dimanche 28 avril 2024

Deux étudiantes 7

 Une baby-sitter sévère



Odile était invitée, elle annonça à Clara et Clémence qu’Amélie viendrait passer la soirée chez elle pour les surveiller, elle ajouta en souriant :

— Vu votre comportement ces derniers temps, je ne peux pas vous laisser sans surveillance. Amélie fait souvent du baby-sitting, elle fera cela très bien.

Les deux jeunes femmes se mordirent les lèvres pour ne pas protester, Odile les traitaient vraiment comme des gamines et en plus c’était cette garce d’Amélie qui était chargée de les surveiller. Elles étaient certaines qu’elle allait se régaler à les rabaisser.

Amélie entra sans frapper dans l’appartement, c’était mauvais signe, elle se considérait chez elle. Clara était assise dans le salon, elle poussa un petit cri de surprise en voyant sa jeune voisine :

— Oh, bonjour tu es en avance.

Amélie lui lança un petit regard ironique :

— Oui je voulais être là assez tôt pour vous surveiller, maman m’a dit que vous étiez vraiment des chipies. Où est Clémence ?

Clara se mordit les lèvres devant l’insolence de la jeune femme, elle ne voulait pas commencer les hostilités. Elle désigna la salle de bain :

— Elle prend une douche.

Amélie en souriant se dirigea vers la salle de bains et sans frapper ouvrit la porte, les deux amies ne fermaient jamais à clé, elle entra donc. Clémence sortait de la douche, elle était entièrement nue, elle poussa un cri :

— Mais, ça ne va pas, tu pourrais quand même frapper !

Le sourire d’Amélie se figea :

— Pardon ? C’est sur ce ton que tu me parles !

Clémence rougit et prit une serviette pour se couvrir. Amélie s’était dirigée vers elle et lui avait saisi l’oreille.

— Aïe, aïe… Lâche-moi, qu’est-ce… Aïe, aïe…

La main de la jeune femme venait de claquer la cuisse découverte par la serviette. Elle tenait toujours Clémence par l’oreille et elle l’amena au salon. Celle-ci se mit à parler un peu vite, signe de son inquiétude :

— Arrête, ce n’est pas ce que je voulais dire… Mais tu aurais quand même pu frapper.

Amélie se rendant compte du trouble de sa voisine, décida de pousser son avantage. Elle lâcha l’oreille de Clémence et la regarda en souriant à nouveau :

— Quand on est une jeune fille bien élevée et que sa baby-sitter arrive on dit « bonjour mademoiselle », il me semble.

Elle regarda les deux amies pour voir leur réaction, celles-ci étaient sidérées :

— J’attends !!

Clémence sentit que sa situation pouvait s’aggraver rapidement, elle avala sa salive et malgré sa colère, elle réussit à sortir les mots attendu :

— Bonjour mademoiselle…

Amélie se tourna vers Clara, celle-ci compris qu’elle n’avait pas le choix :

— Bonjour mademoiselle.

La jeune femme avait un sourire carnassier, ces deux pimbêches faisaient moins les fières maintenant, elle les dévisagea l’une après l’autre :

— Nous allons immédiatement mettre les choses au point. Je ne suis pas votre petite voisine mais mademoiselle Amélie. Maman m’a donné toute latitude pour vous punir si vous n’obéissez pas à mes consignes, je compte donc sur vous pour être mignonnes sinon, ce sera panpan cucul. En plus vous connaissez maman, je pense qu’elle rajoutera une dose à ma punition.

Clara ouvrit la bouche, mais le regard sévère d’Amélie l’incita à se taire, celle-ci continua :

— Pour commencer, vous allez vous mettre en pyjama immédiatement.

Les deux amies se regardèrent, incrédule. C’était encore pire que ce qu’elles avaient imaginé. Clara ne put se retenir :

— Mais enfin, Amélie on est plus des gamines, il est 19h30. On ne va quand même pas passer la soirée en pyjama !

Amélie la regarda en souriant, décidément Clara lui tendait la perche, elle n’allait pas s’en priver. Elle s’approcha de la jeune femme et lui saisit l’oreille comme si elle était une gamine désobéissante :

— Décidément, je crois que je ne me suis pas bien fait comprendre.

Elle tirait l’oreille de sa victime, elle était plus grande qu’elle, Clara se mit à gémir et pour atténuer la douleur elle fut obligée de se tenir sur la pointe des pieds :

— Aïe, aïe, pardon Mlle Amélie…

La main d’Amélie venait de claquer très sèchement son fessier encore couvert par la mini-jupe. Elle leva un peu plus la main qui tenait l’oreille pour forcer la jeune étudiante à la suivre en marchant sur la pointe des pieds :

— Puisque mes explications n’ont pas suffi, je vais passer aux travaux pratiques ! Un petit séjour sur mes genoux va te calmer ma petite chérie.

Clara était paniquée, elle savait ce qui l’attendait, elle se maudissait de n’avoir pas su tenir sa langue, cette petite garce allait se faire un plaisir de la déculotter. Elle n’avait pas tort, Amélie appréciait beaucoup la magnifique paire de fesses de la jeune femme. Elle avait pris plaisir à coucher Clémence sur ses genoux la dernière fois et à lui rougir copieusement son délicieux postérieur mais découvrir celui de sa copine allait être encore plus agréable, la déculotter comme si elle était une gamine, Hum…

Elle s’était assise et en tirant toujours sur l’oreille de Clara, elle la força à se coucher en travers de ses cuisses, celle-ci gémissait doucement :

— Non, non, pardon Mlle Amélie, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire… Aïe, aïe…

Deux claques venaient de s’abattre sur l’arrière de ses cuisses, la mini-jupe était remontée découvrant la petite culotte à fleur :

— Ma petite chérie, c’est un peu tard pour demander pardon, Tatie Amélie va t’apprendre la politesse. Puisque tu n’as pas l’air de comprendre, je vais m’adresser à tes jolies fesses. Allez cul nu !!

Elle avait retroussé bien haut sur les reins la jupe de Clara, on devinait les fesses serrées par l’angoisse. Bien sûr, elle avait l’habitude de se faire déculotter pour recevoir la fessée, mais elle était couchée sur les genoux de cette petite peste qui avait quatre ans de moins qu’elle et elle se doutait bien qu’Amélie n’allait pas se priver de lui administrer une sévère correction et de l’humilier.

La jeune baby-sitter tapotait la croupe encore culottée, elle connaissait parfaitement les sensations ressenties dans cette position, elle se régalait de l’angoisse de sa victime :

— On va commencer par baisser ta petite culotte.

Elle glissa ses doigts sous l’élastique de la fine lingerie puis elle la fit glisser doucement sur le magnifique fessier de sa jeune voisine. Les fesses rondes, séparées par un profond sillon central présentaient une légère chair de poule, Clara ne put s’empêcher de les serrer. Elle se doutait que la perverse Amélie allait se régaler de les faire rougir.

La culotte était maintenant arrivée au niveau des genoux, la jeune fesseuse glissa sa main entre les cuisses :

— Écarte un peu tes cuisses ma petite chérie, tu sais bien que de toute façon tu vas me montrer tes trésors.

Elle avait dit ça en riant tandis que ses doigts remontaient doucement pour s’immiscer dans la raie fessière. Clara avait pris goût aux plaisirs saphiques mais se faire caresser dans cette position par cette petite peste ne lui procurait pas spécialement du plaisir. Elle écarta quand même légèrement ses cuisses pour éviter de contrarier sa nouvelle maîtresse, les doigts d’Amélie se glissèrent jusqu’à sa vulve puis remontèrent entre les fesses pour les écarter un peu plus, elle posa un doigt sur l’anus de sa victime :

— Alors ma petite, tu fais moins la fière ? Tu trouves toujours que c’est trop tôt pour te mettre en pyjama.

Son doigt appuyait légèrement sur l’anus de Clara qui était morte de honte, surtout que la jeune fesseuse continuait :

— Si je te mettais un thermomètre dans les fesses pour t’apprendre à répondre ?

— Non, non, pardon Mlle Amélie. Oui j’ai compris, je vais mettre mon pyjama.

La perverse jeune fille était ravie de la soudaine soumission de Clara, elle se mit à rire :

— Voyez-vous ça ! C’est curieux comme on devient soudain obéissante quand on a les fesses à l’air. Mais c’est un peu tard ma chérie, je vous avais prévenues, si vous n’étiez pas mignonnes, c’était panpan cucul, eh bien nous y voilà.

