Retour à la maison
Le lendemain matin c’était jour de départ, comme à son habitude Joanna se leva avant tout le monde et entra dans la chambre des deux dames, elles dormaient profondément sans doute épuisée par la randonnée de la veille et bien détendues par la succession des fessées qui avaient rougi leurs fessiers.
Elle tira les rideaux et les draps, Julie et Sylvie habituées aux habitudes autoritaires de la jeune femme ne protestèrent pas.
— Mettez-vous sur le ventre !
Elle s’approcha du lit de Sylvie, saisit la ceinture du bas de pyjama et le baissa aux genoux, elle fit de même avec Julie.
Les deux belles paires de fesses s’étalaient dans toute leur splendeur, elles étaient encore rosées mais ne présentaient aucune marque. Instruites par l’expérience elles savaient que Joanna ne déculottait jamais sans raison, elles étaient bonnes pour un réveil cuisant, elles contractèrent leur derrière.
La jeune femme s’approcha de Sylvie et palpa la large croupe en souriant :
— Tu as raison de serrer les fesses ma chérie, tatie Joanna va te les réchauffer, vous partez ce matin il faut que vous gardiez un souvenir.
Elle glissa ses doigts entre les fesses et descendit sur les lèvres :
— Écarte tes jambes que tes fesses soient bien détendues. Voilà c’est bien.
Docilement la dame de soixante-dix ans obéissait sans discuter. Joanna écarta largement la raie fessière et posa son doigt sur la rondelle brune.
— Ton petit trou est bien préparé, tu vas goûter à ma petite gourmandise.
Elle sortit de sa poche un plug rose, le posa sur l’anus, puis doucement le fit pénétrer. Sylvie était habituée, elle gémit, mais se laissa faire, gardant les jambes bien écartées. Une fois l’engin en place, Joanna relâcha les fesses et les tapota :
— C’est bien ma grande, tu as été mignonne.
Elle s’approcha de Julie, elle avait assisté à la mise en place du plug, malgré sa crainte de la fessée elle serrait les fesses, sa raie n’était plus qu’une ligne droite. Joanna claqua sèchement le derrière en riant :
— Madame cul serré, il va falloir me montrer ton petit trou, à moins que tu n’aies envie du panpan cucul tout de suite.
La menace d’une nouvelle punition eut raison de la pudeur de la maman de Caroline, elle écarta ses cuisses, laissant apparaître son intimité. Joanna souriait satisfaite de son autorité sur ces deux dames d’âge mûr qui auraient pu être sa mère, voir sa grand-mère pour Sylvie. Ses doigts agiles eurent vite fait de mettre à jour le petit trou de Julie, celle-ci était résignée, depuis hier le thermomètre avait plusieurs fois violé son intimité sans compter le gingembre dont elle gardait un souvenir cuisant.
Le plug rose pénétra doucement, Julie contracta involontairement ses fesses, ce qui lui valu une vingtaine de claques équitablement distribuées sur chacune :
— Je te déconseille de recommencer ma chérie sinon tatie Joanna va sévir.
En gémissant Julie écarta encore plus les jambes et ses fesses s’ouvrirent naturellement, l’engin punitif disparu entièrement, la rondelle bien calée au fond de la raie indiquait qu’il était bien en place.
Joanna se recula pour jouir du spectacle, les deux larges fessiers étalés sur le lit avec chacun une rondelle rose au milieu indiquant qu’elles étaient punies. Elle décrocha le martinet suspendu à gauche de la porte, elle se fit la remarque qu’elle avait oublié de s’en servir depuis le début du week-end. Sylvie avait remarqué l’instrument de punition traditionnel, elle n’était pas mécontente qu’il soit resté à sa place, Héloïse adorait s’en servir et elle détestait la brûlure des lanières.
