mardi 17 septembre 2024

Discipline traditionnelle 2

 Julie découvre la fessée



Depuis qu’elle avait réintroduit les bonnes vieilles méthodes d’éducation dans la maison, Julie était ravie. Après quelques magistrales fessées déculottées, Caroline était redevenue charmante elle obéissait instantanément aux ordres de sa mère, la vie était quand même plus simple songeait-elle, pourquoi n’y ai-je pas pensé plus tôt.

Ce n’était pas tout à fait du goût de Caroline, ce retour brutal à l’enfance avait été douloureux, aussi bien pour son derrière que pour son amour propre. Être obligée de présenter ses fesses nues à sa mère pour recevoir une fessée quand on a vingt-deux ans, c’était une humiliation qui avait du mal à passer.

Cependant malgré quelques épisodes sonores et cuisants, la vie suivait son cours et ce jour-là Julie attendait la visite de Kate.

Kate était une jeune étudiante anglaise que Caroline avait rencontré lors d’une soirée, pour arrondir ses fins de mois, elle donnait des cours d’anglais. Dans le cadre de son travail de secrétaire, Julie avait besoin de perfectionner son anglais, elle s’était inscrite à des cours par correspondance, mais ce n’était pas satisfaisant, Caroline lui avait parlé de la jeune anglaise, Julie l’avait donc invitée à la maison.

Quand elle lui ouvrit la porte, elle fut immédiatement séduite par l’énergie et la spontanéité de la jeune femme. Kate avait vingt-cinq ans, elle était grande, solidement charpentée avec une longue chevelure rousse et un sourire éclatant.

Après les présentations, Julie exprima ses souhaits et ses difficultés à se remettre à étudier à son âge. Kate la rassura immédiatement :

— Ce n’est vraiment pas une question d’âge, mais simplement de volonté et d’organisation. D’ailleurs quel âge avez-vous ?

Julie regardait cette jeune anglaise avec admiration, elle répondit :

— Quarante-huit, c’est vrai que je suis quelquefois un peu désorganisée.

Kate se mit à rire :

— Eh bien on va arranger ça. Si toutefois vous m’acceptez comme professeur.

Julie se rendit compte que cette jeune femme aurait pu être sa fille, l’avoir comme professeur pouvait sembler curieux, mais elle avait vraiment besoin d’aide et puis Kate lui paraissait épatante. Elle se mit à rire également :

— Vous allez avoir du travail, je suis ravie que vous acceptiez de m’aider. Venez je vais nous faire un thé.

En entrant dans la cuisine la première chose qui sautait aux yeux, c’était ce fichu martinet que Caroline détestait tant. Il faisait tellement partie du quotidien que Julie n’y avait pas pensé en invitant Kate à la suivre. La jeune anglaise poussa un petit cri et elle désigna l’instrument de punition :

— C’est très original comme décoration, c’est le fameux martinet français ?

Julie la regarda mi-amusée, mi-sérieuse :

— Oh oui, c’est le martinet familial, il vient de chez ma mère. Mais vous savez, il n’est pas que décoratif, il a servi à rougir de nombreuses paires de fesses et il sert encore.

Kate lui jeta un regard mutin :

— Ah bon ? Sur les fesses de Caroline ?

— Exactement, de temps en temps mademoiselle a besoin d’une petite mise au point. Par contre j’aimerais que ça reste entre nous, même si Caroline est quelques fois insolente je ne suis pas méchante au point de crier sur les toits qu’elle reçoit encore la fessée déculottée.

Les yeux de Kate s’étaient arrondi en écoutant Julie :

— La fessée déculottée ? Vous lui donnez réellement a bare bottom spanking, comme on dit chez moi. Cette fois Julie se mit à rire :

— Bien sûr, comment voulez-vous qu’une fessée soit efficace si on ne baisse pas la culotte. Mademoiselle Caroline me montre son joli derrière tout nu quand je dois la corriger.



Kate regardait l’instrument avec attention, elle passa sa main sur le manche poli :

— Vous permettez ?

— Bien sûr, il n’est pas fragile, vous pouvez le prendre.

La jeune anglaise se saisit du martinet et caressa les lanières, puis elle se tourna vers Julie :

— Ça doit réellement cuire les fesses, je suppose qu’après une fessée avec le martinet, on a plus envie de faire des bêtises.

— Normalement oui, mais il faut croire que Caroline a des fesses résistantes, car je suis obligée de l’utiliser régulièrement.

Kate souriait toujours, elle raccrocha l’instrument punitif :

— Chez nous, c’est la strap qui est utilisée, vous connaissez ? C’est une large lanière de cuir. Ça brûle énormément les fesses.



Julie lui lança un petit clin d’œil ironique :

— Vous semblez bien connaître, votre maman l’utilise ?

Kate rougit mais ne baissa pas les yeux :

— L’utilisait ? Oui bien sûr, maman est très stricte, la strap était suspendue à la cuisine comme chez vous, mais j’ai quitté la maison il y a plus de cinq ans, mes fesses restent blanches à présent.

Pendant la conversation, Julie avait fini de préparer le thé, elles revinrent au salon. Kate la précédait, la sévère maman eu tout le loisir de regarder sa croupe moulée dans un jean. Elle était assez large et appétissante, fessable pour tout dire.

La conversation roula sur les futures leçons d’anglais, Kate lui proposa de commencer rapidement, elle sortit un cahier de son sac et nota une série de mot anglais avec leur traduction :

— Pour débuter, il faut quand même avoir un peu de vocabulaire, pour demain vous allez apprendre cette liste de mots.

Julie prit la feuille et commença à parcourir la liste, elle était assez longue, arrivée à la fin, un sourire se dessina sur ses lèvres, décidément cette Kate était une coquine. Elle lut à haute voix le dernier mot :

— Bare bottom spanking : fessée cul nu ou fessée déculottée.

Kate souriait également :

— Celui-ci est facile à retenir n’est-ce pas.

— Oui effectivement, mais cette liste est très longue quand même.

— Je vous l’ai dit tout à l’heure, tout est une question d’organisation, je sais que vous avez les capacités pour le faire.

Elle lui tendit une autre feuille :

— Tenez, vous me traduirez ceci également.

Elle ajouta en souriant :

— Vous pouvez utiliser un dictionnaire mais pas Google traduction, sinon ça ne sert à rien. De toute façon j’aurais vite fait de le voir.

Avant de se quitter, Julie proposa qu’elle s’appelle par leur prénom et qu’elle se tutoie. Kate accepta avec joie puis sans façon elle claqua une bise à sa nouvelle élève :

— A demain Julie et travaille bien.

La sévère maman de Caroline était conquise et enchantée, elle raconta son après-midi à sa fille qui fit une grimace lorsqu’elle aborda le martinet et la discussion qui s’en était suivi :

— Oh maman, quand même, tu lui as dit que je recevais encore la fessée ?

— Mais oui ma chérie, c’est la vérité de toute façon, j’ai même précisé que tu la recevais cul nu et ça la bien fait rire. Mais ne t’inquiète pas, elle m’a promis que ça resterait entre nous, elle n’en parlera à personne.

Caroline était atterrée, comment allait-elle bien pouvoir discuter avec Kate maintenant qu’elle savait qu’à vingt-deux ans sa mère la déculottait pour lui administrer ce châtiment enfantin. Sa mère tenta de la rassurer en lui racontant que Kate avait elle aussi une mère sévère :

— Tu sais, il n’y a pas que toi qui montres ses fesses à sa maman, elle m’a raconté que jusqu’à ce qu’elle quitte le domicile familial, elle avait droit elle aussi à la fessée déculottée et que la strap était toujours accrochée dans la cuisine.

Cette révélation mit un peu de baume au cœur de Caroline.

La soirée fut calme, Julie commença la traduction, c’était un peu ardu, elle ouvrit Google traduction et la solution s’afficha rapidement, elle la recopia soigneusement. Elle était contente d’elle, Kate n’y verrait que du feu. Par contre apprendre la liste de vocabulaire fut plus compliqué, elle décida de la revoir demain avant que la jeune anglaise n’arrive.

Elles avaient convenu d’un rendez-vous à dix-sept heures. À seize heures trente, Caroline arriva très énervée, elle avait été contrôlée à 60 km/h en ville, c’était la deuxième fois en deux mois. Julie lui demanda la raison de sa colère et sans réfléchir la jeune femme l’envoya balader :

— Oh c’est déjà assez chiant comme ça, tu ne vas pas t’y mettre !

Le sang de Julie ne fit qu’un tour, elle se précipita sur sa fille, la courba sous son bras et après l’avoir troussée, lui baissa rapidement la culotte sous les fesses :



— Pardon ? À c’est comme ça que tu me parles et bien tu vas voir si je ne vais pas m’y mettre !

La fessée crépitait déjà dans la pièce, Caroline piétinait sur place, ses fesses rebondies, tendues par la position se mirent à rosir rapidement :

— Aïe, non, non, pardon maman, ce n’est pas ce que je voulais dire.

— Ah oui, je l’ai pourtant bien entendu !

La main de Julie n’oubliait aucune partie de la jolie croupe, Caroline hoquetait quand sa mère la relâcha :

— Bien, maintenant tu vas m’expliquer ce qui t’arrive.

De grosses larmes coulaient sur les joues de la jeune femme, elle se rendit compte soudain que sa situation était critique. De toute façon, sa mère allait savoir un jour ou l’autre pour sa contravention, elle contrôlait le courrier. Elle se décida à dire la vérité, sa jupe était retombée, mais elle était toujours déculottée, c’était une situation assez embarrassante. Au fur et à mesure qu’elle parlait le regard de sa mère s’assombrissait :

— Non mais c’est pas vrai, la déculottée que je t’ai flanqué la dernière fois n’a pas suffi et bien qu’à cela ne tienne on va recommencer, mais je te garantis que celle-là, tu vas t’en souvenir.

Elle se dirigea vers la salle de bain et revint quelques secondes plus tard en tenant sa brosse à cheveux. Caroline blêmit :

— Non, non maman, s’il te plaît pas la fessée, non, pas la brosse, noon…

Sa mère s’était assise, lui avait pris la main et l’avait fait basculer en travers de ses genoux. Elle retroussa calmement la jupe bien haut sur les reins et descendit la culotte jusqu’aux genoux :

— Oh si ma chérie, tu vas la recevoir cette fessée déculottée et avec la brosse en plus, la dernière fois j’ai dû être trop gentille puisque ça ne t’a pas servi de leçon.

