lundi 29 septembre 2025

Mademoiselle Héloïse 3

 Nouvelle punition publique pour Sylvie



J’étais vraiment excitée par le déroulement de cet après-midi, le superbe fessier d’Ambre moulé dans son legging était vraiment appétissant, quand elle s’installa à côté de moi, je glissai ma main dans son dos et descendit doucement jusqu’à ses fesses, elle se mit à rire, mes doigts étaient sous sa culotte :

— Dis donc petite coquine, tu es bien curieuse.

— Encore plus que tu ne crois.

J’avais vraiment envie de découvrir sa magnifique croupe, je l’attirai vers moi et à ma grande surprise, elle n’opposa aucune résistance, elle se coucha d’elle-même en travers de mes cuisses.

Je n’en eus pas pour longtemps à lui retourner le legging pour mettre à jour la petite culotte, c’était un tanga jaune pâle qui découvrait la moitié de son généreux postérieur :

— Ça fait longtemps que je ne l’avais pas vu ma chérie mais ton derrière est magnifique.

Elle se mit à minauder en tortillant ses fesses.

— Elles te plaisent ?

Je me mis à rire et d’un geste rapide je la déculottai, elle poussa un petit cri de surprise.

— Eh oui ma grande, cul nu comme une gamine.

— Tu ne vas quand même pas me donner la fessée ?

Je caressai ses fesses nacrées et glissai mes doigts entre ses cuisses, elle mouillait, visiblement la situation ne lui déplaisait pas, je me penchai pour lui murmurer à l’oreille :

— Pas aujourd’hui, je ne veux pas que tu perdes ton autorité sur Clémentine, mais rassure-toi tu y goûteras au panpan cucul d’Héloïse. Je vais juste t’examiner le derrière en détail.

Elle eut droit à une inspection complète, sa raie largement écartée je titillai un peu son anus :

— Tu auras droit aussi au thermomètre ma chérie.

Il était l’heure de la fessée de Sylvie, je la reculottai moi-même. Elle avait les joues bien rouges quand elle se releva, je lui désignai ma chipie :

— Tu veux lui administrer sa fessée ? C’est l’heure.

Elle me jeta un regard coquin :

— Avec grand plaisir, j’ai bien cru que j’allais y avoir droit moi aussi.

Elle saisit l’oreille de Sylvie pour la faire se relever et l’installa en travers de ses cuisses :

— On lui laisse le thermomètre ?

— Oui ça lui apprendra. Tu veux la brosse ?

Ambre palpa le fessier écarlate :

— Non, ma main suffira, je ne suis pas une sauvage, son derrière est vraiment très chaud.



Je remerciai intérieurement Ambre d’épargner mes fesses, sa main se mit à claquer et rapidement la brûlure fut intense, malgré mon désir de rester stoïque, je me mis à pleurer. La fessée fut relativement courte, mais suffisante pour me faire redevenir une gamine éplorée sur les genoux d’une tatie sévère.



Elle fit coulisser le thermomètre :

— On lui enlève ?

— Oui, de toute façon il faut qu’on y aille.

Ambre retira délicatement l’instrument médical, je l’avais gardé quasiment une heure dans le derrière, comme d’habitude malgré l’humiliation de ce traitement, je sentis une onde de plaisir me parcourir.

Héloïse n’en avait pas tout à fait fini avec ma punition, elle désigna à Ambre ma culotte baissée aux genoux :

— Retire-lui sa culotte, ses fesses sont assez chaudes, elle ne risque pas d’avoir froid, elle va rentrer à la maison cul nu sous sa jupe.

C’était ce que je craignais le plus vu la longueur de ma jupette, mes fesses n’étaient pas beaucoup protégées. J’étais debout, je tournai la tête pour me voir dans la glace, la jupe était vraiment courte, la rougeur de mes cuisses était visible. Je me mis à pleurer :

— Mademoiselle Héloïse, s’il vous plaît…

Elle se mit à rire, me fit pivoter et retroussa ma jupe puis me claqua rapidement les fesses :

— C’est parfait ton derrière est disponible, si tu fais des bêtises avant d’arriver à la maison, prie le bon dieu pour qu’il n’y ait pas de vent.





Nous en étions à dix-sept fessées, les fesses de ma chipie n’avaient pas perdu leur belle couleur depuis le réveil. Une fois dans la rue il nous fallait marcher jusqu’à la voiture, je lui claquai le derrière par-dessus la jupe :

— Avance un peu, on a pas que ça à faire.

Juste à ce moment une dame d’une quarantaine d’années nous dépassa, elle avait obligatoirement vu la claque que j’avais administrée à Sylvie, elle me regarda en souriant :

— Eh bien, ça ne rigole pas. Mais vous avez raison une petite fessée de temps en temps ça remet les idées en place.

Elle continua sa route sans s’attarder, Sylvie avait les joues de la même couleur que ses fesses, je me mis à rire :

— Eh bien c’est le jour des fessées publiques, si j’avais eu le temps je lui aurais montré tes fesses, elle aurait été édifiée.

J’ai vérifié qu’on était seule dans la rue, la voiture était à cinquante mètre, je lui ai retroussé la jupe et je l’ai coincée dans la ceinture puis j’ai claqué ses fesses :

— Allez dépêche-toi si tu ne veux pas que quelqu’un te voie cul nu.

Elle se mit à marcher très vite, je lui ai pris la main pour la ralentir un peu :

— Il faut quand même que tes fesses prennent l’air, ça les refroidis un peu.

Nous étions maintenant à dix mètres de ma voiture, je la relâchai et prit mon téléphone :

— Tu vas marcher jusqu’à la voiture sans courir sinon tu reviens ici, je vais filmer ton joli derrière, tu le tortilles tellement bien.

Vous auriez vu sa tête, je n’ai pas pu m’empêcher de rire :

— Si tu restes là ma chérie je pense que quelqu’un va arriver et qu’il va voir ton derrière bien rouge.

Elle s’est décidée à avancer, elle n’a pas mis très longtemps à arriver à la voiture, j’ai filmé ses fesses cramoisies qui ballottaient au rythme de ses pas, c’était vraiment ravissant. Elle attendait les fesses à l’air devant la voiture, j’ai aperçu la dame qui nous avait dépassé, elle revenait. Ma chipie allait montrer ses fesses à une autre personne, elle l’avait vu également je sentais qu’elle paniquait, je me suis approché et juste au moment où la dame arrivait à notre hauteur je l’ai forcé à pivoter pour exposer son derrière bien rouge.



La passante a marqué un temps d’arrêt et elle a regardé avec intérêt la magnifique paire de fesses, elle souriait ne trouvant rien à redire à l’exposition des fesses dénudées d’une dame d’âge mûr en plein après-midi :

— C’est bien ce qu’il me semblait, madame a reçu une bonne déculottée. Ça vous arrive souvent de lui baisser la culotte ?

Elle avait dit ça d’un ton naturel, comme s’il était normal de recevoir encore la fessée cul nu quand on a passé l’adolescence.





Mon calvaire continuait, cette dame qui contemplait mes fesses rouges et qui en plus entamait la conversation avec Héloïse, j’aurais voulu disparaître sous terre. Ma jeune maîtresse semblait ravie de parfaire ma punition par cette exposition honteuse :

— Oui assez souvent ces temps-ci, madame se comporte comme une gamine, elle a donc droit au panpan cucul, ça lui remet les idées en place.

Je sentis une main sur la peau de mes fesses :

— Effectivement, c’est vraiment une magistrale fessée que madame a reçu, c’est bien chaud. C’est comme ça qu’on voit si la fessée a été efficace. La couleur dépend vraiment de la nature de la peau tandis que la cuisson c’est pour tous le monde pareil.

Elle continuait tranquillement de me caresser les fesses tout en discutant. Héloïse souriait, elle semblait vraiment contente :

— Oui je l’ai soigné, aujourd’hui c’est un peu spécial, madame à droit à une journée fesses rouges.

— Une journée fesses rouges ? C’est intéressant. Peut-être que vous devriez lui remettre la jupe en place, moi ça ne me gêne pas, mais si d’autres personnes passent.

Je l’aurais embrassé cette inconnue qui proposait de cacher enfin mes fesses. Héloïse fit une petite moue et baissa ma jupe.

— Je m’appelle Magali, j’habite juste en face, si vous avez cinq minutes, j’aimerais bien que vous m’expliquiez ce que c’est qu’une journée fesses rouges.

Je priai intérieurement pour qu’Héloïse refuse, mais je n’y croyais pas trop. Effectivement elle accepta. L’immeuble de Magali était juste en face de la voiture, nous prîmes l’ascenseur pour arriver dans un vaste appartement très clair avec une grande baie vitrée sans aucun rideau, je regardai vers l’extérieur, les voisins avaient certainement une vue panoramique sur la pièce. J’étais quasiment sûr que ma maîtresse allait me flanquer ma prochaine fessée ici.

La maîtresse de maison me regarda :

— Quand on a reçu la fessée déculottée, en général on va exposer son derrière au coin.

Héloïse me fixait en souriant :

— Tu as entendu Magali. Dépêche-toi !

Je ne savais pas dans quel coin je devais me mettre, notre hôtesse s’approcha et me saisit l’oreille :

— Viens un peu ici.

C’était assez surréaliste, cette dame que je ne connaissais quasiment pas me tutoyait et m’accompagnait au coin en me tapotant les fesses.

Évidemment elle m’installa dans celui qui faisait face à la baie vitrée. La suite fut classique, elle retroussa ma jupe et l’épingla dans mon dos, je fus un peu surprise, elle avait tiré une pince en laiton de sa poche, on aurait dit qu’elle était là pour ça :

— Je suppose que tu sais comment te tenir.

Bien sûr que je le savais, je mis immédiatement mes mains sur ma tête. Magali passa à nouveau sa main sur mon derrière :

— Je ne l’avais pas regardé de si près, madame a vraiment un magnifique fessier. Il y a de quoi donner une bonne fessée. Je ne sais pas ce que vous entendez par une journée fesses rouges, mais elles sont vraiment magnifiques.

