Correction pour deux chipies
En sortant du bureau de madame Desrodes, les deux élèves avaient les larmes aux yeux.
Clémentine surtout, elle se souvenait de son dernier séjour à l’institut, Aurélie l’avait particulièrement soignée elle avait reçu pas moins de trois fessées successives, une à la main, une avec mademoiselle Claquefesse et la dernière au martinet, ses fesses étaient restées rouges et cuisantes pendant toute la soirée et la sévère assistante l’avait prévenue ;
— Si je suis obligée de recommencer à nouveau, je te promets que tu auras du mal à t’asseoir pendant plusieurs jours.
Audrey avait juste entendu parler de l’institut par les autres élèves, elle n’avait jamais reçu la fessée et elle était complètement affolée à l’idée de se faire baisser la culotte à son âge, car bien sûr toutes celles qui y étaient passées lui avait précisé que les fessées administrées à l’institut, c’était toujours cul nu.
La directrice les avait grondées comme si elles étaient des gamines et les avaient prévenues qu’elles allaient passer toute la matinée à l’institut et qu’à leur retour elles viendraient lui montrer leurs fesses rouges.
Judith les croisa, elle les arrêta en souriant :
— Alors comme ça, vous allez montrer vos jolis derrière à la demoiselle de l’institut ?
Elles baissèrent la tête en rougissant, Judith était en verve, elle saisit la main de Clémentine et la fit pivoter, puis elle lui claqua sèchement la croupe par-dessus la jupe :
— Ton derrière a vraiment besoin de ça ma petite, je pense que j’examinerai tes fesses à ton retour.
Elle regarda Audrey qui semblait tétanisée, elle lui fit un petit signe du doigt :
— Tourne-toi !
La main claqua le magnifique derrière :
— J’espère que tu as bien honte ma chérie, une bonne fessée déculottée, voilà qui va te rajeunir.
Elle regarda autour d’elle, il n’y avait personne dans le couloir, elle retroussa la jupe plissée bleue de l’uniforme, la culotte blanche réglementaire moulait bien le fessier rebondi de la jeune femme, elle claqua la base des fesses au ras de la culotte. Audrey poussa un cri et sautilla sur place :
— Ce n’est qu’un avant-goût de ce qui va t’arriver ma grande, toi aussi tu me montreras tes fesses.
La nuit avait été difficile pour les deux élèves, elles se retrouvèrent devant la porte de l’institut à huit heures pile. Aurélie était déjà là ainsi que Ambre. Celle-ci n’était pas dans une situation enviable, elle n’avait pas encore fini sa formation et même si de temps en temps elle avait le droit de s’occuper des derrières des clientes, elle recevait encore régulièrement la fessée, aujourd’hui c’était au tour de Sophie de s’occuper d’elle.
En la voyant Aurélie avait eu un sourire coquin :
— Sophie n’arrive qu’à huit heures trente, tu ne vas pas rester là les bras ballants, mets-toi là.
Elle avait désigné la plate-forme à côté du secrétariat. Ambre marqua un temps d’arrêt, une magistrale claque atterrit sur son popotin :
— Dépêche-toi.
Résignée, elle se coucha à l’endroit désigné, elle se doutait de la suite, ayant assisté de nombreuses fois à l’humiliation des patientes obligées d’y exposer leur fessier. Elle avait vu juste, elle sentit sa courte jupette se soulever et les doigts de la jeune assistante se glisser dans sa culotte pour la baisser jusqu’à mi-cuisse.
C’est le spectacle de ses fesses nues que les deux jeunes collégiennes avaient vu en premier en entrant dans la pièce, elles en avaient frémi. Bien sûr elle savait ce qui allait leur arriver mais voir cette dame déculottée exposant ses fesses joufflues serrées par l’angoisse, les avaient mis immédiatement dans l’ambiance. Aurélie les accueillit avec un grand sourire :
— À voilà nos deux punies du jour, c’est bien vous êtes à l’heure. Vous avez amené votre bulletin de punition ?
Elles tendirent chacune une feuille où la directrice avait noté le motif de la punition. Aurélie s’en saisit et les parcourus rapidement :
— Eh bien, c’est du joli, on va régler ça tout à l’heure. En attendant venez-ici.
Audrey et Clémentine s’approchèrent, l’assistante les fit pivoter et épingla les jupes dans le dos, puis elle les déculotta comme elle l’avait fait pour Ambre. La culotte à mi-cuisse c’est ce qu’elle préférait, les deux fessiers juvéniles apparurent, Aurélie les claqua joyeusement :
— Voilà deux jolies paires de fesses, elles sont bien blanches, vous allez les exposer un peu avant que je m’en occupe.
