mercredi 30 août 2023

Caroline fesseuse de dames 9

 Suite de l'éducation de Sylvie



C'était la deuxième fois que Sylvie rentrait à la maison les fesses nues sous sa jupe, elle était encore privée de culotte. Sans se concerter Huguette avait eu la même idée que Caroline.

C'est vrai que si c'est agréable de baisser une culotte, c'est aussi très pratique d'avoir les fesses de la punie directement à sa disposition quand on retrousse la jupe.

 

Ma crainte c'était de rencontrer Pauline en rentrant à la maison, je me doutais bien que Huguette ne se gênerait pas pour la mettre au courant de ma nouvelle situation. Il était certain que ma condition de grande fille encore soumise à l'éducation anglaise traditionnelle, incluant bien sûr la fessée déculottée, ne resterait pas inconnu de ma voisine mais le plus tard serait le mieux.

Heureusement personne à l'horizon quand nous sommes sorti de la voiture.

Dès que la porte fut refermée, elle me désigna la table.

- tu vas t'asseoir et commencer ta punition, tu as dix copies à faire autant ne pas perdre de temps.

Comme je m'asseyais elle m'indiqua que comme je l'avais fait chez Daisy je devais retrousser ma jupe pour être assise les fesses nues directement sur la chaise. Je m'appliquais car je me doutais bien que la moindre faute serait sanctionnée. Avant le dîner j'eu le temps de copier 4 fois ma dictée, j'avais mal aux fesses et à la main mais j'étais contente.

Huguette avait décidé que je serais privée de télé et que je devrais être couchée très tôt, je dus monter me préparer dès la table débarrassée.

- tu vas te mettre en pyjama et tu m'attends dans ta chambre, tu te mettras au coin fesses à l'air et les mains sur la tête.

Cet ordre annonçait une soirée cuisante.

 

Huguette prenait vraiment goût à son nouveau rôle de maman sévère, avant de monter rejoindre Sylvie dans sa chambre elle était passée dans la sienne prendre sa brosse à cheveux. Quand elle rentra dans la pièce, elle ne put contenir une légère sensation d’excitation entre ses cuisses, le spectacle était parfait, les deux belles fesses de Sylvie, à peine colorées des fessées précédentes, encadrées par la culotte du pyjama baissée sous les fesses. Sa grande fille avait posé ses mains sur la tête ce qui accentuait la cambrure de ses reins et rendait son derrière encore plus attirant.

Elle s’approcha et posa sa main sur la croupe de Sylvie.

- tu sais que maman n’est pas contente du tout.

Elle employait volontairement ce langage enfantin pour mieux ramener Sylvie à sa nouvelle condition.

- un zéro en dictée ! tu crois que ça va passer comme çà ?

Elle avait saisi Sylvie par l’oreille et s’était assise au bout du lit. Sylvie savait ce qui allait lui arriver.

 

J’étais bonne pour une nouvelle fessée déculottée. Mes fesses étaient déjà prêtes, le petit sourire d’Huguette était édifiant, me rougir les fesses lui procurait manifestement du plaisir et mon zéro en dictée lui donnait l'occasion rêvée pour satisfaire ses pulsions. 

J’étais à nouveau couchée en travers de ses cuisses, cette position m’étais devenue familière depuis trois jours. Au point que je commençais à avoir mes repères, poser mes mains par terre, ne pas trop écarter mes cuisses pour protéger autant que faire se peu ma pudeur, ne pas serrer les fesses car les claques son plus douloureuses. J’avais fait tout cela machinalement, mais c’était peine perdue, la honte de se retrouver dans cette position était toujours là. Surtout que je sentais la main et les doigts de ma nouvelle maman explorer mon bon gros derrière comme elle disait.

- Daisy a raison, tu as un  bon gros popotin ma chérie. Tu vas voir maman va s’en occuper.

Et pour s'en occuper, elle s'y entendait, elle avait commencé classiquement avec sa main, mes fesses étaient encore sensibles des fessées de Daisy et la brûlure fut rapide. Mais ce n'était rien à côté de la brosse qui prit rapidement le relais, c'était horrible et malgré mon désir de rester stoïque, je ne pus retenir longtemps mes cris et les pleurs.



 Sylvie battait des jambes au rythme de la fessée, Huguette ne fessait que depuis la veille mais elle y prenait vraiment du plaisir. Le magnifique derrière de sa voisine était à sa disposition en permanence et elle se rendait compte maintenant que c'était un privilège rare. Son caractère autoritaire se satisfaisait pleinement d'avoir transformé Sylvie en une grande fille obéissante.

Maintenant que la fessée déculottée était terminée la croupe cramoisie se serrait convulsivement, elle garda Sylvie un moment dans cette position humiliante puis elle la fit se relever.

- voilà, j'espère que demain tu seras plus attentive et que je n'aurai pas à recommencer.

Elle avait déposé deux oreillers l'un sur l'autre au milieu du lit,  elle les montra à Sylvie.

- tu t'allonges sur les oreillers pour que ton derrière soit bien présenté. Comme hier et pendant tout le temps où tu resteras ici tu vas avoir droit à la pénitence au thermomètre.

Sylvie s'était docilement mis en place, ses fesses écarlates, surélevées par les coussins étaient parfaitement mise en valeur. Huguette écarta largement les deux globes et mis le thermomètre en place, puis elle tapota les deux fesses.

- c'est parfait, comme tu as été vilaine aujourd'hui tu vas le garder un heure. Je sais que c'est long, mais tant pis pour toi,  demain tu n'auras qu'à être une mignonne grande fille. Et ne t'avise pas de bouger, tes fesses pourraient être encore plus rouges.



Elle sortit de la chambre et laissa la porte ouverte, elle était assise dans le salon, son ordinateur portable sur la table, elle l’alluma et put vérifier par l’intermédiaire de la webcam que sa grande fille était bien sage. Les fesses écarlates étaient parfaitement visibles sur l’écran, le thermomètre pointait au milieu des deux hémisphères, la croupe se contractait convulsivement nul doute que le thermomètre aurait bien voulu ressortir mais il était bien en place et il ne bougeait pas. Soudain les mains de la punie se dirigèrent vers le derrière brûlant pour le frotter, Huguette esquissa un sourire, décidément Sylvie lui permettait de satisfaire toutes ses pulsions dominatrices. Elle se leva doucement, passa dans la cuisine pour prendre le martinet et monta l'escalier sans faire de bruit. La porte de la chambre était restée grande ouverte et elle distingua immédiatement le large fessier bien rouge de sa grande fille avec le thermomètre planté au milieu. Sylvie se frottait énergiquement les fesses quand Huguette rentra.

