dimanche 7 décembre 2025

Randonnée fesses rouges 5

Retour à la maison



Le lendemain matin c’était jour de départ, comme à son habitude Joanna se leva avant tout le monde et entra dans la chambre des deux dames, elles dormaient profondément sans doute épuisée par la randonnée de la veille et bien détendues par la succession des fessées qui avaient rougi leurs fessiers.

Elle tira les rideaux et les draps, Julie et Sylvie habituées aux habitudes autoritaires de la jeune femme ne protestèrent pas.

— Mettez-vous sur le ventre !

Elle s’approcha du lit de Sylvie, saisit la ceinture du bas de pyjama et le baissa aux genoux, elle fit de même avec Julie.

Les deux belles paires de fesses s’étalaient dans toute leur splendeur, elles étaient encore rosées mais ne présentaient aucune marque. Instruites par l’expérience elles savaient que Joanna ne déculottait jamais sans raison, elles étaient bonnes pour un réveil cuisant, elles contractèrent leur derrière.

La jeune femme s’approcha de Sylvie et palpa la large croupe en souriant :

— Tu as raison de serrer les fesses ma chérie, tatie Joanna va te les réchauffer, vous partez ce matin il faut que vous gardiez un souvenir.

Elle glissa ses doigts entre les fesses et descendit sur les lèvres :

— Écarte tes jambes que tes fesses soient bien détendues. Voilà c’est bien.

Docilement la dame de soixante-dix ans obéissait sans discuter. Joanna écarta largement la raie fessière et posa son doigt sur la rondelle brune.

— Ton petit trou est bien préparé, tu vas goûter à ma petite gourmandise.

Elle sortit de sa poche un plug rose, le posa sur l’anus, puis doucement le fit pénétrer. Sylvie était habituée, elle gémit, mais se laissa faire, gardant les jambes bien écartées. Une fois l’engin en place, Joanna relâcha les fesses et les tapota :

— C’est bien ma grande, tu as été mignonne.

Elle s’approcha de Julie, elle avait assisté à la mise en place du plug, malgré sa crainte de la fessée elle serrait les fesses, sa raie n’était plus qu’une ligne droite. Joanna claqua sèchement le derrière en riant :

— Madame cul serré, il va falloir me montrer ton petit trou, à moins que tu n’aies envie du panpan cucul tout de suite.

La menace d’une nouvelle punition eut raison de la pudeur de la maman de Caroline, elle écarta ses cuisses, laissant apparaître son intimité. Joanna souriait satisfaite de son autorité sur ces deux dames d’âge mûr qui auraient pu être sa mère, voir sa grand-mère pour Sylvie. Ses doigts agiles eurent vite fait de mettre à jour le petit trou de Julie, celle-ci était résignée, depuis hier le thermomètre avait plusieurs fois violé son intimité sans compter le gingembre dont elle gardait un souvenir cuisant.

Le plug rose pénétra doucement, Julie contracta involontairement ses fesses, ce qui lui valu une vingtaine de claques équitablement distribuées sur chacune :

— Je te déconseille de recommencer ma chérie sinon tatie Joanna va sévir.

En gémissant Julie écarta encore plus les jambes et ses fesses s’ouvrirent naturellement, l’engin punitif disparu entièrement, la rondelle bien calée au fond de la raie indiquait qu’il était bien en place.

Joanna se recula pour jouir du spectacle, les deux larges fessiers étalés sur le lit avec chacun une rondelle rose au milieu indiquant qu’elles étaient punies. Elle décrocha le martinet suspendu à gauche de la porte, elle se fit la remarque qu’elle avait oublié de s’en servir depuis le début du week-end. Sylvie avait remarqué l’instrument de punition traditionnel, elle n’était pas mécontente qu’il soit resté à sa place, Héloïse adorait s’en servir et elle détestait la brûlure des lanières.

Elle sentit le martinet caresser son derrière endolori, ses fesses se contractèrent, Joanna souriait, elle leva l’instrument et cingla la croupe de la mamie redevenue une collégienne punie au dortoir par la pionne, c’est du moins l’image qui lui revint. Une vingtaine de coups suffirent à faire passer le derrière du blanc au rouge, puis ce fut le tour de Julie de crier sous la fessée, elle eut droit à un petit supplément pour avoir trop gigoter, une trentaine de coups rougirent sa large croupe.

— Voilà des derrières colorés comme il convient, vous remontez vos culottes sous les fesses, que vos derrières restent bien visibles et vous allez préparer le déjeuner. Quand c’est prêt vous irez vous mettre au coin en attendant qu’on arrive. Allez dépêchez-vous !

Une claque sur chacune des fesses des deux dames les incitèrent à descendre rapidement à la cuisine. Joanna les regarda en riant, ces deux paires de fesses bien rouges qui se dandinaient au rythme des pas, c’était mignon et terriblement excitant, elle se dirigea vers la chambre où Caroline était réveillée, le bruit de la fessée et les cris de Julie avait eu raison de son sommeil.

— Coucou ma chérie, tu as bien dormi ? Présente-moi vite ton petit cul.

En rougissant légèrement, la jeune femme se mit sur le ventre et retroussa sa nuisette, elle ne portait pas de culotte, son derrière nacré s’étala au grand jour.

Joanna s’approcha pour caresser son petit trésor matinal, elle écarta les deux globes jumeaux et posa son doigt sur l’anus frétillant :

— On dirait qu’il a envie d’être visité…

— Oh non Joanna, pas de suite… Aïe, aïe, aïe… Non, non, je n’ai rien dit pardon…

La main venait de claquer le joli fessier rebondi et lui avait donné quelques couleurs :

— Tu sais bien que tu n’as rien à dire, décidément ton éducation n’est pas terminée ma chérie. Tant pis pour toi, tu viens de gagner un panpan cucul du matin, debout et vite !



Caroline frotta ses fesses et se leva, Joanna la saisit par la taille, la plia en deux et administra sue sa croupe tendue une magistrale fessée. Ce n’était pas un petit panpan cucul comme elle l’avait annoncé, mais une véritable correction. La jeune femme piétinait sur place, criait et la suppliait d’arrêter mais rien n’y fit, trouvant qu’elle gigotait trop, elle posa son pied sur le lit et la bascula sur sa cuisse, ses pieds ayant quitté le sol, Caroline put exécuter une magnifique danse des fesses.

— Tu devais juste goûter au gode ma chérie, mais ta petite rébellion te vaudra la même punition que les deux chipies. Mets-toi en position sur le lit et présente-moi bien ton derrière.

Caroline avait les yeux rougis, cette fessée matinale l’avait surprise par sa sévérité, elle se mit à quatre patte sur le lit et posa sa tête sur l’oreiller, les fesses écarlates pointées vers le ciel.

Joanna s’était équipée de son god ceinture, elle pénétra son amante avec fougue et les gémissements de plaisir des deux jeunes femmes remplirent rapidement la chambre.

Après s’être retirée, elle ordonna à Caroline de garder la position, elle ouvrit le tiroir de la commode et en sortit un plug rose plus gros que celui qu’elle avait mis aux deux chipies :

— Je vais te gâter ma chérie, un bon gros plug que tu garderas jusqu’à ce que tu sois chez toi, comme ça tu penseras à moi.

Le passage était déjà fait, le plug s’enfonça très facilement dans le fondement de Caroline, elle poussa juste un petit gémissement quand la partie la plus renflée déflora son petit trou :

— Voilà, il est bien en place, tu peux mettre une culotte pour descendre déjeuner.

