Une baby-sitter sévère
Odile était invitée, elle annonça à Clara et Clémence qu’Amélie viendrait passer la soirée chez elle pour les surveiller, elle ajouta en souriant :
— Vu votre comportement ces derniers temps, je ne peux pas vous laisser sans surveillance. Amélie fait souvent du baby-sitting, elle fera cela très bien.
Les deux jeunes femmes se mordirent les lèvres pour ne pas protester, Odile les traitaient vraiment comme des gamines et en plus c’était cette garce d’Amélie qui était chargée de les surveiller. Elles étaient certaines qu’elle allait se régaler à les rabaisser.
Amélie entra sans frapper dans l’appartement, c’était mauvais signe, elle se considérait chez elle. Clara était assise dans le salon, elle poussa un petit cri de surprise en voyant sa jeune voisine :
— Oh, bonjour tu es en avance.
Amélie lui lança un petit regard ironique :
— Oui je voulais être là assez tôt pour vous surveiller, maman m’a dit que vous étiez vraiment des chipies. Où est Clémence ?
Clara se mordit les lèvres devant l’insolence de la jeune femme, elle ne voulait pas commencer les hostilités. Elle désigna la salle de bain :
— Elle prend une douche.
Amélie en souriant se dirigea vers la salle de bains et sans frapper ouvrit la porte, les deux amies ne fermaient jamais à clé, elle entra donc. Clémence sortait de la douche, elle était entièrement nue, elle poussa un cri :
— Mais, ça ne va pas, tu pourrais quand même frapper !
Le sourire d’Amélie se figea :
— Pardon ? C’est sur ce ton que tu me parles !
Clémence rougit et prit une serviette pour se couvrir. Amélie s’était dirigée vers elle et lui avait saisi l’oreille.
— Aïe, aïe… Lâche-moi, qu’est-ce… Aïe, aïe…
La main de la jeune femme venait de claquer la cuisse découverte par la serviette. Elle tenait toujours Clémence par l’oreille et elle l’amena au salon. Celle-ci se mit à parler un peu vite, signe de son inquiétude :
— Arrête, ce n’est pas ce que je voulais dire… Mais tu aurais quand même pu frapper.
Amélie se rendant compte du trouble de sa voisine, décida de pousser son avantage. Elle lâcha l’oreille de Clémence et la regarda en souriant à nouveau :
— Quand on est une jeune fille bien élevée et que sa baby-sitter arrive on dit « bonjour mademoiselle », il me semble.
Elle regarda les deux amies pour voir leur réaction, celles-ci étaient sidérées :
— J’attends !!
Clémence sentit que sa situation pouvait s’aggraver rapidement, elle avala sa salive et malgré sa colère, elle réussit à sortir les mots attendu :
— Bonjour mademoiselle…
Amélie se tourna vers Clara, celle-ci compris qu’elle n’avait pas le choix :
— Bonjour mademoiselle.
La jeune femme avait un sourire carnassier, ces deux pimbêches faisaient moins les fières maintenant, elle les dévisagea l’une après l’autre :
— Nous allons immédiatement mettre les choses au point. Je ne suis pas votre petite voisine mais mademoiselle Amélie. Maman m’a donné toute latitude pour vous punir si vous n’obéissez pas à mes consignes, je compte donc sur vous pour être mignonnes sinon, ce sera panpan cucul. En plus vous connaissez maman, je pense qu’elle rajoutera une dose à ma punition.
Clara ouvrit la bouche, mais le regard sévère d’Amélie l’incita à se taire, celle-ci continua :
— Pour commencer, vous allez vous mettre en pyjama immédiatement.
Les deux amies se regardèrent, incrédule. C’était encore pire que ce qu’elles avaient imaginé. Clara ne put se retenir :
— Mais enfin, Amélie on est plus des gamines, il est 19h30. On ne va quand même pas passer la soirée en pyjama !
Amélie la regarda en souriant, décidément Clara lui tendait la perche, elle n’allait pas s’en priver. Elle s’approcha de la jeune femme et lui saisit l’oreille comme si elle était une gamine désobéissante :
— Décidément, je crois que je ne me suis pas bien fait comprendre.
Elle tirait l’oreille de sa victime, elle était plus grande qu’elle, Clara se mit à gémir et pour atténuer la douleur elle fut obligée de se tenir sur la pointe des pieds :
— Aïe, aïe, pardon Mlle Amélie…
La main d’Amélie venait de claquer très sèchement son fessier encore couvert par la mini-jupe. Elle leva un peu plus la main qui tenait l’oreille pour forcer la jeune étudiante à la suivre en marchant sur la pointe des pieds :
— Puisque mes explications n’ont pas suffi, je vais passer aux travaux pratiques ! Un petit séjour sur mes genoux va te calmer ma petite chérie.
