dimanche 15 octobre 2023

Caroline fesseuse de dame 11

Double punition

 


Virginie avait laissé sa mère au coin à genoux sur la chaise, exposant ses fesses bien rouges pendant une bonne demi heure, puis elle l’avait autorisée a remettre sa culotte et baisser sa jupe. Elles déjeunèrent de bonne appétit, Virginie parlait beaucoup, Sylvie était un peu gênée et elle ne faisait que répondre aux questions de sa fille sans en rajouter.

Elle parla  quand même de Daisy et de ses cours d’anglais ce qui fit bien rire Virginie.

- alors comme ça madame apprend l’anglais ? il me semble que ça ne t’intéressait pas trop les langues étrangères. Dis moi cette Daisy, elle est anglaise, elle utilise les méthodes traditionnelles ?

 

Virginie avait dit ça en riant, je sentis que mes joues s’empourpraient. Elle me regardait avec attention.

- ah oui ? c’est donc ça,  tu reçois aussi la fessée cul nu pendant tes cours d’anglais.

Mon silence gêné et mes joues rouges valait acquiescement. Virginie se mit à rire.

- et bien dis moi, ça fait beaucoup de monde pour t’occuper de ton bon gros derrière, si je compte bien, il y a Caroline, Huguette et Daisy.

Elle me regardait avec un joli sourire sur les lèvres.

- et puis maintenant il y a moi, ta fille chérie. Allez tu vas me les montrer encore, viens ici !

 

Virginie était excitée par les confessions de sa mère et elle n’avait pas pu résister au plaisir de la déculotter à nouveau.

Sylvie était à nouveau couchée en travers de ses genoux la jupette retroussée et la culotte baissée à mi cuisse. Ses fesses étaient colorées par les deux fessées reçues le matin, Virginie était satisfaite du résultat de sa punition. Le martinet fait vraiment de jolies fesses bien rouges pensait-elle en caressant le large derrière de sa mère.

- tu as vraiment une jolie paire de fesses ma petite maman, on va lui redonner des couleurs pour que Caroline se rende compte que désormais tu as une nouvelle momy pour s’occuper de toi.

Elle leva la main et administra à nouveau une courte mais vigoureuse fessée à Sylvie. Celle-ci ne put se retenir malgré sa honte de supplier sa fille d'arrêter la fessée.

- aïe aïe aïe, non, non momy ça brûle arrête s'il te plaît, aïe aïe aïe.

Bien sûr la fessée alla à son terme et Sylvie fini en pleurs comme si c'était elle la gamine et Virginie la maman sévère.

Celle-ci consulta sa montre, Caroline n'allait pas tarder. Elle fit relever Sylvie et la conduisit au coin. C'était celui que Caroline avait utilisé quand elle l'avait punie, il était face à la porte d'entrée. Virginie avait arrangé comme il se doit la tenue de sa mère, la jupette était coincée dans la ceinture pour bien dégager le postérieur écarlate, la culotte blanche  descendue à mi cuisses soulignait la rougeur des fesses. La jeune femme s'était assise et elle se régalait du spectacle, elle avait pris quelques photos. La sonnette retenti, elle se leva pour aller ouvrir à Caroline, quand elle la vit, celle-ci poussa un petit cri d'étonnement.

- mamie...oh pardon, je, je croyais voir Sylvie.

Virginie se mit à rire.

- oui effectivement, je suis un peu jeune pour une mamie...

Elle se détourna pour que Caroline puisse voir la pièce en entier. Le derrière rougi de Sylvie illuminait le coin, on ne pouvait pas le manquer. Caroline eut un petit rire malicieux.

- et ben ça alors...

Virginie était satisfaite de son petit effet.

- je suis Virginie la fille de Sylvie, j'ai été obligée de sévir et madame fait refroidir ses fesses.

Caroline regarda Virginie, effectivement il y avait une certaine ressemblance. Mais elle était fascinée par le spectacle offert par Sylvie, son regard allait des fesses de la punie au visage de la fesseuse.