Elle ceintura fermement Clara et commença la fessée, la jeune étudiante se rendit vite compte qu’elle pouvait être aussi sévère que sa mère, les claques magistrales atterrissaient alternativement sur chacune des fesses. Rapidement malgré sa grande habitude des sévères corrections, la jeune femme se mit à crier et à se débattre, Clémence regardait avec un mélange d’angoisse et de plaisir le magnifique derrière de son amie devenir très rouge. Amélie avait vu juste, Clara dévoilait maintenant tous ses trésors intimes.



La punition cessa quand toute la surface du fessier fut teintée d’un rouge éclatant. Clara pleurait comme une gamine sur les genoux de sa baby-sitter, celle-ci lui tapota le derrière brûlant :

— Bien, j’espère que ça va te servir de leçon et que je n’aurai pas à recommencer. Tu vas aller mettre ton pyjama maintenant, et tâche de ne pas traîner !

Elle regarda Clémence, celle-ci aurait voulu rentrer dans un trou de souris :

— Quant à toi, tes fesses sont encore blanches, si tu veux qu’elles le restent, je te conseille de filer également te mettre en pyjama.

Quelques instants plus tard les deux jeunes étudiantes étaient de retour dans le salon en tenue de nuit. Amélie les regarda en souriant :

— Ah voilà nos deux chipies, vous êtes quand même plus mignonnes en pyjama.

Clara et Clémence rougirent et baissèrent la tête, la soirée risquait d’être longue et cuisante. La jeune baby-sitter s’adressa à nouveau à elles :

— Vous n’allez pas rester la soirée à ne rien faire, allez me chercher vos cours d’aujourd’hui.

Un peu surprise mais ne désirant pas se retrouver à nouveau les fesses à l’air, les deux amies s’exécutèrent. Amélie pris le polycopié des mains de Clémence :

— Tu vas m’apprendre par cœur les deux premières pages de ton cours, tu as une demi-heure.

Clémence ne put s’empêcher d’ouvrir la bouche pour protester :

— Mais mademoiselle Amélie ce n’est pas la peine d’apprendre par cœur.

Amélie semblait n’attendre que ça, à peine la jeune étudiante avait-elle ouvert la bouche que déjà elle l’avait coincée sous sons bras, la culotte du pyjama baissée à mi-cuisse, la main se mit à claquer les deux rondeurs jumelles. Clémence se mit à trépigner sur place, sa baby-sitter la tenait fermement, ses fesses étaient parfaitement présentées et elles prirent rapidement une jolie couleur rouge, la punie sanglotait et suppliait mais rien n’arrêtait la main qui claquait inlassablement :

— Ah je vais t’apprendre à raisonner !! Tu vas voir avec une paire de fesses bien rouges tu vas beaucoup mieux travailler.



Enfin Amélie relâcha sa victime qui se mit à sautiller sur place pour essayer d’atténuer la cuisson qui embrasait son fessier, elle aurait bien aimé le frotter mais depuis le temps, elle savait que c’était rigoureusement interdit.

— Tu peux te reculotter et tu files dans ta chambre, je t’interroge dans une demi-heure.

Sans demander son reste Clémence s’exécuta. Clara se le tint pour dit et n’émit aucune protestation quand Amélie lui donna également deux pages de cours à apprendre par cœur.

Pendant que les deux amies travaillaient chacune de leur côté dans leurs chambres, Amélie discuta avec une amie sur Twitter, elle eut vite fait de lui raconter sa soirée en n’omettant pas bien sûr de mentionner les fessées déculottées qu’elle avait administrées à ses deux « gamines ». Elle lui promit en riant de la tenir au courant de la suite :

— Tu auras des photos de leurs jolies fesses bien rouges, tu vas voir, elles ont vraiment de beau petit cul…

Il était temps de passer à la correction des devoirs, elle décida de commencer par Clémence, celle-ci rougit en voyant la jeune fille rentrer d’un air autoritaire dans sa chambre :

— On va voir si tu as bien travaillé, tu te lèves et tu me récites ton cours.

Amélie avait pris la place de Clémence devant son bureau, celle-ci intimidée se tenait droite devant sa baby-sitter, les yeux baissés.

— Allez, on y va, je t’écoute !

La jeune fille avait pris la feuille de cours et la parcourait rapidement, de l’autre main elle avait pris une règle plate et elle tapotait le bureau d’un air impatient.

Clémence commença à réciter, mais au bout d’une demi-page, la tension était trop forte, elle commença à trébucher et à hésiter sur les mots. Amélie la regarda en souriant :

— Est-ce que par hasard, ça t’aiderais ma petite chérie si je te baissais la culotte ?

Clémence se raidit un peu plus et essaya de se souvenir de la suite mais le regard perçant de sa baby-sitter était trop impressionnant. Rien ne sortait de sa bouche.

— Approche un peu !

Amélie avait fait un petit signe avec son doigt, Clémence fit un pas vers elle. La jeune fille glissa ses deux pouces dans la ceinture du pyjama et le fit descendre à mi-cuisse. Clémence se mordit les lèvres, la suite était inéluctable surtout que la sévère jeune fille reprenait :

— Te voilà prête pour la suite, j’espère que l’air frais sur ton petit derrière va te faire retrouver la mémoire.



Bien sûr, plus rien ne sortait de la bouche de Clémence, un premier coup de règle appliqué sèchement en travers de sa croupe dénudée la fit sursauter :

— Aïe, non, non, pardon mademoiselle, aïe, aïe…

La règle plate avait claqué le fessier, mais tout s’embrouillait dans sa tête. Amélie lui saisit la main et la força à se coucher en travers de ses cuisses :

— Puisque tu n’as pas travaillé, nous allons employer une méthode qui a fait ses preuves sur les paresseuses.

Elle leva la règle et appliqua une dizaine de coups sur le postérieur joufflu. Puis elle lut la suite du cours en rythmant ses phrases avec la règle :

— Tu vas répéter après moi, allez je t’écoute !

Clémence en hoquetant répéta la phrase, puis Amélie lut la phrase suivante tout en continuant à claquer les fesses qui reprirent rapidement des couleurs. Il restait une bonne partie du cours, la fessée fut longue et quand enfin la jeune baby-sitter en eut terminé avec la lecture et que Clémence eut répété chaque phrase, elle était en pleurs et son derrière écarlate.

Amélie la fit se relever et lui indiqua son siège :

— Tu ne remontes pas ta culotte et tu t’assieds là. Tu vas me recopier ce cours proprement. Je vais interroger Clara et je reviens.

La porte de la chambre était restée ouverte, Clara avait donc tout entendu, quand la jeune fille entra dans sa chambre, elle n’en menait pas large. La séquence fut la même que dans la chambre voisine, elle se retrouva vite cul nu et non moins rapidement couchée sur les genoux de la baby-sitter. La couleur de ses fesses n’avait rien à envier à celle de son amie quand elle put se relever.

Quand elle entra dans la chambre de Clémence, Amélie était contente de sa soirée mais elle ne comptait pas en rester là, elle avait à sa disposition deux magnifiques paires de fesses, il fallait en profiter. Elle regarda par-dessus l’épaule de la jeune femme :

— Tu as fini ta copie ?

Comme Clémence avait répondu par l’affirmative, elle lui saisit l’oreille pour la faire se lever :

— C’est bien, tu vas venir avec moi au salon, ta désobéissance et ta paresse mérites une sanction.

Elle avait pris le feuillet sur le bureau, elle claqua les fesses encore rouges et l’amena dans la pièce principale. Elle la conduisit contre le mur et posa la feuille devant son visage :

— Tu colles ton nez contre le mur pour tenir la feuille et gare à toi si elle tombe, tu mets tes mains sur la tête et je ne veux pas t’entendre !

Elle claqua les fesses tendues pour confirmer qu’elle ne plaisantait pas. Quelques instants plus tard, Clara était dans la même position, ses fesses rouges bien exposées et son nez collé contre le mur tenant sa copie.

Amélie avait fait quelques photos pendant les fessées de ses deux pupilles, elle compléta sa collection pour pouvoir les envoyer à sa copine. Puis elle prit son téléphone et appela sa sœur :

— Chloé, ma chérie, j’ai une petite surprise pour toi ? Viens me rejoindre chez les deux chipies mais avant tu prends deux thermomètres à la salle de bain.