- tu le sais pourtant que je t’interdis de frotter ton derrière après la fessée !! Tu vas voir, Monsieur martinet va te guérir de cette mauvaise habitude. Mets tes mains sur ta tête !

Huguette leva le martinet et commença à cingler les fesses écarlates de la pauvre Sylvie.

 

Je le savais pourtant qu’il ne faut pas se frotter les fesses sans autorisation après une fessée, mais elles me cuisaient vraiment trop. Du coup, pour la cuisson j’étais servie, j’avais oublié combien ce martinet faisait mal, en plus le thermomètre enfoncé dans mes fesses se rappelait à mon souvenir. Je croyais que ça n’allait jamais finir, enfin Huguette m’annonça.

- voilà 30 coups pour ta désobéissance, maintenant chaque fois que je te surprendrai à te frotter les fesses je doublerai la dose, tu vas rapidement comprendre.

Huguette devenait vraiment une maman très sévère et je ne doutais pas qu’elle mettrait sa menace à exécution, 60 coups de martinet puis 120 en cas de récidive, je pleurais abondement en promettant de ne plus recommencer.

- j’espère bien que tu ne recommencera plus, de toute façon tu es prévenue. Monsieur martinet est prêt à s’occuper de tes jolies fesses, ça va te cuire longtemps et demain si c’est nécessaire on pourra recommencer.

Je songeais au milieu de mes pleurs aux réflexions de Daisy sur les avantages du martinet et de la tawse. ‘’ on peut fesser longtemps et souvent, ça n’endommage pas la peau des fesses et on peut recommencer autant de fois que nécessaire’’ Huguette n’allait pas se priver d’utiliser le martinet et mon derrière risquait de me brûler souvent. Elle avait ajouté avant de quitter la chambre.

- tu as gagné de garder un peu plus le thermomètre, on recommence le décompte à partir de maintenant.

Huguette était redescendue au salon, elle avait remis le martinet à son crochet, elle était sûr de ne pas avoir à s’en resservir ce soir, sur l’écran de son ordinateur la webcam affichait les larges fesses de Sylvie, elles étaient d’un beau rouge profond sur toute leur surface.

Décidément ce rôle de fesseuse lui plaisait de plus en plus, elle songea à Caroline, cette petite était une coquine et elle avait un beau derrière bien rebondi, elle trouverait bien le moyen de la déculotter et de lui rougir les fesses. Son esprit pervers se tourna ensuite  vers son autre voisine, Pauline qui avait une trentaine d’année, elle était petite et un peu ronde, Huguette se rendit compte qu’elle n’avait jamais regardé son anatomie postérieure mais vu sa morphologie, elle devait avoir un fessier ‘’confortable’’.

C’était sûr dans quelques jours elle aurait d’autres paires  de fesses à sa disposition.

Le téléphone de Sylvie vibra, c’était un message de Virginie sa fille qui lui annonçait sa visite dans quinze jours. Huguette eut un petit sourire comment la jeune femme de 40 ans allait prendre la nouvelle condition de sa mère. Elle décida de la prévenir un peu avant.

 

Une heure de pénitence avec un thermomètre bien enfoncé entre ses fesses je peux vous dire que c’est très long, je m’étais presque assoupie quand Huguette vint me le retirer.

- bien j’espère que la journée de demain sera meilleure pour tes fesses. Tu vas bien dormir, ma maman disait toujours ça quand j’allais au lit après une fessée.

Effectivement la prévision d’Huguette était exacte, je me réveillai reposée, mes fesses étaient encore légèrement sensibles et rosées. Huguette m’embrassa et comme à son habitude elle me déculotta pour vérifier l’état de mon postérieur.

- voilà une bien jolie paire de fesses, il ne tient qu’à toi qu’elles restent blanches.

Dès que je fus douchée je dus me remettre à ma punition, Huguette avait veillé à ce que ma culotte soit baissée et que mes fesses nues reposent sur la paille rugueuse de la chaise. Il me restait 6 dictées à copier j’en avais pour un moment.

La matinée fut remarquablement calme pour mon derrière et je pus déjeuner en ayant remonter ma culotte sur des fesses toujours intactes.

Comme vous pouvez vous en douter Daisy n’avait pas l’intention de me laisser repartir de chez elle sans m’avoir copieusement rougi les fesses. Elle le fit avec toute la rigueur d’une ancienne professeure. Quand Huguette revint me chercher je sanglotais dans mon coin les fesses écarlates et la culotte entortillée autour des chevilles.



 Huguette était entrée dans la pièce principale ou Daisy donnait ses cours particuliers à notre pauvre Sylvie. Son derrière  bien rouge exposé dans le coin de la pièce était ravissant. La sévère maman n’en attendait pas moins de l’anglaise en vacances. Elle jugea qu’il était bon pour elle de lui montrer ses capacités. Certes Sylvie avait vraiment des fesses très rouges, signe d’une sévère déculottée mais son large derrière pouvait supporter largement plus d’une fessée.

Elle prit son ton le plus sévère.

- et bien ! Tu as encore été punie ! Qu’as donc fait cette chipie ?

Daisy souriait, ravie. Elle adorait la façon qu’avait Huguette de traiter Sylvie comme si elle était une adolescente désobéissante. Elle eu vite fait de mettre au courant la sévère maman des difficultés à inculquer à Sylvie les principes de la langue anglaise, elle conclu en riant.

- et vous savez comme disait une de mes institutrices, si ça ne rentre pas par les oreilles, ça doit mieux rentrer par les fesses.

Huguette trouva la phrase particulièrement à propos.

- c’est vrai et je crois que je vais appliquer ce précepte immédiatement, si vous le permettez bien sûr.

Daisy en souriant, montra du doigt le derrière écarlate de Sylvie.

- mais ma chère, vous avez tout les droits, les fesses de Sylvie vous appartiennent, elles sont à votre disposition, elles sont déjà chaudes et bien préparées pour la suite.

Huguette s’approcha de sa grande fille et lui saisi l’oreille.

- viens un peu ici ma belle.

