jeudi 25 janvier 2024

Deux étudiantes

 La maman de Clara



Elles étaient toutes les deux étudiantes en médecine, Clémence avait 25 ans et Clara 24 et elle partageait un appartement en colocation.

Quand Clara raccrocha son téléphone son visage était devenu pâle, Clémence un peu inquiète lui demanda :

- ça ne va pas, que se passe t il ?

- ma mère est à la gare, elle sera là dans 1/4 h.

Puis sans en dire plus, elle se précipita dans sa chambre. Clémence la suivit intriguée par le comportement de son amie. Celle ci avait enlevé son jean et était en train de changer de culotte, celle qu'elle portait était très sexy, en dentelle et ne dissimulait rien de l'intimité de la jeune femme. Elle la jeta sur le lit et fouillant dans sa commode, elle sorti une mignonne petite culotte en coton avec des petites fleurs. Elle l'enfila prestement. Puis se tournant vers sa copine :

- maman déteste que je porte des culottes sexy, oh mon dieu, ce bazar, quand elle va voir ça elle va être furieuse.

Fébrilement, elle tira la couette pour refaire son lit et ramassa les vêtements qui jonchaient le sol pour les mettre en vrac dans un placard. Mais remettre en état sa chambre était impossible en 1/4 h.

Clémence regardait Clara amusée, cette agitation lui paraissait vaine. Pourquoi avoir changé de culotte, sa mère n'allait pas la voir sous son jean et puis pourquoi ranger sa chambre, après tout elles étaient chez elles quand même.

La sonnette retenti, Clara se précipita pour ouvrir à sa mère. Laurence était une grande et belle femme de 50 ans, brune, les cheveux courts et l'air très stricte malgré son sourire. Elle embrassa tendrement sa fille, Clémence la connaissait un peu, elle lui fit une bise. Laurence avait jeté un regard circulaire sur le salon en désordre, son regard s'était assombri :

- eh bien, ce n'est pas comme ça que je t'ai éduquée, j'espère que ta chambre n'est pas dans cet état ! 

Elle se dirigea vers la chambre de Clara, celle-ci, très pâle la suivit. Quelques instants plus tard, des cris retentirent dans l'appartement et Laurence revint dans le salon tenant Clara par l'oreille, Clémence abasourdie regardait la scène. Sa copine  avait perdu toute sa superbe, elle suppliait sa mère :

- non, non pardon maman, je t'en supplie pas ici, pas maintenant, je vais ranger ma chambre, promis...

Laurence s'était assise sur une chaise, elle avait lâché l'oreille de sa fille, mais celle ci était devant elle, coincée entre ses genoux :

- oh oui, tu vas la ranger ta chambre, c'est sûr, après la bonne fessée que tu vas recevoir !! 

- s'il te plaît, maman pas ici... 

- et pourquoi donc ? Parce qu'il y a Clémence ? Tu sais bien que te donner une fessée déculottée en public ne m'a jamais dérangée. Je pense même que c'est beaucoup plus efficace, surtout à ton âge. 

Elle avait entrepris de déboutonner le jean et elle le fit descendre jusqu'aux genoux. 

Clémence regardait fascinée le spectacle, sa copine, d'habitude si sûr d'elle, qui draguait les garçons avec arrogance, ses fesses dont elle était si fière, moulées dans sa culotte en coton de petite fille et qui maintenait pleurnichait comme une gamine :

- pas la fessée... S'il te plaît... 

Ainsi à 24 ans, on pouvait encore recevoir ce châtiment enfantin. Laurence maintenant tenait la main de sa fille, elle la tira pour la faire basculer sur ses cuisses. Clara devait être habituée à la position car elle se laissa faire et posa ses mains par terre pour se stabiliser. Ses fesses étaient maintenant bien tendues sous la culotte, celle ci rentrait légèrement dans la raie fessiere, laissant entrevoir la base du derrière. La main de la sévère maman se leva et Clara poussa un cri, puis un autre car Laurence claquait très rapidement le fessier rebondi de sa fille. Une centaine de claques furent distribuées sur la culotte puis sans dire un mot Laurence glissa un doigt dans l'élastique et entrepris de baisser la culotte de sa fille. 