Elle me laissa et je l’entendis se rapprocher d’Héloïse :

— Je vous offre quelque chose à boire et vous m’expliquez ce que c’est qu’une journée fesses rouges.

— Oh c’est très simple…

Héloïse expliqua en détail le déroulement de cette journée où mes fesses n’avaient jamais perdu cette éclatante couleur écarlate. Magali avait écouté avec attention, elle demandait des précisions et riait de temps en temps quand Héloïse lui racontait les fessées supplémentaires qu’elle m’avait administrées en raison de mes récriminations :

— Eh bien dites donc, je croyais être sévère, mais vous me surpassez, je comprends que votre petite chipie ait des fesses de cette couleur. Je sais qu’un bon gros derrière comme le sien peut recevoir beaucoup de fessées mais pas à ce point là.

Je sentis sa main qui tapotait à nouveau mon derrière.







Par le plus grand des hasards, j’étais tombée sur une amatrice de panpan cucul. Magali semblait apprécier comme moi les beaux derrières bien joufflus comme celui de Sylvie. À sa façon de lui palper les fesses on voyait qu’elle avait l’habitude de s’occuper des croupes féminines, je voulus en savoir plus :

— Vous faites quoi dans la vie ?

— Je suis psychologue, pourquoi ?

— Vous semblez être très à l’aise avec les fesses de Sylvie.

Magali se mit à rire :

— Oui, j’aime bien les belles paires de fesses, surtout quand elles sont bien rouges. Dans mon métier ça peut servir.

— Pardon ?

Elle me regarda avec un petit sourire coquin :

— Certaine situation nécessite une prise en charge particulière pour mes patientes, la fessothérapie peut quelquefois rendre de grands services.

J’étais conquise par cette dame énergique, bien sûr j’avais entendu parler de fessothérapie, mais je n’imaginais pas en rencontrer une adepte. Elle se rassit en face de moi et désigna les fesses de Sylvie :

— Mais si j’ai bien compris, dans le cas de madame nous sommes plus dans une démarche éducative et de discipline domestique que dans la fessothérapie.

La conversation devenait vraiment intéressante, j’étais sûre que Magali ne se contentait pas de donner la fessée à titre thérapeutique. Sur le ton de la plaisanterie je lui posai des questions sur les origines de son goût pour les derrières rougis :

— Vous avez pris des cours de fessée ?

Elle me regarda avec ce sourire qui me faisait fondre :

— Vous ne croyez pas si bien dire, j’ai été formée en Belgique par une spécialiste de la question. J’ai connu les deux faces de la fessée.

— Les deux faces ??

Magali se mit à rire :

— Oui pour être une bonne fesseuse, il faut l’avoir reçu.

Elle m’expliqua qu’elle était l’aînée d’une famille de cinq enfants et que ses parents souvent absents lui confiait la responsabilité de la fratrie et lui avait donné toute latitude pour corriger son frère et ses sœurs. Naturellement elle s’était mise à utiliser la fessée, elle me regarda en souriant et ajouta « cul nu bien sûr ».

Elle était partie faire ses études de psychologue en Belgique et un soir au cours d’une soirée avec sa logeuse, elle lui avait confié qu’elle aimait fesser, mais qu’elle n’y avait jamais goûté. Sa propriétaire qui était une forte matrone lui avait dit « S’il n’y a que ça pour te faire plaisir » Et elle lui avait administré sa première fessée déculottée.

— Je peux vous dire que ce ne fut pas une fessée pour rire. A partir de ce jour, j’ai eu droit à une déculottée le matin avant de partir en cours et le soir avant d’aller au lit. Hortense, ma logeuse adorait la fessée, elle m’a transmis le virus, dès que j’ai pu, j’ai ajouté la fessothérapie à mon arsenal thérapeutique.

— Vous ne l’administrez qu’à titre thérapeutique ?

— Non bien sûr, même les grandes filles qui ont passé l’âge comme Sylvie ont besoins de temps en temps d’une petite mise au point. Comme moi avec Hortense.

Je regardai Magali d’un œil différent :

— Vous la voyez encore ?

— Oui deux fois par an au minimum je fais un petit pèlerinage au plat pays.

Je me mis à rire :

— C’est un pèlerinage cuisant ?

Ses joues rosirent légèrement :

— Oui… Très…





J’étais toujours au coin exposant mon derrière bien rouge, j’écoutais avec attention la conversation, c’était bien ma veine on était tombée sur la seule amatrice de fessées du quartier. J’appris quand même avec plaisir que cette dame se faisait également rougir les fesses, soudain ce que j’attendais et craignais en même temps arriva, la voix d’Héloïse retentit derrière moi :

— Sylvie ma chérie, c’est l’heure.

J’allais à nouveau recevoir une fessée publique devant une inconnue.

Ne sachant quelle position adopter, j’avais laissé mes mains sur la tête, je baissai les yeux pour ne pas croiser le regard de Magali. Héloïse tapotait ses genoux, je savais ce que cela voulait dire, elle n’allait pas innover, ce serait la position traditionnelle de la maman sévère corrigeant sa grande fille. Vu mon âge, c’était certainement une des positions les plus humiliantes, surtout que ma maîtresse n’était pas en reste pour en rajouter :

— Allez en position vilaine fille, tu vas nous montrer tes fesses. Tu es bien installée ?

J’avais vraiment l’impression d’être revenue sur les genoux de ma mère quand elle me corrigeait devant la voisine.

Magali avait une vue parfaite sur ma croupe, en tournant la tête je constatai également que mon derrière était tourné face à la fenêtre. Héloïse me fit basculer vers l’avant pour que mes pieds décollent du sol, l’absence de culotte allait faciliter mes mouvements de jambes, la spectatrice aurait tout le loisir d’admirer mon entre-cuisse.

— Il est dix-sept heures trente c’est l’heure de sa fessée.

— Vous avez tenu le compte depuis ce matin ?

Magali semblait admirative devant le caractère organisé de cette jeune femme.

— Oui bien sûr, elle a reçu les treize fessées prévues et quatre supplémentaires pour désobéissance ou récriminations.

— Eh bien dites donc, ce n’est pas étonnant que son derrière soit de cette couleur. Dix-sept fessées depuis ce matin !!

Héloïse semblait satisfaite de son petit effet, je savais qu’elle adorait me déculotter et me rougir les fesses, mais aujourd’hui c’était vraiment spécial. Elle commença à me corriger avec sa main, mais Magali intervint rapidement :

— Vous n’utilisez pas que la main j’espère.

Cette petite peste osait se mêler de ma correction, je l’aurais tuée.

— Bien sûr que non, elle a eu droit à la brosse à cheveux et à la sandale.

— Pas de paddle ou de martinet, pourtant sa bonne paire de fesses le supporterait bien.

La main d’Héloïse était posée sur mes fesses brûlantes, je ne pus m’empêcher de gémir :

— Oh non s’il vous plaît mademoiselle… Aïe, aïe…

Deux magistrales claques venaient d’atterrir sur mon fessier endolori :

— Vas-tu bien te taire ! Continue comme ça et je charge Magali de t’administrer une fessée supplémentaire.

Je ravalai mes larmes et attendit la suite des événements. J’entendis la maîtresse de maison se lever en tournant la tête je la vis ouvrir un petit meuble et en sortir une sorte de raquette en cuir, elle la tendit à Héloïse :

— Tenez essayez ça sur son derrière, c’est une sorte de paddle en cuir que je me suis procurée dans une boutique spécialisée, je l’utilise souvent pour mes séances.

La brûlure fut intense, quelle petite garce, elle devait trouver que mes fesses pouvaient endurer un peu plus. Je n’avais plus aucune retenue, je me tortillais, mes pieds battaient l’air, mais ma fesseuse me maintenait fermement et la raquette en cuir atteignait immanquablement sa cible, mon bon gros derrière :

— Vous voyez Magali, l’âge n’y fait rien, malgré ses soixante-dix ans ma petite Sylvie gigote et ses fesses dansent comme si elle en avait dix-huit.



— C’est vrai qu’elle a vraiment une magnifique paire de fesses.

La fessée terminée, elle me garda couchée en travers de ses genoux, je pleurais mais elle ne s’en souciait pas. Elle me claqua sèchement le derrière :

— Pleure en silence, tu n’as eu que ce que tu mérites !

Je ravalai mes larmes, Magali félicita ma jeune maîtresse :

— Magnifique correction, je vous donnerai l’adresse où vous procurer cet instrument. Vous avez prévu de la corriger encore combien de fois ?

Héloïse caressait mes fesses et j’avoue que j’y prenais un certain plaisir :

— Elle ira au lit tôt puisqu’elle est punie, il lui reste encore trois fessées plus celle du coucher.

— Eh bien madame va bien dormir. Je pense que vous pourriez me l’envoyer un de ces jours pour une petite séance de thérapie, ça ne pourrait que lui faire du bien. Je vais vous laisser ma carte.





J’étais vraiment contente d’avoir rencontré Magali, ma grande chipie allait bénéficier d’un traitement adapté à son bon gros derrière. Il était littéralement cramoisi et légèrement boursouflé, elle aurait certainement beaucoup de mal à s’asseoir ce soir et même demain, mais au moins elle allait se souvenir qu’il ne fallait pas désobéir.

Je la fis se relever :

— Allez debout, on va y aller, mais avant tu vas aller montrer tes jolies fesses à Magali.

Elle marcha à petit pas vers notre hôtesse. C’était la deuxième fois de l’après-midi que je lui imposais cette humiliation. Elle se tourna et sans qu’on lui demande elle se pencha devant Magali, son bon gros derrière brûlant était juste à hauteur des yeux de la psychologue, elle le tapota en souriant :

— Je suppose que tu vas être sage dorénavant. Tu vas venir me voir la semaine prochaine, nous avons à parler.

Ses doigts s’étaient glissé entre les fesses et les cuisses de Sylvie, elle me regarda avec un air entendu :

— Effectivement la fessée fait de l’effet à madame, un petit entretien psychologique à ma façon sera le bienvenu.

