samedi 7 juin 2025

Lucie et Christian 30

Une soirée cuisante



Après l’heure de retenue, les stagiaires eurent le droit de monter dans leur chambre pour se doucher. La salle de bain était très grande, d’un côté une rangée de trois lavabos et de l’autre une série de pommes de douche fixées au plafond avec une chaîne pour faire couler l’eau.

Mademoiselle Chloé assurait la surveillance de cet instant un peu intime. Les six dames furent rapidement fixées sur ce qui les attendait :

— Trois à la douche et trois aux lavabos pour vous laver les dents, vous vous déshabillez dans vos chambres et vous ne laissez pas traîner vos affaires, vous ne prenez qu’une serviette pour aller à la salle de bain.

Les plus âgées se crurent revenues au pensionnat à l’heure des douches communes.

Elles commençaient à connaître leur anatomie respective, surtout du côté pile d’ailleurs, elles se mirent donc toute nue. En regardant les derrières de ses deux compagnes Lucie constata que les traces des punitions reçues tout au long de la journée étaient encore bien visibles, les fesses de Laetitia et d’Alice étaient encore rouges, elle tapota celle de son amie en riant :

— Elles savent y faire nos deux maîtresses, ton joli cul est appétissant.

Laetitia faisait la tête, elle frotta son derrière en soupirant :

— Ça me cuit encore, cette petite peste de Chloé ne m’a pas manqué, je ne compte même plus le nombre de fessées que j’ai reçu.

Alice lui claqua les fesses :

— C’est vrai que ton derrière est bien rouge ma chérie, finalement on est pas si sévère quand on vous flanque la fessée le matin.

Laetitia fit une grimace :

— Je sais pas, enfin je ne m’habitue pas à la fessée.

Alice avait fait pivoter Lucie :

— Montre-moi tes bonnes grosses fesses comme dit Chloé.

La croupe de son amie était vraiment rouge :

— Mazette, ça te brûle encore ?

Lucie remua son popotin d’un air coquin :

— Ça tu peux le dire, je ne sais pas laquelle des deux claque le plus fort. Elles te plaisent mes fesses ?

Chloé passa le nez à la porte :

— Qu’est-ce que c’est que ça, non, mais je rêve. J’ai dit à la douche et mesdemoiselles s’amuse. Attendez un peu !!

Elle décrocha le martinet.

— Tournez-vous et penchez-vous, je vais vous apprendre !

Les trois fessiers étaient tendus vers elle, tous encore bien rouges des corrections de la journée.

Elle leva le martinet et se mit à cingler l’une après l’autre les jolies croupes de ces dames redevenues des collégiennes.

Elle avait commencé par le milieu des fesses serrées, puis elle descendit sur le pli fessier et ensuite elle cingla l’arrière des cuisses.

Les trois punies sautillaient sur place et criaient aux rythmes de la fessée :

— Vous le sentez le martinet de mademoiselle Chloé, vos jolis derrières sont bien rouges. Maintenant vous filez à la salle de bain !

Lucie, Alice et Laetitia se pressèrent d’obéir, elles pleurnichaient, mais n’osaient pas se frotter les fesses brûlantes.

Les trois autres en entendant Chloé n’avaient pas demandé leur reste et s’étaient précipitées vers les douches.

Chloé avait suivi le mouvement, elle sourit en voyant ces six popotins bien rouges. Les trois qui venaient de recevoir le martinet étaient devant les lavabos, leurs croupes resplendissaient. Les trois autres étaient sous la douche. Claire et Clotilde étaient un peu gênées d’exposer leur nudité, mais Émilie avait l’habitude des douches collectives dans sa salle de gym. Elle se savonnait énergiquement, en fait c’était un moyen de frotter ses fesses sans s’attirer les foudres de Chloé. Celle-ci lança à la cantonade :

— Tachez de bien vous laver, vous frottez partout, je surveille.



Les trois premières sortirent de la douche, la sévère assistante les arrêta au moment où elles prenaient leur serviette :

— Stop ! Vérification de la propreté, vous allez passer l’une après l’autre. Émilie, amène-moi tes fesses !

La jeune femme avait pris goût à la fessée et au plaisir pervers de soumettre des dames à sa volonté, ce stage était vraiment un bonheur pour elle. Madame Sylvie lui avait donné toute latitude pour administrer des punitions humiliantes aux six stagiaires. Cela faisait partie de la thérapie afin de les ramener à l’humilité car à part Émilie, elles étaient toutes plus âgées que Chloé.

Elle s’installa sur un tabouret et posa une serviette sur ses genoux :

— En position ma chérie.

Émilie était encore mouillée, elle regarda d’un œil incrédule la sévère demoiselle :

— Mais… mademoiselle Chloé, je n’ai rien fait.

Celle-ci se mit à rire :

— Mais je le sais ma petite chérie, je veux juste vérifier si tu as bien nettoyé ton derrière.

Rouge de honte, la jeune comptable se coucha sur les genoux de Chloé. L’assistante commença par écarter les fesses, elle titilla l’anus puis ses doigts descendirent sur les lèvres qu’elle écarta :

— C’est bien tu es toute propre, je vais te sécher les fesses.

En riant, elle administra une courte mais cuisante fessée à la jeune femme, ses fesses étaient déjà rouges, mais elles redevinrent écarlates :

— Voilà je t’ai avancé le travail, fini de te sécher.

Émilie avait les yeux humides quand elle se releva, elle prit sa serviette et entreprit de se sécher, comme tout à l’heure elle en profita pour frotter son derrière.

Claire et Clotilde avaient assisté avec effroi au traitement d’Émilie, elles se tenaient debout, les bras ballants :

— Claire approche un peu que je vérifie tes bonnes grosses fesses.



La cheffe de service rougit sous cette injonction ironique, cependant instruite par ses précédentes corrections, elle se dirigea vers la jeune femme, en un clin d’œil comme une maman sévère l’aurait fait avec sa fille, elle bascula la cinquantenaire en travers de ses cuisses. L’examen humiliant ne fut pas moins complet que pour la jeune comptable et il se termina par la fessée de séchage du postérieur. Dès que Claire fut debout, Clotilde s’approcha, elle était soumise et elle espérait s’éviter une remarque honteuse, Chloé lui prit la main en riant :

— Tu es pressée de me montrer ton bon gros derrière, voyons un peu ça.

Comme vous le savez, la cheffe comptable possédait un volumineux popotin, c’était un aimant pour la main d’une fesseuse, Chloé n’y était pas insensible. Il lui rappelait celui de sa mère qui devait avoir approximativement le même âge, l’impression d’administrer une bonne fessée cul nu à sa maman accentuait le plaisir de la jeune femme.

Clotilde eut donc droit à un examen minutieux de son intimité et la fessée sur la peau mouillée dura plus longtemps, la main s’occupa également de l’arrière des cuisses. Clotilde pleurait à chaudes larmes quand Chloé la fit se relever.

Les trois autres stagiaires avaient assisté ébahies à cette punition gratuite, décidément cette petite peste prenait vraiment plaisir à rougir les derrières.

— Vous n’êtes pas encore sous la douche ! Décidément le martinet n’a pas suffi et bien vous goûterez à la fessée mouillée, dépêchez-vous !

Elles se précipitèrent sous la douche et se savonnèrent avec entrain, comme pour les autres, c’était une bonne occasion pour se frotter le derrière.

Madame Sylvie pointa son nez au moment où Chloé commençait le séchage du popotin de Lucie, elle se mit à rire :

— Très bonne idée Chloé, ces chipies ont encore fait des siennes ?

— Oh oui madame, mais la fessée mouillée fait des miracles, regardez les trois là, avec leurs derrières bien rouges, elles sont toutes mignonnes.

La fessothérapeute fronça les sourcils :

— Vous avez été vilaines, tournez-vous que je voie vos fesses.

Les trois croupes cramoisies se présentèrent au regard amusé de Sylvie :

— Mes félicitations Chloé, six tomates bien mûres.

Elle caressa les fesses tendues vers elle, puis claqua sèchement le dernier fessier qui était celui de Claire :

— Je suis très mécontente de vous mes chéries, filez dans votre chambre, on va régler ça.

Les trois punies tête basse quittèrent la salle de bain, elle ressentait une forme d’injustice, car la fessée que leur avait administrée Chloé était sans raison. Il ne faisait aucun doute que madame Sylvie allait à son tour s’occuper de leurs fesses.

Arrivée dans la chambre, la fessothérapeute désigna les lits :

— A genoux et vous vous penchez en avant sur le lit. Vous me présentez bien vos popotins.



Elle décrocha le martinet et fit glisser les lanières sur la croupe cramoisie de Claire :

— Je vais vous apprendre à être vilaines, je vous garantis qu’à la fin du week-end vous serez mignonnes, même si vous avez du mal à vous asseoir.

Elle leva le martinet et administra dix coups sur la partie bien charnue des fesses de la cheffe de service, celle-ci serra les fesses et ses pieds tambourinèrent sur le sol, elle commençait à être habituée aux solides corrections administrées par madame Sylvie, mais celle-là en complément de la fessée mouillée était particulièrement cuisante. Clotilde reçut la même dose et se mit à pleurer, puis Émilie brailla sous les cinglées de l’instrument de correction familial.

Sylvie revint vers Claire :

— Pour finir dix coups sur tes cuisses ma chérie, tu vas sentir la punition de madame Sylvie chaque fois que tu vas t’asseoir.