- noon, noon, maman pardon, pas la culotte, s'il te plaît... 



Laurence se mit à sourire et tout en continuant l'humiliant déculottage elle regarda Clémence :

- et pourquoi donc pas la culotte ? N'est-ce pas Clémence qu'une bonne fessée c'est toujours cul nu. Oui je sais qu'à 24 ans ce n'est pas très agréable de se retrouver fesses à l'air devant sa copine mais la prochaine fois tu réfléchiras et tu rangeras ta chambre. 

Maintenant la culotte était descendue à mi-cuisse et les magnifiques fesses de Clara apparurent, bien mise en valeur par la position. Elles étaient déjà un peu rouges, Clémence avait toujours envié son amie d'avoir une si belle paire de fesses, elle trouvait les siennes bien moins jolies. Elle était secrètement ravie de ce qui arrivait à Clara, que de fois en la voyant se promener en petite tenue n'avait elle pas rêvé de la déculotter. Maintenant Clara était en position disciplinaire, cul nu, elle gémissait doucement, implorant le pardon à sa mère. Celle-ci assura la position de la punie, plaça sa main gauche sur les reins et levant la droite, elle commença la vraie fessée. Clémence n'avait jamais assisté à une fessée, elle même ne l'avait jamais reçue dans son enfance, à peine quelques claques par dessus la jupe. Laurence était une redoutable fesseuse, sa main claquait à une allure folle les fesses de sa fille, elle alternait les claques ne frappant jamais deux fois la même fesses, sa main s'adaptait aux formes généreuses de sa fille, elle semblait rebondir sur la croupe tendue, elle n'oubliait aucun endroit, de la base des fesses au creux des reins le magnifique fessier commençait à prendre une belle couleur. Au début de la punition, Clara s'était contentée de gémir sous les claques mais maintenant la cuisson était telle qu'elle se mit à pleurer comme une gamine, suppliant sa mère d'arrêter :

- oh non, maman... Aïe, aïe, aïe,  aie, pardon, ça fait mal, arrête... Noon 

Mais Laurence n'en avait cure, ça faisait un moment qu'elle n'avait pas eu les fesses de sa fille à sa disposition, elle en profitait et puis elle était vraiment furieuse du comportement de celle-ci, elle se doutait bien que seule et livrée à elle même ça risquait d'arriver et elle tenait à remettre les choses au point. 

Elle adorait administrer la fessée et quelques unes de ses amies s'étaient retrouvées allongées fesses à l'air sur ses genoux, mais c'était quand même sa fille qu'elle préférait fesser, c'est vrai qu'elle avait des fesses à fessée. Maintenant la douleur qui lui embrasait le fessier était intolérable, elle battait l'air frénétiquement avec ses jambes, son jean avait quitté ses pieds, ses fesses s'ouvraient et se refermaient au rythme de la correction, elles étaient écarlates, on aurait dit que Clara avait remis une culotte rouge. 

Satisfaite Laurence cessa la correction et caressa les fesses brûlantes de sa fille :

- voilà une bonne fessée, pour commencer. J'espère que tu as bien compris la leçon, oh oui je sais ça brûle, mais c'est fait pour ça la fessée ma chérie, tu connais la suite, tu vas aller les faire refroidir au coin. 