Clara était paniquée, elle savait ce qui l’attendait, elle se maudissait de n’avoir pas su tenir sa langue, cette petite garce allait se faire un plaisir de la déculotter. Elle n’avait pas tort, Amélie appréciait beaucoup la magnifique paire de fesses de la jeune femme. Elle avait pris plaisir à coucher Clémence sur ses genoux la dernière fois et à lui rougir copieusement son délicieux postérieur mais découvrir celui de sa copine allait être encore plus agréable, la déculotter comme si elle était une gamine, Hum…
Elle s’était assise et en tirant toujours sur l’oreille de Clara, elle la força à se coucher en travers de ses cuisses, celle-ci gémissait doucement :
— Non, non, pardon Mlle Amélie, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire… Aïe, aïe…
Deux claques venaient de s’abattre sur l’arrière de ses cuisses, la mini-jupe était remontée découvrant la petite culotte à fleur :
— Ma petite chérie, c’est un peu tard pour demander pardon, Tatie Amélie va t’apprendre la politesse. Puisque tu n’as pas l’air de comprendre, je vais m’adresser à tes jolies fesses. Allez cul nu !!
Elle avait retroussé bien haut sur les reins la jupe de Clara, on devinait les fesses serrées par l’angoisse. Bien sûr, elle avait l’habitude de se faire déculotter pour recevoir la fessée, mais elle était couchée sur les genoux de cette petite peste qui avait quatre ans de moins qu’elle et elle se doutait bien qu’Amélie n’allait pas se priver de lui administrer une sévère correction et de l’humilier.
La jeune baby-sitter tapotait la croupe encore culottée, elle connaissait parfaitement les sensations ressenties dans cette position, elle se régalait de l’angoisse de sa victime :
— On va commencer par baisser ta petite culotte.
Elle glissa ses doigts sous l’élastique de la fine lingerie puis elle la fit glisser doucement sur le magnifique fessier de sa jeune voisine. Les fesses rondes, séparées par un profond sillon central présentaient une légère chair de poule, Clara ne put s’empêcher de les serrer. Elle se doutait que la perverse Amélie allait se régaler de les faire rougir.
La culotte était maintenant arrivée au niveau des genoux, la jeune fesseuse glissa sa main entre les cuisses :
— Écarte un peu tes cuisses ma petite chérie, tu sais bien que de toute façon tu vas me montrer tes trésors.
Elle avait dit ça en riant tandis que ses doigts remontaient doucement pour s’immiscer dans la raie fessière. Clara avait pris goût aux plaisirs saphiques mais se faire caresser dans cette position par cette petite peste ne lui procurait pas spécialement du plaisir. Elle écarta quand même légèrement ses cuisses pour éviter de contrarier sa nouvelle maîtresse, les doigts d’Amélie se glissèrent jusqu’à sa vulve puis remontèrent entre les fesses pour les écarter un peu plus, elle posa un doigt sur l’anus de sa victime :
— Alors ma petite, tu fais moins la fière ? Tu trouves toujours que c’est trop tôt pour te mettre en pyjama.
Son doigt appuyait légèrement sur l’anus de Clara qui était morte de honte, surtout que la jeune fesseuse continuait :
— Si je te mettais un thermomètre dans les fesses pour t’apprendre à répondre ?
— Non, non, pardon Mlle Amélie. Oui j’ai compris, je vais mettre mon pyjama.
La perverse jeune fille était ravie de la soudaine soumission de Clara, elle se mit à rire :
— Voyez-vous ça ! C’est curieux comme on devient soudain obéissante quand on a les fesses à l’air. Mais c’est un peu tard ma chérie, je vous avais prévenues, si vous n’étiez pas mignonnes, c’était panpan cucul, eh bien nous y voilà.
Elle ceintura fermement Clara et commença la fessée, la jeune étudiante se rendit vite compte qu’elle pouvait être aussi sévère que sa mère, les claques magistrales atterrissaient alternativement sur chacune des fesses. Rapidement malgré sa grande habitude des sévères corrections, la jeune femme se mit à crier et à se débattre, Clémence regardait avec un mélange d’angoisse et de plaisir le magnifique derrière de son amie devenir très rouge. Amélie avait vu juste, Clara dévoilait maintenant tous ses trésors intimes.