 

Cette manie de me prendre par l’oreille comme si j’étais une gamine était très humiliante mais je me gardais bien de protester. Daisy m’avait déjà gratifiée d’une magistrale fessée déculottée couchée sur ses genoux et la tawse avait cinglé mes rondeurs douze fois. J’étais gênée par ma culotte enroulée autour de mes chevilles, Huguette se baissa et me la retira complètement. Puis un instant plus tard j’étais à nouveau dans la position préférée des mamans pour administrer la fessée éducative, allongée en travers des cuisses d’Huguette, les fesses à sa disposition.

 

Huguette avait disposé Sylvie de façon parfaite, sa tête était prêt du sol, ses pieds légèrement décollés et son derrière bien exposé et à portée de sa main. Que Sylvie soit une dame d’âge mûr ne changeait rien à la détermination de ses éducatrices. Pour les deux dames qui s’occupaient de son éducation, le seul moyen qui vaille était l’administration régulière d’une bonne fessée sur un derrière préalablement déculotté.

La nouvelle maman de Sylvie avait ouvert son sac à main, elle en sortit sa brosse à cheveux et tapota les fesses avec le dos en bois. Elle regardait Daisy en souriant.

- maintenant que cette chipie a les fesses bien chaudes je pense que ma brosse va être efficace, son bon gros derrière va danser.

Puis elle s’adressa à Sylvie.

- alors comme ça tu refuses de faire les efforts nécessaire ? et bien tant pis pour toi, comme la nature t’a pourvue d’une bonne paire de fesses, maman Huguette va se charger de te rappeler qu’il faut écouter les grandes personnes.

Elle leva la brosse et commença la correction. Les fesses de la pauvre Sylvie étaient déjà endolories par les précédentes fessées, elle se mit immédiatement à crier et à se débattre sur les genoux de sa fesseuse, malgré son âge, elle se comportait comme une adolescente punie par sa mère, elle battait l’air avec ses pieds, elle pleurait et suppliait Huguette.



- non, non, aïe, non, non maman arrête, aïe, aïe, Noon ça brûle, aïe ça fait trop mal arrêtes maman...

Huguette n’avait cure des supplications de sa grande fille, elle continuait consciencieusement à claquer la croupe étalée devant ses yeux, elle la tenait fermement par la taille seul le bas du corps pouvait bouger et Sylvie ne s’en privait pas, elle offrait à Daisy et à sa maman une magnifique danse des  fesses.

- oh non ma grande, je ne vais pas m’arrêter je pense même que je vais continuer longtemps, tes bonnes grosses fesses ne comprennent que la fessée et bien je vais leur en donner, je te garantis que tu vas avoir du mal à t’asseoir jusqu’à demain.

La magistrale fessée continuait au milieu des cris et des pleurs de Sylvie. Daisy était impressionnée par la sévérité d’Huguette. Au cours de sa carrière il lui était arrivé d’assister à des punitions magistrales et elle même avait souvent corrigé des derrières de façon très sévère mais la couleur des fesses de Sylvie et les battements désespérés de ses pieds traduisaient vraiment une punition exemplaire.

Maintenant les gigotements de Sylvie avait cessé elle était étalée pantelante et en pleurs sur les genoux de sa nouvelle maman, la brosse avait fait son oeuvre, Sylvie aurait vraiment mal aux fesses toute la soirée et  certainement le lendemain.

 

Cette fessée allait certainement rester dans les annales, jamais je n’avais reçu une telle correction. Ma punition était finie, mais mes fesses étaient brûlantes et Huguette ne semblait pas vouloir me faire relever, j’exposais donc toujours mon fessier écarlate, en tournant la tête je pouvais m’apercevoir dans cette position humiliante, j’aperçus ma maman qui ouvrait son sac à main et en extirpait son thermomètre favori. Oh non pas encore ça.

Mais si, je sentis les doigts experts d’Huguette qui écartaient mes deux fesses. Je voyais le sourire coquin de Daisy, elle devait avoir une vue parfaite sur mon derrière écarlate et sur ma raie fessière largement ouverte.

Je détestais toujours autant ce complément de punition qu’Huguette appréciait tellement, l’embout froid du thermomètre était maintenant posé au centre de mes fesses, il pénétrait doucement, je me concentrais pour ne pas serrer mes fesses, je savais qu’elle n’attendait qu’une occasion pour me claquer à nouveau le derrière.

 

Huguette n’avait pas pu résister au plaisir de mettre le thermomètre dans les bonnes grosses fesses écarlates de sa grande fille. Daisy était un peu jalouse, elle aurait bien aimé administrer ce petit complément de punition à cette dame d’âge mûre qui avait de si belles fesses. Elle osa en faire la demande à Huguette.

Celle-ci, ravie de pouvoir infliger une petite humiliation supplémentaire à sa grande fille, retira le thermomètre.

- ma chère Daisy, je ne vais pas vous priver de ce petit plaisir.

Une petite tape sur les fesse brûlantes de Sylvie, il lui fallait se relever.

- allez ma petite chérie tu vas aller sur les genoux de Daisy, c’est elle qui va s’occuper de toi.

 

J’étais résignée, mes deux éducatrices avaient décidé de s’amuser avec moi et je n’avais certainement pas intérêt à protester, je m’allongeai donc docilement en travers des cuisses de la sévère anglaise. Elle me tapota à nouveau les fesses.

- vous les avez parfaitement rougi ma chère Huguette, je n’aurais pas fait mieux. Il faut que vous me donniez des conseils pour la prise de température. Pour la fessée, je n’ai pas de problème mais pour mettre un thermomètre en place, j’avoue que c’est la première fois.

Les entendre discuter de ma prochaine punition au dessus de mon derrière bien présenté était très humiliant mais que pouvais-je faire. J’essayais de ne pas trop serrer les fesses.

 

Huguette tendit le thermomètre à sa nouvelle amie.

- oh ce n’est pas très compliqué surtout si la dame se laisse faire et ne serre pas les fesses. Mais je crois qu’il n’y a pas de risque avec notre petite Sylvie. N’est-ce-pas que tu vas être mignonne ma chérie ?

 

En disant ces mots, elle avait claqué mon derrière écarlate, je savais qu’il valait mieux répondre.

- oui maman.

 Je sentais les doigts de Daisy écarter mes fesses, j’imaginais bien la vue qu’elle avait, ma raie grande ouverte et ma petite rondelle exposée à la vue de mes deux éducatrices.