Dans l’attente du premier coup, la cinquantenaire contracta ses fesses, ce qui fit sourire la fesseuse :

— Tu as raison de serrer ton bon gros derrière ma chérie, mais ça n’empêchera pas ta punition.

Les trois punies reçurent la même correction puis Sylvie leur annonça la suite :

— Vous pouvez vous rhabiller, mais vous êtes privée de culotte toute la soirée.

Elle revint dans la salle de bain, deux fessiers écarlates attendaient le nez collé contre le mur, c’était au tour d’Alice de se faire sécher le derrière, comme pour Clotilde, la jeune assistante qui appréciait les croupes bien joufflues avait réservé un traitement de faveur aux jolies fesses de la secrétaire. Après lui avoir administré une magistrale et longue fessée sur la peau mouillée, elle finissait par l’arrière des cuisses, entraînant une danse effrénée des fesses et des jambes de la punie.

La sévère directrice apprécia en connaisseuse la prestation de son assistante :

— Voilà un derrière cuit à point, mais ça ne lui évitera pas le martinet comme pour les trois autres chipies. Allez en piste les vilaines, je vous suis.

Lucie, Laetitia et Alice durent se mettre à genoux au pied de leur lit comme leur camarade.

Sylvie avait décroché le martinet, elle regardait les trois paires de fesses bien rouges, celle d’Alice était la plus resplendissante. Elle décida de la garder pour la fin, Lucie fut la première à se faire cingler le joufflu, elle se mit à crier comme d’habitude, Laetitia fit de même. Les deux fessiers étaient maintenant identiques à celui de la jeune secrétaire, celle-ci serrait ses fesses en entendant ses camarades pleurer et supplier.

Sylvie s’approcha d’elle et lui tapota les fesses :

— Tu as été la plus vilaine si j’en juge à la couleur de ton derrière. Je vais t’apprendre, tu vas voir ma chérie, monsieur martinet va s’en charger.

Elle leva l’instrument et cingla la belle paire de fesses, elle administra une dizaine de coups supplémentaires à Alice. Décidément ce n’était pas un avantage d’avoir la plus belle croupe.

Il restait l’arrière des cuisses, Lucie, Laetitia et Alice pleuraient à chaudes larmes quand la fessothérapeute raccrocha le martinet :

— Relevez-vous et cessez de pleurnicher, vous l’aviez méritée celle-là. Vous vous rhabillez, mais vous êtes privées de culotte.

Elle revint vers l’autre chambre, les trois stagiaires avaient repris une tenue plus conforme :

— Tournez-vous.

Elle sortit de sa poche trois pinces et épingla les jupes dans le dos des punies :

— Vos fesses sont tellement jolies que ça serait dommage de les cacher.

Elle fit de même avec les trois autres puis Chloé reprit le flambeau :

En attendant le repas vous allez prendre l’air, ça va faire du bien à vos derrières.

Les six fessiers cramoisis descendirent l’escalier suivit par la jeune femme qui se régalait de voir les fesses se dandiner au rythme de la marche. Arrivée dans la cour, les stagiaires se placèrent contre le mur afin de ne pas exposer leur derrière dénudé à d’éventuelles passantes. Chloé ne l’entendait pas de cette oreille :

— Vous n’allez pas rester plantée là, vous marchez un peu.

Elles obéirent en jetant des coups d’œil inquiets du côté de la clôture. Seule Laetitia resta contre le mur, Chloé la regarda en souriant :

— Tu ne veux pas qu’on voie ton derrière tout rouge ? Je vais t’apprendre à désobéir.

Elle saisit la comptable par l’oreille et après s’être installée sur une chaise, elle la bascula en travers de ses genoux. Laetitia ne voulait pas montrer ses fesses, mais elle allait recevoir une fessée cul nu en plein air. La correction fut rapide, mais la quadragénaire cria et pleura abondamment, sa croupe cramoisie était tellement sensible. Quand elle eut fini, la jeune assistante, ravie de pouvoir se livrer à ses plaisirs pervers, sortit de sa poche un thermomètre. Elle écarta les deux fesses et introduisit profondément l’instrument médical dans le fondement de la rebelle :

— Ma petite Laetitia, en plus de montrer ton derrière bien rouge, tu vas garder le thermomètre pendant toute la récréation, serre bien les fesses, gare à toi s’il ressort.

Elle fit relever la punie, plaça la chaise face au mur :

— Tu te mets à genoux et les mains sur la tête.

En pleurnichant Laetitia s’exécuta, les deux hémisphères se serraient convulsivement, le bout du thermomètre dépassait au milieu de la raie médiane.

Ses collègues avaient regardé avec intérêt la punition, Lucie glissa à Alice :

— Quelle gourde, elle devrait commencer à savoir qu’on est pas là pour faire les malignes. Remarque c’est bien, on a une vue magnifique sur son joli cul.

Bien sûr la récréation ne se termina pas sans la visite de la voisine, Chloé alla discuter avec elle par-dessus le muret, Virginie se régalait du spectacle :

— C’est la récréation des culs nus ?

Chloé se mit à rire :

— Culs nus bien rouges tu remarqueras.

— Oui j’ai vu, vous n’avez pas chômé avec madame Sylvie. Elles sont vilaines ?

— Oh pas spécialement, disons qu’elles ont besoin d’une petite mise au point de temps en temps.

La voisine remarqua Laetitia en pénitence sur sa chaise :

— C’est original cette façon de la mettre au coin.

Chloé lui fit un petit signe :

— Elle a eu droit à un petit bonus, vient voir.

Elle ouvrit le portillon et la dame se dirigea vers Laetitia :

— Mazette, elle en a vraiment pris une bonne, ce n’est plus des fesses, c’est des tomates.

Virginie riait de bon cœur, Chloé s’approcha et écarta les deux fesses :

— Regarde un peu, c’est un petit complément pour les très vilaines.

La quadragénaire poussa un « oh » de surprise :

— C’est un thermomètre ?

— Oui, ça calme de se faire prendre la température dans les fesses comme une gamine. Et encore plus quand c’est en public.

Chloé tapota les fesses brûlantes :

— Tu désobéiras encore ma chérie ?

Laetitia était morte de honte et son derrière brûlait énormément, elle répondit en gémissant :

— Non, non mademoiselle Chloé… Pardon, je serai sage… S’il vous plaît.

Virginie était hypnotisée par la croupe et le thermomètre planté au milieu, Chloé claqua sèchement le fessier :

— J’espère bien que tu seras sage, c’est pour ça que tu es punie. Tu voudrais peut-être que je t’enlève le thermomètre.

— Oui mademoiselle Chloé, s’il vous plaît, j’ai trop honte.

Chloé regarda Virginie en souriant :

— Tu vois comme mon traitement fait des miracles, notre petite Laetitia n’a plus quarante ans, c’est une gentille petite fille.

Elle reclaqua le derrière :

— Je suis désolée ma chérie, mais ta pénitence n’est pas terminée, tu dois encore réfléchir à ton comportement et je pense que le thermomètre dans tes fesses va t’aider.

Virginie s’éloigna, sa visite avait été fructueuse, elle se tourna vers Chloé alors que Clotilde passait à côté, elle désigna la plantureuse croupe cramoisie :

— Jolie couleur, elle ne va pas avoir froid aux fesses.

— La jeune assistante attrapa la cheffe comptable et la courba sous son bras, la forçant à tendre sa croupe :

— Tu veux voir la température de son gros derrière ? Tiens touche.

Timidement Virginie posa la main sur les fesses tendues :

— Olala, c’est vrai que c’est brûlant. Elle a vraiment un beau derrière.

Chloé tenait toujours Clotilde courbée sous son bras :

— N’est-ce pas. C’est mon préféré, il y a de quoi claquer.

Elle administra quelques claques sur le fessier et relâcha sa victime.

— Allez file.

Le temps n’avait pas tourné assez vite pour les dames aux fesses nues, elles étaient pressées de rentrer, c’était encore pire pour Laetitia qui serraient ses fesses sur le thermomètre. Chloé frappa dans ses mains :

— Nous allons passer à table, mettez-vous en rang.

Les cinq adultes se comportèrent comme des collégiennes elles se mirent par deux immédiatement. Chloé s’approcha de Laetitia et la fit descendre de la chaise en lui tirant l’oreille, elle s’installa à sa place et coucha la comptable sur ses genoux, elle regarda les stagiaires :

— Regardez ce qui arrive quand on désobéit, on reçoit une fessée supplémentaire et on garde un thermomètre dans les fesses. Ah tu ne voulais pas montrer ton derrière ma petite Laetitia et bien tu l’exposes à tout le monde, j’écarte bien tes fesses pour que tout le monde voie bien ton petit trou.

Laetitia morte de honte sanglotait :

— Cesse de pleurnicher, tu l’as bien méritée cette punition.

Elle retira doucement le thermomètre juste au moment où madame Sylvie arrivait :

— Eh bien qu’a fait cette chipie ?

Chloé tenant toujours les fesses bien écartées expliqua la situation, Sylvie fronça les sourcils :

— Très bien, tu es privée de dessert, tu recevras une fessée par madame Louise à la place et une soirée thermomètre.

Ses camarades furent surprises de la sévérité de madame Sylvie, personne n’allait s’aventurer à désobéir.

En entrant dans la salle à manger, Sylvie les arrêta et appela la cuisinière serveuse :

— Madame Louise, vous pouvez venir s’il vous plaît.

La forte matrone entra dans la pièce en souriant :

— Oui madame ?

La fessothérapeute se tourna vers les stagiaires :

— Vous allez montrer vos fesses à madame Louise, ça vous apprendra, allez demi-tour et penchez-vous.