Clémence avait assisté à la punition de son amie sans dire un mot, fascinée par la sévérité de Laurence et par la danse des fesses que Clara avait effectué. Maintenant celle ci s'était relevée et comme elle en avait l'habitude elle se dirigea vers le coin de la pièce, sa culotte était descendue jusqu'à ses genoux, son tee-shirt ne cachait pas ses fesses. Arrivée contre le mur, sans que sa mère ne dise un mot, elle posa son nez contre le mur et mis ses mains sur sa tête. Clémence était de plus en plus surprise par l'attitude de son amie, elle avait semblé accepter sa punition sans se rebeller et maintenant elle se mettait au coin main sur la tête comme une gamine dans les années 50. Elle n'eut pas le loisir d'aller plus loin dans ses réflexions car Laurence s'adressait à elle :

- je suis très déçue par ton attitude Clémence, je pensais que tu ferais preuve de responsabilité, c'est pour cette raison que j'ai accepté que Clara prenne une colocation avec toi. Mais vu l'état de désordre de cette pièce je pense que je me suis trompée. Et ta chambre, j'espère qu'elle est mieux rangée que celle de Clara. 

Clémence était toute rouge, elle bredouilla quelques mots, ce qui eut pour effet de faire sourire Laurence :

- d'ailleurs, j'aimerais bien que tu me la montres. 

Elle s'était levée, signifiant à la jeune femme que ce n'était pas un souhait mais un ordre. Tête basse, Clémence la suivi, sa chambre était dans le même état que celle de Clara si ce n'est pire puisqu'elle n'avait même pas pris la peine de tirer la couette. Laurence après un coup d'œil circulaire, se tourna vers la jeune femme. Son regard sévère fit baisser les yeux à Clémence, elle n'eut pas le temps de dire un mot, déjà la main de la sévère maman avait saisi son oreille :

- Clémence !! Je ne veux pas être injuste avec Clara, elle a reçu une fessée pour n'avoir pas rangé sa chambre, la tienne est dans un état bien pire encore, je pense que tu mérites la même chose. 

Clémence tirée par l'oreille était arrivée dans le salon, elle était abasourdie et n'osait même pas protester, elle semblait vivre un cauchemar. Laurence s'était assise sur une chaise au milieu de la pièce puis lâchant l'oreille de la jeune femme, elle la prit par la main et la fit basculer en travers de ses genoux. Elle portait une jupe courte, dès qu'elle fut en position disciplinaire, les fesses bien présentées, celle-ci remonta légèrement découvrant la culotte. En un éclair Clémence repensa à la réflexion de son amie sur les culottes sexy, elle portait ce jour la une très jolie culotte en dentelle jaune paille. Elle sentit sa jupe se retrousser :

- qu'est-ce que c'est que cette tenue Clémence ! Cette culotte est indécente, tu n'en aurais pas que je verrais aussi bien tes fesses!

La main se leva et commença à claquer la croupe de la jeune femme, redevenue une gamine indisciplinée. Clémence se mit à gémir et à supplier, la fine dentelle protégeait bien mal des claques que lui administrait Laurence. A travers la dentelle elle voyait la peau qui commençait à rougir. C'est vrai que cette petite a des fesses un peu moins généreuses que Clara mais elles sont tout à fait correcte pour recevoir une bonne fessée déculottée et puis un postérieur juvénile, bien musclé et rebondi, quel plaisir pour une fesseuse. Elle interrompit la correction puis saisissant l'élastique de la culotte elle l'a fit descendre le long du derrière tendu. Ce qui eu pour effet de faire pousser un cri de détresse à Clémence :

- noon... Pas la culotte... S'il vous plaît madame, noon pardon... 

Laurence en souriant continua tranquillement le déculottage, elle descendit la culotte au milieu des cuisses :

- comment, pas la culotte ? Mais ma petite Clémence, une fessée chez moi c'est toujours cul nu... Tu as mérité une punition et je te promets que tu vas t'en souvenir longtemps de ta première fessée déculottée ! 