Les joues du haut de Sylvie étaient de la même couleur que celle du bas, Magali lui claqua les fesses :

— C’est parfait ton derrière est vraiment charmant, je serai ravi de m’en occuper, tu peux te relever.

Je pris congé, Magali me fit une bise sans façon, par contre Sylvie eu droit à une autre manière de dire au revoir, elle reçut une magistrale claque sur son fessier rougeoyant :

— Vous pouvez lui laisser la jupe épinglée dans le dos, puisque la voiture est garée devant la porte.

C’est ainsi que ma grande chipie rentra à la maison les fesses à l’air, heureusement pour elle on ne croisa personne.

Arrivé au salon, je sortis sa culotte de mon sac à main et je lui tendis :

— Tiens reculotte-toi vilaine fille.





Le passage du tissu sur la peau de mes fesses fut douloureux, ma grimace fit bien rire ma jeune fesseuse :

— Ça brûle n’est-ce pas ? Tu vas t’en souvenir longtemps ma chérie.

J’étais quand même contente de pouvoir enfin cacher mon derrière, il avait pris l’air tout l’après-midi.

La suite se déroula comme Héloïse l’avait annoncé, je reçus encore deux fessées dont l’une juste avant le repas, je passai le repas cul nu sur ma chaise et elle m’envoya au coin jusqu’à l’heure du coucher qu’elle avait fixé à neuf heures :

— Ce soir tu es punie, tu iras au lit tôt comme une vilaine fille.

Je trouvais le temps long le nez contre le mur, mais je n’étais pas trop pressée, je me doutais qu’elle allait vouloir finir la journée en beauté. Elle discutait au téléphone avec Ambre, elle lui expliquait notre rencontre avec Magali et le déroulement de la soirée.

A Huit heures et demie elle m’appela :

— Tu files te mettre en tenue pour la nuit, mais tu gardes ta culotte, je m’en chargerai.

Elle avait dit ça en riant, c’est sûr qu’elle n’allait pas se priver du dernier déculottage de la journée. Je me dirigeai vers la salle de bain, au passage elle me claqua les fesses nues :

— Tu peux te reculotter pour le moment.





Je vais la faire poireauter un moment, elle sait qu’elle va avoir droit à une fessée, je suis sûr qu’elle serre ses fesses sous sa culotte.

Après dix minutes, je jugeai qu’elle devait être prête, effectivement elle m’attendait en nuisette, le nez contre le mur, elle tenait sa chemise relevée dévoilant sa culotte, la rougeur débordait sur le haut des cuisses.

Je lui ai saisi l’oreille pour l’amener avec moi vers le lit :

— Allez en piste ma chipie, ton derrière peut encore en prendre une.

J’avais décidé de lui donner deux fessées pour finir la journée, la première ce serait à la main, ses fesses dansèrent comme depuis ce matin et elle finit en pleurs et suppliante. Je la gardai un moment sur mes genoux, puis je la fis se relever après lui avoir retiré entièrement sa culotte. Je posai un oreiller au milieu du lit :

— Allonge-toi là, tu vas encore présenter ton derrière un moment avant le dodo.

J’avais mon thermomètre dans la poche, j’écartai avec mes doigts les deux tomates bien mûres étalées sur le lit et j’enfonçai profondément l’instrument médical dans le derrière de ma chipie.

L’administration régulière de bonne fessée déculottée avait fait leur effet, elle se laissait faire, tout juste un petit gémissement quand je relâchai ses fesses. Je l’avais enfoncé vraiment profondément, il ne dépassait presque pas de la raie fessière, elle avait vraiment dû le sentir passer :

— Tu ne bouges pas et tu réfléchis à tes bêtises, tu as encore une dernière fessée à recevoir. À tout à l’heure ma chérie.





Elle me laissa étalée au milieu du lit avec les fesses brûlantes, j’avais une furieuse envie de les frotter, mais je ne pris pas ce risque, elle avait laissé les portes ouvertes, j’entendais la télé. J’étais bonne pour rester en pénitence thermomètre pendant toute la durée de sa série. Je préférais être couchée sur mon lit que sur ses genoux à lui exposer mon derrière, mais le temps me parut quand même bien long.

Elle entra dans ma chambre et m’annonça :

— On va finir ta journée fesses rouges avec une fessée au martinet, tu n’y a pas goûté aujourd’hui. Allez debout !!

Je ne savais que penser, entre le soulagement de l’annonce que c’était ma dernière fessée et la peur du martinet. Elle me fit mettre à genoux au pied du lit et retroussa bien haut ma nuisette :

— Ton derrière est vraiment ravissant, tend le bien que monsieur martinet puisse le caresser.

Je savais que les caresses en question seraient vraiment cinglantes et douloureuses, mon derrière s’était contracté, ce qui me valut cette remarque ironique :

— Ah madame serre les fesses, elle a peur pour son petit cucul ? Tu as raison, je te garantis que je vais le soigner. Tu recommenceras à désobéir et à faire des bêtises ?

La question nécessitait une réponse :

— Non, non mademoiselle Héloïse…

— Cinquante coups de martinet et tu comptes !!

C’était sévère pour une dernière correction, mais c’était ainsi. Je criai quand les lanières enveloppèrent ma croupe, mais je n’oubliai pas de compter…



Cette dernière fessée fut vraiment cuisante, elle me fit relever et ouvrit le lit, puis elle m’enlaça et caressa mon derrière brûlant :

— Voilà, c’est fini ma vilaine chipie, maintenant au dodo, sur le dos bien sûr, il faut que tu sentes bien tes fesses. J’espère ne pas avoir à recommencer, mais tu sais maintenant ce que c’est qu’une journée fesses rouges. Si jamais dans le mois qui vient je suis obligée de sévir trop souvent tu auras droit à deux journées d’affilée.

Je me glissai sous les draps en sanglotant, je savais que je l’avais mérité, mademoiselle Héloïse avait été sévère mais juste.

Vingt et une fessées déculottées sur le bon gros derrière de ma chérie, vraiment une belle journée, j’étais contente de moi.


















dimanche 21 septembre 2025

Mademoiselle Héloïse 3

 Suite de la journée fesses rouges de Sylvie



Vous auriez vu sa tête, c’était comique et je n’ai pas pu m’empêcher de rire :

— Tu en fais une bobine, ça va te faire le plus grand bien de prendre l’air.

Je devinais pourquoi elle n’avait pas envie de mettre le nez dehors, je ne l’avais jamais forcé à sortir dans sa tenue de collégienne. Elle ne se voyait pas croiser une éventuelle connaissance avec sa mini-jupe au ras de sa culotte. Mon regard aurait dû l’avertir de ne pas protester, ses fesses ne devaient pas être assez cuisantes :

— S’il vous plaît mademoiselle… je ne vais pas sortir…

Je ne lui ai pas laissé le temps de finir sa phrase :

— Décidément tu ne comprends que la fessée.

En une seconde son derrière prenait à nouveau l’air, courbée sous mon bras, la jupe retroussée et sa culotte sous les fesses. Juste une cinquantaine de claques pour asseoir mon autorité et je l’ai relâchée :

— Je ne veux plus t’entendre, sauf si tu tiens à montrer ton bon gros derrière à tes voisines.

 

J’aurais dû me douter que mademoiselle Héloïse ne tolérerait aucune discussion sur sa décision de sortir, mais ça avait été plus fort que moi, elle avait remonté elle-même ma culotte et elle me claqua le derrière par-dessus la jupe :

— Allez en route !

J’ai pris sa menace au sérieux, elle aurait bien été capable de m’administrer ce châtiment humiliant dans la rue, sortir dans cette tenue était un moindre mal. J’avais pris une fessée supplémentaire pour rien, mentalement je fis un compte rapide, c’était la quatorzième fois qu’elle me claquait le derrière.

Heureusement sa voiture était garée devant la maison, je m’engouffrai dedans ce qui la fit sourire :

— Madame ne veut pas montrer sa jolie mini-jupe, pourtant elle te va très bien, elle met bien valeur ton gros popotin.

Je ne répondis pas, le trajet me parut assez court, mais maintenant il fallait sortir, la rue était calme, on ne croisa qu’une dame qui promenait son chien, elle se retourna sur notre passage, Héloïse me tenait par la main et mon visage de dame contrastait avec ma tenue de grande adolescente, je sentis le rouge me monter au visage. Nous entrâmes dans l’immeuble et Héloïse sonna à la porte d’un appartement au premier étage, une jeune femme de l’âge de ma maîtresse nous ouvrit, elle poussa un petit cri en nous voyant :

— Oh que je suis contente, tu m’as amené ta petite Sylvie.

Ambre, était une assez grande jeune femme dotée de formes généreuses, son regard me déshabilla littéralement :

— Qu’elle est mignonne, entrez.

Elle s’effaça pour nous laisser passer, elle me gratifia d’une petite tape sur les fesses quand je fus à sa portée :

— Tu ne m’avais pas menti, elle a un derrière confortable.

Héloïse se mit à rire :

— N’est-ce pas ? Attends de le voir de plus près.

Je me doutais de la suite, mais cette phrase mettait un terme au suspens, j’allais bientôt montrer mes fesses à une étrangère… plutôt à deux, car une autre jeune femme était assise au salon. Clémentine puisque c’était son nom semblait beaucoup plus effacée que sa copine Ambre, elle était aussi plus petite mais son derrière me paru bien rebondi, elle se leva pour me faire la bise. Héloïse l’embrassa également et comme Ambre l’avait fait avec moi elle claqua le fessier de son amie :

— Coucou Clémentine, tes fesses sont toujours aussi rebondies, c’est grâce au traitement de Ambre ?

La jeune femme piqua un fard et baissa la tête, son amie s’était approchée d’elle, elle lui prit le menton :

— Réponds à Héloïse ma chérie, sinon panpan cucul.

Elle avait dit ça en riant, mais je sentis une atmosphère pesante envahir l’appartement, Clémentine articula timidement :

— Euh, oui sans doute, mais tu sais j’ai toujours eu une bonne paire de fesses, c’est ce que disait ma mère.