Instruite par les corrections précédentes, les six dames présentèrent leur derrière rubicond à la cuisinière. Celle-ci souriait, elle s’approcha et palpa quelques fessiers :

— Joli résultat madame.

Sylvie claqua dans ses mains :

— Maintenant à table et tâchez de bien vous tenir.

Le repas se déroula sans encombre, au moment du dessert, madame Louise qui avait été prévenue par la directrice, s’approcha de Laetitia :

— Viens un peu là ma jolie, je vais te donner ton dessert

Elle disposa une chaise en face de la table des deux fesseuses, les stagiaires avaient une vue parfaite sur le postérieur de la punie. Elle bascula la quadragénaire en travers de ses larges cuisses et sortit de sa poche une cuillère de cuisine en bois. Les fesses de Laetitia étaient encore très rouges des différentes corrections reçues tout au long de la journée, elle passa sa main sur l’épiderme :

— C’est encore bien chaud madame, peut-être que la main suffirait.

Sylvie en souriant, regarda l’assemblée :

— Ma grand-mère disait, la peau des fesses repousse toujours, c’est sûr que notre petite Laetitia va dormir sur le ventre cette nuit et que demain elle aura du mal à s’asseoir, mais c’est comme ça. Commencez par cent claques sur chaque fesse à la main et finissez par vingt coups de cuillère également sur chaque fesse.

En entendant la sentence, laetitia se mit à supplier :

— Non, non, s’il vous plaît madame, non… pardon plus la fessée, je serai sage… mes fesses me font trop mal.

Madame Louise interrogea du regard la directrice, celle-ci lui fit un petit signe :

— Allez-y, elle pleurera au moins pour quelque chose.



La fessée fut terrible pour le pauvre derrière déjà meurtri, les pleurs et les cris de la comptable envahissaient la pièce. Quand elle put se relever, ses joues du haut et du bas étaient cramoisies, madame Louise sans qu’on ait eu besoin de lui dire la conduisit au coin.

Tout le monde termina son dessert, les cinq dames compatissaient au sort de leur camarade, mais elles étaient contentes d’avoir échappé à la punition.

La soirée fut consacrée à des activités libres, télévision ou lecture, elles étaient toujours les fesses à l’air.

Chloé avait installé Laetitia sur un pouf au milieu du salon et lui avait introduit le thermomètre en lui disant :

— Tu vas le garder toute la soirée ma chérie.

Elle regarda autour d’elle, pour voir si elle ne pouvait pas jouer avec une stagiaire, Claire et Clotilde avaient vraiment de belles paires de fesses de dames mûres. Elle s’approcha d’elle :

— Vous avez rempli vos carnets de correspondance j’espère.

Elle savait pertinemment que non, les deux quinquagénaires rougirent et bredouillèrent :

— Euh, non mademoiselle Chloé, on a pas eu le temps.

La jeune femme sourit et s’approcha :

— Ah oui ? Eh bien moi je vais avoir le temps de vous punir mes petites chéries. Vous connaissez le tarif ?

Claire essaya de négocier :

— C’est vrai qu’on aurait dû le faire mademoiselle Chloé, on va le faire tout de suite.

— Trop tard ma chérie, je vais d’abord m’occuper de vos deux gros derrières. Qui veut commencer ?

Les deux cinquantenaires baissèrent la tête, elle savait qu’elle n’allait pas échapper au châtiment habituellement réservé aux gamines, mais se présenter elle-même pour le recevoir, c’était compliqué :

— C’est donc moi qui vais décider laquelle de vous deux va me présenter ses fesses en premier, la punition sera doublée, tant pis pour vous. Claire vient ici !

La cheffe de service s’approcha. Que de choses avait changé en douze heures à peine, depuis son arrivée dans le gîte, elle la redoutable fesseuse qui déculottait et claquait les derrières, combien de fois s’était-elle retrouvée en position disciplinaire, présentant ses fesses nues à la main de madame Sylvie ou pire à celle de cette jeune femme.

Chloé appréciait cet instant où la punie abandonnait son statut d’adulte pour subir sa punition, les fesses serrées par l’angoisse, un petit gémissement, quelquefois une supplique « s’il vous plaît mademoiselle Chloé, pas la fessée ». Ces deux dames d’âge mûr allaient gigoter et pleurer sur ses genoux, elle écarta les deux larges fesses :

— Après la fessée ma chérie tu auras droit au thermomètre comme Laetitia, je vais t’apprendre à désobéir.

La fessée crépita dans la pièce, au moment où Claire avait basculé sur les genoux de Chloé, Lucie avait donné un petit coup de coude à Alice et avait chuchoté « Panpan cucul pour la mère Dugou, il y a une justice quand même ».



La jeune fesseuse termina la correction avec la brosse à cheveux :

— Ça, c’est pour ne pas être venue toute seule me présenter tes bonnes grosses fesses.

Puis les trois stagiaires qui avaient évité la punition se régalèrent de voir la raie fessière largement écartée et l’instrument médical pénétrer lentement le plantureux derrière. Claire sanglotait, la cuisson de sa croupe était intense et l’introduction en public du thermomètre achevait son humiliation.

Elle put enfin se relever, Chloé disposa un autre pouf à côté de celui de Laetitia et la punie dut s’y allonger, les fesses bien surélevées.

Ce fut au tour de Clotilde, elle sanglotait avant de se retrouver en position disciplinaire, son joufflu était déjà cramoisi, mais Chloé ne s’en préoccupa pas, suivant les principes de madame Sylvie « La peau des fesses repousse toujours et si la nature à pourvu les dames d’une bonne paire de fesses, c’est pour qu’elles puissent recevoir la fessée ».

Trois derrières d’un rouge profond pointaient vers le ciel, tous garnis d’un thermomètre en leur milieu.

Discrètement les trois autres stagiaires avaient rempli leur carnet de correspondance pendant la punition de Claire et Clotilde.

Sylvie arriva un peu plus tard, elle paraissait très contente, Chloé l’interrogea du regard :

— Je viens d’avoir une petite conversation avec les fesses de madame Louise, elles sont resplendissantes. Elle restera au coin dans la cuisine pendant une heure, je te chargerai de l’accompagner dans sa chambre.

— Bien madame. Un complément sera nécessaire ?

La fessothérapeute regarda son assistante en souriant, décidément cette petite avait fait de gros progrès :

— Si tu le juges nécessaire. Je te fais confiance.

La soirée touchait à sa fin, Sylvie s’était installée dans un fauteuil pour assister à la dernière humiliation des trois punies, l’une après l’autre, elles durent venir s’allonger sur les genoux de Chloé pour se faire retirer le thermomètre. Elle prenait son temps écartant largement les fesses et commentant l’aspect du fessier, elle terminait invariablement par une petite fessée rapide sous l’œil rieur de la fessothérapeute.

Sylvie donna le signal du coucher :

— En rang par deux et on monte dans les chambres.

Les six fessiers plus ou moins colorés grimpèrent les marches sous le regard amusé des deux fesseuses.

— Vous mettez vos chemises de nuit, dans dix minutes extinction des lumières, ne lambinez pas, monsieur martinet est prêt.

Les nuisettes arrivaient à mi-cuisses, les plus jeunes qui avaient l’habitude de dormir en pyjama firent la grimace, mais l’instrument suspendu à côté de la porte les incita à ne rien dire.

Chloé surveillait la chambre de Lucie, Alice et Laetitia, les deux premières avaient échappé à la punition en soirée, elles étaient nues toutes les trois, si les fesses de Lucie et d’Alice étaient encore bien colorées, celles de Laetitia étaient cramoisies résultat des magistrales corrections reçues avant et après le repas. Elles se dépêchèrent d’enfiler la chemise de nuit sous le regard moqueur de la jeune assistante qui se régalaient à les traiter comme des gamines :

— Vous allez vous laver les dents et faire pipi. Pressez-vous un peu.

Quand elles revinrent, la jeune femme leur fit un signe :

— Vous vous mettez au pied du lit et vous me montrez vos derrières !

Elle s’approcha du fessier meurtri de la comptable, elle le caressa et le palpa :

— Tes fesses sont encore bien chaudes ma chérie, tu vas bien dormir. J’espère que tu seras sage demain et que je ne serai pas obligée de te déculotter aussi souvent.

Elle passa ensuite à celui de Lucie, celle-ci serra instinctivement les fesses en sentant la main de Chloé :

— Tu as peur que je fasse panpan cucul ? Tu as quelque chose à te reprocher ?

— Non, non mademoiselle Chloé, je n’ai rien fait, je vous assure.

La jeune perverse se mit à rire :

— Je n’en suis pas si sûre. Tu t’es bien régalée à assister aux fessées de tes petites camarades n’est-ce pas ?

— Non, non mademoiselle Chloé.

Lucie sentait que ses fesses allaient lui cuire rapidement :

— Aïe, aïe, aïe, non, non mademoiselle Chloé, je n’ai rien fait… Aïe…



La main claquait sèchement les fesses tendues, elle s’arrêta et décrocha le martinet :

— Dix coups pour t’apprendre, présente-moi tes fesses mieux que ça !!

Lucie brailla et sautilla sur place pendant sa courte punition. Alice n’en menait pas large, elle maudissait cette petite peste de Chloé, la soirée avait été tranquille et voilà qu’elle leur flanquait une correction juste avant d’aller au lit.

