samedi 23 avril 2022

L'institut chapitre 20

L'éducation  de monsieur. 



Hervé était arrivé un peu penaud à la maison, il tenait à la main le paquet cadeau contenant les culottes à fessée, Aurèlie y avait mis également la culotte qu'il portait en arrivant et cadeau de la maison elle avait ajouté une mademoiselle Tapecul. Christine l'accueilli avec un grand sourire et une mine gourmande, elle se délectait à l'avance de la future fessée qu'elle allait administrer à son petit chéri. Elle était sévère mais juste, elle ne fessait qu'à bon escient mais elle reconnaissait bien volontiers qu'elle éprouvait un réel plaisir à déculotter et à punir son mari malgré ses 40 ans et son statut de responsable dans une banque. Elle avait découvert avec le temps le plaisir de le féminiser, la carrure fine et longiligne d'Hervé, son absence de pilosité facilitait les choses, aussi dès qu'il rentrait de son travail si elle avait quelque chose à lui reprocher, il devait revêtir une tenue de soubrette avant de recevoir une fessée déculottée. Elle avait remarqué que sa virilité n'en était pas affectée, bien au contraire. Il se montrait un excellent amant après une sévère correction. Mais très souvent Christine ne lui faisait pas ce plaisir et il finissait la soirée au coin, les mains sur la tête sans possibilité de compenser la douleur par une petite satisfaction sexuelle.

C'est pour des retards répétés sans justification professionnelle qu'elle lui avait annoncé une punition exemplaire qui avait commencé par l'achat des fameuses culottes à fessée.

Elle dégrafa le pantalon de son mari et le fit tomber sur ses pieds, sans ménagement elle le fit pivoter.

- oh mais c'est parfait, Aurèlie t'a déjà fait mettre la culotte à fessée et bien c'est parfait te voilà prêt, enlève moi ce pantalon et en piste.

Comme il en avait l'habitude, Hervé plia soigneusement son pantalon, le déposa sur une chaise et se présenta devant son épouse. Elle avait pris place sur le canapé et tapotait ses cuisses pour lui signifier l'endroit où elle le voulait, ce n'était pas une surprise pour Hervé la position lui était familière. Il se coucha docilement en travers des cuisses de Christine.

- cette jolie culotte rose te va parfaitement mon chéri, alors voyons un peu si c'est vraiment pratique.

Elle tira sur les pressions qui maintenait le fond et les fesses apparurent immédiatement, encore un peu rosées de la fessée d'Aurèlie.

- olala, mais c'est super, ah on a reçu une petite fessée, Aurèlie a fait panpan cucul ?



Hervé ne répondait pas, il était habitué aux petites humiliations de son épouse, mais il avait été mortifié d'être fessé comme un gamin par la jeune assistante, Christine lui avait déjà administré une fessée en public à l'institut lors de l'achat du martinet mais il n'avait jamais été fessé par une autre personne. Soudain la brûlure sur ses fesses lui rappela douloureusement sa condition, il était fesses à l'air sur les genoux de sa femme et celle-ci se livrait à une de ses activités favorites l'administration à son mari d'une bonne fessée déculottée. En quelques secondes Hervé était redevenu un gamin pleurant sur les genoux de sa mère ou de son institutrice, ses jambes n'étaient pas entravées par le pantalon ou la culotte donc elle pouvait battre l'air sans retenue. Christine habituée à fesser sans ménagement le maintenaient fermement par la taille. Le fessier était maintenant incandescent, en fesseuse virtuose, Christine par une simple fessée manuelle sans l'aide d'aucun instrument pouvait obtenir un résultat remarquable. Maintenant Hervé sanglotait sur ses genoux, implorant le pardon, la main allait et venait, claquant maintenant le haut des cuisses.

- ah mon petit ami, tu vas les regretter tes retards, je t'avais prévenu, oh tu peux pleurer, maman Christine n'en a pas encore fini avec tes fesses, oui ça brûle, je sais, c'est fait pour ça la fessée, encore quelques claques et ton petit derrière sera cuit à point, la… Voilà…

La fessée s'était arrêtée mais pas la brûlure qui lui envahissait tout le bas du dos. Il était habitué aux sévères corrections de son épouse, mais celle ci comptait parmi les plus intenses, la vue des fesses justes découvertes par l'absence du fond de la culotte était très suggestif et Christine émoustillée par le spectacle s'en était donnée à cœur joie. Elle glissa sa main entre les cuisses de son mari pour trouver la pression qui maintenait encore le fond de la culotte puis l'ayant trouvée elle tira sans ménagement dessus et le morceau de tissu qui habituellement masquait les fesses fut enlevé.

- maintenant tu files au coin, tes fesses sont ravissantes avec cette culotte sans fond, ils faut les exposer.

Quelques instants plus tard, le cadre bancaire n'était plus qu'un sale gosse, nez au mur, mains sur la tête exposant son derrière cuisant.

Satisfaite du résultat, elle prit son téléphone, elle jouissait du spectacle de soumission de son mari et elle savait ajouter des touches d'humiliation en faisant partager le spectacle par téléphone.

Elle commença par appeler l'institut.

- bonjour Aurèlie, je voulais vous féliciter pour vos culottes, c'est vraiment parfait, pour une fessée rapide, il n'y a rien de mieux, et puis là, une fois le fond enlevé, les fesses sont toujours à disposition, je suis vraiment ravie.