En arrivant dans la salle elles trouvèrent Sylvie et Julie chacune dans un coin, le nez contre le mur et les mains sur la tête. Les fesses dénudées étaient appétissantes avec leur jolie couleur rouge, Caroline malgré la cuisson de son propre derrière, sentit une excitation la gagner, le plug bien en place entre ses fesses accentuait cette sensation :

— Quel charmant spectacle, elles sont vraiment mignonnes avec leur derrière bien rouge, elles ont eu droit à quoi ce matin.



— Le martinet, j’adore cet instrument, il rougit vite et la couleur persiste longtemps. Et puis c’est avec le martinet que les mamans punissaient, ça rajeunit ces chipies.

Caroline s’était approchée, elle palpa le fessier de Julie et soudain elle remarqua la rondelle du plug, elle regarda le fessier de Sylvie et constata qu’il était garni lui aussi :

— Tu les as pluggées ?

Joanna se mit à rire :

— Oui elles ont eu droit à une petite gâterie avant la fessée au martinet. Elles vont le garder jusqu’au retour à la maison, comme ça elles penseront à moi.

Elle jeta un regard coquin à la jeune femme :

— Comme toi d’ailleurs ma chérie, tu vas voir comme c’est excitant ce plug dans les fesses en conduisant.

Caroline rougit à ce rappel de sa condition, elle détourna la conversation :

— On les corrige avant le petit déjeuner ?

Joanna regarda les deux belles paires de fesses :

— Avant et après, je ne vais plus voir ces derrières pendant un moment, il faut que j’en profite.

Les deux derrières en question s’étaient contractés en entendant la conversation, la gardienne du refuge demanda :

— Tu préfères commencer par laquelle, de toute façon on changera pour la deuxième.

Caroline s’approcha de sa mère, elle était passablement excitée par le réveil coquin que lui avait fait subir Joanna et fesser sa mère lui faisait réellement plaisir, cette inversion des rôles la faisait mouiller. Elle avait saisi Julie par l’oreille pour l’amener au milieu de la pièce, Joanna disposa deux chaises face à face :

— Viens un peu là maman chérie, je ne me suis pas occupée de tes fesses depuis un moment, ça doit te manquer.

Julie avait les joues aussi rouges que ses fesses, être traitée ainsi par sa fille était particulièrement humiliant, surtout en présence d’une autre personne, mais elle acceptait malgré tout sa nouvelle condition, finalement son caractère s’était transformé et la soumission n’était pas si terrible, à sa grande honte quand sa fille lui écartait les fesses pour explorer son intimité, elle y trouvait un certain plaisir.

À présent, elle était couchée en travers des genoux de Caroline dans la position traditionnellement utilisée par les mamans pour corriger leur fille et elle n’en menait pas large, la jeune femme baissa la culotte du pyjama jusqu’aux genoux et tapota le large derrière :

— Te voilà prête.

Joanna avait fait de même avec Sylvie, son bon gros popotin, s’étalait devant ses yeux. Elle n’avait jamais eu l’occasion de fesser une dame de cet âge et elle devait reconnaître que c’était particulièrement agréable, Sylvie avait un fessier plantureux mais ferme malgré son âge, c’était vraiment un derrière à fessée, c’était assez compréhensible que tout le monde veuille la déculotter et lui rougir les fesses.

Elle regarda Caroline et lui fit un petit clin d’œil :

— Allons-y ces deux derrières n’attendent que ça.

Et comme depuis le début du week-end les dames d’âge mûr reçurent une magistrale déculottée, ni leurs cris ni leurs supplications n’empêchèrent la correction d’aller à son terme, elles purent se relever les joues baignées de larme, déjà deux fessées depuis leur réveil, décidément cette journée commençait mal.

— Vous restez cul nu pour déjeuner.

Caroline avait pris l’initiative, Julie et Sylvie s’assirent sur le banc en grimaçant ce qui fit sourire Joanna :

— On dirait que ces chipies ont mal au cucul, ça va vous ouvrir l’appétit.

Caroline avait décidé de partir tôt, mais elle ne voulut pas se priver du plaisir de la toilette et de la fessée mouillée.



Julie fut lavée par Joanna et Sylvie par Caroline, le séchage des fesses donna lieu bien sûr à une magistrale fessée. Dans la chambre Joanna les surveilla pendant que Caroline faisait sa toilette, elles remirent leur tenue de collégienne et une petite culotte à fleurs.

Au moment du départ, dans la cour du refuge, Joanna les fit se tourner et se pencher en avant, elle les troussa et les déculotta pour vérifier si le plug était bien en place, puis elle les envoya faire pipi. Cette fois-ci Julie n’hésita pas, le souvenir du voyage aller était présent.

La gardienne du refuge fit un petit signe à Caroline :

— Viens avec moi ma belle.

Elle l’entraîna au salon et lui fit signe de se tourner :

— Allez comme les chipies, tu te penches, vérification du plug. Tu as de la chance je fais ça en privé.

Caroline s’exécuta, sa jupe remontée sur les reins sa culotte glissa sur ses fesses. Joanna fit tourner la rondelle :

— Tu le sens bien ma chérie ? Deux heures de voyage pour penser à moi.

Puis elle ceintura Caroline et lui administra une rapide mais sévère fessée, la jeune femme trépigna sur place et se mordit les lèvres pour ne pas crier, elle ne voulait pas que ses deux punies soient au courant de son infortune.

Elles quittèrent enfin le gîte, Joanna les salua de la main, les trois passagères avaient toutes une paire de fesses rouge sous leur culotte.

Le voyage leur parut long, Caroline annonça aux deux passagères :

— Maman je te pose à la maison et ensuite je ramène Sylvie chez Héloïse.

Dès qu’elles furent arrivées, elle se précipita dans sa chambre pour retirer le plug, quand elle revint au salon les deux dames discutaient :

— Maman, vient ici, je vais t’enlever ton plug.

Elle s’installa sur une chaise, coucha Julie en travers de ses genoux comme pour lui donner la fessée, elle la troussa et la déculotta rapidement :

— Écarte les cuisses !

Elle ouvrit largement la raie fessière et retira délicatement le plug, tu iras le laver et tu le mets sur ta table de nuit, ça te rappellera des souvenirs et il pourra resservir.

Elle enleva complètement la culotte de sa mère et la fit se relever, pendant que Julie s’occupait du plug, elle disposa un cahier sur la table avec un stylo et posa sur la chaise un petit paillasson en plastique avec des picots pointus, quand sa mère revint elle lui désigna la chaise.

— Tu vas me copier cinq cent fois la phrase suivante « Je suis une vilaine fille désobéissante qui mérite d’être souvent punie, merci Caroline de me donner la fessée déculottée »

Julie avait blêmi, la punition n’était donc pas finie, elle ne protesta pas, son derrière brûlant l’incitait à la prudence. Caroline savait qu’elle en avait pour longtemps, au moins resterait-elle tranquille jusqu’à son retour.

— Je te rappelle que toute rature ou faute d’orthographe ou phrase mal écrite vaut cinq coups de martinet, tu as intérêt à t’appliquer. A tout à l’heure maman chérie.



Elle tendit un sac à Sylvie :

— Ce sont les vêtements que tu portais quand tu es arrivée, tu restes habillée comme tu es, je suis sûr qu’Héloïse va apprécier.

La mamie habillée en collégienne rougit, mais somme sa comparse elle ne protesta pas, pour elle non plus apparemment la punition n’était pas terminée. Une claque sur la jupette l’incita à y aller :

— En route, Héloïse nous attend.

Le parcours parut cours à Sylvie, finalement elle n’était pas pressée de retrouver sa jeune maîtresse. Caroline allait sûrement lui faire un compte rendu du week-end et ses fesses prendraient certainement l’air à nouveau.

Dès qu’elles entrèrent chez la jeune femme, celle-ci après avoir claqué une bise à Caroline, poussa un petit cri de surprise en découvrant la tenue de Sylvie :

— Mon dieu que tu es mignonne, c’est Caroline qui t’as habillée comme ça ?