La fesseuse s’était approchée de la secrétaire au magnifique fessier, elle posa le martinet sur les reins et entrepris d’examiner méticuleusement le postérieur d’Alice. Celle-ci ne resta pas insensible aux caresses surtout que la vue de tous ces fessiers rougis pendant la soirée l’avait émoustillée, Chloé sourit en constatant les sécrétions abondantes au niveau de ses lèvres :

— On dirait que ça te fait de l’effet d’assister aux fessées de tes petites camarades, on va voir si de la recevoir c’est pareil.

La main claqua vigoureusement la croupe tendue, puis elle reçut également dix coups de martinet :

— Maintenant au lit, et je ne veux plus rien entendre, vous allez voir comme on dort bien avec une paire de fesses bien chaudes.

En sortant de la chambre, elle constata que la porte de celle occupée par les deux dames d’âge mûr et Émilie, était entrouverte mais la lumière éteinte. Elle s’approcha pour écouter, aucun bruit ne sortait de la pièce, elle éteignit la lumière du couloir et laissa les portes des deux chambres légèrement ouvertes.

Il lui fallait maintenant s’occuper de madame Louise, arrivée dans la cuisine, elle constata que la cuisinière n’avait pas bougé, elle se tenait le nez contre le mur, la robe épinglée dans le dos et la culotte baissée aux genoux. Ses fesses portaient les stigmates d’une solide fessée, elles étaient encore rouges comme le haut des cuisses, la cuillère en bois qui avait dû servir sur la croupe grassouillette, était posée sur la table.

Elle s’approcha et saisit l’oreille de la solide matrone :

— Allons-y ma petite Louise, madame Sylvie m’a chargée de vous mettre au lit, mais avant nous avons à discuter.

La cuisinière n’avait plus cinquante ans, elle était redevenue une adolescente conduite dans sa chambre par sa maman, sauf que la maman en question avait tout juste vingt-cinq ans. Elles montèrent l’escalier, Louise toujours tenue par l’oreille et Chloé lui claquant les fesses de sa main libre pour la faire avancer plus vite. Sur le palier elles se dirigèrent dans un couloir qui menait à la chambre de la cuisinière. Elle était meublée simplement, un lit un petit bureau, deux chaises et une armoire, comme dans les chambres des stagiaires un martinet était suspendu à un crochet à droite de la porte.

Chloé s’installa au bout du lit et fit basculer la cinquantenaire en travers de ses cuisses, comme à son habitude elle commença à explorer ce nouveau fessier. Décidément elle était gâtée, encore une dame d’âge mûr avec une belle paire de fesses. La croupe de Louise ressemblait beaucoup à celle de Clotilde, deux hémisphères bien larges d’un blanc nacré séparés par une profonde raie médiane. Les doigts s’insinuèrent entre les cuisses puis remontèrent dans la raie fessière pour l’écarter, la matrone gémissait doucement :

— Oh non, s’il vous plaît mademoiselle Chloé, j’ai trop honte… aïe, aïe, aïe.

La main venait de claquer sèchement le derrière :

— Veux-tu bien te taire. J’espère bien que tu as honte, c’est quand même malheureux qu’on soit encore obligée de te déculotter à ton âge.

Les fesses étaient encore rouges, Chloé les tapota :

— Maintenant que tu es en bonne position, tu vas m’expliquer pourquoi madame Sylvie t’a donné la fessée ?

Louise sanglotait de honte, certes la fessothérapeute l’avait habituée à recevoir ce châtiment humiliant, mais le recevoir par cette gamine. Une claque très sèche sur chaque fesse la convainquit que Chloé ne plaisantait pas :

— Euh… voilà, madame a trouvé que ma cuisine n’était pas rangée.

— Très bien… C’est tout ?

Une nouvelle claque avait retenti dans la chambre.

— Euh, non mademoiselle Chloé… mais… mais j’ai honte… Aïe, aïe, aïe, aïe…

— Tu vas surtout avoir mal aux fesses si tu ne te dépêches pas !!!

— Oui, oui mademoiselle… pardon.

— Mademoiselle Chloé !!!

La fessée avait repris de plus belle.

— Aïe, pardon mademoiselle Chloé.

— Alors ? J’attends !!

— Euh… Madame Sylvie a dit que ma culotte n’était pas propre.

Chloé eut un sourire ironique, c’était une nouveauté de sa patronne.

— Ah oui ? C’est du joli.

Elle se pencha et remonta légèrement la culotte pour en examiner le fond, effectivement il y avait quelques traces qui aurait pu passer en fin de journée. Chloé apprécia la perversité de la fessothérapeute. Se faire examiner la culotte à cinquante ans, voilà qui rajoutait à la honte de recevoir une fessée cul nu comme une gamine.

— Madame Sylvie t’a punie, mais elle m’a recommandé de compléter ta punition avant de te mettre au lit. On va commencer par une bonne fessée déculottée, puisque tu es une gamine tu seras corrigée comme telle.

La main se mit à claquer le large derrière, c’était vraiment plaisant de voir les deux belles fesses ballotter à droite et à gauche au rythme des claques. Rapidement les jambes se mirent à battre l’air et les fesses se serrèrent puis s’ouvrir en grand. Le bruit de la main sur la peau nue se mêlait aux cris puis aux pleurs de Louise.

— Ton bon gros derrière est bien rouge, maintenant on va passer à la suite.

Elle fit glisser la culotte jusqu’aux chevilles et la retira. Dès que la cuisinière fut debout, elle mit la lingerie en boule :

— Ouvre la bouche !

Elle glissa la culotte entre les lèvres de la punie.

— C’est comme ça que je traite les petites souillons.

Puis elle fit glisser la robe par-dessus la tête et Louise se retrouva entièrement nue :

— Viens par ici.

Elle ouvrit la porte de la salle de bain et poussa Louise vers la baignoire :

— Monte là, je vais t’apprendre la propreté.

Elle prit la pomme de douche, régla le robinet sur froid, puis elle fit pivoter la cuisinière afin qu’elle lui présente ses fesses écarlates. Quand l’eau glacée frappa son derrière elle trépigna :

— Non, non mademoiselle Chloé, c’est froid.

La jeune femme se mit à rire :

— Eh oui, lavage des fesses à l’eau froide, c’est comme ça qu’on traite les petites sales. Écarte les cuisses et penche-toi.

Elle prit un gant de toilette et entrepris un savonnage en règles des fesses, elle ne se gêna pas pour les écarter et son doigt s’égara sur l’anus pour le titiller, ensuite elle écarta les lèvres et continua le nettoyage de l’intimité de sa punie qui pleurnichait de honte. Elle rinça le fessier toujours à l’eau froide, puis elle fit sortir la cuisinière qui avait les joues aussi rouges que son derrière, elle posa une serviette sur ses genoux et bascula la pauvre Louise en travers de ses cuisses :

— Je vais te sécher les fesses à l’ancienne ma chérie, je ne voudrais pas que tu attrapes froid.

La fessée sur la peau mouillée est un must de fesseuse, mais une brûlure intense pour celle qui reçoit sa déculottée. La quinquagénaire battit des jambes rua, serra les fesses et les ouvrit en grand, mais rien n’y fit la punition alla à son terme et quand elle se releva son postérieur était brûlant mais parfaitement sec :

— Tu finis de te sécher je t’attends dans la chambre.

En pleurnichant la cuisinière s’exécuta, elle avait déjà reçu nombre de fessée, mais celle-ci compterait parmi les plus cuisantes. Quand elle arriva dans la chambre elle vit que Chloé tenait le martinet à la main :

— Non, non mademoiselle Chloé, plus la fessée s’il vous plaît.

En souriant la jeune femme lui fit signe de se tourner :

— Dépêche-toi de me montrer tes fesses.

Elle appuya sur le dos de Louise et palpa le derrière :

— Tes fesses sont cuites à point ma chérie, deux belles tomates. Mais il reste tes cuisses, tu sais comme maman faisait quand tu étais vilaine, le martinet sur les cuisses et les mollets. Je te fais cadeau des mollets pour aujourd’hui, vingt coups sur tes jolies cuisses et au dodo.

La correction fut appliquée sans faiblir, ensuite elle tendit la nuisette à la punie.



— Demain je vérifierai ta culotte, gare à ton derrière si elle n’est pas nickel, maintenant tu dors et je ne veux plus t’entendre.

Elle éteignit la lumière et laissa la porte entrouverte, dès qu’elle fut seule Louise entreprit de frotter son large derrière pour atténuer la cuisson.

















lundi 2 juin 2025

Lucie et Christian 29

 Visite médicale



Les six stagiaires suivirent la jeune assistante, elles s’étaient mis naturellement en rang par deux, ce qui avait fait sourire Sylvie, décidément la bonne vieille fessée déculottée traditionnelle faisait des miracles.

Arrivé dans une grande pièce, meublée par deux lits d’examen, une armoire vitrée un petit bureau et deux chaises ainsi que des patères au mur. Un pèse-personne et une toise complétait l’équipement.

— Vous vous déshabillez, je vous veux en culotte et soutien-gorge.

Les stagiaires savaient qu’il ne fallait surtout pas discuter, elles quittèrent leur jupette, leur chemisier ainsi que leur ballerine et même leurs socquettes. C’était un spectacle charmant de voir ces dames en petite tenue, les morphologies étaient très différentes, de la menue Émilie à la plantureuse Clotilde en passant par le fessier bien en chair d’Alice. Lucie était émue devant toutes ces chairs féminines exposées, elle fit un petit clin d’œil complice à sa copine, elle savait qu’elle aussi appréciait.

