lundi 31 juillet 2023

Le manoir des dames, la fin 3

 La rémanence



Mildred n'était pas pressée, elle avait le temps, seul deux fessées de rémanence était prévue dans le dortoir des plus âgées. Mélanie avait quatre paires de fesses à corriger chez les plus jeunes et Agathe était débordée ce soir également les quatre mamans avaient été punies dans la journée. La jeune bonne marchait dans le couloir et déjà des cris et des pleurs accompagnaient le claquement de la tapette en cuir sur la peau nue.

Dans le dortoir Adélaïde et Sylvie attendaient sagement.

Après le repas, Sylvie avait été surprise de devoir monter immédiatement dans les dortoirs. Adélaïde lui avait expliqué qu'il fallait maintenant se mettre en tenue pour la rémanence, Sylvie avait trouvé ridicule cette chemise de nuit mais elle savait qu'elle n'avait pas le choix. Sa surprise fut encore plus grande quand elle vit Christine retrousser la chemise de nuit d'Adélaïde et l'épingler dans le dos pour mettre les fesses à nu. Irène s'approcha et lui proposa son aide.

- je vais fixer ta chemise, Sylvie, c'est impossible à faire soi-même.

Sylvie demanda.

- mais pourquoi ?

Irène lui expliqua qu'il fallait que ses fesses soient bien présentées dès que la gouvernante entrerait dans le dortoir, Sylvie rougit de honte en sentant l'air sur ses fesses. Irène lui fit mettre ses mains sur la tête et lui montra son lit.

- mets toi devant ton lit et ne bouge plus en attendant miss Mildred.

Adélaïde était dans la même tenue et la même position. Bientôt les bruits d'une bonne fessée retentirent depuis le dortoir voisin. C'était très impressionnant pour Sylvie, surtout qu'elle était prête pour en recevoir une également.

Mildred se doutait de l'angoisse qui devait étreindre Sylvie, l'attente faisait également partie de la punition. Quand elle entra dans le dortoir elle sourit de plaisir devant le spectacle. Les deux beaux fessiers de ces dames matures étaient magnifiquement mis en valeur par la chemise de nuit blanche épinglée dans le dos, elle remarqua que les fesses de Sylvie étaient bien serrées.

Elle adorait donner la fessée au large fessier rebondi de la baronne mais celui de sa cousine était aussi appétissant.

Adélaïde était particulièrement soignée par la jeune bonne, il était rare qu'elle évite la rémanence, car Mildred aimait mettre à nu et rougir ses fesses quand elle jardinait. Elle trouvait presque tout les jours quelque chose à lui reprocher et Adélaïde se retrouvait le plus souvent couchée en travers de ses genoux la culotte baissée et les fesses bien rouges.

Les deux paires de fesses étaient encore striées par la fessée à la canne, celle d'Adélaïde était également encore rosée de punition d'Agathe.

Irène et Christine attendait debout devant leur lit mais elle ne présentait pas leurs fesses comme les deux plus âgées. Elle n'était pas mécontente d'assister à la fessée de leur mère qui les avaient si souvent punies et voir comment Sylvie allait réagir à cette première rémanence était aussi intéressant.

Mildred prit la tapette en cuir qui était suspendue à côté de la porte et s'assit sur la chaise à fessée.

- Adélaïde ma chérie vient me voir !

La baronne fit demi-tour et tout en gardant ses mains sur la tête s'approcha des genoux de la jeune femme. Mildred tapota ses cuisses et docilement la dame de 70 ans se coucha en travers de ses genoux. La jeune bonne était habituée à  ce cérémonial mais elle y prenait toujours autant de plaisir, avoir à sa merci le derrière rebondi de son ancienne maîtresse était vraiment agréable. Elle caressa les fesses avec la tapette en cuir.

- alors ma petite Adélaïde, on a encore été punie aujourd'hui ? Tu mérites donc cette fessée n'est ce pas ?

- oui miss Mildred.

Adélaïde savait qu'il fallait toujours répondre aux questions.

- tu vas me la demander, n'est ce pas ?

- miss Mildred pouvez-vous me donner la fessée déculottée que j'ai bien méritée.

- avec plaisir ma chérie.

Sylvie était abasourdie d'entendre la soumission de sa cousine, elle l'avait connue arrogante et autoritaire et  ce soir elle réclamait docilement à sa jeune bonne de la punir comme une gamine.

Soudain un claquement retenti dans la pièce suivi d'un cri d'Adélaïde, la fessée venait de commencer. La baronne se mit rapidement à pleurer car la rémanence sur ses fesses encore sensibles était très douloureuse. Mais c'était ainsi la fesseuse ne tenait pas compte de l'état des fesses, la punition devait aller à son terme et si la dame avait reçu plusieurs fessées dans la journée elle recevait la même punition que si ses fesses étaient redevenues blanches.

C'était la condition pour l'efficacité de la rémanence, Adélaïde allait certainement sentir la brûlure de la fessée toute la nuit. Irène et Christine se régalait du spectacle de leur mère battant des pieds et ouvrant largement ses fesses, pendant la fessée les dames oubliaient toute pudeur.

Le derrière d'Adélaïde était maintenant rouge brique, il était brûlant, la pauvre baronne sanglotait sur les genoux de Mildred qui souriait ravie de son oeuvre. Elle fit relever la punie qui bien dressée maintenant remis immédiatement ses mains sur sa tête et se replaça debout au pied de son lit. Ses fesses se serraient et se desserraient pour essayer d'atténuer la brûlure.

Sylvie était terrorisée, elle n'avait pas vu la fessée mais elle l'avait entendu, c'était aussi terrible. C'était le but recherché par Mildred, elle l'appela.

- Sylvie, vient un peu ici me montrer tes fesses.

Comme un automate la cousine d'Adélaïde se présenta devant la jeune femme, elle avait déjà les larmes aux yeux, ce qui fit sourire Mildred.

- tu pleures déjà ? Tu devrais garder tes larmes pour ta punition. Allez en position et vite !

Sylvie se dépêche d'obéir, elle était pour la deuxième fois de la journée dans  cette position humiliante, elle serra les cuisses ce qui amusa Mildred qui pensa "Tu ne vas pas les garder serrées longtemps ma petite"

En effet dès les premières claques de la tapette en cuir, Sylvie se mit à crier et à battre des pieds comme Adélaïde. 



La brûlure était intense bien supérieure à celle d'une fessée à la main, Sylvie pleurait vraiment maintenant, elle avait l'impression que cette fessée ne finirait jamais. Quand enfin elle put se relever, ses mains se dirigèrent immédiatement vers son derrière brûlant, la tapette claqua sur ses mains.