Puis se tournant vers son amie :

— Quelle magnifique idée, elle est vraiment ravissante ma petite chipie. Tourne-toi un peu.

Elle souleva l’ourlet de la jupette :

— Et la petite culotte qui va avec, mais où a tu trouvé tout ça ?

Caroline était ravie de son petit effet :

— Je fais toujours habiller maman comme ça quand on est à la maison ou quand on part en week-end, ça lui rappelle sa condition. Quand on reçoit encore la fessée déculottée on ne s’habille pas en dame. On trouve ça assez facilement, je te donnerai l’adresse d’un magasin en ville, il est tenu par une vieille fille absolument charmante, elle a ce genre de tenue en grande taille.

Héloïse coinça l’ourlet de la jupette dans la ceinture et fit glisser la culotte sur les larges fesses. Elles gardaient encore la trace des fessées du matin.

— Eh bien, tu as été corrigée à ce que je vois ? Tu as été vilaine ? Penche-toi.

Sylvie malgré son habitude de la perversité de sa jeune maman était humiliée par ce déculottage rapide, elle se courba vers l’avant et Héloïse baissa complètement la lingerie. La rondelle du plug apparaissait entre les fesses serrées. La jeune femme les écarta :

— Et pluggée en plus !! Tu vas m’expliquer ça, file au salon !



Stimulée par une vigoureuse claque, Sylvie se dirigea vers la porte. A peine arrivée, Héloïse ne lui laissa pas le temps de réfléchir, elle s’était assise sur le canapé, elle bascula sa grande fille en travers de ses cuisses. La culotte baissée à mi-cuisse elle était prête, ses larges fesses encore rouges s’étalaient devant les yeux d’Héloïse, elle lança un regard malicieux à Caroline :

— Elle a vraiment un beau derrière ma Sylvie, tu t’es régalée ?

— Ça tu peux le dire, ses fesses n’ont pas été souvent blanches, mais il faut dire que c’est une chipie, je me demande si elle ne le fait pas exprès pour nous montrer ses fesses.

Héloïse tapotait distraitement la croupe de Sylvie tout en discutant :

— C’est toi qui lui a mis ce plug ?

— Non c’est un cadeau de Joanna, elle en a mis un aussi à maman.

— Et à toi aussi ?

Caroline piqua un fard et ne répondit pas.

— Tu l’as gardé j’espère…

— Mais non… elle ne m’en a pas mis…

— Tu veux qu’on l’appelle ?

Caroline se rendit compte du piège, elle bredouilla :

— Non, non, ce n’est pas la peine… oui elle m’en a mis un, mais je l’ai enlevé à la maison…

Héloïse la regarda en souriant :

— Je vais d’abord m’occuper du derrière de Sylvie, ensuite nous aurons une petite discussion.

Elle leva la main et commença à claquer le plantureux fessier à sa disposition :

— Alors comme ça tu as été vilaine ? Tu sais que maman n’aime pas ça, qu’est ce qui arrive quand je l’apprends ?

— Aïe, aïe… Pardon maman Héloïse… oui, oui… aïe, aïe…

— J’attends !! Qu’est ce qui va t’arriver ?

La main continuait de claquer et Sylvie commençait à battre des pieds, elle gémissait, mais elle savait que sa jeune maman serait inflexible :

— Aïe… Oui maman, quand j’ai été vilaine tu doubles la fessée à la maison… Aïe, aïe…

— Exactement, je vais donc commencer par bien te rougir le derrière et ensuite tu iras me chercher la brosse.

La véritable punition commença, une vraie fessée déculottée de maman en colère, les fesses de la pauvre Sylvie était écarlate, elle pleurait comme une gamine, l’âge des deux protagonistes n’avait plus aucune importance, Héloïse prenait vraiment à cœur son rôle d’éducatrice et Sylvie à soixante-dix ans passé, se comportait comme une adolescente corrigée par sa mère.

Elle put enfin se relever et en pleurnichant elle se dirigea vers la chambre pour chercher la redoutable brosse à cheveux. Les deux perverses jeunes femmes se régalèrent du spectacle de ses deux bonnes grosses fesses, rouges comme des tomates, se dandinant pour rejoindre le couloir.

Elle revint quelques instants plus tard, Héloïse tapota ses cuisses :

— Allez, dépêche-toi et cesse de pleurnicher, maman est en colère et ton bon gros derrière va encore rougir.

Docilement Sylvie se coucha sur les genoux de sa sévère maîtresse, habituellement entre deux fessées il y avait un passage au coin qui permettait aux fesses de refroidir un peu, aujourd’hui ce ne serait pas le cas. La deuxième correction ne fut pas très longue mais l’épiderme fessier était tellement sensible que Sylvie piailla comme une gamine, ses jambes pédalant dans le vide. Quand ce fut fini, Héloïse la garda un moment affalée sur ses cuisses le temps qu’elle se calme :

— Voilà un derrière cuit à point, mais je crois que Caroline à raison, tu dois aimer recevoir la fessée ma chérie pour faire autant de bêtises. Tu vas aller au coin, ça va te permettre de réfléchir, mais comme tu as été vilaine, c’est le coin dehors pour que tous le monde voie ton bon gros derrière tout rouge.



C’était une nouvelle humiliation que la jeune femme imposait à sa grande fille depuis quelque temps, quand elle voulait la punir un peu plus, elle la mettait au coin les fesses à l’air sur sa terrasse. Peu de gens pouvait la voir si ce n’est les deux voisines, mais la crainte d’être observée dans cette honteuse position était un complément à la punition.

Elle saisit l’oreille de Sylvie ouvrit la baie vitrée et installa sa punie contre le mur, elle remonta la culotte à mi-cuisses. Naturellement la dame aux fesses cramoisies avait posé son nez contre le mur et ses mains sur la tête. A cet instant elle ne pensait pas aux éventuels spectateurs de son infortune, mais à la cuisson intense qui enflammait son derrière.

Héloïse revint dans le salon :

— Madame expose son derrière, nous allons pouvoir discuter.

Caroline essaya de détourner la conversation :

— Tu la mets au coin en public ?

Héloïse se mit à rire :

— Eh oui, elle a une vraiment belle paire de fesses ça serait dommage d’en priver mes voisines. Elles sont au courant de la relation que j’ai avec Sylvie, d’ailleurs de temps en temps elle a droit à un panpan cucul devant elles. Bon mais ne changeons pas de sujet, pourquoi as-tu enlevé ton plug en arrivant chez toi, Joanna t’en avait donné l’autorisation ?

Caroline baissa la tête, Héloïse l’avait toujours impressionnée, elle sentit un picotement dans son bas ventre :

— Euh non, mais elle n’a rien dit, je pensais que je pouvais l’enlever.

— Viens ici, je vais t’apprendre à obéir !!

Le ton sévère d’Héloïse fit fondre la jeune femme, elle approcha comme un automate, La jeune femme lui prit la main et l’attira vers le canapé, la suite était inéluctable.

— On va d’abord voir ce derrière, Joanna a dû te déculotter je suppose ?

— Oui, oui Héloïse, mais je n’ai pas désobéi… Aïe…

La main venait de claquer la cuisse :

— Ce n’est pas à toi d’en juger ma chérie, et tu vas m’appeler tatie Héloïse.

Caroline bascula en travers des cuisses de sa nouvelle maîtresse qui eut vite fait de lui trousser la jupe mettant à jour une sexy petite culotte jaune paille qui ne couvrait que la moitié du derrière. Héloïse se mit à rire :

— Ta culotte ne cache pas grand-chose de tes jolies fesses ma chérie, mais je vais quand même te déculotter.