Elle appela ensuite sa mère, Irène était au courant des rapports particuliers de sa fille avec son mari, elle avait été un peu surprise au début. Bien sûr elle avait administré des fessées à Christine pendant son enfance et même jusqu'à l'adolescence mais c'était des simples fessées punitives, rapide et pas trop sévère qui ne donnait lieu à aucune mise en scène. Elle avait découvert qu'on pouvait donner la fessée pour punir mais aussi y prendre un certain plaisir et elle qui avait connu un mariage raté s'était dit que peut-être que si elle avait utilisé la fessée, son ex n'aurait pas sombré dans l'alcool.

Christine lui raconta par le menu, la punition d'Hervé et lui décrivit le spectacle qu'il offrait maintenant. Par la même occasion elle l'invita à prendre le thé, Hervé grimaça, il savait que la venue de sa belle mère signifiait à coup sûr une fessée déculottée publique.

II resta au coin pendant 1 heure puis Christine l'autorisa à se rhabiller, elle ne lui remit pas le fond de la culotte et comme c'était souvent le cas après une fessée, elle lui fit mettre une jupe pour avoir plus facilement ses fesses à disposition. Elle le regarda en souriant.

- tu es très mignon, mon petit chéri, une vraie petite soubrette, tu vas nous préparer le repas.

Hervé était habitué, à la maison il s'occupait des tâches ménagères, ça ne le gênait pas mais le problème c'est que Christine se comportait comme une maîtresse de maison du 19ème siècle, elle corrigeait sa soubrette de façon traditionnelle, à savoir la fessée déculottée.

Juste avant de passer à table elle l'appela, elle avait à la main le cadeau d'Aurèlie à savoir mademoiselle Tapecul, cette redoutable raquette en cuir de la taille d'une fesse.

- mon petit chéri, tu as bien travaillé, je vais t'offrir un apéritif.

Elle posa son pied sur un tabouret et sans ménagement elle bascula son mari sur sa cuisse horizontale, elle était sportive et Hervé n'était pas bien lourd, elle n'eut aucun problème pour le maintenir en équilibre, les pieds décollés du sol et les fesses bien tendues juste à bonne distance de sa main. Le cadeau d'Aurèlie se montra tout de suite très efficace, Hervé se mit à battre des jambes et à pleurer très rapidement sous la brûlure de l'instrument punitif



- mais c'est qu'elle claque bien cette mademoiselle Tapecul, olala tes fesses sont magnifiques mon petit ami, oui je sais ça brûle, ça fait mal, mais la prochaine fois que tu voudras être en retard tu réfléchiras.

Satisfaite du résultat, un fessier à nouveau rouge très foncé, elle cessa la punition, elle ne le relâcha pas tout de suite, le laissant dans cette position humiliante, tête plus basse que les fesses, jambes pendant dans le vide. Elle caressa les fesses brûlantes.

- ça va te chauffer un moment, tu vas penser à ta fessée pendant tout le repas.

Enfin elle libéra Hervé de son inconfortable position. La jupe retomba dissimulant le derrière écarlate. Christine se mit à rire en voyant son mari se trémousser sur sa chaise pour essayer de calmer la douleur, puis comme il ne se calmait pas.

- cesse ces simagrées, si tu continues, tu es privé de repas et je te renvoies au coin les fesses à l'air.

Cette menace qui se serait sans doute accompagné d'une fessée supplémentaire eut pour effet de calmer Hervé.

Le repas terminé, le petit mari ayant débarrassé la table, Christine lui indiqua un prie dieu qui était contre le mur.

- tu place monsieur confesse au milieu de la pièce et tu te mets en position.

Elle avait trouvé ce prie dieu dans une brocante et l'idée lui avait immédiatement traversé l'esprit, elle voyait bien son mari à genoux, déculotté, les avant bras posé sur le dossier, lui présentant ses fesses bien tendues. Elle avait mis en place une procédure à chaque fois qu'elle jugeait que son mari avait fait une bêtise, elle lui imposait une séance de confession de ses fautes fesses à l'air. Au besoin elle stimulait sa mémoire avec l'aide d'une longue règle plate en bois.

Une fois Hervé agenouillé, elle retroussa la jupe sur les reins et la coinça dans la ceinture, le fond de la culotte à fessée enlevé, il ne fut pas nécessaire de baisser la culotte, le fessier de son mari lui apparu dans toute sa splendeur rougeoyante.

- bien tu connais le principe, tu vas me raconter par le menu ta visite à l'institut ce matin et tâche de ne rien oublier, si tu as besoin d'aide ma règle est à la disposition de tes fesses.

Après quelques coups de règle bien appliqué sur les fesses tendues, Hervé livra un récit complet de son essayage de la culotte, de la fessée administrée par Aurèlie et de son séjour au coin en compagnie de Caroline.

- et bien je pense que ça t'auras servi de leçon, si tu n'es pas sage, je te renverrai voir mademoiselle Aurèlie. Tu vas rester là un moment, on réfléchis beaucoup mieux cul nu. Elle prit un magazine et se plongea dans sa lecture levant de temps en temps les yeux pour surveiller son mari agenouillé sur le prie dieu lui exposant ses fesses dénudées. Après 1/4 h de pénitence elle l'autorisa à se relever et lui permis de baisser sa jupe.