Elle saisit les deux jeunes filles chacune par une oreille et les conduisit au coin de la pièce, juste en face de la porte d’entrée. Clémentine avait déjà subit la honte d’exposer ses fesses dénudées en public, c’était une première pour Audrey, elle les serrait, angoissée par la suite des événements.
Aurélie fit mine de se désintéresser des trois postérieurs exposés dans le secrétariat, pour une habituée des lieux, il y avait une certaine incongruité. Non pas dans cette honteuse exposition, mais dans le fait que les croupes soient d’un blanc immaculé. Au bout de quinze minutes, elle se leva, en passant elle tapota le fessier bien dodu d’Ambre :
— Encore un petit quart d’heure à montrer tes fesses ma chérie, soit sage.
Elle s’approcha des deux collégiennes et les saisit chacune par une oreille :
— À nous les chipies, vous allez m’expliquer en détail pourquoi vous êtes ici.
Comme elle en avait l’habitude elle leva les bras pour que les deux filles soient obligées de marcher sur la pointe des pieds, elles étaient toujours fesses à l’air.
En entrant dans le box réservé aux punitions, elle lâcha l’oreille d’Audrey puis conduisit clémentine au coin de la pièce :
— Mains sur la tête et nez au mur !! Je ne veux pas t’entendre.
Elle revint vers la jeune femme qui attendait les bras ballants et le rouge aux joues, elle lui désigna une chaise :
— Mets-toi à genoux ici. Les mains sur ta tête !
Elle prit une grande règle plate en bois et claqua les fesses serrées par l’angoisse :
— Explique-moi un peu pourquoi tu es venue me voir.
Audrey avait les larmes aux yeux, la position inconfortable ses fesses nues bien exposées c’était beaucoup, la règle cingla sèchement deux fois de suite le beau fessier.
— Aïe, aïe… non, non mademoiselle.
Audrey avait porté ses mains à ses fesses.
— Remets tes mains sur la tête immédiatement, je vais t’apprendre !
Aurélie s’était approchée de la punie et l’avait ceinturée, elle administra une vingtaine de coups de règle sur le derrière tendu par la position.
Audrey se mit à hurler surprise par la brûlure, elle ne pouvait que trépigner sur ses genoux, elle avait remis ses mains en place, son derrière était déjà rouge quand cette première fessée cessa, elle avait du mal à reprendre sa respiration au milieu de ses sanglots :
— Cesse de pleurnicher, tu n’as eu que ce que tu mérites, ici on ne protège jamais ses fesses avec sa main. Maintenant tu te dépêches de me dire pourquoi tu es là ou ma règle recommence à te caresser le derrière.
En sanglotant Audrey se mit à parler, ses fesses se serraient et s’ouvraient, Aurélie appréciait ce beau fessier bien rebondi, elle sentait qu’elle allait se régaler à le faire danser.
— Oui, mademoiselle… Euh, j’ai triché au contrôle de math… Aïe, aïe.
— Tu as triché !!
La règle avait cinglé à nouveau les fesses de la jeune femme :
— Eh bien c’est du joli, je te garantis que je vais te faire passer l’envie de recommencer.
Elle saisit l’oreille d’Audrey pour la faire se relever, pris sa place puis la bascula immédiatement en travers de ses cuisses. La fessée démarra immédiatement, une avalanche de claques uniformément réparties sur toute la surface du derrière de la jeune femme, celle-ci s’était remise immédiatement à pleurer, ses jambes battaient l’air. Elle recevait sa première fessée déculottée à vingt-cinq ans et ce n’était vraiment pas une fessée pour rire, elle braillait comme une gamine corrigée par sa maman en colère.
La maman en question était plus jeune qu’elle, mais elle la grondait comme il se doit :
— Ah mademoiselle a triché, eh bien je te garantis que la correction que tu vas recevoir va t’en faire passer l’envie.
Le magnifique derrière de la jeune femme n’était plus qu’une boule écarlate, les deux hémisphères étaient serrés l’un contre l’autre. Aurélie la fit se relever :
— Voilà pour commencer, mais rassure-toi nous ne sommes pas quittes. File te mettre à côté de ta copine et pleure en silence. Clémentine vient ici !!
Aurélie se leva et lui désigna la chaise :
— Mets-toi à genoux et présente-moi bien tes jolies fesses.
Comme elle l’avait fait pour Audrey, elle claqua sèchement la croupe juvénile :
— Allez, tu m’expliques et vite !