Elle passa sa main sur les fesses déjà bien colorées :

— Tu vas voir comme je vais bien le soigner ton bon gros derrière, ça va te cuire longtemps crois-moi.



Elle leva la brosse et Caroline poussa un cri déchirant. Bientôt le bruit des claques sur la peau nue fut masqué par les cris et les pleurs de la punie. Elle se contorsionnait sur les cuisses de sa mère, mais bien tenue par la taille, son fessier cramoisi ne pouvait éviter la brûlure du redoutable instrument. Ses jambes battaient l’air, ses fesses s’ouvraient, mais rien n’arrêtait la sévère maman.

Soudain un petit cri retenti :

— Oh pardon, je vous dérange ?

Julie leva la tête et aperçu Kate :

— Pas du tout, j’en ai presque fini avec cette chipie.

La fessée continua encore quelques instants accompagnée par les pleurs et les supplications de Caroline. Le sourire aux lèvres, la jeune anglaise semblait prendre beaucoup de plaisir à assister à la correction de son amie.

Enfin Julie cessa la punition et fit relever sa fille, les larmes coulant sur ses joues rouges de honte, Caroline porta ses mains à ses fesses pour les frotter. Kate se mit à rire :

— On dirait que ça chauffe. Chez moi en Angleterre, on a pas le droit de frotter ses fesses après la fessée, mais il faut avouer que Caroline est vraiment mignonne en train de frotter son popotin.

Julie était vraiment ravie, sa colère était presque retombée sous l’effet de la remarque ironique de Kate :

— Chez moi aussi on ne frotte pas ses fesses, tu vas cesser immédiatement ces gamineries si tu ne veux pas revenir sur mes genoux.

Caroline retira ses mains de sa croupe enflammée, elle baissait les yeux pour ne pas croiser le regard de Kate, Julie ajouta :

— Ta punition n’est pas terminée, on verra pour la suite ce soir, en attendant tu vas dans ta chambre et ne t’avise pas d’en sortir avant que je t’en donne l’autorisation. Tu tiens ta jupe retroussée qu’on voie bien ton derrière tout rouge ! Allez files !

La croupe écarlate apparut, encadrée par la culotte et la jupe et c’est dans cette tenue, les fesses se balançant au rythme de la marche que Caroline gagna sa chambre.

Julie se tourna vers sa jeune professeure :

— Je suis désolée de t’avoir imposé cela, mais cette punition ne pouvait pas attendre.

Kate se mit à rire à nouveau :

— Ne sois pas gênée, c’est normal, comment dit-on chez vous ? Il faut battre le fer quand il est chaud… Enfin pour le coup ce n’est pas le fer, mais les fesses de Caroline.

Julie l’approuva en riant également :

— Effectivement, elles sont bien chaudes maintenant.

Kate redevint sérieuse :

— Bon, si nous passions aux choses sérieuses, tu as bien travaillé ?

Julie se sentit rougir, elle comptait réviser la liste de vocabulaire avant l’arrivée de Kate, mais l’épisode de la fessée de Caroline avait perturbé ses plans. Elle répondit rapidement :

— Euh, oui… J’ai fait la traduction, tu veux la voir ?

Kate s’amusa de la petite gêne de sa nouvelle élève, d’un air mutin elle lui répondit :

— Bien sûr, tu imagines que je suis venu pour quoi ? Mais à propos, je pense que pendant que nous serons en cours, c’est plus correct que tu me vouvoies et que tu m’appelles miss. Ça sera quand même plus sérieux.

Un peu surprise par cette demande qui jurait un peu avec le ton enjoué de la jeune anglaise, Julie approuva :

— Euh, oui si vous voulez made… pardon miss…

— Miss Kate !

— Oui, oui excusez-moi miss Kate.

La jeune anglaise désigna une chaise :

— Asseyons-nous et montre-moi ton devoir.

Julie lui tendit son cahier, elle se sentait comme une écolière devant son institutrice, elle sentit une légère rougeur sur ses joues. Kate en souriant parcouru le texte, elle leva les yeux vers la sévère maman :

— J’avais dit pas de Google traduction !

Julie piqua un énorme fard, prise au dépourvu, elle bégaya :

— Euh, euh, bien sûr miss Kate, je… je ne l’ai pas utilisé, je vous assure…

Kate planta ses yeux verts dans ceux de Julie :

— Ne rajoute pas le mensonge à ta désobéissance !!

Julie baissa les yeux, elle était revenue trente-cinq ans en arrière quand elle se faisait réprimander par son institutrice. La jeune anglaise poursuivi :

— Ça se voit comme le nez au milieu de la figure que tu as utilisé Google. Nous réglerons ce petit problème tout à l’heure, en attendant voyons si tu as appris la liste de vocabulaire.

Le sol semblait s’effondrer sous les pieds de Julie qui avait perdu de sa superbe, dès que Kate commença à énumérer le premier mot de la longue liste, tout se brouilla dans son cerveau. Elle ne se souvenait de rien. La jeune professeure fit une moue :

— Tu n’as rien appris ? As-tu une explication à me donner ?

La maman redevenue une mauvaise élève ne répondit pas, Kate s’était approchée et l’avait saisi par l’oreille, Julie poussa un petit cri de surprise :

— Aïe, non, non… miss Kate pardon…

La jeune femme força son élève à se lever en tirant légèrement sur son oreille :

— Le dernier mot de la liste c’est bare bottom spanking, je suppose que tu sais le traduire ?

Julie était rouge comme une pivoine, elle bégaya :

— Euh, euh… Pardon miss… aïe, non… Non.

La main de Kate avait claqué légèrement le derrière de Julie par-dessus sa jupe, elle souriait :

— J’attends la traduction, vite !

Une autre claque atterrit sur le large fessier de la maman de Caroline :

— Euh… Oui… fessée déculottée…

Kate se mit à rire :

— Exactement, c’est au moins un mot que tu as appris. Dis-moi ma petite Julie, à ton avis qu’est-ce qui arriverait à Caroline si sa maman apprenait qu’elle à triché pour faire un devoir et qu’elle n’a pas appris sa leçon ?

Julie ne savait plus où se mettre, elle tenta de se sortir de cette situation gênante :

— Oui, je sais que j’ai fait une bêtise, je suis désolée. Ça ne se reproduira plus.

Kate la fixait intensément :

— Tu n’as pas répondu à ma question ma petite Julie.

La sévère maman se reprit à bafouiller, le fait que Kate l’appelle « ma petite Julie », alors qu’elle avait quarante-huit ans, était encore plus déstabilisant :

— Euh, euh, miss Kate… Je… Je… Oui mais quand même… je ne suis plus une gamine tout de même…

Kate lui saisit à nouveau l’oreille et la tira vers le haut, Julie poussa un petit cri, surtout que l’autre main de la jeune anglaise avait à nouveau claqué ses fesses :

— Aïe, aïe… oui pardon miss Kate, je sais que je mérite d’être punie…

La jeune femme souriait, satisfaite du résultat, son caractère dominateur et son attirance pour la fessée était comblé :

— À nous y voila, c’est bien de le reconnaître ma petite Julie. Et à ton avis quelle punition serait adéquat ?

Elle s’amusait de la gêne de cette dame de quarante-huit ans, redevenue en un instant une adolescente craignant la sévérité de sa maîtresse. Elle lui lâcha l’oreille et mis son doigt sous le menton de Julie pour la forcer à la regarder en face :

— Tu dois bien avoir une petite idée, si j’en juge par la couleur des fesses de Caroline, tu en connais un rayon en matière de punition pour les désobéissantes et les paresseuses.

Julie ne répondit pas, Kate en souriant lui asséna le coup de grâce :

— Moi je pense que tu le sais, mais que tu n’oses pas me le dire, je vais donc t’aider. I think you deserve a good bare bottom spanking.

Elle souriait toujours en guettant la réaction de Julie, elle avait parlé volontairement en anglais pour bien souligner le caractère solennel de la punition. La maman de Caroline avait pâli, elle redoutait ce moment, elle savait qu’elle ne pouvait plus reculer, elle tenta le tout pour le tout :

— Mais enfin Kate, tu n’y penses pas, je pourrais être ta mère et puis il y a Caroline dans sa chambre.

Elle avait volontairement employé le tutoiement pour essayer d’amadouer la sévère anglaise, mais le fait d’évoquer la présence de Caroline, c’était avouer implicitement qu’elle acceptait la sanction, mais qu’elle tentait de la différer. Son espoir fut vite refroidi, une nouvelle claque atterrit sur ses fesses :

— Pardon ? Comment dois-tu m’appeler ?

Julie baissa la tête :

— Pardon, pardon miss Kate.

La jeune anglaise lui avait à nouveau saisi l’oreille :

— Je pense que nous allons avoir beaucoup de travail ma chérie, mais rassure-toi, miss Kate connaît les bonnes méthodes pour soigner la paresse, le mensonge et l’insolence. Si je compte bien, tu mérites trois fessées, nous n’avons pas de temps à perdre.

Elle s’était assise sur une chaise tenant toujours l’oreille de son élève, celle-ci fut forcée de la suivre et un instant plus tard, Julie se retrouva dans la position qu’elle faisait prendre à Caroline bien souvent, Kate la positionna correctement en la faisant basculer vers l’avant, ses pieds décollèrent du sol, la fesseuse tapota le derrière tendu sous la jupe :

— Tu es bien installée ? Nous en avons pour un moment. Pour répondre à ta question au sujet de Caroline, je ne pense pas qu’elle ne va se risquer à sortir de sa chambre après la déculottée que tu lui as administrée et il ne tient qu’à toi de ne pas trop faire de bruit si tu ne veux pas qu’elle sache que sa maman est en train de recevoir une bonne fessée déculottée.

Elle retroussa largement la jupe sur les reins, Julie portait une culotte blanche légèrement échancrée qui laissait voir la base de son fessier, ce n’était pas une culotte de petite fille qui reçoit encore la fessée, mais elle était assez sage tout de même. Kate apprécia à sa juste valeur le spectacle, ce n’était pas tous les jours qu’elle aurait l’occasion d’avoir couchée sur ses genoux une dame de quarante-huit ans, qui plus est troussée et bientôt déculottée.