- tu es libre jusqu'à l'arrivée de maman, tu nous servira le thé, elle est toujours ravie quand tu fais la soubrette.

Quand Irène sonna, Christine envoya Hervé l'accueillir, elle sourit en voyant son gendre féminisé, elle en avait maintenant pris l'habitude et elle avait même avoué à sa fille que c'était assez plaisant.

- bonjour, jeune dame, vous êtes très mignonne, Hervé rougit jusqu'aux oreilles, Christine en rajouta en riant.

- et tu n'as pas tout vu, Hervé viens ici !

Résigné, son mari s'approcha, elle le fit pivoter et rapidement lui troussa la jupe. Les fesses nues d'Hervé apparurent.

- oh mais c'est nouveau, où as tu trouvé ça ?

Christine lui expliqua rapidement, Irène avait entendu parler de l'institut de madame Rose depuis qu'elle s'intéressait à la fessée. Elle s'approcha pour apprécier l'ingéniosité du sous vêtement.

- et bien avec ça le derrière est rapidement à disposition.

Christine avait relâché la jupe et Hervé retrouvé un peu de décence.

- tu nous sers le thé mon chéri.

Hervé était un peu inquiet, il savait qu'à la moindre erreur il n'échapperait pas à une bonne fessée, elle ne serait pas déculottée comme d'habitude mais ce serait quand même une fessée cul nu.

Les deux dames papotaient tranquillement au salon, le sujet principal était bien sûr la fessée déculottée. Hervé arriva portant le plateau, il n'était pas trop à l'aise mais il réussit quand même à le poser sur la table sans rien renverser. C'est en servant Irène qu'il commit la faute attendue par les deux spectatrices, il laissa tomber quelques gouttes de thé sur la table. Christine saisit immédiatement l'occasion.

- quel maladroit ! Tu as failli brûler maman et en plus tu tâche la table, essuie moi ça en vitesse !

Hervé conscient de ce qui allait lui arriver, s'excusa en rougissant. Christine se tourna vers sa mère.

- puisque c'est toi qui a subi sa maladresse, tu n'as qu'a te charger de le corriger.

- mais ça sera avec plaisir ma chérie, approchez un peu mon petit ami.

Irène était ravie de l'occasion qui lui était donnée de fesser son gendre. Hervé, résigné se présenta devant sa belle mère, celle-ci était maintenant habituée à donner cette correction enfantine à un adulte. Elle coucha ce monsieur de 40 ans sur ses genoux et lui retroussa la jupe, les fesses nues apparurent immédiatement.

- c'est vrai que c'est pratique mais j'avoue préférer découvrir une culotte et avoir le plaisir de la baisser.

Elle caressa la peau des fesses qui était encore rosée des multiples fessées reçues depuis ce matin. Hervé malgré son habitude des punitions était rouge de honte de devoir présenter ses fesses nues à une autre personne que son épouse. Il les serraient pour préserver un peu sa pudeur. Irène maintenant les tapotaient.

- détendez vous mon petit. Il a vraiment des fesses ravissantes, on voit que tu t'en occupe.



Puis soudain la fessée débuta, Irène voulait montrer à sa fille qu'elle aussi savait donner de sévère fessée, une avalanche de claques s'abattait sur le derrière du pauvre Hervé qui ne put retenir ses cris puis ses larmes sous la cuisson qui lui embrasait la croupe. En quelques instants les deux hémisphères eurent retrouvé leur belle couleur rouge carmin. Comme elle avait vu Christine procéder, elle garda son gendre allongé dans cette position humiliante pendant quelques instants, le temps que les pleurs s'atténuent. Puis elle le fit se relever, Christine applaudi en souriant

- bravo maman, c'était une belle fessée, je crois qu'Hervé va s'en souvenir. Approche un peu que je vois ça de plus prêt, tiens ta jupe qu'on voies bien tes jolies petites fesses.

Hervé, les joues rouges et couvertes de larmes s'exécuta docilement, il tenait sa jupe retroussée et tendait son fessier à son épouse. Celle-ci se leva et lui saisi l'oreille.

- voilà ce qui arrive aux maladroits, tu vas aller réfléchir au coin pendant qu'on déguste notre thé et ne t'avise pas de bouger !

Elle avait coincé le bas de la jupe dans la ceinture pour bien dégager la croupe écarlate, Hervé dut mettre ses mains sur la tête comme un écolier puni.

Et comme si de rien n'était les deux dames continuèrent leur conversation sans se soucier du monsieur exposant une paire de fesses déculottées portant les stigmates d'une sévère correction. C'était pourtant un spectacle insolite, Hervé tout à la brûlure de son fessier ne se rendait pas compte de l'incongruité de la situation.

Irène jeta un coup d'œil vers le coin de la pièce.

- c'est vrai qu'Hervé a été un peu maladroit mais je trouve qu'il a fait des progrès, j'organise un dîner avec des amies demain soir, tu me le prêterais pour faire le service ?

- aucun problème maman, c'est avec plaisir, je pense que Hervé sera ravi de te rendre ce petit service.

Puis avec un sourire malicieux elle ajouta.

- je suppose que tu le veux habillée en soubrette ? Je lui ai acheté un costume qui lui va à ravir. Je te l'envoie quand ?