- euh, oui, oui je comprends,  vous avez... vous avez...

Elle n'arrivait pas à le dire, chez elle c'était elle qui se faisait déculotter par sa mère et qui allait au coin fesses à l'air et bien rouges. Virginie se mit à rire.

- oui, c'est ça j'ai administré une bonne fessée déculottée à ma maman car elle s'est conduite comme une gamine. Il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée n'est ce pas. D'ailleurs il me semble que vous aussi vous lui en avez flanqué et pas qu'une.

Caroline se mit à rire.

- oui c’est sûr que je lui ai souvent rougi les fesses, mais elle l’avait bien mérité vous savez.

- je n’en doute pas, j’ai vraiment l’impression que parfois madame se comporte comme si elle avait 12 ans. C’est donc normal qu’on soit obligée de lui baisser la culotte. D’ailleurs on est pas les seules, vous savez qu’elle a une nouvelle maman pour s’occuper de son éducation ?

Caroline écarquilla les yeux.

- ah oui ?

- oui, c'est Huguette sa voisine et à ce que j'ai compris elle est sévère et Sylvie ne bronche pas. Je pense qu'elle va arriver à quelques choses avec notre petite chérie. D'ailleurs elle ne va pas tarder je lui ai dit de passer pour le thé.

Caroline était subjuguée par l'autorité naturelle de Virginie, celle-ci la détaillait de la tête aux pieds, elle se sentit rougir, la jeune femme souriait.

- alors comme ça vous recevez encore la fessée à votre âge ?

La question abrupte déstabilisa un peu plus Caroline, elle essaya de répondre sans rougir.

- mais, non ! Enfin j'ai 25 ans vous savez.

Virginie planta ses yeux dans les siens.

- ce n'est pas bien de mentir, votre maman ne vous l'a pas dit ?

Caroline fit une dernière tentative.

- mais enfin, arrêtez, de quel droit me parlez vous comme ça !

Virginie prit un air plus sévère.

- c'est toi qui va changer de ton ma petite Caroline. J'ai lu les messages que tu échanges régulièrement avec Sylvie et je sais que ta maman te baisse souvent la culotte et pas plus tard qu'hier.

Caroline avait pâlit, elle sentait le piège se refermer. Elle baissa la tête et ne répondit pas.

Virginie fit un pas vers et lui saisit l'oreille, surprise la jeune femme poussa un petit cri mais ne chercha pas à s'échapper.

- tu sais ce qui arrive aux petites menteuses ?

De sa main libre, Virginie avait claqué les fesses de Caroline.

Elle portait un leggings noir qui moulait bien son derrière rebondi.

- aïe aïe aïe, non arrêtez vous n'avez pas le droit.

Virginie se mit à rire et tira un peu plus sur l'oreille de sa victime.

- ah oui ? Et pourquoi donc ? Moi je penses que tu mérites une petite leçon et je vais te la donner.

Elle s'assit sur une chaise et tirant sur l'oreille de Caroline, elle força celle-ci à se coucher en travers de ses genoux.

- voilà, tu es bien installée ? Puisque ta maman n'est pas là pour te corriger, je vais la remplacer.

Caroline se rendant compte de ce qui allait lui arriver, essaya de se relever. Virginie la maintenait fermement par la taille, elle se mit à lui claquer sèchement les fesses par dessus le leggings.

- cesse de tortiller ton petit derrière, de toute façon tu as mérité cette fessée et je te garantis que tu vas la recevoir.

Caroline se mit à gémir, elle ne connaissait que trop bien cette position et ce qui allait suivre.

- non, non pardon mademoiselle, s'il vous plaît. Non !!