Clémence possédait une paire de fesses ravissantes et même si elle nourrissait un petit complexe vis à vis de Clara, son derrière était vraiment très agréable à regarder et à claquer. Une légère rougeur le recouvrait, signe que la fessée préparatoire sur la culotte avait été efficace. Mais pour Laurence une bonne fessée, pour être salutaire devait laisser un fessier écarlate, elle replaça correctement sa punie de façon que ses fesses soient bien à sa portée, elle caressa l'épiderme échauffé, comme pour en apprécier l'élasticité puis levant la main elle commença la vraie punition. Clémence n'avait jamais reçu de fessée auparavant, sa mère s'était contentée de quelques claques sur la jupe quand elle était en colère. L'humiliation de se retrouver allongée sur les genoux d'une quasi inconnue exposant ses fesses nues était déjà une épreuve mais c'était sans commune mesure avec la cuisson ressentie maintenant, elle se mit à crier puis à supplier, ses jambes battaient l'air, ses fesses s'ouvraient sans aucun souci de pudeur, Laurence adorait ces moments où la punie abandonne toute fierté et redevient une gamine, le résultat ne se fit pas attendre longtemps, Clémence fondit en larmes, la main de la sévère maman continua néanmoins à claquer la croupe, elle rebondissait sur les deux hémisphères rebondis, elle prenait soin de n'oublier aucune partie du postérieur. 



Maintenant une rougeur uniforme recouvrait la croupe, comme pour Clara, on aurait dit que Clémence avait revêtu une jolie culotte rouge écarlate. Laurence cessa la correction mais elle ne fit pas relever la jeune femme, celle ci pleurait à chaudes larmes, ses fesses se contractaient sous l’intense cuisson, elle caressa le derrière brûlant et garda Clémence dans cette position humiliante jusqu’à ce qu’elle se calme.

- voilà ma petite Clémence, une bonne fessée déculottée pour une vilaine fille... tu vas aller me faire refroidir ces jolies petites fesses au coin à côté de Clara.

Elle la fit se relever, pendant la correction la culotte était descendue aux chevilles, elle la remonta au dessus des genoux puis elle lui saisit à nouveau l’oreille pour bien lui signifier sa nouvelle condition et elle la conduisit à côté de son amie :

- tu mets tes mains sur la tête et ton nez contre le mur et je ne veux pas te voir bouger!!

Elle coinça la jupe dans la ceinture puis se recula pour apprécier le spectacle. Les deux jeunes femmes exposaient leurs croupes écarlates, dans l'impossibilité de frotter leurs fesses, elles les contractaient convulsivement pour essayer d'atténuer la brûlure, c'était un spectacle ravissant ces deux derrières juvéniles quelle plaisir de les avoir à sa disposition pensa Laurence. Finalement elle n'était pas mécontente que sa fille n'ait pas rangé sa chambre ça lui avait permis de lui redonner une fessée déculottée et en plus de découvrir le joli fessier de Clémence.

- vous allez rester là un moment, ça va vous permettre de réfléchir, je vous conseille de ne pas bouger si vous ne voulez pas revenir faire un petit séjour sur mes genoux.

Clémence était atterrée, elle croyait vivre un cauchemar mais la douleur qui irradiait tout le bas de son dos et jusqu'à la racine des cuisses était bien réelle, elle ne pensait pas que cela soit possible, recevoir à son âge une fessée déculottée et en plus être obligée de rester au coin comme une gamine pour exposer ses fesses nues. Mais elle avait beau retourner la situation dans sa tête, il n'y avait pas d'issue, elle tourna légèrement la tête pour jeter un œil à son amie, celle ci paraissait habituée, elle était résignée et le nez bien collé contre le mur, elle ne bougeait pas, seul quelques sanglots étouffés attestaient que la punition avait été sévère.

- je m'absente quelques minutes, soyez sage !!

Laurence quitta la pièce, elle savait que les deux péronnelles ne bougeraient pas. 



A suivre......

dimanche 21 janvier 2024

Lucie et Christian 9

Christine fessée en public



La vie de Lucie et Christian étaient maintenant bien réglée, je devrais plutôt dire Christine car sa féminisation avançait à grand pas. Lucie l'avait fait entièrement épilé et à la maison il ne portait plus que des tenues féminines. Au bureau sa cheffe de service ne l'appelait plus que "ma petite Christine".

Elle était bien sûr régulièrement déculottée et fessée aussi bien au bureau qu'à la maison.

