dimanche 19 octobre 2025

L'institut suite 11

Correction pour deux chipies



 

En sortant du bureau de madame Desrodes, les deux élèves avaient les larmes aux yeux.

Clémentine surtout, elle se souvenait de son dernier séjour à l’institut, Aurélie l’avait particulièrement soignée elle avait reçu pas moins de trois fessées successives, une à la main, une avec mademoiselle Claquefesse et la dernière au martinet, ses fesses étaient restées rouges et cuisantes pendant toute la soirée et la sévère assistante l’avait prévenue ;

— Si je suis obligée de recommencer à nouveau, je te promets que tu auras du mal à t’asseoir pendant plusieurs jours.

Audrey avait juste entendu parler de l’institut par les autres élèves, elle n’avait jamais reçu la fessée et elle était complètement affolée à l’idée de se faire baisser la culotte à son âge, car bien sûr toutes celles qui y étaient passées lui avait précisé que les fessées administrées à l’institut, c’était toujours cul nu.

La directrice les avait grondées comme si elles étaient des gamines et les avaient prévenues qu’elles allaient passer toute la matinée à l’institut et qu’à leur retour elles viendraient lui montrer leurs fesses rouges.

Judith les croisa, elle les arrêta en souriant :

— Alors comme ça, vous allez montrer vos jolis derrière à la demoiselle de l’institut ?

Elles baissèrent la tête en rougissant, Judith était en verve, elle saisit la main de Clémentine et la fit pivoter, puis elle lui claqua sèchement la croupe par-dessus la jupe :

— Ton derrière a vraiment besoin de ça ma petite, je pense que j’examinerai tes fesses à ton retour.

Elle regarda Audrey qui semblait tétanisée, elle lui fit un petit signe du doigt :

— Tourne-toi !

La main claqua le magnifique derrière :

— J’espère que tu as bien honte ma chérie, une bonne fessée déculottée, voilà qui va te rajeunir.

Elle regarda autour d’elle, il n’y avait personne dans le couloir, elle retroussa la jupe plissée bleue de l’uniforme, la culotte blanche réglementaire moulait bien le fessier rebondi de la jeune femme, elle claqua la base des fesses au ras de la culotte. Audrey poussa un cri et sautilla sur place :

— Ce n’est qu’un avant-goût de ce qui va t’arriver ma grande, toi aussi tu me montreras tes fesses.

La nuit avait été difficile pour les deux élèves, elles se retrouvèrent devant la porte de l’institut à huit heures pile. Aurélie était déjà là ainsi que Ambre. Celle-ci n’était pas dans une situation enviable, elle n’avait pas encore fini sa formation et même si de temps en temps elle avait le droit de s’occuper des derrières des clientes, elle recevait encore régulièrement la fessée, aujourd’hui c’était au tour de Sophie de s’occuper d’elle.

En la voyant Aurélie avait eu un sourire coquin :

— Sophie n’arrive qu’à huit heures trente, tu ne vas pas rester là les bras ballants, mets-toi là.

Elle avait désigné la plate-forme à côté du secrétariat. Ambre marqua un temps d’arrêt, une magistrale claque atterrit sur son popotin :

— Dépêche-toi.

Résignée, elle se coucha à l’endroit désigné, elle se doutait de la suite, ayant assisté de nombreuses fois à l’humiliation des patientes obligées d’y exposer leur fessier. Elle avait vu juste, elle sentit sa courte jupette se soulever et les doigts de la jeune assistante se glisser dans sa culotte pour la baisser jusqu’à mi-cuisse.

C’est le spectacle de ses fesses nues que les deux jeunes collégiennes avaient vu en premier en entrant dans la pièce, elles en avaient frémi. Bien sûr elle savait ce qui allait leur arriver mais voir cette dame déculottée exposant ses fesses joufflues serrées par l’angoisse, les avaient mis immédiatement dans l’ambiance. Aurélie les accueillit avec un grand sourire :

— À voilà nos deux punies du jour, c’est bien vous êtes à l’heure. Vous avez amené votre bulletin de punition ?

Elles tendirent chacune une feuille où la directrice avait noté le motif de la punition. Aurélie s’en saisit et les parcourus rapidement :

— Eh bien, c’est du joli, on va régler ça tout à l’heure. En attendant venez-ici.

Audrey et Clémentine s’approchèrent, l’assistante les fit pivoter et épingla les jupes dans le dos, puis elle les déculotta comme elle l’avait fait pour Ambre. La culotte à mi-cuisse c’est ce qu’elle préférait, les deux fessiers juvéniles apparurent, Aurélie les claqua joyeusement :

— Voilà deux jolies paires de fesses, elles sont bien blanches, vous allez les exposer un peu avant que je m’en occupe.

Elle saisit les deux jeunes filles chacune par une oreille et les conduisit au coin de la pièce, juste en face de la porte d’entrée. Clémentine avait déjà subit la honte d’exposer ses fesses dénudées en public, c’était une première pour Audrey, elle les serrait, angoissée par la suite des événements.

Aurélie fit mine de se désintéresser des trois postérieurs exposés dans le secrétariat, pour une habituée des lieux, il y avait une certaine incongruité. Non pas dans cette honteuse exposition, mais dans le fait que les croupes soient d’un blanc immaculé. Au bout de quinze minutes, elle se leva, en passant elle tapota le fessier bien dodu d’Ambre :

— Encore un petit quart d’heure à montrer tes fesses ma chérie, soit sage.

Elle s’approcha des deux collégiennes et les saisit chacune par une oreille :

— À nous les chipies, vous allez m’expliquer en détail pourquoi vous êtes ici.

Comme elle en avait l’habitude elle leva les bras pour que les deux filles soient obligées de marcher sur la pointe des pieds, elles étaient toujours fesses à l’air.

En entrant dans le box réservé aux punitions, elle lâcha l’oreille d’Audrey puis conduisit clémentine au coin de la pièce :

— Mains sur la tête et nez au mur !! Je ne veux pas t’entendre.

Elle revint vers la jeune femme qui attendait les bras ballants et le rouge aux joues, elle lui désigna une chaise :

— Mets-toi à genoux ici. Les mains sur ta tête !

Elle prit une grande règle plate en bois et claqua les fesses serrées par l’angoisse :

— Explique-moi un peu pourquoi tu es venue me voir.

Audrey avait les larmes aux yeux, la position inconfortable ses fesses nues bien exposées c’était beaucoup, la règle cingla sèchement deux fois de suite le beau fessier.

— Aïe, aïe… non, non mademoiselle.

Audrey avait porté ses mains à ses fesses.

— Remets tes mains sur la tête immédiatement, je vais t’apprendre !

Aurélie s’était approchée de la punie et l’avait ceinturée, elle administra une vingtaine de coups de règle sur le derrière tendu par la position.

Audrey se mit à hurler surprise par la brûlure, elle ne pouvait que trépigner sur ses genoux, elle avait remis ses mains en place, son derrière était déjà rouge quand cette première fessée cessa, elle avait du mal à reprendre sa respiration au milieu de ses sanglots :

— Cesse de pleurnicher, tu n’as eu que ce que tu mérites, ici on ne protège jamais ses fesses avec sa main. Maintenant tu te dépêches de me dire pourquoi tu es là ou ma règle recommence à te caresser le derrière.

En sanglotant Audrey se mit à parler, ses fesses se serraient et s’ouvraient, Aurélie appréciait ce beau fessier bien rebondi, elle sentait qu’elle allait se régaler à le faire danser.

— Oui, mademoiselle… Euh, j’ai triché au contrôle de math… Aïe, aïe.

— Tu as triché !!

La règle avait cinglé à nouveau les fesses de la jeune femme :

— Eh bien c’est du joli, je te garantis que je vais te faire passer l’envie de recommencer.

Elle saisit l’oreille d’Audrey pour la faire se relever, pris sa place puis la bascula immédiatement en travers de ses cuisses. La fessée démarra immédiatement, une avalanche de claques uniformément réparties sur toute la surface du derrière de la jeune femme, celle-ci s’était remise immédiatement à pleurer, ses jambes battaient l’air. Elle recevait sa première fessée déculottée à vingt-cinq ans et ce n’était vraiment pas une fessée pour rire, elle braillait comme une gamine corrigée par sa maman en colère.

La maman en question était plus jeune qu’elle, mais elle la grondait comme il se doit :

— Ah mademoiselle a triché, eh bien je te garantis que la correction que tu vas recevoir va t’en faire passer l’envie.



Le magnifique derrière de la jeune femme n’était plus qu’une boule écarlate, les deux hémisphères étaient serrés l’un contre l’autre. Aurélie la fit se relever :

— Voilà pour commencer, mais rassure-toi nous ne sommes pas quittes. File te mettre à côté de ta copine et pleure en silence. Clémentine vient ici !!

Aurélie se leva et lui désigna la chaise :

— Mets-toi à genoux et présente-moi bien tes jolies fesses.

Comme elle l’avait fait pour Audrey, elle claqua sèchement la croupe juvénile :

— Allez, tu m’expliques et vite !

Clémentine renifla et serra encore plus ses fesses :

— Pardon mademoiselle, pardon… Aïe, aïe, aïe…

La règle avait claqué le derrière de Clémentine.

— Cesse de gémir, dis-moi ce que tu as fait et vite…

— Je… je n’ai pas fait mes devoirs mademoiselle… Aïe, aïe…

— Très bien, qu’est-ce que je t’avais dit la dernière fois que tu es venue me voir ?

— Euh, oui madame que vous me puniriez plus sévèrement.

— Exactement, viens un peu là.