Clémentine renifla et serra encore plus ses fesses :
— Pardon mademoiselle, pardon… Aïe, aïe, aïe…
La règle avait claqué le derrière de Clémentine.
— Cesse de gémir, dis-moi ce que tu as fait et vite…
— Je… je n’ai pas fait mes devoirs mademoiselle… Aïe, aïe…
— Très bien, qu’est-ce que je t’avais dit la dernière fois que tu es venue me voir ?
— Euh, oui madame que vous me puniriez plus sévèrement.
— Exactement, viens un peu là.
Elle fit relever la jeune fille, posa son pied sur la chaise et souleva Clémentine pour la basculer sur sa cuisse, la jeune fille poussa un cri et battit des pieds et s’accrocha aux barreaux. La fessée crépita immédiatement, elle ne fut pas moins forte que celle d’Audrey, les cris et les pleurs de la jeune fille parvenait jusqu’au secrétariat. Sophie était arrivée, elle avait caressé la croupe bien joufflue d’Ambre, elle tourna la tête vers la porte :
— On dirait que ça chauffe à côté. Bon puisque ton derrière est prêt on ne va pas perdre de temps. Elle prit une mademoiselle Claquefesse posée sur le bureau et tapota les fesses, Ambre se mit à gémir :
— Mais mademoiselle Sophie, pourquoi est ce que je reçois une fessée tous les jours, ce n’est pas normal, je n’ai rien fait… Aïe, aïe…
La petite raquette en cuir venait de claquer ses fesses tendues :
— Mais vas-tu te taire ! Tu crois que tu es en position et en tenue pour protester, ici quand on est déculottée, c’est pour recevoir la fessée. Et je peux te dire qu’avec ta récrimination tu viens d’en gagner quelques-unes. Madame Rose nous a laissé toute latitude pour qu’on s’occupe de toi avec Aurélie, on a décidé qu’une fessée déculottée tous les matins ne pouvaient que te faire du bien. On avait décidé d’arrêter vendredi et bien tu viens de gagner une semaine supplémentaire à nous montrer ton derrière, on va commencer immédiatement et à midi tu feras une pénitence avec les punies, ça t’apprendra à te plaindre.
Mademoiselle Claquefesse entreprit de rougir la croupe dodue de la jeune femme, celle-ci commençait à avoir l’habitude, mais la première fessée de la journée était toujours la plus cuisante, la peau du derrière n’était pas encore échauffée.
Dans le box voisin, Aurélie en avait terminé avec la fessée de Clémentine, elle la conduisit à côté d’Audrey :
— Je reviens, tâchez de ne pas bouger si vous tenez à la peau de vos fesses.
Sophie continuait de claquer la croupe d’Ambre qui pleurait comme une madeleine, Aurélie s’arrêta pour regarder :
— Elle a vraiment une jolie paire de fesses notre petite Ambre, tu la prives de culotte, je pense qu’il vaut mieux que ses fesses prennent l’air sous sa jupe.
Sophie cessa la correction et approuva :
— Oui, mademoiselle ne va pas avoir froid aux fesses, à au fait c’est toi qui es de permanence à midi, et bien tu auras Ambre en plus des punies, elle s’est plaint qu’on était trop sévère, je crois qu’il faut que tu lui montres ce que c’est qu’une bonne déculottée.
Aurélie s’approcha du bureau et caressa les fesses brûlantes de la jeune femme :
— Tu as du caractère ma petite Ambre, mais tu vas voir il va s’assouplir en même temps que la peau de ton derrière, il est vraiment mignon, tu vas voir à midi je vais m’occuper de te le chauffer.
Sophie se pencha pour retirer complètement la petite culotte blanche de gamine qu’Ambre était obligée de porter depuis qu’elle travaillait à l’institut, puis elle lui claqua les fesses et lui tendit la lingerie :
— Tu connais l’endroit où l’accrocher, alors dépêche-toi si tu ne veux pas que ta première patiente te voies avec les fesses à l’air.
Aurélie revenait avec deux petits paillassons en plastique vert, elle entra dans le box où Audrey et Clémentine exposaient leur fessier rubicond. Elle posa les paillassons sur deux chaises installées devant la table :
— Venez ici, vous allez poser vos jolis derrières sur ces chaises de réflexions.
Les deux collégiennes regardèrent incrédule l’endroit où elles devaient s’asseoir, les picots en plastiques avaient l’air particulièrement rugueux, Aurélie les regarda en souriant :
— C’est sûr que ça ne va pas être trop confortable pour vos fesses mes chéries, mais elles resteront bien rouges et prêtes pour votre deuxième fessée et comme son nom l’indique cette chaise de réflexions va vous permettre de méditer sur vos bêtises. Dépêchez-vous !