Irène suggéra que ce serait mieux si Hervé venait dès le matin pour se familiariser à son travail.

Le lendemain matin Hervé se présenta chez sa belle mère, il était habillé normalement mais il avait dans son sac son costume de travail. Une petite robe noir, un tablier blanc, des bas autofixants et une paire d'escarpins. Christine tenant compte des remarques de sa mère ne lui avait pas fait mettre une culotte à fessée mais une ravissante petite culotte blanche ornée de dentelle. Irène l'accueilli avec un grand sourire et lui fit la bise. Hervé aimait beaucoup sa belle mère qui était très gentille avec lui, le seul problème c'était qu'elle ne se gênait pas pour lui administrer des fessées déculottées quand elle le jugeait utile. Mais habitué depuis plusieurs années à une éducation rigoureuse par son épouse, il ne lui en voulait pas trouvant même ça presque normal.

Elle le conduisit à la chambre d'amis et lui demanda de se mettre en tenue, elle resta là à le regarder, ce qui fit rougir Hervé.

- allez mon grand, cessez ces manières, il me semble que je connais assez bien vos fesses !

L'évocation de ses précédentes fessées augmenta la rougeur de ses joues, mais sachant que sa belle mère avait la main leste, il s'exécuta. Dès qu'il eut enlevé son pantalon elle sourit et le prit par la main pour le faire pivoter sur lui-même.

- Christine a vraiment bon goût, cette culotte est ravissante, elle met parfaitement en valeur vos fesses

Hervé s'attendait à ce genre de remarques mais il rougit quand même, sans un mot il continua son déshabillage. Bientôt il se présenta à sa belle mère seulement vêtu de sa culotte, elle fouilla dans le sac et en tira le costume de soubrette, Christine pensait à tout, elle avait prévu un soutien gorge avec des bonnets rembourré. Hervé avait l'habitude de se mettre en tenue féminine, ce qui surpris le plus Irène c'est. la facilité avec laquelle il enfila ses bas. Une fois habillé sa transformation était parfaite, il enfila les escarpins, on aurait dit une soubrette du début du siècle certes un peu androgyne mais ce n'était pas choquant.

- vous êtes très mignonne...un peu de maquillage et ce sera parfait. Mais avant cela, je veux voir un peu comment vous vous comporter avec cette robe et ces escarpins. Voyons marchez un peu.

Hervé avait une démarche mal assurée.

- c'est bien ce que je pensais, il va falloir faire quelques exercices pour que vous soyez à l'aise.

Elle pris l'annuaire du téléphone et le posa sur la tête d'Hervé.

- redressez vous, la tête bien droite, vous regardez bien devant vous. Rentrez le ventre et serrez les fesses. Voilà c'est bien, le livre ne doit pas tomber. Hervé était concentré, la tête bien droite, le livre ne bougeait pas.

- bien, maintenant il vous faut marcher, vous gardez bien les fesses serrées et ça va aller.

Au bout de quelques pas l'annuaire tomba.

- ce n'est rien mais il faut vous concentrer mon petit, allez on recommence.

La deuxième tentative ne fut pas plus satisfaisante. Un peu agacée, Irène remit le livre en place.

- décidément je me demande si vous ne le faites pas exprès, ce n'est pourtant pas si difficile, faut il que j'utilise une autre méthode ?

Hervé se doutait bien que la patience d'Irène avait des limites, mais l'exercice était difficile, le livre tomba à nouveau.

- et bien puisque vous ne faites aucun effort, on va utiliser les bonnes vieilles méthodes, approchez mon ami.

Hervé savait déjà ce qui l'attendait, confus malgré sa grande habitude des punitions il hésita un peu. Irène fronça les sourcils.

- qu'est-ce que je vous ai dit, n'aggraver pas votre cas, je crois qu'il vous faut une fessée et je vais me charger de vous la donner, ici ! Vite !.

Hervé se décida à faire les quelques pas qui le séparait de sa belle mère. Dès qu'il fut à sa portée, elle le courba sous son bras et contre sa hanche, la robe était courte et relativement évasée ce qui favorisa le retroussage. Elle baissa la culotte sous les fesses et se mit en devoir de claquer les fesses tendues. La petite soubrette était bien calée sous le bras de sa maîtresse et il ne pouvait pas bouger, il se contentait de trépigner sur place, la fessée fut courte, juste le temps de rougir le derrière d'Hervé. Elle le relâcha, la jupe retomba masquant les fesses rouges.

- ne remontez pas votre culotte, vos fesses resteront à disposition, quelque chose me dit que je n'en ai pas fini avec elles. L'exercice continua, Hervé faisait des progrès mais il reçu malgré tout deux autres fessées déculottées, courbé sous le bras de sa belle mère. Irène jugeant suffisante la leçon, l'autorisa à se reculotter.

- c'est bien vous faites des progrès, votre port de tête est bien plus agréable, mais vous n'avez pas le dos assez droit, nous allons faire un autre exercice mais d'abord prenons un café. Hervé avait reçu déjà trois fessées cul nu comme un gamin mais Irène ne semblait y prêter aucune attention, elle sortit les tasses et servit son gendre comme si de rien n'était, ni sa tenue pour le moins curieuse, ni le fait que quelques instants auparavant il lui présentait ses fesses déculottées ne semblait avoir d'importance, elle se comportait en maîtresse de maison attentionnée.