Elle avait senti les doigts de Virginie s'insinuer sous la ceinture du leggings, celui-ci descendit rapidement jusqu'à ses genoux. Elle portait une mignonne petite culotte rose avec un liseré de dentelle aux cuisses. Virginie lissa la lingerie de sa main, pour apprécier le galbe du fessier. Cette petite avait de bien jolies fesses pensa-t-elle, puis elle recommença à claquer le derrière rebondi. Caroline continuait de gémir mais elle trouvait que pour le moment là fessée n'avait rien à voir avec celle de sa mère. Virginie ne fit pas durer longtemps cette fessée sur la culotte, elle avait trop envie de découvrir le fessier de Caroline. Elle fit glisser la culotte sur la croupe de la jeune femme qui protesta à peine.

Virginie pensa, on dirait que tu as l'habitude de te faire déculotter ma petite.

Le derrière était à peine rosé de la fessée préparatoire, la main repris son oeuvre et rapidement les fesses furent bien rouges, de cette jolie couleur qui plaît tant aux fesseuses. Caroline ne trouvait plus que la fessée de Virginie était douce, elle ruait, battait l'air avec ses pieds, son leggings et sa culotte était entortillé autour de ses chevilles. C'était une magistrale fessée déculottée que recevait Caroline.



La sonnette retenti, Virginie interrompit la correction et cria à Huguette d'entrer.

La sévère voisine de Sylvie eut un sourire de satisfaction en découvrant le spectacle, sa nouvelle grande fille au coin fesses à l'air bien rouges et Virginie en train d'administrer une fessée déculottée à une jeune femme.

Elle eu vite fait de reconnaître Caroline.

- ah mais c'est notre chère Caroline qui reçoit la fessée. Continuez Virginie, ne vous dérangez pas pour moi.

Virginie lui rendit son sourire et continua de claquer le derrière si bien présenté. Caroline se mit à pleurer, c’était ce qu’attendait Virginie, elle cessa de fesser la jeune femme et posa sa main sur l’épiderme brûlant.

- voilà un joli derrière bien rouge, tu as vu comment je traite les petites menteuses. Maintenant tu vas filer te mettre au coin à côté de Sylvie, le temps de faire refroidir tes fesses.

Caroline se releva et sans un mot, elle alla poser son nez contre le mur, elle mit ses mains sur sa tête ce qui fit sourire Virginie «on dirait que Mlle a l’habitude d’aller au coin fesses à l’air».

Huguette avait profité du spectacle, elle désigna Sylvie qui exposait son derrière bien rouge.

- qu’a donc fait cette chipie pour exposer ses fesses comme ça ?

Virginie regarda la large croupe de sa mère, quelque chose lui disait qu’elle allait assister à une jolie danse des fesses.

- oh c’est bien simple, vous m’aviez prévenue, ma petite maman a désobéi et j’ai été obligée de sévir.

Elle raconta succinctement les raisons de la punition de Sylvie. Le regard d’Huguette était devenu sévère.

- à c’est donc ça !

Elle s’approcha de sa grande fille, lui saisit l’oreille et l’amena au milieu de la pièce.

- viens donc un peu ici ma jolie, tu vas voir comment maman Huguette s’occupe des désobéissantes.

 

Je sentais que la fessée publique n’était pas loin et bien que je sache que ça ne servirait sans doute à rien, j’essayai de plaider ma cause.

- aïe, aïe non, maman s’il te plaît, j’ai déjà été punie.

Une vigoureuse claque sur mes fesses me confirma que c’était peine perdue, Huguette gronda

- tu ferais mieux de te taire. Virginie a eu raison de te flanquer une bonne fessée déculottée mais tu vas voir comment maman va bien s’occuper de tes fesses maintenant !

Sa main gauche continuait de me claquer les fesses tandis qu’avec la main droite elle me tirait l’oreille pour que je la suive.

- a comme ça madame désobéi ! et bien tu vas voir ce qui arrive aux désobéissantes ! Je vais te montrer et je suis sûr que la prochaine fois tu y réfléchiras à deux fois.