La jeune fille ne se fit pas prier et quelques secondes plus tard elle pénétrait dans l’appartement des deux étudiantes, elle ne put s’empêcher de pousser un petit cri de surprise en découvrant le spectacle :

— Olala !! Eh ben dis donc, tu ne les as pas loupées. Mazette elles ont le cul bien rouge.



Les deux amies s’étaient raidies quand elles avaient entendu le coup de téléphone qu’Amélie avait passé à sa sœur, mais la réflexion amusée de la cadette devant le spectacle qu’elles offraient était encore plus humiliant. Elles serrèrent toutes les deux leurs belles fesses rouges, la soirée n’était pas finie.

Amélie avait ri en entendant sa sœur :

— C’est sûr qu’elles ne vont pas avoir froid cette nuit, mais je pense qu’il vaut mieux vérifier leur température.

Chloé frappa dans ses mains :

— Ah, chouette, depuis le temps que je rêve de le faire à quelqu’un.

Amélie éclata de rire :

— Tu préfères laquelle ?

Chloé s’approcha des deux jeunes femmes en pénitence et caressa les deux fessiers cramoisis, elle s’attarda un peu plus sur la croupe de Clémence, glissant même ses doigts dans la raie fessière bien serrée :

— Je crois que je vais choisir le joli derrière de Clémence.

Amélie acquiesça :

— Comme tu veux, moi j’ai déjà testé les deux, mais c’est à Clémence que j’ai mis le thermomètre l’autre jour, finalement c’est bien que tu me laisses Clara.

Chloé avait saisi immédiatement l’oreille de Clémence. Recevoir la fessée déculottée à son âge était déjà très humiliant mais se faire tirer l’oreille et être forcée de se coucher sur les genoux d’une gamine de dix ans plus jeune qu’elle, c’était vraiment le comble. Pourtant c’est ce qui était en train d’arriver à cette jeune étudiante en médecine. Elle était déjà déculottée ce qui chagrina un peu Chloé, elle aurait bien aimé lui baisser la culotte pour faire apparaître la belle croupe et compléter le retour à l’enfance de cette pimbêche qui quelque temps auparavant ne lui adressait même pas la parole. Elle arrangea un peu la position de Clémence la faisant basculer un peu vers l’avant pour que ses fesses soient bien à sa portée. Amélie avait ramassé la feuille tombée par terre elle la posa devant Clémence :

— Tu vas continuer de m’apprendre par cœur ton cours pendant ta pénitence, ça t’évitera une autre fessée.

Puis elle se dirigea vers Clara et lui saisit également l’oreille, elle récupéra la feuille et s’installa dans l’autre fauteuil. Quelques instants plus tard la jeune femme était à son tour en position disciplinaire les fesses pointées vers sa baby-sitter, celle-ci lui posa également son cours devant les yeux avec la même consigne de l’apprendre par cœur.

Chloé palpait avec gourmandise le derrière rebondi de sa punie :

— On leur rougit un peu plus les fesses ? Maman le fait à chaque fois qu’elle nous met le thermomètre.

Amélie tapota les fesses de Clara en souriant :

— Bien sûr, elles ont commencé à perdre un peu leur jolie couleur. Tu es prête ?

Chloé continuait de caresser les fesses de Clémence, elle les écartait sans vergogne :

— Bien sûr, cette chipie a vraiment un joli cul.

Clémence était mortifiée par ce traitement, mais elle se laissait faire, sachant que ses fesses risquaient de subir les conséquences d’une révolte. Soudain, elle poussa un cri, Chloé venait de lui administrer une formidable claque, Amélie se mit à rire :

— Eh bien ma chérie, ça commence fort, fait attention à ta main, tu ne vas pas pouvoir lui donner la fessée jusqu’au bout.

Chloé leva à nouveau la main et recommença à claquer aussi fort le derrière de sa punie :

— Ne t’inquiète pas, ça va aller je te promets que notre petite chérie va avoir du mal à s’asseoir demain.



Clémence se mit à hurler, cette fessée, administrée par une presque gamine, était une des plus douloureuses qu’elle ait reçues. Ses fesses, encore douloureuses de la fessée à la règle, n’étaient plus qu’une boule de feu. Chloé s’appliquait à n’oublier aucun endroit du fessier, de temps en temps sa main s’égarait sur l’arrière des cuisses, elle se régalait de pouvoir corriger cette magnifique paire de fesses. Elle avait reçu tant de fessées déculottées que de pouvoir enfin faire rougir une belle croupe, était un vrai bonheur.

Amélie ne voulut pas être en reste et malheureusement pour Clara son derrière en fit les frais, les claques magistrales rebondissaient sur la large paire de fesses qui s’ouvraient largement pour le plus grand bonheur de sa fesseuse.

La fessée parut interminable aux deux amies qui braillaient de concert sous la cuisson, quand enfin les claques cessèrent, elles pleuraient toutes les deux à chaudes larmes. Les deux sœurs se regardèrent avec un petit sourire complice. Chloé était vraiment excitée :

— Olala, elles ont les fesses qui fument, c’est sûr qu’elles vont avoir du mal à s’asseoir nos petites chéries.

Elle avait posé sa main sur le derrière brûlant de Clémence, Amélie souriait ravie de l’humiliation imposée à ces deux pimbêches :

— C’est parfait, on va contrôler leur température, vas-y je te regarde.

Chloé écarta largement avec deux doigts les fesses écarlates de Clémence, celle-ci était trop occupée par la cuisson de son derrière pour ressentir cette humiliation supplémentaire. La jeune fille n’avait jamais mis un thermomètre à quelqu’un mais elle avait souvent assisté à la prise de température de sa sœur, elle n’eut donc aucun mal à mettre en place bien profondément le thermomètre. La jeune femme geignait doucement pendant l’introduction de l’instrument médical, mais elle se garda bien de serrer les fesses de peur d’une correction supplémentaire.

Amélie apprécia la technique de sa cadette :

— C’est bien ma chérie, le petit cul de Clémence est bien garni, maintenant je vais m’occuper de celui de Clara.

Le large et profond sillon qui séparait les deux fesses de la jeune femme s’écarta, découvrant la petite rondelle brune contractée. Amélie humecta son doigt et le posa dessus :

— Décontracte-toi ma petite chérie, tatie Amélie va mettre le thermomètre dans ton petit trou. Allez ouvre le.

Elle se régalait à s’adresser à la jeune femme comme si elle était une fillette, elle poussa son doigt contre l’anus, Clara était au comble de la honte mais comme son amie, elle ne résista pas. Satisfaite de sa soumission, la sévère baby-sitter tenant toujours les fesses largement ouvertes fit pénétrer profondément le thermomètre. Une fois celui-ci bien en place elle tapota le derrière brûlant :

— Voilà mes petites chéries, vous allez rester bien sage, sinon vos fesses sont toujours à disposition. Vous m’apprenez bien vos cours. Vous allez garder le thermomètre pendant 30’.



La soirée était vraiment parfaite pour les deux sœurs, ça les changeait de l’éducation stricte d’Odile. Le téléphone d’Amélie sonna, c’était justement sa mère :

— Alors ma chérie, les deux chipies ont été mignonnes ?

Amélie se mit à sourire en caressant les fesses de Clara :

— À peu près, j’ai quand même dû sévir, elles ont pris chacune une fessée déculottée mais maintenant elles sont sages comme des images.

— Tu as bien fait, tu peux leur annoncer que demain je m’occuperai de leurs fesses, elles étaient prévenues qu’en cas de bêtises elles seraient punies.

Après avoir raccroché, Amélie tapota les fesses encore bien rouges de Clara :

— Tu peux préparer tes jolies fesses ma chérie et toi aussi Clémence, maman n’est pas très contente. Vous aurez encore le derrière bien rouge demain.

Elle avait dit ça en riant, Chloé était satisfaite, si leur mère était occupée avec les fesses des deux étudiantes, il y avait des chances que les siennes restent blanches.

La demi-heure passa vite pour les deux sœurs, ce ne fut pas le cas des deux amies aux fesses brûlantes, elles furent contentes quand Amélie annonça la fin de la pénitence et qu’elles sentirent le thermomètre ressortir de leurs derrières. Avec une bonne claque sur les fesses, elles furent invitées à se relever, puis Amélie leur annonça :

— Maintenant au lit, vous restez cul nu qu’on profite bien de vos jolies fesses. Vous me donnez vos téléphones et je viens éteindre dans cinq minutes. Je ne veux rien entendre c’est compris !