La punition cessa quand toute la surface du fessier fut teintée d’un rouge éclatant. Clara pleurait comme une gamine sur les genoux de sa baby-sitter, celle-ci lui tapota le derrière brûlant :
— Bien, j’espère que ça va te servir de leçon et que je n’aurai pas à recommencer. Tu vas aller mettre ton pyjama maintenant, et tâche de ne pas traîner !
Elle regarda Clémence, celle-ci aurait voulu rentrer dans un trou de souris :
— Quant à toi, tes fesses sont encore blanches, si tu veux qu’elles le restent, je te conseille de filer également te mettre en pyjama.
Quelques instants plus tard les deux jeunes étudiantes étaient de retour dans le salon en tenue de nuit. Amélie les regarda en souriant :
— Ah voilà nos deux chipies, vous êtes quand même plus mignonnes en pyjama.
Clara et Clémence rougirent et baissèrent la tête, la soirée risquait d’être longue et cuisante. La jeune baby-sitter s’adressa à nouveau à elles :
— Vous n’allez pas rester la soirée à ne rien faire, allez me chercher vos cours d’aujourd’hui.
Un peu surprise mais ne désirant pas se retrouver à nouveau les fesses à l’air, les deux amies s’exécutèrent. Amélie pris le polycopié des mains de Clémence :
— Tu vas m’apprendre par cœur les deux premières pages de ton cours, tu as une demi-heure.
Clémence ne put s’empêcher d’ouvrir la bouche pour protester :
— Mais mademoiselle Amélie ce n’est pas la peine d’apprendre par cœur.
Amélie semblait n’attendre que ça, à peine la jeune étudiante avait-elle ouvert la bouche que déjà elle l’avait coincée sous sons bras, la culotte du pyjama baissée à mi-cuisse, la main se mit à claquer les deux rondeurs jumelles. Clémence se mit à trépigner sur place, sa baby-sitter la tenait fermement, ses fesses étaient parfaitement présentées et elles prirent rapidement une jolie couleur rouge, la punie sanglotait et suppliait mais rien n’arrêtait la main qui claquait inlassablement :
— Ah je vais t’apprendre à raisonner !! Tu vas voir avec une paire de fesses bien rouges tu vas beaucoup mieux travailler.
Enfin Amélie relâcha sa victime qui se mit à sautiller sur place pour essayer d’atténuer la cuisson qui embrasait son fessier, elle aurait bien aimé le frotter mais depuis le temps, elle savait que c’était rigoureusement interdit.
— Tu peux te reculotter et tu files dans ta chambre, je t’interroge dans une demi-heure.
Sans demander son reste Clémence s’exécuta. Clara se le tint pour dit et n’émit aucune protestation quand Amélie lui donna également deux pages de cours à apprendre par cœur.
Pendant que les deux amies travaillaient chacune de leur côté dans leurs chambres, Amélie discuta avec une amie sur Twitter, elle eut vite fait de lui raconter sa soirée en n’omettant pas bien sûr de mentionner les fessées déculottées qu’elle avait administrées à ses deux « gamines ». Elle lui promit en riant de la tenir au courant de la suite :
— Tu auras des photos de leurs jolies fesses bien rouges, tu vas voir, elles ont vraiment de beau petit cul…
Il était temps de passer à la correction des devoirs, elle décida de commencer par Clémence, celle-ci rougit en voyant la jeune fille rentrer d’un air autoritaire dans sa chambre :
— On va voir si tu as bien travaillé, tu te lèves et tu me récites ton cours.
Amélie avait pris la place de Clémence devant son bureau, celle-ci intimidée se tenait droite devant sa baby-sitter, les yeux baissés.
— Allez, on y va, je t’écoute !
La jeune fille avait pris la feuille de cours et la parcourait rapidement, de l’autre main elle avait pris une règle plate et elle tapotait le bureau d’un air impatient.
Clémence commença à réciter, mais au bout d’une demi-page, la tension était trop forte, elle commença à trébucher et à hésiter sur les mots. Amélie la regarda en souriant :
— Est-ce que par hasard, ça t’aiderais ma petite chérie si je te baissais la culotte ?
Clémence se raidit un peu plus et essaya de se souvenir de la suite mais le regard perçant de sa baby-sitter était trop impressionnant. Rien ne sortait de sa bouche.
— Approche un peu !