- c'est interdit Sylvie !!! Mets tes mains sur la tête vite !!! Devant ton lit !!!

Elle contempla un instant le spectacle offert par ces deux dames matures sanglotant et serrant convulsivement leurs fesses bien rouges. Elle s'adressa à  Irène et Christine.

- au lit maintenant !

Puis elle s'approcha d'Adélaïde et enleva les pinces, la chemise de nuit retomba, elle lui prit la main et la conduisit au lit tout en caressant ses fesses par dessus la chemise de nuit.

- voilà c'est fini ma petite chérie, miss Mildred est contente de toi, tu dors sur le dos et tu ne frottes pas tes fesses.

Ensuite elle embrassa Adélaïde sur le front.

Elle se dirigea vers Sylvie qui sanglotait toujours, elle caressa les fesses brûlantes.

- arrête de pleurer ma petite chérie, tu avais mérité cette fessée, maintenant c'est fini, j'espère que tu te comporteras bien demain et que Miss Agathe qui sera responsable du dortoir demain soir n’aura pas besoin de te donner une nouvelle fessée au coucher 

Elle remit la chemise de nuit en place et accompagna également Sylvie jusqu'à son lit. Celle-ci fit une grimace quand ses fesses touchèrent le matelas.

- c'est bien de sentir tes fesses, tu vas bien réfléchir cette nuit, je te rappelle que tu dois dormir sur le dos et ne pas frotter ton derrière.

Elle raccrocha la tapette en cuir à côté de la porte, puis sorti après avoir éteint la lumière.

Dans les dortoirs voisins les fessées n'étaient pas terminées, les pleurs et les claquements sur les fesses nues se faisait encore entendre.



C'était encore une bonne soirée au château, Mildred se dirigea vers la cuisine.

Elle entra dans la cuisine, elle se sentait complètement satisfaite et attendait déjà avec impatience les deux autres. C'était toujours aussi agréable de parler des événements de la journée en buvant un verre de vin avec les collègues.

Elle n'avait jamais pensé être promue éducatrice ici au château. L'offre de la nouvelle gouvernante de l'aider avait été une surprise totale. Mais elle avait tout de suite accepté, tout comme sa collègue, la cuisinière.

Bien que la cuisine ne soit pas son domaine, elle posa trois verres à vin sur la table, sortit une bouteille de vin du réfrigérateur et chercha le tire-bouchon.

Lorsqu'elle l'eut enfin trouvé, Mélanie et Agathe arrivèrent, elle tendit le tire-bouchon à cette dernière puis s’adressant à la jeune gouvernante

- oh Mélanie, c'est une si belle idée de ta part la rémanence. C'est toujours un tel plaisir en fin de journée, et c’est si agréable de savoir que maintenant là-haut dans le dortoir, des fesses brillent et que certaines aimeraient tellement calmer la brûlure, mais n'osent pas parce que nous l'avons interdit.

Il y eu un « pop » et Agathe ajouta

- toutes, y compris celles qui n'étaient pas sur la liste aujourd'hui, ont sans doute résolues d'être extrêmement sérieuses et bien sages demain, vous avez vu comment les fesses de celles qui attendent se contractent systématiquement lorsque la tapette touche le derrière de celle qui est couchée sur tes genoux.

Elle rempli les verres, puis elles trinquèrent.

La gouvernante sirotait son verre en riant

- mais elles savent bien que tout le monde ne pourra pas atteindre cet objectif.

Elle soupira avec un faux air de regret.

- ce ne serait pas si terrible si un soir nous n'entendions aucun claquements dans les dortoirs. 

- oh non ce serait  horrible !

Agathe sourit et Mildred acquiesça

- c’est sûr que ce serait grave si un soir nous n'avions rien à faire dans un dortoir.

Mélanie devint songeuse.

- peut-être... peut-être devrions-nous établir une règle à ce sujet, juste au cas où cela arriverait. Ce serait peut-être un peu injuste, mais nous pourrions stipuler que dans chaque dortoir, au moins un derrière doit être fessé chaque soir!

- oui, mais comment peut-on déterminer celle dont le pauvre petit derrière va sentir la tapette ?

Agathe secouait légèrement la tête.

- oh, je sais!

Mildred leva un index. Ses yeux brillaient.

- d'abord, on pourrait le justifier par ce qu'Agathe vient de décrire, à savoir l'effet pédagogique des claques retentissantes. Ce qui vient des autres dortoirs n'est pas suffisamment fort pour cela.

- oui, mais comment allons-nous sélectionner la paire de fesses à rougir ?

Agathe trépignait presque. 

- patience... patience, Agathe,

Mildred se mit à rire et continua,

- c'est très simple. Nous demandons si l'une d'elle  se porte volontaire pour recevoir la fessée. Si c'est le cas, la volontaire reçoit une douzaine de claques avec la tapette. S'il n'y en a pas, alors on tire au sort et celle qui est désignée reçoit deux douzaines de coups !

- ouah!

Mélanie posa son verre et applaudit.

- génial, Mildred ! Je pense que ce sera très excitant de voir comment ces dames décideront. Mais je pense que nous devrions en avoir deux à fesser pour le dortoir des six filles. Un seul serait injuste par rapport aux deux dortoirs de quatre lits. Deux, ce n'est pas vraiment juste non plus. Mais je pense que ces jeunes derrières peuvent facilement le supporter et même largement plus.

Elles trouvèrent cette règle bien pensée et il fut décidé de l'annoncer au petit déjeuner du lendemain matin.

Agathe se mit à rire. 

- peut-être entendrons-nous des grognements, voir des plaintes ou des objections ! Du coup quelques noms seront noté sur la liste après une bonne déculottée et la règle ne pourra probablement pas être utilisée demain soir !

- ce n'est pas grave.

Répondit Mélanie.

- un jour on aura ce plaisir, et puis un petit concert de clap, clap au petit déjeuner c'est pas mal non plus !



Elle souriait en pensant à toutes ces paires de fesses bien rouges.

Elles sont enfin allées se coucher, toutes très contente de leur soirée , tandis que dans les dortoirs, certaines avaient encore les mains crispées sur leur couverture pour éviter la tentation de se frotter les fesses brûlantes. 

En particulier dans le dortoir des filles, on pouvait entendre des paroles de réconfort mais également des remontrances de la part de celles qui n'avaient pas eu à se coucher sur les genoux de miss Mélanie.