En baissant la tête, encore sous le coup de cette soirée cuisante, les deux jeunes femmes se dirigèrent vers leurs chambres respectives. Les deux derrières rouges se dandinant au rythme de la marche étaient vraiment excitant.

Chloé regagna l’appartement familial tandis qu’Amélie entrait dans la chambre de Clémence, celle-ci était déjà couchée :

— C’est bien tu es une gentille fille obéissante, je vais juste vérifier l’état de tes fesses et ensuite tu feras un gros dodo. Tourne-toi sur le ventre.

Elle avait tiré la couverture, la jeune femme n’avait pas osé remonter sa culotte de pyjama ce qui fit sourire la baby-sitter, « décidément rien de mieux que la fessée déculottée pour rabattre le caquet de ces pimbêches ». Amélie palpa le fessier mis à nu et sans vergogne glissa sa main entre les fesses :

— Voilà ton derrière est encore rouge mais en parfait état, tu vas voir comme on dort bien avec une paire de fesses bien chaude.



Elle était ravie, elle pouvait à la fois satisfaire ses pulsions saphiques et sa sévérité perverse. Elle remonta la culotte de Clémence et lui donna une petite claque sur la croupe :

— Bon maintenant, dodo et plus un mot jusqu’à demain.

Elle fit de même dans la chambre de Clara puis elle s’installa devant la télé et regarda sa série préférée.



samedi 27 avril 2024

Fessée pour une paresseuse

 


Caroline m'avait suffisamment prévenue, la paresse se soigne. 

Une bonne fessée déculottée pour que Sylvie se remette au travail. 

Ça brûle, promis je vais bientôt publier. 

mardi 9 avril 2024

Lucie et Christian 13

 Punition pour deux secrétaires



Émilie et Laetitia avait été un peu surprise de voir revenir Clotilde la tête basse et les yeux rougis, elles sentirent que quelque chose ne tournait pas rond.

Clotilde sans les regarder s’était assise à son bureau et discrètement, elle avait retroussé sa jupe, afin que son derrière nu repose directement sur le siège, c’était une consigne de madame Dugou, elle avait ajouté pour être sûr que Clotilde s’exécute :

— Je vérifierai quand je passerai te voir, si jamais tu as désobéi, je te promets une bonne déculottée devant tes collègues.

Ce fut laetitia qui rompit le silence :

— Ça c’est mal passé chez la mère Dugou ?

Clotilde était mal à l’aise, elle ne leva pas les yeux et marmonna :

— Oui…

Laetitia était une grande brune bien en chair âgée de 35 ans, elle insista :

— Ça veut dire quoi ? Tu pourrais être plus explicite.

Clotilde leva les yeux, ils étaient rougis, Émilie le remarqua immédiatement :

— Tu as pleuré ? Quelle garce, qu’est-ce qu’elle avait à te dire ?

La jeune femme d’une vingtaine d’années, blonde et menue s’était levée. Clotilde les regarda et posément elle se força à expliquer la situation :

— Ils ont découvert notre petit trafic…

Elle marqua une pause et regarda ses deux jeunes collègues, elles étaient inquiètes et attendaient la suite. Laetitia la relança :

— Ça veut dire quoi ? Ils savent tout ?

— Oui tout, et ça craint…

Clotilde baissa les yeux :

— S’ils portent plainte, ça va être grave.

— Mais qu’est-ce qu’elle t’a dit ?

Laetitia s’énervait, Clotilde la regarda calmement :

— Elle va venir dans la matinée à ce qu’elle m’a dit. Elle va vous parler, il vaut mieux attendre, il y a peut-être une solution… Mais je ne sais pas si c’est mieux.

Elle avait marqué un temps d’arrêt avant de finir sa phrase, la cuisson de son derrière lui rappelait sa condition. Les deux jeunes femmes auraient tout le loisir de méditer elles aussi quand elles auraient les fesses brûlantes. Elle en était sûre maintenant, elles accepteraient comme elle de recevoir la fessée, comment refuser la proposition de madame Dugou, c’était de loin préférable au risque d’un procès et d’un licenciement.

Inquiète les deux comptables se remirent au travail.

Claire Dugou était contente de sa matinée et la suite s’annonçait également agréable, les deux secrétaires commerciales avaient les fesses rouges et Lucie était pluguée. Clotilde la cheffe comptable avait reçu sa première fessée déculottée et ses deux acolytes allaient y goûter également. En marchant elle essayait de s’imaginer les fessiers des deux jeunes femmes.

La petite Émilie avait un mignon petit cul, elle portait toujours des jeans moulants qui le mettaient bien valeur, il allait bien gigoter sous les claques, quant à Laetitia, elle avait un popotin vraiment appétissant, ça faisait un moment qu’il l’attirait, il lui tardait vraiment de lui baisser la culotte.

Elle entra dans le bureau sans frapper, les trois comptables sursautèrent, elle les dévisagea d’un air sévère :

— Nous avons à parler. Clotilde vous a mis au courant ?

Émilie piqua du nez dans ses dossiers, n’osant pas regarder sa cheffe de service, Laetitia bredouilla :

— Euh, oui, enfin non… Madame que voulez-vous dire ?

Claire la regarda avec un petit sourire puis se tourna vers la cheffe comptable qui avait les joues très rouges :

— Tu ne leur as pas raconté notre discussion ? Eh bien viens un peu là, elles vont vite comprendre.

La responsable de la comptabilité ne levait toujours pas la tête, Claire éleva le ton :

— Clotilde !! J’ai dit viens ici !!

Les deux jeunes femmes étaient sidérées par le ton employé par leur cheffe et le fait qu’elle tutoie Clotilde, une dame de 50 ans, comme si elle était une adolescente. Celle-ci se leva mais resta les yeux baissés. Dès qu’elle fut à sa portée, Claire la saisit par la main et la fit pivoter. Puis avant qu’elle eût pu tenter une quelconque résistance, elle la coinça sous son bras et lui retroussa la jupe. Le plantureux fessier encore bien rouge apparu devant les yeux ébahis de ses deux collègues, elles poussèrent simultanément un petit cri de surprise.

Plusieurs choses paraissaient incongrues dans ce tableau. Pour commencer Clotilde avait obéi sans rechigner, puis elle ne s’était pas rebellée quand Claire l’avait troussée montrant qu’elle ne portait pas de culotte et pour finir elle avait les fesses bien rouges.

Madame Dugou tout en maintenant la punie coincée sous son bras avec les fesses bien exposées leva les yeux vers les deux secrétaires comptables :

— Voilà ce que madame Vigneau aurait dû vous expliquer…

Les deux jeunes femmes restèrent bouches bée. Claire était ravie de son petit effet :

— Clotilde a reçu une bonne fessée déculottée et elle est privée de culotte. C’est le prix à payer pour vos petites magouilles mesdames !

Laetitia fut la première à se ressaisir :

— Mais enfin, madame, vous n’avez pas le droit, on va se plaindre.

Claire lui adressa un sourire carnassier :

— Ah oui, eh bien nous irons ensemble. Vous pour vous plaindre d’être menacée d’une fessée cul nu et moi pour déposer une plainte pour escroquerie.

Le visage de la jeune femme se décomposa :

— Oh non madame.

Claire la regarda toujours souriante :

— Clotilde a vite compris, une bonne fessée déculottée est préférable à un procès n’est-ce pas ?

Elle avait administré une magistrale claque sur le fessier de la cheffe comptable afin de mieux faire comprendre la situation à ses deux collègues.

— Aïe, Aïe…

La main avait claqué sèchement chaque fesse :

— Je t’ai posé une question ma petite Clotilde, tu préfères la fessée déculottée ou la prison ?

Émilie et Laetitia étaient effarées par la tournure que prenaient les événements, la main de Claire claqua à nouveau le large fessier.

— Aïe, aïe, oui madame, je préfère la fessée…

Clotilde sanglotait de honte et de douleur, Claire lui caressa les fesses :

— C’est bien ce qui me semblait.

Elle se tourna vers les deux jeunes femmes :

— Bien, qui veut commencer ?

Elles se regardèrent, sans dire un mot, le ciel venait de leur tomber sur la tête, aucune ne bougea. Claire avait relâché Clotilde, elle lui donna à nouveau une claque sur le derrière :

- Tu files te mettre au coin et tu tiens ta jupe retroussée qu’on voit bien tes jolies fesses.