Une autre se régalait du spectacle, mademoiselle Chloé souriait devant la gêne de ses élèves :

— Claire, on va commencer par toi, monte sur la balance.

En rougissant la cheffe de service s’exécuta, elle tournait le dos à ses subordonnées qui pouvait se régaler de son large fessier bien moulé dans sa culotte de gamine, la base des fesses débordait un peu de la lingerie. Chloé nota le poids et claqua les fesses :

— Sous la toise.

Docilement Claire se laissa mesurer, Chloé s’installa sur une chaise et la fit approcher, elle tenait un mètre à ruban, elle prit le tour de taille puis d’un geste sec, elle baissa la culotte sous les fesses, Claire poussa un petit cri, la jeune femme la regarda sévèrement :

— Pardon ? Qu’est-ce que j’ai déjà dit, silence !

La cheffe de service était cul nu, ses fesses dirigées vers ses camarades, Chloé leva la main et claqua une bonne vingtaine de fois la large croupe :

— Je vais t’apprendre à raisonner…

Claire piétinait sur place, elle était vexée de recevoir ce châtiment enfantin devant ses subordonnées.

— Tu ne bouges pas, j’ai besoin de mesurer tes bonnes grosses fesses.

Le mètre à ruban, fit le tour du fessier légèrement rougi. Chloé nota les mensurations sur le carnet :

— Tu restes cul nu et tu mets ton nez contre le mur et les mains sur la tête.

Elle avait claqué sèchement les fesses de Claire.

— Alice, amène-moi tes grosses fesses.

La jeune secrétaire rougit, vexée qu’on traite ainsi son derrière, elle était fière de son postérieur. Chloé la fit monter sur la balance, puis comme pour Claire elle la déculotta. Je l’ai déjà dit, mais le derrière d’Alice attire la main des fesseuses, la jeune assistante ne fit pas exception. Une fois les mensurations prises, elle regarda avec gourmandise le beau fessier :

— Alors comme ça tu n’aimes pas que je parle de tes grosses fesses ?

— Non, non mademoiselle, je n’ai rien dit.

Alice sentait l’ombre de la fessée planer, elle n’avait pas tort :

— Je vais t’apprendre à raisonner, je pense que ton bon gros derrière a besoin d’être réchauffé.

Chloé savait que la jeune secrétaire était la seule à ne pas avoir reçu la fessée, il fallait remédier à cela même pour une raison fallacieuse. Elle fit basculer Alice en travers de ses genoux et lui administra une courte mais cuisante fessée qui fit passer le derrière du blanc au rouge en un instant. Alice se débattit comme il se doit offrant aux quatre stagiaires qui la regardait une vue panoramique sur son intimité, ce n’était pas une surprise pour Lucie, mais c’était un agréable spectacle pour Clotilde et Laetitia. Les fessées de Chloé étaient toujours efficaces et quand Alice fut remise sur ses pieds, ses yeux étaient humides et ses joues de la même couleur que son derrière :

— File te mettre à côté de Claire !

Alice était mortifiée de cette fessée publique qu’elle jugeait injuste, mais habituée à une sévère éducation elle obtempéra.

La jeune assistante regarda les quatre dames d’un air gourmand :

— À qui le tour ? J’espère que la fessée d’Alice vous a servi de leçon. Clotilde vient ici !

La cheffe comptable avança doucement, Chloé après l’avoir déculottée, palpa le large derrière encore rouge :

— Il va falloir me muscler ce fessier ma grande, ne t’inquiète pas avec ce stage on va s’en occuper.

Elle claqua la paire de fesses :

— Va te mettre à côté des chipies.



Lucie, Émilie et Laetitia eurent droit elles aussi à un examen de leur derrière, elles évitèrent la fessée, Chloé se contentant de leur claquer les fesses avant d’aller se mettre à côté de leurs camarades, une brochette de six fessiers étaient désormais alignées contre le mur.

Chloé frappa dans ses mains :

— Maintenant, prise de température, Claire vient ici.

La cheffe de service avait frissonné à l’annonce de Chloé, elle imaginait le pire et elle n’avait pas tort. La jeune femme lui désigna un des lits d’examen :

— Tu te couches là, en travers.

Comme la cheffe de service ne semblait pas comprendre, elle lui claqua sèchement la croupe et la fit mettre en travers du lit, la tête pendant d’un côté et les pieds de l’autre :

— Décidément, tu cherches la fessée, ce n’est quand même pas compliqué, il faut que tes fesses soient à ma disposition.

Elle claqua à nouveau le fessier tendu, il prit rapidement une jolie couleur, Claire gémissait mais ne bougeait pas :

— Aïe, aïe, pardon mademoiselle Chloé.

Celle-ci se dirigea vers l’armoire vitrée et saisit les thermomètres qu’elle posa sur le bureau, elle en prit un et se dirigea vers Claire qui ne bougeait pas, ses fesses rougies étaient serrées. Chloé écarta la raie avec deux doigts :

— Si tu ne veux pas que je redonne une fessée, tu as intérêt à me desserrer ces fesses.

Claire essaya, mais sa honte de se faire mettre un thermomètre dans les fesses à cinquante ans, était trop forte :

— Tu l’auras cherché !

Chloé releva la cheffe de service en lui tirant l’oreille, s’installa sur une chaise et la bascula sur ses genoux, elle s’adressa aux fessiers exposés contre le mur :

— Tournez-vous, je veux que vous voyiez ce qui arrive aux chipies qui désobéissent.

Les cinq stagiaires étaient ravies d’assister à l’humiliante punition de madame Dugou. Combien de fois s’étaient-elles retrouvées dans la même position, la culotte baissée aux genoux et le derrière pointant vers le ciel. Quel magnifique spectacle, Claire avait déjà les larmes aux yeux.

Rapidement une magistrale correction enflamma son fessier, les cris retentirent dans la pièce et les larmes coulèrent sur ses joues, la fessée de Chloé n’avait rien à envier à celle que madame Sylvie lui avait administrée tout à l’heure. Quand elle put enfin se relever son large fessier était rubicond, une claque lui indiqua qu’elle devait se remettre en position sur le lit.

Le derrière était étalé à la vue de ses cinq subordonnées, celles-ci étaient hypnotisées par les larges fesses que Chloé tenaient écartées avec deux doigts, elles avaient oublié que ce serait bientôt leur tour.

Comme par enchantement la déculottée reçue par Claire avait fait des miracles, la raie bien ouverte laissait voir la rondelle brune. La cheffe de service avait oublié la honte de sa position, la cuisson de son derrière était la plus forte.

— C’est quand même malheureux qu’à ton âge je sois encore obligée de t’administrer une fessée pour te faire obéir.

Chloé prenait son rôle de maîtresse sévère très au sérieux, elle n’était pas pressée, il fallait que l’humiliation de la cheffe de service soit complète, elle tapota les fesses écartées ;

— Tu désobéiras encore à mademoiselle Chloé ?

— Non, non… pardon mademoiselle Chloé… S’il vous plaît… j’ai honte…

Chloé souriait, son but était atteint :

— Mais c’est fait pour ça ma petite Claire, pour que tu aies bien honte et il faut que tes fesses te brûlent, pour que tu ne recommences pas.

Elle humidifia l’embout du thermomètre et le posa sur l’anus, les fesses se crispèrent, immédiatement la claque atterrit sur le fessier :

— Qu’est-ce que j’ai dit ?

— Aïe… pardon mademoiselle Chloé.

Le thermomètre rentra inexorablement sous l’œil ébahi des cinq spectatrices. La jeune femme le fit coulisser légèrement jusqu’à ce qu’il ne dépasse presque plus, elle tapota les fesses écarlates :

— Voilà il est bien en place, tu ne bouges pas.

Elle se tourna vers les dames fesses à l’air :

— Émilie, à toi. Tu te mets à côté de Claire.

La jeune comptable s’approcha en rougissant, elle se coucha au côté de la cheffe de service, Chloé avait pris un deuxième thermomètre, elle s’approcha et tapota le derrière serré :

— Tu vas être sage ma chérie, je ne voudrais pas être obligée de te rougir les fesses, tu as vu ce qui est arrivé à Claire, desserre tes fesses, vite !!

Émilie essaya mais le résultat fut le même que pour Claire, elle se retrouva elle aussi en position disciplinaire pour une cuisante mise au point, quand elle se recoucha sur le lit, son derrière écarlate était bien détendu et la sévère assistante n’eut aucun mal à lui mettre le thermomètre en place en lui tenant les fesses largement écartées.



— Clotilde à toi, j’espère que tu vas me laisser écarter tes bonnes grosses fesses.

Toute honte bue, la cheffe comptable s’installa. Contrairement aux autres, elle avait déjà subi l’humiliation de se faire mettre un thermomètre dans les fesses et Chloé n’eut aucun mal à écarter largement la profonde raie fessière.

Elle se recula pour apprécier le tableau, trois fessiers bien étalés, celui de Claire et d’Émilie était d’un rouge éclatant, celui de Clotilde gardait une jolie couleur mais un peu moins foncée. Les thermomètres pointaient au milieu des fesses serrées, Chloé sentit poindre une excitation dans son entre-cuisses, décidément cet emploi était parfait. Elle se tourna vers les trois stagiaires restantes :

— Par qui vais-je commencer ? Qui vas me montrer son petit trou en premier ?

Lucie détestait cette situation où elle n’était plus qu’une gamine soumise aux caprices de cette petite peste.