La pauvre Camille sanglotait désespérément

- ça fait si mal ! Si seulement je pouvais frotter mes fesses.

La plus chanceuse d'aujourd'hui, Lola, lui a murmuré.

- Camille, je suis vraiment désolée, mais tu dois être courageuse. Sinon, nous devrons le signaler, tu le sais !

Et l'autre fille aux fesses blanches ajouta avec reproche

- j'espère que tu es consciente que nous allons toutes être punies si nous ne le signalons pas. Et tu ne t'attendrais sûrement pas à ça de notre part, n'est-ce pas ?

Camille sanglota bruyamment et ses mains se serrèrent encore plus sur sa couverture. 

- non... non ! Bien sûr que je ne vais pas frotter. Je suis désolée. Pardon, pardon. Je vais le supporter ! Sincèrement, je suis désolée de vous avoir fait peur mes chéries.

Puis le silence se fit. Seule Camille resta éveillée plus longtemps et eut honte de son comportement. Elle savait très bien que lorsqu'elles se réveilleraient demain matin, on leur demanderaient s'il y avait eu des frottements ou si d'autres règles avaient été enfreintes.

Et le mensonge était considéré comme un délit très grave et était généralement puni de la canne. Elle ne pouvait donc pas s'attendre à ce que ses cousines prennent ce risque pour elle. Et elle les signalerait bien sûr elle aussi, si c'était le cas.

Mais son pauvre derrière la brûlait toujours terriblement. Surtout parce qu'elle devait rester allongée sur le dos.

Demain, elle ne voudrait en aucun cas se retrouver sur la liste. Elle le souhaitait ardemment.

Bien sûr, elle n'était pas encore  au courant de la nouvelle règle qui stipulait que au cas où aucune d'entre elles ne se retrouverait sur la liste, il y aurait quand même des fesses bien rouges. Elle ne pouvait pas encore se demander si elle offrirait ses fesses dans un tel cas ou si elle risquerait les 24 coups.

Enfin toute la maison s'endormit. Sylvie était aussi restée longtemps éveillée en pensant à sa première journée au château.

De sérieux doutes s'étaient levés dans son esprit quant à savoir si une vie dans la misère sans risquer de recevoir des châtiments corporels presque journaliers n'était pas préférable à cette vie ici. Et dans son esprit l'idée d'évasion apparut mais très vaguement.

Elle écarta l'idée de demander à être autorisée à quitter le château. Elle avait trop peur que cela soit considéré comme inapproprié et que son pauvre derrière souffre à nouveau et en plus elle serait à nouveau sur la liste des punies du coucher. 

Elle recommença à pleurer, comme ça avait été humiliant d'être couchée sur les genoux de Mildred, à son âge et par quelqu'un qui aurait put être sa petite-fille. Et elle n'avait pas été en mesure de conserver une once de sa dignité, comme une gamine, elle avait pleuré, sangloté, supplié et promis d'être gentille. Et elle avait donné des coups de pied, tortillé ses fesses de façon ridicule sous les coups de la maudite tapette. Finalement elle cessa de pleurer et s'endormit.

Quand elle s'est réveillée le lendemain matin, la première chose qu'elle a entendue fut des claquements sonores et des gémissements. Depuis hier de tels bruits lui étaient presque familiers.

Mademoiselle Agathe, responsable du dortoir pour les personnes les plus âgées ce jour-là, avait ouvert les rideaux et bruyamment avait crié en frappant dans ses mains.

- bonjour mes chéries. Levez-vous !

Les bruits de fessées ne venaient pas de ce dortoir, mais probablement de l'un des autres. Et comme c'était une voix jeune , Sylvie devina que c'était le dortoir des jeunes filles.

Elle se demanda qui avait donné l'occasion d'une fessée juste après avoir été réveillée. Mais ce n'était en aucun cas rassurant d'entendre quelque chose comme ça en ce moment. Elle sentit ses propres fesses se serrer à chaque claque. Elles se souvenaient clairement trop bien de la rémanence du soir, et immédiatement les souvenirs de celle-ci lui revinrent à l'esprit.

Miss Agathe interrompit sa réflexion avec une question taquine.

- laquelle de vous mes mignonnes aura la gentillesse de m'offrir ses fesses pour une petite rémanence ce soir ? Peut-être encore nos deux aînées ?

Et bien que les cousines sachent très bien que la question était une plaisanterie, elles répondirent  d'une seule voix et à leur grand embarras, qu'elles n'en donneraient aucune raison et qu'elles seraient très sages toute la journée.

Puis Miss Agathe posa la question obligatoire mais toujours sur le ton de la plaisanterie

- et vous mes deux petites colombes avez-vous frotté vos jolies fesses hier soir ?

Immédiatement, elles ont juré qu'elles ne l'avaient pas fait.

- c'est vrai Mademoiselle Agathe

 a ajouté Sylvie, au bord des larmes.

- est-ce exact?

 Miss Agathe interrogeait les deux filles avec une sévérité feinte. Elles ont confirmé et ont ajouté timidement que oui, ce n'était pas un mensonge !

Mademoiselle Agathe riait, amusée de ces réponses empressées et un peu puériles

- eh bien, je veux bien vous croire !

Elles se sont toutes sentie obligée de dire "merci" pour tant de confiance.

Ce n'est qu'après avoir pris une douche dans la salle de bain du dortoir et s'être habillée, qu'une fois dans la salle à manger, elles virent le nom de Camille en premier sur la liste.

Et à droite, on pouvait voir ses yeux déjà rouges et humides. Aux questions chuchotées sur la raison pour laquelle elle avait de nouveau été fessée, elle a répondu qu'elle n'avait pas pu s'empêcher de poser ses mains sur ses fesses douloureuses dans la nuit. Et ses cousines  l'avaient remarqué et avaient dut évidemment le signaler.

Bien sûr, Sylvie était désolée pour la jeune fille, mais en même temps elle était contente de ne pas avoir succombé à la tentation de se frotter les fesses douloureuses. Elle était sûre que les deux plus jeunes de son dortoir l'auraient également dénoncée.

Elle prit la ferme résolution de ne pas figurer sur la liste aujourd'hui. Et elle espérait qu'au moins ses trois camarades seraient capables de faire de même.

Ce fut alors que la gouvernante annonça la nouvelle règle qu'elles avaient décidée la veille en buvant du vin dans la cuisine.

Sylvie se rendit compte qu'il n'y avait aucun espoir d'une soirée sans rémanence. Au moins l'une des quatre sentirait la tapette. Il n'y avait aucun moyen de contourner cela, Sylvie pensa.