La cheffe comptable obéit sans dire un mot et elle se dirigea vers le coin du bureau en trémoussant sa large croupe. Claire se retourna vers les deux secrétaires :

— On ne va pas y passer la matinée, je vais compter jusqu’à trois, ensuite c’est moi qui déciderai pour vous. Un… Deux… Trois…

Les deux jeunes femmes étaient comme pétrifiées sur place, la cheffe de service esquissa un sourire :

— Je crois que je ne me suis pas bien fait comprendre, vous n’avez pas le choix mesdames, vous allez recevoir une fessée déculottée que ça vous plaise ou non. Laetitia viens ici immédiatement !!

Le ton était si sévère que la jeune femme approcha sans un mot, dès qu’elle fut à sa portée, Claire lui saisit l’oreille :

— Approche un peu ma jolie.

Laetitia se mit à gémir :

— Aïe, aïe, non, pardon madame… Aïe, Aïe…

La main de Claire venait de claquer sa croupe par-dessus sa jupe, celle-ci s’installa sur une chaise sans lâcher l’oreille de sa victime :

— Il va falloir vous habituer à obéir quand je demande quelque chose, vous avez déjà gagné une fessée supplémentaire pour m’avoir forcé à compter jusqu’à trois.

Elle était maintenant assise, en tirant sur l’oreille de Laetitia, elle la força à se pencher sur ses cuisses, puis elle la prit par la taille et la bascula sèchement vers l’avant. Les pieds de la jeune secrétaire quittèrent le sol, elle posa ses mains par terre pour ne pas perdre l’équilibre son fessier joufflu, bien moulé sous la jupe était tendu vers Claire. Celle-ci le tapota négligemment :

— Te voilà en place pour ta fessée ma petite Laetitia, la prochaine fois, je veux que tu viennes te mettre de toi-même en position dès que je dois te punir, c’est bien compris !!

— Aïe, Aïe, Aïe…

La main de la sévère cheffe de service avait claqué plusieurs fois le large postérieur :

— Cesse de gigoter et de pleurer, je n’ai pas encore commencé.

Elle saisit l’ourlet de la jupe et la retroussa largement sur les reins, Laetitia sembla prendre conscience de la situation et de ce qui allait lui arriver, elle poussa un petit cri et essaya de retenir la main de Claire. Posément celle-ci, lui coinça la main dan le dos et claqua l’arrière des cuisses découvertes, Laetitia se mit à crier :

— Aïe, Aïe, Non, Non…

— Il va falloir que tu changes de comportement ma petite, quand je décide de t’administrer une fessée tu te laisses faire sinon je double la punition !!

La main continuait de claquer le haut des cuisses qui rougissaient à vue d’œil, Émilie était affolée par le spectacle de sa collègue en train de recevoir ce châtiment enfantin. Elle pensait qu’il n’était plus en cours depuis longtemps et ça allait être ensuite son tour, de grosses larmes se formèrent au coin de ses yeux.

Claire avait cessé la punition, elle tenait toujours fermement la grande Laetitia, elle retroussa complètement la jupe, la jeune femme ne résista pas. Son fessier était conforme aux attentes de Claire, joufflu et bien ferme. La fine culotte en dentelle ne le couvrait qu’à moitié, pendant la petite punition préparatoire, les tortillements de Laetitia l’avait fait rentrer dans la large raie fessière. La sévère cheffe de service passa sa main sur les fesses à moitié nues, elle voulait en apprécier la forme et la fermeté, bientôt ce derrière allait lui appartenir définitivement, la jeune femme couchée sur ses genoux ne le savait pas encore, mais elle allait très souvent devoir le présenter à madame Dugou. 



Elle était satisfaite, la punie gémissait doucement mais ne cherchait plus à se dérober, elle tapota la base des fesses :

— Une fessée déculottée, voilà ce que vous méritez toutes les trois, Clotilde l’a déjà reçue, maintenant c’est ton tour, voyons un peu ces jolies fesses.

Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte pour la baisser, Laetitia poussa un cri et se cabra, mais Claire la maintenait fermement, elle continua de déculotter calmement cette fière dame de 35 ans :

— Ce n’est pas la peine de gigoter ma petite chérie, j’ai bien dit une fessée déculottée, tu comprends donc que je dois te baisser la culotte que ça te plaise ou non.

La croupe s’étalait maintenant dans toute sa splendeur, elle était moins plantureuse que celle de Clotilde mais c’était un magnifique derrière fait pour la fessée, les deux hémisphères étaient serrés de honte et de crainte, Claire regarda en souriant Émilie :

— Voilà une dame cul nu prête pour sa punition, comme toi bientôt ma petite Émilie, il fallait réfléchir avant de faire vos bêtises.

Elle leva la main et commença la correction, elle fut immédiatement sévère, elle administrait de grandes claques alternativement sur chaque fesse ce qui avait pour effet de faire sauter la punie sur ses genoux. Celle-ci s’était mise immédiatement à crier et à pleurer sous la brûlure de la fessée, ses pieds battaient l’air désespérément.

Le large fessier prit rapidement une belle couleur rouge mais Claire ne s’arrêta pas pour autant, elle voulait marquer le coup pour cette première punition, il fallait que cette petite pimbêche s’en souvienne et devienne obéissante comme une gamine. Émilie était de plus en plus atterrée par la sévérité de la correction, elle s’imaginait bientôt à la place de Laetitia, les larmes coulaient sur ses joues.

Quand enfin la fessée cessa, Laetitia ne gigotait presque plus, elle était affalée en travers des cuisses de sa nouvelle maîtresse et pleurait comme une madeleine. Son derrière était écarlate, Claire posa la main dessus :

— Voilà une paire de fesses bien chaudes, tu vas aller au coin à côté de Clotilde pour la faire refroidir.

Elle aida la jeune femme à se relever et la prit par l’oreille pour l’a conduire contre le mur. Elle lui fit enjamber sa culotte entortillée autour de ses chevilles et la posa sur le bureau, puis elle coinça la jupe dans la ceinture pour dégager le fessier :

— Mets tes mains sur ta tête !!

Elle fit de même avec la jupe de Clotilde et lui donna le même ordre en lui claquant les fesses. Émilie n’avait pas bougé, elle la regarda avec un sourire gourmand :

— À nous deux ma petite chérie.

En passant à côté de la jeune femme, elle lui saisit l’oreille et l’amena avec elle jusqu’à la chaise, elle s’y assit et entrepris de déboutonner le jean de la jeune secrétaire, ses mains expertes eurent vite fait de le faire glisser jusqu’aux chevilles, Émilie était tétanisée, elle ne disait rien et ne bougeait pas. Claire lui prit la main et en un clin d’œil, elle se retrouva en position disciplinaire, elle poussa un petit cri de surprise, jamais elle n’avait reçu de fessée à la différence de ses deux collègues qui y avait goûté dans leur jeunesse.

Claire avait vu juste, cette petite avait vraiment un petit cul très mignon, il était moulé dans une adorable petite culotte rose, elle ne s’attarda pas et elle entreprit de déculotter cette donzelle. Les deux petites fesses bien musclées et d’un blanc laiteux étaient crispées par l’appréhension, elle les caressa doucement, ses pensées vagabondaient. Depuis quelque temps la vie au bureau prenait un tour très agréable, « tu vas voir ma belle comme je vais te le faire danser ton petit cul ». Sa main descendit sur les fesses, ses doigts s’immiscèrent dans la raie médiane :

— Ce n’est pas la peine de serrer tes jolies fesses ma chérie, maman Dugou va de toute façon t’administrer la bonne fessée déculottée que tu as méritée, ce n’est pas très agréable, mais il fallait réfléchir avant.

Émilie gémissait doucement, autant de honte que de crainte du châtiment qu’elle savait inéluctable.

Sa correction fut tout aussi sévère que celle de sa collègue, elle s’était mise à hurler dès le début et les pleurs suivirent rapidement, elle effectua comme Claire l’avait prévu, une magnifique danse des fesses, son derrière était si contracté sous la douleur que les deux fesses ne formaient plus qu’une boule écarlate. Claire souriait toujours, elle leva les yeux pour contempler les deux fessiers exposés au mur. Elle pensa qu’il faudrait redonner un peu de couleurs à celui de Clotilde. La jeune femme fut conduite au coin comme ses deux collègues. Claire lui retira le jean et la culotte et lui fit mettre les mains sur la tête.

Dans le couloir Alice et Lucie n’avaient rien perdu du spectacle, enfin elles en avaient eu surtout le son, par la porte entrouverte elle avait pu assister aux battements de jambes des punies et apercevoir leurs fesses bien rouges.