— Laetitia ! En position…

La comptable avait les fesses encore cuisantes de la punition de madame Sylvie, elle se dépêcha de se coucher en travers de l’autre lit d’examen. Chloé palpa sans vergogne le derrière rougi :

— Tu as déjà pris une bonne déculottée ma chérie, j’espère que tu vas te laisser faire.

— Oui, oui mademoiselle Laetitia, plus la fessée s’il vous plaît.

La jeune assistante se mit à rire :

— Il ne tient qu’à toi ma chérie, tu me laisses bien gentiment écarter tes jolies fesses et pas de panpan cucul.



Laetitia relâcha ses muscles fessiers au grand dam de la sévère assistante qui prenait de plus en plus de plaisir à corriger ces dames. Elle introduisit rapidement le thermomètre puis le retira successivement trois fois de suite, Laetitia gémissait et instinctivement elle resserra ses deux globes. Exactement ce qu’attendait Chloé, elle enfonça à nouveau le thermomètre et fit relever la quadragénaire :

— Décidément on dirait que ça te plaît de te faire rougir le popotin, tu vas voir comme c’est bon une fessée avec un thermomètre dans les fesses.

Laetitia pleura immédiatement autant de honte que de douleur, l’instrument médical faisait des va-et-vient entre ses fesses au rythme des claques. Malgré la cuisson, elle ressentit une excitation à recevoir ce châtiment humiliant. Quand la sévère jeune femme, lui fit reprendre la position, son derrière n’avait rien à envier à celui de ses collègues.

Alice fut la suivante, ses fesses étaient encore rouges, Chloé ne jugea pas utile de la fesser à nouveau.

Il ne restait plus que Lucie, Chloé lui jeta un regard carnassier, la secrétaire savait que ses fesses allaient lui cuire. Elle avait vu juste quelques minutes après elle pleurnichait à côté d’Alice, son derrière cramoisi témoignait de la magistrale correction que venait de lui administrer Chloé.

Les six derrières plus ou moins rougis se serraient convulsivement sur les thermomètres profondément enfoncés. C’est à ce moment que madame Sylvie entra.

Elle se mit à rire devant les deux rangées de fessiers bien exposés :

— Mes félicitations Chloé, quelle magnifique idée tu as eu. Ces dames sont en parfaite position.

Elle s’approcha et tapota les paires de fesses de Claire et de Clotilde :

— Alors mesdames, ça vous fait quel effet ce retour en enfance ? A ce que je vois, mademoiselle Chloé s’est bien occupée de vos bons gros derrières.

Elle passa ensuite à l’autre groupe de trois, Alice eu droit également à une claque sur la croupe puis Sylvie fit coulisser le thermomètre en souriant :

— Tu le sens bien dans ton derrière ma petite Alice ?

Elle se tourna ensuite vers son assistante :

— Tu as été obligée de sévir si j’en juge par la couleur des fesses de ces chipies. Pour les calmer, elles vont garder le thermomètre dans le derrière pendant une demi-heure, ça leur apprendra ? Tu n’oublieras pas de leur faire noter leur punition sur le carnet de correspondance.

Le temps parut long aux six dames exposant leur paire de fesses garnies d’un thermomètre, Chloé s’était installée dans un coin et elle pianotait sur son smartphone, elle ne se priva pas d’envoyer à ses copines des photos des six fessiers ainsi présentés.

Enfin elle leva la pénitence en retirant successivement les thermomètres des derrières. Chaque fois avec la même technique humiliante, elle écartait largement les deux fesses pour mettre à jour l’anus de la punie, puis elle faisait coulisser l’instrument et posait des questions embarrassantes. La première à subir ce traitement fut bien sûr Claire, la sévère cheffe de service instruite par la fessée reçue précédemment ne serra pas ses fesses :

— Alors ma petite Claire tu le sens bien mon thermomètre dans ton petit trou, ça te plaît que mademoiselle Chloé le fasse coulisser ?

Madame Dugou était au comble de la confusion, elle gémissait doucement, n’osant pas répondre. Mal lui en prit, Chloé leva la main et lui administra une courte mais retentissante fessée :

— Quand je pose une question, j’aime qu’on me réponde !!

— Aïe, aïe, pardon mademoiselle Chloé… Oui, oui je le sens… Oh j’ai honte mademoiselle…

— C’est fait pour ça vilaine fille, alors ça te plaît ?

— Euh… oui, enfin non… oh s’il vous plaît mademoiselle.

La jeune femme se régalait de l’embarras de cette dame qui avait l’âge d’être sa mère et qu’elle pouvait tourmenter à sa guise :

— Ah tu ne sais pas, eh bien on va continuer un peu.



Le thermomètre continua ainsi ces allers et retour puis Chloé le retira et administra une claque très forte au milieu du fessier.

— Tu ne bouges pas de là tant que je n’ai pas fini avec tes petites camarades.

Les cinq subordonnées de Claire subirent le même traitement et la plupart récoltèrent une fessée supplémentaire pour réponse insatisfaisante aux questions gênantes de Chloé.

Elles furent ensuite autorisées à se rhabiller et à rejoindre la cour où les attendaient madame Sylvie.

Celle-ci leur expliqua la suite du déroulement du stage, elle allait d’abord manger puisqu’il était midi, ensuite un temps libre puis un retour en classe à quatorze heures, jusqu’à dix-sept heures entrecoupé d’une récréation.

Elles auraient ensuite à nouveau un temps libre sauf pour celles qui auraient été punies, elle regarda Clotilde et Laetitia :

— Ça vous concerne les deux paresseuses, au lieu d’être libre après la classe, vous serez en retenue pour me copier vingt-cinq fois la poésie que vous n’avez pas apprise. Bien maintenant en rang par deux et vous rentrez calmement.

La salle à manger comptait une grande table où les six stagiaires s’installèrent et une plus petite pour Sylvie et Chloé.

Une dame d’une cinquantaine d’années faisait la cuisine et le service, les six pensèrent immédiatement qu’elle devait être au courant des méthodes employées par madame Sylvie et qu’elle ne manquerait pas d’assister à la punition de l’une d’entre elle.

Madame Louise comme Sylvie leur avaient dit de l’appeler étaient une forte femme enjouée, Lucie en regardant son plantureux popotin se demanda si elle avait goûté à la cuisante thérapie de madame Sylvie.

À voir la déférence avec laquelle elle s’adressait à la fessothérapeute, le doute n’était pas permis.

Le repas se passa bien, il n’y eut aucun incident nécessitant une mise à l’air de l’une des paires de fesses.

Après le temps libre, elles rentrèrent en classe, c’était curieux de voir ces dames d’âge mûr, se comporter comme des collégiennes disciplinées.

Les deux maîtresses s’étaient reparti les cours de l’après-midi, bien sûr celle-ci ne se passa pas sans que toutes les stagiaires ne reçoivent au moins une fessée déculottée.

Chloé se surpassa en déculottant cinq des six collégiennes, elle utilisa le martinet sur le derrière de Claire, la lanière sur celui de Clotilde et la brosse à cheveux pour Alice, les trois autres punies n’eurent droit qu’à une magistrale fessée manuelle.

Quand madame Sylvie entra juste avant la récréation, Alice et Claire étaient encore au coin les mains sur la tête :

— Qu’on fait ces chipies ?

Le ton de madame Sylvie ne disait rien qui vaille aux deux punies, Chloé expliqua que Claire n’avait pas écouté les consignes et qu’Alice avait bavardé. Sylvie s’approcha et palpa les deux fessiers cramoisis :

— Qu’as-tu utilisé ?

— Le martinet pour Claire, la brosse pour Alice.

La directrice prit Claire par l’oreille, la courba sous son bras et lui administra une magistrale fessée qui la fit trépigner sur place :

— Je vais t’apprendre à faire attention, ce soir en retenue et au piquet cul nu dans la cour pendant la récréation !

Quelques instants plus tard c’était le tour d’Alice de recevoir la même correction et de se voir infliger le même complément de punition.



Les quatre stagiaires sortirent tandis que Chloé se chargeait d’amener les deux punies tenues par l’oreille. Comme Clotilde et Laetitia le matin, elles connurent l’humiliation d’exposer à la vue de tout le monde y compris les voisines, leurs derrières bien rouges.

C’était au tour de Sylvie d’assurer le dernier cours de la journée, elle annonça qu’elles allaient faire une dictée, les mines des six dames se renfrognèrent. La directrice leur indiqua les règles du jeu :

En dessous de cinq fautes, vous aurez droit au martinet, cinq coups par faute, au-dessus ce sera une bonne fessée déculottée sur mes genoux et en complément la brosse, cinq coups sur chaque fesse par faute.

Claire se débrouilla bien, elle ne fit que trois fautes comme Laetitia, Alice et Clotilde passèrent près de la correctionnelle en faisant quatre fautes. Par contre Lucie avec ses huit fautes et Émilie avec ses dix n’allaient pas échapper à la sévère punition.

Sylvie appela les deux mauvaises élèves, elle retroussa leur jupe, l’épingla dans le dos et leur baissa la culotte sous les fesses :

— Au piquet à côté du tableau les mains sur la tête et réfléchissez à ce qui va vous arriver !

Elle regarda ensuite les quatre stagiaires qui étaient toujours assises :

— Vous vous levez, et vous vous mettez devant vos pupitres, jupe retroussée !

Elle passa lentement derrière chacune des dames exposant leur petite culotte blanche puis d’un geste sec elle retourna les culottes sur les cuisses, elle commença par Claire :

— Combien de coup de martinet ma petite chérie ?

Le ton était ironique, la cheffe de service savait qu’elle devait répondre :

— Quinze, Madame Sylvie.