Elle sentit le martinet caresser son derrière endolori, ses fesses se contractèrent, Joanna souriait, elle leva l’instrument et cingla la croupe de la mamie redevenue une collégienne punie au dortoir par la pionne, c’est du moins l’image qui lui revint. Une vingtaine de coups suffirent à faire passer le derrière du blanc au rouge, puis ce fut le tour de Julie de crier sous la fessée, elle eut droit à un petit supplément pour avoir trop gigoter, une trentaine de coups rougirent sa large croupe.
— Voilà des derrières colorés comme il convient, vous remontez vos culottes sous les fesses, que vos derrières restent bien visibles et vous allez préparer le déjeuner. Quand c’est prêt vous irez vous mettre au coin en attendant qu’on arrive. Allez dépêchez-vous !
Une claque sur chacune des fesses des deux dames les incitèrent à descendre rapidement à la cuisine. Joanna les regarda en riant, ces deux paires de fesses bien rouges qui se dandinaient au rythme des pas, c’était mignon et terriblement excitant, elle se dirigea vers la chambre où Caroline était réveillée, le bruit de la fessée et les cris de Julie avait eu raison de son sommeil.
— Coucou ma chérie, tu as bien dormi ? Présente-moi vite ton petit cul.
En rougissant légèrement, la jeune femme se mit sur le ventre et retroussa sa nuisette, elle ne portait pas de culotte, son derrière nacré s’étala au grand jour.
Joanna s’approcha pour caresser son petit trésor matinal, elle écarta les deux globes jumeaux et posa son doigt sur l’anus frétillant :
— On dirait qu’il a envie d’être visité…
— Oh non Joanna, pas de suite… Aïe, aïe, aïe… Non, non, je n’ai rien dit pardon…
La main venait de claquer le joli fessier rebondi et lui avait donné quelques couleurs :
— Tu sais bien que tu n’as rien à dire, décidément ton éducation n’est pas terminée ma chérie. Tant pis pour toi, tu viens de gagner un panpan cucul du matin, debout et vite !
Caroline frotta ses fesses et se leva, Joanna la saisit par la taille, la plia en deux et administra sue sa croupe tendue une magistrale fessée. Ce n’était pas un petit panpan cucul comme elle l’avait annoncé, mais une véritable correction. La jeune femme piétinait sur place, criait et la suppliait d’arrêter mais rien n’y fit, trouvant qu’elle gigotait trop, elle posa son pied sur le lit et la bascula sur sa cuisse, ses pieds ayant quitté le sol, Caroline put exécuter une magnifique danse des fesses.
— Tu devais juste goûter au gode ma chérie, mais ta petite rébellion te vaudra la même punition que les deux chipies. Mets-toi en position sur le lit et présente-moi bien ton derrière.
Caroline avait les yeux rougis, cette fessée matinale l’avait surprise par sa sévérité, elle se mit à quatre patte sur le lit et posa sa tête sur l’oreiller, les fesses écarlates pointées vers le ciel.
Joanna s’était équipée de son god ceinture, elle pénétra son amante avec fougue et les gémissements de plaisir des deux jeunes femmes remplirent rapidement la chambre.
Après s’être retirée, elle ordonna à Caroline de garder la position, elle ouvrit le tiroir de la commode et en sortit un plug rose plus gros que celui qu’elle avait mis aux deux chipies :
— Je vais te gâter ma chérie, un bon gros plug que tu garderas jusqu’à ce que tu sois chez toi, comme ça tu penseras à moi.
Le passage était déjà fait, le plug s’enfonça très facilement dans le fondement de Caroline, elle poussa juste un petit gémissement quand la partie la plus renflée déflora son petit trou :
— Voilà, il est bien en place, tu peux mettre une culotte pour descendre déjeuner.
En arrivant dans la salle elles trouvèrent Sylvie et Julie chacune dans un coin, le nez contre le mur et les mains sur la tête. Les fesses dénudées étaient appétissantes avec leur jolie couleur rouge, Caroline malgré la cuisson de son propre derrière, sentit une excitation la gagner, le plug bien en place entre ses fesses accentuait cette sensation :
— Quel charmant spectacle, elles sont vraiment mignonnes avec leur derrière bien rouge, elles ont eu droit à quoi ce matin.