 

Huguette avait tiré sa grande fille qui pleurnichait en sachant ce qui lui pendait au nez, ou plutôt aux fesses. Elle posa son pied sur un petit tabouret et fit basculer Sylvie sur sa cuisse horizontale, c’était vraiment un retour en enfance pour cette dame d’âge mûr, elle se retrouvait dans la position préférée des institutrices voulant corriger une gamine devant toute la classe. Humiliation suprême la spectatrice aujourd’hui c’était sa fille qui se régalait du spectacle. Les pieds de Sylvie avait quitté le sol son bon gros derrière était parfaitement exposé tendu vers sa maman, elle avait agrippé le pied du tabouret pour ne pas perdre l’équilibre, sa culotte entourait ses genoux. Huguette jeta un œil à Virginie pour voir si elle appréciait le spectacle, celle-ci lui fit un sourire et un petit clin d’oeil. Satisfaite la sévère matrone leva la main et commença la fessée, depuis ce matin les fesses de Sylvie avait déjà été amplement corrigées, immédiatement, la brûlure fut intense et elle se mit à crier et à supplier.

- aïe, aïe, noon maman pardon, aïe ça fait trop mal.

Elle se mit rapidement à pleurer autant de douleur que de honte de recevoir à son âge un tel châtiment en présence de sa fille. Huguette ne donnait pas une fessée pour rire, c’était une véritable correction que recevait la propriétaire de la maison. Huguette n’était plus sa voisine mais sa sévère maman qui la corrigeait pour avoir désobéi. Les jambes battaient l’air désespérément, les fesses s’ouvraient largement sans aucun souci de pudeur. Sylvie avait vraiment un fessier appétissant, fait pour recevoir la fessée? C’est ce que pensait Virginie sans aucune commisération pour sa maman, elle prenait plaisir au spectacle en fesseuse désormais convaincue. «Décidément ma petite maman tu n’as pas fini de te faire baisser la culotte, crois moi tu vas avoir souvent les fesses rouges quand je viendrai te voir ou quand tu viendras à la maison», les pensées de Virginie vagabondaient en contemplant la croupe écarlate de sa mère redevenue par la grâce d’une bonne fessée déculottée, un gamine pleurant sur le genoux de sa nouvelle maman.



La fessée était finie, Huguette reposa Sylvie sur ses pieds, instinctivement celle-ci porta ses mains à ses fesses, la cuisson était si intense qu'elle en avait oublié l’interdit du frottement. Huguette siffla sévèrement.

- tes mains !! cesse immédiatement !!

Sylvie posa ses mains sur sa tête, Huguette n’en avait pas fini avec elle.

- décidément une fessée ne te suffit pas. Va chercher le thermomètre, vite !!

Virginie  la regardait un peu surprise, elle précisa.

- notre petite Sylvie a une bonne paire de fesses et même si elle crie et pleure pendant la fessée, souvent ça ne suffit pas pour qu'elle devienne une gentille fille.

Sylvie était partie vers la salle de bain, elle revint en tenant le thermomètre médical et le tendit penaude à Huguette.

Celle-ci s’était assise sur le canapé, elle tapota ses cuisses.

- en position ma chérie.

Sylvie allait se coucher sur ses genoux quand sa sévère maman l’arrêta.

- enlève ta culotte, tu n’en auras plus besoin pendant un moment.

Sylvie enjamba sa culotte et la posa sur la table basse. Huguette la fit basculer en travers de ses genoux en la tirant par la main.

- alors comme ça tu frottes tes fesses après la fessée ? tu le sais pourtant que maman n’aime pas ça. Une petite pénitence au thermomètre va te montrer que maman ne plaisante jamais.

Elle avait largement écarté les deux hémisphères écarlates, mettant à jour la raie fessière et la petite rondelle brune.

 

C’était une humiliation totale, mes fesses étaient brûlantes mais sentir les doigts d’Huguette écarter mes fesses pendant que Virginie regardait, s’en était trop, je me mis à pleurer comme une petite fille.

 

Huguette souriait en regardant Virginie.

- notre petite Sylvie n'aime pas quand je lui écartes les fesses pour lui prendre la température.

Elle tapota les fesses de la punie.