La situation changea dès qu'ils eurent fini cette pause.

- pour cette exercice, vous allez enlever votre culotte.

Hervé la regarda incrédule.

- oui, oui, vous avez bien entendu, vous enlevez votre culotte et vous vous dépêchez, on a pas que ça à faire.

Le ton était sans réplique, Hervé s'exécuta, il souleva sa robe et fit descendre le sous vêtement jusqu'à ses chevilles, c'était un spectacle assez excitant, Irène ne perdait rien du spectacle, les fesses rougies étaient apparues fugacement, maintenant il tenait sa culotte à la main, elle tendit la sienne,

- donnez moi ça.

Elle la posa sur la table et fit pivoter Hervé, elle retroussa la robe et la coinça dans la ceinture pour qu'elle ne retombe pas et laisse bien à découvert la croupe de son gendre.

- voilà maintenant je peux surveiller vos fesses, je pense que vous ne les contractez pas assez en marchant, c'est ça qui vous maintient le dos bien droit. Allez y, serrez moi ces fesses, voilà c'est parfait et maintenant vous marchez fesses bien serrées.

Hervé était mortifié de la situation mais ces fesses encore chaudes des trois fessées reçues se garda bien de protester.

- c'est bien ce que je pensais, dès que vous marchez vous vous relâchez, on va faire un autre exercice.

Elle prit une règle carrée métallique et elle écarta les fesses de son gendre puis elle plaça la règle au fond de la raie fessière.

- serrez fort, la règle ne doit pas tomber, sinon gare !

Hervé contracta au maximum ses muscles fessiers pour maintenir la règle en place.

- c'est bien, maintenant il vous faut marcher sans qu'elle tombe.

Évidemment au bout de quelques pas, la règle chuta par terre. Cette fois ci, Irène ne donna pas de deuxième chance à sa soubrette, elle s'assit sur une chaise et la coucha immédiatement sur ses genoux.

- puisque vous refusez d'obéir à mes consignes je vais les expliquer à vos fesses mon petit ami.

Les fessées précédentes avait été relativement modeste par rapport à celle la, la main d'Irène claquait vertement les fesses tendues devant elle. Hervé comme tout puni soumis à ce châtiment se mit à crier et à supplier sous la brûlure. Il n'y avait eu ni retroussage ni déculottage, la main claquait à grande vitesse, en moins de deux minutes, les fesses étaient écarlates. Hervé remis sur pied les larmes coulant sur ses joues dut à nouveau subir l'humiliation de présenter ses fesses brûlantes à sa belle mère qui sans ménagement les écarta pour y placer la règle. Instruit par la douloureuse correction le monsieur déguisé en soubrette s'appliqua à la maintenir bien à sa place. Il effectua deux fois la traversée de la salle.

- c'est quand même malheureux d'être obligé de vous traitez comme un gamin pour que vous obéissiez. Je commence à comprendre Christine, il n'y a qu'avec les fesses bien rouges que vous devenez un charmant garçon. Allez vous mettre au coin, vous serrez bien vos fesses, je vous rappelle que ma main est toujours disponible. Mettez vos mains sur la tête.

Elle le laissa encore 5' avec la règle coincée entre les fesses puis elle lui retira mais elle lui annonça que vu sa désobéissance il allait rester au coin 1/2 h.

La journée fut occupée à lui donner les différentes consignes pour le service, elle fut émaillée de deux fessées déculottées ce qui fait que quand les deux amies d'Irène arrivèrent il cachait sous sa robe et sa culotte une paire de fesses bien chaudes.

Béatrice était une petite brune d'une cinquantaine d'années, pimpante et très exubérante au contraire de Dominique un peu plus jeune, mince, blonde et réservée. Quand elles furent installées, Irène claqua dans les mains pour appeler Hervé.

- mademoiselle, vous pouvez nous servir l'apéritif.

- mais tu as une bonne, maintenant, décidément madame ne se refuse rien.

Béatrice riait quand Hervé pénétra dans la pièce tenant le plateau. Irène l'avait maquillé et sous ses airs androgyne il était ravissant.

Les deux amies cessèrent leur conversation pour regarder cette soubrette stylée, les exercices et les fessées d'Irène avaient fait leur effet. Hervé se tenait bien droit la tête levée, il déposa avec précaution le plateau sur la table., en se reculant, il heurta le pied de Dominique, il rougit et se confondit en excuses. Comme celle-ci lui répondait que ce n'était pas grave, Irène apostropha sa soubrette.

- faites un peu attention Hervé, je vous ai prévenu.

A ces mots, Béatrice et Dominique se rendirent soudain compte que la bonne d'Irène était un monsieur

Comme il s'était absenté pour apporter la suite, les questions fusèrent. Irène leur résuma rapidement la situation sans omettre les fessées que sa fille et elle-même administrait à son gendre en cas de faute ou de désobéissance. Hervé revenait dans le salon, il avait entendu la conversation et il était rouge jusqu'aux oreilles. Il tremblait un peu en servant Béatrice, ce qui eut pour effet de lui faire renverser un peu de muscat sur la table. La réaction d'Irène fut sans appel.