Par ailleurs les seuls rapports sexuels auxquels il avait droit, c'est Lucie qui s'en chargeait. Elle le sodomisait  harnachée d'un gode ceinture après une magistrale fessée déculottée. Elle adorait quand il lui présentait son petit cucul bien rouge, comme elle disait.

Christine en bonne épouse semblait apprécier cette nouvelle condition. Elle faisait la cuisine, le ménage et Lucie lui époussetait très régulièrement les fesses.

Elle se rendait régulièrement à la boutique de lingerie pour s'occuper du derrière d'Elodie. C'était une compensation aux sévères déculottées que lui administrait sa cheffe de service, elle rentrait toujours à la maison avec une paire de fesses bien rouges et bien chaudes sous sa culotte mais personne ne le savait mis à part sa collègue Alice qui était soumise au même traitement.

Un soir alors qu'elle venait de lui administrer sa traditionnelle fessée déculottée de fin de journée Aurore annonça à son assistante Christian-Christine qu'elle allait la raccompagner chez elle :

- J'ai eu Lucie au téléphone, elle m'a invitée, ça t'évitera de prendre le bus. Tu peux te reculotter pour le moment.

Elle avait dit ça en souriant, elle se doutait bien que sa jeune épouse voudrait voir les fesses de Christine pour constater l'efficacité de la punition. Son assistante remonta donc sa petite culotte rose sur son fessier écarlate. Avec l'habitude elle avait perfectionné sa technique et les corrections qu'elle administrait à son assistante était toujours cuisantes.

Christine se demandait bien ce qu'avait pu prévoir sa chère et tendre épouse. Lucie n'était pas passée chez Elodie, la jeune et jolie vendeuse rentrerait pour une fois chez elle avec des fesses blanches.

Elle garait sa voiture quand elle vit sortir de celle d'Aurore, Christine et sa cheffe de service. Elle ne l'avait encore jamais rencontrée, elle lui plut immédiatement, c'était une femme d'une quarantaine d'années, l’air énergique, les cheveux coupés court.

Lucie était maintenant une fesseuse accomplie aussi la première chose qu’elle regarda chez Aurore, ce fut sa croupe. Elle était magnifique, ronde à souhait, du moins c’est ce qu’elle devinait sous la jupe de la cheffe de service. Sans manière elle lui fit une bise et immédiatement après elle claqua les fesses de Christine par dessus son pantalon :

- Alors ce petit derrière est bien rouge j’espère.

Elle avait adressé un sourire et un regard coquin à Aurore, celle-ci le lui rendit :

- A pour ça, c’est sûr que notre petite Christine ne doit pas avoir froid aux fesses, je peux vous le garantir.

Lucie reclaqua un peu plus fermement les fesses de Christine :

- Eh bien, on va voir ça immédiatement, tu files te changer et tu reviens très vite, tu sais que je n’aime pas quand tu traînes.

Christine se précipita immédiatement dans sa chambre pour revêtir sa tenue de petite épouse modèle. Elle revint au bout de quelques minutes, Aurore émis un petit sifflement admiratif :

- Mon dieu comme tu es mignonne.

Christine portait une mini-jupe, des bas et un corsage en dentelle elle avait chaussé des escarpins, son aspect pouvait vraiment la faire passer pour une jeune femme un peu androgyne. Lucie lui fit un petit signe du doigt :

- C’est bien tu ne m’as pas fait trop attendre, approche un peu ici que j’examine ton joli derrière.

Dès que Christine fut à sa portée, elle lui prit la main et la fit pivoter. Elle retroussa la jupette et coinça l'ourlet dans la ceinture, la rougeur de la fessée précédente dépassait de la culotte, Lucie se tourna vers Aurore, lui fit un petit clin d'œil :

- Mes félicitations, il ne faut jamais oublier le haut des cuisses, ça brûle beaucoup plus et madame s'en souvient plus longtemps.

Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte et la retourna. Le fessier rebondi de Christine apparut dans toute sa splendeur. Effectivement il était encore écarlate et bien chaud. La jeune épouse passa sa main dessus :

- Vous aviez raison, notre petite Christine ne va pas attraper froid aux fesses.

Elle s'était mise à rire. Aurore était contente du compliment, elle s'approcha de son assistante déculottée et le lui claqua gentiment les fesses :

- Je vous félicite pour la qualité de ses fesses, on voit que vous les entretenez. Elles sont bien rondes et fermes, c’est vraiment un plaisir de les claquer.

Lucie la regarda avec un petit sourire gourmand :

- C’est vrai que ça fait envie.

Elle reprit la main de Christine et l’attira vers elle. Elle s’était assise sur une chaise, rapidement sa petite épouse fut couchée en travers de ses cuisses. Elle l’installa confortablement, la fit basculer vers l’avant afin que ses pieds soit décollés du sol, elle aimait cette position, les jambes pouvaient gigoter, les cuisses s’ouvraient, les fesses bien détendues pouvaient se serrer et se desserrer au rythme de la fessée. Christine avait elle aussi l’habitude de cette position, sa tête était près du sol, elle avait posé ses mains par terre et elle attendait sa punition. Elle connaissait la perversité de Lucie et elle se doutait bien qu’avec une spectatrice, elle allait se surpasser, son derrière était déjà cuisant mais quelque chose lui disait que ce n’était qu’un début.

Les doigts de Lucie s’insinuait entre ses fesses pour les écarter :

- Allez écartes moi un peu mieux tes cuisses qu’on voit bien ta raie et ton petit trou, ne fait pas ta petite coquette, de toute façon avec ce que j’ai prévu pour toi ce soir Aurore aura tout le loisir de le contempler.

Elle adorait humilier ainsi sa petite Christine, Aurore était ravie, comme hypnotisée par le fessier rougi honteusement écarté, avec au milieu cette petite rondelle brune, elle sentait une humidité envahir sa petite culotte.

Lucie lui lança un regard coquin :

- N’est-elle pas mignonne avec son petit cul si bien présenté, on dirait qu’elle aime ça se faire déculotter et rougir le derrière et vous savez qu’elle aime aussi se faire garnir son petit trou ?

Elle ne cessait de palper et de malaxer les deux hémisphères, à sa grande honte, Christine ne put masquer une érection naissante, bien sûr Lucie s’en aperçut :

- Qu’est-ce-que c’est que ça ? Attends un peu je vais te faire passer l’envie de faire la fière. Après la déculottée que tu vas recevoir, je pense que tu vas moins faire la maline, ah ça t’excite d’exposer tes fesses devant Aurore et bien tu vas l’avoir la bonne fessée cul nu de maman Lucie je te garantis que tu iras au lit avec un joli derrière bien rouge.

Elle en rajoutait en feignant la colère, elle sentait Aurore de plus en plus excitée par le spectacle. L’envie de la déculotter pour lui flanquer à elle aussi une bonne fessée devenait vraiment trop grand, «toi ma petite, dans pas longtemps tu vas me montrer ton joli derrière».

Elle leva la main et commença à administrer à sa petite Christine une magistrale fessée, en moins de trois minutes de claques généreusement distribuées, le fessier était cramoisi et Christine gémissait et pleurait  sous la cuisson. 



Elle cessa la correction et la fit se relever :

- File à la salle de bain et ramène moi la brosse à cheveux, ton derrière à encore besoin d’être épousseter et j’ai mal à la main.

Aurore était subjuguée par l’autorité et la sévérité de Lucie, elle se sentit fondre en croisant son regard malicieux :

- Ça te plaît on dirait ?

Elle était passée au tutoiement, il fallait que cette dame sente qui était la maîtresse. Aurore avait rougi et baissé les yeux :

- Regarde moi quand je te parle et réponds !

Le ton était tranchant, Aurore sentit une rougeur envahir son visage, elle s’entendit répondre :

- Euh, oui, pardon madame.