Les deux punies s’installèrent en grimaçant, elles avaient essayé de poser le plus délicatement possible leur postérieur sur ces paillassons, mais maintenant que tout leur poids reposait sur le siège, la brûlure des fesses était accentuée, des larmes coulaient sur leurs joues.
— Cessez de pleurnicher pour rien sinon, je vous reflanque à chacune une fessée immédiatement. Clémentine tu te rappelles ce que je t’avais dit la dernière fois, je ne devais pas te revoir il me semble, quant à toi Audrey, tricher à ton âge, tu devrais avoir honte.
Elle posa une série de feuille devant chacune des filles avec un stylo :
— Vous allez me copier cent fois la phrase suivante « Je ne ferai plus de bêtises à l’institut Sainte-Marie sinon je viendrai voir mademoiselle Aurélie pour recevoir une bonne fessée déculottée ». Tâchez de vous appliquez, je ne veux pas de pattes de mouches où de rature, sinon vous recommencez. À vous de savoir si vous voulez passer la matinée sur vos sièges de réflexions.
Elle laissa les deux punies et se dirigea vers le secrétariat, elle avait pris soins de laisser la porte ouverte pour pouvoir les surveiller. Sophie y jeta un œil :
— Elles sont mignonnes à tortiller leurs petits derrières bien rouges, cette idée de siège de réflexions est vraiment super.
Depuis la salle de traitement le bruit d’une conversation animée et claquante s’échappait, Aurélie interrogea Sophie du regard, celle-ci eut un sourire mutin :
— J’ai confié à Ambre le soin de s’occuper du bon gros derrière d’Agnès, vu la chaleur des fesses de notre petite chérie, je pense que madame la responsable du magasin de lingerie ne va pas avoir froid aux siennes ce matin.
En effet dès qu’elle était arrivée pour son traitement du matin, Sophie lui avait présenté Ambre :
— Bonjour Agnès, à partir d’aujourd’hui, c’est notre nouvelle collègue qui va s’occuper de votre popotin, je lui ai transmis toutes les informations vous concernant et le traitement prescrit par madame Rose. Je pense qu’entre ses mains vos fesses vont se raffermir rapidement perdre en volume et gagner en tonicité. Tâchez d’être sage, elle a été formée par nos soins et elle à la main leste.
En effet, Agnès avait rapidement pu se rendre compte qu’elle n’avait pas gagné au change, Ambre avait jugé qu’elle mettait trop de temps à se mettre en petite tenue et elle lui avait administré une première fessée courbée sous son bras comme une maman l’aurait fait pour une gamine capricieuse. Même si elle en avait l’habitude, elle avait été humiliée d’être traitée ainsi par une aussi jeune femme. Elle avait fini d’enlever le haut la culotte baissée sous ses fesses rouges, dès qu’elle avait eu terminé, Ambre l’avait pris par la main et l’avait basculée en travers de ses cuisses :
— Allez on va vous mettre le thermomètre, tâchez de me desserrer ces fesses.
Se faire introduire l’instrument dans cette position infantile était une petite humiliation supplémentaire, surtout que la nouvelle assistante avait vite appris et son caractère pervers avait fait le reste, elle écarta largement les hémisphères :
— Voyons un peu ce que nous cachent ces deux bonnes grosses fesses ? Que c’est mignon ce petit trou… Ma chère Agnès votre raie fessière est vraiment magnifique, je vais faire une photo pour votre dossier, tournez la tête qu’on vous reconnaisse. Voilà, pleine lune comme on dit chez moi, un bon gros derrière bien présenté.
Tandis qu’elle parlait elle tenait toujours les larges fesses bien ouvertes, elle se décida enfin à mettre en place le thermomètre. Comme lui avait montré ses collègues, elle le fit pénétrer très profondément, mais en le faisant coulisser plusieurs fois pour que sa patiente le sente bien. Quand il fut bien enfoncé, elle tapota le large popotin :
— J’espère que vous êtes bien installée, je vais vous garder sur mes genoux, comme c’est la première fois que je mets un thermomètre, je préfère vous surveiller de près.
Agnès soupira doucement, que pouvait-elle répondre à cette nouvelle atteinte à sa dignité, elle essaya de se relaxer afin que l’instrument introduit dans son fondement ne ressorte pas.