La lingerie glissa sur le fessier rebondi, les traces de la fessée du matin avait disparu :

— Joanna a dû te fesser avant de te plugger, elle n’a pas été assez sévère, il n’en reste rien. On va remédier à ça.

Caroline n’avait encore jamais été fessée par Héloïse, elle se rendit vite compte qu’elle comptait parmi les fesseuses les plus sévères, en quelques instants elle retrouva ses accents de grande fille punie et les larmes ne tardèrent pas. Héloïse la fit relever et la conduisit devant une grande glace :

— Regarde un peu ton derrière comme il est mignon. Tu vas aller au coin pendant que je te prépare une petite gâterie.

Elle disparut dans la cuisine pendant que Caroline retrouvait ses habitudes de demoiselle punie par sa maman, le nez collé contre le mur et les mains sur la tête.

Héloïse revint bientôt, elle tenait à la main un plug taillé dans une racine de gingembre, elle appela Caroline :

— Regarde ce que tatie Héloïse a prévu pour ton joli petit derrière.

La jeune femme blêmit en reconnaissant le gros suppo de gingembre, il ressemblait point pour point à celui qu’elle avait introduit dans les fesses de Julie et de Caroline pendant la randonnée /

— Oh non, s’il te plaît tatie Héloïse, pas le suppo au gingembre, non…

— Tu te dépêches de venir me présenter tes fesses ma chérie et tu arrêtes de pleurnicher, tu n’avais qu’à pas retirer ton plug sans autorisation. Si tu continues j’appelle Sylvie pour qu’elle te voie en train de te faire plugger.

Vaincue, Caroline se coucha à nouveau sur les cuisses d’Héloïse qui tapota le derrière écarlate :

— Allez tu écartes bien les cuisses et tu te détends.

Elle ouvrit la raie avec deux doigts et posa le plug de gingembre sur la petite rondelle brune, puis elle le poussa doucement. Caroline gémissait doucement, la sévère tatie le fit rentrer profondément et soudain la punie se mit à crier :

— Oh non, tatie, ça brûle… non, non, pardon s’il te plaît tatie…

Elle gigotait, ses jambes battaient l’air, ses fesses s’ouvraient et se fermaient sous le regard amusé d’Héloïse :

— Bien sûr que ça brûle ma chérie et ça va continuer tu vas le garder un bon moment mon suppo.

Elle ceintura fermement Caroline et recommença à la fesser. Ce n’était pas une fessée rapide de maman en colère, Héloïse claquait lentement et très fort, une fesse après l’autre. La jeune femme hoquetait et pleurait, elle n’avait pas souvenir d’une cuisson aussi intense. Enfin Héloïse cessa la punition, elle enfonça un peu plus le plug et reculotta elle-même Caroline.

— Ma chérie tu aurais mieux fait de garder le plug de Joanna, tu vas rentrer chez moi avec le mien bien calé dans ton derrière et ne t’avise pas de l’enlever avant que je t’y autorise. Je t’appelle en visio sur WhatsApp et je vérifierai qu’il est toujours en place. Allez file.

Elle claqua sèchement les fesses par-dessus la culotte, Caroline les yeux rougis remis sa jupe en place.

Héloïse l’enlaça et lui fit une bise :

— Tu as vraiment un petit cul adorable, à tout à l’heure.

Le voyage jusqu’à chez elle parut bien long à la jeune femme, la cuisson de ses fesses, associée à celle du gingembre rendait la position assise très inconfortable.

Elle trouva Julie installée à sa table de travail les fesses nues, ce spectacle lui donna du baume au cœur. Sa mère ne le savait pas encore, mais ses fesses allaient payer le prix de la fessée reçue par sa fille. Elle vérifia où Julie en était de ses lignes à copier, il lui en restait une centaine.

Le téléphone sonna, c’était un appel WhatsApp, elle répondit tout en se dirigeant vers sa chambre :

— Alors ma chérie tu as bien chaud à ton joli derrière ? Tu vas me montrer tes fesses, tu te déculottes et tu poses ton téléphone que j’aie une jolie vue.

Caroline posa le téléphone sur son bureau, se troussa et baissa sa culotte.

— Penche-toi et écarte ta raie que je voie ton plug.

Toute honte bue, la jeune femme s’exécuta.

— C’est parfait, encore un quart d’heure, tu vas te mettre à quatre patte sur ton lit et tu tends bien ton derrière en écartant les cuisses et tu ne raccroches pas que je te surveille.



Héloïse était assise dans son canapé, elle glissa sa main dans sa culotte et se caressa, le spectacle offert par Caroline était excitant.

La pénitence terminée, elle l’autorisa à retirer le gingembre :

— Bonne soirée ma chérie, ne sois pas trop sévère avec ta maman.

Héloïse se doutait que Caroline allait se venger sur le derrière de Julie.

Elle sortit sur sa terrasse, Sylvie n’avait pas bougé, ses fesses étaient encore bien rouges. Elle fit un petit signe à sa voisine qui de sa fenêtre observait la punie, puis elle la saisit par l’oreille et lui claqua les fesses pour la faire avancer.

Une fois assise sur son canapé, elle coucha sa grande fille sur ses genoux, sortit son thermomètre de sa poche et écarta les larges fesses :

— Maman va te prendre la température et tu vas me raconter ton week-end en détail, n’oublie rien tes fesses sont à ma disposition.



Caroline avait les fesses cuisantes sous sa culotte quand elle se dirigea vers sa mère :

— Tu as fini ?

— Presque…

Caroline lui saisit l’oreille pour la faire lever :

— Comment ça presque ? Tu as eu suffisamment de temps pourtant, on va voir ça.

Elle s’installa dans un fauteuil et fit basculer sa mère en travers de ses cuisses, le derrière joufflu était encore rouge, les picots du paillasson s’étaient imprimés dans la peau. Caroline prit le cahier et entrepris de relire les lignes copiées par Julie, elle avait pris un stylo rouge et elle biffait les lignes mal écrites :

— Tu n’as copié que quatre cent soixante lignes, j’en ai enlevé vingt qui étaient mal écrites, il en manque donc soixante. Tu sais ce que ça mérite ?

Julie se mit à sangloter :

— Pardon, non, s’il te plaît Caroline… Aïe, aïe…

La main venait de claquer les fesses endolories :

— Cesse de pleurnicher, garde tes larmes pour ta punition. Tu es vraiment insupportable, je vais donc changer de méthode, je te garantis que tu vas devenir mignonne rapidement. D’ailleurs tu vas m’appeler momy à partir de maintenant, tu seras ma grande fille comme Sylvie avec Héloïse. Va chercher le thermomètre et le martinet !!

Julie revint avec les deux instruments, Caroline tendit la main :

— Parfait, je vais t’expliquer la suite du programme vilaine fille. Tu étais prévenue du tarif pour tes lignes mal copiées, cinq coups de martinet par lignes manquantes.

Julie lui jeta un regard affolé, elle devait compter mentalement combien de fois le martinet allait cingler ses fesses, Caroline la regarda en souriant :

— Eh oui, ça fait vraiment beaucoup, mais je vais avoir pitié de ton joufflu ma petite Julie, tu vas recevoir soixante coups de martinet tous les jours pendant cinq jours et nous serons quittes.

Elle agita ensuite le thermomètre :

— Quant au joli thermomètre que tu as l’air d’adorer, je vais te le mettre après ta fessée et tu vas le garder deux heures, ça t’apprendra.

Julie avait baissé les yeux et rougit, elle ne comprenait pas la sévérité de sa nouvelle maman, si elle avait pu voir l’état de son derrière et le suppo de gingembre sur la table de nuit, elle aurait saisi.

— A genoux sur le fauteuil et tu me présentes bien ton bon gros derrière !