— Le martinet, j’adore cet instrument, il rougit vite et la couleur persiste longtemps. Et puis c’est avec le martinet que les mamans punissaient, ça rajeunit ces chipies.
Caroline s’était approchée, elle palpa le fessier de Julie et soudain elle remarqua la rondelle du plug, elle regarda le fessier de Sylvie et constata qu’il était garni lui aussi :
— Tu les as pluggées ?
Joanna se mit à rire :
— Oui elles ont eu droit à une petite gâterie avant la fessée au martinet. Elles vont le garder jusqu’au retour à la maison, comme ça elles penseront à moi.
Elle jeta un regard coquin à la jeune femme :
— Comme toi d’ailleurs ma chérie, tu vas voir comme c’est excitant ce plug dans les fesses en conduisant.
Caroline rougit à ce rappel de sa condition, elle détourna la conversation :
— On les corrige avant le petit déjeuner ?
Joanna regarda les deux belles paires de fesses :
— Avant et après, je ne vais plus voir ces derrières pendant un moment, il faut que j’en profite.
Les deux derrières en question s’étaient contractés en entendant la conversation, la gardienne du refuge demanda :
— Tu préfères commencer par laquelle, de toute façon on changera pour la deuxième.
Caroline s’approcha de sa mère, elle était passablement excitée par le réveil coquin que lui avait fait subir Joanna et fesser sa mère lui faisait réellement plaisir, cette inversion des rôles la faisait mouiller. Elle avait saisi Julie par l’oreille pour l’amener au milieu de la pièce, Joanna disposa deux chaises face à face :
— Viens un peu là maman chérie, je ne me suis pas occupée de tes fesses depuis un moment, ça doit te manquer.
Julie avait les joues aussi rouges que ses fesses, être traitée ainsi par sa fille était particulièrement humiliant, surtout en présence d’une autre personne, mais elle acceptait malgré tout sa nouvelle condition, finalement son caractère s’était transformé et la soumission n’était pas si terrible, à sa grande honte quand sa fille lui écartait les fesses pour explorer son intimité, elle y trouvait un certain plaisir.
À présent, elle était couchée en travers des genoux de Caroline dans la position traditionnellement utilisée par les mamans pour corriger leur fille et elle n’en menait pas large, la jeune femme baissa la culotte du pyjama jusqu’aux genoux et tapota le large derrière :
— Te voilà prête.
Joanna avait fait de même avec Sylvie, son bon gros popotin, s’étalait devant ses yeux. Elle n’avait jamais eu l’occasion de fesser une dame de cet âge et elle devait reconnaître que c’était particulièrement agréable, Sylvie avait un fessier plantureux mais ferme malgré son âge, c’était vraiment un derrière à fessée, c’était assez compréhensible que tout le monde veuille la déculotter et lui rougir les fesses.
Elle regarda Caroline et lui fit un petit clin d’œil :
— Allons-y ces deux derrières n’attendent que ça.
Et comme depuis le début du week-end les dames d’âge mûr reçurent une magistrale déculottée, ni leurs cris ni leurs supplications n’empêchèrent la correction d’aller à son terme, elles purent se relever les joues baignées de larme, déjà deux fessées depuis leur réveil, décidément cette journée commençait mal.
— Vous restez cul nu pour déjeuner.
Caroline avait pris l’initiative, Julie et Sylvie s’assirent sur le banc en grimaçant ce qui fit sourire Joanna :
— On dirait que ces chipies ont mal au cucul, ça va vous ouvrir l’appétit.
Caroline avait décidé de partir tôt, mais elle ne voulut pas se priver du plaisir de la toilette et de la fessée mouillée.
Julie fut lavée par Joanna et Sylvie par Caroline, le séchage des fesses donna lieu bien sûr à une magistrale fessée. Dans la chambre Joanna les surveilla pendant que Caroline faisait sa toilette, elles remirent leur tenue de collégienne et une petite culotte à fleurs.