Ambre avait le derrière sensible après la magistrale fessée que lui avait administrée Sophie, elle se dandinait d’une fesse sur l’autre, mais le magnifique spectacle de la croupe d’Agnès étalé devant ses yeux compensait ce petit désagrément. La prise de température devait durer au minimum un quart d’heure, de toute façon elle n’avait pas d’autre patiente prévue, autant profiter du magnifique derrière de la cinquantenaire installée en travers de ses genoux. Sa perversité et son goût pour les derrières féminins allait pouvoir être satisfaite. Elle glissa ses doigts entre les cuisses d’Agnès qui les serra inconsciemment, une dizaine de claques atterrirent immédiatement sur son fessier :
— Desserre-moi tes fesses, sinon tu vas voir !!
Sous le coup de la colère, la jeune femme avait tutoyé sa patiente qui aurait pu être sa mère, celle-ci obéit immédiatement :
— Pardon mademoiselle, je ne l’ai pas fait exprès, j’ai été surprise.
Docilement elle écarta ses cuisses pour laisser les doigts inquisiteurs explorer son intimité, Ambre souriait ravie de son nouveau pouvoir, si de temps en temps elle avait pu forcer quelques copines à lui livrer leur intimité, là elle pouvait en toute impunité contraindre une dame d’âge mûr. Elle ne s’en priva pas, pendant un quart d’heure, elle écarta les fesses, les palpa, glissa ses doigts entre les lèvres gluantes. Agnès malgré sa honte n’était pas insensible à ses attouchements intimes, ironiquement la jeune femme lui fit remarquer :
— On dirait que ça te plaît petite coquine, ça mérite la fessée…
Elle administra une courte mais magistrale fessée à Agnès qui gémit autant de douleur que de plaisir.
— Ah tu en veux des fessées, ah ça te plaît que je claque ton bon gros derrière et bien je te garantis que tu vas repartir avec des fesses bien chaudes.
Les deux larges fesses s’ouvraient puis se refermaient au rythme de la correction, elles étaient déjà bien rouges quand Ambre s’arrêta, elle les palpa :
— Ton derrière est déjà chaud ma chipie.
Elle ne parlait plus à madame Agnès la responsable de magasin, mais à une adolescente insolente qui méritait d’être fessée. Elle retira le thermomètre et nota la température sur la fiche de la patiente :
Comme prévu dans le traitement il fallait échauffer les fesses avant l’application de la crème, elle jugea que cette courte fessée était insuffisante, elle en administra une deuxième encore plus copieuse à la pauvre Agnès, celle-ci ne put retenir ses larmes ce qui fit sourire la jeune femme, ça compensait les fessées qu’elle avait reçue ce matin.
Puis elle prit le pot de crème et tartina largement le derrière bien rouge :
— Maintenant tu vas t’allonger là et tâche de rester tranquille.
Elle régla la minuterie sur trente minutes et ouvrit grand la porte pour que le fessier soit visible depuis le bureau. Sophie avait son sac à la main, elle partait pour une séance de fessée à domicile, elle jeta un œil sur le bon gros derrière exposé.
— On dirait que tu n’as pas mégoté sur l’échauffement du derrière.
Ambre lui rendit son sourire, elle fit mine de frotter ses fesses :
— J’ai été à bonne école, vous ne m’avez pas manqué ce matin.
Sophie se mit à rire et l’attrapa par la main :
— C’est vrai ? J’aimerais bien voir si la couleur me convient encore.
En un clin d’œil, Ambre fut ceinturée et courbée sous le bras de la jeune assistante, privée de culotte, ses fesses furent rapidement mises à nu. Elles étaient encore bien colorées, Sophie les tapota, tu es une petite dévergondée ma chérie tu mériterais que je t’en reflanque une, mais je suis pressée.
Elle la relâcha. Ambre, les joues rouges, lissa sa jupe sur ses fesses, Sophie était d’humeur badine :
— Tu as vraiment un derrière très mignon, bon au fait tu peux nous tutoyer avec Aurélie, on est collègue maintenant, même si tu vas continuer à nous montrer tes fesses.
Ambre rougit à nouveau, mais de plaisir, même si les deux assistantes savaient se montrer sévères et intransigeantes, elle commençait à aimer ce travail et la confirmation par Sophie de son intégration dans l’équipe lui allait droit au cœur. Sophie lui fit la bise et palpa ses fesses en même temps :
— N’oublie quand même pas qu’à midi tu auras droit à une séance de panpan cucul.