Héloïse fit un clin d’œil à sa copine :

— Moi je pense que les séances de panpan cucul y sont pour beaucoup.

Ambre acquiesça :

— Oui, ce n’est pas tellement pour le volume, mais question fermeté, c’est vraiment mieux depuis que je m’occupe de son popotin.

J’attendais, les bras ballants, personne ne m’avait proposé de m’asseoir, j’écoutais un peu inquiète cette conversation entre les deux jeunes femmes. Clémentine me regardait, je pense qu’elle avait deviné que nous partagions le même sort.

 

J’étais contente que Ambre ait invité Clémentine, cette petite à un derrière adorable et elle accepte sans broncher les déculottées que lui administre ma copine, l’après-midi se présentait sous les meilleurs auspices.

Ma grande Sylvie est toute penaude, elle doit se douter de ce qui l’attend, on va commencer par présenter son fessier aux spectatrices :

— Viens ici petite chipie, Ambre et Clémentine vont voir ce qui arrive aux vilaines filles.

J’adore la faire rougir et pour le coup ses joues ressemblaient beaucoup à ses fesses, elle s’est approchée, juste un petit geste du doigt a suffi à la faire se tourner.

— Penche-toi !

Je savais que ce simple mouvement allait dévoiler ses dessous, ça n’a pas manqué, la base de sa culotte est apparue, légèrement rentrée dans la raie fessière, on devinait la rougeur du derrière. Ambre ne perdait pas une goutte du spectacle :

— Ouah, quelle jolie petite culotte, eh bien tu l’as soignée ta chipie, une vraie culotte de gamine. Elle porte ça tous les jours ?

J’ai retroussé sa jupe et j’ai coincé l’ourlet dans la ceinture, j’étais satisfaite de mon petit effet, j’imaginais les joues de Sylvie, elles devaient être écarlates, c’est sûr qu’a soixante-dix ans porter des petites culottes à fleurs ce n’est déjà pas très agréable mais que tout le monde soit au courant de son infortune c’est encore pire.

— Quand on reçoit encore la fessée comme une gamine, autant porter des culottes assorties à sa condition. Je lui en ai fait acheter tout un lot et elle n’a pas intérêt à porter autre chose.

La position penchée en avant mettait en valeur son bon gros derrière, je l’ai tapoté :

— Elle a vraiment un fessier confortable, mais en cherchant on a quand même trouvé des culottes de gamine à sa taille.

Il fallait maintenant mettre à nu ce popotin si bien présenté, j’ai glissé mes deux pouces dans la ceinture de la culotte et je l’ai baissé doucement sous ses fesses.

Un oh de surprise et d’admiration mêlées retentit dans la pièce, Ambre s’approcha et posa sa main sur la croupe rubiconde :

— Mazette, tu ne l’as pas loupée j’ai rarement vu un derrière aussi rouge.





J’étais ravie de mon effet et flattée que l’on apprécie mon travail à sa juste valeur :

— Ça fait un moment que je lui ai promis une journée fesses rouges et bien c’est arrivé.

Ambre avait le regard interrogatif :

— Une journée fesses rouges ?

— Je vais t’expliquer, mais avant on va mettre cette vilaine au coin.

 

 

J’ai l’habitude qu’elle me prenne par l’oreille pour m’amener au coin, mais être ainsi traitée devant deux jeunes femmes c’était particulièrement humiliant, je n’étais de toute façon pas en mesure de protester mon derrière écarlate était à sa disposition.

Elle poussa la perversité en me tirant l’oreille vers le haut et comme elle est plus grande que moi, j’étais quasiment obligée de marcher sur la pointe des pieds ce qui rendait encore plus humiliante cette marche de la honte. Pour faire bonne mesure, elle m’administra trois ou quatre claques pour me faire avancer plus vite :

— Allez dépêche-toi un peu, tu crois que je n’ai que ça à faire.

Elle m’installa dans le coin de la pièce, sans qu’elle ait eu besoin de me le dire, je mis mes mains sur la tête et je collai mon nez contre le mur.

— Je ne veux pas t’entendre !!

Elle avait ponctué sa phrase par une claque sur chacune de mes fesses écarlates. Ambre applaudi :

— Bravo ma chérie, voilà ce qui s’appelle avoir de l’autorité.

Elle se tourna vers Clémentine :

— Dis donc ma chérie, tu ne vas pas laisser Sylvie toute seule à nous montrer ses fesses, viens un peu ici.

 

La jeune femme piqua à nouveau un fard, mais elle ne protesta pas et s’approcha de sa maîtresse. Je connaissais leur rapport, mais je fus quand même un peu surprise de la docilité de Clémentine. Ambre s’était levée, elle la fit pivoter et en un clin d’œil sa copine fut troussée et déculottée, j’avais déjà vu son derrière, mais je me rendis compte qu’il était encore plus appétissant que dans mes souvenirs. Il était un peu coloré, signe d’une petite séance de panpan cucul, Ambre se tourna vers moi :

— Il est vraiment pâle par rapport à celui de Sylvie, je vais lui donner meilleure mine.

Elle s’installa sur le canapé et fit basculer Clémentine en travers de ses genoux, si j’adore donner la fessée, je ne suis pas mécontente de temps en temps d’assister à une bonne déculottée.

Celle que reçut notre petite soumise fut magistrale, Ambre était un peu vexée que sa chipie ait les fesses moins rouges que Sylvie. En quelques minutes, elle avait couvert le derrière de Clémentine d’une magnifique culotte d’un rouge flamboyant. La pauvre pédalait dans le vide, criait et suppliait sa maîtresse d’arrêter la fessée, ce qui décuplait l’envie de sa fesseuse, quand elle la fit se relever ses fesses étaient rubicondes, Ambre prenant exemple sur moi la conduisit dans l’autre coin de la pièce en la tenant par l’oreille.



Une fois les deux punies installées le nez contre le mur il fut temps pour moi d’expliquer le déroulement d’une journée fesses rouges, elle m’écoutait bouche bée :

— Mais ça fait combien de fessées depuis ce matin ?

— En fait ça ferait douze, mais madame a eu droit à deux fessées supplémentaires.

— Ah bon et pourquoi ?

Je lui expliquai que l’administration d’une fessée toutes les heures ne dispensait pas la punie d’en recevoir une en dehors de ce décompte si elle avait fait une bêtise. Ambre contemplait le bon gros derrière cramoisi de ma chipie :

— Eh bien, quatorze fessées depuis ce matin, je savais qu’un derrière bien joufflu pouvait en recevoir beaucoup, mais quand même.

Je regardai ma montre :

— D’ailleurs il est quinze heures trente, c’est l’heure du panpan cucul. Sylvie amène-moi tes fesses !

 

 

Je savais que ça allait arriver, mais entendre ces mots me glaça. Bien sûr j’exposais déjà mes fesses nues à cette jeune femme inconnue, mais ce n’était quand même pas pareil que de recevoir une fessée déculottée.

— Reculotte-toi.

Elle ne voulait surtout pas se priver du plaisir du déculottage, elle s’installa sur une chaise face au canapé ou Ambre était assise. C’était tout un cérémonial qui se mettait en place pour ma première correction en public.

Elle me saisit la main pour me basculer sur ses cuisses, elle prit bien soin de me placer de telle façon que mes pieds décollent du sol, rendant la position encore plus honteuse. Elle tapota le fond de ma culotte :

— Tu es prête ma chérie, Ambre va assister à ta fessée, j’espère que tu as bien honte de te faire baisser la culotte devant elle.

— Oui, mademoiselle Héloïse, j’ai honte, pardonnez-moi.

Je savais qu’il fallait toujours répondre aux questions de ma jeune maîtresse. Je tournai légèrement la tête, Ambre souriait, je sentis les doigts d’Héloïse s’immiscer sous l’élastique de ma culotte :

— C’est fait pour ça ma chérie, la honte fait partie de ta punition, elle va voir comment ton bon gros derrière prend bien la fessée.

Ma culotte était arrivée au niveau de mes genoux, comme à son habitude, elle caressa mes fesses et m’obligea à écarter les cuisses, ses doigts se glissèrent dans ma raie :

— Tu vois c’est comme je t’avais dit, elle a vraiment un fessier fait pour la fessée, regarde-moi cette belle raie et cette surface.

Ambre approuva :

— C’est vrai que je n’y croyais pas mais vraiment elle à une paire de fesses magnifique.

Soudain je sentis une brûlure irradier mon derrière endolori, je reconnus immédiatement la cuisson de la brosse à cheveux. Héloïse avait décidé de me soigner pour ma première déculottée publique. Je ne pus retenir mes cris et sans souci de dignité, je me comportai rapidement comme une grande fille fessée par sa maman :

— Aïe, aïe, pardon maman, ça fait trop mal, aïe, aïe… non…

Ambre se mit à rire :

— Elle t’appelle maman ?

Héloïse semblait ravie, elle continuait de me tanner le derrière :

— Oui, ça lui arrive quand je la punis sérieusement, j’ai remarqué que l’administration d’une bonne fessée déculottée fait rajeunir les dames.

Pour sûr j’avais rajeuni, j’étais revenue cinquante-cinq ans en arrière quand ma mère me déculottait pour un oui ou un non et me rougissait les fesses allègrement.

Elle termina ma correction par une salve de coups de brosse bien appuyé et uniformément réparti sur mon fessier, je ne pus retenir mes larmes à la grande joie de ma jeune maîtresse :

— Ah nous y voilà, madame commence à regretter ses bêtises, mais c’est un peu tard ma chérie, Héloïse n’en a pas encore fini avec ton bon gros derrière. Tu vas te lever et aller montrer tes fesses à Ambre.

Je me redressai et toute honte bue je me dirigeai vers cette jeune femme qui venait d’assister à mon humiliante punition, je baissai les yeux pour ne pas croiser son regard, je sentais une chaleur sur mes joues :

— Regarde-moi petite chipie.