Dès qu’elle avait vu passer la cheffe de service qui se dirigeait d’un pas décidé vers le service comptabilité, Alice avait eu un petit rire gourmand :

— Il y a du panpan cucul dans l’air, on y va ?

Lucie était aussi excitée qu’elle, et comme deux collégiennes, elles s’étaient glissées dans le couloir pour assister à la punition des deux comptables. Lucie après sa sévère correction du matin et son plug dans les fesses était particulièrement contente d’entendre ses deux chipies couiner sous la fessée.

Le bruit des claques sur la peau nue associé aux pleurs des punies était doux à leurs oreilles.

Dès que la punition d’Émilie fut terminée, elles regagnèrent discrètement leur bureau. Il n’était pas question de se faire surprendre par madame Dugou, la sanction aurait été immédiate et cuisante.

Claire Dugou s’était approchée de Clotilde, l’avait ceinturée pour la faire se pencher en avant et lui avait administré rapidement une cinquantaine de claques sur la croupe qui commençait à pâlir :

— Je ne veux pas que tu attrapes froid aux fesses.

Avait-elle dit en riant, puis elle avait ajouté :

— Tu peux retourner au travail, j’ai encore à discuter avec les fesses de ces deux chipies.

Les deux punies en entendant ces mots avaient serrés les fesses ce qui avait eu le don de mettre en joie la sévère madame Dugou. Elle décida de les laisser mariner encore un peu et puis il fallait qu’elle commence à s’habituer à faire du coin.



— Je reviens dans un instant, en attendant mes deux petites chéries vous collez bien votre nez contre le mur et gare à vous si vous bougez.

Elle quitta la pièce pour se diriger vers le bureau de Lucie et Alice, celles-ci allaient avoir droit à une petite inspection de leurs fessiers, dès qu’elle entra son sourire vicieux renseigna les deux jeunes femmes, dès que Claire fit un signe avec son doigt, elles se levèrent, se placèrent devant leur bureau et retroussèrent leurs jupes. Claire était ravie d’une telle soumission à sa perversité :

— C’est bien, vous devenez obéissantes, il n’y a pas à dire mais les bonnes vieilles méthodes ont du bon. La bonne fessée déculottée fait des miracles.

Elle s’approcha et palpa sans vergogne les deux croupes étalées devant ses yeux, elles étaient encore colorées, mais celle d’Alice eut droit à une petite claquée pour lui redonner bonne mine. Puis elle s’attarda sur les fesses de Lucie, elle les écarta largement pour mettre à jour le plug, elle devinait la honte de la jeune femme, elle le fit coulisser et pivoter :

— Alors ma petite chérie, c’est bon d’avoir son petit cul garni ?

Lucie était au supplice, depuis qu’elle n’allait plus voir Chloé à sa pause déjeuner elle avait un peu oublié ce genre d’humiliation. Une vigoureuse claque lui rappela qu’il fallait répondre :

— Oui madame…

Claire se mit à rire :

— C’est si bon que ça ? et bien tu vas me remercier.

Lucie avait les joues très rouges, elle avala sa salive :

— Merci madame de m’avoir mis ce plug après m’avoir bien corrigée.

Elle avait essayé de trouver une formulation qui convienne à la sévère cheffe de service mais c’était sans compter sur la perversité de Claire. En continuant de manipuler le plug, elle tapota les fesses de la jeune femme :

— Dis-moi ma chérie, j’aimerais que tu emploies le terme exact, qu’est-ce que je fais quand je mets un plug dans ton petit trou ?

Lucie était de plus en plus rouge, bien sûr elle aussi aimait humilier ces soumises, mais pour le moment c’était elle qui était penchée en avant les fesses tendues, elle avait deviné ce que Claire voulait entendre. Une claque plus sèche sur son derrière lui indiqua que sa maîtresse perdait patience :

— Dépêche-toi un peu, si tu ne veux pas revenir sur mes genoux. Tu parles à haute voix qu’Alice entende bien.

Lucie était au supplice, mais ses fesses n’avaient pas besoin d’une nouvelle fessée, elle se lança :

— Merci madame de m’avoir enculée avec ce plug après m’avoir administré la fessée que j’avais bien méritée.



Elle avait dit ça assez fort mais très rapidement, Claire jugea l’humiliation suffisante. Elle claqua le popotin de sa secrétaire :

— C’est parfait, tu peux te relever. Alice tu as bien entendu ta copine, la prochaine fois que je te mets un plug, tu feras pareil.

La deuxième secrétaire rougit violemment, elle était habituée à recevoir de sévère fessée déculottée, mais elle n’avait jamais été déflorée par-derrière. Il semblait que madame Dugou ait l’intention de lui faire découvrir cette punition.

La sévère cheffe de service leur permis de remettre leurs jupes en place et quitta le bureau, elle devait finir de s’occuper des deux derrières qui l’attendaient au service comptabilité.

Quand elle rentra dans le bureau, elle constata avec satisfaction que les deux jeunes femmes n’avaient pas bougé, les nez étaient bien collés contre le mur et les mains posées sur la tête. La légère contraction des fessiers montrait que le temps commençait à leur paraître long. Elle se dirigea vers elles et les saisis chacune par l’oreille :

— Venez un peu ici mes jolies.

Elle les amena au centre de la pièce où trônait toujours la chaise qui avait servi aux fessées précédentes, elle lâcha l’oreille d’Émilie puis s’installa et força Laetitia à se coucher en travers de ses cuisses :

— Émilie tu ne bouges pas et tu laisses tes mains sur la tête. Tu vas regarder la fessée de Laetitia, ensuite ce sera ton tour.

Elle saisit la règle plate en bois qui était posée sur le bureau et tapota le derrière de la jeune femme :

— Mes petites chéries, il va falloir vous habituer à obéir sans discuter, quand je dois vous donner une fessée, je veux que vous veniez immédiatement vous coucher sur mes genoux sinon la punition sera doublée. Vous m’avez forcé à compter tout à l’heure et bien tant pis pour vous, vous avez gagné une deuxième fessée. Et comme je n’ai pas l’intention de me faire mal à la main, vous allez goûter à la règle.

Pendant tout son discours, elle n’avait pas cessé de claquer doucement les fesses tendues de Laetitia, elle avait fini sa phrase par deux coups plus sec administré à la base des fesses.

— Aïe, aïe… Pardon madame…

Laetitia s’était cabrée, la brûlure avait été intense sur cette zone si tendre de ses cuisses. Mais bientôt ce fut toute sa croupe qui se mit à lui cuire, la sévère cheffe de service administra une cinquantaine de coups de règle sur le fessier qui reprit immédiatement une magnifique couleur rouge brique. Émilie était affolée, sa collègue criait et pleurait, le claquement de la règle sur la peau nue des fesses était très impressionnant. Quand Laetitia, les yeux baignés de larme, pu se relever sa jeune collègue avait elle aussi le regard humide, Claire Lui fit un petit signe :

— Allez en piste ma jolie.

Impressionnée par la correction de Laetitia, elle approcha, en un clin d’œil, elle fut couchée en travers des genoux de Madame Dugou. Privée de jean et de culotte, elle était nue de la taille aux pieds, son joli petit postérieur était prêt pour sa punition. Claire regarda en souriant Laetitia qui se dandinait sur place, ses mains se dirigeaient vers sa croupe :

— Mets tes mains sur ta tête, ça t’évitera de frotter tes fesses et de revenir sur mes genoux. Regarde-moi, ce joli petit derrière de ta copine, il va danser aussi bien que le tien.

Et pour danser, il dansa, Émilie se tortillait sur les genoux de sa nouvelle maîtresse, mais ses fesses ne purent éviter aucun des coups de règle, Claire la maintenait fermement par la taille.



Elle reçut la même correction que Laetitia et quand elle fut remise sur pied elle sautilla sur place en pleurant. Claire était vraiment contente de sa matinée, et ce n’était pas fini. Les deux secrétaires étaient face à elle, les mains sur la tête, Clotilde en levant les yeux pouvait voir leurs deux fessiers écarlates. Claire leur annonça le programme :

— Comme vous êtes fautive comme Clotilde, vous aurez droit à la même punition. À midi, dans mon bureau pour une autre fessée déculottée et vous resterez au coin pendant la pause déjeuner. Ce soir une autre fessée avant de partir et ceci pendant une semaine. Vous avez également deux mois pour rembourser et tant que ce ne sera pas fait, vous aurez droit à une fessée déculottée tous les matins.