 

Huguette donnait ses instructions à Daisy,

- voilà c’est très bien, vous maintenez les fesses bien écartées, vous posez le thermomètre sur son petit trou et vous l’enfoncez fermement. Ne vous souciez pas de ses gémissements, le passage est déjà fait et madame fait souvent du cinéma.

Daisy avait suivi les instructions d’Huguette et le thermomètre pénétrait doucement.

- allez-y, pour que la dame le sente bien et qu’il ne ressorte pas il faut l’enfoncer très profondément. Voilà c’est bien, encore un peu.



Sylvie gémissait doucement, Huguette s’approcha et lui administra deux bonnes claques sur les fesses.

- cesse ces gamineries ! à moins que tu ne veuilles une nouvelle fessée.

La dame redevenue une adolescente punie cessa immédiatement ses gémissements, son derrière était suffisamment cuisant comme ça. Daisy tapotait négligemment la croupe brûlante.

- elle a vraiment un derrière bien mignon. Et vous lui laissez donc le thermomètre assez longtemps si j’ai bien compris ?

- oui, oui, je trouve que c’est un bon complément de punition, ça remplace le passage au coin. Enfin si je n’ai pas le temps de la garder sur mes genoux, soit madame va au coin le nez au mur, soit je l’installe sur l’accoudoir du canapé avec le thermomètre dans les fesses.

Daisy faisait tourner le thermomètre.

- alors ma petite Sylvie, j’espère que tu vas faire des efforts demain, sinon tu sais ce qui va t’arriver. Ta maman va m’indiquer où trouver un thermomètre.

 

Cette pénitence me parut interminable, Huguette et Daisy discutait comme deux vieilles amies et semblait ne plus se soucier de moi.

L’annonce de l’achat par ma professeure d’un thermomètre annonçait d’autres séances humiliantes, la suite me prouva que je ne m’étais pas trompée. Cependant j'allais faire de remarquable progrès en anglais. 

Je fus soumise à ce traitement humiliant et cuisant pendant tout le temps où Daisy fut en vacances. 

Fessée matin après midi et soir était mon quotidien avec bien sûr les traditionnelles pénitences avec le thermomètre enfoncé profondément dans mes fesses bien rouges.


À suivre...

mardi 29 août 2023

fessée d'été

Pour vous faire patienter

Un petit roman photo d'été avec des images d'archives récupérées ici et là.

Mes deux fesseuse attitrées s'en donne à coeur joie sur mon derrière mais également sur celui de cette petite coquine de Juliette



Allez ma petite Sylvie tu vas nous montrer ta jolie petite culotte blanche.

Regardez moi ça comme elle est mignonne.




Et maintenant, une bonne petite fessée d'échauffement pour ton bon gros derrière avant la vraie bonne fessée déculottée de maman.







La fessée d'échauffement de Sylvie est terminée, elle va attendre un moment la suite de sa punition en continuant de nous montrer sa jolie petite culotte.


Les fesses sont déjà bien rouges et bien chaudes sous cette mignonne petite culotte. 



Mel ne pratique pas toujours comme ça. La fessée d'échauffement sur la culotte est quelque fois remplacée par une mise au coin fesses à l'air.






 

Bon maintenant on va passer aux choses sérieuses, on baisse la culotte pour voir les jolies fesses déjà rouges de Sylvie.






Et voilà, prête pour la bonne fessée déculottée de Mel






Une bonne fessée déculottée voilà ce qu'il faut aux dames quelque soit leur âge.
Mel adore voir sa petite Sylvie gigoter pendant la fessée.





Pendant ce temps dans la chambre Caroline s'occupe de Juliette.



Cette petite va finir par comprendre qu'il vaut mieux obéir à Caroline. Tout le monde sait qu'elle à la main leste.


Puis ensuite



Un petit tour au coin pour faire refroidir les fesses bien rouges de Mlle.



Ensuite ce sera la fessée commune pour les deux chipies.


C'est terrible pour les punies car Mel et Caroline rivalisent pour savoir qui rougit le mieux les derrières.



Maintenant tu files dans ta chambre et vite.





Mais demain matin....

J'aurai droit à ma leçon au réveil.

Mel adore me gronder quand je suis cul nu



Et ensuite....




La fessée déculottée matinale pour bien commencer la journée.


Pour Juliette, Caroline préfère la fessée déculottée dans la chambre au saut du lit.




C'est tout aussi efficace.


Je vais me dépêcher d'écrire un nouveau récit car je sens que Mel s'impatiente




dimanche 20 août 2023

Lucie et Christian 2

 Deuxième partie du traitement



 Sylvie les avaient remis au coin pour exposer leurs derrières bien rouges, les deux jupes coincées dans la ceinture dégageaient parfaitement la surface qui avait été corrigée. 

Après 15' de pénitence, il était temps de commencer à la deuxième partie du traitement, elle les fit venir face à elle, ils n'avaient pas osé retirer leurs mains de la tête, Sylvie esquissa un sourire. Elle avait maintenant devant elle deux punies très dociles, elle prit une feuille sur le bureau

- donc mon petit Christian, tu rêves de sodomiser Lucie ?

Christian rougit violemment, c'était une chose d'écrire ses fantasmes mais c'en était une autre qu'une personne les exposent sur la place publique. Lucie avait poussé un petit "oh" de surprise. Sylvie se mit à rire.

- et oui ma petite Lucie, monsieur aimerait visiter ton petit trou.... Mais ne crains rien je suis là pour régler ce problème et tu sais que ça peut être très agréable surtout quand on a une paire de fesses bien rouges.

Lucie regarda Christian, un peu surprise de la tournure des événements. Sylvie continuait.

- pour que cette expérience se passe bien  il faut un petit apprentissage. Oui ma petite chérie, il faut que je m'occupe de ton petit trou....

Puis elle se tourna vers Christian.

- quant à toi ma  petite chérie, il faut que tu connaisse cette expérience en même temps que Lucie, tu dois être au courant de ce que ressent ta petite Lucie.

Christian avait  blêmi, il avait peur d'avoir compris. Sylvie se mit à rire à nouveau.

- ne fait pas cette tête, tu vas toi aussi goûter au joie d'une petite exploration postérieure, si tu vois ce que je veux dire.

- oh non madame, s'il vous plaît, non...

- comment non ? Tu crois que tu es en mesure de décider quelques choses avec tes mains sur la tête et ton petit derrière tout rouge.! Viens ici !