- mais je ne veux pas ça, c'est trop injuste.

Il n'a fallu que trois jours pour que la nouvelle règle soit appliquée pour la première fois. Aucune des quatre du dortoir des petites-filles ne figurait sur la liste.

La gouvernante était responsable de leur dortoir ce jour-là. Isabelle, Virginie, Sophie et Élodie étaient déjà en tenue de nuit et les yeux baissés. Personne ne voulait se rendre volontaire pour recevoir la tapette. Miss Mélanie leur expliqua encore la règle, mais personne ne répondit. On tira donc au sort et ce fut Virginie qui n'eu pas de chance.

Elle reçeu 24 coups de tapette en cuir et les trois autres se sentirent extrêmement coupables. Surtout que miss Mélanie utilisait la tapette avec maestria. Au final, les fesses et les cuisses de Virginie étaient d'un beau rouge vif et la dame de 35 ans pleurait et criait sous la cuisson des claques..



Quand elles furent toutes au lit et que Miss Mélanie eut éteint la lumière et quitté le dortoir, la pauvre Virginie mit longtemps à se calmer, les trois autres pleuraient aussi, se sentant tellement coupables.

Et c'est la raison pour laquelle, elles ont décidé de ne pas moucharder le lendemain matin, même si elles ont toutes remarqué que Virginie se retournait sur le ventre et se frottait sauvagement les fesses.

Le lendemain, Mildred était responsable de ce dortoir. Et bien sûr elle leur a demandé s'il y avait eu des frottements.

Toutes se mordaient les lèvres. Ne voulant rien dire.

Bien sûr, Mildred sut immédiatement que Virginie s'était frottée et elle était aussi sûre que ses camarades étaient au courant. Elle regarda Virginie, lui ordonna de la regarder et lui demanda maintenant directement si elle s'était frottée.

Bien sûr, la pauvre ne supporta cette pression et elle avoua.

- bien,  

Puis Miss Mildred, se tourna vers les autres,

- et qui ne l'a pas remarqué?

Les trois durent admettre en larmes qu’effectivement elle l'avaient vu.

Ce matin là Sylvie entendit autre chose

Au début, tout semblait normal, puis elle entendit la tapette entrer en action suivi de quelques sanglots. C’était sûr, on avait frotté illégalement et il fallait maintenant payer pour cela. C’était tellement évident que ça ne valait pas vraiment la peine d'être mentionné.

Mais peu de temps après l'arrêt des claquements, un cri strident se fit entendre. Et puis un autre et un autre.

- oh, la canne ! elle reçoit la canne.

 fit Adélaïde surprise.

Bien sûr, personne ne savait qui c'était, parce que personne ne savait qui avait été choisi pour la rémanence ce soir-là. Il n'y avait personne du dortoir sur la liste.

Mais lorsque la punition à la canne fut terminée et que les cris se furent transformés en pleurs, de nouveaux cris se sont bientôt joints aux sanglots.

- oh, mais elles ont toutes la canne ! 

dit Adélaïde horrifiée. Elle se sentait vraiment désolée pour ses petites-filles.

Seule Irène fit durement

- et bien, elles n’avaient qu’à pas mentir.

Sylvie trouva cela assez cruel, mais n'en dit rien.

Lorsqu'elles furent ensuite emmenées déjeuner par Mlle Mélanie et passèrent devant la porte ouverte du dortoir des petites-filles, la troisième fessée à la canne venait de se terminer et elles pouvaient encore jeter un coup d'œil au derrière qui venait d'être canné. C'était celui bien rond mais ferme d'Isabelle.



Après le petit-déjeuner, les petites-filles durent faire une présentation détaillée des événements et également parler de la nouvelle règle et de ce qui arrivait en cas de mensonge le matin.

Et toutes les dames et les filles se sont donné pour objectif de toujours signaler les frottements à partir de maintenant. Ou mieux encore, de ne plus jamais frotter ses fesses, aussi dur que cela puisse être.

Cependant, les arrière-petites-filles ont convenu secrètement qu'au cas où l'application de la règle se présenterait pour elles, elles décideraient par tirage au sort à l'avance qui devrait se porter volontaire. Parce que cela ne signifierait qu'une douzaine de claques. Et donc l'envie de se frotter ne serait pas aussi forte qu'elle l'avait été avec Virginie.


À suivre. 

 

 

samedi 29 juillet 2023

Le manoir des dames, la fin 2

 Sylvie découvre le travail



Dès qu'elle furent dehors, Sylvie reçu un choc supplémentaire. La première chose qu'elle vit fut trois derrières nus, deux petits, bien fermes et un potelé. Tout les trois étaient couverts de zébrures rouges foncées. Les filles étaient agenouillées dans le potager et arrachaient les mauvaises herbes. Le short vert que Sylvie avait remarqué sur les autres dames qui s'occupaient du jardin était baissé à mi cuisses. Elle compris vite ce qui avait causé les zébrures sur leurs fesses, une jeune femme vêtue d'une salopette beige était assise sur un banc, elle tenait une canne longue et fine à la main. C'était Miss Mildred ! Sylvie en était sûre. Cette même Miss Mildred sur les genoux de laquelle elle allait passer un moment cuisant ce soir.

Cette pensée fit rougir Sylvie quand Adélaïde la conduisit vers elle. Elle ne parvint pas à regarder en face la contremaîtresse du jardin qui la contemplait avec un regard curieux et amical. Adélaïde, s'en apercevant, siffla.

- ici, on regarde toujours toujours  ceux à qui on parle, Sylvie. Où sont tes manières ?

Mildred éclata de rire.

- ne sois pas si stricte avec ta cousine, Adélaïde ! C'est tout nouveau pour elle, elle a le droit d'être un peu timide.

Puis elle se tourna vers Sylvie.

- bienvenue Sylvie. Ravie que tu nous aies trouvées, tu nous aideras donc dans le jardin. J'ai des instructions de Miss Mélanie.

Sylvie n'osait plus éviter son regard, surtout que la cordialité du discours l'avait un peu rassurée.

 - merci et bonjour, Miss Mildred. Oui, je suis contente d'avoir trouvé un logement. Et j'adore jardiner, quand j'avais encore ma maison, je passais beaucoup de temps dans le jardin. Je n'ai jamais eu un jardinier ou qui que ce soit, j'ai toujours tout fait moi-même !

- elle souriait maintenant et il y avait même une certaine fierté dans ses paroles !

Mildred était ravie.