- décidément ça commence mal, je suis désolée mesdames de vous imposer cela mais il faut que je corrige cette maladroite immédiatement sinon la situation va empirer.

Elle s'était levée et avait déplacé une chaise, comprenant ce qui allait lui arriver, Hervé tenta une excuse.

- non, madame pardon, je n'ai pas fait exprès, s'il-vous-plaît...

Mais Irène avait déjà pris place sur la chaise et saisit sa main, en quelques secondes il se retrouva couché en travers des cuisses de sa belle mère. Béatrice se mit à rire.

- a oui, panpan cucul, c'est bien mérité.

Dominique était un peu gênée et ne disait rien. Pendant ce temps la robe avait été retroussée et Irène glissait ses doigts dans la culotte pour la descendre.

- une bonne fessée déculottée, je ne connais rien de mieux pour corriger la maladresse.

Les deux amies étaient subjuguées par le spectacle que leur offrait bien malgré lui Hervé, voir un monsieur habillé en soubrette, couché sur les genoux d'une dame, fesses à l'air prêt à recevoir une fessée comme un gamin n'était pas très courant.



Les fesses étaient encore un peu rouges, mais rapidement elles devinrent écarlates. Irène ne savait pas donner des petites fessées, les siennes étaient toujours sévères. Évidemment sous la douleur, Hervé se comporta de façon habituelle, ses jambes battaient l'air, il suppliait sa maîtresse d'arrêter, il promettait de ne plus recommencer. Ce comportement enfantin de la part d'un monsieur était une grande satisfaction pour la fesseuse, il était la preuve que la punition était efficace. Dominique avait baissé les yeux et rougit au début de la fessée, mais maintenant elle regardait avec attention le spectacle. Béatrice quant à elle encourageait son amie.

- ça c'est ce qu'on peut appeler une bonne déculottée, c'est bien, il va faire un peu attention après ça, olala que c'est rouge, ça doit bien chauffer.

Satisfaite du résultat Irène cessa la correction, elle remonta la culotte sur les fesses brûlantes.

- voilà j'espère que ça vous servira de leçon. Mesdames, excusez moi encore de vous avoir imposé ce spectacle mais si on ne corrige pas immédiatement la faute, la fessée est moins efficace.

Les deux dames ravies approuvèrent, Hervé remis sur ses pieds, la robe retombée pour cacher la petite culotte blanche, avait les joues aussi rouges que ses fesses. Il fut renvoyé à la cuisine pour finir de préparer le repas.

La conversation des trois amies roulèrent immédiatement sur le sujet de la fessée chez les adultes. Béatrice était très excitée par le spectacle et elle expliqua au deux autres que de son côté elle adorait claquer les fesses de ses partenaires mais que ce n'était pas toujours réciproque, elle ajouta que le comportement soumis d'Hervé lui donnait des idées, il ne fallait sans doute pas attendre l'assentiment du monsieur ou de la dame. Dominique ne disait rien, ses amies l'interrogèrent.

- et toi quand pense tu ? Tu dois bien avoir un avis sur la fessée.

Elle rougit à nouveau et d'une petite voix elle ajouta.

- oh, moi ce n'est pas pareil…. Je connais très bien le problème…. Enfin c'est à dire… Pas du côté fesseuse… Plutôt de l'autre côté…

Béatrice et Irène se regardèrent puis leur regard convergèrent sur Dominique. Comment cette élégante directrice financière de 45 ans recevait la fessée…

- c'est ton mari qui te fesse ?

- non, non… C'est… Ma mère…

- ta mère ! À ton âge ?

Dominique de plus en plus rouge, se rendit compte que maintenant qu'elle avait commencé, il lui fallait aller au bout. Elle leur raconta donc une histoire assez classique de jeune fille de bonne famille, soumise à une éducation stricte d'où la fessée n'était pas absente mais même plutôt recommandée. Sa mère était sévère et elle avait continué jusqu'à l'adolescence à lui administrer ce châtiment enfantin, à l'occasion d'une déception sentimentale elle était revenue habiter chez sa mère et naturellement celle ci avait recommencé à gérer sa vie et inévitablement à l'occasion d'une faute elle l'avait comme par le passé couchée en travers de ses genoux, déculottée comme une gamine et fessée d'importance. Elle avait 23 ans à l'époque et depuis cette date, il ne se passait pas plus de 15 jours sans qu'elle doive exposer ses fesses nues à la main sévère de sa maman.

- mais ton mari, qu'est-ce qu'il en dit

Irène avait posé la question avec un petit sourire coquin.  Dominique lui rendit son sourire.

- lui, il n'a rien à dire, il reçoit aussi la fessée si c'est nécessaire….

Béatrice se mit à rire, ainsi ce grand dadais de Victor le mari de Dominique, avocat au barreau, se retrouvait lui aussi cul nu sur les genoux de sa belle mère en cas de besoin. Décidément cette soirée était pleine d'imprévu. Surtout qu'une fois passée à table les confessions se succédèrent. Elles apprirent que pas plus tard que la veille, Dominique et Victor avaient reçu une fessée conjointe pour être arrivé en retard chez la mère de Dominique et qu'ils avaient du rester à exposer leur fesses écarlates chacun dans un coin de la pièce, la jeune bonne n'avait pas perdu une miette du spectacle.