Amélie avait fait un petit signe avec son doigt, Clémence fit un pas vers elle. La jeune fille glissa ses deux pouces dans la ceinture du pyjama et le fit descendre à mi-cuisse. Clémence se mordit les lèvres, la suite était inéluctable surtout que la sévère jeune fille reprenait :
— Te voilà prête pour la suite, j’espère que l’air frais sur ton petit derrière va te faire retrouver la mémoire.
Bien sûr, plus rien ne sortait de la bouche de Clémence, un premier coup de règle appliqué sèchement en travers de sa croupe dénudée la fit sursauter :
— Aïe, non, non, pardon mademoiselle, aïe, aïe…
La règle plate avait claqué le fessier, mais tout s’embrouillait dans sa tête. Amélie lui saisit la main et la força à se coucher en travers de ses cuisses :
— Puisque tu n’as pas travaillé, nous allons employer une méthode qui a fait ses preuves sur les paresseuses.
Elle leva la règle et appliqua une dizaine de coups sur le postérieur joufflu. Puis elle lut la suite du cours en rythmant ses phrases avec la règle :
— Tu vas répéter après moi, allez je t’écoute !
Clémence en hoquetant répéta la phrase, puis Amélie lut la phrase suivante tout en continuant à claquer les fesses qui reprirent rapidement des couleurs. Il restait une bonne partie du cours, la fessée fut longue et quand enfin la jeune baby-sitter en eut terminé avec la lecture et que Clémence eut répété chaque phrase, elle était en pleurs et son derrière écarlate.
Amélie la fit se relever et lui indiqua son siège :
— Tu ne remontes pas ta culotte et tu t’assieds là. Tu vas me recopier ce cours proprement. Je vais interroger Clara et je reviens.
La porte de la chambre était restée ouverte, Clara avait donc tout entendu, quand la jeune fille entra dans sa chambre, elle n’en menait pas large. La séquence fut la même que dans la chambre voisine, elle se retrouva vite cul nu et non moins rapidement couchée sur les genoux de la baby-sitter. La couleur de ses fesses n’avait rien à envier à celle de son amie quand elle put se relever.
Quand elle entra dans la chambre de Clémence, Amélie était contente de sa soirée mais elle ne comptait pas en rester là, elle avait à sa disposition deux magnifiques paires de fesses, il fallait en profiter. Elle regarda par-dessus l’épaule de la jeune femme :
— Tu as fini ta copie ?
Comme Clémence avait répondu par l’affirmative, elle lui saisit l’oreille pour la faire se lever :
— C’est bien, tu vas venir avec moi au salon, ta désobéissance et ta paresse mérites une sanction.
Elle avait pris le feuillet sur le bureau, elle claqua les fesses encore rouges et l’amena dans la pièce principale. Elle la conduisit contre le mur et posa la feuille devant son visage :
— Tu colles ton nez contre le mur pour tenir la feuille et gare à toi si elle tombe, tu mets tes mains sur la tête et je ne veux pas t’entendre !
Elle claqua les fesses tendues pour confirmer qu’elle ne plaisantait pas. Quelques instants plus tard, Clara était dans la même position, ses fesses rouges bien exposées et son nez collé contre le mur tenant sa copie.
Amélie avait fait quelques photos pendant les fessées de ses deux pupilles, elle compléta sa collection pour pouvoir les envoyer à sa copine. Puis elle prit son téléphone et appela sa sœur :
— Chloé, ma chérie, j’ai une petite surprise pour toi ? Viens me rejoindre chez les deux chipies mais avant tu prends deux thermomètres à la salle de bain.
La jeune fille ne se fit pas prier et quelques secondes plus tard elle pénétrait dans l’appartement des deux étudiantes, elle ne put s’empêcher de pousser un petit cri de surprise en découvrant le spectacle :
— Olala !! Eh ben dis donc, tu ne les as pas loupées. Mazette elles ont le cul bien rouge.
Les deux amies s’étaient raidies quand elles avaient entendu le coup de téléphone qu’Amélie avait passé à sa sœur, mais la réflexion amusée de la cadette devant le spectacle qu’elles offraient était encore plus humiliant. Elles serrèrent toutes les deux leurs belles fesses rouges, la soirée n’était pas finie.
Amélie avait ri en entendant sa sœur :
— C’est sûr qu’elles ne vont pas avoir froid cette nuit, mais je pense qu’il vaut mieux vérifier leur température.
Chloé frappa dans ses mains :
— Ah, chouette, depuis le temps que je rêve de le faire à quelqu’un.
Amélie éclata de rire :
— Tu préfères laquelle ?