Elle fit relever la jeune fille, posa son pied sur la chaise et souleva Clémentine pour la basculer sur sa cuisse, la jeune fille poussa un cri et battit des pieds et s’accrocha aux barreaux. La fessée crépita immédiatement, elle ne fut pas moins forte que celle d’Audrey, les cris et les pleurs de la jeune fille parvenait jusqu’au secrétariat. Sophie était arrivée, elle avait caressé la croupe bien joufflue d’Ambre, elle tourna la tête vers la porte :

— On dirait que ça chauffe à côté. Bon puisque ton derrière est prêt on ne va pas perdre de temps. Elle prit une mademoiselle Claquefesse posée sur le bureau et tapota les fesses, Ambre se mit à gémir :

— Mais mademoiselle Sophie, pourquoi est ce que je reçois une fessée tous les jours, ce n’est pas normal, je n’ai rien fait… Aïe, aïe…

La petite raquette en cuir venait de claquer ses fesses tendues :

— Mais vas-tu te taire ! Tu crois que tu es en position et en tenue pour protester, ici quand on est déculottée, c’est pour recevoir la fessée. Et je peux te dire qu’avec ta récrimination tu viens d’en gagner quelques-unes. Madame Rose nous a laissé toute latitude pour qu’on s’occupe de toi avec Aurélie, on a décidé qu’une fessée déculottée tous les matins ne pouvaient que te faire du bien. On avait décidé d’arrêter vendredi et bien tu viens de gagner une semaine supplémentaire à nous montrer ton derrière, on va commencer immédiatement et à midi tu feras une pénitence avec les punies, ça t’apprendra à te plaindre.

Mademoiselle Claquefesse entreprit de rougir la croupe dodue de la jeune femme, celle-ci commençait à avoir l’habitude, mais la première fessée de la journée était toujours la plus cuisante, la peau du derrière n’était pas encore échauffée.

Dans le box voisin, Aurélie en avait terminé avec la fessée de Clémentine, elle la conduisit à côté d’Audrey :

— Je reviens, tâchez de ne pas bouger si vous tenez à la peau de vos fesses.

Sophie continuait de claquer la croupe d’Ambre qui pleurait comme une madeleine, Aurélie s’arrêta pour regarder :

— Elle a vraiment une jolie paire de fesses notre petite Ambre, tu la prives de culotte, je pense qu’il vaut mieux que ses fesses prennent l’air sous sa jupe.

Sophie cessa la correction et approuva :

— Oui, mademoiselle ne va pas avoir froid aux fesses, à au fait c’est toi qui es de permanence à midi, et bien tu auras Ambre en plus des punies, elle s’est plaint qu’on était trop sévère, je crois qu’il faut que tu lui montres ce que c’est qu’une bonne déculottée.

Aurélie s’approcha du bureau et caressa les fesses brûlantes de la jeune femme :

— Tu as du caractère ma petite Ambre, mais tu vas voir il va s’assouplir en même temps que la peau de ton derrière, il est vraiment mignon, tu vas voir à midi je vais m’occuper de te le chauffer.

Sophie se pencha pour retirer complètement la petite culotte blanche de gamine qu’Ambre était obligée de porter depuis qu’elle travaillait à l’institut, puis elle lui claqua les fesses et lui tendit la lingerie :

— Tu connais l’endroit où l’accrocher, alors dépêche-toi si tu ne veux pas que ta première patiente te voies avec les fesses à l’air.

Aurélie revenait avec deux petits paillassons en plastique vert, elle entra dans le box où Audrey et Clémentine exposaient leur fessier rubicond. Elle posa les paillassons sur deux chaises installées devant la table :

— Venez ici, vous allez poser vos jolis derrières sur ces chaises de réflexions.

Les deux collégiennes regardèrent incrédule l’endroit où elles devaient s’asseoir, les picots en plastiques avaient l’air particulièrement rugueux, Aurélie les regarda en souriant :

— C’est sûr que ça ne va pas être trop confortable pour vos fesses mes chéries, mais elles resteront bien rouges et prêtes pour votre deuxième fessée et comme son nom l’indique cette chaise de réflexions va vous permettre de méditer sur vos bêtises. Dépêchez-vous !

Les deux punies s’installèrent en grimaçant, elles avaient essayé de poser le plus délicatement possible leur postérieur sur ces paillassons, mais maintenant que tout leur poids reposait sur le siège, la brûlure des fesses était accentuée, des larmes coulaient sur leurs joues.

— Cessez de pleurnicher pour rien sinon, je vous reflanque à chacune une fessée immédiatement. Clémentine tu te rappelles ce que je t’avais dit la dernière fois, je ne devais pas te revoir il me semble, quant à toi Audrey, tricher à ton âge, tu devrais avoir honte.

Elle posa une série de feuille devant chacune des filles avec un stylo :

— Vous allez me copier cent fois la phrase suivante « Je ne ferai plus de bêtises à l’institut Sainte-Marie sinon je viendrai voir mademoiselle Aurélie pour recevoir une bonne fessée déculottée ». Tâchez de vous appliquez, je ne veux pas de pattes de mouches où de rature, sinon vous recommencez. À vous de savoir si vous voulez passer la matinée sur vos sièges de réflexions.

Elle laissa les deux punies et se dirigea vers le secrétariat, elle avait pris soins de laisser la porte ouverte pour pouvoir les surveiller. Sophie y jeta un œil :

— Elles sont mignonnes à tortiller leurs petits derrières bien rouges, cette idée de siège de réflexions est vraiment super.

Depuis la salle de traitement le bruit d’une conversation animée et claquante s’échappait, Aurélie interrogea Sophie du regard, celle-ci eut un sourire mutin :

— J’ai confié à Ambre le soin de s’occuper du bon gros derrière d’Agnès, vu la chaleur des fesses de notre petite chérie, je pense que madame la responsable du magasin de lingerie ne va pas avoir froid aux siennes ce matin.

En effet dès qu’elle était arrivée pour son traitement du matin, Sophie lui avait présenté Ambre :

— Bonjour Agnès, à partir d’aujourd’hui, c’est notre nouvelle collègue qui va s’occuper de votre popotin, je lui ai transmis toutes les informations vous concernant et le traitement prescrit par madame Rose. Je pense qu’entre ses mains vos fesses vont se raffermir rapidement perdre en volume et gagner en tonicité. Tâchez d’être sage, elle a été formée par nos soins et elle à la main leste.

En effet, Agnès avait rapidement pu se rendre compte qu’elle n’avait pas gagné au change, Ambre avait jugé qu’elle mettait trop de temps à se mettre en petite tenue et elle lui avait administré une première fessée courbée sous son bras comme une maman l’aurait fait pour une gamine capricieuse. Même si elle en avait l’habitude, elle avait été humiliée d’être traitée ainsi par une aussi jeune femme. Elle avait fini d’enlever le haut la culotte baissée sous ses fesses rouges, dès qu’elle avait eu terminé, Ambre l’avait pris par la main et l’avait basculée en travers de ses cuisses :

— Allez on va vous mettre le thermomètre, tâchez de me desserrer ces fesses.

Se faire introduire l’instrument dans cette position infantile était une petite humiliation supplémentaire, surtout que la nouvelle assistante avait vite appris et son caractère pervers avait fait le reste, elle écarta largement les hémisphères :

— Voyons un peu ce que nous cachent ces deux bonnes grosses fesses ? Que c’est mignon ce petit trou… Ma chère Agnès votre raie fessière est vraiment magnifique, je vais faire une photo pour votre dossier, tournez la tête qu’on vous reconnaisse. Voilà, pleine lune comme on dit chez moi, un bon gros derrière bien présenté.

Tandis qu’elle parlait elle tenait toujours les larges fesses bien ouvertes, elle se décida enfin à mettre en place le thermomètre. Comme lui avait montré ses collègues, elle le fit pénétrer très profondément, mais en le faisant coulisser plusieurs fois pour que sa patiente le sente bien. Quand il fut bien enfoncé, elle tapota le large popotin :

— J’espère que vous êtes bien installée, je vais vous garder sur mes genoux, comme c’est la première fois que je mets un thermomètre, je préfère vous surveiller de près.

Agnès soupira doucement, que pouvait-elle répondre à cette nouvelle atteinte à sa dignité, elle essaya de se relaxer afin que l’instrument introduit dans son fondement ne ressorte pas.

Ambre avait le derrière sensible après la magistrale fessée que lui avait administrée Sophie, elle se dandinait d’une fesse sur l’autre, mais le magnifique spectacle de la croupe d’Agnès étalé devant ses yeux compensait ce petit désagrément. La prise de température devait durer au minimum un quart d’heure, de toute façon elle n’avait pas d’autre patiente prévue, autant profiter du magnifique derrière de la cinquantenaire installée en travers de ses genoux. Sa perversité et son goût pour les derrières féminins allait pouvoir être satisfaite. Elle glissa ses doigts entre les cuisses d’Agnès qui les serra inconsciemment, une dizaine de claques atterrirent immédiatement sur son fessier :

— Desserre-moi tes fesses, sinon tu vas voir !!

Sous le coup de la colère, la jeune femme avait tutoyé sa patiente qui aurait pu être sa mère, celle-ci obéit immédiatement :

— Pardon mademoiselle, je ne l’ai pas fait exprès, j’ai été surprise.

Docilement elle écarta ses cuisses pour laisser les doigts inquisiteurs explorer son intimité, Ambre souriait ravie de son nouveau pouvoir, si de temps en temps elle avait pu forcer quelques copines à lui livrer leur intimité, là elle pouvait en toute impunité contraindre une dame d’âge mûr. Elle ne s’en priva pas, pendant un quart d’heure, elle écarta les fesses, les palpa, glissa ses doigts entre les lèvres gluantes. Agnès malgré sa honte n’était pas insensible à ses attouchements intimes, ironiquement la jeune femme lui fit remarquer :

— On dirait que ça te plaît petite coquine, ça mérite la fessée…

Elle administra une courte mais magistrale fessée à Agnès qui gémit autant de douleur que de plaisir.

— Ah tu en veux des fessées, ah ça te plaît que je claque ton bon gros derrière et bien je te garantis que tu vas repartir avec des fesses bien chaudes.

Les deux larges fesses s’ouvraient puis se refermaient au rythme de la correction, elles étaient déjà bien rouges quand Ambre s’arrêta, elle les palpa :

— Ton derrière est déjà chaud ma chipie.