Au moment du départ, dans la cour du refuge, Joanna les fit se tourner et se pencher en avant, elle les troussa et les déculotta pour vérifier si le plug était bien en place, puis elle les envoya faire pipi. Cette fois-ci Julie n’hésita pas, le souvenir du voyage aller était présent.
La gardienne du refuge fit un petit signe à Caroline :
— Viens avec moi ma belle.
Elle l’entraîna au salon et lui fit signe de se tourner :
— Allez comme les chipies, tu te penches, vérification du plug. Tu as de la chance je fais ça en privé.
Caroline s’exécuta, sa jupe remontée sur les reins sa culotte glissa sur ses fesses. Joanna fit tourner la rondelle :
— Tu le sens bien ma chérie ? Deux heures de voyage pour penser à moi.
Puis elle ceintura Caroline et lui administra une rapide mais sévère fessée, la jeune femme trépigna sur place et se mordit les lèvres pour ne pas crier, elle ne voulait pas que ses deux punies soient au courant de son infortune.
Elles quittèrent enfin le gîte, Joanna les salua de la main, les trois passagères avaient toutes une paire de fesses rouge sous leur culotte.
Le voyage leur parut long, Caroline annonça aux deux passagères :
— Maman je te pose à la maison et ensuite je ramène Sylvie chez Héloïse.
Dès qu’elles furent arrivées, elle se précipita dans sa chambre pour retirer le plug, quand elle revint au salon les deux dames discutaient :
— Maman, vient ici, je vais t’enlever ton plug.
Elle s’installa sur une chaise, coucha Julie en travers de ses genoux comme pour lui donner la fessée, elle la troussa et la déculotta rapidement :
— Écarte les cuisses !
Elle ouvrit largement la raie fessière et retira délicatement le plug, tu iras le laver et tu le mets sur ta table de nuit, ça te rappellera des souvenirs et il pourra resservir.
Elle enleva complètement la culotte de sa mère et la fit se relever, pendant que Julie s’occupait du plug, elle disposa un cahier sur la table avec un stylo et posa sur la chaise un petit paillasson en plastique avec des picots pointus, quand sa mère revint elle lui désigna la chaise.
— Tu vas me copier cinq cent fois la phrase suivante « Je suis une vilaine fille désobéissante qui mérite d’être souvent punie, merci Caroline de me donner la fessée déculottée »
Julie avait blêmi, la punition n’était donc pas finie, elle ne protesta pas, son derrière brûlant l’incitait à la prudence. Caroline savait qu’elle en avait pour longtemps, au moins resterait-elle tranquille jusqu’à son retour.
— Je te rappelle que toute rature ou faute d’orthographe ou phrase mal écrite vaut cinq coups de martinet, tu as intérêt à t’appliquer. A tout à l’heure maman chérie.
Elle tendit un sac à Sylvie :
— Ce sont les vêtements que tu portais quand tu es arrivée, tu restes habillée comme tu es, je suis sûr qu’Héloïse va apprécier.
La mamie habillée en collégienne rougit, mais somme sa comparse elle ne protesta pas, pour elle non plus apparemment la punition n’était pas terminée. Une claque sur la jupette l’incita à y aller :
— En route, Héloïse nous attend.
Le parcours parut cours à Sylvie, finalement elle n’était pas pressée de retrouver sa jeune maîtresse. Caroline allait sûrement lui faire un compte rendu du week-end et ses fesses prendraient certainement l’air à nouveau.
Dès qu’elles entrèrent chez la jeune femme, celle-ci après avoir claqué une bise à Caroline, poussa un petit cri de surprise en découvrant la tenue de Sylvie :
— Mon dieu que tu es mignonne, c’est Caroline qui t’as habillée comme ça ?
Puis se tournant vers son amie :
— Quelle magnifique idée, elle est vraiment ravissante ma petite chipie. Tourne-toi un peu.
Elle souleva l’ourlet de la jupette :
— Et la petite culotte qui va avec, mais où a tu trouvé tout ça ?