Elle caressa la fine lingerie, Julie tressaillit, elle avait poussé un petit cri en sentant sa jupe se relever, elle avait encore l’espoir d’échapper à la honte du déculottage. Elle gémit, la main de Kate venait de frapper alternativement la base des deux fesses. Elle avait oublié combien ça brûlait une fessée, la dernière qu’elle avait reçue remontait à vingt-huit ans en arrière. La jeune anglaise avait visé la base des fesses qui n’était pas recouverte par le fin tissu, c’était une zone encore plus sensible.

— Aïe… aïe, aïe, aïe…

La fessée continuait et la peau se mit à rougir rapidement, la main cessa de claquer et Julie sentit avec horreur les doigts de sa jeune professeure se glisser dans la ceinture et sa culotte descendre lentement sur ses rondeurs :

— Noonn, non, miss Kate s’il vous plaît pas la culotte…

Elle se mit à pleurer et Kate à rire :

— Eh pourquoi donc pas la culotte ?

— Oh miss Kate, j’ai trop honte, pas la culotte… à mon âge…

Elle avait essayé d’attraper la main de la jeune femme pour l’empêcher de la déculotter. Calmement celle-ci lui coinça le bras dans le dos et claqua sèchement l’arrière des cuisses :

— J’ai dit a good bare bottom spanking ma petite Julie. Ça veut dire que je vais te baisser la culotte que ça te plaise ou non. Tu viens juste de gagner une fessée plus sévère. Quand miss Kate décide une punition tu dois l’accepter sans discuter sinon elle est doublée. Tu vas donc recevoir deux cents claques sur chaque fesse au lieu des cents prévues.

Julie se mit à gémir, jamais elle n’aurait pu imaginer se retrouver dans une situation pareille. En tournant la tête elle put se voir dans la glace, elle était dans cette position ridicule et humiliante, les fesses dénudées pointées vers le ciel sous le regard ironique de cette jeune femme qui aurait pu être sa fille, elle la vit lever la main et immédiatement le claquement sec sur la peau nue, accompagné d’une brûlure :

— Aïe, aïe, aïe…



Les claques se succédaient à un rythme effréné, apparemment Kate avait une grande habitude de la fessée. La cuisson intense de son fessier fut vite intolérable, Julie exécuta une magnifique danse des fesses, ses pieds battaient l’air frénétiquement, elle se mit rapidement à pleurer autant de honte que de douleur, recevoir ce châtiment humiliant à quarante-huit ans n’était vraiment pas banal. La correction ne fut pas trop longue mais suffisamment cuisante pour que Julie s’en souvienne, chacune de ses fesses avait reçu deux cents claques.

Kate la fit se relever et après lui avoir saisi l’oreille elle la conduisit devant la table :

— Tu vas me recopier la liste de vocabulaire dix fois, tache de bien écrire !

La culotte de Julie était entortillée autour de ses chevilles, elle lui remonta à mi-cuisse :

— Tu retrousses ta jupe, je veux que tu sentes bien tes fesses ! Maintenant au travail !



Kate s’installa confortablement dans le canapé et regarda son élève, les fesses nues posées directement sur la paille de la chaise, c’était un spectacle très excitant. Discrètement, elle glissa sa main sous sa jupe et se caressa, depuis qu’elle était en France, c’était la première fessée qu’elle administrait, chez elle ce n’était pas rare, ses petites amies repartaient souvent de sa maison avec une paire de fesses bien rouges sous leur petite culotte.

Julie avait mis un petit quart d’heure pour copier dix fois la liste de noms, d’une voix timide elle appela Kate :

— Euh, miss Kate, j’ai fini.

En souriant la jeune anglaise se leva et prit la feuille :

— C’est bien, tu t’es appliquée, lève-toi et tourne-toi.

Intimidée, redevenue une élève obéissante, Julie s’exécuta. Kate retroussa la jupe et le coinça dans la ceinture, puis elle prit une règle plate posée sur la table. Elle s’installa à nouveau dans le canapé et fit venir son élève à côté d’elle. Julie était debout tournée de profil, ses fesses nues étaient presque à hauteur des yeux de sa jeune professeure :

— On va voir si tu as un peu mieux retenu les noms anglais.

Elle commença l’interrogation, copier dix fois la liste avait aidé Julie à retenir un peu mieux le vocabulaire, mais elle trébucha quand même rapidement sur plusieurs mots plus compliqués. Immédiatement la règle claqua sèchement son derrière :

— Bottom !! tu devrais quand même savoir que c’est le derrière, le tien n’est pas assez rouge !!

Julie trépigna sur place sous la morsure de la règle :

— Aïe, aïe, oui, oui pardon miss Kate.

L’interrogation dura un moment et la règle claqua un nombre conséquent de fois la belle croupe de la maman de Caroline. Quand ce fut terminé, la jeune femme prit la feuille et conduisit Julie au coin de la pièce, elle lui appuya la tête contre le mur et glissa la feuille devant son visage :

— Tu vas tenir cette feuille avec ton nez et tu mets tes mains sur la tête, tu resteras là pendant dix minutes à réfléchir aux conséquences de ta paresse.



C’est très long dix minutes au coin le nez collé contre le mur, Julie avait des crampes dans les bras quand Kate leva la pénitence. Mais la punition de Julie n’était pas finie, Kate lui avait promis trois fessées :

— Va chercher le martinet.















mercredi 11 septembre 2024

Deux étudiantes 16

 Cuisant retour en arrière




Brigitte Audin était rentrée chez elle un peu troublée par le spectacle des deux étudiantes déculottées mise en exposition par sa voisine Odile. Leurs croupes bien rouges et le thermomètre profondément enfoncé entre leurs fesses avaient réveillé des souvenirs cuisants chez la sexagénaire.

Madame Audin était une professeure de français en retraite, veuve depuis une dizaine d’année, elle avait fait la connaissance d’Odile en donnant des cours particuliers à ses deux filles.

Elle avait eu l’occasion de voir quelle méthode utilisait la sévère maman pour éduquer ses filles. Les châtiments corporels et particulièrement la fessée déculottée était d’usage chez Odile. Brigitte eut rapidement l’occasion d’assister à cette punition traditionnelle, alors qu’elle faisait un compte rendu peu élogieux du travail d’Amélie, celle-ci s’était retrouvée couchée sur les genoux de sa mère et prestement troussée puis déculottée sous le regard intéressé de la professeure.

Après cette sévère fessée tandis que la jeune fille pleurnichait au coin les fesses à l’air, les deux dames avaient discuté, Odile lui avait précisé qu’elle lui donnait toute latitude pour corriger ses deux filles et qu’à son avis seule l’utilisation régulière de la fessée déculottée permettrait à ses filles de progresser.

Malheureusement pour le derrière de Chloé et d’Amélie, Brigitte avait parfaitement intégré ces consignes et il ne se passait plus un cours sans que l’une ou l’autre des jeunes filles ne se retrouvent couchées sur les genoux de la professeure pour une cuisante mise au point. Pour couronner le tout, Odile appliquait scrupuleusement la règle : une fessée à l’école égale une fessée par maman à la maison. Le fait que l’école soit à la maison ne changeait rien à l’adage.

Brigitte s’y connaissait en matière de correction domestique, son mari était un partisan des méthodes traditionnelles et dès le lendemain de leur mariage il avait administré à sa jeune épouse une magistrale fessée déculottée, elle avait été suivie de nombreuses autres.

Son mari avait été conseillé par la propre mère de Brigitte qui utilisait cette méthode d’éducation traditionnelle. 



La jeune mariée était passée directement de la férule de sa sévère maman à celle non moins stricte de son mari, d’ailleurs pour faire bonne mesure, ils s’étaient quasiment passé le relais puisque Brigitte avait reçu sa dernière fessée maternelle le matin même de son mariage et la première de son époux vingt-quatre heures plus tard.

Depuis dix ans qu’elle avait perdu brutalement son mari, ses fesses étaient restées d’une blancheur virginale. La rencontre avec sa voisine Odile avait été une véritable découverte, elle s’était rendu compte que la fessée qui avait rythmé une bonne partie de sa vie lui manquait.

Elle avait découvert le plaisir d’administrer à son tour ce châtiment enfantin à ses deux élèves, elle avait apprécié de leur baisser la culotte, elle avait compris soudain pourquoi sa mère puis son mari tenait tellement à ce qu’elle porte des jupes et des culottes sage. La honte qu’elle ressentait lors du déculottage et de la mise à nu de ses rondeurs, s’était transformée en plaisir la première fois où après avoir couché Amélie sur ses genoux, elle lui avait lentement et soigneusement baissé la culotte. La découverte de ce joli fessier juvénile avait provoqué chez elle une excitation dont elle avait eu un peu honte au début, mais qui au fur et à mesure des déculottages s’était accentué au point de ne plus pouvoir s’en passer pour le plus grand malheur des fesses de ses deux élèves.



Elle avait sympathisé avec Odile qui maintenant l’invitait souvent après son cours à rester pour boire un thé, c’était un double plaisir pour elle, car la conversation roulait souvent sur le thème des châtiments corporels et que souvent elle assistait à la deuxième punition de l’élève qu’elle avait corrigée. La première fois c’était Chloé qui avait subit l’humiliation de la fessée déculottée, Odile avait dit à Brigitte :

— Puisque vous êtes là, je vais en profiter pour administrer à cette chipie la fessée que je lui dois, votre présence rendra la punition encore plus efficace.

La jeune fille avait du une deuxième fois « montrer ses fesses » comme disait sa maman, la fessée déculottée en public à dix-sept ans ce n’est jamais très agréable. Le derrière encore rosé de la correction de Brigitte avait repris rapidement une belle couleur de tomate bien mûre. La professeure s’était rendu compte que ses fessées étaient vraiment moins sévères que celle d’Odile. Chloé avait crié immédiatement et ses mignonnes petites fesses avaient effectué une très jolie danse. Elle avait fini en pleurs bien évidemment et avait été conduite au coin pour exposer son derrière bien rouge.

Mise en confiance par Odile, Brigitte s’était rapidement confiée et elle avait avoué en rougissant qu’elle connaissait très bien la fessée, mais plutôt du côté punie que fesseuse. Odile en souriant l’avait questionné habilement et bientôt elle savait tout de l’histoire de Brigitte.

La sévère maman était une amoureuse de la fessée, à partir de cet instant elle n’eut de cesse que de découvrir le fessier de sa voisine.