Le repas se déroula bien jusqu'au dessert, Hervé bien entraîné par les exercices et les fessées avait été parfait. Alors qu'il finissait de servir il renversa une part de gâteau sur la table. La sanction fut immédiate, ces fesses étaient à portée d'Irène elle lui administra 4 claques magistrales sur le fond de la robe.

- je vous ai dit que j'allais vous guérir de cette maladresse mon petit ami, finissez de ramasser vos bêtises et je m'occupe de vous.

Hervé s'empressa de nettoyer la table, il savait ce qui l'attendait, il revint vers sa maîtresse tête basse. Elle se leva le prit par l'oreille et le conduisit au coin de la pièce, puis elle retroussa la robe qu'elle coinça dans la ceinture et baissa la culotte à mi cuisse.

- nez contre le mur et mains sur la tête, nous allons finir notre dessert et ensuite je m'occuperai de vous. En attendant un moment de réflexion fesses à l'air va vous faire le plus grand bien.

Les deux amies étaient ravies du spectacle offert, Hervé avait de très jolies fesses, entretenues par les fessées de Christine, elles avaient perdu un peu de couleur mais elles étaient encore rosées, bien mise en valeur par la robe noire, la culotte blanche et les bas autofixants noir également. Elles finirent tranquillement le gâteau puis Irène les invita à prendre place sur le canapé. Elle plaça une chaise au milieu de la pièce et appela Hervé.

- allez mon petit ami, c'est l'heure de la fessée, en position…. Vite !!

Hervé habitué à obéir sans discuter se coucha docilement sur les cuisses de sa nouvelle maîtresse. Il était déjà prêt pour la fessée, Irène le positionna à sa guise, le faisant basculer vers l'avant pour que ses pieds décollent du sol, les fesses étaient maintenant bien à sa portée juste au sommet de la courbe formée par son dos et ses cuisses. Elle caressa la croupe tendue comme pour en apprécier la forme et l'élasticité puis brusquement elle leva la main et se mit à claquer avec énergie ce fessier si bien présenté. Hervé malgré son habitude des fessées se mit à ruer des pieds, c'était pour cela qu'elle l'avait mis dans cette position, libérés du sol les pieds battaient l'air de façon très explicite, il était redevenu un petit garçon sur les genoux de sa maman, la main s'appliquait à ne laisser aucun centimètre carré vierge de claques, elle descendait même sur l'arrière des cuisses et la zone très sensible du pli séparant les fesses des cuisses. Il hurlait sous la brûlure mais ne cherchait pas à se dérober, la fessée terminée les globes fessiers ressemblaient à deux tomates bien mûres. Comme à son habitude elle le garda un moment dans cette position humiliante, le temps que les pleurs s'atténuent puis elle le reconduisit au coin en le tenant à nouveau par l'oreille.

- cessez de pleurnicher, vous avez bien mérité cette fessée, vos fesses vont refroidir et ça va vous permettre de réfléchir. Je ne pense pas que Christine va être contente de vous.

Béatrice et Dominique avaient apprécié le spectacle, c'est la première qui prit la parole en voyant Dominique rire bruyamment.

- dis moi Dominique, que dirais ta maman, si elle savait que tu as trop bu ?

Celle-ci la regarda un peu surprise.

- euh, c'est à dire, je pense qu'il vaudrait mieux qu'elle ne le sache pas.

- oui, sinon panpan cucul…

Béatrice souriait, elle prit la main de son amie et l'attira vers elle.

- rassure toi, on ne lui dira rien, mais avoue que ça mérite une petite punition….

- oh non, s'il te plaît.

- si si, une bonne petite fessée déculottée voilà ce que tu mérite. Allez madame en position.

Complètement subjuguée par ce qu'elle venait de voir Dominique ne réagit pas et elle se retrouva couchée sur les cuisses de son amie, la jupe retroussée elle exhiba bien malgré elle une superbe paire de fesses cachée sous une culotte en soie, elle portait également des bas, sa mère détestant les collants, Béatrice caressait la culotte sexy bien remplie par les fesses rebondies.

- une bonne fessée, c'est une fessée déculottée n'est ce pas ?

Se rendant compte soudain de la situation Dominique protesta et voulu se relever, mais Béatrice la maintenait fermement, elle claqua plusieurs fois la culotte.



- on ne bouge pas madame, à moins que vous ne vouliez que je raconte tout à votre mère, je suppose que ce n'est pas une simple fessée que vous recevriez.

Vaincue Dominique se résigna à être déculottée comme une gamine et à recevoir une fessée publique. Béatrice glissa sa main dans la culotte et la fit descendre lentement, les magnifiques fesses de cette dame de 45 ans apparurent elles étaient contractées par l'angoisse.

- il n'y a pas à dire, les fessées ça entretien les fesses, elles sont superbes comme celles d'Hervé, je me demande si je ne vais pas demander à ma mère de me la donner…

Satisfaite de sa prestation, elle commença à administrer à son amie une fessée, elle était débutante et ça se voyait, Dominique habituée aux sévères correction de sa mère gémissait à peine sous les claques, ce qui eut pour effet d'agacer Irène.

- si tu appelle ça une fessée, c'est des caresses, je vais te montrer ce que c'est qu'une fessée, Dominique vient ici.