Caroline était ravie de son petit effet :
— Je fais toujours habiller maman comme ça quand on est à la maison ou quand on part en week-end, ça lui rappelle sa condition. Quand on reçoit encore la fessée déculottée on ne s’habille pas en dame. On trouve ça assez facilement, je te donnerai l’adresse d’un magasin en ville, il est tenu par une vieille fille absolument charmante, elle a ce genre de tenue en grande taille.
Héloïse coinça l’ourlet de la jupette dans la ceinture et fit glisser la culotte sur les larges fesses. Elles gardaient encore la trace des fessées du matin.
— Eh bien, tu as été corrigée à ce que je vois ? Tu as été vilaine ? Penche-toi.
Sylvie malgré son habitude de la perversité de sa jeune maman était humiliée par ce déculottage rapide, elle se courba vers l’avant et Héloïse baissa complètement la lingerie. La rondelle du plug apparaissait entre les fesses serrées. La jeune femme les écarta :
— Et pluggée en plus !! Tu vas m’expliquer ça, file au salon !
Stimulée par une vigoureuse claque, Sylvie se dirigea vers la porte. A peine arrivée, Héloïse ne lui laissa pas le temps de réfléchir, elle s’était assise sur le canapé, elle bascula sa grande fille en travers de ses cuisses. La culotte baissée à mi-cuisse elle était prête, ses larges fesses encore rouges s’étalaient devant les yeux d’Héloïse, elle lança un regard malicieux à Caroline :
— Elle a vraiment un beau derrière ma Sylvie, tu t’es régalée ?
— Ça tu peux le dire, ses fesses n’ont pas été souvent blanches, mais il faut dire que c’est une chipie, je me demande si elle ne le fait pas exprès pour nous montrer ses fesses.
Héloïse tapotait distraitement la croupe de Sylvie tout en discutant :
— C’est toi qui lui a mis ce plug ?
— Non c’est un cadeau de Joanna, elle en a mis un aussi à maman.
— Et à toi aussi ?
Caroline piqua un fard et ne répondit pas.
— Tu l’as gardé j’espère…
— Mais non… elle ne m’en a pas mis…
— Tu veux qu’on l’appelle ?
Caroline se rendit compte du piège, elle bredouilla :
— Non, non, ce n’est pas la peine… oui elle m’en a mis un, mais je l’ai enlevé à la maison…
Héloïse la regarda en souriant :
— Je vais d’abord m’occuper du derrière de Sylvie, ensuite nous aurons une petite discussion.
Elle leva la main et commença à claquer le plantureux fessier à sa disposition :
— Alors comme ça tu as été vilaine ? Tu sais que maman n’aime pas ça, qu’est ce qui arrive quand je l’apprends ?
— Aïe, aïe… Pardon maman Héloïse… oui, oui… aïe, aïe…
— J’attends !! Qu’est ce qui va t’arriver ?
La main continuait de claquer et Sylvie commençait à battre des pieds, elle gémissait, mais elle savait que sa jeune maman serait inflexible :
— Aïe… Oui maman, quand j’ai été vilaine tu doubles la fessée à la maison… Aïe, aïe…
— Exactement, je vais donc commencer par bien te rougir le derrière et ensuite tu iras me chercher la brosse.
La véritable punition commença, une vraie fessée déculottée de maman en colère, les fesses de la pauvre Sylvie était écarlate, elle pleurait comme une gamine, l’âge des deux protagonistes n’avait plus aucune importance, Héloïse prenait vraiment à cœur son rôle d’éducatrice et Sylvie à soixante-dix ans passé, se comportait comme une adolescente corrigée par sa mère.
Elle put enfin se relever et en pleurnichant elle se dirigea vers la chambre pour chercher la redoutable brosse à cheveux. Les deux perverses jeunes femmes se régalèrent du spectacle de ses deux bonnes grosses fesses, rouges comme des tomates, se dandinant pour rejoindre le couloir.
Elle revint quelques instants plus tard, Héloïse tapota ses cuisses :
— Allez, dépêche-toi et cesse de pleurnicher, maman est en colère et ton bon gros derrière va encore rougir.