Chloé s’approcha des deux jeunes femmes en pénitence et caressa les deux fessiers cramoisis, elle s’attarda un peu plus sur la croupe de Clémence, glissant même ses doigts dans la raie fessière bien serrée :
— Je crois que je vais choisir le joli derrière de Clémence.
Amélie acquiesça :
— Comme tu veux, moi j’ai déjà testé les deux, mais c’est à Clémence que j’ai mis le thermomètre l’autre jour, finalement c’est bien que tu me laisses Clara.
Chloé avait saisi immédiatement l’oreille de Clémence. Recevoir la fessée déculottée à son âge était déjà très humiliant mais se faire tirer l’oreille et être forcée de se coucher sur les genoux d’une gamine de dix ans plus jeune qu’elle, c’était vraiment le comble. Pourtant c’est ce qui était en train d’arriver à cette jeune étudiante en médecine. Elle était déjà déculottée ce qui chagrina un peu Chloé, elle aurait bien aimé lui baisser la culotte pour faire apparaître la belle croupe et compléter le retour à l’enfance de cette pimbêche qui quelque temps auparavant ne lui adressait même pas la parole. Elle arrangea un peu la position de Clémence la faisant basculer un peu vers l’avant pour que ses fesses soient bien à sa portée. Amélie avait ramassé la feuille tombée par terre elle la posa devant Clémence :
— Tu vas continuer de m’apprendre par cœur ton cours pendant ta pénitence, ça t’évitera une autre fessée.
Puis elle se dirigea vers Clara et lui saisit également l’oreille, elle récupéra la feuille et s’installa dans l’autre fauteuil. Quelques instants plus tard la jeune femme était à son tour en position disciplinaire les fesses pointées vers sa baby-sitter, celle-ci lui posa également son cours devant les yeux avec la même consigne de l’apprendre par cœur.
Chloé palpait avec gourmandise le derrière rebondi de sa punie :
— On leur rougit un peu plus les fesses ? Maman le fait à chaque fois qu’elle nous met le thermomètre.
Amélie tapota les fesses de Clara en souriant :
— Bien sûr, elles ont commencé à perdre un peu leur jolie couleur. Tu es prête ?
Chloé continuait de caresser les fesses de Clémence, elle les écartait sans vergogne :
— Bien sûr, cette chipie a vraiment un joli cul.
Clémence était mortifiée par ce traitement, mais elle se laissait faire, sachant que ses fesses risquaient de subir les conséquences d’une révolte. Soudain, elle poussa un cri, Chloé venait de lui administrer une formidable claque, Amélie se mit à rire :
— Eh bien ma chérie, ça commence fort, fait attention à ta main, tu ne vas pas pouvoir lui donner la fessée jusqu’au bout.
Chloé leva à nouveau la main et recommença à claquer aussi fort le derrière de sa punie :
— Ne t’inquiète pas, ça va aller je te promets que notre petite chérie va avoir du mal à s’asseoir demain.
Clémence se mit à hurler, cette fessée, administrée par une presque gamine, était une des plus douloureuses qu’elle ait reçues. Ses fesses, encore douloureuses de la fessée à la règle, n’étaient plus qu’une boule de feu. Chloé s’appliquait à n’oublier aucun endroit du fessier, de temps en temps sa main s’égarait sur l’arrière des cuisses, elle se régalait de pouvoir corriger cette magnifique paire de fesses. Elle avait reçu tant de fessées déculottées que de pouvoir enfin faire rougir une belle croupe, était un vrai bonheur.
Amélie ne voulut pas être en reste et malheureusement pour Clara son derrière en fit les frais, les claques magistrales rebondissaient sur la large paire de fesses qui s’ouvraient largement pour le plus grand bonheur de sa fesseuse.
La fessée parut interminable aux deux amies qui braillaient de concert sous la cuisson, quand enfin les claques cessèrent, elles pleuraient toutes les deux à chaudes larmes. Les deux sœurs se regardèrent avec un petit sourire complice. Chloé était vraiment excitée :
— Olala, elles ont les fesses qui fument, c’est sûr qu’elles vont avoir du mal à s’asseoir nos petites chéries.
Elle avait posé sa main sur le derrière brûlant de Clémence, Amélie souriait ravie de l’humiliation imposée à ces deux pimbêches :
— C’est parfait, on va contrôler leur température, vas-y je te regarde.