Elle ne parlait plus à madame Agnès la responsable de magasin, mais à une adolescente insolente qui méritait d’être fessée. Elle retira le thermomètre et nota la température sur la fiche de la patiente :

Comme prévu dans le traitement il fallait échauffer les fesses avant l’application de la crème, elle jugea que cette courte fessée était insuffisante, elle en administra une deuxième encore plus copieuse à la pauvre Agnès, celle-ci ne put retenir ses larmes ce qui fit sourire la jeune femme, ça compensait les fessées qu’elle avait reçue ce matin.

Puis elle prit le pot de crème et tartina largement le derrière bien rouge :

— Maintenant tu vas t’allonger là et tâche de rester tranquille.

Elle régla la minuterie sur trente minutes et ouvrit grand la porte pour que le fessier soit visible depuis le bureau. Sophie avait son sac à la main, elle partait pour une séance de fessée à domicile, elle jeta un œil sur le bon gros derrière exposé.

— On dirait que tu n’as pas mégoté sur l’échauffement du derrière.

Ambre lui rendit son sourire, elle fit mine de frotter ses fesses :

— J’ai été à bonne école, vous ne m’avez pas manqué ce matin.

Sophie se mit à rire et l’attrapa par la main :

— C’est vrai ? J’aimerais bien voir si la couleur me convient encore.

En un clin d’œil, Ambre fut ceinturée et courbée sous le bras de la jeune assistante, privée de culotte, ses fesses furent rapidement mises à nu. Elles étaient encore bien colorées, Sophie les tapota, tu es une petite dévergondée ma chérie tu mériterais que je t’en reflanque une, mais je suis pressée.

Elle la relâcha. Ambre, les joues rouges, lissa sa jupe sur ses fesses, Sophie était d’humeur badine :

— Tu as vraiment un derrière très mignon, bon au fait tu peux nous tutoyer avec Aurélie, on est collègue maintenant, même si tu vas continuer à nous montrer tes fesses.

Ambre rougit à nouveau, mais de plaisir, même si les deux assistantes savaient se montrer sévères et intransigeantes, elle commençait à aimer ce travail et la confirmation par Sophie de son intégration dans l’équipe lui allait droit au cœur. Sophie lui fit la bise et palpa ses fesses en même temps :

— N’oublie quand même pas qu’à midi tu auras droit à une séance de panpan cucul.

Aurélie traversait le secrétariat pour s’occuper de ces deux punies, elle avait entendu, elle se mit à rire :

— Eh oui encore une fessée déculottée ma chérie, je te laisserai quand même claquer un ou deux derrières avant. Au fait cet après-midi, Héloïse vient pour sa séance, je n’ai pas le temps de m’en occuper je vais te la confier. Tu sais c’est la jeune qui a un peu de mal avec le thermomètre et les suppos.

Ambre essaya de cacher sa joie, quel magnifique cadeau lui faisait sa collègue, son ancienne copine allait passer une après-midi cuisante. Elle avait déjà eu l’occasion de lui administrer une fessée et de lui mettre un suppositoire, mais cette fois-ci elle l’aurait à sa disposition pour une séance entière, elle en aurait mouillé sa culotte si elle n’avait pas été suspendue au crochet.

Elle regarda Aurélie s’engouffrer dans le box où l’attendaient les deux collégiennes, la jeune femme laissa volontairement la porte ouverte, depuis le secrétariat Ambre allait pouvoir assister au spectacle.

Aurélie s’approcha du bureau, elle prit les feuilles et les lus rapidement :

— C’est bien ce que je pensais, vous n’êtes pas capable d’écrire correctement, elle les saisit chacune par une oreille et les fit se lever :

— Penchez-vous sur la table ;

Les deux fessiers rouges étaient marqués par les picots en plastique des paillassons, elle appuya sur le dos pour qu’elles présentent mieux leur derrière, puis elle prit une mademoiselle Claquefesse et commença à claquer les deux paires de fesses, elle procédait avec méthode, d’abord la fesse droite d’Audrey puis la gauche et ensuite celles de Clémentine et ainsi de suite.

Les deux jeunes femmes trépignaient sur place, mais elles ne bougeaient pas. Rapidement les deux croupes furent écarlates et les larmes fusèrent.

Ambre se régalait, mais la minuterie sonna, il était temps d’aller s’occuper du popotin d’Agnès. Les fesses de la cinquantenaire se contractèrent en entendant les pas de la jeune assistante. Celle-ci était excitée par le spectacle offert par Aurélie, elle fit relever sa patiente en la tirant par l’oreille comme si elle était une gamine :

— Allez en piste madame.

Elle la coucha en travers de ses genoux comme pour lui donner la fessée et se mit en devoir de faire pénétrer la crème, sa perversité était satisfaite, ses doigts s’insinuaient entre les deux globes et massait vigoureusement le bon gros derrière. Quand tout le produit eu disparu, elle tapota les fesses :

— Nous arrivons à la fin du traitement ma grande, une bonne fessée pour bien chauffer la peau, un suppo et tu vas pouvoir partir travailler.



Elle se mit en devoir d’administrer une magistrale déculottée à la pauvre Agnès, certes la fessée était théoriquement thérapeutique, mais en fait ce fut une véritable correction que la jeune femme flanqua à sa patiente. Puis elle écarta largement les deux bonnes grosses fesses et lui mit le suppositoire prévu dans le protocole.

Quand la responsable du magasin se releva des genoux de la jeune femme, de grosses larmes coulaient sur ses joues du haut, celles du bas étaient cramoisies.

Ambre lui fit quitter sa culotte :

— Au travail cul nu sous ta jupe ma chère, ton derrière refroidira mieux.

Sans un mot elle se rhabilla, Ambre la regardait en souriant, elle retroussa une dernière fois la jupe pour apprécier son travail et claqua le large derrière :

— Allez file, n’oublie pas qu’Aurélie t’attend à midi.

Aurélie en avait fini avec sa double fessée, les deux collégiennes exhibaient leur derrière cramoisi dans le secrétariat, chacune occupait un coin de la pièce, les fesses se contractaient sous la cuisson et les deux punies reniflaient doucement, Aurélie les avait prévenues :

— Je ne veux pas vous entendre, vous n’avez eu que ce que vous méritiez, alors pleurez en silence.



Elles passèrent une heure au coin, sous le regard amusé ou inquiet des visiteuses, tout dépendait du statut de celle-ci fesseuse ou fessée on appréciait pas de la même façon le spectacle d’une dame exposant une croupe écarlate dans un coin de la pièce.

Aurélie avait décidé que leur dernière correction serait publique, elle appela Ambre :

— Je vais avoir besoin de toi, en plus tu vas apprendre à donner une double fessée.

La jeune femme se souvenait de celle que lui avait administré les deux perverses assistantes, cette fois-ci elle serait du bon côté de la fessée. Aurélie disposa deux chaises face à face où elles s’intallèrent, les genoux se touchant puis elle interpella les deux punies :

— C’est l’heure de la fessée mes petites chipies, amenez-moi vos fesses.

Les mains sur la tête, Audrey et Clémentine s’approchèrent, Aurélie se régalait de les voir si piteuse et angoissée :

— On va commencer par Clémentine, Audrey tu auras le plaisir de regarder et de te préparer à ce qui va t’arriver ensuite.

Elle saisit la main de la plus jeune des collégiennes et la bascula en travers de leur quatre cuisses, elle baissa un peu plus la culotte et tapota les fesses encore rougies :

— Dernière fessée ma petite chérie, je t’avais prévenue la dernière fois, tu vas avoir du mal à t’asseoir.

Elle regarda Ambre et commenta :

— Elle a vraiment une mignonne paire de fesses notre petite Clémentine, on va la faire danser. D’abord la main puis mademoiselle Claquefesse.

Elle expliqua à la nouvelle assistante la technique, claquer rapidement la même fesse, afin que la punie n’ait aucun répit. Elle se réserva la fesse droite laissant la gauche à Ambre.

Immédiatement sous la brûlure la punie se mit à hurler et à se débattre, Audrey regardait ce spectacle complètement affolée, s’imaginant que bientôt ce serait son tour de gigoter sous la double fessée. Son angoisse augmenta encore quand les fesseuses continuèrent la punition armée chacune de la petite raquette en cuir, les fesses de Clémentine étaient maintenant d’un rouge profond, virant sur le brique, les joues baignées de larme elle se releva, ses mains firent mine de se porter à son derrière :

— Si tu frottes tes fesses tu reviens sur nos genoux !! Mets-les sur ta tête !!

L’ordre avait claqué, Clémentine s’exécuta, Ambre en souriant regarda Audrey, elle était plus âgée qu’elle, ça décuplait son plaisir de la corriger, elle tapota ses cuisses :

— En piste chipie et dépêche-toi !!

La correction d’Audrey fut au moins aussi sévère, pendant qu’elle se tortillait sur les genoux des fesseuses, une dame était arrivée et elle regardait avec intérêt se dérouler la fessée. A la fin elle ne put s’empêcher d’applaudir :

— Eh bien cette fessée était vraiment magistrale, je vous félicite mesdemoiselles, je vois que madame Rose sait former son personnel.

Aurélie regarda la visiteuse en souriant :

— Bonjour Isabelle, je suis contente que ça vous ait plu, vous savez que je suis toujours à votre disposition si vos fesses en ont besoin.

La cliente piqua un fard et ne répondit pas, c’était toujours dangereux d’aborder le thème de la fessée avec les assistantes de l’institut, le terrain pouvait devenir rapidement glissant et surtout cuisant.

Audrey était maintenant debout à côté de Clémentine, elle avait naturellement mis ses mains sur sa tête.

— Tournez-vous que tous le monde puisse voir vos jolies fesses.

Aurélie prit une photo des deux derrières cramoisis qui se contractaient spasmodiquement puis elle autorisa les punies à se reculotter.

Elle s’installa au bureau et remplit les fiches de liaison à destination de la directrice, elle y détailla les punitions reçues par les deux jeunes filles.

Audrey et Clémentine savaient que ce n’était pas fini, il leur fallait maintenant aborder madame Desrodes, la sévère directrice du collège Sainte-Marie.

Dans le bus, elles préférèrent rester debout, Aurélie avait vu juste, elles auraient dû mal à s’asseoir pendant quelques heures.