Christian s'approcha, Sylvie le fit pivoter, le coinça sous son bras et lui administra une rapide mais sévère fessée. Le monsieur en jupette se mit à crier et à trépigner sur place.  Sylvie souriait en administrant la fessée, elle regardait Lucie qui semblait apprécier de voir Christian puni à son tour pour une petite rébellion. Elle relâcha enfin Christian qui remis immédiatement ses mains sur sa tête.

- voilà, c’est bien tu deviens obéissante ma petite chérie.

Elle prenait plaisir à traiter ce monsieur comme une vilaine fille.

- bien nous allons commencer, vous allez avoir droit au même traitement et ensemble, Chloé va m’aider.

Les deux punis se regardèrent, certes la jeune secrétaire avait déjà pu admirer leurs fesses bien rouges mais de là à ce qu’elle participe, c’était une petite humiliation supplémentaire. Sylvie se rendit compte de leur trouble.

- mes petits chéris, la présence de Chloé fait partie du traitement, pour vous ramener à un peu plus d’humilité, ça va vous faire le plus grand bien et puis vous savez elle en voit tout les jours des paires de fesses comme les vôtres.

Chloé entra dans le bureau, elle tenait à la main quelque chose qu’ils ne purent identifier, Sylvie avait placé une chaise en face de celle qui avait servi pour les fessées, elle invita Chloé à s’y asseoir et fit signe à Christian tandis qu’elle s’asseyait sur l’autre.

- Christian tu vas voir Chloé, c’est elle qui va s’occuper de toi, Lucie approche !

Rouges jusqu’aux oreilles ils s’approchèrent chacun des chaises où étaient assises, souriante Chloé et Sylvie. Christian baissait les yeux pour ne pas croiser le regard de la jeune femme. Dès qu’il fut à sa portée elle lui prit la main et l’attira contre sa cuisse puis elle le força à se coucher en travers de ses genoux. Il commençait à connaître la position, il était prêt pour recevoir à nouveau une bonne fessée, mais maintenant sa fesseuse avait la moitié de son âge. Elle lui tapota gentiment les fesses encore très rouges qui étaient contractées par l’angoisse

- détendez vous mademoiselle, pour le moment je ne vais pas vous donner la fessée sauf si vous m’y forcer.

Elle aussi elle féminisait Christian en lui parlant comme si il était une jeune fille. De son côté, Sylvie avait mis Lucie dans la même position.

- bien mes petits chéris, votre petit trou est encore vierge, il va falloir qu’il s’habitue à être visité. On va commencer par quelque chose que vous connaissez et qui va vous rajeunir, on va vous prendre la température comme quand vous étiez petit. Et oui, un thermomètre dans vos petites fesses. Vous allez vous laissez faire et être bien sage car comme l’a dit Chloé vous êtes en parfaite position pour la fessée cul nu si vous nous y forcez.

Chloé avait écarté avec deux doigts les fesses serrées de Christian, elle lui claqua sèchement la fesse droite puis la gauche.

- je vous ai dit de vous détendre ma petite, desserrer moi ces fesses immédiatement !!

- aïe, aïe, oui, oui pardon Mlle.

Maintenant la petite rondelle brune était bien visible au milieu du derrière cramoisi. Chloé souriait, elle adorait ce travail et si de temps en temps sa patronne lui administrait une bonne fessée déculottée pour corriger quelques bêtises, ce n’était rien à côté du plaisir qu’elle avait à tenir sur ses genoux des messieurs ou des dames beaucoup plus âgés qu’elle et d’être autorisée à leur donner la fessée déculottée comme si ils étaient des enfants désobéissants. Le derrière bien rouge de Christian était très mignon et à son goût, elle était sûr qu'il aurait droit à une petite fessée bientôt. Sylvie avait fait de même avec les fesses de Lucie, elle était rouge de honte de sentir ses fesses largement écartées et les doigts de la thérapeute qui explorait son intimité. Sylvie regarda Chloé.

- allez ma petite, mets le thermomètre à Christian, je sens que son petit derrière l'attend avec impatience.

La jeune femme n'attendait que ça, elle écarta à nouveau les deux fesses et posa l'embout du thermomètre sur l'anus du monsieur, il gémit en le sentant pénétrer doucement. Il était mort de honte mais la menace de la fessée l'empêchait de résister. Chloé n'était pas satisfaite, elle fit ressortir le thermomètre et le rentra à nouveau rapidement, Christian surpris contracta légèrement ses fesses, c'est ce qu'elle attendait.

- décidément tu n'as pas compris !

Elle ressorti le thermomètre le posa et leva la main, la fessée retentit dans la pièce avec les cris de Christian, ses fesses étaient déjà brûlantes et la petite fessée que lui administrait la jeune femme était très douloureuse.



- non, non, aïe aïe aïe, non, non, pardon mademoiselle aïe aïe aïe.

C'était un petit garçon puni qui pleurait, couché sur les genoux de sa baby-sitter.

- bien, tu vas être sage maintenant ?

- oui mademoiselle, oui...aïe aïe.

Chloé cessa la fessée et repris le thermomètre, les fesses encore plus rouges furent à nouveau écartées et le thermomètre pénétra profondément. Christian gémissait et pleurnichait mais il se laissa faire. La jeune secrétaire continuait à enfoncer le thermomètre profondément, elle n'arrêta que quand il eut presque disparu entre les fesses bien rouges. Quand elle relâcha les deux fesses, seul un petit bout de verre dépassait.

Pendant ce temps Lucie était toujours couchée sur les genoux de Sylvie lui exposant sa jolie paire de fesses bien rouges, Sylvie lui caressait les fesses négligemment, ses doigts s'insinuaient entre ses cuisses.

- dis donc ma petite chérie, ça te fait de l'effet les fessées de tatie Sylvie. A moins que ce ne soit de voir le thermomètre dans les fesses de Christian.

Les deux fesseuses étaient assises face à face si bien qu’en tournant la tête les deux punis pouvaient très bien voir les fesses de l’autre. Sylvie pris à son tour le thermomètre et écarta largement les fesses de Lucie, elle se laissait faire, la sévère fessée au martinet qu’elle avait reçue tout à l’heure lui brûlait encore les fesses, elle ne voulait pas donner à Sylvie l’occasion de sévir à nouveau. L’instrument médical était maintenant bien en place, Sylvie relâcha les fesses et contempla le spectacle très excitant de ces deux derrières bien rouges avec un thermomètre dépassant des deux fesses serrées. Elle s’adressa à sa secrétaire.