La fessée alla à son terme, le popotin de la mère de famille redevenue une adolescente, était cramoisi. Caroline disposa deux gros coussins sur la table basse et y fit coucher sa grande fille, les fesses surélevées étaient parfaitement exposées, elle les écarta largement et y enfonça profondément l’instrument médical, puis elle relâcha les deux beaux hémisphères et les tapota :

— Tu es bien installée ma grande ? Tu en as pour deux heures à me montrer tes jolies fesses.





Sylvie et Julie finissaient finalement leur week-end de la même façon, leurs jeunes mamans respectives leur avaient copieusement rougi le derrière et elles méditaient sur leur sort en exposant leurs fesses garnies d’un thermomètre.




lundi 1 décembre 2025

L'institut suite 13

La punition d'Alice



Dans la salle des culs rouges, Aurélie s’occupait du bon gros derrière d’Alice.

La professeure de math du collège Sainte-Marie était arrivée dans cette salle réservée aux fessées, tenue par l’oreille par la jeune assistante.

Elle l’avait amenée ainsi au milieu de la pièce, le regard d’Alice s’était figé en voyant la panoplie d’instruments punitifs suspendu aux murs, une collection de martinets, de paddles en bois et en cuirs, de lanières plus ou moins larges, de règles plates en bois de différentes tailles et de cannes de tailles variées.

Ces instruments étaient là dans un seul but, faire rougir le plus vite possible les fessiers des punies pour leur apprendre l’obéissance et transformer ces dames de la bonne société en grandes filles éplorées.

Alice allait en faire l’expérience.

— Reculottez-vous.

L’ordre surprit la punie, mais on est toujours contente de cacher son derrière, elle s’empressa de remonter sa culotte pour couvrir ses fesses.

— Mettez vos mains sur la tête.

Alice rougit violemment, elle n’était pas encore habituée à être traitée comme une gamine qui devait obéir sans discuter. Mais la vue des instruments suspendus au mur l’incita à la prudence, elle posa ses mains sur la tête.

— Tournez-vous !

Elle présenta ses fesses culottées à Aurélie qui se délectait du trouble de sa patiente. Elle passa sa main sur la fine lingerie et sa main s’égara sur la base des fesses qui débordait du sous-vêtement :

— Jolie culotte, alors comme ça, vous aimez la lingerie ?

Alice ne répondit pas, une claque magistrale atterrit sur le haut de ses cuisses et le pli fessier.

— Aïe, aïe…

Une deuxième claque avait suivi la première.

— Il va falloir vous habituer à répondre immédiatement à mes questions Alice !

Surprise que cette jeune femme l’appelle par son prénom, la professeure répondit d’une petite voix :

— Euh… oui mademoiselle… aïe, aïe.

Deux nouvelles claques venaient de s’abattre sur l’arrière de ses cuisses.

— Mademoiselle Aurélie !! Rappelez-vous de ça ma petite Alice

— Oui, oui, pardon mademoiselle Aurélie.

La jeune assistante souriait, ravie de la soumission de cette nouvelle patiente, elles étaient toutes pareilles, une fois en culotte et après quelques bonnes claques administrées sur l’arrière des cuisses, ces dames de la bonne société devenaient douces et obéissantes. Une fois cul nu et couchées sur ses genoux c’était encore meilleur, elles rajeunissaient d’un seul coup et se comportaient comme de grandes filles punies par leur maman.

— Vous aimez la lingerie au point de la voler ? C’est du joli !! Combien de fois l’avez-vous fait avant de vous faire prendre ?

— Euh… jamais mademoiselle Aurélie… aïe, aïe, aïe, aïe, non, non, pardon mademoiselle Aurélie…

La main avait claqué très rapidement la base des fesses :

— Pardon, pourquoi ? Vous avez menti ? Combien de fois ?

— Aïe, aïe… oui, oui mademoiselle… trois fois…

— C’est bien sûr ?

— Euh… Oui… enfin non… Aïe, aïe.

— Tu commences à m’énerver, on va changer de méthode.

Aurélie glissa ses doigts dans la ceinture de la culotte et la baissa rapidement sous les fesses, puis elle décrocha du mur une mademoiselle Claquefesse. Elle se plaça à côté d’Alice et lui administra une vingtaine de claques sur les fesses dénudées, la professeure se mit à trépigner sur place et à supplier :

— Non, non, pardon mademoiselle Aurélie, aïe, aïe… ça fait mal…

La jeune assistante s’approcha et posa son doigt sous le menton d’Alice pour la forcer à la regarder :

— Je sais bien que ça fait mal, ma petite Alice, mais c’est fait pour ça figure-toi, si tu n’avais pas menti, tu aurais toujours ta culotte sur les fesses. Alors tu te décides à tout me dire sinon je te garantis que ça va te cuire.

En pleurnichant Alice expliqua qu’elle était devenue accro au vol dans les magasins de lingerie et qu’au moins une fois par mois elle se livrait à cette activité. Elle s’était fait prendre une fois mais avait échappé à une plainte en payant ce qu’elle avait dérobé, mais bien sûr la deuxième fois la responsable du magasin avait prévenu la police.

Cette confession n’avait pas été facile, mais mademoiselle Claquefesse avait été persuasive et le large derrière d’Alice était rouge quand elle eut fini de parler.

— Parfait, nous allons avoir du travail pour te faire passer cette mauvaise habitude, mais nous y arriverons.

Aurélie remonta la culotte sur le fessier rougeoyant :

— Tu m’attends là et tu ne bouges pas.

Alice inquiète, ne broncha pas, les mains toujours posées sur sa tête elle se sentait un peu ridicule d’être ainsi exposée en culotte. La porte s’ouvrit, c’était Sophie :

— Oh oh, une nouvelle paire de fesses que je ne connais pas, voyons cela de plus près.

Sans gêne, elle procéda comme Aurélie, après avoir glissé ses doigts sous l’élastique de la culotte, elle la retourna pour mettre à nu le derrière serré par la honte et l’angoisse. Elle passa sa main sur la peau rougie par la première fessée :

— On a déjà eu panpan cucul à ce que je vois, mon petit doigt me dit que ce n’est pas fini. Vous avez un très joli derrière ma chère.

Elle reculotta Alice qui n’avait pas osé bouger, puis elle prit un martinet et sortit. La professeure de math attendit un moment, dans le secrétariat le bruit caractéristique des fessées se faisait entendre, elle serra encore un peu plus les fesses sous sa culotte, décidément ici les derrières rougissaient encore plus vite que les tomates en été. Enfin Aurélie arriva, elle venait d’assister à une triple fessée et ça l’avait mise en joie, maintenant il lui fallait découvrir vraiment le large fessier de sa nouvelle patiente. Elle tenait à la main une boite rose qu’elle posa sur la table devant la dame en pénitence, elle l’ouvrit et en tira une culotte à fessée, ce fameux modèle exclusif de l’institut. Une petite culotte en coton bien sage dont le fond était amovible, tenu par des pressions, deux à la taille et une autre dans l’entrejambe. La particularité de celle qu’Aurélie lui montrait tenait dans le fait que le jour de la semaine était inscrit sur le fond de la culotte, elle la présenta à Alice :

— Regarde comme elle est mignonne, elle te plaît, c’est sûr que ça va te changer de tes froufrous en dentelle, mais tu vas devoir t’y habituer, à partir de maintenant tu ne porteras plus que ces culottes. Tous les matins tu iras voir madame Desrodes pour qu’elle vérifie que tu as bien mis la culotte du jour, l’institut te fournit un semainier de culottes. Quel jour sommes-nous ?

Elle le savait pertinemment, mais elle voulait entendre Alice.

— Mercredi, mademoiselle Aurélie.

— Parfait, tu te déculottes et tu enfiles celle-là.