Elle tourna les talons et laissa les trois comptables éplorées.



lundi 1 avril 2024

Lucie et Christian 12

 Clotilde



Claire Dugou avait reçu un mail de l’organisme qui contrôlait la gestion de l’entreprise, lui faisant part d’anomalie comptable qui pouvait signifier un risque de détournement d’argent. Les pièces jointes étaient édifiantes. Elle avait étudié soigneusement ces documents, ils provenaient tous d’une même source et étaient signés par la responsable de la comptabilité, Mme Clotilde Berteau.

Celle-ci était une dame d’une cinquantaine d’années, grande, bien en chair avec une poitrine généreuse et un popotin bien rebondi, elle était toujours élégamment habillée. Quand elle avait reçu le mail de Claire Dugou sa cheffe de service lui demandant de venir la voir afin de vérifier quelques anomalies, elle avait compris que son petit manège lui permettant d’arrondir ses fins de mois avait certainement été découvert.

Quand Alice et Lucie l’avait vu passer dans le couloir le matin même, elle n’était pas fière et cherchait à trouver une explication à fournir à Claire Dugou. Quand celle-ci lui eu mis sous le nez l’ensemble des pièces comptables, elle pâlit et bégaya :

— Euh, madame c’est-à-dire, je… je ne sais pas.

Claire souriait, se délectant de la gêne de la comptable, puis elle prit un air sévère :

— Je ne vois qu’une seule solution, la plainte au procureur de la république et la mise à pied en attendant votre licenciement.

Le sol venait soudain de se dérober sous les pieds de Clotilde, les larmes commencèrent à couleur :

— Mais madame, ce… ce n’est pas possible…

— Eh pourquoi donc ? Vous avez commis une escroquerie madame Berteau.

Clotilde se jeta aux genoux de sa cheffe de service :

— Non, non, tout mais pas ça, ne portez pas plainte, je vais rembourser.

Claire savourait, sa proie était prête, il ne lui restait plus qu’à porter l’estocade :

— Il y a quand même une autre solution…

Elle laissa le temps à Clotilde d’espérer, elle souriait toujours :

— Si vous remboursez, la plainte peut s’arrêter mais pas la procédure de licenciement… À moins que…

Clotilde était très pâle :

— Oh oui, madame je ferai tout ce que vous voudrez.

Claire prit une feuille sur le bureau et la tendit à Clotilde :

— C’est une reconnaissance de vos fautes, vous signez et vous acceptez sans restrictions les sanctions que je jugerai utile de vous appliquer. À cette condition je ne transmettrai pas ces éléments à la hiérarchie, tout cela restera entre nous.

Clotilde lut rapidement le feuillet, elle prit un stylo et le signa :

— Voilà madame, que dois-je faire ?

Claire avait un sourire carnassier, elle dévisageait sa future victime des pieds à la tête, c’est vrai que le fessier de Clotilde Berteau était plantureux, elle allait se régaler. Elle recula sa chaise :

— Vous allez simplement m’obéir ma petite Clotilde.

La cheffe comptable sursauta un peu d’être appelée par son prénom, elle rougit légèrement :

— Oui madame, bien sûr…

— Je vais devoir vous corriger ma petite Clotilde.

La pauvre comptable commençait à craindre la suite, elle bafouilla :

— Euh, oui… Que voulez-vous dire madame ?

Claire fit un petit signe du doigt :

— Approchez. Je vais vous punir, vous ne pensez pas que c’est nécessaire ?

— Euh, si, si… Mais co… comment madame ?

Le signe du doigt se fit plus impérieux :

— Approchez ! Je ne vais pas le répéter ! C’est très simple ma petite Clotilde, je vais commencer par vous administrer une bonne fessée déculottée, ensuite nous aviserons…

Clotilde ouvrit la bouche, mais rien ne sortit, elle était abasourdie, elle avait 50 ans et on parlait de lui donner la fessée déculottée… Elle ne bougeait toujours pas.

Claire tambourinait avec ses doigts sur son bureau, un léger sourire aux lèvres :

— Bien, je vous ai dit que je n’allais pas le répéter, je vais donc compter jusqu’à trois. Passé ce délai, si vous n’êtes pas venue vous coucher gentiment sur mes genoux, la plainte sera transmise à la justice. Le document est prêt, je n’ai plus qu’à cliquer.

On aurait annoncé à Clotilde Berteau que la terre venait de s’arrêter de tourner qu’elle aurait fait sans doute la même tête.

Claire la regardait fixement elle compta lentement :

— Un !

Clotilde ouvrit à nouveau la bouche. Le décompte se poursuivait :

— Deux !!

— Non, non, attendez !

La cheffe comptable s’était précipitée vers Claire, elle était contre sa cuisse. Celle-ci lui tapota le derrière :

— En position, vite !!

Clotilde comme un automate, sans plus réfléchir se coucha en travers des cuisses de sa cheffe de service. L’impensable venait de se produire, elle l’élégante bourgeoise se retrouvait en position disciplinaire, elle venait de faire un bon de 35 ans en arrière.

Claire savourait sa victoire, le plantureux fessier de sa nouvelle victime était à sa disposition, bien tendu sous la jupe noire. Elle tapota la large croupe :

— Ça a été un peu laborieux, la prochaine fois que vous récriminerez pour vous mettre en position, la punition sera doublée, tâchez de ne pas l’oublier, quand je vous demande de venir sur mes genoux, c’est immédiatement, compris !!

Sa main venait de claquer sèchement le fessier de Clotilde, celle-ci poussa un petit cri de surprise.

— Aïe, oui madame, pardon, aïe, aïe.

Claire était satisfaite de la soumission de sa subordonnée, mais elle voulait pousser son avantage, elle commença donc immédiatement à claquer les fesses de Clotilde sur la jupe.

Celle-ci tortillait son derrière de façon très suggestive en poussant des petits gémissements qui amusaient beaucoup la sévère fesseuse. « Attends que je te déculotte ma petite chérie, tu vas crier pour quelque chose ».

Elle cessa la fessée préparatoire et saisit l’ourlet de la jupe, Clotilde se crispa :

— Non, non, s’il vous plaît madame.

Claire était vraiment pressée de découvrir de plus près son prochain joujou. Elle ne fut pas déçue, la cheffe comptable aimait les dessous sexy, elle portait des bas fumés tenus par un porte-jarretelles noir et une culotte en dentelle de la même couleur.

Comme elle l’avait deviné la paire de fesses de Clotilde était vraiment bien rebondie, elle débordait largement de la culotte. Un léger rose apparaissait au niveau du pli fessier, la punie s’agitait légèrement prenant soudain conscience de la situation, elle gémissait :

— Madame, non, non, à mon âge…

Claire prit sa voix la plus sévère :

— Cesse de gigoter et de pleurnicher, j’ai dit que j’allais t’administrer une bonne fessée déculottée, nous n’en sommes qu’au début.

Elle releva la main et recommença à claquer le généreux postérieur, elle visait la partie dénudée. Clotilde se mit à crier elle voulut protéger ses fesses avec sa main, Claire la saisit et la coinça dans le dos :

— Il va falloir que tu t’habitues à recevoir la fessée sans rechigner ma petite Clotilde, chaque fois que tu mettras ta main pour m’empêcher de te corriger, je doublerai la punition.

Elle augmenta la force des claques, rapidement la base des fesses devint rouge, la cheffe comptable pleurnichait et commençait à battre des jambes. Claire était ravie, elle faisait durer la fessée préparatoire, la fine lingerie rentrait maintenant dans la raie fessière sous l’effet du trémoussement du fessier. Il fallait passer à la vraie fessée déculottée, elle se régalait par avance de la réaction de Clotilde, se retrouver à plat ventre, la jupe retroussée c’était déjà humiliant mais se faire baisser la culotte c’était encore pire. Elle cessa la fessée et glissa ses doigts dans l’élastique de la culotte puis elle commença le déculottage. Clotilde hurla :

— Non, non, madame pas la culotte… NON !

Claire la maintenait fermement, elle eut beau se débattre, la lingerie glissa sur sa large croupe :

— Je t’ai promis une fessée déculottée ma petite Clotilde, tu sais ce que ça veut dire ? Oui, une fessée cul nu, c’est ce que tu mérites, tes jolies fesses sont ravissantes, mais je vais leur donner un peu plus de couleurs.