En traversant les couloirs les menant au bureau directorial, leur hantise était de croiser mademoiselle Judith la professeure d’anglais, elle leur avait promis qu’elle examinerait leur fesses à leur retour, vu sa perversité, elle aurait été capable de les déculotter dans le couloir.

Heureusement elles ne rencontrèrent personne, elles frappèrent à la porte.

Hélène Desrodes était assise à son bureau, elle regarda avec gourmandise les deux punies qui regardaient leurs chaussures :

— Ah, voilà nos chipies, Aurélie s’est bien occupée de vos derrières ? On va vérifier ça de suite ! Vous vous retournez, vous troussez vos jupes et vous baissez vos culottes et vite !!!

Clémentine avait déjà subi l’humiliation de devoir montrer ses fesses nues à la directrice, elle s’exécuta immédiatement, par contre Audrey ne bougea pas, comme tétanisée.

— Audrey, tu as entendu ce que je t’ai dit ! Tu as trois secondes pour obéir, si c’est moi qui dois te déculotter, tu retourneras à l’institut demain matin.

Affolée la jeune femme se tourna, saisi l’ourlet de sa jupe et de l’autre main elle baissa sa culotte. Les deux fessiers portaient encore les traces des fessées reçues dans la matinée, ils étaient écarlates, Hélène sentit une excitation monter entre ses cuisses, elle se leva et posa sa main successivement sur chaque croupe :

— Vos fesses sont adorables mes chéries, j’espère que ça va vous cuire un moment, en attendant vous allez rester en pénitence dans mon bureau avec les fesses à l’air.

Elle saisit les oreilles des deux filles et les conduisit contre le mur qui faisait face à son bureau, elle coinça les ourlets des jupes dans les ceintures et claqua les fessiers :

— Allez, mettez vos nez contre le mur et vos mains sur la tête, ce serait vraiment dommage de se priver d’un si joli spectacle.

Elle retourna s’asseoir pour profiter de ce tableau si excitant, au moment où elle fourrageait sous sa jupe pour glisser sa main dans sa culotte, Judith entra sans frapper, la directrice sursauta et retira sa main de son sous-vêtement. Sa maîtresse lui lança un regard ironique et ferma la porte du bureau à clé :

— Eh bien, on dirait qu’Aurélie a fait du bon travail.

Elle s’approcha des deux punies et caressa les fesses brûlantes.

— Vous êtes très bien là, je ne veux pas vous voir bouger une oreille sinon je complète la punition de l’institut.

Elle se tourna vers Hélène en souriant, mis son doigt sur sa bouche et lui fit signe de se lever. Surprise et rougissante d’avoir été surprise en train de se caresser, la directrice s’exécuta. Judith s’installa à sa place et sans dire un mot lui désigna ses cuisses d’un air autoritaire. Hélène s’approcha inquiète, elle avait compris ce que semblait vouloir faire sa maîtresse, mais c’était si troublant.

Judith lui prit la main et lui susurra à l’oreille :

— La fessée viendra plus tard ma chérie, pour le moment, c’est tes fesses que je veux voir.

La directrice bascula en travers de ses genoux et rapidement sa culotte en dentelle apparu au grand jour, les doigts experts de Judith eurent vite fait de la déculotter.

Si les deux punies avaient eu le loisir de se retourner elles auraient vu les larges fesses nacrées de madame Desrodes exposées dans toute leur splendide nudité. Les doigts de la perverse professeure écartèrent les deux globes joufflus et se glissèrent jusque dans l’entre-cuisse trempée, elle titilla la rondelle brune qui frémissait d’angoisse et de désir. Elle avisa un stylo posé sur le bureau, il était gros avec un bout bien arrondi, elle le posa sur l’anus et le fit pénétrer, puis elle le fit coulisser lentement. Hélène essayait de retenir ses gémissements, elle était morte de honte et de désirs.

Cet épisode érotique dura dix bonnes minutes, puis Judith après avoir fait pénétrer très profondément le stylo, remonta la culotte et fit relever son amante et lui remit la jupe en place et lui chuchota à l’oreille :

— Tu vas garder ce petit souvenir entre tes fesses, jusqu’à ce que je revienne te flanquer la fessée que tu mérites, fais attention en t’asseyant ma chérie.

Elle quitta le souvenir après avoir embrassé Hélène, les deux punies tout à leur honte et à la cuisson qui embrasait leurs fesses n’avaient rien remarqué.

Madame Desrodes était complètement déstabilisée par cet intermède et ce plug improvisé qui garnissait ses fesses, elle décida de lever la pénitence :

— Vous pouvez vous reculotter et rejoindre vos classes, vous viendrez me montrer vos fesses ce soir à la fin des cours.

En sortant elles croisèrent la prof d’anglais qui entra sans frapper dans le bureau directorial, quelques instants plus tard, derrière la porte capitonnée, une dame d’âge mûr gigotait en travers des genoux d’une dame beaucoup plus jeune, la culotte baissée à mi-cuisse et les fesses rouges.



Judith n’avait pas perdu de temps, elle avait saisi Hélène par l’oreille comme une vulgaire gamine l’avait mise en position et déculottée en un clin d’œil, elle avait laissé le stylo en place pendant toute la fessée :

— Ah tu aimes voir les fesses rouges des gamines et tu te caresses en les regardant et bien je peux te dire que les tiennes n’ont rien à leur envier.

Elle quitta le bureau en laissant la directrice au coin le nez au mur exposant sa large croupe écarlate, le stylo dépassait entre les deux grosses fesses, elle avait fermé a porte à clé en partant :

— Tu en as pour une heure au coin ma chérie, je reviens à la fin de mon prochain cours.



 

 

 

 

 

jeudi 9 octobre 2025

L'institut suite 10

 Fessée scolaire



Aurélie était très occupée avec sa nouvelle activité. Depuis la rentrée madame Rose sous traitait les punitions pour un collège privé de la ville.

Les châtiments corporels étant interdits, l’institution privée qui recevait de grandes élèves de plus de dix-huit ans en échec scolaire avait passé un accord avec madame Rose, si les parents étaient d’accord, les élèves ayant un comportement inadapté étaient envoyées à l’institut et avaient droit à la fessée traditionnelle.

Madame Rose avait proposé à Aurélie de se charger de ce nouveau service proposé par l’institut, après un passage dans le box réservé à cet effet, les jeunes filles repartaient toujours avec un derrière cramoisi. Dès leur retour à l’école elle devait se présenter au bureau de la directrice.

Celle-ci était une cliente de madame Rose, ses fesses avaient goûté à la sévérité des dames de l’institut. C’était un régal pour elle de voir ces jeunes bourgeoises, les joues rouges de honte, retrousser leur jupe et baisser leur culotte pour présenter leurs fesses rougies par la main d’Aurélie ou par sa brosse à cheveux. Elle les laissait un moment, le derrière ainsi exposé :

— Vous avez été bien punie mademoiselle, j’espère que ça vous brûle. Vous recommencerez à être insolente ?

— Non, madame, s’il vous plaît puis-je remonter ma culotte.

Madame Desrodes se mettait à rire :

— Ça vous tarde tant que ça de cacher votre vilain derrière, il faut le faire refroidir. Vous avez de la chance que ça ne se fasse plus, sinon vous iriez exposer vos fesses devant toute la classe. Aurélie vous a mis au coin ?

La jeune fille au comble de la honte sanglotait :

— Oui madame dans le secrétariat.

— C’est parfait, vous allez rester un peu dans mon bureau avec les fesses à l’air ça vous fera le plus grand bien. Je vais faire un mot pour votre maman et vous me le ramènerez demain signé.

La directrice avait quarante ans et elle aimait passionnément les derrières féminins, elle profitait de ce privilège pour se caresser pendant que la grande jeune fille lui exposait sa croupe juvénile rougie.

Hélène Desrodes était lesbienne, dotée d’un plantureux popotin, elle avait eu recours au service de l’institut pour essayer de traiter sa cellulite et comme toutes les dames dans sa situation, elle s’était retrouvée rapidement prise dans les filets de madame Rose, elle recevait donc régulièrement de sévères déculottées.

Malgré la cuisson et la honte de recevoir à son âge cet humiliant châtiment, elle s’était découvert un caractère soumis et elle prenait un certain plaisir à se faire rougir le derrière. Son amante qui était professeure dans l’établissement qu’elle dirigeait s’en était rendu compte quand un jour lors d’un de leurs ébats, elle lui avait demandé de lui flanquer une fessée. D’abord surprise, Judith qui était professeure d’anglais avait rapidement pris goût à ses jeux claquants et depuis cette date, Hélène avait souvent les fesses rouges sous sa stricte tenue de directrice.

Un jour juste avant un conseil de classe, alors qu’elles se trouvaient seules dans le bureau, la jeune professeure, elle avait tout juste trente ans, avait fermé la porte à clé et avec un sourire coquin avait annoncé à son amante :

— Je crois que tu as bien mérité un petit panpan cucul ma chérie, depuis le temps que je t’ai promis de te flanquer une fessée dans ton bureau, voici l’occasion rêvée.

Hélène avait rougi et protesté :

— Non, non, tu n’y penses pas Judith, le conseil de classe a lieu dans un quart d’heure, pas ici, pas maintenant.

En souriant la jeune femme avait tiré une chaise au milieu de la pièce et s’y était installée :

— Bien sûr que j’y pense ma chérie et je peux même t’annoncer qu’avec cette remarque, tu viens de gagner une fessée supplémentaire après le conseil de classe. Tu as intérêt à venir me présenter ton bon gros popotin tout de suite sinon ce soir tu iras au lit avec une paire de fesses bien chaude.

La directrice de l’institution Sainte-Marie s’était approchée en baissant les yeux, à l’instant présent elle n’était plus qu’une vilaine fille qui allait être corrigée. Judith avait rapidement progressé dans sa technique de fesseuse, la fessée toujours déculottée bien sûr suivait un rituel parfaitement établi.