Surprise, la pauvre Dominique se releva, les fesses déjà un peu rouges, sa jupe était retombée masquant sa croupe. Irène s'était à nouveau assise sur la chaise, elle prit son amie par la main et la fit basculer sur ses cuisses, elle retroussa rapidement la jupe, la culotte toujours baissée, les fesses apparurent immédiatement. La fessée qui suivi fut beaucoup plus sévère et Dominique s'en rendit compte immédiatement la cuisson était sans commune mesure avec la fessée de Béatrice, elle se mit à crier et à pleurer pour implorer la clémence de son amie, mais quand Irène donnait la fessée ce n'était jamais pour de rire et on sortait de ses genoux avec les fesses en feu. C'est ce qui arriva à Dominique, dès qu'elle fut libérée elle porta les mains à son derrière, mais le regard sévère d'Irène l'en dissuada rapidement. Elle resta les bras ballants, mais pas pour longtemps.

- mets tes mains sur la tête, ça t'évitera de frotter tes fesses et de revenir sur mes genoux. Tu vas aller faire un petit séjour au coin, tu tiendras compagnie à Hervé.



Dominique se rendit compte avec horreur que ce n'était pas seulement ses deux amies qui avaient assisté à sa punition, Hervé avait eu le son à défaut de la vue. Irène et Béatrice dégustèrent un café en contemplant les deux fessiers exposés.

Après 1/4 h de pénitence, Dominique fut libérée, rouge de honte, elle remonta sa culotte et prit congé en compagnie de Béatrice.

Irène appela sa fille pour lui dire qu'elle gardait Hervé à coucher vu l'heure tardive, celle ci s'inquiéta de l'absence de tenue pour la nuit de son mari.

- ne t'inquiète pas ma chérie, nous ne sommes pas loin d'avoir la même taille, je vais lui prêter une nuisette et pour demain matin, il mettra une de mes culottes, si elle est un peu juste ce n'est pas bien grave.

Christine était rassurée, Hervé était en de bonne main. Irène lui annonça qu'il passerait la nuit ici. Pendant qu'il rangeait la cuisine, elle lui prépara la chambre d'amis. Quand il la rejoignit il vit sur le lit la courte nuisette rose avec des fines bretelles et de la dentelle. Il pensa qu'il serait ridicule mais il ne dit mot. Quand il fut en tenue de nuit, Irène vint le voir, elle retroussa la nuisette, il avait gardé sa culotte, elle la baissa sans façon.

- voyons un peu l'état de ces petites fesses, encore un peu rouges, j'espère que ça vous servira de leçon. Bon maintenant dodo.

Elle lui fit une bise et lui claqua rapidement les fesses dénudées. Hervé se glissa dans le lit après avoir remonté sa culotte.

Le lendemain matin Irène le réveilla sans façon en ouvrant les volets.

- debout, j'ai préparé le petit déjeuner, je vous attends.

Le ton était sans réplique, Hervé se leva et constata un peu désemparé qu'il n'avait rien d'autre à se mettre et qu'il devrait se présenter à sa belle mère en nuisette et culotte. Quand il arriva dans la cuisine, Irène lui sourit.

- alors notre petite soubrette à bien dormi, vous êtes ravissante, tournez-vous.

Elle retroussa le court vêtement et le plus naturellement du monde le déculotta.

- voyons un peu l'état de ces fesses, parfait aucune trace, les fessées manuelles chauffent beaucoup les derrières mais ne laissent aucune séquelles.

Elle faisait un commentaire clinique, tout en palpant les fesses de son gendre sans aucun souci de sa pudeur.

- elles sont prêtes pour que Christine s'en occupe.

Elle lui remonta la culotte comme l'aurait fait une maman. Hervé essaya de faire bonne figure malgré sa tenue un peu ridicule et les paroles d'Irène qui faisait planer l'ombre d'une fessée sur sa croupe. Elle l'envoya se laver, elle l'attendait dans la chambre quand il revint une serviette nouée autour de la taille. Elle avait déposé une de ses culotte sur le lit à côté de sa tenue masculine.

- j'ai eu Christine au téléphone, je lui ai raconté la soirée, je pense que vous pouvez préparer vos fesses, il semblerait qu'elle veuille appliquer la méthode des collèges anglais, une fessée à l'école égal une fessée à la maison. J'ai bien été obligée de lui faire le décompte de toutes les fessées que j'ai du vous administrer.

Hervé frissonna à cette annonce, il essaya de se remémorer le nombre de fois où il avait du présenter ses fesses à la main de sa belle mère. Le décompte était désespérant, ce n'était pas moins de 8 fessées qu'il avait reçu et il pouvait compter sur Irène pour n'en avoir oubliée aucune. Il regarda la culotte ornée de dentelle et rougi, il avait pourtant l'habitude de porter des dessous féminins mais enfiler une culotte de sa belle mère était un peu plus humiliant. La culotte était un peu petite pour son fessier bien entretenu par les corrections de Christine, elle rentrait un peu dans la raie fessière, découvrant largement les fesses.

- vous êtes très mignon… Ça donne presque envie de vous donner la fessée, mais je suis juste, ce matin vous n'avez rien fait qui la mérite. Je laisse ce soin à ma fille.

Hervé put enfin remettre son pantalon et s'habiller en monsieur, quelque chose lui disait que ce n'était pas pour longtemps.

 

 

 

 

Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...