Aurélie traversait le secrétariat pour s’occuper de ces deux punies, elle avait entendu, elle se mit à rire :
— Eh oui encore une fessée déculottée ma chérie, je te laisserai quand même claquer un ou deux derrières avant. Au fait cet après-midi, Héloïse vient pour sa séance, je n’ai pas le temps de m’en occuper je vais te la confier. Tu sais c’est la jeune qui a un peu de mal avec le thermomètre et les suppos.
Ambre essaya de cacher sa joie, quel magnifique cadeau lui faisait sa collègue, son ancienne copine allait passer une après-midi cuisante. Elle avait déjà eu l’occasion de lui administrer une fessée et de lui mettre un suppositoire, mais cette fois-ci elle l’aurait à sa disposition pour une séance entière, elle en aurait mouillé sa culotte si elle n’avait pas été suspendue au crochet.
Elle regarda Aurélie s’engouffrer dans le box où l’attendaient les deux collégiennes, la jeune femme laissa volontairement la porte ouverte, depuis le secrétariat Ambre allait pouvoir assister au spectacle.
Aurélie s’approcha du bureau, elle prit les feuilles et les lus rapidement :
— C’est bien ce que je pensais, vous n’êtes pas capable d’écrire correctement, elle les saisit chacune par une oreille et les fit se lever :
— Penchez-vous sur la table ;
Les deux fessiers rouges étaient marqués par les picots en plastique des paillassons, elle appuya sur le dos pour qu’elles présentent mieux leur derrière, puis elle prit une mademoiselle Claquefesse et commença à claquer les deux paires de fesses, elle procédait avec méthode, d’abord la fesse droite d’Audrey puis la gauche et ensuite celles de Clémentine et ainsi de suite.
Les deux jeunes femmes trépignaient sur place, mais elles ne bougeaient pas. Rapidement les deux croupes furent écarlates et les larmes fusèrent.
Ambre se régalait, mais la minuterie sonna, il était temps d’aller s’occuper du popotin d’Agnès. Les fesses de la cinquantenaire se contractèrent en entendant les pas de la jeune assistante. Celle-ci était excitée par le spectacle offert par Aurélie, elle fit relever sa patiente en la tirant par l’oreille comme si elle était une gamine :
— Allez en piste madame.
Elle la coucha en travers de ses genoux comme pour lui donner la fessée et se mit en devoir de faire pénétrer la crème, sa perversité était satisfaite, ses doigts s’insinuaient entre les deux globes et massait vigoureusement le bon gros derrière. Quand tout le produit eu disparu, elle tapota les fesses :
— Nous arrivons à la fin du traitement ma grande, une bonne fessée pour bien chauffer la peau, un suppo et tu vas pouvoir partir travailler.
Elle se mit en devoir d’administrer une magistrale déculottée à la pauvre Agnès, certes la fessée était théoriquement thérapeutique, mais en fait ce fut une véritable correction que la jeune femme flanqua à sa patiente. Puis elle écarta largement les deux bonnes grosses fesses et lui mit le suppositoire prévu dans le protocole.
Quand la responsable du magasin se releva des genoux de la jeune femme, de grosses larmes coulaient sur ses joues du haut, celles du bas étaient cramoisies.
Ambre lui fit quitter sa culotte :
— Au travail cul nu sous ta jupe ma chère, ton derrière refroidira mieux.
Sans un mot elle se rhabilla, Ambre la regardait en souriant, elle retroussa une dernière fois la jupe pour apprécier son travail et claqua le large derrière :
— Allez file, n’oublie pas qu’Aurélie t’attend à midi.
Aurélie en avait fini avec sa double fessée, les deux collégiennes exhibaient leur derrière cramoisi dans le secrétariat, chacune occupait un coin de la pièce, les fesses se contractaient sous la cuisson et les deux punies reniflaient doucement, Aurélie les avait prévenues :
— Je ne veux pas vous entendre, vous n’avez eu que ce que vous méritiez, alors pleurez en silence.
Elles passèrent une heure au coin, sous le regard amusé ou inquiet des visiteuses, tout dépendait du statut de celle-ci fesseuse ou fessée on appréciait pas de la même façon le spectacle d’une dame exposant une croupe écarlate dans un coin de la pièce.
Aurélie avait décidé que leur dernière correction serait publique, elle appela Ambre :
— Je vais avoir besoin de toi, en plus tu vas apprendre à donner une double fessée.
La jeune femme se souvenait de celle que lui avait administré les deux perverses assistantes, cette fois-ci elle serait du bon côté de la fessée. Aurélie disposa deux chaises face à face où elles s’intallèrent, les genoux se touchant puis elle interpella les deux punies :
— C’est l’heure de la fessée mes petites chipies, amenez-moi vos fesses.