Hélène s’était posté devant elle les mains sur la tête et lui présentant son derrière, en souriant la jeune femme avait retroussé lentement la jupe et l’avait épinglé dans le dos de la directrice. Celle-ci portait toujours des dessous sexy et élégants, des bas fumés retenu par un porte-jarretelle noir et une culotte en dentelle noire également. Son large derrière avait du mal à contenir dans cette fine culotte, la base des fesses débordait largement. Judith en riant avait pincé cette zone sensible :

— Quand tu vas retourner à l’institut je pense que Sophie et Aurélie vont se régaler de traiter ta cellulite ma chérie. Bon assez traîné en piste.

Docilement Hélène s’était tournée et placée contre les genoux de sa jeune amante, Judith lui avait pris la main pour la guider en travers de ses cuisses. Malgré son caractère soumis c’était toujours un moment de honte pour la directrice de se retrouver dans cette position, la croupe tendue vers le ciel, la culotte rentrant dans sa raie fessière. Judith aimait les belles paires de fesses et avec Hélène elle était servie, elle les palpa et les caressa doucement comme pour en prendre possession. Elle pratiquait toujours ainsi avant de fesser son amante, ses corrections étaient de plus en plus sévères mais c’était toujours des fessées coquines, elle n’avait encore jamais claqué le derrière d’Hélène pour la punir, mais ça viendrait certainement :

— Ton derrière est vraiment mignon ma chérie, comme on est un peu pressée, tu n’auras pas droit à la fessée d’échauffement on va passer directement à la fessée cul nu.

Le déculottage fut expéditif et la fine lingerie se retrouva rapidement au niveau des genoux de la quarantenaire qui n’en menait pas large à cet instant précis. Bien sûr Judith avait fermé la porte à clé, mais elle imaginait les professeurs passer devant sans se douter de la scène qui se jouait derrière l’huis capitonné. Une dame d’âge mûr copieusement déculottée et fessée d’importance comme une vulgaire gamine.

Judith n’avait pas tardé à administrer une magistrale fessée à son amante, le plantureux derrière s’était immédiatement mis à danser, Hélène retenait ses cris, elle suppliait et gémissait doucement :

— Non, non, aïe, aïe… s’il te plaît Judith… aïe ça brûle…

La jeune professeure s’arrêta un instant et caressa la croupe déjà rouge :

— En effet c’est chaud, mais je veux que tu sentes ton bon gros derrière pendant tout le conseil de classe.

Elle s’était tournée vers le bureau et avait saisi la longue et large règle en bois qui y était posée, l’effet sur le derrière de son amante avait été immédiat, Hélène n’avait pas pu s’empêcher de pousser un cri qu’elle avait rapidement étouffé et elle s’était cabrée sous la cuisson. Judith en souriant admirait le large postérieur de la directrice, s’ouvrir largement et dévoiler l’intimité de la punie :

— Ça brûle n’est-ce pas ma chérie, tu vas penser à moi quand tu vas t’asseoir.

Elle termina la correction par une salve de coups de règle savamment administré sur toute la surface du fessier et elle posa l’instrument pour caresser les fesses brûlantes d’Hélène :

— Voilà ce que j’appelle une bonne déculottée.



Elle baissa la culotte complètement et la retira.

— Tu es privée de culotte, tes fesses sont bien chaudes. Une fois assise, tu relèveras discrètement ta jupe, je veux que tes fesses rouges soient posées directement sur ton fauteuil. Ne triche pas, n’oublie pas que j’assiste au conseil de classe je vais te surveiller.

Hélène était debout, ses joues étaient quasiment de la même couleur que son derrière, elle était admirative devant l’ingéniosité perverse de sa jeune maîtresse, elle remit sa jupe en place et en profita pour frotter discrètement sa croupe. Judith le remarqua et elle en sourit, c’était interdit, mais tellement mignon de voir cette dame d’âge mûr se comporter comme une gamine punie qu’elle décida de passer l’éponge.

Il était juste l’heure du conseil, Hélène ouvrit la porte, les professeurs attendaient devant la salle réservée aux réunions, elles saluèrent respectueusement la directrice sans se douter qu’elle était les fesses nues sous sa jupe et que celles-ci étaient d’un beau rouge flamboyant.

Madame Desrodes leur fit signe de s’installer, Judith la surveillait, un fin sourire se dessina sur ses lèvres, la quarantenaire avait discrètement relevé sa jupe avant de poser son confortable popotin sur le fauteuil directorial. Hélène avait réprimé une petite grimace quand son fessier douloureux avait touché le siège, mais en même temps une excitation avait parcouru son entrejambe.

Elle entama immédiatement l’examen des dossiers des élèves, la professeure principale Alice Léger souleva le problème de deux des élèves :

— Clémentine continue a ne rien faire, elle a déjà été à l’institut il y a un mois, je pense qu’un nouveau passage entre les mains de la demoiselle spécialisée va être nécessaire.



Hélène jeta un regard à son amante, les fesses rouges de la jeune fille dansaient encore devant ses yeux. Comme elle en avait l’habitude, elle l’avait forcée à se déculotter pour lui présenter le résultat de son séjour à l’institut et son derrière était vraiment cramoisi :

— Pourtant Aurélie l’avait soigné la dernière fois, j’ai vérifié moi-même l’état de ses fesses, elle avait reçu une bonne déculottée. Mais bon puisqu’elle n’a pas compris, elle va y retourner, sa mère est d’accord, nous avons toute latitude pour agir.

Elle regarda d’un œil circulaire les cinq professeurs :

— D’ailleurs j’aimerais avoir votre avis sur cette nouvelle méthode, les filles qui y ont goûtés sont-elles plus sérieuses ?

Judith prit la parole en premier :

— C’est indéniable, j’en ai deux dans une de mes classes, je peux vous dire que depuis leur petit stage chez madame Rose, elles se tiennent à carreaux. De toute façon c’est simple, je leur ai dit qu’elles y auraient droit à chaque note en dessous de la moyenne.

Un petit « oh » de surprise parcouru l’assemblée, madame Léger repris la parole :

— Tu y vas fort Judith, si on utilise toutes cette méthode, il risque d’y avoir un embouteillage.

— Cette technique semble faire ses preuves, ne vous inquiétez pas pour ça, madame Rose nous débloquera autant de créneaux que nécessaire.

C’était Hélène qui avait répondu, elle se régalait par avance d’avoir de nouveaux fessiers juvéniles bien rouges à contempler.

— D’ailleurs je dois vous annoncer une nouvelle décision du conseil d’administration du collège, en cas de fautes professionnelles, le même traitement sera proposé aux professeurs en remplacement du blâme ou de la procédure disciplinaire.

Les cinq dames présentes autour de la table n’osèrent pas protester, elles se contentèrent de baisser les yeux et quelques joues rosirent, après tout aucune d’entre elles n’avaient reçu de blâme jusqu’à présent.

Madame Léger étaient de celles dont les joues avaient le plus rougis, elle reprit la parole :

— Le deuxième cas, c’est Audrey, vous savez cette jeune femme qui reprend ces études, je l’ai surprise à tricher lors du dernier contrôle. C’est vrai qu’elle est plus âgée que les autres élèves, mais ça mérite une sanction.

— Aucun problème, elle était prévenue, quand elle s’est inscrite je l’ai mise au courant du risque d’aller faire un séjour à l’institut en cas de résultat insuffisant ou de mauvais comportement, elle a signé une autorisation. La tricherie est inadmissible, une bonne fessée déculottée à vingt-cinq ans lui fera le plus grand bien.

Hélène était ravie, cette Audrey était dotée d’un magnifique fessier, la mettre au coin dans son bureau les fesses à l’air serait vraiment un plaisir, elle referma le cahier où elle avait noté les résultats du conseil de classe :

— Vous m’enverrez ces deux chipies, je vais me faire un plaisir de leur annoncer ce qui les attend, demain matin ne vous étonnez pas de ne pas les voir en classe.

Les professeures sortaient de la salle, la directrice toucha l’épaule de la professeure principale :

— Madame Léger, vous pouvez passer dans mon bureau, j’ai un petit problème à régler avec vous.

La sévère Alice Léger sursauta légèrement et ses joues rosirent à nouveau :

— Euh oui madame la directrice, vous voulez dire tout de suite ?

— Oui, j’ai vérifié, vous n’avez pas de cours.

Judith regardait de loin la conversation des deux dames, elle esquissa un sourire ironique en voyant la gêne de la professeure de math. « Tu peux préparer tes fesses ma grande », il était de notoriété publique que ces deux-là ne s’appréciaient guère. Hélène avait mis au courant sa jeune amante de ce qui pendait au nez d’Alice Léger.

Une fois dans le bureau, madame Desrodes, désigna une chaise à la dame de quarante ans qui n’en menait pas large, la directrice du collège Sainte-Marie était réputée pour sa sévérité et il ne faisait jamais bon être convoquée dans son bureau en plein milieu de la journée. Hélène Desrodes s’installa dans son fauteuil et pris une feuille de papier à en-tête tricolore qui était posée devant elle :

— Pouvez-vous m’expliquer ce que vous faisiez au magasin de lingerie de la rue de la République il y a deux jours ?

La rigide professeure de math, piqua un énorme fard et regarda ses pieds.

— J’attends une réponse madame Léger !!!

Le ton était sans réplique, Alice comme une élève prise en faute se mit à bégayer :

— Euh… madame… je… je ne sais pas que voulez-vous dire ?

— Vous vous moquez du monde !!!

— Non madame, non…

— Sur ce procès verbal, il est noté que vous avez été prise en flagrant délit de vol !!! Vous avez une explication ?

Le sol se déroba sous les pieds de la quarantenaire, quand la policière municipale alertée par la gérante du magasin avait rédigé le procès verbal, elle lui avait laissé entendre que vu son absence d’antécédents et le fait qu’elle avait remboursé intégralement la marchandise dérobée, les choses n’iraient pas bien loin.

En effet, le procès verbal avait atterri directement au collège Sainte-Marie où la policière avait fait ses études.

Elle voyait dans les mains de la directrice, la feuille qu’elle avait signée, elle sembla s’affaisser sur sa chaise. Hélène lui jeta un regard carnassier, la première cliente pour l’institut de madame Rose était assise devant elle :

— Les choses semblent claires Alice, vous avez reconnu les faits en signant le procès verbal. Vous avez de la chance, maintenant que le conseil d’administration m’a donné la possibilité de vous faire échapper au licenciement en contrepartie d’un petit séjour à l’institut, je vais utiliser cette possibilité. Ce procès verbal ne sortira pas de ce tiroir, sauf si vous m’y obligiez en refusant cette transaction.