- bien Chloé, il est temps que ce petit trou se décontracte un peu, comme d’habitude tu fais sortir et rentrer dix fois de suite le thermomètre. Et ne t’avise pas de serrer les fesses mon petit Christian.

La jeune femme en souriant retira le thermomètre et brusquement le réintroduisit dans l’anus de Christian qui se mit à gémir puis à pleurer, plus de honte que de douleur d’ailleurs car le passage était maintenant fait et le thermomètre coulissait parfaitement.

Sylvie tapota les fesses de Lucie et bougea un peu le thermomètre.

- à nous ma petite Lucie, toi aussi tu vas avoir droit à ce petit exercice et tu vas compter, ne te trompe pas sinon je recommence à zéro.



La pauvre Lucie morte de honte se mit à compter chaque fois que le thermomètre sortait de ses fesses pour y rentrer aussitôt, elle ne put s’empêcher au bout de quelques aller et retour de serrer ses fesses. Sylvie rentra bien profondément l’engin punitif.

- qu’est ce que j’ai dit ? décidément vous ne comprenez que la fessée ! et bien tant pis pour toi !

Elle prit sur la table une petite raquette en cuir de la taille de la fesse de Lucie et administra au fessier enflammé une vingtaine de claques qui firent danser les jolies fesses de la dame couchée sur ses genoux.

Recevoir une fessée avec un thermomètre bien enfoncé était nouveau pour Lucie et malgré la cuisson et la douleur, elle senti une chaleur envahir son vagin. Quand la fessée fut terminée, Sylvie lui annonça qu’elle pouvait recommencer le décompte à zéro et le thermomètre repris son va et vient dans le fondement de la jeune femme.

Chloé avait fini avec Christian et elle regardait le spectacle offert par la pauvre Lucie qui pleurait abondement mais n’arrêtait pas de compter, elle avait posé négligemment sa main sur les fesses de son puni et elle faisait de temps en temps tourner le thermomètre se réjouissant des gémissements de celui-ci.

Quand ce fut fini Lucie et Christian restèrent couché sur les genoux de leurs fesseuses respectives pendant encore 5 minutes, les fesses bien présentées. Enfin Sylvie donna le signal pour retirer les thermomètres et ils purent se relever.

- alors mes petits chéris que dites vous de cette expérience ?

Les deux avaient les joues aussi rouges que leurs fesses, ils ne répondirent rien.

- bien passons à la suite, vous savez qu’un membre masculin est quand même beaucoup plus gros qu’un thermomètre, nous allons donc passer à l’étape suivante. Regardez un peu ce que je vous ai préparé.

Elle montra sur la table deux jolis plugs, l’un était rose et l’autre bleu, ils étaient de taille moyenne mais étaient quand même un peu impressionnant pour les deux punis.

- vous voyez, un bleu pour Christian et un rose pour toi ma petite Lucie. Allez en position, vous vous mettez à genoux sur le canapé et vous vous penchez pour bien présenter vos jolies petites fesses.

Lucie et Christian étaient impressionnés et inquiet mais les fessées reçues ne les incitaient pas à protester, ils se dirigèrent vers le canapé et s’agenouillèrent côte à côte. Les deux fessiers écarlates étaient parfaitement présentés. Sylvie fit un petit signe à sa secrétaire.

-  ma petite Chloé je vais vous laissez les fesses de Lucie et moi je vais m’occuper du vilain derrière de Christian.

Chloé passait vraiment une bonne journée, elle prit le plug rose sur le bureau et s’approcha de Lucie, celle-ci sentit à nouveau ses fesses s’écarter sous les doigts de la jeune femme, elle savait que son petit trou était maintenant bien exposé aux regards de Sylvie et de Chloé. Elle sentit le plug appuyer sur sa rondelle, elle poussa un petit gémissement.

- oh non, Mlle ... s’il vous plaît.

Sylvie se mit à rire.

- cesse ces enfantillages, je sais que ton petit cul ne demande que ça. Peut-être qu’il te faut encore une petite fessée ?

- non, non madame pas la fessée, non, s’il vous plaît oui mettez moi le plug.

- et bien nous y voilà. Chloé tu vois que notre petite Lucie n’attends que ça, occupe toi de lui garnir son petit cul.

Chloé se mit à rire, c’était vraiment très excitant ces deux paires de fesses bien rouges tendues vers elle.

- c’est vrai madame que ces fesses sont vraiment bien présentées.

Elle écarta à nouveau les fesses de Lucie et posa le plug sur le petit trou déjà légèrement dilaté par le thermomètre, puis elle poussa légèrement afin de le faire pénétrer, Lucie se mit à gémir mais elle ne bougeait pas et surtout instruite par la magistrale fessée avec la tapette en cuir, elle ne serrait pas ses fesses, Chloé était excitée de sodomiser même avec un plug cette dame si soumise. Maintenant le plug était en place, la rondelle rose était collée au fond de la raie fessière



Chloé relâcha les fesses, sa petite culotte était humide. Lucie était surprise car maintenant que son petit cul était bien garni comme disait Sylvie, elle sentait une certaine jouissance envahir son vagin. Sylvie s’approcha et lui  tapota les fesses.

- c’est parfait, tes jolies petites fesses sont encore plus mignonne comme ça. Bien à nous mon petit Christian.

Elle avait pris le plug bleu et Christian subit le même traitement que sa femme, il était humilié de devoir présenter son derrière ainsi mais comme Lucie, ses fesses brûlantes l’empêchait de se rebeller contre cette pénétration.



- et voilà, tu vois que ce n’est pas  si terrible que ça de se prendre un petit gode dans les fesses mon petit chéri. Vous êtes tout les deux vraiment très mignon comme ça.

Chloé pris bien sûr une photo des deux fessiers pluggés.

- bien vous pouvez vous relever et remettre vos culottes. Vous allez garder ces plugs pendant deux heures. Ensuite nous passerons à la dernière expérience.

Le couple se regarda, ils étaient vraiment surpris par ce que leurs faisait vivre Sylvie, leurs derrières bien rouges et cuisant sous leurs culottes les rappelait à leur condition de gamine punie, mais le plug qui garnissait maintenant leur petit trou était excitant malgré l'humiliation de la mise en place, les fesses tendues en arrière.