Brigitte avait été impressionnée par l’autorité naturelle d’Odile, elle l’invita également à prendre un thé, elle avait ajouté en souriant :

— Nous serons plus tranquilles pour parler.

Elles étaient assises face à face, quand Odile aborda frontalement le sujet :

— Alors comme ça ma chère, vous n’avez plus reçu la fessée depuis le décès de votre mari ?

Brigitte surprise la regarda en rougissant :

— Euh, c’est-à-dire… Oui… Mais…

Sa phrase resta en suspens, Odile la fixait intensément, augmentant son trouble :

— Vous aviez quel âge quand il est décédé ?

— Cinquante-cinq ans, pourquoi ?

Odile avait un sourire gourmand, Brigitte répondait à ses questions et elle n’avait pas changé de conversation, il fallait continuer de la cuisiner pour la mettre en confiance :

— Vous vous êtes mariée à quel âge ?

Brigitte ne voyait pas bien où sa voisine voulait en venir :

— A vingt-deux ans.

— Vous receviez souvent la fessée ?

Les joues de Brigitte s’empourprèrent :

— Euh, oui, enfin ça dépend…

— Comment ça ? Ça dépend de quoi ?

Odile s’amusait de la gêne de sa voisine, celle-ci avait vingt ans de plus qu’elle, mais elle était comme une gamine interrogée par son institutrice, Odile avait pris un ton un peu plus sec, Brigitte était de plus en plus rouge :

— Ben, ça dépendait des semaines, de toute façon, il y avait toujours la fessée de maintenance du samedi.

— Ah oui ? Un panpan cucul tous les samedi ?

Brigitte se sentit obligée de rentrer dans les détails de la discipline domestique instaurée par son époux :

— Oui tous les samedi, il m’administrait une fessée, il disait que c’était pour que je sache ce qui allait m’arriver si je faisais des bêtises dans la semaine.

— Une vraie fessée ? Déculottée ?

Brigitte regarda Odile d’un air surpris, elle avait toujours été déculottée pour recevoir cette punition, y compris quand c’était sa mère qui s’occupait de son éducation. Une fessée ne s’entendait que cul nu comme disait sa maman.

Odile le savait pertinemment, mais elle voulait que Brigitte fasse cet aveu honteux à haute voix, « oui jusqu’à cinquante-cinq ans j’ai reçu la fessée déculottée couchée sur les genoux de mon mari »

Brigitte mise en confiance par le sourire d’Odile, entra dans les détails :

— Bien sûr c’était toujours cul nu, si je n’avais pas été punie dans la semaine, c’était une simple fessée déculottée à la main, mais toujours très forte, Alex ne savait pas donner de petites fessées. Par contre si j’avais été corrigée dans la semaine, la punition était plus sévère, il utilisait des instruments.

La sévère maman buvait les paroles de sa voisine, décidément de belles perspectives s’ouvraient à elle :

— Des instruments ? Quel genre ?

Brigitte regarda Odile, elle ressemblait de plus en plus à sa mère ? À sa façon de l’interroger, on ne pouvait que répondre :

— Le plus classique, c’était le martinet, maman lui avait offert dès notre première semaine de mariage.

Odile se mit à rire :

— Eh bien dites-moi, votre maman tenait à votre éducation. Elle vous a corrigé jusqu’à vingt-deux ans ?

La professeure la regarda songeuse :

— Oh oui, maman était un peu comme vous avec Amélie et Chloé, elle disait qu’il n’y a pas d’âge pour la fessée déculottée et que tant que je serais à la maison, je devrais lui montrer mes fesses si c’était nécessaire.

Odile approuva :

— C’est sûr, la fessée est de plus en plus efficace quand on prend de l’âge.

Elle avait plongé ses yeux dans ceux de sa voisine.

— Vos jolies fesses ont été rougies sans interruption jusqu’à cinquante-cinq si je comprends bien.

— Euh… oui, vous comptez bien.

Brigitte avait jeté un regard coquin à la maman sévère. Celle-ci nota que sa voisine n’était pas choquée par son interrogatoire.

— Il n’utilisait que le martinet ?

— Oh non… il y avait le paddle.

Brigitte avait répondu très vite.

— Le paddle ?

— Oui, vous ne connaissez pas ?

Elle se leva pour aller dans sa chambre et en revint quelques instants plus tard tenant les deux instruments. Odile reconnut immédiatement le martinet familial, le même que celui qui était suspendu dans sa cuisine, les lanières étaient polies et luisantes, signe d’une utilisation fréquente et d’un entretien parfait. Elle s’intéressa ensuite à l’autre instrument tenu par Brigitte. Une sorte de raquette en bois percée de trous, elle tendit la main et sa voisine lui confia le redoutable instrument de punition. Elle la soupesa et jeta un regard rieur à l’ancienne professeure :

— C’est lourd, ça doit bien claquer sur le derrière.

Brigitte fit une moue, sa dernière fessée avec le paddle semblait encore lui brûler les fesses dix ans plus tard :

— Ça, vous pouvez me croire, quand je voyais le paddle posé sur la table du salon, je n’en menais pas large.

En souriant, Odile le posa exactement au même endroit :

— Dites-moi Brigitte, dix ans sans montrer vos fesses… Ça ne vous manque pas ?

Elle avait décidé d’attaquer frontalement Brigitte, celle-ci lui avait prouvé avec ses confidences que la fessée déculottée avait fait partie de sa vie. Les joues de la professeure s’empourprèrent à nouveau :

— Oh, Odile… que voulez-vous dire ?

Elle ne s’était pas offusquée et n’avait pas répondu par la négative, la partie était quasiment gagnée. La sévère maman souriait toujours, elle prit le martinet et caressa les lanières :

— C’est très simple ma chère, si votre mari a été obligé de vous corriger à la suite de votre maman pendant plus de trente ans, je pense que vous le méritiez n’est-ce pas ?

— Euh… oui sans doute.

— Et comme par enchantement vous êtes devenue sage à la disparition d’Alex ?

Brigitte sentit le piège se refermer, bien sûr, toute sa vie elle avait été soumise à une stricte discipline et elle s’en était accommodée, mais depuis dix ans elle en avait perdu l’habitude. Elle regarda Odile, sa voisine à cet instant n’avait plus vingt ans de moins qu’elle, c’était une sévère maman qui la regardait tranquillement et qui sans rire lui disait qu’elle méritait certainement la fessée.

Odile se leva et prit une chaise qu’elle installa au milieu du salon, puis elle s’y assit :

— Il est temps de solder vos comptes ma chère.

Brigitte était écarlate, elle tenta une diversion en bredouillant :

— Mais… que… voulez vous, Odile… Je… enfin quand même…

La sévère maman avait soudain le même regard qu’avec ses filles :

— Brigitte !! Cessez ces enfantillages, que faisait votre mère quand vous refusiez votre punition ?

— Euh… oui madame, je…

— Que vous arrivait-il ?

Brigitte était redevenue une adolescente :

— La fessée était doublée madame…

— Eh bien, vous venez de gagner une deuxième fessée déculottée ma petite ! Dépêchez-vous si vous ne voulez pas goûter à nouveau au paddle !

Brigitte se précipita et se coucha en travers des genoux de sa voisine. Celle-ci lui tapota les fesses, elle souriait, finalement ça n’avait pas été très difficile. Elle allait enfin pouvoir découvrir le fessier rebondi de Brigitte :

— Ça a été un peu laborieux, c’est la dernière fois, la prochaine fois je triplerai la punition, c’est bien compris !

Elle avait claqué sèchement la croupe par-dessus la jupe.

D’un seul coup Brigitte venait de faire un saut en arrière, cela faisait dix ans qu’elle ne s’était pas retrouvée dans cette position. Ses réflexes de punie revinrent immédiatement, elle posa ses mains par terre et essaya de décontracter ses fesses. Elle sentit sa jupe se soulever, l’air sur ses cuisses lui indiqua qu’elle était troussée et qu’Odile avait une vue parfaite sur sa culotte.

— Mes félicitations Brigitte, vous ne portez pas de collants et votre culotte est très mignonne.

Cette main qui tapotait ses fesses et cette voix féminine, elle se retrouvait quarante-cinq ans en arrière, couchée sur les genoux de sa maman. Malgré la honte et la crainte du châtiment, une chaleur se propagea dans son bas-ventre.

Odile appréciait à sa juste valeur le spectacle offert par sa voisine. Un beau et large fessier moulé par une culotte blanche ornée de dentelle, effectivement elle ne portait pas ces horribles collants mais des bas autofixants. Aussi bien sa mère que son mari ne tolérait que ça sous sa jupe, elle avait également des bas classiques tenus par des porte-jarretelles mais c’était pour les grandes occasions. Malgré la disparition de son mari, elle n’avait pas changé ses habitudes. La sévère maman caressait la croupe tendue par la position :

— Alors ma chère, vous êtes bien installée ?

Une claque un peu plus sèche sur le derrière incita l’ancienne professeure à répondre.

— Euh, oui, oui maman…

Odile se mit à rire :

— C’est bien ma chérie, tu vas voir comme maman va bien s’occuper de ton bon gros derrière.

Brigitte l’avait naturellement appelé maman, c’est vrai qu’elle jouait ce rôle à la perfection malgré la différence d’âge. Elle sentit les doigts de sa nouvelle maman s’insinuer sous l’élastique de sa culotte, le moment fatidique et redouté arrivait, Brigitte poussa un petit gémissement :

— Oh non, pas la culotte…

La sévère maman se mit à rire de plus belle :

— Ah oui ? Et pourquoi donc pas la culotte ? Tu as mérité une bonne fessée déculottée, je vais donc te baisser la culotte comme ta maman et ton mari le faisait.

Brigitte n’avait esquissé aucune rébellion, elle se laissait déculotter comme si c’était normal à soixante-cinq ans de recevoir encore ce châtiment enfantin. Elle se rendait compte que finalement c’était juste un retour à une situation habituelle, il fallait que quelqu’un s’occupe d’elle, même si c’était douloureux pour son amour-propre et son derrière.



Le sous-vêtement était arrivé à mi-cuisse, le large fessier un peu grassouillet s’étalait devant les yeux ravis d’Odile. Il était d’une blancheur nacrée, recouvert d’une légère chair de poule, la raie médiane était serrée, Brigitte dans un souci de pudeur avait contracté ses fesses.