- ah, c'est bien. Alors peut-être qu'à l'avenir je n'aurai plus toujours à diriger et à superviser ici, mais je pourrai aussi m'occuper d'autres choses. A l'occasion, tu pourrais me remplacer. Penses tu que tu pourras également te servir de cela?

 Mildred avait ri en faisant siffler la canne dans l'air, puis elle consulta sa montre,

- il nous reste une heure avant le repas, allez vous mettre en tenue, j'ai besoin de voir comment Sylvie travaille avant de lui confier la supervision du jardin.

Adélaïde entraîna Sylvie vers le cabanon où se trouvait le vestiaire. C'était là que tout les matins elles se changeaient, quittant leurs jupes d'uniformes et leurs chemisiers pour enfiler ce petit short vert très court et un tee-shirt.

Sylvie fut à nouveau surprise par cette tenue qui moulait si bien les fesses d'Adélaïde. Elle remarqua les traces rouges en haut des cuisses.

- mais Adélaïde, c'est quoi ces traces ?

La baronne rougit légèrement, elle avait été cannée hier matin par Mildred et effectivement elle en ressentait encore les effets.

- et bien ma chérie, tu as vu la canne que tenait miss Mildred ? Je t'assure qu'elle sait très bien s'en servir. Dépêche toi de mettre ton short si tu ne veux pas qu'on y goûte ce matin.

Sylvie commençait à s'habituer aux menaces de punition elle enfila rapidement son short et constata que ses larges fesses le remplissait également très bien, elle essaya de le tirer vers le bas pour dissimuler le pli séparant ses fesses de ses cuisses, mais c'était impossible. Adélaïde se mit à rire.

- tu as vraiment une bonne paire de fesses ma chérie, je pense que nos gouvernantes vont se régaler.

Elle poussa Sylvie devant elle et elles arrivèrent au jardin. Adélaïde avait vu juste, Mildred fronça les sourcils.

- vous en avez mis du temps ! Tenez mettez vous à genoux, les fesses bien en l'air, Adélaïde tu connais la position montre la à ta cousine.


Adélaïde fit une petite grimace mais elle obéit.

- mets toi comme moi ma chérie et dépêche toi.

Elle s'agenouilla et mit sa tête sur ses bras posé contre le sol. De cette façon ses fesses pointaient vers le ciel, le short bien tendu laissait voir la base des fesses. Sylvie l'avait regardé prendre cette honteuse position, elle jeta un oeil vers Mildred, son regard sévère l'incita à obéir, elle prit la même position que Adélaïde. Elle sentit le tissu du short et sa culotte rentrer dans sa raie fessière, elle avait l'impression que ses fesses étaient entièrement visible. Ce n'était bien sûr pas le cas mais Mildred se régalait du spectacle offert par les deux septuagénaires. Elles avaient toutes les deux des fesses bien rebondies et larges qui semblaient vouloir sortir du short. Elle souriait.

- quatre coups, pour toi Adélaïde, c'est pour ton retard, deux coups pour Sylvie, elle n'était pas au courant mais il faut qu'elle goûte à la canne pour savoir ce qui l'attend si elle est paresseuse. Je suis gentille je vous laisse le short.

Ce n'était pas vraiment un cadeau car de toute façon, elle allait viser la partie mise à nu par la position. Elle se plaça à côté d'Adélaïde et leva la canne, la baronne cria, le premier coup avait claqué sur son short sur la partie la plus charnue de ses fesses, c'était un échauffement, le deuxième atteignit les cuisses, les deux derniers cinglèrent la base des fesses dénudées. Adélaïde hurla sous la brûlure, la punition avait été très rapide, Mildred avait appliqué les quatre coups sans s'arrêter. Sylvie était affolée, ses fesses étaient serrées sous sa culotte. Mildred avait changé de côté, elle tapota les fesses tendues avec la canne.

- tu es prête ma petite Sylvie ? Adélaïde a été très courageuse, j'espère que tu vas l'être également.

Elle leva la canne et visa le haut des cuisses. Sylvie hurla et se releva en portant ses mains à se cuisses.

- Aie, non, non, ça fait trop mal !

Mildred fronça les sourcils.

- reprend la position immédiatement !

La voix sévère de la jeune femme surpris Sylvie qui reposa ses mains et mis sa tête dessus.

- gare à toi si tu recommences !

Elle visa la base des fesses, Sylvie ne put se retenir, elle se releva à nouveau. Mildred gronda.

- tu étais prévenue, tu vas être vraiment punie.

Elle se tourna vers le jardin, trois des jeunes filles avaient été fessées et exposaient leurs fesses nues bien rougies par la canne, seule restait Marion avec son short sur ses fesses, elle l’appela.

- Marion, viens ici. Tu vas tenir Sylvie, c’est la première fois qu’elle reçoit la canne, elle a du mal à ne pas bouger. Sylvie remets toi en position, vite !!

Sylvie pleurait mais elle obéit. La jeune Marion s’approcha et s’agenouilla devant elle pour lui maintenir les bras. Sylvie se mit à gémir.

- non, non, pardon Miss Mildred, plus la fessée, s’il vous plaît.

Mildred gronda,

- tais toi, Sylvie ! tu étais prévenue, tu as mérité ta punition, arrête de pleurnicher !

Sylvie continua à gémir, ce qui énerva fortement Mildred.

- si tu continues, tu seras fessée à midi avant le repas devant tout le monde et tu passeras le repas au coin fesses à l’air !

Cette menace eu le don de faire taire la pauvre Sylvie qui se mit à pleurer doucement, elle n’était pas au bout de son humiliation car Mildred s’approcha d’elle et introduisit ses doigts dans la ceinture du short puis brusquement elle le descendit avec la culotte jusqu’à mi-cuisse. Sylvie sentant l’air sur ses fesses se rendit compte qu’elle exposait en public et en plein air ses larges fesses qu’elle ne montrait jusqu’ici à personne, elle poussa un petit cri de désespoir.

- oh, non, pardon Miss Mildred, s’il vous plaît ....

La jeune femme souriait, ravie de découvrir une nouvelle paire de fesses à punir.

- je t’avais prévenue ma petite Sylvie, tu devais juste recevoir deux coups de canne pour te la faire connaître, mais comme tu as désobéi tu vas être réellement punie. Comme c’est ta première punition à la canne ce sera juste quatre coups sur ton joli derrière.