Lucie lui lança un sourire carnassier, elle l’appelait madame, la partie était gagnée, bientôt elle allait découvrir une nouvelle paire de fesses.

Christine était revenue tenant la brosse à cheveux, sa culotte était autour de ses genoux, elle avait les fesses très rouges et brûlantes, elle savait que placée comme elle était, Aurore avait une vue parfaite sur son fessier. Dire que ça lui plaisait de se faire corriger comme une gamine à près de 40 ans aurait été exagéré mais elle était tellement habituée maintenant à ce que les deux dames ici présente, la déculotte pour lui administrer ce châtiment enfantin que ça ne la gênait pas trop d'être fesses à l'air devant elles.

Penaude, elle tendit la brosse à Lucie, celle-ci souriait :

- Alors ma petite chérie, on a mal à son bon gros derrière ? Maman Lucie à fait panpan cucul ?  tu sais que c'est pour ton bien.

Christine détestait quand son épouse commençait à lui expliquer pourquoi elle la punissait, elle préférait à la limite se retrouver couchée sur ses genoux, la tête en bas et les fesses bien présentées que de devoir rester là, debout devant elle, cul nu à l'écouter. Mais Lucie adorait faire durer le plaisir, surtout qu'aujourd'hui elle avait une spectatrice :

- Tu l'as bien méritée celle là, dis-moi ?



Christine savait qu'il lui fallait répondre, mais  elle hésitait quand même. Passe encore de se faire rougir les fesses en public, mais en plus reconnaître que c'était justifié...

- Aïe, aïe...

Deux claques venaient d'atterrir sur le côté de ses cuisses :

- Tu ferais mieux de te dépêcher de répondre, tu sais que quand tu m'agaces, tu gagnes une fessée supplémentaire !

- Oui, oui, pardon momy, je mérites vraiment une bonne fessée déculottée.

Lucie se tourna vers Aurore :

- C'était un peu laborieux mais on y arrive, notre petite chérie reconnaît quand même qu'elle a besoin d'être corrigée. Approche un peu !

Christine se déplaça doucement vers Lucie, celle-ci saisit la verge qui maintenant pendait lamentablement :

- Tu fais moins la fière. Rien de telle qu'une bonne déculottée pour te ramener à  un peu plus d' humilité.

Elle souriait en manipulant ce qui auparavant faisait la fierté de Christian-Christine mais qui ne lui servait plus maintenant. Elle glissa ses doigts entre les cuisses et remonta entre les fesses, son doigt s'insinua dans la raie fessière jusqu'au petit trou, qu'elle pénétra légèrement :

- C'est par là que tu dois jouir, c'est compris ! Et quand je le décide, sinon gare à tes fesses.

Christine avait les joues aussi rouges que ses fesses, devant l'allusion à peine dissimulée à sa sodomisation à venir en présence d'Aurore.  

Lucie continuait à lui caresser les fesses et à les écarter en regardant Aurore, elle scrutait sa réaction. La jeune femme ne quittait pas des yeux le fessier cramoisi de son assistante. Décidément Lucie savait donner la fessée, est-ce qu’elle oserait la lui donner, un petit frisson l'a parcouru, son entre-jambe était trempée. Jugeant l’humiliation de Christine suffisante, Lucie la fit basculer à nouveau en travers des ses cuisses :

- Allez, on va cuire un peu mieux ce joli derrière, je t’ai prévenue, je veux que tes fesses soient encore rouges demain matin quand je te donnerai ta fessée au réveil.

Elle regarda à nouveau Aurore :

- Oui, cette petite dame a besoin d’une bonne déculottée pour bien démarrer la journée, donc tous les matins elle passe sur mes genoux pour un réveil fessier, c’est équivalent au réveil musculaire mais un peu plus cuisant.

Aurore souriait, satisfaite d’assister à nouveau à une correction de son assistante, Pendant ce temps Lucie ne s’occupait pas de ses propres fesses, elle avait deviné à son regard que sa croupe était en sursis, elle ajouta malicieuse :

- C’est vrai qu’a son arrivée au bureau notre petite Christine est resplendissante, enfin c’est surtout ses fesses qui ont bonne mine.