La sévère maman n’avait jamais fessé une dame d’âge mûr, cette magnifique croupe était une belle découverte, c’était un véritable derrière à fessée :

— Eh bien dis-moi ma chérie, ton derrière est bien trop blanc, je vais lui donner bonne mine.

La correction commença immédiatement, la sévère main d’Odile rebondissait sur les rondeurs étalées devant elle.

Brigitte fut surprise de la vigueur de la fessée, si son mari ne savait pas donner de petites fessées, c’était également le cas pour Odile. Elle se mit rapidement à gémir puis à crier, elle avait oublié combien une fessée déculottée pouvait brûler. Dix ans déjà que son postérieur n’avait pas goûté à la rigueur d’une bonne fessée et vingt-cinq ans même pour une correction maternelle. Car c’était bien de ça qu’il s’agissait, Odile la grondait à la manière d’une maman sévère :

— Tu la sens bien ma main sur tes bonnes grosses fesses ? Oh tu peux gigoter, tu peux battre des pieds, tu as mérité la bonne fessée de maman et tu vas l’avoir, je te garantis que tu vas être sage après ça.

Inlassablement la main claquait alternativement une fesse après l’autre, bientôt Brigitte éclata en sanglot, le but de la punition était atteint. Odile continua quand même encore pendant quelques instants, puis elle posa sa main sur la croupe cramoisie, elle était brûlante :

— Voila ce que j’appelle une bonne déculottée ma chérie, ton derrière est fumant.

Brigitte pleurait toujours, sa nouvelle maman la laissa se calmer, elle caressait les belles fesses, c’était vraiment une belle journée :

— Tu vas aller faire refroidir ton bon gros derrière au coin, ça te permettra de réfléchir.

On y était, le retour aux bonnes habitudes était complet, le passage au coin fesses à l’air. Sans dire un mot, en reniflant pour contenir ses larmes la professeure en retraite se dirigea vers le mur.

Odile la regardait attentivement, elle ne lui avait volontairement pas donné de consignes, les fesses joufflues ballottaient au rythme des pas, elles étaient d’un rouge profond. Brigitte n’avait pas hésité, elle avait retrouvé sans réfléchir le coin de la pièce où elle avait passé de nombreuses heures les fesses brûlantes. Elle mit son nez contre le mur et posa ses mains sur la tête, Odile souriait, contente de la docilité de sa nouvelle grande fille. Elle se leva et coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture :

— Voilà une bien jolie paire de fesses, ce serait dommage de ne pas les exposer.

Elle n’annonça pas la durée de la pénitence, elle voulait laisser Brigitte dans l’incertitude quant à sa sévérité. Elle entreprit de visiter l’appartement, sur la commode de la chambre était posée une brosse à cheveux avec un manche en ébène, elle la soupesa. Cet instrument n’avait pas dû servir souvent à coiffer les cheveux, mais il devait parfaitement cuire un bon gros derrière.

Dans la salle de bain elle ouvrit tous les tiroirs, elle sourit en découvrant une crème hydratante, après une bonne déculottée, ça pouvait servir. Elle trouva enfin ce qu’elle cherchait, un thermomètre traditionnel en verre, il y avait également à côté un autre plus moderne, mais elle le négligea. Elle revint vers le salon, la punie n’avait pas bougé, elle s’approcha et passa sa main sur les fesses brûlantes :

— C’est bien tu as été sage.

Elle saisit l’oreille de la professeure :

— Viens avec moi.

Sans protester celle-ci l’a suivi, elle avait gardé ses mains sur la tête. La sévère maman s’installa dans le canapé et laissa la punie debout. Elle posa sur la table la brosse à cheveux à côté du thermomètre. Le martinet et le paddle complétaient la collection d’instruments punitifs. Elle regardait en souriant sa punie :

— Tu connais tout ça ?

Brigitte hocha la tête, à part le thermomètre, ils avaient tous servi sur ses fesses. Odile avait saisi l’instrument médical :

— Pourquoi as-tu gardé ce thermomètre, tu t’en sers encore dans ton gros derrière.

Brigitte piqua un fard :

— Euh, non, non pourquoi ?

La dernière fois qu’il avait été utilisé, c’était par sa mère, cela faisait plus de quarante-cinq ans.

Odile souriait de la gêne de sa voisine, elle faisait tourner le thermomètre entre ses doigts :

— Ah bon, pourquoi l’as tu gardé alors ? J’ai le même à la maison et crois-moi, il sert beaucoup, les petites fesses des filles le connaissent très bien.

Brigitte regarda Odile, c’était vraiment la réincarnation de sa mère, elle avoua :

— Oui maman l’utilisait également.

La sévère voisine jubilait, décidément de grandes perspectives s’ouvraient :

— Ta maman l’a utilisé jusqu’à quel âge ?

Brigitte était au supplice, mais elle répondait sans protester à toutes les questions. Elle était devant Odile, la culotte baissée aux genoux, les fesses encore sensibles, celle-ci ne lui avait pas dit d’enlever ses mains de sa tête et bien qu’elle se trouva un peu ridicule, elle n’avait pas osé changer de position.

— Euh… jusqu’à vingt ans.

C’était un petit mensonge, car elle n’avait quitté le domicile familial que pour se marier à vingt-deux ans et jusqu’à cette date, sa mère quand elle soupçonnait une maladie lui prenait elle-même la température dans les fesses comme elle disait.

Odile en souriant reposa le thermomètre sur la table :

— À partir de maintenant, il restera dans le salon, je veux l’avoir à disposition si nécessaire.

Brigitte ouvrit la bouche pour poser une question, mais sa sévère maman continuait :

— Nous allons reprendre les bonnes habitudes, je viendrai une fois par semaine, disons le samedi en début d’après-midi pour te donner ta fessée de maintenance. Je pense que c’est nécessaire.

Brigitte s’en doutait depuis un moment, elle ne dit rien.

— Bien sûr, à chaque incartade tu peux t’attendre à recevoir une bonne fessée déculottée et quel que soit le lieu, si tu ne veux pas montrer tes fesses à tout le monde, tu n’auras qu’à être mignonne. La seule exception pour le moment, ce sera devant les filles, tu dois garder une certaine autorité. Autre chose, quand tu seras punie, tu m’appelleras maman et je te tutoierai, le reste du temps tu redeviendras Brigitte Audin.

La tirade avait été longue, Brigitte l’avait écouté sans broncher ni protester le moins du monde, finalement c’était peut-être ce qu’elle attendait depuis la disparition de son mari. Après dix ans d’errance, elle allait être à nouveau sous la férule de quelqu’un et inconsciemment elle savait qu’elle en avait besoin.

Odile la regarda en souriant :

— Tu ne dis rien ? Qui ne dit mot consent, demain je viendrai pour ta fessée de maintenance.

Brigitte se rendit compte qu’on était effectivement vendredi, elle faillit protester que ce n’était pas juste, normalement la punition était hebdomadaire, mais le regard impérieux de sa nouvelle maman l’en dissuada.

Odile avait pris le paddle sur la table pour le soupeser, elle le balança au bout de son bras :

— Il est lourd, ça doit vraiment brûler les fesses.

Elle le reposa et prit le martinet :

— Pour ta deuxième fessée, je vais rester classique, tu auras droit au martinet.

Devant le regard surpris de sa voisine, elle ajouta :

— Tu n’as pas oublié ma chérie, maman doit te donner une fessée supplémentaire pour avoir refusé de venir te coucher sur ses genoux dès qu’elle te l’a demandé.



Elle désigna la chaise qui avait servi pour la première punition :

— Tu mets tes mains sur la chaise et tu tends bien ton joli derrière, monsieur martinet s’est ennuyé pendant dix ans. On va le faire travailler un peu.

Comme un automate, Brigitte se mit en position, ses larges fesses encore bien colorées par la fessée précédente, se tendaient vers Odile comme pour réclamer leur dû.

Il fallait marquer son autorité, celle-ci décida d’être sévère, le plantureux derrière était bien échauffé et suffisamment confortable pour recevoir une deuxième correction.

Le martinet cingla la croupe tendue une cinquantaine de fois, on sentait que la dame de soixante-cinq ans qui recevait la fessée était habituée aux sévères corrections, elle piétinait sur place et pleurait, mais elle ne cherchait pas à éviter sa punition en mettant ses mains ou en se relevant. Odile appréciait à sa juste valeur la danse des fesses que lui offrait Brigitte, elles s’ouvraient impudiquement puis se serraient brusquement, c’était charmant.

La rougeur du fessier était intense quand la fessée prit fin, elle s’étendait de la partie la plus charnue jusqu’au milieu des cuisses. Brigitte sanglotait, elle porta ses mains à ses fesses pour les frotter, c’était normalement interdit, mais Odile fut émue par ce spectacle, cette dame d’âge mûr frottant son derrière comme une gamine c’était vraiment mignon. Elle se mit à rire :

— On dirait que ça te brûle ma petite chérie, la prochaine fois tu viendras vite te coucher sur mes genoux quand je l’aurai décidé. Bon maintenant tu arrêtes et tu mets tes mains sur ta tête.

Elle saisit sa soumise par l’oreille et la reconduisit au coin :

— Tu vas rester là pendant une heure, ne t’avise pas de bouger avant que je vienne te chercher, sinon je te descends chez moi et tu feras du coin cul nu devant tout le monde !



Elle claqua les fesses brûlantes et laissa Brigitte Audin sangloter le nez contre le mur. Elle était sûre que sa punie ne bougerait pas d’un pouce.

 

 

mercredi 4 septembre 2024

Hubert 4

 Les trois amies de Valérie





Jeanne était un peu surprise de l’invitation de son amie Valérie, elle lui avait dit d’un ton mystérieux :

— Passe à la maison, dès la fin de tes cours, j’ai une petite surprise.

C’est Caroline qui l’avait accueillie avec un grand sourire, elle appréciait beaucoup cette jeune bonne qui semblait avoir un caractère bien trempé :

— Madame vous attend au salon.

Jeanne avait suivi, la jeune femme en admirant son adorable petit popotin qui se tortillait suggessivement au rythme de ses pas.

En entrant, elle poussa un petit « oh » devant le spectacle d’une paire de fesse écarlate, installée au coin de la pièce juste en face de l’entrée. Cette croupe appartenait à un monsieur, il n’avait pas de pantalon et sa culotte était descendue aux genoux, la rougeur du fessier était intense, la contraction spasmodique des fesses ne laissait pas de place au doute, la cuisson devait être intense.