— C’est exact, tu comptes bien. Dix sur tes fesses et cinq sur tes cuisses.

Elle administra la punition sans faiblir, elle baissa la culotte jusqu’aux genoux pour les cinq derniers appliqués sur les cuisses. Laetitia reçut la même correction.

Alice et Clotilde eurent droit à dix coups sur les fesses et dix coups sur les cuisses.

— Vous pouvez vous reculotter et vous asseoir pendant que je m’occupe des deux mauvaises élèves.

Lucie n’en menait pas large, elle avait déjà reçu son lot de claques sur les fesses depuis ce matin, son derrière était brûlant et la correction annoncée par madame Sylvie était sévère.

Quelques instants plus tard elle braillait comme une gamine couchée sur les genoux de sa mère, puis Sylvie annonça :

— Huit fautes !! combien de coups de brosses ?

— Lucie était paniquée malgré son habitude des punitions :

— Euh… Aïe, aïe… euh quarante coups sur chaque fesse madame Sylvie.

La main avait claqué rapidement le fessier endolori :

— C’est exact, allons-y.

La brosse fit des ravages sur la croupe écarlate de la pauvre secrétaire, elle allait avoir du mal à s’asseoir pendant toute la soirée. Émilie avait les larmes aux yeux en entendant Lucie pleurer et supplier, bientôt ce serait son tour.

Effectivement quelques instants plus tard elle effectuait une magnifique danse des fesses devant ses camarades, son mignon petit derrière n’était plus qu’une boule rouge serrée par la cuisson.



Lucie et Émilie étaient les deux seules qui n’avaient pas écopé d’une retenue après la classe, Sylvie leur annonça qu’elles rejoindraient leurs camarades.

Elles eurent droit à une petite récréation puis Chloé frappa dans ses mains :

— Mesdemoiselles les punies, en retenue !

Une fois installée, les six stagiaires reçurent leur punition, pour Clotilde et Laetitia, il leur fallait copier vingt-cinq fois la poésie. Alice et Claire durent copier cent fois la phrase suivante « Je serai plus attentive en classe, sinon je recevrai une bonne fessée déculottée ». Lucie et Émilie durent copier dix fois la dictée.



mardi 27 mai 2025

Lucie et Christian 28

Première matinée de stage

 



Claire venait de faire un saut en arrière, sa dernière fessée remontait à plus de trente ans, quand elle était jeune fille au pair dans une famille aristocratique en Angleterre. Les filles de la famille étaient soumise à une stricte discipline domestique et la duchesse l’avait prévenue dès son arrivée qu’elle serait traitée comme les filles en cas de manquements à ses devoirs, mais qu’elle avait l’autorisation de déculotter et de fesser les deux adolescentes.

Elle avait donc goûté à l’humiliation de se faire corriger les fesses nues à vingt ans. La honte avait été renforcée par le fait que la punition lui avait été administrée par la bonne sur ordre de la maîtresse de maison.

La jeune soubrette s’y entendait et Claire s’était relevée de ses genoux avec une paire de fesses écarlates et brûlantes, sa culotte entortillée autour de ses chevilles, elle avait dû ensuite exposer son derrière au coin.

Aujourd’hui, elle était devant madame Sylvie, les joues rouges, se dandinant d’un pied sur l’autre. La fessothérapeute esquissa un sourire, c’était toujours un plaisir pour elle de voir une dame d’âge mûr ne sachant pas quelle attitude adopter.

Machinalement, Claire tira sur sa jupe comme si elle voulait la rallonger, elle n’en avait pas porté de si courte depuis sa jeunesse quand c’était la mode des minijupes, mais elles ne ressemblaient pas à celle-ci qui lui donnait vraiment un air de gamine.

— Tu sais pourquoi tu es là ?

Claire ne s’était pas encore habituée à être tutoyée, elle sursauta légèrement et elle rougit un peu plus.

— Je t’ai posée une question !! Il va falloir t’apprendre à répondre immédiatement ma petite Claire, sinon tu vas en payer les conséquences.

— Pardon madame Sylvie… Euh, oui, mais je vais vous expliquer.

La fessothérapeute tapotait son bureau :

— Ah oui, tu vas m’expliquer pourquoi tu es impolie ?

— Mais non madame, je… je ne pouvais pas répondre…

— Pourquoi ?

— J’attendais une réponse de ma direction madame.

La sévère directrice recula sa chaise :

— Tu te moques de moi.

— Non, non, madame. C’est vrai, je vous assure.

— Tu ne pouvais pas envoyer un mail pour prévenir ?

Claire était de plus en plus mal à l’aise, elle baissa la tête. Elle se revoyait au lycée dans le bureau de la directrice en train de se faire sermonner, mais les conséquences aujourd’hui seraient sans doute plus cuisantes, la fessée avait déjà disparu des écoles quand elle avait dix-huit ans.

Madame Sylvie s’était levée, elle prit une chaise et la disposa devant son bureau. Claire connaissait ce cérémonial, puisqu’elle pratiquait de même avec ses subordonnées :

— Je connais une très bonne méthode pour soigner l’impolitesse, approche !

Elle s’était installée sur la chaise et avec son doigt, elle avait fait un petit signe à la cheffe de service, Claire était tétanisée, elle ne bougea pas. Dans un geste d’énervement, la fessothérapeute lui saisit la main et l’attira contre ses cuisses, elle lui claqua l’arrière des cuisses sous la jupe :

— En plus d’être impolie, tu es désobéissante, nous allons avoir du travail ce week-end, mais rassure-toi je sais comment traiter les chipies.

Surprise par la brûlure des claques sur ses cuisses dénudées, Claire avait sautillé sur place et crié :

— Aïe, aïe… Non…

En un clin d’œil, elle se retrouva dans la position qu’elle faisait si souvent prendre à ses subordonnées et à ses filles. Elle pensa à celle-ci, que dirait-elle en la voyant en position disciplinaire ?

La cinquantenaire autoritaire qui déculottait et fessait avec entrain, était maintenant dans la position peu enviable d’une adolescente punie par la sévère directrice de son collège. Elle sentit sa jupe se relever, elle ne se souvenait pas de cette sensation, puis immédiatement les claques commencèrent à tomber sur son derrière culotté. C’était des claques très fortes et malgré la protection du tissu, elle ressentit rapidement une cuisson, la main claquait aussi le haut des cuisses au ras de la culotte, c’était très douloureux et la cheffe de service se mit à crier et à supplier, ce qui fit rire sa fesseuse :

— Tu es bien douillette ma petite, attends que je te baisse la culotte pour pleurer.

Claire sentit avec horreur le sous-vêtement glisser sur sa croupe, même si elle s’y attendait, se faire déculotter à plus de cinquante ans est une épreuve.




La vraie bonne fessée déculottée commença, la même que celle qu’elle se régalait d’administrer à ses filles et au cinq employées. Elle ne dérogea pas à la règle, malgré son âge, elle battit des pieds, ses fesses se serrèrent et s’ouvrirent au rythme de la correction, elle supplia et finit en pleurs :

— Tu seras encore impolie ?

La fessothérapeute avait cessé la punition et sa main reposait sur les fesses écarlates et brûlantes, Claire sanglotait doucement, elle avait oublié combien une fessée déculottée ça faisait mal :

— Non, non madame Sylvie, promis.

— J’espère…

Sylvie reclaqua une dizaine de fois le fessier :

— Je voudrais être sûre que tu as bien compris, la prochaine fois, je ne serai pas si gentille, tu auras droit à la fessée cul nu devant tes petites camarades.

Elle fit relever la sévère cheffe de service qui avait perdu toute sa superbe, les larmes coulaient sur ses joues :

— Tiens ta jupe retroussée !

Elle saisit l’oreille de Claire et la conduisit devant un grand miroir :

— Regarde tes jolies fesses, elles sont bien rouges n’est-ce pas ? Eh bien rassure-toi, elles seront souvent de la même couleur ce week-end.

Elle prit une photo, on distinguait bien dans la glace la croupe rubiconde et le visage de Claire.

— Tu as de la chance, comme c’est ta première fessée, tu as le droit de te reculotter. Allez dépêche-toi, tes camarades attendent.

Elle avait claqué le derrière écarlate, Claire ne se le fit pas dire deux fois, elle remonta sa culotte sur ses fesses brûlantes et remis sa jupe place.

Madame Sylvie ouvrit la porte du bureau, les cinq pensionnaires attendaient bien sagement alignées en rang par deux, sauf Clotilde qui attendait sa compagne. Les yeux rougis de la cheffe de service ne laissait guère de doute sur ce qui venait de lui arriver.

Alice donna un petit coup de coude à Lucie, un sourire éclairait leur visage. « Chacune son tour de montrer ses fesses »

— Maintenant, en classe et en silence !

Madame Sylvie avait claqué dans ses mains. Les six collégiennes la suivirent.

La salle de classe ressemblait vraiment à celle des années cinquante, six petits pupitres individuels, avec un siège fixe, le bureau de l’institutrice sur une estrade et un tableau noir. Sur le mur à côté du bureau était suspendu, un martinet, une sangle en cuir qui se séparait au bout en deux morceaux et sur le bureau posé bien en évidence, une grande règle plate en bois et une brosse à cheveux avec un large manche en bois. Les prénoms des élèves étaient marqués sur chaque table, Clotilde était évidemment à côté de Claire, mais Lucie avait été séparée d’Alice, celle-ci fit une petite grimace qui ne passa pas inaperçue. Sylvie s’adressa sévèrement à elle :

— Quelque chose ne te convient pas Alice ? J’ai demandé à mademoiselle Chloé de vous séparer, ça vous évitera de bavarder.