La professeure de math acquiesça en hochant la tête :

— Oui madame, merci…

Hélène esquissa un sourire :

— Ne me remerciez pas trop vite… Votre premier rendez-vous à l’institut est fixé à demain dix-sept heures, j’ai vérifié, vos cours se terminent à seize heures.

— Euh… oui madame, mais pourquoi mon premier rendez-vous ?

Hélène se mit à rire :

— Ma chère Alice, vous ne vous imaginez pas j’espère qu’un seul séjour à l’institut peut solder votre faute. Vous irez voir Aurélie jusqu’à ce que je juge que votre punition suffisante.

Elle se leva et fit un petit signe du doigt à madame Léger :

— Juste une formalité ma chère, vous allez vous tourner et trousser votre jupe, je voudrais voir à quoi ressemble le fessier dont Aurélie va s’occuper.

La professeure de math avait perdu depuis longtemps toute sa superbe, elle ne songea même pas à protester et elle s’exécuta Sa jupe retroussée dévoila à Hélène une belle croupe bien joufflue moulée dans une élégante culotte bleu pâle ornée de dentelle.

Alice Léger adorait les dessous élégants c’est ce qui l’avait perdu, tout en exposant son derrière culotté, elle repensait à ce moment de folie où avant de sortir de la cabine d’essayage, elle avait dissimulé un ensemble culotte et soutien-gorge dans son sac à main. Elle ne savait pas ce qui lui était passé par la tête, elle avait largement de quoi payer cette parure, mais l’attrait de l’interdit avait été plus fort.

Maintenant elle allait le payer, le plus original dans cette situation, c’est que ça la ramenait de nombreuses années en arrière, elle avait quinze ans et elle s’était fait prendre à chaparder dans un magasin et à cette occasion sa mère lui avait administré sa dernière fessée déculottée.

Il lui semblait à cet instant précis qu’elle en ressentait encore la cuisson. Elle sursauta, la main de la directrice venait de tapoter son derrière :

— Très jolie culotte ma chère Alice. Bien sûr en sortant de l’institut vous viendrez dans mon bureau pour me montrer le résultat. Vous pouvez y aller.

En sortant madame Léger croisa Judith, celle-ci lui adressa un petit sourire ironique, elle eut un petit frisson, elle était au courant des relations de la directrice avec la professeure d’anglais, il ne faisait aucun doute qu’elle allait être mise au courant de son infortune.

Par contre ce qu’elle ne savait pas c’est que dans quelques minutes l’autoritaire directrice allait se retrouver couchée en travers des genoux de son amante, puis déculottée et fessée.

En entrant dans le bureau d’Hélène, la jeune femme avait claqué dans ses mains puis fermé la porte à clé :

— Allez en piste, j’ai un cours dans une demi-heure, tu m’expliqueras tout ça quand tu seras en position.

La directrice du collège Sainte-Marie n’était plus qu’une gamine morigénée par sa maîtresse.

— Tu sais pourquoi tu reçois cette fessée n’est-ce pas ?

Tout en parlant, elle avait retroussé la jupe, Hélène étant privée de culotte son plantureux fessier s’étala immédiatement devant les yeux de Judith, elle tapota le derrière encore rouge de la précédente correction :

— Alors, pourquoi es-tu cul nu ?

— Pardon, oui… j’ai protesté.

— Et alors ?

— Euh… chaque fois que je proteste j’ai droit à une fessée supplémentaire.

— C’est exact. Allons-y.

La correction fut sévère, Judith était excitée par son après-midi, les fesses de son amante lui servir de défouloir.

La fessée terminée, elle remit Hélène sur ses pieds et lui annonça :

— Tu feras ton temps de coin ce soir en rentrant à la maison, en attendant tu es toujours privée de culotte.

Elle fit une bise à son amante et lui caressa les fesses :

— Tu as vraiment un popotin adorable ma chérie.





lundi 29 septembre 2025

Mademoiselle Héloïse 3

 Nouvelle punition publique pour Sylvie



J’étais vraiment excitée par le déroulement de cet après-midi, le superbe fessier d’Ambre moulé dans son legging était vraiment appétissant, quand elle s’installa à côté de moi, je glissai ma main dans son dos et descendit doucement jusqu’à ses fesses, elle se mit à rire, mes doigts étaient sous sa culotte :

— Dis donc petite coquine, tu es bien curieuse.

— Encore plus que tu ne crois.

J’avais vraiment envie de découvrir sa magnifique croupe, je l’attirai vers moi et à ma grande surprise, elle n’opposa aucune résistance, elle se coucha d’elle-même en travers de mes cuisses.

Je n’en eus pas pour longtemps à lui retourner le legging pour mettre à jour la petite culotte, c’était un tanga jaune pâle qui découvrait la moitié de son généreux postérieur :

— Ça fait longtemps que je ne l’avais pas vu ma chérie mais ton derrière est magnifique.

Elle se mit à minauder en tortillant ses fesses.

— Elles te plaisent ?

Je me mis à rire et d’un geste rapide je la déculottai, elle poussa un petit cri de surprise.

— Eh oui ma grande, cul nu comme une gamine.

— Tu ne vas quand même pas me donner la fessée ?

Je caressai ses fesses nacrées et glissai mes doigts entre ses cuisses, elle mouillait, visiblement la situation ne lui déplaisait pas, je me penchai pour lui murmurer à l’oreille :

— Pas aujourd’hui, je ne veux pas que tu perdes ton autorité sur Clémentine, mais rassure-toi tu y goûteras au panpan cucul d’Héloïse. Je vais juste t’examiner le derrière en détail.

Elle eut droit à une inspection complète, sa raie largement écartée je titillai un peu son anus :

— Tu auras droit aussi au thermomètre ma chérie.

Il était l’heure de la fessée de Sylvie, je la reculottai moi-même. Elle avait les joues bien rouges quand elle se releva, je lui désignai ma chipie :

— Tu veux lui administrer sa fessée ? C’est l’heure.

Elle me jeta un regard coquin :

— Avec grand plaisir, j’ai bien cru que j’allais y avoir droit moi aussi.

Elle saisit l’oreille de Sylvie pour la faire se relever et l’installa en travers de ses cuisses :

— On lui laisse le thermomètre ?

— Oui ça lui apprendra. Tu veux la brosse ?

Ambre palpa le fessier écarlate :

— Non, ma main suffira, je ne suis pas une sauvage, son derrière est vraiment très chaud.



Je remerciai intérieurement Ambre d’épargner mes fesses, sa main se mit à claquer et rapidement la brûlure fut intense, malgré mon désir de rester stoïque, je me mis à pleurer. La fessée fut relativement courte, mais suffisante pour me faire redevenir une gamine éplorée sur les genoux d’une tatie sévère.



Elle fit coulisser le thermomètre :

— On lui enlève ?

— Oui, de toute façon il faut qu’on y aille.

Ambre retira délicatement l’instrument médical, je l’avais gardé quasiment une heure dans le derrière, comme d’habitude malgré l’humiliation de ce traitement, je sentis une onde de plaisir me parcourir.

Héloïse n’en avait pas tout à fait fini avec ma punition, elle désigna à Ambre ma culotte baissée aux genoux :

— Retire-lui sa culotte, ses fesses sont assez chaudes, elle ne risque pas d’avoir froid, elle va rentrer à la maison cul nu sous sa jupe.

C’était ce que je craignais le plus vu la longueur de ma jupette, mes fesses n’étaient pas beaucoup protégées. J’étais debout, je tournai la tête pour me voir dans la glace, la jupe était vraiment courte, la rougeur de mes cuisses était visible. Je me mis à pleurer :

— Mademoiselle Héloïse, s’il vous plaît…

Elle se mit à rire, me fit pivoter et retroussa ma jupe puis me claqua rapidement les fesses :

— C’est parfait ton derrière est disponible, si tu fais des bêtises avant d’arriver à la maison, prie le bon dieu pour qu’il n’y ait pas de vent.





Nous en étions à dix-sept fessées, les fesses de ma chipie n’avaient pas perdu leur belle couleur depuis le réveil. Une fois dans la rue il nous fallait marcher jusqu’à la voiture, je lui claquai le derrière par-dessus la jupe :

— Avance un peu, on a pas que ça à faire.

Juste à ce moment une dame d’une quarantaine d’années nous dépassa, elle avait obligatoirement vu la claque que j’avais administrée à Sylvie, elle me regarda en souriant :

— Eh bien, ça ne rigole pas. Mais vous avez raison une petite fessée de temps en temps ça remet les idées en place.

Elle continua sa route sans s’attarder, Sylvie avait les joues de la même couleur que ses fesses, je me mis à rire :

— Eh bien c’est le jour des fessées publiques, si j’avais eu le temps je lui aurais montré tes fesses, elle aurait été édifiée.

J’ai vérifié qu’on était seule dans la rue, la voiture était à cinquante mètre, je lui ai retroussé la jupe et je l’ai coincée dans la ceinture puis j’ai claqué ses fesses :

— Allez dépêche-toi si tu ne veux pas que quelqu’un te voie cul nu.

Elle se mit à marcher très vite, je lui ai pris la main pour la ralentir un peu :

— Il faut quand même que tes fesses prennent l’air, ça les refroidis un peu.

Nous étions maintenant à dix mètres de ma voiture, je la relâchai et prit mon téléphone :

— Tu vas marcher jusqu’à la voiture sans courir sinon tu reviens ici, je vais filmer ton joli derrière, tu le tortilles tellement bien.

Vous auriez vu sa tête, je n’ai pas pu m’empêcher de rire :

— Si tu restes là ma chérie je pense que quelqu’un va arriver et qu’il va voir ton derrière bien rouge.