Docilement Sylvie se coucha sur les genoux de sa sévère maîtresse, habituellement entre deux fessées il y avait un passage au coin qui permettait aux fesses de refroidir un peu, aujourd’hui ce ne serait pas le cas. La deuxième correction ne fut pas très longue mais l’épiderme fessier était tellement sensible que Sylvie piailla comme une gamine, ses jambes pédalant dans le vide. Quand ce fut fini, Héloïse la garda un moment affalée sur ses cuisses le temps qu’elle se calme :
— Voilà un derrière cuit à point, mais je crois que Caroline à raison, tu dois aimer recevoir la fessée ma chérie pour faire autant de bêtises. Tu vas aller au coin, ça va te permettre de réfléchir, mais comme tu as été vilaine, c’est le coin dehors pour que tous le monde voie ton bon gros derrière tout rouge.
C’était une nouvelle humiliation que la jeune femme imposait à sa grande fille depuis quelque temps, quand elle voulait la punir un peu plus, elle la mettait au coin les fesses à l’air sur sa terrasse. Peu de gens pouvait la voir si ce n’est les deux voisines, mais la crainte d’être observée dans cette honteuse position était un complément à la punition.
Elle saisit l’oreille de Sylvie ouvrit la baie vitrée et installa sa punie contre le mur, elle remonta la culotte à mi-cuisses. Naturellement la dame aux fesses cramoisies avait posé son nez contre le mur et ses mains sur la tête. A cet instant elle ne pensait pas aux éventuels spectateurs de son infortune, mais à la cuisson intense qui enflammait son derrière.
Héloïse revint dans le salon :
— Madame expose son derrière, nous allons pouvoir discuter.
Caroline essaya de détourner la conversation :
— Tu la mets au coin en public ?
Héloïse se mit à rire :
— Eh oui, elle a une vraiment belle paire de fesses ça serait dommage d’en priver mes voisines. Elles sont au courant de la relation que j’ai avec Sylvie, d’ailleurs de temps en temps elle a droit à un panpan cucul devant elles. Bon mais ne changeons pas de sujet, pourquoi as-tu enlevé ton plug en arrivant chez toi, Joanna t’en avait donné l’autorisation ?
Caroline baissa la tête, Héloïse l’avait toujours impressionnée, elle sentit un picotement dans son bas ventre :
— Euh non, mais elle n’a rien dit, je pensais que je pouvais l’enlever.
— Viens ici, je vais t’apprendre à obéir !!
Le ton sévère d’Héloïse fit fondre la jeune femme, elle approcha comme un automate, La jeune femme lui prit la main et l’attira vers le canapé, la suite était inéluctable.
— On va d’abord voir ce derrière, Joanna a dû te déculotter je suppose ?
— Oui, oui Héloïse, mais je n’ai pas désobéi… Aïe…
La main venait de claquer la cuisse :
— Ce n’est pas à toi d’en juger ma chérie, et tu vas m’appeler tatie Héloïse.
Caroline bascula en travers des cuisses de sa nouvelle maîtresse qui eut vite fait de lui trousser la jupe mettant à jour une sexy petite culotte jaune paille qui ne couvrait que la moitié du derrière. Héloïse se mit à rire :
— Ta culotte ne cache pas grand-chose de tes jolies fesses ma chérie, mais je vais quand même te déculotter.
La lingerie glissa sur le fessier rebondi, les traces de la fessée du matin avait disparu :
— Joanna a dû te fesser avant de te plugger, elle n’a pas été assez sévère, il n’en reste rien. On va remédier à ça.
Caroline n’avait encore jamais été fessée par Héloïse, elle se rendit vite compte qu’elle comptait parmi les fesseuses les plus sévères, en quelques instants elle retrouva ses accents de grande fille punie et les larmes ne tardèrent pas. Héloïse la fit relever et la conduisit devant une grande glace :
— Regarde un peu ton derrière comme il est mignon. Tu vas aller au coin pendant que je te prépare une petite gâterie.