Elle lui tendit la culotte où mercredi était écrit en grand sur le fond, Alice baissa sa fine lingerie et l’enjamba, Aurélie tendit la main pour recueillir le sous-vêtement :

— Confisqué, ce n’est pas ce genre de culotte que portent les dames qui reçoivent encore la fessée cul nu.

Alice enfila la culotte à fessée et jeta un œil dans la glace, sa moue fit sourire Aurélie :

— On dirait que ça ne te plaît pas trop, mais tu vas voir comme c’est pratique pour recevoir la fessée.

Elle posa son pied sur un tabouret, prit la main d’Alice pour l’attirer contre elle et bascula la plantureuse professeure en travers de sa cuisse horizontale, comme si elle n’était qu’une vulgaire gamine corrigée par son institutrice en colère.

Les pieds de la punie avait quitté le sol, elle agrippa le pied du tabouret pour garder son équilibre, la jeune assistante la ceintura fermement et tira sur les pressions pour libérer le fond de la culotte :

— Eh voilà, cul nu et prête pour la bonne fessée déculottée de mademoiselle Aurélie.

Le large derrière déjà rougi était crispé par l’angoisse, la raie fessière n’était plus qu’une ligne. Même dans ses pires cauchemars, Alice n’aurait jamais imaginé se retrouver dans cette situation, déculottée et prête à recevoir cet humiliant châtiment, une bonne fessée. Elle en venait presque à regretter d’avoir accepté l’arrangement proposé par la directrice du collège, à savoir un séjour à l’institut en contrepartie de l’abandon de la plainte pour vol.

Elle n’eut pas à réfléchir longtemps la correction venait de commencer, un déluge de claques très fortes administrées sur chacune de ses fesses, elle se mit immédiatement à crier et à supplier. Ses jambes libérées par la position pouvaient battre l’air, ses fesses s’ouvraient largement. À quand remontait sa dernière fessée déculottée ? Elle aurait été bien en peine de le dire, elle n’avait pas souvenir d’une brûlure aussi intense. Et comme toutes les dames qui passaient sur les genoux de madame Rose ou d’une de ses assistantes, elle se mit pleurer, de honte et de douleur mêlées. La fessée ne cessa pas immédiatement, c’était une première, il fallait que les fesses de la punie s’en souviennent.

Quand Aurélie la reposa par terre, la croupe de la professeure était écarlate, elle n’eut pas le loisir de frotter son derrière même si elle en avait envie :

— Mets tes mains sur ta tête, ça t’évitera de faire des bêtises, et cesse de pleurnicher pour une petite fessée. Je n’en ai pas fini avec tes bonnes grosses fesses, mais avant un petit séjour au coin pour que tout le monde les admire te fera le plus grand bien.

Le fond de la culotte pendait sous les fesses, Aurélie glissa sa main entre les cuisses et dégrafa la dernière pression, elle montra le bout de tissu à la punie :

— Tes fesses sont ravissantes, si tu es sage je te remettrai le fond de ta culotte avant de partir.

Elle saisit à nouveau la punie par l’oreille et la conduisit dans le secrétariat, il n’y avait plus de derrière rouge exposé, celui d’Alice serait au centre de l’attention, après lui avoir fait coller le nez contre le mur, elle donna les consignes à Ambre :

— Une demi-heure de coin pour cette chipie.

Sophie sortait juste à ce moment de l’autre salle de traitement, Héloïse avait les yeux rougis et des larmes coulaient sur ses joues, mais son derrière était encore plus coloré, il était carmin, Sophie accompagnait sa marche de grande claques sur son fessier :

— Avance un peu ! À mademoiselle n’a toujours pas compris qu’il ne faut pas serrer les fesses quand je lui mets le thermomètre et bien tu vas rester au coin un moment et je te garantis que tu vas partir d’ici avec les fesses rouges.

Ambre regardait en souriant son ex copine se faire gronder comme une gamine, une idée perverse germa :

— Si tu veux Sophie je peux la prendre sur mes genoux et lui mettre le thermomètre pour remplacer le coin, ça va la calmer, je dois surveiller Alice et j’ai des dossiers à classer, elle ne me dérangera pas.

Sophie regarda sa jeune collègue en souriant, décidément cette petite avait du potentiel :

— Très bonne idée, comme tu auras son derrière à disposition tu t’arranges pour qu’il ne perde pas ses couleurs.

— Ne t’inquiète pas, son joufflu va rester bien chaud.

Sophie claqua sèchement la croupe rebondie d’Héloïse :

— Tu as entendu, va voir Ambre, c’est elle qui va se charger de l’éducation de ton petit trou.

Morte de honte de devoir se coucher sur les genoux de sa copine, la jeune femme s’approcha, Ambre la regardait un sourire ironique sur les lèvres :

— Viens un peu là ma petite chérie, tu vas voir comme mes genoux sont confortables.

Héloïse se coucha en travers des cuisses de la jeune assistante, celle-ci avait légèrement reculé sa chaise pour l’accueillir confortablement, Sophie la regardait pour voir comment elle allait se débrouiller.

Ambre commença par palper le derrière comme pour en prendre la mesure, puis elle écarta les fesses. À sa grande surprise, Héloïse ne les contracta pas, il faut dire que la magistrale correction que venait de lui administre Sophie lui avait servi de leçon. La perverse jeune femme ne s’avoua pas vaincue, elle voulait absolument claquer ce joufflu si appétissant et si possible devant sa collègue pour lui montrer ce qu’elle savait faire. Elle posa son index sur la rondelle brune et l’enfonça doucement :

— Alors ma chérie on n’aime pas le thermomètre ? et les suppos ? Maman ne t’en met plus ? Elle parlait à la jeune femme de vingt-deux ans, comme si elle en avait dix.

Ces petits mouvements de pression eurent raison de la résistance d’Héloïse qui serra involontairement les fesses. Satisfaite Ambre regarda Sophie en souriant :

— Tu as raison, cette demoiselle ne semble pas vouloir comprendre, je vais être obligée de sévir.

Sophie opina :

— Tu fais comme tu l’entends, maintenant qu’elle est en position.

Ambre leva la main et se mit à claquer sèchement le derrière déjà écarlate, Héloïse se cabra, la fessée était sévère, décidément cette peste avait toujours la main leste. Après une centaine de claques généreusement distribuées, elle s’arrêta et posa sa main sur la croupe brûlante :

— Alors ça te suffit ? Vas-tu me laisser écarter tes fesses bien gentiment ou veux-tu que je continue ?

Héloïse avec des sanglots dans la voix supplia :

— Non, non mademoiselle plus la fessée… Aïe, aïe…

La main venait de reclaquer chacune des fesses :

— Mademoiselle Ambre !! Répète !!

— Pardon mademoiselle Ambre… oui, s’il vous plaît écartez mes fesses, mais plus la fessée… ça brûle trop.

La nouvelle assistante jeta un regard coquin en direction de sa collègue :

— C’est curieux comme une bonne fessée déculottée fait des miracles, regarde un peu comme elle devient mignonne notre petite Héloïse.

Elle avait à nouveau largement écarté la raie fessière, elle prit le thermomètre posé sur le bureau et le fit immédiatement pénétrer dans le fondement de la pauvre Héloïse. L’humiliation était totale pour la jeune femme, non seulement elle n’arrivait pas à s’habituer à se faire mettre un thermomètre dans le derrière, mais qui plus est que ce soit cette peste d’Ambre qui lui tienne les fesses écartées et qui commente l’introduction de l’instrument.



— Allez ma petite détends-toi, il va bientôt être en place, tu le sens bien dans ton petit trou ?

La jeune assistante relâcha les fesses et les tapota :

— Eh bien voilà, ce n’était vraiment pas la peine d’en faire toute une histoire.