Les mains sur la tête, Audrey et Clémentine s’approchèrent, Aurélie se régalait de les voir si piteuse et angoissée :
— On va commencer par Clémentine, Audrey tu auras le plaisir de regarder et de te préparer à ce qui va t’arriver ensuite.
Elle saisit la main de la plus jeune des collégiennes et la bascula en travers de leur quatre cuisses, elle baissa un peu plus la culotte et tapota les fesses encore rougies :
— Dernière fessée ma petite chérie, je t’avais prévenue la dernière fois, tu vas avoir du mal à t’asseoir.
Elle regarda Ambre et commenta :
— Elle a vraiment une mignonne paire de fesses notre petite Clémentine, on va la faire danser. D’abord la main puis mademoiselle Claquefesse.
Elle expliqua à la nouvelle assistante la technique, claquer rapidement la même fesse, afin que la punie n’ait aucun répit. Elle se réserva la fesse droite laissant la gauche à Ambre.
Immédiatement sous la brûlure la punie se mit à hurler et à se débattre, Audrey regardait ce spectacle complètement affolée, s’imaginant que bientôt ce serait son tour de gigoter sous la double fessée. Son angoisse augmenta encore quand les fesseuses continuèrent la punition armée chacune de la petite raquette en cuir, les fesses de Clémentine étaient maintenant d’un rouge profond, virant sur le brique, les joues baignées de larme elle se releva, ses mains firent mine de se porter à son derrière :
— Si tu frottes tes fesses tu reviens sur nos genoux !! Mets-les sur ta tête !!
L’ordre avait claqué, Clémentine s’exécuta, Ambre en souriant regarda Audrey, elle était plus âgée qu’elle, ça décuplait son plaisir de la corriger, elle tapota ses cuisses :
— En piste chipie et dépêche-toi !!
La correction d’Audrey fut au moins aussi sévère, pendant qu’elle se tortillait sur les genoux des fesseuses, une dame était arrivée et elle regardait avec intérêt se dérouler la fessée. A la fin elle ne put s’empêcher d’applaudir :
— Eh bien cette fessée était vraiment magistrale, je vous félicite mesdemoiselles, je vois que madame Rose sait former son personnel.
Aurélie regarda la visiteuse en souriant :
— Bonjour Isabelle, je suis contente que ça vous ait plu, vous savez que je suis toujours à votre disposition si vos fesses en ont besoin.
La cliente piqua un fard et ne répondit pas, c’était toujours dangereux d’aborder le thème de la fessée avec les assistantes de l’institut, le terrain pouvait devenir rapidement glissant et surtout cuisant.
Audrey était maintenant debout à côté de Clémentine, elle avait naturellement mis ses mains sur sa tête.
— Tournez-vous que tous le monde puisse voir vos jolies fesses.
Aurélie prit une photo des deux derrières cramoisis qui se contractaient spasmodiquement puis elle autorisa les punies à se reculotter.
Elle s’installa au bureau et remplit les fiches de liaison à destination de la directrice, elle y détailla les punitions reçues par les deux jeunes filles.
Audrey et Clémentine savaient que ce n’était pas fini, il leur fallait maintenant aborder madame Desrodes, la sévère directrice du collège Sainte-Marie.
Dans le bus, elles préférèrent rester debout, Aurélie avait vu juste, elles auraient dû mal à s’asseoir pendant quelques heures.
En traversant les couloirs les menant au bureau directorial, leur hantise était de croiser mademoiselle Judith la professeure d’anglais, elle leur avait promis qu’elle examinerait leur fesses à leur retour, vu sa perversité, elle aurait été capable de les déculotter dans le couloir.
Heureusement elles ne rencontrèrent personne, elles frappèrent à la porte.
Hélène Desrodes était assise à son bureau, elle regarda avec gourmandise les deux punies qui regardaient leurs chaussures :
— Ah, voilà nos chipies, Aurélie s’est bien occupée de vos derrières ? On va vérifier ça de suite ! Vous vous retournez, vous troussez vos jupes et vous baissez vos culottes et vite !!!
Clémentine avait déjà subi l’humiliation de devoir montrer ses fesses nues à la directrice, elle s’exécuta immédiatement, par contre Audrey ne bougea pas, comme tétanisée.
— Audrey, tu as entendu ce que je t’ai dit ! Tu as trois secondes pour obéir, si c’est moi qui dois te déculotter, tu retourneras à l’institut demain matin.