- oh tu peux pleurer, maman est très en colère tu sais. Bon tu ne serres pas les fesses quand je te mets le thermomètre, sinon tu sais que ça va mal aller.



 

Huguette s’adressait à moi comme si j’étais réellement sa grande fille et  je l’acceptais. En quelques jours j’avais vraiment changé de statut. Je m’efforçais de détendre mes fesses au maximum, je savais qu’elle ne se gênerait pas pour me flanquer une nouvelle fessée.

 

Virginie était ébahie, jamais elle n’aurait imaginé voir sa mère dans une telle situation, elle vit l’embout du thermomètre pénétrer doucement, Sylvie gémissait doucement mais elle se laissait faire, ses larges fesses bien rouges parfaitement écartée ainsi que ses cuisses. La jeune femme jouissait du spectacle. «et bien ma petite maman, quand je pense que tu m’a forcée à me prendre la température dans les fesses jusqu’à l’adolescence alors que je détestais ça, maintenant c’est ton tour.» Elle s’adressa à Huguette qui maintenant avait relâché les deux fesses ou plutôt les deux tomates bien rouges.

- je vois que vous semblez avoir l’habitude. Vous lui mettez souvent le thermomètre dans son petit trou ?

Elle avait dit ça avec un petit sourire coquin qui montrait qu’elle appréciait le spectacle. Huguette tapota les fesses écarlates de Sylvie.

- notre petite Sylvie se croit grande, ce petit passage sur mes genoux avec le thermomètre planté dans ses fesses la ramène rapidement à un peu plus d’humilité. Pour tout dire depuis que j’ai repris en main son éducation c’est tout les jours qu’elle y a droit et même quelque fois plusieurs fois dans la même journée. Je peux vous garantir qu’après une bonne fessée déculottée et une pénitence au thermomètre j’ai ensuite une grande fille toute  gentille à ma disposition.

Virginie ne pouvait quitter des yeux le large derrière de sa mère, une bonne paire de fesses de dame mûre mais qui était bien présenté comme celui d’une gamine couchée sur les genoux de sa maman en présence d’une voisine venue lui rendre visite.

Huguette s’adressa à elle avec un petit sourire complice.

- je croyais que vous m’aviez invitée pour prendre le thé, nous pouvons le boire tant que j’ai Sylvie sur mes genoux, elle ne me dérange pas vous savez.

Virginie se mit à rire et se leva.

- c’est vrai que je manque à tout mes devoirs, j’espère que je ne vais pas être punie pour ça.

Elle avait dit ça avec un petit sourire mutin et un tant soit peu provocateur. Huguette la regarda se diriger vers la cuisine. Son fessier moulé dans son jean avait des airs de ressemblance avec celui de Sylvie bien que moins volumineux. Huguette pensa qu’après la mère ce serait peut-être au tour de la fille de faire un petit séjour sur ses genoux. Mais chaque chose en son temps, elle entrepris de faire coulisser le thermomètre dans le derrière de Sylvie.

- alors ma petite chérie, tu vas encore désobéir et te frotter les fesses après la fessée de maman ?

 

Même si c'était particulièrement humiliant, je savais que je devais répondre, mes fesses étaient directement à sa portée.

- non, non maman promis, je ne frotterai plus mes fesses. Mais ça brûle...

 

Huguette se mit à rire, Sylvie était vraiment mignonne quand elle répondait comme une petite fille bien élevée.

- mais ma chérie c'est fait pour ça la fessée déculottée, il faut que ça te brûle beaucoup pour que tu ne recommence plus et le thermomètre bien enfoncé dans tes fesses c'est pareil.

Elle faisait sortir presque en entier le thermomètre puis le rentrait profondément, malgré tous ses efforts, Sylvie contractait ses fesses, ce qui lui valut une petite fessée complémentaire.

Virginie était revenue avec le plateau et les tasses. Elle servit Huguette qui n'était pas gênée d'avoir Sylvie couchée sur ses genoux. La sévère maman remarqua que la jeune femme regardait alternativement les fesses de sa mère et celle de Caroline, elle se mit à rire.