Elle disparut dans la cuisine pendant que Caroline retrouvait ses habitudes de demoiselle punie par sa maman, le nez collé contre le mur et les mains sur la tête.
Héloïse revint bientôt, elle tenait à la main un plug taillé dans une racine de gingembre, elle appela Caroline :
— Regarde ce que tatie Héloïse a prévu pour ton joli petit derrière.
La jeune femme blêmit en reconnaissant le gros suppo de gingembre, il ressemblait point pour point à celui qu’elle avait introduit dans les fesses de Julie et de Caroline pendant la randonnée /
— Oh non, s’il te plaît tatie Héloïse, pas le suppo au gingembre, non…
— Tu te dépêches de venir me présenter tes fesses ma chérie et tu arrêtes de pleurnicher, tu n’avais qu’à pas retirer ton plug sans autorisation. Si tu continues j’appelle Sylvie pour qu’elle te voie en train de te faire plugger.
Vaincue, Caroline se coucha à nouveau sur les cuisses d’Héloïse qui tapota le derrière écarlate :
— Allez tu écartes bien les cuisses et tu te détends.
Elle ouvrit la raie avec deux doigts et posa le plug de gingembre sur la petite rondelle brune, puis elle le poussa doucement. Caroline gémissait doucement, la sévère tatie le fit rentrer profondément et soudain la punie se mit à crier :
— Oh non, tatie, ça brûle… non, non, pardon s’il te plaît tatie…
Elle gigotait, ses jambes battaient l’air, ses fesses s’ouvraient et se fermaient sous le regard amusé d’Héloïse :
— Bien sûr que ça brûle ma chérie et ça va continuer tu vas le garder un bon moment mon suppo.
Elle ceintura fermement Caroline et recommença à la fesser. Ce n’était pas une fessée rapide de maman en colère, Héloïse claquait lentement et très fort, une fesse après l’autre. La jeune femme hoquetait et pleurait, elle n’avait pas souvenir d’une cuisson aussi intense. Enfin Héloïse cessa la punition, elle enfonça un peu plus le plug et reculotta elle-même Caroline.
— Ma chérie tu aurais mieux fait de garder le plug de Joanna, tu vas rentrer chez moi avec le mien bien calé dans ton derrière et ne t’avise pas de l’enlever avant que je t’y autorise. Je t’appelle en visio sur WhatsApp et je vérifierai qu’il est toujours en place. Allez file.
Elle claqua sèchement les fesses par-dessus la culotte, Caroline les yeux rougis remis sa jupe en place.
Héloïse l’enlaça et lui fit une bise :
— Tu as vraiment un petit cul adorable, à tout à l’heure.
Le voyage jusqu’à chez elle parut bien long à la jeune femme, la cuisson de ses fesses, associée à celle du gingembre rendait la position assise très inconfortable.
Elle trouva Julie installée à sa table de travail les fesses nues, ce spectacle lui donna du baume au cœur. Sa mère ne le savait pas encore, mais ses fesses allaient payer le prix de la fessée reçue par sa fille. Elle vérifia où Julie en était de ses lignes à copier, il lui en restait une centaine.
Le téléphone sonna, c’était un appel WhatsApp, elle répondit tout en se dirigeant vers sa chambre :
— Alors ma chérie tu as bien chaud à ton joli derrière ? Tu vas me montrer tes fesses, tu te déculottes et tu poses ton téléphone que j’aie une jolie vue.
Caroline posa le téléphone sur son bureau, se troussa et baissa sa culotte.
— Penche-toi et écarte ta raie que je voie ton plug.
Toute honte bue, la jeune femme s’exécuta.
— C’est parfait, encore un quart d’heure, tu vas te mettre à quatre patte sur ton lit et tu tends bien ton derrière en écartant les cuisses et tu ne raccroches pas que je te surveille.
Héloïse était assise dans son canapé, elle glissa sa main dans sa culotte et se caressa, le spectacle offert par Caroline était excitant.