Le ton d’Ambre était moqueur, elle avait à peine plus de vingt ans, j’aurais pu être sa grand-mère et elle me traitait de petite chipie. Je redressai la tête, le signe de son doigt était éloquent, il fallait que je me tourne pour lui présenter mes fesses.

— C’est bien penche-toi un peu.

Comme un automate j’obéissais à ses ordres, mon derrière n’était plus qu’un brasier incandescent, je sentis sa main palper ma croupe :

— C’est vraiment du beau travail, je peux les examiner de plus près ?

— Mais bien sûr, fais comme tu veux.

Elle me tapota les fesses :

— Tu vas venir sur mes genoux, il faut que je voie mieux ton derrière.

Je me retrouvai donc à nouveau couchée en position disciplinaire, mais c’était la première fois que ce n’était pas sur les genoux d’Héloïse.



Bien sûr comme le faisait sa copine, elle ne se gêna pas pour me caresser les fesses et les écarter pour ouvrir ma raie fessière :

— Tu as raison, une bonne paire de fesses comme ça c’est vraiment agréable.

Elle tenait mes fesses écartées :

— Tu t’occupes de son petit trou j’espère.

Héloïse se mit à rire :

— Tu penses bien que oui et madame n’aime pas ça donc raison de plus, elle a droit régulièrement au thermomètre. Elle a passé l’heure du café avec un thermomètre dans les fesses et je lui ai flanqué sa fessée de treize heures trente en le lui laissant bien enfoncé.

 

Cette coquine d’Ambre adore s’occuper des petits trous, je suis sûr que Clémentine a dû goûter au thermomètre et même à des instruments plus gros :

— Tu lui as déjà mis un plug ?

— Non, il faudra que j’essaye, mais en attendant si tu veux vérifier sa température.

Je transportais toujours mon instrument fétiche, je le sortis, Ambre le regarda :

— Oh mais c’est un vrai en verre, je croyais que ça ne se faisait plus, j’en avais vu un chez ma grand-mère Ça doit être sexy un derrière garni avec ça. Je peux ?

Je regardai ma grande fille le derrière pointé vers le ciel, elle était vraiment mignonne avec son bon gros popotin écarlate. Ses fesses s’étaient contractées à l’annonce de la prise de température.

J’avoue que ce ne doit pas être très agréable de se faire écarter les fesses par une inconnue qui plus est aussi jeune. Mais ça fait partie de sa punition.

Ambre tenait toujours écartées les deux tomates bien mûres, elle posa le thermomètre sur la rondelle de Sylvie et le poussa doucement. On sentait qu’elle avait une grande habitude, ma chipie faisait des efforts surhumains pour ne pas resserrer ses fesses, Ambre me regarda en souriant :

— Tu l’as bien dressée, en général je suis obligée de claquer les derrières avant de le mettre en place.

Je sentis une pointe de regret dans sa voix.

— Si tu veux voir ce que ça fait de fesser un bon gros derrière, tu as ma permission, comme on dit la peau des fesses repousse toujours.

Mon amie me jeta un regard malicieux :

— Oh merci, si tu veux tu peux t’occuper de celui de Clémentine, je sens qu’elle s’ennuie dans son coin.

Une offre pareille ça ne se refuse pas, je suis allé chercher la deuxième chipie et je l’ai couchée sur mes genoux. Son derrière avait pâli, il ne tenait pas la comparaison avec celui de ma Sylvie, il fallait vraiment que je le réchauffe. Ambre dut comprendre :

— Je vais me contenter de ma main pour les fesses de Sylvie, par contre celles de Clémentine manquent vraiment de couleurs, tu devrais lui faire goûter à ta brosse à cheveux.

J’étais tout à fait d’accord, mais pas notre petite copine, elle se mit à gémir :

— Oh non, s’il te plaît Héloïse, je n’ai rien fait, pas la brosse, ça fait trop mal.

Je lui administrai une rapide fessée manuelle :

— Vas-tu bien te taire petite effrontée, tu crois encore que tu as ton mot à dire, si on a décidé que tu aurais droit à une bonne fessée déculottée à la brosse, tu l’auras que ça te plaise ou non.

— Exactement !! Et je peux t’annoncer qu’après celle d’Héloïse tu auras droit à une autre de ma part.

Clémentine cessa de protester se contentant de sangloter, son derrière n’était pas encore habitué aux fessées à répétition comme celui de ma Sylvie. Je regardai ma copine pour synchroniser notre fessée et quelques instants plus tard le bruit de deux fessées retentissait dans la pièce, accompagné des cris et des pleurs des deux punies. Je ne me lasserai jamais du mélange du bruit des claques sur la peau nue mêlé aux supplications de la dame fessée qui trépigne sur mes genoux.

 

Une fessée déculottée administrée par une très jeune femme dans cette position infantile c’était déjà humiliant, mais la recevoir avec un thermomètre profondément enfoncé entre les fesses, c’était certainement la plus perverse des punitions inventée par ma jeune maîtresse.

Et ce ne fut pas une petite fessée, mais une vraie bonne déculottée comme aime dire Héloïse, celle-ci n’était pas en reste et la pauvre Clémentine braillait sous les coups de brosse, elle pleurait à chaudes larmes et suppliait sa copine d’arrêter :

— Noonn, arrête s’il te plaît, ça fait trop mal, aïe, aïe…

— D’abord tu vas m’appeler mademoiselle Héloïse et je ne vais certainement pas arrêter, du moins pas avant que ton derrière soit de la même couleur que celui de Sylvie.

Je ne savais pas vraiment de quelle couleur il était, vu ma position je n’avais pas le loisir de contempler mes fesses, en revanche il était brûlant, cette jeune Ambre savait donner la fessée. Je ne pus m’empêcher de pleurer, autant de honte que de douleur. De temps en temps elle interrompait les claques pour vérifier le thermomètre et le renfoncer légèrement.

Enfin cette interminable fessée prit fin, mon derrière n’était plus qu’une boule de feu, Ambre posa sa main sur mon fessier :

— Pour une découverte des fesses de ta chipie, c’est parfait.

Elle palpa ma croupe et écarta à nouveau ma raie pour faire coulisser le thermomètre :

— Tu as compris, j’espère ? J’adore fesser les bons gros derrières comme le tien.

Héloïse en avait aussi terminé avec les fesses de Clémentine, en jetant un œil sur le côté je pus vérifier que ma jeune maîtresse s’était chargée de leurs faire prendre des couleurs :

— Tu veux compléter la punition de cette chipie je suppose. On va mettre Sylvie en exposition avec son thermomètre, ça lui fera le plus grand bien.

Elles nous firent relever toutes les deux, les larmes coulaient sur les joues de Clémentine et je n’étais pas en reste. Héloïse disposa un coussin sur la table basse et me le désigna :

— Tu te couches là et je ne veux pas t’entendre, ton bon gros derrière reste à disposition.

Elle écarta elle aussi mes deux hémisphères brûlant et fit tourner le thermomètre :

— Tu le sens bien ma chérie, j’espère que tu as bien honte de nous montrer tes fesses, elles sont magnifiques.

Pendant ce temps, Ambre avait saisi Clémentine et l’avait juchée sur sa cuisse horizontale :

— Je vais t’apprendre à récriminer, tu as juste gagné un deuxième panpan cucul ma chérie, oh tu peux pleurer, Héloïse a une vue parfaite sur ton derrière.

 

C’est vrai que le fessier rebondi de Clémentine était quasiment à hauteur de mes yeux, j’étais assez contente de moi, il était d’un rouge éclatant. Ses fesses s’ouvraient et se serraient convulsivement, elle continuait à pleurnicher, ses cuisses légèrement écartées laissaient entrevoir sa vulve, elle semblait gluante. Malgré la douleur cette petite semblait apprécier sa correction, en souriant je désignai son entre-cuisse à Ambre :

— Cette petite coquine à encore besoin d’être corrigée, tu as vu elle mouille de nous exposer ses fesses.

Ambre se mit à rire :

— Oui je crois que cette chipie en a vraiment besoin, on va lui faire plaisir.

Le joli derrière se mit à gigoter sous les vigoureuses claques que lui administrait ma copine, ses jambes pédalaient dans le vide.

Je jetai un œil à ma petite chérie qui exposait toujours son bon gros derrière garni d’un thermomètre, elle était vraiment mignonne dans cette position, son fessier écarlate tendu vers le ciel se contractait de temps en temps. Malgré sa position honteuse, je pense qu’elle n’était pas mécontente d’entendre les claques sur les fesses nues de Clémentine, au moins son derrière se reposait.

Je regardai ma montre encore une bonne demi-heure avant sa fessée de seize heures trente, elle allait rester en exposition jusqu’à ce que je lui administre.

Ambre avait fini de claquer la croupe de sa petite amie, elle me montra une boite sur le bar :

— Regarde dans cet étui, tu vas trouver un plug, tu me l’amènes.

Un petit frisson me parcourut, jusque dans ma culotte, Ambre m’avait souvent parlé de ce petit jouet qu’elle utilisait régulièrement sur ses punies, j’étais excitée à l’idée de découvrir ça.

Il y avait dans la boite trois plugs de tailles croissantes, ils étaient mignons comme tout, en silicone rose avec une jolie rondelle au bout.

— Donne-moi celui du milieu, cette chipie va y goûter aujourd’hui, d’habitude elle a droit au petit, mais elle m’a trop agacé.

La pauvre Clémentine était toujours dans cette position particulièrement inconfortable, les jambes pendantes d’un côté et la tête de l’autre. Ambre avait saisi le plug, elle tapota l’intérieur des cuisses de la punie :

— Écarte les jambes ma chérie, il faut que je voie ton petit trou.

En sanglotant elle s’exécuta :

— Pas le plug mademoiselle, non, non… Aïe, aïe, aïe…

— Mais vas-tu te taire ! Décidément tes fesses n’en ont pas eu assez. Eh bien compte sur moi, tu auras droit à quelques fessées supplémentaires avant de rentrer chez toi. Je te déconseille de serrer les fesses sinon je reprends la brosse.