Affolée la jeune femme se tourna, saisi l’ourlet de sa jupe et de l’autre main elle baissa sa culotte. Les deux fessiers portaient encore les traces des fessées reçues dans la matinée, ils étaient écarlates, Hélène sentit une excitation monter entre ses cuisses, elle se leva et posa sa main successivement sur chaque croupe :
— Vos fesses sont adorables mes chéries, j’espère que ça va vous cuire un moment, en attendant vous allez rester en pénitence dans mon bureau avec les fesses à l’air.
Elle saisit les oreilles des deux filles et les conduisit contre le mur qui faisait face à son bureau, elle coinça les ourlets des jupes dans les ceintures et claqua les fessiers :
— Allez, mettez vos nez contre le mur et vos mains sur la tête, ce serait vraiment dommage de se priver d’un si joli spectacle.
Elle retourna s’asseoir pour profiter de ce tableau si excitant, au moment où elle fourrageait sous sa jupe pour glisser sa main dans sa culotte, Judith entra sans frapper, la directrice sursauta et retira sa main de son sous-vêtement. Sa maîtresse lui lança un regard ironique et ferma la porte du bureau à clé :
— Eh bien, on dirait qu’Aurélie a fait du bon travail.
Elle s’approcha des deux punies et caressa les fesses brûlantes.
— Vous êtes très bien là, je ne veux pas vous voir bouger une oreille sinon je complète la punition de l’institut.
Elle se tourna vers Hélène en souriant, mis son doigt sur sa bouche et lui fit signe de se lever. Surprise et rougissante d’avoir été surprise en train de se caresser, la directrice s’exécuta. Judith s’installa à sa place et sans dire un mot lui désigna ses cuisses d’un air autoritaire. Hélène s’approcha inquiète, elle avait compris ce que semblait vouloir faire sa maîtresse, mais c’était si troublant.
Judith lui prit la main et lui susurra à l’oreille :
— La fessée viendra plus tard ma chérie, pour le moment, c’est tes fesses que je veux voir.
La directrice bascula en travers de ses genoux et rapidement sa culotte en dentelle apparu au grand jour, les doigts experts de Judith eurent vite fait de la déculotter.
Si les deux punies avaient eu le loisir de se retourner elles auraient vu les larges fesses nacrées de madame Desrodes exposées dans toute leur splendide nudité. Les doigts de la perverse professeure écartèrent les deux globes joufflus et se glissèrent jusque dans l’entre-cuisse trempée, elle titilla la rondelle brune qui frémissait d’angoisse et de désir. Elle avisa un stylo posé sur le bureau, il était gros avec un bout bien arrondi, elle le posa sur l’anus et le fit pénétrer, puis elle le fit coulisser lentement. Hélène essayait de retenir ses gémissements, elle était morte de honte et de désirs.
Cet épisode érotique dura dix bonnes minutes, puis Judith après avoir fait pénétrer très profondément le stylo, remonta la culotte et fit relever son amante et lui remit la jupe en place et lui chuchota à l’oreille :
— Tu vas garder ce petit souvenir entre tes fesses, jusqu’à ce que je revienne te flanquer la fessée que tu mérites, fais attention en t’asseyant ma chérie.
Elle quitta le souvenir après avoir embrassé Hélène, les deux punies tout à leur honte et à la cuisson qui embrasait leurs fesses n’avaient rien remarqué.
Madame Desrodes était complètement déstabilisée par cet intermède et ce plug improvisé qui garnissait ses fesses, elle décida de lever la pénitence :
— Vous pouvez vous reculotter et rejoindre vos classes, vous viendrez me montrer vos fesses ce soir à la fin des cours.
En sortant elles croisèrent la prof d’anglais qui entra sans frapper dans le bureau directorial, quelques instants plus tard, derrière la porte capitonnée, une dame d’âge mûr gigotait en travers des genoux d’une dame beaucoup plus jeune, la culotte baissée à mi-cuisse et les fesses rouges.
Judith n’avait pas perdu de temps, elle avait saisi Hélène par l’oreille comme une vulgaire gamine l’avait mise en position et déculottée en un clin d’œil, elle avait laissé le stylo en place pendant toute la fessée :
— Ah tu aimes voir les fesses rouges des gamines et tu te caresses en les regardant et bien je peux te dire que les tiennes n’ont rien à leur envier.
Elle quitta le bureau en laissant la directrice au coin le nez au mur exposant sa large croupe écarlate, le stylo dépassait entre les deux grosses fesses, elle avait fermé a porte à clé en partant :
— Tu en as pour une heure au coin ma chérie, je reviens à la fin de mon prochain cours.