Chloé les installa dans un petit salon et leur dit en agitant son doigt.

- et maintenant soyez sage, sinon Chloé fera panpan cucul.

Elle les laissa là, ils avaient un peu de mal à tenir assis en raison de la cuisson de leur fessier mais également à cause du plug. Sur la table il y avait des magazines traitant de la fessée bien sûr, illustrés de nombreuses photos qui leurs rappelaient ce qu'ils venaient de vivre. Des dames et des messieurs couchés sur les genoux de maîtresses sévères, la culotte baissée et les fesses bien rouges.

Au bout d'une heure et demie, Chloé vint les chercher. Elle les conduisit à nouveau dans la salle d'attente.

- madame Sylvie est en train de finir une prestation et ensuite c'est à vous.

Le bruit des claques sur la peau nue ne laissait guère de doute sur la nature de la prestation en question. Quelques minutes plus tard une dame âgée d'une soixantaine d'années sortit du bureau accompagnée de Sylvie mais chose surprenante, celle-ci tenait sa patiente par l'oreille comme une mauvaise élève. Elle s'adressa à Chloé.

 - vous mettez madame au petit salon, au coin fesses à l'air.

La dame était écarlate, comme devait certainement l'être ses fesses, elle baissa les yeux pour ne pas croiser le regard du couple qui attendait. Chloé prit le relais de Sylvie en saisissant également l'oreille de la dame et elle ouvrit la porte du petit salon, qu'elle ne prit pas la peine de fermer. Sylvie regarda en souriant le jeune couple.

- vous voyez que vous n'êtes pas les seuls à bénéficier d'une petite mise au point. Attendez moi là 5 minutes, j'arrive.

Ils purent donc assister à l'humiliation de Martine Duroux, Chloé lui avait claqué les fesses par dessus sa jupe.

- vous connaissez la position maintenant, oui, c'est ça, le nez bien collé contre le mur, mettez vos mains sur la tête !

Elle avait retroussé la jupe de la punie et l'avait coincée dans la ceinture, sa culotte était déjà baissée sous ses fesses qui étaient vraiment très rouges.



- voilà, c'est parfait, vos jolies fesses sont bien exposées. Ne bougez pas, sinon gare!

Christian et Lucie était content de cette petite compensation à leur après midi cuisante. Sylvie les appela.

- bon pour la dernière expérience il faut des fesses bien rouges et bien chaudes, je pense que les vôtres ont du refroidir. Qui veut passer en premier sur mes genoux ?

Aucun des deux ne bougea, Sylvie fronça les sourcils.

- puisque c'est ça, la fessée sera doublée, à toi Christian, vient un peu ici.

Le monsieur, habillé en jeune fille s'approcha en rougissant, même si ce n'était pas,  loin de là, sa première fessée, c'était toujours un peu humiliant d'être appelé par une dame sévère en sachant qu'elle allait vous déculotter. Dès qu'il fut à sa portée, Sylvie lui prit la main et le força à basculer en travers de ses genoux, très rapidement sa culotte se retrouva à mi-cuisses et la fessée pétarada dans le bureau, Christian se mit immédiatement à crier, ses fesses étaient encore endolories des multiples fessées reçues depuis le début de la séance, mais Sylvie ne se lassait pas de faire rougir les fessiers à sa disposition, après une centaine de claques généreusement distribuées sur les fesses tendues elle prit la brosse à cheveux.

- bien, tu viens de recevoir la fessée prévue, maintenant tu vas recevoir celle que tu mérites pour ne pas être venu spontanément te coucher sur mes genoux.

La brosse à cheveux c'est beaucoup plus douloureux que la main, Christian se mit à hurler. Lucie regardait son mari se débattre sur les genoux de Sylvie, elle était très inquiète pour ses fesses. La rondelle du plug bleu enfoncé dans le derrière de Christian était bien visible car celui-ci battait des jambes et ouvrait largement ses fesses. Sylvie le relâcha, ses fesses étaient rouge brique.

- file au coin, tu tiens ta jupe retroussée et tu mets ton nez contre le mur, vite!!



Elle fit un signe du doigt à Lucie.

- à nous deux ma petite chérie, viens ici.

Lucie connu le même sort que Christian, elle gigotait sur les genoux de sa fesseuse, ses fesses se serraient puis s'ouvraient largement, le plug rose était bien en place, la main sévère de Sylvie puis la brosse à cheveux claquèrent avec vigueur sa croupe, elle pleurait et criait mais la fessée déculottée alla à son terme. Sylvie préférait fesser les dames, donc malheureusement pour elle, la pauvre Lucie eu droit à un petit supplément.

- bien, voilà une paire de fesses bien rouges, mais comme tu as refusé de venir gentiment te coucher sur mes genoux, je vais continuer un peu pour que tu ne recommence plus.

Elle se mit à claquer l'arrière des cuisses, cette zone si sensible à la limite des fesses, les cris de les pleurs de Lucie redoublèrent. Quand les cuisses furent de la couleur des fesses, Sylvie la fit  se relever. Lucie trépignait sur place, ses mains auraient voulu frotter ses fesses mais elle savait que c'était impossible. Sylvie fit venir Christian.

- c'est bien vos derrières sont maintenant prêt, tenez vos jupes retroussées.

Elle appela Chloé, celle-ci entra dans le bureau, elle tenait une sorte de ceinture en cuir à la main.

- bien, nous allons passer à la dernière phase. Christian tu voulais donc prendre Lucie par derrière n'est ce pas ?

Christian baissa les yeux et  acquiesça, Lucie fit un petit "oh".

- et bien avant de le faire, il faut que tu y goûte mon petit chéri...

Christian se mit à gémir.

- oh non madame,  non.

- pardon ?? Tu veux revenir sur mes genoux ??

Christian cessa immédiatement ses supplications.

- quant à toi Lucie tu dois y goûter aussi mais sous mon contrôle pour que tout se passe bien.

Elle se tourna vers Chloé.

- allez ma petite Chloé, prépare toi.

La jeune femme, dégrafa sa jupe, elle portait une mignonne petite culotte en dentelle.

- tu peux garder ta culotte ma chérie.

Lucie et Christian regardait interloqué la jeune secrétaire. Celle-ci prit le gode ceinture et le mit autour de sa taille, Sylvie l'aida à le fermer par derrière, il était doté d'un gode de taille moyenne qui pointait fièrement vers l'avant.