Chloé écarta largement avec deux doigts les fesses écarlates de Clémence, celle-ci était trop occupée par la cuisson de son derrière pour ressentir cette humiliation supplémentaire. La jeune fille n’avait jamais mis un thermomètre à quelqu’un mais elle avait souvent assisté à la prise de température de sa sœur, elle n’eut donc aucun mal à mettre en place bien profondément le thermomètre. La jeune femme geignait doucement pendant l’introduction de l’instrument médical, mais elle se garda bien de serrer les fesses de peur d’une correction supplémentaire.
Amélie apprécia la technique de sa cadette :
— C’est bien ma chérie, le petit cul de Clémence est bien garni, maintenant je vais m’occuper de celui de Clara.
Le large et profond sillon qui séparait les deux fesses de la jeune femme s’écarta, découvrant la petite rondelle brune contractée. Amélie humecta son doigt et le posa dessus :
— Décontracte-toi ma petite chérie, tatie Amélie va mettre le thermomètre dans ton petit trou. Allez ouvre le.
Elle se régalait à s’adresser à la jeune femme comme si elle était une fillette, elle poussa son doigt contre l’anus, Clara était au comble de la honte mais comme son amie, elle ne résista pas. Satisfaite de sa soumission, la sévère baby-sitter tenant toujours les fesses largement ouvertes fit pénétrer profondément le thermomètre. Une fois celui-ci bien en place elle tapota le derrière brûlant :
— Voilà mes petites chéries, vous allez rester bien sage, sinon vos fesses sont toujours à disposition. Vous m’apprenez bien vos cours. Vous allez garder le thermomètre pendant 30’.
La soirée était vraiment parfaite pour les deux sœurs, ça les changeait de l’éducation stricte d’Odile. Le téléphone d’Amélie sonna, c’était justement sa mère :
— Alors ma chérie, les deux chipies ont été mignonnes ?
Amélie se mit à sourire en caressant les fesses de Clara :
— À peu près, j’ai quand même dû sévir, elles ont pris chacune une fessée déculottée mais maintenant elles sont sages comme des images.
— Tu as bien fait, tu peux leur annoncer que demain je m’occuperai de leurs fesses, elles étaient prévenues qu’en cas de bêtises elles seraient punies.
Après avoir raccroché, Amélie tapota les fesses encore bien rouges de Clara :
— Tu peux préparer tes jolies fesses ma chérie et toi aussi Clémence, maman n’est pas très contente. Vous aurez encore le derrière bien rouge demain.
Elle avait dit ça en riant, Chloé était satisfaite, si leur mère était occupée avec les fesses des deux étudiantes, il y avait des chances que les siennes restent blanches.
La demi-heure passa vite pour les deux sœurs, ce ne fut pas le cas des deux amies aux fesses brûlantes, elles furent contentes quand Amélie annonça la fin de la pénitence et qu’elles sentirent le thermomètre ressortir de leurs derrières. Avec une bonne claque sur les fesses, elles furent invitées à se relever, puis Amélie leur annonça :
— Maintenant au lit, vous restez cul nu qu’on profite bien de vos jolies fesses. Vous me donnez vos téléphones et je viens éteindre dans cinq minutes. Je ne veux rien entendre c’est compris !
En baissant la tête, encore sous le coup de cette soirée cuisante, les deux jeunes femmes se dirigèrent vers leurs chambres respectives. Les deux derrières rouges se dandinant au rythme de la marche étaient vraiment excitant.
Chloé regagna l’appartement familial tandis qu’Amélie entrait dans la chambre de Clémence, celle-ci était déjà couchée :
— C’est bien tu es une gentille fille obéissante, je vais juste vérifier l’état de tes fesses et ensuite tu feras un gros dodo. Tourne-toi sur le ventre.
Elle avait tiré la couverture, la jeune femme n’avait pas osé remonter sa culotte de pyjama ce qui fit sourire la baby-sitter, « décidément rien de mieux que la fessée déculottée pour rabattre le caquet de ces pimbêches ». Amélie palpa le fessier mis à nu et sans vergogne glissa sa main entre les fesses :
— Voilà ton derrière est encore rouge mais en parfait état, tu vas voir comme on dort bien avec une paire de fesses bien chaude.
Elle était ravie, elle pouvait à la fois satisfaire ses pulsions saphiques et sa sévérité perverse. Elle remonta la culotte de Clémence et lui donna une petite claque sur la croupe :
— Bon maintenant, dodo et plus un mot jusqu’à demain.
Elle fit de même dans la chambre de Clara puis elle s’installa devant la télé et regarda sa série préférée.