Elle caressa la large croupe, elle était déjà bien colorée par la fessée préparatoire, c’était vraiment un beau derrière, on l’aurait dit fait pour recevoir des claques. Et il allait en recevoir foi de Claire, maintenant qu’elle avait accepté sans trop rechigner de se coucher en travers de ses cuisses et de se faire déculotter, ce serait tous les jours qu’elle serait obligée de venir présenter son gros derrière pour se le faire corriger.

La main continuait à palper le popotin joufflu, elle sentait la honte de Clotilde, celle-ci contractait ses fesses pour essayer de protéger son intimité, elle glissa sa main entre les cuisses de sa victime et la força à les écarter :

— Allez ma petite Clotilde, on se détend et on ne serre pas les fesses, ça ne sert à rien de toute façon avec la correction que je vais t’administrer tu vas les écarter je puis te l’assurer.

Elle avait livré à voix hautes ses réflexions, Clotilde Berteau savait maintenant à quoi s’en tenir sur la suite des événements.

La cheffe comptable de 50 ans, se retrouvait à ce moment précis dans la même position et la même tenue que 35 ans auparavant chez sa tante. Celle-ci lui donnait des cours d’anglais et n’appréciait pas trop sa nonchalance pour ne pas dire sa paresse. C’était quasiment systématique quand elle allait chez tante Sophie elle en ressortait avec des fesses brûlantes et le fait qu’elle soit adolescente n’arrêtait pas la sévère professeure, la sanction en cas de mauvaise conduite c’était toujours une bonne fessée déculottée et un passage au coin les fesses nues et bien rouges.



Ses souvenirs devinrent soudain encore plus brûlants, car la main de Claire avait repris son travail, elle s’en donnait à cœur joie s’appliquant à couvrir toute la surface du large fessier d’une belle couleur rouge. La fessée fut magistrale, Clotilde savait maintenant à quoi s’en tenir, elle avait pleuré, supplié battu des jambes, serré et desserré ses fesses, rien n’y avait fait. Elle avait reçu la correction promise par Claire Dugou.

Maintenant, celle-ci la maintenait dans cette position et caressait à nouveau les fesses brûlantes :

— Bien, tu vas me raconter un peu comment t’es venu cette idée et qui est au courant de tes bêtises. Je te conseille de ne rien oublier, ton derrière reste à ma disposition. Je t’écoute !

Une dernière claque avait ponctué la fin de la phrase. Clotilde en sanglotant expliqua en détail le montage et elle confessa après quelques claques bien appliquées sur ses fesses meurtries que ses deux collègues de la comptabilité étaient au courant et avaient également bénéficié de ses largesses.

Claire Dugou savourait en souriant, cette confession lui ouvrait de nouvelles perspectives, Émilie et Lætitia les deux collègues de Clotilde allaient devoir lui présenter leurs fesses dans peu de temps.

Satisfaite elle fit relever la cheffe comptable, son visage était baigné de larmes, son maquillage avait coulé, elle lui désigna le coin de la pièce :

— Files te mettre au coin, ça va te permettre de réfléchir et de faire un peu refroidir ton derrière, je n’en ai pas tout à fait fini avec lui !



Clotilde s’exécuta, penaude. Quand Claire Dugou lui demanda de mettre ses mains sur sa tête et vint lui coincer l’ourlet de la jupe dans la ceinture pour bien dégager ses fesses brûlantes, elle se retrouva mentalement dans le salon de sa tante après une leçon non apprise. Elle colla son nez contre le mur comme sa sévère tatie Sophie lui demandait. Elle était définitivement soumise à sa cheffe de service.

Elle venait de se rendre compte que celle-ci était passée au tutoiement depuis un petit moment, son statut avait brutalement changé.

Claire contempla un instant le tableau puis se décida à aller voir ses deux chipies qui devaient être assises sur leurs fesses bien rouges. Elle savait que Clotilde ne bougerait pas de son coin.

Quand elle revint après avoir vérifié l’état du derrière de Lucie et Alice, Clotilde avait toujours le nez collé au mur, sa croupe rubiconde se contractait encore signe de la brûlure qui devait encore l’envahir. Elle s’approcha et posa sa main sur ce magnifique joufflu, cette expression qu’employait sa grand-mère pour parler d’un beau postérieur féminin, lui paraissait tout à fait adapté à celui de la cheffe comptable.

— Alors ma petite Clotilde, tu as bien réfléchi ? Tu ne recommenceras pas tes bêtises ?

La croupe se contracta et la punie répondit d’une petite voix :

— Non, non madame, promis.

Claire se mit à rire :

— Eh bien voilà une bonne résolution, mais ne crois pas que tu vas t’en tirer avec juste une petite fessée cul nu.

Clotilde serra un peu plus ses fesses, la main de sa nouvelle maîtresse s’était glissé dans la raie médiane.

— Oh tu peux bien les serrer tes jolies fesses, qu’en j’en aurai fini avec elles, je te garantis que tu n’auras plus jamais envie de recommencer.

En terminant sa phrase, elle avait saisi l’oreille de Clotilde.

— Viens un peu ici ma jolie.

Tenant toujours fermement sa victime comme si elle n’était qu’une gamine désobéissante, elle s’assit sur une chaise et la força à se coucher à nouveau en travers de ses cuisses. Elle prit une règle plate en bois longue de 50 cm et caressa les fesses rouges :

— On va passer à la deuxième partie de ta punition, ma main n’est pas suffisante pour une aussi belle paire de fesses, tu vas voir comme ma règle va bien s’en occuper.

La fessée reprit de plus belle et Clotilde se remit à gémir puis à crier sous la brûlure des coups de règle sur son fessier. Claire s’en donnait à cœur joie, Alice avait certes une belle croupe mais celle de Clotilde était beaucoup plus large et rebondie, un vrai plaisir pour une fesseuse.

La danse des fesses fut somptueuse, l’intimité de sa subordonnée n’avait plus aucun secret pour elle quand Claire reposa sa règle sur son bureau. La cheffe comptable pleurait à chaudes larmes, son derrière n’était plus qu’une boule de feu quand elle fut remise sur pied par Claire Dugou. Elle ne put s’empêcher de poser sa main sur ses fesses pour les frotter. Immédiatement la règle saisie rapidement par la sévère fesseuse reprit son œuvre sur ses cuisses :

— Ah, non ma petite, tu ne frottes pas tes fesses !!

— Aïe, aïe, pardon madame, aïe, aïe…

— Mets tes mains sur ta tête, vite !!

En pleurant Clotilde obéit, Claire reposa la règle sur le bureau et la regarda sévèrement :

— La prochaine fois que tu essayes de frotter tes fesses, tu reviens sur mes genoux et je double la fessée. Enlève ta culotte et donne-la moi, tu resteras cul nu sous ta jupe toute la journée, ça te rappellera à l’obéissance.

Clotilde enjamba son sous-vêtement et le tendit en rougissant à sa cheffe de service, celle-ci le suspendit à la patère, c’est alors que la comptable se rendit compte qu’il y avait déjà deux culottes suspendues, elle ne savait pas encore que c’étaient celle de Lucie et Alice.

Claire s’était assise à son bureau, elle fit un petit signe à sa victime :

— Approche un peu, garde tes mains sur la tête, ça t’évitera de faire des bêtises. Voilà le programme que j’ai prévu pour ton derrière. Tu viendras à midi, pour recevoir une nouvelle fessée déculottée et tu resteras au coin dans mon bureau pendant ta pause, tu en recevras une autre avant de partir ce soir. Même programme pendant toute la semaine, tu vas voir tes jolies fesses vont être en pleine forme. Tu as deux mois pour rembourser les sommes détournées, tant que tu n’auras pas fini tu viendras me voir tous les matins pour que je t’administre une fessée déculottée. Maintenant tu retournes à ton bureau, je vais venir dans dix minutes pour m’occuper de tes deux acolytes, leurs petites fesses vont également prendre l’air.

Clotilde avait écouté sans un mot ce que lui réservait sa cheffe de service, ça allait être cuisant, douloureux et humiliant mais ça valait mieux que la case police et justice. Claire se leva, fit pivoter la dame aux joues et aux fesses de la même couleur, elle passa sa main sur la croupe rubiconde puis la claqua sèchement une dizaine de fois :

— Allez file, vilaine fille ! Tu as de la chance, je t’autorise à remettre ta jupe en place, ce ne sera pas toujours le cas.








Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...