Elle s’est décidée à avancer, elle n’a pas mis très longtemps à arriver à la voiture, j’ai filmé ses fesses cramoisies qui ballottaient au rythme de ses pas, c’était vraiment ravissant. Elle attendait les fesses à l’air devant la voiture, j’ai aperçu la dame qui nous avait dépassé, elle revenait. Ma chipie allait montrer ses fesses à une autre personne, elle l’avait vu également je sentais qu’elle paniquait, je me suis approché et juste au moment où la dame arrivait à notre hauteur je l’ai forcé à pivoter pour exposer son derrière bien rouge.



La passante a marqué un temps d’arrêt et elle a regardé avec intérêt la magnifique paire de fesses, elle souriait ne trouvant rien à redire à l’exposition des fesses dénudées d’une dame d’âge mûr en plein après-midi :

— C’est bien ce qu’il me semblait, madame a reçu une bonne déculottée. Ça vous arrive souvent de lui baisser la culotte ?

Elle avait dit ça d’un ton naturel, comme s’il était normal de recevoir encore la fessée cul nu quand on a passé l’adolescence.





Mon calvaire continuait, cette dame qui contemplait mes fesses rouges et qui en plus entamait la conversation avec Héloïse, j’aurais voulu disparaître sous terre. Ma jeune maîtresse semblait ravie de parfaire ma punition par cette exposition honteuse :

— Oui assez souvent ces temps-ci, madame se comporte comme une gamine, elle a donc droit au panpan cucul, ça lui remet les idées en place.

Je sentis une main sur la peau de mes fesses :

— Effectivement, c’est vraiment une magistrale fessée que madame a reçu, c’est bien chaud. C’est comme ça qu’on voit si la fessée a été efficace. La couleur dépend vraiment de la nature de la peau tandis que la cuisson c’est pour tous le monde pareil.

Elle continuait tranquillement de me caresser les fesses tout en discutant. Héloïse souriait, elle semblait vraiment contente :

— Oui je l’ai soigné, aujourd’hui c’est un peu spécial, madame à droit à une journée fesses rouges.

— Une journée fesses rouges ? C’est intéressant. Peut-être que vous devriez lui remettre la jupe en place, moi ça ne me gêne pas, mais si d’autres personnes passent.

Je l’aurais embrassé cette inconnue qui proposait de cacher enfin mes fesses. Héloïse fit une petite moue et baissa ma jupe.

— Je m’appelle Magali, j’habite juste en face, si vous avez cinq minutes, j’aimerais bien que vous m’expliquiez ce que c’est qu’une journée fesses rouges.

Je priai intérieurement pour qu’Héloïse refuse, mais je n’y croyais pas trop. Effectivement elle accepta. L’immeuble de Magali était juste en face de la voiture, nous prîmes l’ascenseur pour arriver dans un vaste appartement très clair avec une grande baie vitrée sans aucun rideau, je regardai vers l’extérieur, les voisins avaient certainement une vue panoramique sur la pièce. J’étais quasiment sûr que ma maîtresse allait me flanquer ma prochaine fessée ici.

La maîtresse de maison me regarda :

— Quand on a reçu la fessée déculottée, en général on va exposer son derrière au coin.

Héloïse me fixait en souriant :

— Tu as entendu Magali. Dépêche-toi !

Je ne savais pas dans quel coin je devais me mettre, notre hôtesse s’approcha et me saisit l’oreille :

— Viens un peu ici.

C’était assez surréaliste, cette dame que je ne connaissais quasiment pas me tutoyait et m’accompagnait au coin en me tapotant les fesses.

Évidemment elle m’installa dans celui qui faisait face à la baie vitrée. La suite fut classique, elle retroussa ma jupe et l’épingla dans mon dos, je fus un peu surprise, elle avait tiré une pince en laiton de sa poche, on aurait dit qu’elle était là pour ça :

— Je suppose que tu sais comment te tenir.

Bien sûr que je le savais, je mis immédiatement mes mains sur ma tête. Magali passa à nouveau sa main sur mon derrière :

— Je ne l’avais pas regardé de si près, madame a vraiment un magnifique fessier. Il y a de quoi donner une bonne fessée. Je ne sais pas ce que vous entendez par une journée fesses rouges, mais elles sont vraiment magnifiques.

Elle me laissa et je l’entendis se rapprocher d’Héloïse :

— Je vous offre quelque chose à boire et vous m’expliquez ce que c’est qu’une journée fesses rouges.

— Oh c’est très simple…

Héloïse expliqua en détail le déroulement de cette journée où mes fesses n’avaient jamais perdu cette éclatante couleur écarlate. Magali avait écouté avec attention, elle demandait des précisions et riait de temps en temps quand Héloïse lui racontait les fessées supplémentaires qu’elle m’avait administrées en raison de mes récriminations :

— Eh bien dites donc, je croyais être sévère, mais vous me surpassez, je comprends que votre petite chipie ait des fesses de cette couleur. Je sais qu’un bon gros derrière comme le sien peut recevoir beaucoup de fessées mais pas à ce point là.

Je sentis sa main qui tapotait à nouveau mon derrière.







Par le plus grand des hasards, j’étais tombée sur une amatrice de panpan cucul. Magali semblait apprécier comme moi les beaux derrières bien joufflus comme celui de Sylvie. À sa façon de lui palper les fesses on voyait qu’elle avait l’habitude de s’occuper des croupes féminines, je voulus en savoir plus :

— Vous faites quoi dans la vie ?

— Je suis psychologue, pourquoi ?

— Vous semblez être très à l’aise avec les fesses de Sylvie.

Magali se mit à rire :

— Oui, j’aime bien les belles paires de fesses, surtout quand elles sont bien rouges. Dans mon métier ça peut servir.

— Pardon ?

Elle me regarda avec un petit sourire coquin :

— Certaine situation nécessite une prise en charge particulière pour mes patientes, la fessothérapie peut quelquefois rendre de grands services.

J’étais conquise par cette dame énergique, bien sûr j’avais entendu parler de fessothérapie, mais je n’imaginais pas en rencontrer une adepte. Elle se rassit en face de moi et désigna les fesses de Sylvie :

— Mais si j’ai bien compris, dans le cas de madame nous sommes plus dans une démarche éducative et de discipline domestique que dans la fessothérapie.

La conversation devenait vraiment intéressante, j’étais sûre que Magali ne se contentait pas de donner la fessée à titre thérapeutique. Sur le ton de la plaisanterie je lui posai des questions sur les origines de son goût pour les derrières rougis :

— Vous avez pris des cours de fessée ?

Elle me regarda avec ce sourire qui me faisait fondre :

— Vous ne croyez pas si bien dire, j’ai été formée en Belgique par une spécialiste de la question. J’ai connu les deux faces de la fessée.

— Les deux faces ??

Magali se mit à rire :

— Oui pour être une bonne fesseuse, il faut l’avoir reçu.

Elle m’expliqua qu’elle était l’aînée d’une famille de cinq enfants et que ses parents souvent absents lui confiait la responsabilité de la fratrie et lui avait donné toute latitude pour corriger son frère et ses sœurs. Naturellement elle s’était mise à utiliser la fessée, elle me regarda en souriant et ajouta « cul nu bien sûr ».

Elle était partie faire ses études de psychologue en Belgique et un soir au cours d’une soirée avec sa logeuse, elle lui avait confié qu’elle aimait fesser, mais qu’elle n’y avait jamais goûté. Sa propriétaire qui était une forte matrone lui avait dit « S’il n’y a que ça pour te faire plaisir » Et elle lui avait administré sa première fessée déculottée.

— Je peux vous dire que ce ne fut pas une fessée pour rire. A partir de ce jour, j’ai eu droit à une déculottée le matin avant de partir en cours et le soir avant d’aller au lit. Hortense, ma logeuse adorait la fessée, elle m’a transmis le virus, dès que j’ai pu, j’ai ajouté la fessothérapie à mon arsenal thérapeutique.

— Vous ne l’administrez qu’à titre thérapeutique ?

— Non bien sûr, même les grandes filles qui ont passé l’âge comme Sylvie ont besoins de temps en temps d’une petite mise au point. Comme moi avec Hortense.

Je regardai Magali d’un œil différent :

— Vous la voyez encore ?

— Oui deux fois par an au minimum je fais un petit pèlerinage au plat pays.

Je me mis à rire :

— C’est un pèlerinage cuisant ?

Ses joues rosirent légèrement :

— Oui… Très…





J’étais toujours au coin exposant mon derrière bien rouge, j’écoutais avec attention la conversation, c’était bien ma veine on était tombée sur la seule amatrice de fessées du quartier. J’appris quand même avec plaisir que cette dame se faisait également rougir les fesses, soudain ce que j’attendais et craignais en même temps arriva, la voix d’Héloïse retentit derrière moi :

— Sylvie ma chérie, c’est l’heure.

J’allais à nouveau recevoir une fessée publique devant une inconnue.

Ne sachant quelle position adopter, j’avais laissé mes mains sur la tête, je baissai les yeux pour ne pas croiser le regard de Magali. Héloïse tapotait ses genoux, je savais ce que cela voulait dire, elle n’allait pas innover, ce serait la position traditionnelle de la maman sévère corrigeant sa grande fille. Vu mon âge, c’était certainement une des positions les plus humiliantes, surtout que ma maîtresse n’était pas en reste pour en rajouter :

— Allez en position vilaine fille, tu vas nous montrer tes fesses. Tu es bien installée ?

J’avais vraiment l’impression d’être revenue sur les genoux de ma mère quand elle me corrigeait devant la voisine.

Magali avait une vue parfaite sur ma croupe, en tournant la tête je constatai également que mon derrière était tourné face à la fenêtre. Héloïse me fit basculer vers l’avant pour que mes pieds décollent du sol, l’absence de culotte allait faciliter mes mouvements de jambes, la spectatrice aurait tout le loisir d’admirer mon entre-cuisse.

— Il est dix-sept heures trente c’est l’heure de sa fessée.

— Vous avez tenu le compte depuis ce matin ?

Magali semblait admirative devant le caractère organisé de cette jeune femme.

— Oui bien sûr, elle a reçu les treize fessées prévues et quatre supplémentaires pour désobéissance ou récriminations.