Résignée, Clémentine se laissa docilement écarter largement la raie fessière, elle était profonde et bien marquée, la rondelle brune se contractait en attendant la pénétration. Ambre en me souriant passa le bout du plug au fond de la raie :

— Elle est vraiment mignonne, tu ne trouves pas, tu vas voir le plug rose lui va très bien.

Elle posa le plug sur l’anus et le poussa doucement, Clémentine gémissait, mais elle ne resserrait pas les fesses :

— Olala, il est gros mademoiselle, ça fait mal… aïe, aïe…

La main de la sévère maîtresse venait de reclaquer sèchement deux fois les fesses tendues :

— Tais-toi, il est juste de la taille qui convient aux vilaines et puisque tu continues de te plaindre et bien tu vas la garder jusqu’au coucher tant pis pour toi.

 

En tournant la tête je pouvais voir le spectacle terriblement excitant de Clémentine en train de se faire plugger. Ses fesses étaient cramoisies, ses deux copines s’étaient régalées sur son postérieur joufflu, Ambre tenait d’une main le plug rose et de l’autre elle écartait largement les deux hémisphères, sa position était particulièrement humiliante, elle pleurait et gémissait doucement.

La sévère fesseuse poussait lentement l’engin punitif qui disparaissait dans le fondement de la jeune femme.

Héloïse s’aperçut que j’avais tourné la tête pour regarder :

— Tu as vu ce qui arrive quand on est vilaine, regarde bien comment on met un plug en place, tu y goûteras bientôt.

La taille du plug m’impressionnait, mais il semblait pénétrer sans aucune difficulté, bientôt la rondelle se cala au fond de la raie et Ambre relâcha les fesses. Elle claqua les fesses de sa soumise :

— Te voilà bien garnie ma chérie, maintenant tu vas aller au coin.

La culotte était tombée par terre, elle la ramassa et la mit en boule, elle s’approcha de Clémentine :

— Ouvre la bouche !

La pauvre devait être habituée à cette humiliation supplémentaire, elle ne protesta pas quand sa maîtresse lui fourra la culotte dans la bouche. Elle la fit ensuite pivoter et lui administra deux magistrales claques sur chacune des fesses :

— File au coin et que je ne t’entende pas !!

Héloïse souriait amusée par cette nouvelle punition :

— Quelle bonne idée, au moins on ne va pas l’entendre chouiner.

— Oui, j’ai vu ça sur plusieurs blogs de fesseuse, ça remplace le savonnage de la bouche et puis c’est encore plus honteux.

Ma maîtresse me tapota les fesses et fit coulisser le thermomètre :

— Tu as vu ce qui va t’arriver la prochaine fois que tu iras au coin en pleurant.

Ambre était allée préparer un café, elles s’installèrent dans le canapé, elles avaient certainement une vue parfaite sur mon derrière écarlate.



lundi 15 septembre 2025

Mademoiselle Héloïse 3

 Journée fesses rouges pour Sylvie



Je dormais profondément, le vieux dicton qui dit qu’on dort mieux avec une paire de fesses bien rouge était donc vrai.

La porte de la chambre s’ouvrit brusquement :

— Debout paresseuse.

Héloïse tira les rideaux et la lumière envahit la chambre, avant que j’aie eu le temps de réagir, elle tira sur ma couette. Ma courte nuisette était légèrement relevée, par un réflexe de pudeur, je la remis en place, ce qui eut le don de faire rire ma jeune maîtresse :

— Tu sais que je connais parfaitement ton côté pile et ton côté face ma chérie et je pense qu’aujourd’hui tu vas me montrer beaucoup de choses.



J’adore quand ma petite Sylvie retrouve ses réflexes de dame et veut me cacher son intimité, c’était charmant cette façon de tirer sur sa nuisette. Il me tardait quand même de voir son bon gros derrière :

— Tourne-toi que je voie tes fesses.

C’est plaisant d’être obéie au doigt et à l’œil, sans discuter ma petite Sylvie s’est mise sur le ventre. La chemise de nuit que je lui fait porter arrive à peine à mi-cuisse, au moindre de ses mouvements la base de son derrière apparaît. J’ai saisi l’ourlet pour mettre à nu son plantureux derrière, elle serrait déjà les fesses.



Sentir l’air sur son derrière dès le matin n’augurait rien de bon, j’en eus rapidement la confirmation :

— J’espère que tu te rappelles ce que je t’ai promis la dernière fois, la prochaine fois que je suis obligée de sévir, ce sera une journée fesses rouges. Eh bien nous y voilà.

J’ai senti sa main qui palpait ma croupe, même si je commence à en avoir l’habitude, cette inspection de mes rondeurs postérieures est toujours aussi humiliant :

— Ton derrière est en parfait état, à peine rosé, je te garantis que demain ce ne sera pas le cas, après une journée fesses rouges, ton derrière sera beaucoup plus coloré. Allez debout !



Son large derrière étalé devant mes yeux m’avait passablement excitée, mais je voulais vraiment rester une maman sévère, elle avait fait la bêtise de trop ses fesses allaient en payer le prix.

Je me suis installée au bout du lit, elle se tenait la tête baissée devant moi, je lui pris la main et elle s’est couchée docilement en travers de mes cuisses. Cette nuisette est vraiment pratique pour mettre son derrière à l’air.

Je me remémore les conseils du blog de Sylvie Bouger, une fessée déculottée tous les quarts d’heure la première heure, allons-y.




Je ne m’attendais pas à une fessée si sévère dès le matin, ses claques se succédaient à un rythme infernal. Je devais lui offrir une vue magnifique sur mon entre-cuisse, j’ai eu beau la supplier la correction se poursuivit jusqu’à son terme :

— Je vais t’apprendre à désobéir, à madame ne veux pas comprendre ? Eh bien c’est à tes fesses que je vais m’adresser.

Mes fesses étaient brûlantes quand j’ai pu me relever, je n’avais pas pleuré, mais les larmes n’étaient pas loin.

Elle m’a fait tourner devant la glace :

— Tiens ta nuisette et regarde tes fesses tu vois comme elles sont rouges et bien elles vont rester comme ça toute la journée.

Mon bon gros derrière était écarlate, j’avais honte d’être obligée de le regarder, ça me brûlait et ce n’était que le début.

— Tu viens avec moi à la cuisine, tu vas aller au coin pendant que je prépare le petit déjeuner.

Elle m’a administré une magistrale claque au milieu des fesses pour me faire avancer :

— Garde ta chemise de nuit retroussée que je voie bien ton gros popotin.

Elle a le chic pour trouver les phrases humiliantes, je me suis exécutée.



Quel charmant spectacle que de suivre ma petite Sylvie tenant sa nuisette, relevée, ses deux bonnes grosses fesses, rouges comme des tomates, se dandinant au rythme de ses pas. Je ne me lasserai jamais de ce spectacle et j’ai beau me moquer du volume de son fessier, j’avoue que c’est quand même très agréable pour lui administrer une bonne fessée.

Une fois dans la cuisine, elle s’est dirigée naturellement vers le coin qui lui est réservé, le martinet est suspendu juste à côté. J’ai pris une pince à linge pour agrafer sa nuisette dans son dos et elle a mis immédiatement ses mains sur sa tête. Elle commence à être parfaitement éduquée.



Le nez collé au mur je l’entendais préparer le petit déjeuner, elle chantonnait, apparemment m’administrer une fessée déculottée au réveil l’avait mis de bonne humeur. D’habitude je trouve le temps long quand je suis au coin, mais je savais qu’elle n’en avait pas fini avec mes fesses, finalement j’étais bien là.



Elle m’a enfin appelé :

— Viens ici.

Elle était assise sur une chaise qu’elle avait tiré au milieu de la pièce, j’ai tout de suite remarqué la brosse à cheveux posée sur la table, son doigt me désignait ses genoux. Je me suis approchée, ça a été rapide, j’étais à nouveau en position disciplinaire. Elle a tapoté mes fesses :

— Tu es prête ma chérie, deuxième fessée de la journée.

La cuisson à été immédiate et terrible, je me suis cabrée, je pédalais dans le vide. La brosse s’abattait avec régularité sur chacune de mes fesses, c’était affreux :

— Alors comme ça tu as décidé de n’en faire qu’à ta tête et tu pensais peut-être que j’allais laisser passer ça, eh bien tu te trompes ma chérie, je te garantis que ton bon gros derrière va te brûler toute la journée.



Sur le blog de référence que j’ai bien étudié, il était fortement conseillé d’utiliser au moins une fois un instrument pour les premières fessées, ceci afin de faire monter la température du fessier et qu’il reste rouge plus longtemps. J’adore utiliser la brosse à cheveux pour corriger Sylvie, c’est une brosse que j’ai achetée spécialement pour s’occuper de son gros derrière, elle est lourde et large, je l’ai bien en main. Chaque coup sur la croupe déclenche un cri de la punie, ses fesses s’ouvrent et se serrent au rythme de la punition, ma chérie va se rappeler qu’il ne faut pas me désobéir chaque fois qu’elle va s’asseoir.

Son derrière était déjà bien rouge, maintenant il est cramoisi et Sylvie n’a pas pu retenir ses pleurs plus longtemps, j’ai maintenant, couchée sur mes genoux, une grande fille punie par sa maman.

C’est moi la maman, même si je n’en ai pas l’âge et que la dame éplorée couchée sur mes cuisses pourrait quasiment être ma grand-mère, mais ce n’est pas un jeu, je prends très au sérieux mon rôle, la couleur des fesses de Sylvie est là pour en témoigner.



— Maintenant tu cesses de chouiner, tu n’as que ce que tu mérites, on va déjeuner et tu recevras ta troisième fessée ensuite.

J’étais debout devant elle, j’aurais tellement aimé me frotter les fesses, elle me désignait la chaise sur laquelle je posai délicatement mon fessier brûlant, je dus faire une grimace, car Héloïse se mit à rire :

— Madame a mal à son gros popotin ? J’espère que tu commences à comprendre, de toute façon tu vas les sentir toute la journée tes bonnes grosses fesses bien rouges.