Sophie se mit à rire :

— Mademoiselle doit aimer se faire claquer les fesses. Bon je te la laisse, je vois qu’elle est dans de bonnes mains. Tu la gardes longtemps ?

Ambre n’en demandait pas tant, c’était à elle de décider de la durée de la punition, elle palpa les fesses de sa copine :

— Une heure si tu n’y vois pas d’inconvénient, si je dois me déplacer, elle ira au coin avec le thermomètre dans les fesses.

— Comme tu veux, je te la confie, ensuite tu me la renvoies.

Une fois Sophie sortie, Ambre claqua deux ou trois fois le derrière d’Héloïse :

— Alors ma chérie, tu es contente que je m’occupe de tes fesses, quand on était au lycée j’ai toujours rêvé de te baisser la culotte, là je suis servie. Tu sais que tu as vraiment un cul magnifique.

Héloïse ne répondit pas, mal lui en prit, une avalanche de claques se déversa sur son derrière endolori.

— Depuis le temps que tu viens à l’institut, tu n’as pas appris qu’il faut toujours répondre aux questions des grandes personnes !!

Héloïse cria immédiatement, Sophie n’avait pas ménagé ses fesses et cette correction supplémentaire était vraiment cuisante :

— Non, non, mademoiselle Ambre, ça brûle, oui, oui pardon… plus la fessée…

Ambre se régalait de la confusion de sa copine, elle cessa la fessée :

— Alors tu réponds et vite ! Tu es contente que je m’occupe de tes fesses, ça te plaît de te faire déculotter par mademoiselle Ambre ?

— Oui, oui mademoiselle Ambre, je suis contente, s’il vous plaît… je serai sage…

Ambre éclata de rire :

— Eh bien, c’est fou comme d’avoir les fesses rouges ça te change ma chérie. Alors comme ça tu vas être sage ?

Héloïse se rendit compte du ridicule de la situation, mais la phrase était sortie toute seule. En fait elle était comme toutes les dames punies à l’institut, recevoir ce châtiment honteux et infantilisant et exposer ses fesses nues les faisaient régresser. Soudain, elles n’étaient plus que des grandes filles corrigées par leur maman, quel que soit leur âge et celui de celle qui leur administrait la fessée.

— Je crois que tu as intérêt à être sage ma grande, maintenant que j’ai commencé à m’occuper de ton bon gros derrière, je ne vais pas m’arrêter, je pense que Sophie n’y verra aucun inconvénient.

Elle fit coulisser le thermomètre et l’enfonça un peu plus profondément :

— Tu le sens bien ma chérie, c’est bon n’est-ce pas ?

Héloïse ne trouvait pas cela agréable, même si elle ressentait une certaine excitation en sentant le thermomètre coulisser, mais il lui fallait répondre :

— Oui mademoiselle Ambre, je le sens bien, oh s’il vous plaît, j’ai trop honte.

En souriant la jeune assistante écarta à nouveau largement la raie fessière :

— Ah oui ? Et là tu as encore plus honte n’est-ce pas… C’est fait pour ça ma chérie. Bon maintenant tu cesses de pleurnicher, je ne veux plus t’entendre, sinon c’est panpan cucul direct, tes fesses sont à ma disposition.

Elle leva les yeux vers Alice qui commençait à fatiguer, ses coudes s’abaissaient et elle ne se tenait plus droite :

— Alice, viens ici !



Surprise la professeure se redressa et se dirigea vers le bureau, Ambre lui fit un petit signe pour la faire approcher :

— Je crois que tu as besoin d’un petit rappel à la loi. Quand on est au coin on se tient droite et les coudes bien haut. Penche-toi là pour me présenter tes fesses.

Elle désignait le côté du bureau, Alice s’exécuta et son large fessier s’étala devant les yeux émerveillés de la jeune femme. Elle avait toujours apprécié les croupes joufflues, avec Alice elle était comblée.

La tête d’Héloïse était contre les cuisses de la punie, Ambre saisit une mademoiselle Claquefesse et commença à claquer lentement mais très fort le derrière de la professeure du collège Sainte-Marie. Celle-ci se mit à trépigner et à crier, elle n’était pas encore habituée aux fessées répétitives, sa croupe n’était plus qu’une boule de feu :

— Arrête de gigoter et de chouiner et tend mieux tes fesses, la prochaine fois tu te tiendras correctement au coin.



Ambre ne fit preuve d’aucune mansuétude, les patientes de l’institut seraient bientôt toutes au courant, la plus jeune des assistantes était vraiment la plus sévère. Après une centaine de claques, elle renvoya Alice au coin :

— Tache de bien te tenir sinon je prends le martinet.

Héloïse dans sa position inconfortable avait assisté du coin de l’œil à la correction, elle savait que sa copine était perverse, mais elle n’imaginait pas qu’elle aurait été aussi sévère. Elle sentit la main d’Ambre se glisser entre ses cuisses et remonter dans la raie :

— Je crois que tu aimes vraiment ça petite friponne, mais ton derrière à besoin d’être réchauffé.

Mademoiselle Claquefesse reprit du service sur le derrière rebondi d’Héloïse qui se mit immédiatement à crier et à pédaler dans le vide ce qui fit rire sa copine :

— Tu sais que tu es mignonne à gigoter comme ça, fait quand même attention si tu fais sortir le thermomètre je te pèle les fesses.

En pleurant, Héloïse essaya de serrer les fesses pour que l’instrument de punition reste en place. Elle reçut la même fessée qu’Alice, son derrière cramoisi témoignait de la sévérité de la correction.

Quand Aurélie revint chercher Alice, elle regarda ses fesses avec un sourire gourmand :

— Tu as été obligée de sévir ?

— Oui, cette chipie ne se tenait pas correctement au coin, mais depuis que mademoiselle Claquefesse a caressé son derrière, sa position est parfaite.

Aurélie passa sa main sur l’épiderme cramoisi :

— Il va falloir être plus obéissante ma petite Alice sinon tu auras du mal à t’asseoir. Nous aurons à discuter de ça.

Elle aperçut Héloïse couchée sur les genoux d’Ambre :

— Mais c’est notre petite Héloïse, encore des problèmes avec le thermomètre à ce que je vois.

— Exactement, c’est pour ça qu’elle fait un petit stage sur mes cuisses, elle est en formation si on peut dire.

La jeune assistante avait terminé sa phrase en riant et en tapotant le derrière brûlant de la punie. Aurélie avait déjà saisit l’oreille d’Alice, elle approuva :

— Ça ne peut que lui faire du bien, bon je vais finir de discuter avec les fesses de madame.

Elle disparut dans la salle des culs rouges avec Alice juste au moment où la sonnette du visiophone retentissait. Ambre vérifia avant d’ouvrir, une dame élégante attendait.

Elle se présenta à la jeune femme, elle ne semblait pas très à l’aise :

— Bonjour, je suis madame Desrodes… euh, j’ai rendez-vous avec Sophie.

— Ah oui, c’est moi qui ai eu votre amie Judith au téléphone.

La bourgeoise d’une quarantaine d’années rougit violemment

— Euh… Oui, c’est ça…

Le matin même, Judith l’avait surprise en train de manger des chocolats, chose qu’elle lui interdisait formellement en raison de sa prise de poids. Elle lui avait administré sur le champ une fessée déculottée et lui avait annoncé qu’elle prenait un rendez-vous à l’institut pour un complément de punition.

— Vous devez avoir un mot de mademoiselle Judith à me remettre, c’est ce qu’elle m’a dit au téléphone.