Valérie était tout sourire :

— Tu ne connaissais pas encore les fesses d’Hubert et bien je te les présente.

Jeanne n’était pas une oie blanche, elle appréciait à sa juste valeur ce fessier masculin, elle avait eu des déboires avec le sexe opposé et voir un monsieur corrigé n’était pas pour lui déplaire :

— Il a vraiment un cul ravissant, tu lui as mis une belle culotte rouge.

Valérie savourait sa puissance, la honte que devait ressentir son mari décuplait son plaisir, depuis qu’elle avait soumis son tendre et cher époux à une stricte discipline conjugale, elle expérimentait diverses situation. La punition publique en faisait partie :

— C’est vrai qu’elles sont mignonnes ses fesses, mais ce n’est pas moi qui les ai rougis.

Jeanne la regarda interrogative :

— Ah bon ?

Valérie prit une petite clochette et la secoua, aussitôt Caroline entra dans la pièce. Valérie pointa du doigt la jeune femme :

— C’est cette demoiselle qu’il faut féliciter, Caroline a vraiment un talent indéniable pour mettre une culotte bien rouge et bien chaude sur les fesses d’Hubert.

La jeune bonne rosit de plaisir sous le compliment, Valérie s’adressa à elle :

— Tu nous serviras le thé et ensuite tu flanqueras une deuxième fessée à ce chenapan, je ne voudrais pas qu’il attrape froid.

Un grand sourire se dessina sur les lèvres de la jeune bonne, décidément depuis que madame avait changé les règles dans cette maison, elle prenait vraiment du plaisir à son travail, bon bien sûr sa patronne avait la main leste et elle ne connaissait qu’une façon de régler les problèmes, c’était illico la fessée cul nu. Se faire déculotter à vingt-deux ans n’était pas un problème pour Caroline, sa tante qui l’avait élevée pratiquait de la même façon bien qu’elle soit majeure. Mais ces petits désagréments n’étaient rien en comparaison du plaisir de punir monsieur, car madame lui laissait toute latitude quant aux corrections qu’elle pouvait administrer et elle ne s’en privait pas. Il ne se passait pas de jour sans que monsieur Hubert soit déculotté et fessé, sans compter les autres châtiments honteux qu’elle découvrait de jour en jour. Elle fit une petite révérence avant de s’éclipser :

— Bien madame, je reviens de suite.

Une fois qu’elle eut posé le plateau sur la table et servit le thé, elle se dirigea vers Hubert. Elle le prit par l’oreille pour l’amener au centre de la pièce, puis elle lui baissa la culotte jusqu’aux chevilles et lui fit enjamber. Elle sortit de sa poche une petite culotte blanche en coton et la tendit à Hubert :

— Mets ça mon garçon.

Elle se tourna vers les spectatrices :

— Quand on reçoit encore la fessée déculottée, on porte des culottes adaptées à la situation.

Hubert avait remonté le sous-vêtement, elle le prit par le bras et le fit pivoter pour qu’il présente son postérieur culotté :

— Voilà, je vous présente le derrière de monsieur Hubert avec sa culotte de gamine. Il est mignon n’est-ce pas ?

Jeanne souriait et Valérie se mit à rire :

— Tu as décidément de très bonnes idées, où as-tu trouvé cette jolie petite culotte ?

En souriant Caroline passa sa main sur les fesses culottées :

— Elle est à moi madame, elle lui va bien ?

Valérie approuva :

— C’est parfait, ce sera maintenant sa tenue quand il sera puni, il mettra une culotte de fessée. Tu iras en acheter demain.

Satisfaite de son petit effet, la jeune bonne plaça une chaise à côté d’Hubert et s’y installa. Puis elle prit la main du monsieur rouge de confusion et le fit basculer en travers de ses genoux :

— Allez en position, Caroline va s’occuper de ton vilain derrière.

Elle tapota la croupe tendue sous la fine lingerie, ses doigts s’insinuèrent sous la culotte au niveau des cuisses pour découvrir la base des fesses, elle la fit rentrer dans la raie fessière et claqua la zone découverte.

— Alors, tu vas encore faire des bêtises ou tu vas te décider enfin à être un gentil garçon.

Hubert était affolé, c’était la première fois que son épouse lui imposait l’humiliation d’une fessée publique, bien sûr Caroline assistait souvent à ses punitions, mais elle faisait désormais partie de la famille puisque souvent comme aujourd’hui c’est elle qui officiait. Un nouveau degré dans sa soumission était franchi une personne extérieure était au courant de sa condition.

Une claque plus sèche le fit pousser un cri.

— Aïe, aïe… pardon mademoiselle.

— J’attends une réponse mon garçon !

La main de la jeune femme claquait méthodiquement la base des fesses et le haut des cuisses, c’était une zone très sensible, finalement il valait mieux une fessée déculottée sur le derrière, il gémit :

— Oui mademoiselle, oui… aïe…

— Oui quoi !

— Aïe je vais être sage…

Jeanne éclata de rire :

— Oh, comme c’est charmant, ce monsieur qui promet d’être sage, on dirait un gamin sur les genoux de sa maîtresse.

Valérie riait aussi, elle approuva :

— Exactement, je l’ai constaté depuis que j’ai repris l’éducation d’Hubert, en général quand il sait qu’il va recevoir la bonne vieille fessée déculottée, ce monsieur redevient comme un petit garçon, il est mignon n’est-ce pas ?

Jeanne était vraiment ravie de la surprise que lui avait réservée Valérie, elle qui avait eu des déboires avec son mari qui l’avait trompée puis quittée, se demanda si la situation n’aurait pas été différente si elle avait utilisé cette méthode avec lui. Elle se tourna vers son amie :

— Ça fait longtemps que tu utilises la fessée ? Il accepte ça sans broncher ?

Valérie lui fit un petit signe avant de se tourner vers Caroline qui avait posé négligemment sa main sur le derrière culotté :

— Je vais t’expliquer, mais il ne faut pas le faire attendre, il va avoir froid aux fesses. Caroline tu peux y aller, déculotte-moi ce garnement et flanque-lui la fessée qu’il mérite.

La jeune bonne ne se fit pas prier, elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte et la fit glisser sur la croupe tendue. Elle la baissa jusqu’à mi-cuisse pour bien dégager le postérieur du monsieur redevenu un gamin sur les genoux de sa gouvernante. Elle palpa ensuite le fessier comme pour en prendre possession :

— Alors mon grand, j’espère que tu as bien honte de montrer ton derrière tout nu. Tu le savais pourtant, quand on a été vilain on a droit à une bonne fessée déculottée.

Elle s’amusait d’avoir ce monsieur couché sur ses genoux les fesses à l’air, elle jouait parfaitement son rôle de sévère gouvernante. Puis sans prévenir elle leva la main et commença la correction du vilain garnement. C’était une véritable avalanche qui s’abattait sur le derrière déjà bien coloré, mais qui prit rapidement une teinte beaucoup plus foncée, un beau rouge brique.



Hubert n’avait pas mis longtemps à crier et à battre des pieds, mais maintenant il pleurait comme un gamin fessé, ses jambes gesticulaient dans tous les sens, ses fesses s’ouvraient largement, Caroline avait coincé son bras dans son dos avec sa main gauche pour l’empêcher de protéger son postérieur. Elle s’appliquait claquant une fesse après l’autre, le gras du derrière puis le pli fessier et l’arrière des cuisses aucune zone de cette partie du corps réservée à la fessée ne fut oubliée.

Pendant que se déroulait la correction, Valérie donnait des explications à son amie :

— Ça fait un mois que monsieur me montre ses fesses régulièrement, j’ai fait intervenir Caroline très rapidement, ça me soulage quand je suis occupée et puis c’est encore plus honteux de recevoir la fessée déculottée par sa bonne, ça rend la punition beaucoup plus efficace. Pour ce qui est d’accepter, il n’a pas réellement eu le choix.

Pendant qu’Hubert continuait sa danse des fesses et pleurait à chaudes larmes elle lui expliqua les problèmes financiers de son mari. Ce qui lui avait permis d’exiger une obéissance absolue et l’acceptation des châtiments corporels en contrepartie de la promesse de le tirer d’affaires.

La punition était maintenant terminée, Hubert fut remis sur ses pieds par la sévère jeune femme, elle lui avait saisi l’oreille et il reprit sa place au coin fesses à l’air. Seule la couleur avait changé, elles étaient vraiment très rouges maintenant. Ses épaules étaient secouées par les sanglots et il ne prêtait pas attention à la conversation qui se déroulait derrière lui. Jeanne avait été très impressionnée :

— Eh bien mazette, cette petite à une poigne de fer, tu le fesses aussi fort toi aussi ?

Valérie souriait :

— Ça arrive que je claque plus fort quand il a été vraiment vilain.

Elle parlait de son mari comme s’il était un gamin, elle ajouta en désignant la croupe cramoisie :

— C’est vrai que pour une fessée à la main, elle l’a bien soigné, mais il a droit aussi au martinet ou à la brosse à cheveux, tu sais avec une bonne paire de fesses comme ça, c’est des fois nécessaire d’être plus énergique.



Elles continuèrent à papoter pendant un moment, Valérie avait remarqué le regard intéressé de son amie en direction du fessier de son mari, elle lui glissa en souriant :

— Elles ont l’air de te plaire les bonnes grosses fesses d’Hubert ? Tu veux les voir de plus près ?

Une idée perverse venait de germer dans son cerveau, pour parfaire la honte du monsieur pourquoi ne pas faire intervenir une tierce personne. Elle appela Hubert :

— Viens un peu ici vilain garçon !

Les joues baignées de larme, il se présenta devant sa maîtresse femme :

— Tu vas aller montrer tes fesses à Jeanne, qu’elle voie de plus près comment je traite les désobéissants.

Docile après cette mémorable déculottée, il se tourna pour présenter son derrière à cette dame qu’il connaissait à peine. Elle passa sa main sur l’épiderme brûlant :

— Que c’est doux, ça lui fait vraiment un joli cul. Je peux les voir de plus près ?

Valérie en souriant acquiesça :

— Fait comme tu veux, ça va lui apprendre.

Jeanne prit la main du puni et le força à basculer en travers de ses cuisses :

— C’est plus pratique pour les examiner.