- je crois que tu aimerais bien essayer le thermomètre sur Caroline, je me trompe ?

Virginie rougit légèrement d'avoir été percée à jour. Huguette était ravie.

- ne soit pas gênée, c'est normal d'avoir envie d'essayer surtout avec les jolies fesses de Caroline en exposition. Donne moi mon sac à main.

Elle fouilla dedans et en sorti un autre thermomètre, elle le tendit à Virginie.

- tiens voilà qui va te servir.

La jeune femme était ravie, elle se dirigea immédiatement vers Caroline et lui saisit l'oreille pour l'amener près du fauteuil.

- viens un peu ici ma jolie, je vais m'occuper de toi.

Caroline avait suivi la conversation et elle savait ce qui l'attendait, elle se mit à gémir.

- non, non pardon mademoiselle, s'il vous plaît, j'ai déjà été bien punie.

Virginie ne tint pas compte de ses pleurnicheries et Caroline se retrouva couchée elle aussi en travers des genoux de la jeune femme. Elle se tourna vers Huguette.

- il faut que vous m'expliquiez, je débute.

Huguette souriait en tapotant le derrière bien rouge de Sylvie.

- tout d'abord tu vas me rougir correctement ce derrière, une pénitence au thermomètre nécessite des fesses bien rouges et bien chaudes.

Virginie ne se le fit pas dire deux fois et Caroline se mit rapidement à gémir puis à supplier et enfin à pleurer sous les magistrales claques que Virginie distribuait sur ses fesses rebondies.

C'était vraiment une bonne fessée déculottée, Huguette la félicita.

- parfait, cette demoiselle à un derrière cuit à point. Tu devrais lui enlever complètement son leggings et sa culotte, tu seras moins gênée pour lui écarter les fesses.

Virginie ne se le fit pas dire deux fois, en un clin d’oeil, Caroline se retrouva nue de la taille aux pieds, sa culotte et son leggings posé sur la table.

- bien maintenant avec deux doigts tu écartes bien ses jolies fesses rouges, il faut que Caroline nous présente son petit trou.

Virginie tenait les deux fesses écartées, elle se régalait de pouvoir admirer l’intimité de la jeune femme. Elle tapota l’intérieur des cuisses.

- desserre moi tes cuisses que ton derrière soit bien détendu.

Huguette la regardait en souriant, c’était un spectacle charmant, Caroline avait une bien jolie paire de fesses. Elle donna des indications à Virginie, celle-ci eut vite compris et l’embout du thermomètre pénétra doucement dans l’anus de la pauvre Caroline qui pleurait d’humiliation. Virginie lui tapota doucement les fesses brûlantes.

- voilà, c’est fini, ton joli derrière est bien garni, tu as été bien sage.

Elle semblait le regretter un peu, elle aurait bien administré un petit supplément à ces jolies fesses rebondies.

Les deux punies étaient maintenant couchée chacune sur les genoux d’une dame, elles se faisaient face et  discutaient des bienfaits de la fessée déculottée. Elles prenaient leur temps pour siroter leur thé, rien ne pressait, le spectacle était charmant, de temps en temps elles faisaient coulisser le thermomètre puis claquaient un peu les rondeurs de l’une ou l’autre des punies.

Celle-ci maintenant ne disaient plus rien, sauf un petit cri ou un gémissement quand une claque un peu plus forte atterrissait sur leur fessier ou l’arrière de la cuisse.

Au bout d’une demi heure, Huguette décida que la pénitence avait été suffisante, elle retira le thermomètre des fesses bien rouges de sa grande fille et la fit se relever, puis une bonne claque sur son fessier lui indiqua qu’elle devait aller remettre son nez contre le mur.

Virginie n’en avait pas tout à fait fini avec Caroline, elle trouvait vraiment agréable de faire ressortir le thermomètre puis de le rentrer rapidement, les fesses de la jeune femme se contractaient pendant la pénétration, c’était charmant.