La correction avait repris, la brosse claquait allègrement le fessier rebondi. Malgré sa grande habitude des punitions sévères, Christine ne put retenir ses cris, puis bientôt ses larmes, c’est ce qu’attendait sa tendre épouse, elle ne cessait jamais une fessée tant que sa petite chérie n’était pas en larmes. 



Cette fois encore les pleurs n'étaient pas feint, Lucie ne lui avait pas administré une correction aussi sévère depuis longtemps. Elle posa sa main sur les fesses brûlantes :

- Voilà un joli derrière bien préparé.

Elle se tourna vers Aurore :

- Une paire de fesses aussi chaudes, elle  mérite d'être garnie, tu peux me faire passer le joli plug qui est posé sur le buffet.

La jeune femme se leva pour lui amener l'instrument demandé, il y en avait deux, un rose et un bleu, c'était ceux que madame Sylvie avait utilisé pour garnir les fesses du jeune couple lors de leur première séance de fessothérapie. Elle regarda Lucie pour savoir lequel elle désirait. Celle-ci en souriant devinant sa demande lui répondit :

- Pour Christine, c'est le bleu qui est destiné à son petit cucul. Je suis restée traditionnelle, c'était le sien quand il était encore un monsieur.

Lucie remarqua le sourire coquin d'Aurore, elle avait compris que si le bleu était destiné à monsieur, le rose devait garnir les fesses de madame. Ce fut son tour de rougir un peu, elle se promit de faire payer cette insolence à Aurore.

Le plug bleu, pénétrait doucement, la jeune femme avait largement écarté les deux hémisphères écarlates. Aurore Vigreu n'avait jamais assisté à un tel spectacle. 



Elle regardait fascinée le plug disparaître, bientôt la rondelle bleu se colla au fond de la raie fessière, satisfaite Lucie relâcha les deux fesses et les tapota :

- C'est parfait, tu as été mignonne. Ça te plaît d'être garnie ma petite chérie ?

Elle leva la tête et croisa le regard d'Aurore :

- Après une bonne fessée déculottée, une petite pénitence avec un plug bien en place, ça fait réfléchir.

Elle fit relever sa petite chérie aux fesses bien rouges et immédiatement elle lui saisit l'oreille :

- Allez viens un peu avec moi, tu vas aller faire refroidir tes jolies fesses au coin.

Aurore la vit avec surprise sortir de la pièce, elle la suivit. Lucie tenait fermement Christine par l'oreille et lui claquait également les fesses pour la faire avancer plus vite, celle-ci gémissait doucement et essayait de suivre le rythme. La sévère épouse ouvrit la porte de la chambre et conduisit la punie dans le coin :

- Colle ton nez contre le mur et mets tes mains sur la tête, et tu cesses de pleurnicher, tu n'as eu que ce que tu méritais, si tu continues tu vas revenir sur mes genoux et je te garantis que tu vas pleurer pour quelque chose !

Aurore qui regardait le spectacle à l'entrée de la chambre, trouva quand même Lucie bien sévère, la double fessée reçue par Christine avait été magistrale et justifiait quand même quelques larmes. Ceci dit la menace fit son effet et la punie cessa immédiatement de pleurer, du moins le fit-elle silencieusement. Seules ses épaules bougeaient, signe qu'elle sanglotait encore. La jupe épinglée et la culotte remontée à mi-cuisses, Christine était très mignonne avec son derrière écarlate. Lucie se tourna vers son invitée :

- Bien, elle va rester là un moment. À nous maintenant.

Bien qu'Aurore se doute que Lucie ait quelque chose derrière la tête, cette apostrophe subite la surpris un peu. Surtout que Lucie lui avait claqué les fesses par-dessus sa jupe pour accompagner ses paroles.

Elles retournèrent au salon, Aurore avait les joues empourprées... Bientôt ce serait le tour de ses fesses...

 


Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...