Elle se plaça de côté, les cuisses de Sylvie était ornée de deux lignes rouges parallèles, l’une juste sous les fesses et l’autre un peu plus bas, elle décida de cingler les bonnes grosses fesses bien rebondie de Sylvie. La canne siffla dans l’air et traça une belle ligne rouge au milieu des fesses, Sylvie hurla et essaya de se relever mais Marion la tenait fermement, elle n’eut pas le temps de se ressaisir que déjà le deuxième coup traçait une autre ligne sous la première. 



Comme pour Adélaïde, Mildred administra les quatre coups rapidement, Sylvie pleurait et ses pieds frappaient le sol mais elle ne put échapper à sa première fessée publique à la canne. Désormais ses fesses encore colorées par la fessée de Mélanie étaient ornée de quatre lignes très rouges sur leur partie la plus rebondie et de deux autres en haut des cuisses. Pendant la punition de sa cousine, Adélaïde était restée sagement agenouillée, les fesses serrées dans son petit short, bien tendues vers le ciel et les cuisses ornées de jolies traces rouges.

Mildred les fit relever toutes les deux, Sylvie pleurait, elle voulu porter ses mains à ses fesses mais Mildred siffla.

- il est interdit de frotter ses fesses quand on vient de recevoir la fessée !



Sylvie mit ses bras le long du corps, sa culotte et son petit short était enroulé autour de ses genoux. Mildred resta fidèle à ses habitudes, après une fessée on travaillait fesses nues. Elle fit enlever son short à Sylvie et remonta la culotte juste sous ses fesses.

- te voilà prête à me montrer ce que tu sais faire ma petite Sylvie, tu vas désherber ce carré de potager. Si c’est bien fait nous verrons demain si je te charge de surveiller tes camarades.

Sylvie malgré sa honte d’être fesses nues en public se mit à travailler, elle voulait démontrer à Mildred qu’elle savait jardiner, de temps en temps la jeune femme passait derrière elle et lui caressait le derrière avec la canne en bambou, Sylvie serrait immédiatement ses fesses par crainte d’une nouvelle correction, ce qui faisait sourire Mildred.

- je vois que l’application de la canne sur tes jolies fesses te stimule ma petite Sylvie, tu peux desserrer tes fesses, quand on travaille bien on est pas punie.  

Mildred était très sévère, elle avait pris goût à se rôle de gouvernante adjointe, chaque jour plusieurs derrière étaient mis à nu pour une fessée à la canne ou même à la main. Elle aimait donner la fessée à ces dames plus âgées qu’elle, les coucher sur ses genoux et les déculotter comme si elle étaient de simples gamines. Elle avait déjà administré la canne à trois derrières juvéniles avant l’arrivée de Sylvie, celle-ci était maintenant également fesses à l’air.

La matinée était finie, Mildred passa dans le potager pour contrôler le travail, elle félicita Sylvie pour la qualité du désherbage, par contre Virginie fut grondée comme une petite fille, Mildred l’avait prise par l’oreille et l’avait entraînée jusqu’au banc, elle s’était assise et avait basculée la dame de 35 ans en travers de ses genoux et d’un geste rapide avait baissé le short et la culotte jusqu’aux genoux.

Puis calmement elle avait levé la main et administré aux très belles fesses bien larges de Virginie une magistrale fessée, elles étaient passée rapidement du blanc laiteux au rouge flamboyant. Virginie avait des fesses faite pour recevoir la fessée traditionnelle et ce n’était sans doute pas un hasard si elle était si souvent déculottée par Mildred mais également par Mélanie qui avait un attrait pour les jolis derrières bien joufflus. 



Tout le monde avait fini de travailler et regardait donc avec attention la maman recevoir sa fessée cul nu. Marion était maintenant habituée à voir sa mère dans cette position humiliante les fesses nues bien rouges et les jambes battant l’air au rythme de la fessée.

Quand la punition fut finie tout le monde se mit en rang pour regagner le vestiaire et remettre son uniforme. C’était assez curieux de voir ces dames plus où moins jeune se tenant par la main, y compris celles qui était fesses nues et bien rouges.

Bien sur comme il se doit les punies allèrent noter leur nom sur le tableau, Mildred indiqua à Sylvie qu'elle n'avait pas à réécrire le sien, car la rémanence était administrée à celle qui avaient été punies dans la journée, peu importait la fréquence. Sylvie compris qu’elle ferait malgré tout un séjour sur les genoux de cette jeune femme ce soir. Par contre la cousine de Sylvie dut y mettre son nom, ce qui signifiait que Sylvie ne serait pas la seule  à être punie au coucher dans le dortoir des plus âgées.

Ensuite elles sont allées à la cuisine pour que Sylvie se présente à la troisième personne de l'équipe des gouvernantes. Sur le chemin en marchant le long d'un couloir, Sylvie s'est frotté les fesses plusieurs fois. Adélaïde l'a prévenue.

- ma chérie, il est strictement interdit de frotter ses fesses. Tu ferais mieux de me donner la main, sinon, je serai obligée de te dénoncer !

- oh pardon!

Sylvie tendit rapidement la main à sa cousine et rougit.

- s'il vous plaît, ne me dénonce pas, je serai encore punie ! 

Adélaïde  se mit à rire,

- et bien, je vais être gentille pour cette fois !

Sylvie rougit encore plus violemment et murmura

- merci, Adélaïde !

Les bruits impressionnants qu'elle entendit lui firent serrer encore plus fort la main d'Adélaïde. Des cris de douleur retentissaient et s'intensifièrent alors qu'elles s'approchaient de la porte de la cuisine.

-  est-ce qu'on doit vraiment y aller, Adélaïde ? Je crois que j'ai trop peur de ça !

Adélaïde riait de nouveau.

- tu entendras des choses comme ça tous les jours ici. Tu ne peux vraiment aller nulle part où tu ne l'entendras pas!

En même temps, elle ouvrit la porte, les cris sont devenus beaucoup plus forts et en plus on pouvait entendre de claquements réguliers et quelqu'un qui était grondée.

- oui, ma petite Lola ! Celle qui pense qu'elle peut poser des questions se retrouve sur mon genou. C'est comme ça avec votre chère Miss Agathe, en position et tu ne demande pas pourquoi. Je n'ai aucune obligation de justifier la fessée, tu comprends ? 

Après être entrés dans la cuisine, elles virent aussi le spectacle. Une jolie petite jeune femme donnait des coups de pied et gigotait couchée sur la cuisse d'une grande femme d’une quarantaine d’année puissamment bâtie. Elle avait posé son pied sur un petit tabouret et elle laissait retomber une grosse cuillère en bois de cuisine avec une cruelle régularité sur le petit derrière bien ferme et désormais rouge écarlate.