J’ai essayé de faire bonne figure, je sais qu’elle déteste quand je fais la tête après avoir été punie. Mes fesses brûlantes posées sur la chaise, j’ai bu mon café et mangé une tartine, Héloïse avait posé la brosse à cheveux bien en évidence sur la table, j’y jetais un œil de temps en temps, le souvenir de sa trace sur mon derrière était encore bien présent, elle surprit mon regard :

— C’est très efficace pour rougir le derrière des vilaines, je suis sûr que tes fesses ont apprécié. Lève-toi et viens me les montrer.



Je venais juste de finir ma tasse, elle avait reculé sa chaise, le signe était explicite, je me tournai pour lui présenter ma croupe, elle appuya sur mon dos pour me faire pencher en avant, je sentis ses doigts caresser mes fesses douloureuses, puis les écarter :

— Tu as vraiment une magnifique paire de fesses ma chérie, surtout quand elles sont bien rouges. C’est la couleur qu’elles vont garder toute la journée, Allez, viens ici.

Elle me désignait à nouveau ses cuisses, j’ai essayé de protester.



C’est quand même extraordinaire, elle sait que se plaindre ou essayer d’échapper à sa punition lui vaut toujours une dose supplémentaire, mais elle ne peut s’en empêcher :

— Mademoiselle, s’il vous plaît pas encore la fessée, mes fesses sont déjà bien rouges… Aïe, aïe…

Ma main a claqué ses cuisses et elle s’est mise à sautiller sur place, j’ai pris mon air de maman sévère :

— Décidément tu ne veux en faire qu’à ta tête, si j’ai décidé de te flanquer une fessée, tu sais bien que tu n’as rien à dire. Tu viens juste de gagner une déculottée supplémentaire. Je vais compter, si à trois tu n’es pas en position, je te pèle le derrière ! Un…

En général, c’est radical, je ne dépasse plus jamais deux depuis qu’un jour elle m’a forcée à compter jusqu’à quatre, la correction qu’elle a reçue ce jour-là lui a laissé les fesses cramoisies pendant toute la soirée et en plus je me suis installée sur la terrasse pour la punir. Elle ne s’avise plus de recommencer, à peine le chiffre magique avait-il été prononcé que son bon gros popotin bien rouge s’étalait devant mes yeux, je l’ai palpé et pincé. En fait j’adore quand elle récrimine, ça me donne l’occasion de claquer encore plus fort son derrière.

— Donc la troisième fessée qui était prévue et un petit supplément avec ma pantoufle, tu es prête ?



Je le sais pourtant, mais c’est plus fort que moi, j’étais bonne pour me faire rôtir le derrière une fois de plus. Héloïse claque vraiment très fort avec sa main, mes fesses étaient encore cuisantes de la correction à la brosse, cette simple fessée manuelle m’a horriblement brûlée. Je pleurais comme une madeleine, mais ça ne l’a pas empêchée de se pencher pour prendre sa pantoufle, elle a une semelle en cuir et depuis qu’elle a découvert sur un blog que c’était très utilisé par les mamans au Maghreb, elle ne s’en prive pas.

— Cette fessée ne compte pas pour la journée fesses rouges, c’est un bonus n’est-ce pas ma chérie. Maintenant tu vas aller au coin pour réfléchir à tes bêtises, il te reste encore une fessée avant neuf heures.

J’avais reçu déjà quatre fessées, mais seulement trois comptaient, elle m’avait fait lire le blog où était expliqué le déroulement d’une journée fesses rouges, je ne pensais pas qu’elle le suivrait à la lettre.

Elle a tenu parole, après un quart d’heure au coin le nez collé contre le mur, elle m’a fait venir et m’a courbée sous son bras pour une rapide fessée avec sa sandale. Mon fessier n’était plus qu’une boule de feu.

— Tu peux aller te doucher, tu recevras encore deux fessées pendant l’heure qui arrive et ensuite une toutes les heures, je te garantis que tu vas t’en souvenir. Je vais te faire passer l’envie de recommencer.



Ma petite chérie est partie faire sa toilette, je me suis régalée à regarder ses fesses se dandiner au rythme de sa marche telles deux grosses tomates bien mûres. Je pense qu’elle va goûter au séchage des fesses spécial Héloïse.



Je vais lui laisser un peu de temps, la douche va faire refroidir son derrière, je me chargerai de le réchauffer ensuite.

Quand je suis entrée dans la salle de bain, elle était encore sous la douche :

— Ça fait du bien à ton bon gros derrière ? Profites-en, je vais revenir dans deux minutes, tu ne sors pas de la douche sans mon autorisation.

Son regard inquiet et interrogateur me ravit, elle se demande ce qui l’attend, je vais la laisser mariner un peu.

Elle n’a pas attendu deux minutes, mais cinq, je savais qu’elle devait se poser plein de question. Je me suis assise sur le tabouret servant à déposer ses affaires et j’ai mis une serviette sur mes cuisses :

— Viens me voir vilaine fille, maman Héloïse va te sécher le derrière.

Elle a soudain compris ce que j’avais prévu, elle n’a pas encore goûté à la fessée mouillée, mais je sais qu’elle lit beaucoup de blog sur la fessée, elle sait donc ce qui l’attend.

Je l’ai prise par la main et je l’ai basculée sans ménagement en travers de mes genoux, ses fesses étaient encore bien rouges. J’ai commencé à claquer son large derrière et elle s’est mise à pleurer et à supplier immédiatement. C’est vrai qu’une fessée sur la peau mouillée est très douloureuse, mais sur sa croupe déjà écarlate, ça devait la cuire encore plus.


Au bout d’une centaine de claques distribuées équitablement sur chaque fesse, la peau de son derrière était brûlante mais totalement sèche :

— Voilà ma chérie, tes fesses sont ravissantes, tu peux finir de te sécher, ensuite on va aller t’habiller.



Je n’avais pas encore reçu la fessée sur mon derrière mouillé, je peux vous dire que la cuisson est bien supérieure à celle d’une fessée normale. Heureusement en finissant de me sécher j’ai pu discrètement me frotter les fesses. L’annonce qu’elle allait m’habiller ne me disait rien qui vaille, en plus de mes culottes de gamines, elle m’a fait acheter des jupes bleu marine et écossaises plissées et très courtes qui me font ressembler à une collégienne plutôt qu’à une dame d’âge mûr. Elle m’a dit en riant le jour où on les a commandées sur internet, « quand on reçoit encore la fessée cul nu on porte des jupes adaptées ».

Heureusement elle ne me les fait porter que rarement, mais j’ai comme l’intuition que ma journée fesses rouges sera aussi une journée collégienne.

Elle a pris ma nuisette et m’a claqué les fesses :

— Allez en route, tu restes toute nue, ça va aérer tes rondeurs.

Je me suis pensée intérieurement que depuis mon réveil, mes fesses n’avaient pas été couvertes bien longtemps, elles avaient vraiment pris l’air.



Je suivais ma grande fille au derrière écarlate, elle a vraiment une très bonne paire de fesses, elle ne s’en doute pas, mais cette façon qu’elle a de les tortiller quand elle marche me donne encore plus envie de les claquer.

J’ai ouvert sa commode et j’ai sorti une mignonne petite culotte à fleur et une paire de socquettes blanches. Sa culotte ne va pas être souvent sur son derrière aujourd’hui mais la déculotter comme une gamine est un plaisir dont je ne veux pas me priver. J’ai choisi ensuite un chemisier blanc et en souriant j’ai décroché cette mini-jupe écossaise rouge. Son regard suppliant m’a fait rire, elle sait qu’elle va devoir ressembler à une collégienne toute la journée :

— Tu verrais ta tête, c’est vraiment rigolo. Elle n’a pas l’air de te plaire cette tenue, pourtant je suis sûre que tu vas être très mignonne tu vas avoir un succès fou quand on va sortir.

— Oh non, mademoiselle, s’il vous plaît, je ne vais quand même pas sortir habillée comme ça.

C’est vraiment incroyable, madame a littéralement le feu aux fesses et elle recommence.



Le regard que m’a lancé Héloïse était éloquent, j’ai voulu ravaler ma supplication, mais c’était trop tard le mal était fait. Elle a posé calmement la tenue de collégienne sur le lit et a pris la brosse à cheveux posée sur la commode :

— Madame, n’a pas encore compris ? Pourtant ton derrière a une très jolie couleur. Eh bien je vais encore m’adresser à tes bonnes grosses fesses !

Elle a posé son pied sur la chaise et m’a saisi par la taille pour me percher sur sa cuisse horizontale, je déteste cette position infantilisante qui laisse mes fesses entièrement à sa disposition, mes pieds décollés du sol me permette de gigoter et je sais qu’elle adore voir mon derrière danser. Immédiatement la brosse est entrée en action :

— Ah madame ne veut pas s’habiller en collégienne et bien madame aura les fesses bien rouges sous sa petite culotte de gamine. Tu peux pleurer, je ne vais pas m’arrêter, je te garantis que tu vas cesser de récriminer à tout bout de champ dussé-je te peler le derrière ! Je t’annonce que cette fessée ne compte pas, c’est encore un petit cadeau.

La correction n’a pas duré très longtemps, quand elle m’a reposée par terre, j’ai jeté un œil dans la glace, mes fesses n’étaient que deux boules très rouges, les larmes coulaient sur mes joues, elle m’a tendu un mouchoir :

— Essuie ton visage vilaine, quand vas-tu devenir grande ? Maman Héloïse est fatiguée de t’administrer la fessée.

Je n’ai pas répondu, je savais qu’elle mentait, elle ne se fatiguait jamais de me corriger. J’ai enfilé ma culotte sur ma croupe brûlante, j’ai du faire une petite grimace, car elle a souri :

— On dirait que madame à mal à son cucul.

J’ai senti mes joues s’empourprer, c’est vrai que j’avais vraiment mal aux fesses. Je n’ai pas répondu et sans un mot j’ai enfilé cette tenue qui me transformait en adolescente.

Quand j’eus terminé, elle me prit la main et me fit pivoter :

— Tu es vraiment ravissante.



