on va voir si ça te fait toujours jouir. Tu ferais mieux de bien écarter tes fesses si tu ne veux pas une autre fessée.

Clara se mit à pleurer doucement et écarta largement ses cuisses, Chloé continuait à faire coulisser son doigt, elle était incroyablement excitée, sa perversité était satisfaite. Elle prit le martinet et humecta le manche avec sa salive puis elle le posa sur l’anus déjà dilaté et le poussa lentement. La jeune femme se mit à gémir :

— Non, non tatie Chloé, c’est trop gros, s’il vous plaît…

Sans tenir compte de ces supplications la jeune fille continuait de faire pénétrer l’engin punitif, elle tapota les fesses :

— Relâche-toi ma petite chipie, ce n’est rien du tout ? Tu verras, un jour je mettrai un gros plug dans ton joli petit cul, là tu pourras pleurer pour quelque chose.

Jugeant qu’il était enfoncé suffisamment profondément et qu’il ne risquait pas de ressortir, elle le fit tourner lentement pour accentuer la confusion de sa punie :

— Voilà, petite chipie, il est bien en place, tu vas le garder un bon moment. Allez debout !

Elle avait claqué sèchement les fesses de Clara. Celle-ci était maintenant devant elle, elle la saisit par l’oreille et l’amena devant la glace, puis la fit pivoter afin que ses fesses soient bien présentées :

— Regarde comme tu es mignonne avec cette petite queue…

Elle se mit à rire en faisant bouger les lanières qui pendaient sur les fesses. L’humiliation était totale pour Clara, elle en aurait presque oublié la brûlure de son fessier.

— Te voilà bien garnie, je vais faire une photo pour l’envoyer à Louisa, je suis sûre qu’elle va adorer.

Puis elle conduisit sa punie au coin :

— Tu connais la position, je pense. Colle bien ton nez contre le mur et mets tes mains sur la tête. Je ne veux plus t’entendre. Tu en as pour une demi-heure.

Au bout de vingt minutes, elles entendirent Amélie rentrer. Chloé se leva, remonta la culotte sous les fesses et fit retomber la jupe :

— Ta tenue est plus décente, mais tu gardes le martinet dans les fesses, on va chez toi. Allez dépêche-toi.

Elle claqua les fesses par-dessus la jupe pour inciter Clara à avancer. C’était très gênant de marcher avec ce manche bien enfoncé entre ses fesses, mais elle n’avait pas le choix. Elle était quand même contente que la grande sœur de Chloé ne l’ait pas trouvé au coin cul nu.

Amélie fut surprise de voir Clara :

— Tiens, tu es là ?

C’est Chloé qui répondit :

— Oui, Clara est super sympa, elle est venue m’aider pour m’expliquer un cours de svt, on va chez elle, elle veut me montrer quelque chose.

Amélie acquiesça et regagna sa chambre.

Quand elles furent sur le palier, Chloé reclaqua les fesses de sa punie :

— Allez vite !!

Clémence poussa un petit “oh” de surprise en les voyant arriver. Chloé se mit à rire :

— J’ai une petite surprise pour toi.

Elle fit pivoter Clara et souleva la jupe. Les fesses écarlates apparurent dans toutes leurs splendeurs avec le manche du martinet planté au milieu.

— Elle est mignonne, tu ne trouves pas ?

Elle coinça la jupe dans la ceinture et claqua sèchement les fesses :

— Va te mettre au coin, tu n’as pas fini ta pénitence.

Puis elle se tourna vers Clémence :

— Tu vois ce qui arrive aux vilaines filles. Clara à désobéi, elle a eu droit à un complément de punition. En plus d’une deuxième fessée, elle goûte au martinet plug. Je te conseille d’être mignonne demain.

Clémence se mit à rougir, elle était inquiète pour ses fesses, mais en même temps le spectacle offert par Clara était vraiment très excitant.

Chloé s’approcha d’elle :

— Tu vas me montrer tes fesses.

La jeune étudiante n’osa pas protester, elle se leva et resta debout les bras ballants. Chloé la regarda sévèrement :

— Eh bien, tu as oublié ? Déculotte-toi !!

Les joues de la jeune femme étaient aussi rouges que ses fesses après une fessée, elle s’exécuta puis se tourna pour présenter ses fesses à sa jeune maîtresse.

Chloé s’approcha et caressa le joli derrière si bien présenté :

— C’est bien, j’aime les chipies obéissantes, tes fesses sont ravissantes. Elles se sont bien reposées aujourd’hui, on s’en occupera demain.



Elle claqua la croupe contractée par la honte :

— Cache-moi ce vilain derrière.

Ravie d’échapper à la fessée, clémence se dépêcha de remonter sa culotte.

Chloé s’était dirigée vers son autre soumise, elle fit coulisser légèrement le manche du martinet :

— Alors ma petite chipie, tu seras bien sage la prochaine fois.

Clara le nez collé contre le mur murmura :

— Oui, tatie Chloé…

Les dix minutes lui parurent longues, contrairement à Chloé qui aurait bien voulu continuer à profiter du spectacle. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, sa mère n’allait pas tarder, elle retira le martinet et administra une vingtaine de claques sur les fesses de Clara :

— Ta punition est terminée, sois bien sage.

Elle se tourna vers Clémence :

— Quant à toi, à demain.













Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...