Elle se mit à lui  poser des questions.

- alors ma petite chérie tu es contente d’être venue voir Sylvie ?

Caroline savait qu’il lui fallait répondre, la main de Virginie était posée sur ses fesses.

- oui, mademoiselle ....

- et le thermomètre dans ton petit trou ? ça te plaît n’est-ce-pas ?

Virginie venait de le faire sortir puis de le rentrer brusquement.



- aïe, aïe oui, oui pardon mademoiselle.

La main de Virginie venait de claquer sèchement le derrière de Caroline. Elle souriait en regardant Huguette.

- je pense que tu vas aller chez Huguette maintenant, c’est une maman sévère, elle va bien s’occuper de ton mignon petit derrière.

Huguette était ravie, Virginie lui offrait sur un plateau un nouveau derrière à fesser.

- c’est gentil de ta part, oui c’est une bonne idée, je risquais de m’ennuyer ce week-end sans ma petite Sylvie.

Virginie venait de retirer le thermomètre du derrière de Caroline, elle lui flanqua deux bonnes claques sur les fesses.

- allez, debout vilaine. Tu vas voir, Huguette a des méthodes très efficaces pour les chipies de ton espèce.

Caroline se tenait debout devant Huguette, elle était nue de la taille aux pieds mais Huguette ne s’embarrassa pas de ces considérations. Elle prit sa nouvelle pupille par la main et de l’autre lui claqua les fesses nues pour lui indiquer qu’il fallait y aller.

- bien allons-y mademoiselle, nous avons a discuter.

Comme Caroline marquait un temps d’arrêt en regardant sa culotte et son leggings posé sur la table, elle se mit à rire.

- et oui tu n’en as pas besoin pour le moment tu es très bien cul nu. Je n’en ai pas fini encore avec ton joli derrière.

Caroline se mit à pleurer.

- mais madame, je ne vais pas sortir comme ça, laissez moi au moins mettre ma culotte. Aïe, Aïe, Aïe.... non, non, pardon, Aïe.

La main d’Huguette venait de claquer les jolies rondeurs de Caroline qui pleurait vraiment maintenant.

- décidément, je crois que je vais avoir encore du travail, on ne t’a jamais dit qu’il faut obéir aux grandes personnes. Je t’ai dit que tu resterais cul nu, un point c’est tout. Si tu continue je te donne la fessée dans la rue devant la voisine, c’est ce que tu préfère ?



Caroline était vaincue, elle suivit en pleurnichant sa nouvelle maman. Virginie regarda s’éloigner les deux jolies fesses rubicondes qui se trémoussaient un peu au rythme de la marche rapide imposée par Huguette qui la tenait fermement par la main.

 

A suivre....

6 commentaires:

  1. Magnifique histoire, Caroline mérité bien cette fessée 🍑 mais j'ai hâte de voir Virginie ce faire déculottée par huguette afin de recevoir une magistrale fessée cul nu. 🍑🔥🍑

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    1. On verra la suite, patience... c'est vrai que pour être une bonne fesseuse, il faut avoir connu l'humiliation de la fessée déculottée couchée en travers des genoux d'une sévère maman. C'est le cas de Virginie mais aussi d'Huguette ne l'oublions pas.

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    2. chances que Virginie soit une nouvelle maman même pour Huguette

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  2. merveilleux....quel beau rôle....j'ai beaucoup aimé....l'attente en valait vraiment la peine......C'est aussi bien de savoir si hugguete serait à travers Virginie ou Virginie à travers huguette..... quel beau chapitre... Sylvie continue d'écrire s'il te plaît

    Chinmay

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    1. Merci Chinmay, je suis contente que mes histoires vous plaisent toujours. On ne se lasse jamais des fesses bien rouges n'est ce pas ? Rassurez vous il y aura des suites à tout ces récits.
      Sylvie

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  3. J'attends désespérément la mise à jour de cette histoire

    Chinmay

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