C’est vrai qu’elle était mignonne ma grande fille avec ses yeux rougis, on devinait qu’elle venait d’être punie. Nous entamions la deuxième heure, elle devait encore recevoir deux fessées, celle que je venais de lui administrer ne comptait pas. Je décidai de laisser son derrière refroidir un peu et de ne pas être trop sévère. Elle avait encore un grand nombre de fessées à recevoir d’ici ce soir, ses fesses devaient pouvoir les supporter, mais elle n’allait pas rester toute la journée au coin :

— Tu vas faire un peu de ménage, la maison en a besoin, tâche de t’appliquer.

Elle s’est mise au travail sans protester, j’étais assise dans le canapé et je me régalais de voir sa petite culotte apparaître quand elle se penchait pour faire la poussière. J’en ai profité pour faire quelques photos de ma grande fille et de sa mini-jupe ultra-courte que j’ai envoyée à Ambre ma copine « regarde comme elle est mignonne, ça donne vraiment envie de lui faire panpan cucul ».

Au bout d’une demi-heure, il était temps de faire prendre l’air à son derrière, je me suis levée, elle m’a regardée avec des yeux larmoyants, j’ai failli craquer et lui faire cadeau de sa fessée, mais je me suis ressaisie :

— Je sais que ton bon gros derrière doit te cuire ma chérie mais c’est de ta faute, tu m’as obligée à te donner deux fessées supplémentaires, approche un peu.

Je l’ai juste courbée sous mon bras, la base de sa culotte était déjà visible, je l’ai troussée et déculottée pour une correction rapide. Elle a piétiné sur place et s’est mise à pleurer presque instantanément. Je n’ai utilisé que ma main, c’était suffisant pour entretenir la chaleur de son fessier. J’ai coincé l’ourlet de sa jupe dans sa ceinture et remonté sa culotte juste sous ses fesses :

— Tu continues à travailler cul nu, ça t’apprendra.



Encore une fessée, mes pauvres fesses sont brûlantes, je n’ai pas tenu le décompte de toutes les déculottées que j’ai reçues, mais elle si :

— Déjà sept fessées ma chérie, je crois que ton derrière va battre des records aujourd’hui.

J’ai jeté un œil à la pendule, sept fessées en une heure et demie, effectivement ma jeune maîtresse comptait certainement battre un record sur mes pauvres fesses.

Je me suis remis au travail, faire le ménage ne me dérange pas, j’aime que ma maison soit propre, mais le faire les fesses à l’air, c’est particulier. Je sentais son regard braqué sur mon fessier :

— Ton derrière est vraiment ravissant, tu sais que tu le tortilles très bien.

Elle adore ces petites piques humiliantes, juste avant dix heures, j’ai dû reprendre la position traditionnelle de la gamine punie, en travers de ses genoux. Elle n’a pas utilisé d’instrument, elle a juste ajouté :

— Ton derrière a atteint la couleur et la température requise, je vais juste l’entretenir, à partir de maintenant tu recevras une fessée déculottée toutes les heures. La prochaine est à dix heures trente, en attendant tu peux te reculotter.

Elle ne me fit pas mettre au coin et se mit à pianoter sur son téléphone, ce calme relatif était un peu déstabilisant après ce début de matinée plus que cuisant. Je m’installai sur le canapé, mais je ne pus retenir une grimace, la position assise était assez inconfortable. Elle avait sans doute remarqué ma mimique :

— Je sais ma chérie, ça brûle, mais c’est comme ça que tu vas te souvenir qu’il faut obéir à Héloïse.

Elle respecta à la lettre le tableau de marche, à douze heures trente avant de passer à table je dus me coucher sur ses genoux pour une nouvelle fessée. 



Elle ne remonta pas ma culotte comme elle l’avait fait pour les deux précédentes :

— Tu vas manger cul nu sur la chaise, retrousse ta jupe avant de t’asseoir.



Le derrière de ma petite Sylvie est vraiment rubicond, nous en sommes à onze fessées depuis que j’ai été la réveiller. Je suis sévère, mais elle en a besoin. Depuis le temps que je lui promets sa journée fesses rouges, elle l’a vraiment cherchée.

J’adore la voir se trémousser sur sa chaise pendant le repas, sa culotte baissée aux genoux est bien visible, c’est assez sexy.

Je lui réserve une pause café un peu particulière, elle ne va pas trop aimer, mais moi si.

Le repas c’est passé sans incident notable, bon c’est moi qui ai fait la conversation, Sylvie se contentant de répondre, elle est bien obligée, elle sait que je déteste quand elle fait la tête Elle a débarrassé la table et rangé la vaisselle, j’avais pris soin de lui coincer la jupe dans la ceinture pour que son derrière rouge reste bien visible. Je me suis préparé un café et quand elle eut terminé je lui ai fait un petit signe :

— Viens un peu là la chérie, maman Héloïse a prévu quelque chose pour t’occuper pendant qu’elle prend son café.

A sa tête j’ai vu qu’elle avait compris ce qui l’attendait.



Le repas assise cul nu sur la chaise avait été une épreuve, mais quand je suis revenue au salon j’ai tout de suite vu le thermomètre posé sur la table basse, elle tapotait ses genoux, j’étais bonne pour une séance de pénitence très humiliante, je déteste ça et elle le sait.

Quand mademoiselle Héloïse a décidé d’une punition, il n’est pas question de protester, je me suis donc couchée en travers de ses cuisses, elle a baissé un peu plus ma culotte :

— Tu es bien installée ma chérie, maman Héloïse va te prendre la température et comme tu as été vilaine tu vas garder le thermomètre pendant toute ma série.

J’ai senti ses doigts écarter mes fesses, j’ai fait des efforts pour ne pas les contracter, elle avait une vue parfaite sur mon petit trou, la première fois qu’elle m’a imposé ça, j’ai cru mourir de honte. Le thermomètre dans les fesses à mon âge, c’était inimaginable mais après quelques sévères fessées déculottées j’ai appris que c’était non seulement possible mais souhaitable.

Maintenant j’accepte cette honteuse violation de mon intimité même si c’est toujours aussi humiliant pour moi.

Le thermomètre pénétrait doucement, Héloïse ne se contentait pas de le mettre en place, elle commentait :

— Avec des fesses aussi chaudes, il faut absolument que je vérifie ta température, allez relâche ton petit trou mieux que ça. Voilà il est bien en place, tu le sens ma chérie ? Tu deviens mignonne, c’est à cause de tes fesses rouges ?





J’adore relâcher ses fesses quand je lui ai mis le thermomètre, c’est très sexy ce bon gros derrière serré sur le petit bout de verre. Il est vraiment très rouge et bien chaud, je vais attendre un peu pour lui flanquer sa fessée de treize heures trente.

C’est agréable de regarder la télé en même temps que je caresse sa croupe brûlante, je la sens se détendre. De temps en temps je fais coulisser le thermomètre, je suis sûr que ça l’excite.

Elle reçut donc sa douzième fessée avec l’instrument médical bien enfoncé dans le derrière.

A la fin de ma série je l’ai autorisée à se reculotter et je l’ai laissée libre de vaquer à ses occupations.

J’avais dit à Ambre que je serais chez elle vers quinze heures, mais je ne l’avais pas encore annoncé à ma chipie.





Mes fesses étaient cramoisies, ma jeune maîtresse m’avait conduit devant la glace en riant :

— Regard un peu ton bon gros derrière comme il a bonne mine.

Effectivement c’était deux belles tomates bien mûres qui se reflétaient dans la glace, j’ai remonté doucement ma petite culotte de gamine sur mon derrière brûlant, le simple contact du coton était désagréable. J’avais un peu de temps devant moi, j’ai décidé de lire un peu, mais la position assise n’était pas très confortable, j’étais obligée de passer d’une fesse sur l’autre pour que cela reste supportable.

Malheureusement pour moi et surtout mon derrière, Héloïse tenait scrupuleusement à jour le décompte des corrections, à quatorze heures trente elle m’a appelée :

— C’est l’heure de me présenter tes fesses ma chérie, viens ici.

Elle s’était levée, elle posa son pied sur un petit tabouret et me fit basculer en travers de sa cuisse, c’était la deuxième fois de la journée qu’elle utilisait cette position tellement infantilisante. Je détestais ma jeune maîtresse au moment où je me suis retrouvée les jambes pendant dans le vide et mes mains s’agrippant au tabouret pour ne pas perdre l’équilibre. Dans cette position, ma jupe devait laisser voir ma culotte, elle n’a pas tardé à la retrousser et sans attendre elle a simplement retourné ma culotte la laissant sous mes fesses. Pas d’instrument pour cette fessée, mais sa main claque si vite et si fort que je me suis mise à crier instantanément, j’avais repris le décompte de mes déculottées, c’était la treizième fois que je lui présentais ma croupe.

Cette fessée n’a pas duré longtemps, quand elle m’a reposé par terre, j’avais une folle envie de frotter mon derrière brûlant, elle a dû le deviner :

— Ça brûle vraiment ma chérie ? Exceptionnellement je t’autorise à frotter ton derrière.







Elle m’a regardé avec stupéfaction quand je lui ai permis de frotter son derrière, je ne l’avais pas ménagé depuis le matin, il faut de temps en temps faire preuve de générosité.

Et surtout elle est tellement mignonne ma grande chipie, avec sa culotte aux genoux, ses mains glissées sous sa jupe qui frotte énergiquement ses fesses. Au bout d’une minute, j’ai jugé que j’avais été suffisamment gentille :

— Bon ça suffit maintenant, retrousse ta jupe et montre-moi tes fesses.

C’est systématique après une douceur, il faut un petit rappel à l’ordre, ma chipie s’est docilement retournée et a retroussé sa jupe pour m’exposer sa croupe rubiconde. Un vrai délice que son bon gros derrière bien rouge encadré par sa jupette retroussée.

Il était temps de lui annoncer la suite du programme :

— Tu peux te reculotter on sort.







L'institut suite 11

Correction pour deux chipies   En sortant du bureau de madame Desrodes, les deux élèves avaient les larmes aux yeux. Clémentine surtout, ell...