La pénitence terminée, elle l’autorisa à retirer le gingembre :
— Bonne soirée ma chérie, ne sois pas trop sévère avec ta maman.
Héloïse se doutait que Caroline allait se venger sur le derrière de Julie.
Elle sortit sur sa terrasse, Sylvie n’avait pas bougé, ses fesses étaient encore bien rouges. Elle fit un petit signe à sa voisine qui de sa fenêtre observait la punie, puis elle la saisit par l’oreille et lui claqua les fesses pour la faire avancer.
Une fois assise sur son canapé, elle coucha sa grande fille sur ses genoux, sortit son thermomètre de sa poche et écarta les larges fesses :
— Maman va te prendre la température et tu vas me raconter ton week-end en détail, n’oublie rien tes fesses sont à ma disposition.
Caroline avait les fesses cuisantes sous sa culotte quand elle se dirigea vers sa mère :
— Tu as fini ?
— Presque…
Caroline lui saisit l’oreille pour la faire lever :
— Comment ça presque ? Tu as eu suffisamment de temps pourtant, on va voir ça.
Elle s’installa dans un fauteuil et fit basculer sa mère en travers de ses cuisses, le derrière joufflu était encore rouge, les picots du paillasson s’étaient imprimés dans la peau. Caroline prit le cahier et entrepris de relire les lignes copiées par Julie, elle avait pris un stylo rouge et elle biffait les lignes mal écrites :
— Tu n’as copié que quatre cent soixante lignes, j’en ai enlevé vingt qui étaient mal écrites, il en manque donc soixante. Tu sais ce que ça mérite ?
Julie se mit à sangloter :
— Pardon, non, s’il te plaît Caroline… Aïe, aïe…
La main venait de claquer les fesses endolories :
— Cesse de pleurnicher, garde tes larmes pour ta punition. Tu es vraiment insupportable, je vais donc changer de méthode, je te garantis que tu vas devenir mignonne rapidement. D’ailleurs tu vas m’appeler momy à partir de maintenant, tu seras ma grande fille comme Sylvie avec Héloïse. Va chercher le thermomètre et le martinet !!
Julie revint avec les deux instruments, Caroline tendit la main :
— Parfait, je vais t’expliquer la suite du programme vilaine fille. Tu étais prévenue du tarif pour tes lignes mal copiées, cinq coups de martinet par lignes manquantes.
Julie lui jeta un regard affolé, elle devait compter mentalement combien de fois le martinet allait cingler ses fesses, Caroline la regarda en souriant :
— Eh oui, ça fait vraiment beaucoup, mais je vais avoir pitié de ton joufflu ma petite Julie, tu vas recevoir soixante coups de martinet tous les jours pendant cinq jours et nous serons quittes.
Elle agita ensuite le thermomètre :
— Quant au joli thermomètre que tu as l’air d’adorer, je vais te le mettre après ta fessée et tu vas le garder deux heures, ça t’apprendra.
Julie avait baissé les yeux et rougit, elle ne comprenait pas la sévérité de sa nouvelle maman, si elle avait pu voir l’état de son derrière et le suppo de gingembre sur la table de nuit, elle aurait saisi.
— A genoux sur le fauteuil et tu me présentes bien ton bon gros derrière !
La fessée alla à son terme, le popotin de la mère de famille redevenue une adolescente, était cramoisi. Caroline disposa deux gros coussins sur la table basse et y fit coucher sa grande fille, les fesses surélevées étaient parfaitement exposées, elle les écarta largement et y enfonça profondément l’instrument médical, puis elle relâcha les deux beaux hémisphères et les tapota :
— Tu es bien installée ma grande ? Tu en as pour deux heures à me montrer tes jolies fesses.
Sylvie et Julie finissaient finalement leur week-end de la même façon, leurs jeunes mamans respectives leur avaient copieusement rougi le derrière et elles méditaient sur leur sort en exposant leurs fesses garnies d’un thermomètre.