Sa colère contre les hommes trouvait à se soulager dans l’humiliation d’Hubert. Celui-ci n’avait même pas protesté le feu qui envahissait son derrière l’incitait à la prudence.

Les doigts de Jeanne se mirent à palper les fesses puis à les écarter, elle les tapota doucement :

— C’est bien tu es sage, tu l’avais bien méritée cette fessée déculottée, n’est-ce pas ?

Hubert, bien éduqué par son épouse répondit d’une petite voix :

— Oui madame.

— Tu recommenceras ?

— Non madame, aïe, aïe, aïe.

Jeanne n’avait pas pu s’empêcher de claquer un peu ce derrière si bien présenté. Elle caressa à nouveau les fesses et le fit relever. Valérie avait apprécié ce petit intermède, elle reprit les choses en main :

— Tu retournes te mettre au coin, tu vas y rester encore une heure, ça te permettra de réfléchir.

Jeanne avait la réponse quant à la durée de la pénitence, elle prit congé non sans avoir à nouveau félicité son amie pour la qualité de son éducation conjugale.

C’était la première personne à apprendre la nouvelle organisation de la vie au sein de leur couple, la deuxième ce fut Marie.

Elle était médecin généraliste, amie de Valérie depuis très longtemps. Celle-ci annonça à Hubert qu’elle avait pris rendez-vous chez Marie pour lui. Il la regarda un peu surpris :

— Mais pourquoi ?

Un sourire se dessina sur les lèvres de la sévère épouse :

— À ton âge, tu as besoin qu’on surveille ta santé, je t’accompagne, tu as rendez-vous dans une heure.

Malgré le risque, Hubert tenta de protester :

— Mais enfin ce n’est pas la peine, je vais très bien et puis si tu y tiens à ce rendez-vous, je peux y aller tout seul.

Il avait à peine fini sa phrase que Valérie l’avait saisi par la taille, coincé contre sa hanche et lui avait administré une vingtaine de claques sur le pantalon :

— Pardon ? Qu’est-ce que c’est que ces manières ! Je vais t’apprendre à raisonner.

Elle le relâcha, le fit pivoter et déboutonna son pantalon, elle le fit glisser sur les chevilles et remis Hubert en position, coincé contre sa hanche, les fesses tendues. Elle saisit l’élastique du boxer et déculotta prestement son mari :

— Ah monsieur ne veut pas obéir et bien maman va s’occuper de ses fesses tu vas les avoir bien rouges pour aller à ton rendez-vous.



La fessée pétarada dans le hall d’entrée où se déroulait la correction. Quand elle le relâcha, effectivement Hubert avait un fessier écarlate, il fut envoyé au coin fesses à l’air en attendant l’heure du départ. Il regrettait amèrement sa petite révolte, il savait pourtant que c’était inutile.

Marie accueillit le couple chaleureusement, elle s’enquit de la raison de leur visite, elle fut un peu surprise et amusée de voir que c’était Valérie qui répondait à la place de son mari :

— Je t’ai amené Hubert, il a cinquante ans et tu comprends je ne voudrais pas qu’il ait des problèmes.

Marie connaissait Valérie depuis plus de vingt ans, elle était lesbienne et dominatrice, Valérie l’avait souvent entendu parler de ses petites amies, elle lui avait laissé entendre qu’une jeune dame était beaucoup plus mignonne avec une paire de fesses bien rouges, ça l’avait bien fait rire, mais c’était avant qu’elle-même prenne goût à la fessée déculottée.

La médecin plongea son regard dans celui d’Hubert, il avait changé, il était plus strict :

— C’est vrai, tu as raison à cet âge il faut se surveiller et les hommes c’est bien connu négliges leur santé. On va examiner monsieur de fond en comble comme ça tu seras rassurée.

Elle se leva et s’adressa à Hubert :

— Viens avec moi.

La salle d’examen était juste séparée par une demi-cloison en verre, elle désigna un porte-manteau :

— Déshabille-toi.

Valérie l’avait suivi et regardait son mari qui avait l’air un peu gêné. Marie le remarqua aussi, elle ajouta en souriant :

— Tu peux garder ta culotte.

Valérie souriait, de plus en plus intéressée, elle guettait les réactions d’Hubert, surtout que Marie avait ajouté en riant légèrement :

— Enfin, pour le moment.

Il piqua un fard, c’était vraiment une situation embarrassante, deux dames étaient en train de le regarder se livrer à un strip-tease, en plus le fait que Marie ait parlé de sa culotte et non pas d’un boxer, rajoutait à sa confusion et lui rappelait le sous-vêtement féminin que lui imposait Caroline pour le punir.

Il était maintenant à demi-nu devant la médecin qui pratiqua un examen complet, auscultation, prise de tension, etc. Quand ce fut fini, elle se tourna vers Valérie sans se soucier d’Hubert :

— Il va très bien, il ne reste plus qu’un détail, je vais vérifier sa prostate.

Hubert se sentit défaillir, c’est ce qu’il craignait le plus, un toucher rectal, ce n’est pas très agréable, mais pratiqué par une dame que vous connaissez et en présence de son épouse, c’était impossible :

— Euh, c’est vraiment nécessaire, je n’ai aucun problème vous savez.

Marie le regarda en souriant :

— Oui, c’est absolument nécessaire à ton âge, on verra si tu n’as pas de problème après l’examen. Je pense que maintenant il faut que tu quittes ta culotte mon cher.

Hubert était pétrifié, il ne bougea pas. Valérie le regarda d’un œil noir :

— Tu as entendu Marie ! Tu te déculottes et vite ! Tu veux que je t’aide ?

Marie regardait le couple avec intérêt, décidément son amie faisait preuve d’une autorité qu’elle ne lui connaissait pas. Valérie s’était approchée de son mari :

— Tu sais comment ça fini en général, tu veux que je montre à Marie ce qui arrive aux garnements !

Hubert était de plus en plus rouge, il protesta faiblement :

— Non, non maman… Pardon.

Ce fut au tour de Marie d’être surprise, ce monsieur de cinquante semblait trembler devant son épouse, et il venait de l’appeler maman, elle regarda son amie :

— Il t’appelle maman ?

Valérie était souriante malgré son air sévère, elle savait qu’elle allait pouvoir se livrer à son activité favorite, administrer une bonne fessée déculottée à Hubert :

— Oui quand il va être puni.

Marie allait de surprise en surprise. Valérie avait saisi le bras de son mari pour le faire pivoter et en un clin d’œil, elle l’avait courbé vers l’avant et coincé contre sa hanche :

— Je pense qu’il faut que je t’aide apparemment la fessée de ce matin n’a pas suffi.

La culotte glissait déjà sur la courbe du fessier du pauvre Hubert qui suppliait :

— Non, non, maman pardon… Je vais obéir…

Les fesses encore légèrement colorées par la fessée matinale s’étalait devant les yeux ébahis de Marie, certes elle avait l’habitude de voir des messieurs dans leur plus simple appareil mais pas dans cette position honteuse, coincé sous le bras d’une dame et les fesses rosées tendues vers le ciel, la main de Valérie avait commencé à claquer la belle croupe :

— Oh ça, j’en suis sûr que tu vas obéir, en général après une bonne fessée déculottée on devient sage comme une image.

La fessée fut rapide, juste de quoi redonner une belle couleur rouge au derrière du pauvre Hubert. Quand son épouse le relâcha, il piétina sur place, mais se garda bien de frotter ses fesses écarlates.

Marie était ravie de ce petit intermède qui mettait du piquant ou plutôt du cuisant à ses consultations. Elle-même ne se privait pas de rougir les derrières de ses petites amies, mais c’était plutôt érotique que punitif et il lui fallait reconnaître qu’une véritable punition administrée sur un derrière déculotté était encore plus excitant.

La culotte d’Hubert avait glissé jusqu’à ses genoux pendant la fessée, il ne bougeait pas, la médecin lui montra la table d’examen :

— Installe-toi là et enlève complètement ta culotte, ça sera plus pratique.

Il s’exécuta, mais comme il s’apprêtait à s’allonger sur la table, marie l’arrêta en riant :

— Non, non mon cher, pas comme ça, je suis désolé, mais ce n’est pas le côté face qui m’intéresse, c’est le côté pile. Celui que tu viens de nous montrer.

Hubert était de plus en plus rouge, il se retourna exposant sa croupe rougie, Marie lui donna quelques explications :

— Tu vas te mettre à genoux puis tu mettras ta tête dans tes bras sur le lit, il faut que j’aie accès à ton petit trou.

Elle avait dit ça calmement, en souriant, sans se soucier de la honte de son patient. La fessée déculottée bien administrée fait des miracles, tout le monde le sait. Quelques secondes plus tard, Hubert était en position son fessier pointant vers le ciel, les fesses rouges bien ouvertes par la position.

Marie avait mis un gant d’examen, elle tapota le derrière :

— Allez, on se détend, ce ne sera pas long et beaucoup moins douloureux qu’une fessée.

Elle regarda Valérie et lui fit un petit clin d’œil, celle-ci ravie de la situation ajouta :

— Il est en bonne position, je t’autorise à le fesser si tu le juges utile.

Marie avec deux doigts écarta un peu plus les fesses :

— Je ne pense pas que ce sera nécessaire, il va être sage notre grand garçon. N’est-ce pas ?

Elle avait donné une claque un peu plus sèche sur la fesse droite.

— Oui… oui madame.

Hubert était résigné, effectivement même si c’était désagréable ça n’avait rien à voir avec une bonne fessée.

Le doigt pénétrait inexorablement, le patient se mit à gémir doucement, ce qui fit sourire les deux dames, Valérie fit à son tour un petit clin d’œil à son amie :

— Monsieur apprécie vraiment plus le toucher rectal que la fessée.

Elle remarqua une légère érection, elle le fit remarquer à son amie, celle-ci calmement retira son doigt :

— J’ai un très bon moyen pour calmer les ardeurs des garnements.

Sans retirer son gant, elle se mit à claquer la croupe si bien présentée :

— Je vais t’apprendre la politesse mon garçon.

Hubert trépignait sur la table, mais gardait la position :

— Aïe, aïe, aïe… pardon madame, je n’ai pas fait exprès…

Marie continuait à administrer la fessée :

— Ils sont bien tous pareil, tu vas voir avec ton cul bien rouge, tu vas être calmé.