Les coups de pied et les tortillements n’y faisaient rien, la grande femme avait son bras gauche enroulé autour de la taille fine de la jeune femme, lui enlevant toute chance de s'échapper.

- oui, oui, oui, Miss Agathe ! Oui. Je ne demanderai plus jamais pourquoi, Miss Agathe. La prochaine fois, je le ferai tout de suite sans rien demander, Miss Agathe !

Hurlait celle qui se tortillait sur son genou.

- c'est une très bonne résolution, ma petite Lola !

La dame à la cuillère en bois, parlait assez fort pour dominer les cris, mais d'un  ton amical et cela ne signifiait pas qu'elle était distraite de sa tâche, elle n'arrêtait pas de claquer avec la cuillère en bois.



Sylvie était choquée et fascinée à la fois. Bien sûr, elle était désolée pour la jeune femme, car elle était consciente que tôt ou tard elle serait également couchée sur ce genou. Mais d'un autre côté, elle admirait la magistrale élégance avec laquelle la dame maniait la cuillère en bois. De plus, malgré la danse que la punie a exécutait, elle frappait toujours exactement là où elle avait prévu. Elle n'épargnait pas non plus le haut des cuisses.

- je suis sûr que vous le comprenez aussi, vous deux, n'est-ce pas ?

Au début, Sylvie a eu l'impression choquante que la dame lui parlait à elle et à Adélaïde. Mais, elle a rapidement pris conscience des deux autres personnes présentes dans la cuisine.

Il y en avait une dans la cinquantaine et une dans la trentaine. Et elles ont immédiatement répondu que Miss Agathe avait raison, bien sûr. Et que bien sûr elles se coucheraient toujours sur le genou de la chère Miss Agathe si celle-ci le décidait. Et qu’en aucun cas elles n'auraient le droit de savoir pourquoi Miss Agathe pensait que c'était nécessaire.

Sylvie trouva terriblement humiliant d'entendre ces deux dames en habits de cuisine parler de façon si soumises. Mais dès qu'elle a vu leurs yeux anxieux elle a immédiatement compris pourquoi elles agissaient ainsi. Un mot de travers et elles seraient les prochaines candidates pour un tour sur la cuisse de Miss Agathe, c’était sûr!

Mais évidemment la dame, que Sylvie supposait désormais être la cuisinière, voulait en savoir plus sur ses pouvoirs, en continuant de claquer avec la cuillère de bois, elle tourna la tête vers la baronne et lui demanda d'un air moqueur.

- est-ce que ça s'applique aussi à toi, Adélaïde, ma chérie ?

La bouche d'Adélaïde s'ouvrit, mais aucun mot n'en sortit. Elle regarda la cuisinière fesseuse avec de grands yeux étonnés et elle commença à bégayer,

- euh… euh… vous voulez dire, est-ce que je passerais… moi aussi... sur votre genou... si vous me le demandiez ? et sans savoir pourquoi vous pensez que c'est ... nécessaire? Je... je... je ne sais pas... je veux dire… je veux dire… !

D'une voix forte et bourrue, la cuisinière interrompit la baronne.

- et bien, ce n'est pas la réponse que je voulais entendre, mon Altesse !

Elle fronça les sourcils.

- nous allons voir, baissez votre culotte puis penchez-vous correctement vers l'avant, mains sur vos genoux et tendez bien votre joli derrière dans ma direction !

Certaine qu'Adelaïde obéirait, elle se tourna ensuite vers Sylvie.

- tu dois être la cousine d'Adélaïde !

La septuagénaire tremblait déjà.

- oui, oui, miss Agathe, je suis sa cousine. Vous avez raison en tout point, si bien sûr  vous m'ordonniez de faire une chose pareille, je sais que vous auriez de bonnes raisons pour cela et que vous n'auriez bien sûr pas à me donner d’explication, miss Agathe !

Les yeux de Sylvie étaient humides mais elle n'avait pas rougi. Elle ne réalisait même pas à quel point elle s'humiliait avec ces mots, elle ne voulait juste pas subir le même sort que sa cousine. Et ça a fonctionné.

- oh, quelle fille perspicace !

Agathe était satisfaite,  elle se retourna ensuite vers Adélaïde et vit qu'elle avait obéi sans un mot. Elle sourit de contentement et ordonna à Sylvie de bien vouloir retrousser la courte jupe de la baronne afin que ses fesses soient visibles dans toute leur splendeur.

Dès que la baronne s'était mise à bégayer, elle avait cessé de donner la fessée. Mais pendant tout ce temps, elle frottait nonchalamment les petites fesses rouges de Lola avec la cuillère en bois. Elle ajouta à l’adresse de la baronne.

- Il ne me reste plus qu'à rendre les cuisses de Lola aussi rouges que son derrière, malheureusement il va falloir que tu attendes un peu Adélaïde, quand j'en aurai fini, je pourrai m'occuper de toi !

Adélaïde sanglotait

- oui, Miss Agathe. Oui, je comprends, Miss Agathe !

Elle avait vraiment compris, à savoir qu'elle allait bientôt se retrouver couchée sur le genou de la cuisinière.

- plus que six sur tes cuisses, Lola ensuite ce sera fini, tâche de ne pas bouger, ma petite chérie !

Miss Agathe leva à nouveau la cuillère de cuisine. Lola était tellement heureuse que la fin ait été  annoncée, le pire était toujours quand on ne savait pas quand ça s'arrêterait. Néanmoins, six cris stridents résonnèrent dans la cuisine avant que ce ne soit vraiment fini. Et bien sûr, elle n'avait pas réussi à garder ses fesses et ses jambes immobiles, de toute façon Agathe ne s'y attendait pas non plus.

Sylvie avait beaucoup de peine pour sa cousine, main d'un autre côté, elle était très heureuse de ne pas être à sa place. Elle voyait comment les grosses fesses d'Adélaïde se serraient à chaque coup de la cuillère en bois. Même si elle ne savait pas si elle enfreignait une règle, elle se sentit obligée de lui tapoter les fesses pour l'encourager.  ‘ça va aller’’ voulait-elle lui signifier.

Agathe laissa la jeune fille en pleurs descendre de son genoux.  Lola voulu immédiatement aller dans le coin, comme c'était la coutume après une fessée.  Mais Agathe lui expliqua qu'elle voulait avoir un regard permanent sur ses fesses nues pour avoir un exemple de couleur et donc que Lola devait se pencher en avant pour cela, les fesses tournées vers elle.