— Eh bien dites donc, ce n’est pas étonnant que son derrière soit de cette couleur. Dix-sept fessées depuis ce matin !!

Héloïse semblait satisfaite de son petit effet, je savais qu’elle adorait me déculotter et me rougir les fesses, mais aujourd’hui c’était vraiment spécial. Elle commença à me corriger avec sa main, mais Magali intervint rapidement :

— Vous n’utilisez pas que la main j’espère.

Cette petite peste osait se mêler de ma correction, je l’aurais tuée.

— Bien sûr que non, elle a eu droit à la brosse à cheveux et à la sandale.

— Pas de paddle ou de martinet, pourtant sa bonne paire de fesses le supporterait bien.

La main d’Héloïse était posée sur mes fesses brûlantes, je ne pus m’empêcher de gémir :

— Oh non s’il vous plaît mademoiselle… Aïe, aïe…

Deux magistrales claques venaient d’atterrir sur mon fessier endolori :

— Vas-tu bien te taire ! Continue comme ça et je charge Magali de t’administrer une fessée supplémentaire.

Je ravalai mes larmes et attendit la suite des événements. J’entendis la maîtresse de maison se lever en tournant la tête je la vis ouvrir un petit meuble et en sortir une sorte de raquette en cuir, elle la tendit à Héloïse :

— Tenez essayez ça sur son derrière, c’est une sorte de paddle en cuir que je me suis procurée dans une boutique spécialisée, je l’utilise souvent pour mes séances.

La brûlure fut intense, quelle petite garce, elle devait trouver que mes fesses pouvaient endurer un peu plus. Je n’avais plus aucune retenue, je me tortillais, mes pieds battaient l’air, mais ma fesseuse me maintenait fermement et la raquette en cuir atteignait immanquablement sa cible, mon bon gros derrière :

— Vous voyez Magali, l’âge n’y fait rien, malgré ses soixante-dix ans ma petite Sylvie gigote et ses fesses dansent comme si elle en avait dix-huit.



— C’est vrai qu’elle a vraiment une magnifique paire de fesses.

La fessée terminée, elle me garda couchée en travers de ses genoux, je pleurais mais elle ne s’en souciait pas. Elle me claqua sèchement le derrière :

— Pleure en silence, tu n’as eu que ce que tu mérites !

Je ravalai mes larmes, Magali félicita ma jeune maîtresse :

— Magnifique correction, je vous donnerai l’adresse où vous procurer cet instrument. Vous avez prévu de la corriger encore combien de fois ?

Héloïse caressait mes fesses et j’avoue que j’y prenais un certain plaisir :

— Elle ira au lit tôt puisqu’elle est punie, il lui reste encore trois fessées plus celle du coucher.

— Eh bien madame va bien dormir. Je pense que vous pourriez me l’envoyer un de ces jours pour une petite séance de thérapie, ça ne pourrait que lui faire du bien. Je vais vous laisser ma carte.





J’étais vraiment contente d’avoir rencontré Magali, ma grande chipie allait bénéficier d’un traitement adapté à son bon gros derrière. Il était littéralement cramoisi et légèrement boursouflé, elle aurait certainement beaucoup de mal à s’asseoir ce soir et même demain, mais au moins elle allait se souvenir qu’il ne fallait pas désobéir.

Je la fis se relever :

— Allez debout, on va y aller, mais avant tu vas aller montrer tes jolies fesses à Magali.

Elle marcha à petit pas vers notre hôtesse. C’était la deuxième fois de l’après-midi que je lui imposais cette humiliation. Elle se tourna et sans qu’on lui demande elle se pencha devant Magali, son bon gros derrière brûlant était juste à hauteur des yeux de la psychologue, elle le tapota en souriant :

— Je suppose que tu vas être sage dorénavant. Tu vas venir me voir la semaine prochaine, nous avons à parler.

Ses doigts s’étaient glissé entre les fesses et les cuisses de Sylvie, elle me regarda avec un air entendu :

— Effectivement la fessée fait de l’effet à madame, un petit entretien psychologique à ma façon sera le bienvenu.

Les joues du haut de Sylvie étaient de la même couleur que celle du bas, Magali lui claqua les fesses :

— C’est parfait ton derrière est vraiment charmant, je serai ravi de m’en occuper, tu peux te relever.

Je pris congé, Magali me fit une bise sans façon, par contre Sylvie eu droit à une autre manière de dire au revoir, elle reçut une magistrale claque sur son fessier rougeoyant :

— Vous pouvez lui laisser la jupe épinglée dans le dos, puisque la voiture est garée devant la porte.

C’est ainsi que ma grande chipie rentra à la maison les fesses à l’air, heureusement pour elle on ne croisa personne.

Arrivé au salon, je sortis sa culotte de mon sac à main et je lui tendis :

— Tiens reculotte-toi vilaine fille.





Le passage du tissu sur la peau de mes fesses fut douloureux, ma grimace fit bien rire ma jeune fesseuse :

— Ça brûle n’est-ce pas ? Tu vas t’en souvenir longtemps ma chérie.

J’étais quand même contente de pouvoir enfin cacher mon derrière, il avait pris l’air tout l’après-midi.

La suite se déroula comme Héloïse l’avait annoncé, je reçus encore deux fessées dont l’une juste avant le repas, je passai le repas cul nu sur ma chaise et elle m’envoya au coin jusqu’à l’heure du coucher qu’elle avait fixé à neuf heures :

— Ce soir tu es punie, tu iras au lit tôt comme une vilaine fille.

Je trouvais le temps long le nez contre le mur, mais je n’étais pas trop pressée, je me doutais qu’elle allait vouloir finir la journée en beauté. Elle discutait au téléphone avec Ambre, elle lui expliquait notre rencontre avec Magali et le déroulement de la soirée.

A Huit heures et demie elle m’appela :

— Tu files te mettre en tenue pour la nuit, mais tu gardes ta culotte, je m’en chargerai.

Elle avait dit ça en riant, c’est sûr qu’elle n’allait pas se priver du dernier déculottage de la journée. Je me dirigeai vers la salle de bain, au passage elle me claqua les fesses nues :

— Tu peux te reculotter pour le moment.





Je vais la faire poireauter un moment, elle sait qu’elle va avoir droit à une fessée, je suis sûr qu’elle serre ses fesses sous sa culotte.

Après dix minutes, je jugeai qu’elle devait être prête, effectivement elle m’attendait en nuisette, le nez contre le mur, elle tenait sa chemise relevée dévoilant sa culotte, la rougeur débordait sur le haut des cuisses.

Je lui ai saisi l’oreille pour l’amener avec moi vers le lit :

— Allez en piste ma chipie, ton derrière peut encore en prendre une.

J’avais décidé de lui donner deux fessées pour finir la journée, la première ce serait à la main, ses fesses dansèrent comme depuis ce matin et elle finit en pleurs et suppliante. Je la gardai un moment sur mes genoux, puis je la fis se relever après lui avoir retiré entièrement sa culotte. Je posai un oreiller au milieu du lit :

— Allonge-toi là, tu vas encore présenter ton derrière un moment avant le dodo.

J’avais mon thermomètre dans la poche, j’écartai avec mes doigts les deux tomates bien mûres étalées sur le lit et j’enfonçai profondément l’instrument médical dans le derrière de ma chipie.

L’administration régulière de bonne fessée déculottée avait fait leur effet, elle se laissait faire, tout juste un petit gémissement quand je relâchai ses fesses. Je l’avais enfoncé vraiment profondément, il ne dépassait presque pas de la raie fessière, elle avait vraiment dû le sentir passer :

— Tu ne bouges pas et tu réfléchis à tes bêtises, tu as encore une dernière fessée à recevoir. À tout à l’heure ma chérie.





Elle me laissa étalée au milieu du lit avec les fesses brûlantes, j’avais une furieuse envie de les frotter, mais je ne pris pas ce risque, elle avait laissé les portes ouvertes, j’entendais la télé. J’étais bonne pour rester en pénitence thermomètre pendant toute la durée de sa série. Je préférais être couchée sur mon lit que sur ses genoux à lui exposer mon derrière, mais le temps me parut quand même bien long.

Elle entra dans ma chambre et m’annonça :

— On va finir ta journée fesses rouges avec une fessée au martinet, tu n’y a pas goûté aujourd’hui. Allez debout !!

Je ne savais que penser, entre le soulagement de l’annonce que c’était ma dernière fessée et la peur du martinet. Elle me fit mettre à genoux au pied du lit et retroussa bien haut ma nuisette :

— Ton derrière est vraiment ravissant, tend le bien que monsieur martinet puisse le caresser.

Je savais que les caresses en question seraient vraiment cinglantes et douloureuses, mon derrière s’était contracté, ce qui me valut cette remarque ironique :

— Ah madame serre les fesses, elle a peur pour son petit cucul ? Tu as raison, je te garantis que je vais le soigner. Tu recommenceras à désobéir et à faire des bêtises ?

La question nécessitait une réponse :

— Non, non mademoiselle Héloïse…

— Cinquante coups de martinet et tu comptes !!

C’était sévère pour une dernière correction, mais c’était ainsi. Je criai quand les lanières enveloppèrent ma croupe, mais je n’oubliai pas de compter…



Cette dernière fessée fut vraiment cuisante, elle me fit relever et ouvrit le lit, puis elle m’enlaça et caressa mon derrière brûlant :

— Voilà, c’est fini ma vilaine chipie, maintenant au dodo, sur le dos bien sûr, il faut que tu sentes bien tes fesses. J’espère ne pas avoir à recommencer, mais tu sais maintenant ce que c’est qu’une journée fesses rouges. Si jamais dans le mois qui vient je suis obligée de sévir trop souvent tu auras droit à deux journées d’affilée.

Je me glissai sous les draps en sanglotant, je savais que je l’avais mérité, mademoiselle Héloïse avait été sévère mais juste.

Vingt et une fessées déculottées sur le bon gros derrière de ma chérie, vraiment une belle journée, j’étais contente de moi.


















L'institut suite 11

Correction pour deux chipies   En sortant du bureau de madame Desrodes, les deux élèves avaient les larmes aux yeux. Clémentine surtout, ell...