— Oui, oui…

Hélène Desrodes fouilla dans son sac à main, elle en sortit une enveloppe qu’elle remit à Ambre, c’est ce qu’elle craignait le plus, cette jeune femme allait être au courant de sa situation. Elle remarqua Héloïse couchée en travers des cuisses de la jeune femme. La couleur de ses fesses ne laissait guère de doute sur le traitement que lui avait réservé Ambre, le petit bout de verre qui dépassait de raie fessière était encore plus significatif.

Héloïse aurait voulu disparaître sous terre, sa position était déjà très humiliante sans spectatrice, mais savoir qu’une paire d’yeux supplémentaire pouvait examiner son fessier était au-dessus de ses forces, elle se mit à pleurer, ce qui lui valu une réflexion ironique :

— Tu devrais garder tes larmes pour tout à l’heure ma chérie, ta punition n’est pas finie.

Ambre avait décacheté l’enveloppe, elle parcourut rapidement le petit mot de Judith puis leva les yeux vers Claire :

— A votre âge vous désobéissez encore ? C’est du joli ! Je pense que Sophie va savoir comment traiter ça. Troussez-vous et allez vous mettre au coin en attendant que je la prévienne.

Habituée des séjours à l’institut, la directrice du collège Sainte-Marie s’exécuta, sa jupe retroussée dévoila son plantureux derrière débordant d’une jolie culotte rose en soie, ornée de dentelle, les bas fumés retenu par des porte-jarretelles complétait l’élégante tenue.

Sophie entra :

— Encore vous ma chère Hélène, qu’avez-vous fait comme bêtises ?

Ambre lui tendit le mot de Judith.

— Parfait, eh bien on va régler ça sur le champ.

La fière bourgeoise disparut dans la deuxième salle de punition tenue solidement par l’oreille. Avant de refermer la porte, Sophie s’adressa à Ambre :

— Il reste combien de temps pour la pénitence d’Héloïse ?

— Vingt minutes.

— Bien si je n’ai pas fini, tu lui mettras le suppo.

Ambre n’en croyait pas ses oreilles décidément c’était une bonne journée, Héloïse n’était évidemment pas de cet avis.

Pendant ce temps dans la salle des culs rouges Aurélie, comme elle l’avait annoncé, avait une discussion avec le derrière d’Alice Léger. Elle s’était installée sur la chaise à fessée et avait basculé la professeure de math en travers de ses genoux comme si elle était une gamine. Les larges fesses étaient encore très rouges de la dernière fessée administrée par Ambre, mais ce n’était pas un obstacle à l’administration d’une suivante, Aurélie palpa la croupe :

— Tu viens de goûter à mademoiselle Claquefesse, je vais donc utiliser autre chose.

Elle avait posé à côté d’elle le paddle en bois percé de trous, qu’avec Sophie elles avaient surnommé madame Tapecul. Elle le posa sur la fesse droite de la punie :

— Tu recommenceras à voler ma chérie ?

— Non, non, mademoiselle Aurélie je vous le promets.

— C’est bien, mais tu dois être punie n’est-ce pas ?

— Oui mademoiselle Aurélie… Mais ça brûle…

— Je le sais ma chérie, mais il faut que tu retiennes la leçon. Je vais t’annoncer ce que j’ai prévu pour toi et ensuite tu recevras la fessée. D’accord ?

— Oui mademoiselle Aurélie.

Couchée en travers des cuisses de cette jeune femme les fesses brûlantes tendues vers le ciel, Alice attendit la sentence.

— Pendant un mois, tu vas venir me voir tous les jours après tes cours et tu seras fessée cul nu afin que ton derrière explique à ton cerveau que c’est mal de voler. Tu ne porteras dorénavant que des culottes à fessée et madame Desrodes vérifiera ta tenue tous les matins. Tu passeras tous les week-ends chez l’une d’entre nous à tour de rôle, tu arriveras le vendredi après être venue à l’institut et tu repartiras le dimanche soir. Ce week-end, c’est Ambre qui va s’occuper de toi, je te conseille d’être sage, elle est jeune, mais elle sait comment soigner les chipies.

Le nez contre le sol, Alice avait écouté complètement abasourdie la sanction décidée par Aurélie, celle-ci était extrêmement sévère, mais elle ne pouvait pas protester, elle contracta ses fesses dans l’attente de la première claque. Le paddle s’abattit sur sa fesse gauche dans un claquement sec, la brûlure fut foudroyante, elle hurla, mais déjà sa fesse droite venait de recevoir son dû, elle se cabra, ses pieds battirent l’air et elle se mit à supplier en pleurant. 



Rien n’y fit quand on était sur les genoux d’une des assistantes de l’institut les fesses à l’air, la fessée allait toujours à son terme et c’est toujours avec une croupe cramoisie qu’on se relevait des genoux de ces demoiselles, ce fut le cas d’Alice ce soir-là. C’était sa première séance à l’institut, mais malheureusement pour ses fesses pas la dernière, durant le mois à venir, elle s’endormirait tous les soirs avec un derrière écarlate et brûlant.









dimanche 30 novembre 2025

Un traitement pour Sylvie

Procrastination



Bonjour à tous,

Comme nombre d'entre vous, Héloïse trouve que je produis pas trop ces temps-ci.

Elle a donc décidé avec l'aide de Caroline de soigner ma procrastination.... J'ai encore les fesses en feu sous ma culotte en écrivant ce post....


Mlle Héloïse prenait le thé avec deux amies au salon, elle m'a dit d'un ton sévère :

- Va voir Caroline, elle t'attend dans la chambre.

 Effectivement, celle-ci m'attendait de pied ferme. 

- Alors comme ça tu fais la paresseuse, viens ici.

Elle m'a couchée sur ses genoux pour une fessée sur la culotte cinquante sur chaque fesses, je peux vous dire que ça chauffait déjà.

Elle m’a fait relever et m'a envoyé chercher le thermomètre dans la salle de bain et après m'avoir remis sur ses genoux, elle m'a déculottée. 


Puis elle a écarté mes fesses et me l’as introduit bien profondément.  
Elle a enchainé immédiatement avec une fessée déculottée avec le thermomètre dans fesses, cinquante sur chaque fesse. Mes fesses étaient écarlates, elle m'a donné une brosse à cheveux et m'a dit :
- Tu files voir Héloïse. 

Je suis arrivée au salon culotte à mi-cuisse et brosse à cheveux à la main. 


Elle m’a fait tourner pour montrer mes fesses à tous le monde puis elle m’a couchée sur ses genoux elle a renfoncé correctement le thermomètre et m’a administré cinquante coups de brosse sur chaque fesse, c'était ma première fessée publique....

Ensuite elle m’a renvoyé dans la chambre, Caroline m’attendait elle m'a fait me tourner et me pencher en avant pour examiner mes fesses :
- J'espère que tu commences à comprendre.
Elle m'a  saisi l'oreille et m'a mis au coin les mains sur la tête.
- Tu vas rester là à réfléchir pendant dix minutes avec le thermomètre, tu n'as pas intérêt à le faire sortir. Je ne veux plus t'entendre.

A la fin de mon temps de coin, elle m’a remis sur ses genoux et a fait coulisser le thermomètre en m'expliquant que la prochaine fois toute la punition serait publique y compris la mise en place du thermomètre avec la raie bien écartée et que je passerais la soirée au  coin fesses à l’air. 


Puis elle a fini par une fessée à la main, cinquante claques très fortes sur chaque fesse et m’a retiré le thermomètre. 

- En complément de cette punition tu vas aller immédiatement raconter ta punition sur ton blog en n'oubliant aucun détail? tous le monde doit savoir que tu reçois encore la fessée déculottée comme une gamine.



Je vous promets que je vais essayer de publier un peu plus souvent.



mercredi 26 novembre 2025

Randonnée fesses rouges 5

Retour à la maison Le lendemain matin c’était jour de départ, comme à son habitude Joanna se leva avant tout le monde et entra dans la cham...