 Puis Adélaïde a reçu l'ordre de venir sur le genou,  elle était petite et elle a eu du mal à se mettre en position et elle n'y serait toujours pas parvenue sans l'aide d'Agathe.  Puis elle s'est accrochée, couchée sur la cuisse horizontale d'Agathe, ses jambes étaient décollées du sol et de l'autre côté elle se tenait au bas de la jambe d'Agathe et au tabouret.

Elle savait que pleurnicher ou supplier ne serait d’aucun effet  sur Agathe.  La cuisinière ferait ce qu'elle avait l'intention de lui faire et elle savait aussi qu'elle donnerait un spectacle très embarrassant, avec beaucoup de cris et de battements de jambes.  C'était simplement le nouveau monde qui s'était levé après l'apparition de la nouvelle gouvernante, sous l'égide de Miss Simpson, elle était réprimandée et punie uniquement par la gouvernante et c’était  toujours dans ses appartements et jamais devant quelqu’un.

Mais maintenant, elle pouvait se retrouver sur n'importe quel genou dans le château.  N'était-ce pas  sur les genoux de cette même Lola qu’elle s'était allongée et avait gigoté lors du dernier rituel du vendredi ?  Et pour finir, la jeune femme lui avait même fait sentir l'horrible canne, tout cela était très humiliant.  Mais le pire était qu’aujourd’hui  Sylvie verrait tout.

Alors le petit discours de Miss Agathe la distrayait de ses sombres pensées, elle lui a expliqué qu'elle voulait que les larges fesses de la baronne brillent de la même rougeur que celle qui couvrait déjà les fesses de Lola. A cette annonce Christine eut le sourire aux lèvres, en tant que fille d'Adélaïde, elle avait toujours dû se coucher sur les genoux de sa mère lors des précédentes version du rituel du vendredi.  Par conséquent, elle nourrissait toujours des sentiments de vengeance envers elle, bien qu'elle sache qu'Adélaïde l'avait fait sur ordre. Surtout, elle souriait parce qu'elle savait que sa mère devrait recevoir beaucoup plus de claques pour le même rougissement car le petit derrière de Lola faisait au plus un tiers de la surface de celui de son arrière grand-mère.

Les claques ont commencé suivies bientôt de gémissements, ponctués de cris courts et stridents.  Bien sûr, Adélaïde ne pouvait pas rester immobile, et ses battements de pieds et de jambes étaient désordonnés, les larges fesses un peu molles tremblaient à chaque coup de la cuillère. De temps en temps, Miss Agathe s'arrêtait et demandait à Sylvie si les deux paires de fesses étaient de la même couleur maintenant.  À son grand regret, Sylvie devait le nier à chaque fois et  c’est ainsi que la fessée continuait.

Mais quand Sylvie réexpliqua à l'arrêt suivant, histoire de ne pas s’attirer d’ennui que le rougissement ne suffisait toujours pas, Miss Agathe la contredit.

- non, ma chérie, je pense que ses fesses sont assez rouges maintenant et je vais te dire autre chose, je vais m'abstenir de lui rougir les cuisses maintenant. Parce qu'il est temps que nous nous occupions à nouveau du repas.

Elle suggéra également à Sylvie d'emmener Adélaïde dans ses appartements afin qu'elle puisse se calmer et se détendre un peu. Puis elle permis à Lola de se relever, de se reculotter  et d’arranger ses vêtements et a dit à tout le monde de travailler rapidement pour rattraper le temps perdu.

Sylvie passa son bras autour des épaules d'Adélaïde et l'emmena hors de la cuisine au plus vite, elle était trop inquiète de devoir elle aussi se retrouver couchée sur le genou de la cuisinière.

Ce n'est que devant la porte qu'elle remonta la culotte de la baronne, qui sanglotait toujours bruyamment et lissa ensuite sa courte jupe; puis elle la conduisit dans ses appartements, cherchant des  mots de consolation en chemin.

Arrivée dans les chambres, Adélaïde se jeta aussitôt sur le lit et commença à frotter et pétrir ses fesses endolories., elle pleurait.



- je ne sais pas comment je vais supporter la rémanence ce soir, Sylvie.

Sylvie était soudain très calme et concentrée.

- as-tu une pommade analgésique ici, ma chère cousine?

Lui demanda-t-elle, presque en chuchotant

- euh... oui... comment sais-tu ça ?

La question affolait la baronne. Bien sûr, elle avait une telle pommade. Mais cachée bien sûr, car bien qu'il n'y ait pas de règle contre cela, elle savait qu'elle serait sévèrement punie si la gouvernante ou ses assistantes l'apprenaient.

- ne t'inquiète pas, ma chérie ! Je l'ai deviné. Où l'as-tu caché ? J'aimerais la passer sur tes pauvres fesses si ça ne te dérange pas. Et bien sûr ce sera notre secret !

Sylvie était un peu fière de pouvoir agir ainsi et de montrer à sa cousine son savoir faire

Bien sûr, la dame allongée sur le canapé s'en fichait. Elle a même laissé Sylvie baisser sa culotte jusqu'à ses genoux., puis elle a gémi légèrement pendant ce massage intime. Mais Sylvie l'a crémée très soigneusement, puis l'effet rafraîchissant et antidouleur de la pommade a commencé.

- dors un peu maintenant, ma douce. Je vais me reposer un peu aussi ,

Lui a dit Sylvie en refermant le tube de pommade, puis elle est allée aux toilettes pour se laver les mains.

Quand elle revint, la baronne s'était vraiment endormie, mais elle était toujours sur le ventre. Sylvie s'assit dans un fauteuil. Elle admira la rougeur qui illuminait ses fesses. "c’est quand même très mignon" pensa-t-elle en souriant."

Puis elle pensa à la rémanence à venir, au moins, elle ne serait pas seule. Peut-être qu'il y en aurait une autre sur la liste dans son dortoir d'ici la soirée, ou même les deux filles d'Adélaïde. Oui, ce serait mieux si tous les quatre étaient concernées. Elle savait que c'était un désir très égoïste, mais elle ne pouvait pas s’en empêcher.

Puis elle réfléchi au fait de savoir si entrer dans le château avait été une bonne idée. Même si il était également clair pour elle qu'il était maintenant trop tard pour une telle réflexion.  Elle faisait désormais partie de la famille et donc à la merci de la gouvernante et de ses aides comme tout le monde ici.

Ses yeux se fermèrent aussi. La brûlure sur ses fesses se transforma en une chaleur plutôt agréable qui la berça.

 

Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...