- c'est Chloé qui va se charger de votre initiation mes petits chéris, je vais surveiller tout ça.

Le jeune couple était sidéré par le spectacle de Chloé en petite culotte blanche harnachée avec ce gode ceinture. C'était excitant et inquiétant à la fois. Sylvie claqua dans ses mains.

- on va commencer par Christian,  allez en position, tu te mets à genoux sur le canapé et tu tends bien tes jolies fesses.

Christian se mit à pleurer.

- oh non madame, s'il vous plaît, je ne veux pas....

Sylvie fronça à nouveau les sourcils.

- tu commences à m'agacer, Chloé s'il te plaît  corrige moi cette chipie.

Chloé ne se le fit pas dire deux fois, elle s'approcha de Christian, le courba sous son bras et lui administra une rapide mais sévère fessée qui le fit trépigner sur place.

Lucie était fascinée par le spectacle de cette jeune femme en culotte tenant son mari courbé comme un gamin en train de claquer son derrière. Chloé lui tournait le dos et elle appréciait ses fesses moulées dans la petite culotte en dentelle qui laissait deviner une croupe généreuse. Elle grondait Christian tout en le fessant.



- bon tu vas être sage maintenant ? Ou faut-il que je continue ?

Christian hoquetait, ses fesses n'étaient plus qu'une boule de feu.

- oui, oui Mlle, oui, plus la fessée, s'il vous plaît.

Elle le relâcha.

- en position !!

Christian s'agenouilla sagement sur le canapé et se pencha pour tendre son derrière écarlate. Sylvie s'approcha, elle retroussa bien haut sur les reins la jupe et retira la culotte enroulée autour de ses chevilles. Puis elle se plaça devant lui et lui caressa la tête.

- te voilà prêt mon petit chéri, tu vas voir, tout va bien se passer, c'est encore mieux avec les fesses bien rouges et bien chaudes.

Chloé s'approcha, elle écarta les fesses et retira le plug, la petite rondelle brune était bien visible au milieu des deux tomates bien mûres du fessier de Christian. Elle plaça le gode et doucement s'enfonça dans Christian. Il se mit à gémir mais il ne bougea pas, le bassin de Chloé était maintenant collé à ses fesses, elle fit des va et vient et rapidement malgré ou peut-être à cause de la brûlure de son derrière, il se mit à jouir, ces cris se mêlaient a ses pleurs de honte d'être ainsi défloré en public.

Lucie tenait toujours sa jupe retroussée, le spectacle était vraiment excitant, elle savait que ça allait être bientôt son tour. Être prise par derrière  elle y avait quelque fois songé mais l'être par la jolie Chloé était encore plus excitant.

La jeune femme s'était retirée maintenant laissant Christian exposer ses fesses bien rouges, grande ouverte. Il ne pensait pas au spectacle qu'il offrait aux trois dames. Il était partagé entre plusieurs sensations, la jouissance qu'il avait ressenti, la honte d'être pris ainsi et la brûlure qui envahissait ses fesses. Sylvie le fit se relever.

- c'est bien, tu as été très sage, maintenant tu sais ce que ressentira Lucie quand tu la prendras par derrière. Tu tiens ta jupe retroussée, tes fesses sont vraiment mignonnes. Tu vas pouvoir regarder Lucie.

Celle-ci était rouge de honte, elle n'avait pas imaginé que sa première expérience se ferait en public, mais elle n'avait pas envie de se retrouver sous le bras de Chloé pour une autre fessée. Elle s'agenouilla sur le canapé et fit bien ressortir ses belles fesses bien rouges. Sylvie lui retira complètement sa culotte. Chloé s'approcha, le moment était arrivé, elle ferma les yeux. Elle sentit le plug sortir de son derrière et immédiatement le gode le remplacer, la petite douleur de la pénétration fit place immédiatement à une jouissance intense, le bassin de Chloé allait et venait contre ses fesses brûlantes



La jeune secrétaire semblait également y prendre plaisir car elle fit durer la sodomisation plus longtemps. Sylvie y mit un terme.

- c'est bien Chloé, je crois que ça suffit.

La jeune femme se retira en rougissant. Puis elle enleva le gode ceinture, remis sa jupe et retourna au secrétariat.

Sylvie les autorisa à se reculotter et le fit asseoir. Elle était derrière son bureau souriante.

- j'espère que cette séance sera bénéfique pour tout les deux. Toi Lucie pour améliorer ton caractère et toi Christian pour faire cesser tes mauvaises habitudes. Tu as vu ce que c'est qu'une vraie bonne fessée déculottée.

Le jeune couple acquiesça. Sylvie continuait.

- pour être sûr du résultat, je vais vous prescrire un petit complément. D'abord toi Christian. Tu vas porter pendant 15 jours une petite culotte de Lucie sous tes vêtements de monsieur, tous les soirs en rentrant du travail, Lucie te donnera une bonne fessée déculottée et tu resteras au coin fesses à l'air pendant une heure.

Christian était bouche bée mais instruit par les fessées reçues, il ne protesta pas. Lucie lui lançait un regard coquin et gourmand. Mais Sylvie continuait.

- quant à toi Lucie, tu viendras également pendant 15 jours passer ta pause déjeuner ici. Chloé se chargera de t'administrer une bonne fessée déculottée comme celle que tu donneras le soir à Christian et tu feras également un séjour d'une heure au coin fesses à l'air.



Le sourire de Lucie avait viré à la grimace. Sylvie n'en avait pas fini avec son programme.

- pour ce qui est du reste. Il me semble que pour l'harmonie de votre couple vous devez être sur un pied d'égalité donc un jour sur deux ce sera Lucie qui présentera ses fesses à Christian pour se faire pénétrer mais le lendemain ce sera au tour de Christian de te tendre son petit derrière. Chloé va te fournir un bon gode ceinture. Je n'ai pas besoin de vous préciser qu'avant cela une bonne fessée déculottée s'impose, c'est beaucoup mieux avec les fesses bien rouges et bien chaudes.

Elle se leva et fit une bise aux deux amants un peu surpris.

- vous avez été très bien, ça a été un plaisir de vous déculotter et de vous fesser. Vous avez tout les deux des fesses très mignonnes, je suis à votre disposition pour m'en occuper quand vous voudrez.



A suivre peut être....

 

 

 

 

 

Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...