Effectivement l’érection cessa comme par enchantement sous l’effet de la cuisson. Marie réintroduisit son doigt et le fit tourner lentement :

— Il va falloir apprendre à se maîtriser mon petit ami.

Puis se tournant vers Valérie qui avait beaucoup apprécié l’initiative de son amie :

— Sa prostate va très bien, par contre je pense qu’il est un peu trop serré au niveau de son petit trou. Tu vas me l’envoyer en stage pendant une semaine, je vais régler ce problème.

Valérie acquiesça, un peu surprise tout de même par la perversité de son amie :

— Si tu le juges utile, que comptes-tu lui faire ?

Marie lui jeta un regard vicieux :

— Il va avoir droit à un petit massage prostatique quotidien et il devra se retenir, sinon ce sera panpan cucul.

L’après-midi avait été cuisante et humiliante pour Hubert, par contre Valérie était ravie :

— Tu vois que j’avais raison de t’emmener chez Marie, elle va bien s’occuper de toi.

Hubert ne trouvait pas que c’était une bonne idée, la suite allait lui donner raison.

Le lendemain, il sonna au cabinet de Marie, elle lui avait donné rendez-vous à dix-huit heures à la fin de ses consultations. Elle le fit entrer et ferma la porte d’entrée à clé pour ne pas être dérangée, elle lui montra la salle d’examen du doigt :

— Tu enlèves ton pantalon, tu te déculottes et tu te mets en position, j’arrive.

Instruit par l’expérience, il s’empressa d’obéir, ayant plié son pantalon sur la chaise, il hésita. Marie avait dit « tu te déculottes », fallait-il juste baisser sa culotte ou la retirer complètement ? Il opta pour la première solution et descendit son sous-vêtement sous ses fesses. Puis il s’installa dans la même position que la veille, la croupe tendue vers le ciel.

Marie en bonne perverse jugea utile de le faire patienter un moment, elle devinait la honte d’être ainsi exposé cul nu. Elle jetait un coup d’œil discret depuis son bureau à ce monsieur en position peu glorieuse. Quand enfin elle se décida à s’occuper de lui, elle décela une légère contraction des fesses du patient. Elle s’approcha et claqua un peu sèchement le derrière :

— J’ai dit déculotte-toi. Comment veux-tu qu’je t’examine comme ça.

Elle saisit la culotte et la baissa rapidement jusqu’aux chevilles puis l’enleva complètement :

— Je ne répéterai pas, demain je veux te trouver vraiment cul nu, sinon tu auras droit à une fessée avant de commencer. Bien on y va desserre-moi tes fesses.

Elle avait mis son gant, elle pénétra brusquement Hubert qui poussa un petit cri et resserra les pieds.

En souriant, la médecin retira son doigt et se mit à administrer une magistrale fessée à son patient :

— Valérie m’avait prévenu, tu es vraiment un galopin, mais crois-moi je vais te mâter. Quand tu en auras assez d’avoir les fesses rouges tu arrêteras de faire le malin.

Le toucher reprit, vicieusement Marie se faisait un plaisir de faire coulisser son doigt et de le tourner, ajoutant à la confusion d’Hubert. Une fugitive érection apparu, elle le fit se lever et le coucha sur ses cuisses pour une deuxième fessée, la position ajoutait encore à la honte du monsieur redevenu un gamin sur les genoux d’une institutrice sévère.



En pleurnichant, les fesses écarlates il dut se remettre en position pour subir à nouveau cet humiliant examen.

Il quitta le bureau avec une paire de fesse bien rouge sous sa culotte, Valérie voulu bien sûr contrôler l’état de son derrière, elle se doutait bien que Marie avait usé de son droit de fessage. Le pantalon aux genoux Hubert du se pencher, elle le déculotta :

— Eh bien tu en as pris une bonne, mais tu connais l’adage, une fessée à l’école égale une fessée à la maison. Tu vas aller voir Caroline pour lui montrer tes fesses, elle va s’en occuper. Allez file !

Elle avait reculotté son garnement et lui avait claqué le derrière, il remonta maladroitement son pantalon et se dirigea tête basse vers l’office.

La jeune bonne ne fut pas surprise de le voir, souvent Hubert venait lui rendre visite le soir sur les instructions de son épouse, c’était toujours des rendez-vous cuisant pour la croupe de monsieur.

Elle le déculotta à nouveau et passa sa main sur les fesses encore bien colorées :

— Eh bien mon petit ami, on a encore reçu une bonne déculottée à ce que je vois. Tu connais le tarif, mademoiselle Caroline va te flanquer celle que tu mérites. Va mettre ta culotte de punition et tu reviens me voir.

Hubert était malheureusement habitué à ce cérémonial, quelques minutes plus tard, il braillait comme un gamin sur les genoux de sa gouvernante, la culotte aux chevilles et les fesses écarlates. 



Elle le conduisit ensuite au salon pour le mettre au coin en public et lui annonça qu’il était privé de repas, qu’il irait au lit à neuf heures et que jusque-là il exposerait ses jolies fesses bien rouges.

Elle le conduisit au lit ensuite sous l’œil approbateur de Valérie qui se réjouissait des initiatives de la jeune femme. Pour faire bonne mesure, il eut droit à un petit complément de claques sur les fesses avant de dormir.

Il songea avec effroi que les séances chez Marie devant durer une semaine, le retour à la maison serait certainement aussi cuisant, mais on dort très bien avec une paire de fesses bien chaudes lui disait sa mère, c’était exact.



Laetitia habitait juste en face de chez Valérie et Hubert, vu la fréquence des punitions de celui-ci et leur caractère bruyant, elle fut vite au courant du changement de régime conjugal chez ses voisins.

Hubert était soumis à la fessée déculottée depuis une semaine quand elle rencontra le couple dans le hall d’entrée, il était soucieux, il ne la remarqua pas et lui fonça dessus tête baissée, elle faillit tomber, Valérie gronda immédiatement :

— Mais c’est quand même incroyable, tu pourrais faire attention.

Il bégaya de vagues excuses en baissant la tête, à la grande surprise de la jeune femme, Valérie le prit par l’oreille comme s’il n’était qu’un gamin et le força à lever la tête :

— Regarde mademoiselle et excuse-toi !

Elle avait en même temps claqué les fesses du monsieur par-dessus son pantalon. Celui-ci rouge de honte s’exécuta :

— Veuillez m’excuser mademoiselle, je ne vous avais pas vue.

Laetitia le sourire aux lèvres devant ce spectacle peu banal d’un monsieur soumis à son épouse, se prit au jeu :

— Ce n’est rien mon garçon, mais la prochaine fois faites attention sinon je pourrais me fâcher.

Valérie était satisfaite de la réaction de la jeune femme, une idée lui vint, pourquoi ne pas la faire participer à l’éducation de son mari.

— Il n’y aura pas de prochaine fois, je peux vous le garantir.

Puis désignant la porte de son appartement elle demanda à Laetitia :

— On peut rentrer chez vous, je vais avoir une petite conversation avec monsieur et j’aimerais que vous y assistiez.

Laetitia était de plus en plus intéressée par la tournure des événements, elle ouvrit sa porte :

— Aucun problème, entrez.

Valérie saisit à nouveau l’oreille d’Hubert et le tira sans ménagement :

— Après sa petite fessée déculottée, je vous promets qu’il va faire attention.

La jeune femme allait de surprise en surprise, que sa voisine gronde son mari comme s’il était un gamin, passe encore, qu’elle lui tire l’oreille, c’était limite, mais annoncer qu’elle allait lui, administrer une fessée déculottée, elle en serait presque tombée à la renverse.

Elle avait suivi le couple dans le salon, Valérie s’était assise, son mari debout devant elle ne bougeait pas et ne tentait aucune rébellion, la situation n’était vraiment pas banale. Sa voisine déboutonnait le pantalon de son mari et le faisait glisser sur ses chevilles, puis elle le fit basculer en travers de ses genoux. Laetitia ouvrait de grands yeux, surtout que sans attendre elle entreprit de lui baisser la culotte.



 Elle avait parlé d’une fessée déculottée, c’était donc ça, la jeune femme n’avait jamais assisté à un tel châtiment même sur un enfant, bien sûr elle en avait entendu parler, mais elle pensait que c’était à ranger au rayon des souvenirs du siècle dernier.

La culotte était maintenant à mi-cuisses et la main de ma sévère épouse claquait joyeusement le fessier rebondi du monsieur. Laetitia, passé le moment de surprise, trouvait finalement le spectacle amusant et même excitant. Hubert avait essayé d’être courageux et de supporter stoïquement sa punition, mais Valérie s’y entendait en fessée sévère et celle-ci n’échappait pas à la règle et comme d’habitude il se mit à se débattre, à tortiller suggessivement son derrière pour finalement sangloter comme un gamin puni par sa maman.



Quand il se releva, Laetitia fut étonnée qu’il ne frotte pas ses fesses, vu leurs couleurs, elles devaient être brûlantes. Elle apprendrait par la suite que toute tentative pour atténuer la cuisson du derrière valait un retour immédiat sur les genoux de la fesseuse. Valérie était souriante, elle regarda sa jeune voisine pour voir l’effet que ça lui avait fait, son visage radieux était la preuve qu’elle avait apprécié le spectacle, elle s’adressa à son mari :

— Tu vas aller montrer tes fesses à mademoiselle et tu vas encore t’excuser.

Docilement Hubert, se tourna et se pencha légèrement devant Laetitia, son fessier rubicond était bien exposé à la vue de la jeune femme, elle sentit une légère excitation et elle ne put s’empêcher de poser sa main sur la croupe brûlante. Hubert tressailli, c’était encore une nouvelle main qui prenait possession de son postérieur, néanmoins il ne bougea pas et prononça les excuses attendues :

— Veuillez excuser ma maladresse mademoiselle, cela ne se reproduira plus.

Laetitia souriait, elle claqua légèrement le fessier du monsieur redevenu un gamin :

— J’espère bien, ta maman t’a bien puni, maintenant c’est fini.

Elle s’était surpris elle-même d’employer ces mots, mais ils étaient tout à fait adaptés à la situation.

Désormais, il y avait cinq dames au courant de la condition d’Hubert et qui connaissaient toutes parfaitement son anatomie postérieure.
















Discipline traditionnelle 2

 Julie découvre la fessée Depuis qu’elle avait réintroduit les bonnes vieilles méthodes d’éducation dans la maison, Julie était ravie. Après...