Mais comme ta place ne te convient pas, j’en ai une autre à te proposer. Viens ici !

Alice s’approcha tête basse, la discipline de ce collège était drastique, dès qu’elle fut à sa portée, Sylvie la prit par l’oreille et la conduisit à côté du tableau :

— Tu vas rester au coin un moment et tu me diras quelle place tu préfères. Mets tes mains sur la tête et colle ton nez contre le mur.

Elle retroussa la jupette, l’épingla dans le dos avec une pince sortie de sa poche, puis glissant ses doigts sous l’élastique de la culotte, elle la baissa jusqu’à mi-cuisses.

Elle claqua sèchement le fessier bien rebondi et se tourna vers les autres élèves :

— Quelqu’un n’est pas contente de sa place ? Bien asseyez-vous.

Lucie était ravie de pouvoir admirer la jolie paire de fesses de sa copine, après tout elle avait eu droit elle aussi à un déculottage public et en plus elle avait pris une fessée.

La sévère directrice ne faisait plus attention à la dame déculottée à côté d’elle :

— Sur vos bureaux, vous avez votre carnet de correspondance, sur la première page votre état civil, sur la deuxième vos mensurations, j’ai prévu en fin de matinée une visite médicale, c’est mademoiselle Chloé qui s’en chargera. Sur la page suivante vos notes de contrôle de connaissances et enfin sur le reste du carnet sera noté les punitions que vous aurez reçues.

Les cinq stagiaires avaient écouté sans un mot, madame Sylvie scrutait les réactions :

— Ce soir et demain avant la fin du stage, nous ferons le compte des punitions reçues et un complément sera administré en cas de comportements inadaptés. Celles qui ont déjà été punies depuis votre arrivée, vous allez noter votre punition sur le carnet.

Lucie, Émilie et Claire étaient concernées, elles prirent un stylo :

— Vous notez par qui vous avez été punie, quel type de fessée, position et instrument.

Claire était mortifiée de noter sa punition, mais elle savait qu’elle n’avait pas le choix « fessée déculottée à la main, sur les genoux de madame Sylvie »

Lucie et Émilie étaient habituées à ces petites humiliations, la jeune comptable s’appliqua à bien écrire « fessée au martinet, debout mains sur les genoux par mademoiselle Chloé, sur les cuisses et sur les fesses nues », elle avait noté les détails par peur d’être grondée, Lucie était assise à côté d’elle, elle sourit en voyant ce que la jeune femme avait écrit, elle entreprit à son tour de noter sa punition « fessée déculottée, debout coincée sous le bras de mademoiselle Chloé, fessée à la main et fesses à l’air ensuite », elle avait rajouté de son propre chef la suite de la fessée à savoir la montée des escaliers culotte baissée.

Madame Sylvie circulait entre les pupitres, elle regarda ce qu’avaient écrit les trois punies :

— C’est parfait, Alice tu peux quitter ton coin et te reculotter, ta jupe restera retroussée jusqu’à midi. Tu noteras toi aussi ta punition.

Alice regagna son pupitre après avoir remonté sa petite culotte, elle s’installa et pris son carnet, Claire qui était derrière elle, remercia intérieurement la directrice de lui avoir laissé la jupe retroussée, le spectacle de ses belles fesses culottées posées directement sur le bois du banc était charmant.

« Mise au coin les fesses à l’air, mains sur la tête pendant dix minutes », madame Sylvie venait de lire le carnet d’Alice, elle frappa dans ses mains :

— Nous allons commencer par une première leçon, je vais vous donner une poésie, vous aurez un quart d’heure pour l’apprendre par cœur.

Elle distribua les feuilles, c’était un petit sonnet de Ronsard

Sonnet à Marie

Pierre de Ronsard

Je vous envoie un bouquet que ma main
Vient de trier de ces fleurs épanouies ;
Qui ne les eût à ce vêpres cueillies,
Chutes à terre elles fussent demain.

Cela vous soit un exemple certain
Que vos beautés, bien qu’elles soient fleuries,
En peu de temps cherront, toutes flétries,
Et, comme fleurs, périront tout soudain.

Le temps s’en va, le temps s’en va, ma dame
Las ! le temps, non, mais nous nous en allons,
Et tôt serons étendus sous la lame ;

Et des amours desquelles nous parlons,
Quand serons morts, n’en sera plus nouvelle.
Pour c’aimez-moi cependant qu’êtes belle.

Pierre de Ronsard

 

Les six stagiaires lurent avec effarement ce poème, apprendre ça en un quart d’heure, était une gageure, Sylvie le savait, elle avait décidé d’interroger deux des collégiennes. Elle avait déjà choisi lesquelles, deux n’avaient pas encore été punies, elle allait donc à coup sûr découvrir le derrière de Clotilde et celui de Laetitia.

Elle s’installa à son bureau pour surveiller du coin de l’œil ces six dames affolées par la difficulté, on les voyait répéter les phrases à voix basse, c’était assez comique.

Le quart d’heure passa trop vite, si l’on avait pu regarder sous les culottes on aurait certainement vu des paires de fesses contractées par l’angoisse.

— Clotilde au tableau !!

La cheffe comptable se leva, elle jeta un regard désespéré vers ses collègues, mais aucune ne lui apporta du réconfort, toutes bien contente d’échapper à la punition qui semblait inéluctable. Sylvie fit un petit signe à Clotilde qui s’était levée :

— Viens ici, tu montes sur l’estrade et tu regardes la classe et nous t’écoutons.

La cinquantenaire se retrouvait des années en arrière, elle avait toujours détesté les interrogations orales. Elle commença :

— Je… je vous envoie un bouquet que ma main, Vient de… de… trier de ces fleurs épanouies…

Elle était écarlate, elle bégayait, les autres compatissaient malgré tout, sachant qu’elles ne feraient pas mieux. Sylvie tapait du doigt sur son bureau :

— C’est tout ?

— Non, non madame Sylvie, pardon… euh, euh… Qui ne les eût à ce… vêpres cueillies… Chutes à terre elles…

Les mots s’emmêlaient dans le cerveau de la pauvre Clotilde, elle avait les larmes aux yeux.

— Tu n’as rien appris !!

— Pardon madame Sylvie, mais c’est trop dur…

— Cesse de pleurnicher, viens ici !

La cheffe comptable se tourna vers la directrice, celle-ci s’était levée.

Elle saisit Clotilde par l’oreille, la fit pivoter et lui claqua une dizaine de fois la croupe par-dessus la jupe :

— Je vais t’aider à retrouver la mémoire.

Elle retroussa la jupette et l’épingla dans le dos comme elle l’avait fait pour Alice, elle devait avoir une collection d’épingle dans la poche. Puis elle baissa la culotte d’un geste sec. La cheffe comptable tournait le dos aux spectatrices, elle exposait donc son large fessier d’un blanc laiteux à toute la classe, les traces de la fessée matinale de Claire avait disparu.

Sylvie lui entoura la taille et la fit courber en avant, son derrière pointait vers les spectatrices. La sévère directrice administra une fessée rapide tout au plus cinquante claques qui teintèrent la croupe de rose, puis elle la relâcha :

— Tu restes comme ça, qu’on voie bien tes bonnes grosses fesses et tu recommences.

Clotilde gémissait doucement, se faire déculotter, elle en avait l’habitude, mais ça ne lui était jamais arrivé devant autant de personnes qui regardaient avec attention. Elle perdit tous ses moyens et se mit à pleurer :

— Pardon madame Sylvie, c’est… c’est trop dur… je ne me rappelle pas.

La directrice la regarda en souriant :

— Reculotte-toi.

Surprise, Clotilde remonta sa culotte. Sylvie prit sa chaise et la disposa sur l’estrade légèrement en biais par rapport au public, elle s’installa :

— Je vais te montrer comment je soigne les paresseuses qui n’apprennent pas leur leçon, approche !

Clotilde comprit pourquoi elle l’avait fait se rhabiller, c’était pour le plaisir de la déculotter une fois couchée sur ses genoux, en un clin d’œil la cinquantenaire se retrouva comme une mauvaise élève punie par son institutrice, couchée en travers de ses cuisses :

— Une bonne fessée déculottée devant toutes tes petites camarades, voilà ce que tu mérites !

Elle se tourna vers les cinq spectatrices :

— Regardez bien et que ça vous serve de leçon.

Les grosses fesses de Clotilde étaient contractées par l’angoisse, la position oblique de la chaise exposait parfaitement son fessier culotté. Sylvie leva la main et commença à claquer le large derrière ainsi que le haut des cuisses et la base des fesses dénudées, c’était des claques très fortes et la punie ne tarda pas à gémir et à se trémousser. La fessothérapeute connaissait son métier, elle allait donner une fessée sévère, il fallait faire monter la température du fessier. Après une centaine de claques généreusement distribuées sur le fin coton, elle se décida à passer aux choses sérieuses. Elle glissa ses doigts sous la culotte et entreprit de la baisser lentement, elle voulait que la punie ressente bien l’humiliation de ce déculottage public et que les spectatrices profitent à plein du spectacle et qu’accessoirement, elles prennent conscience que ce serait bientôt leur tour.

La culotte s’arrêta à mi-cuisse, c’était suffisant pour une fessée scolaire, le large popotin de Clotilde s’étalait maintenant devant six paires d’yeux car Chloé était entrée dans la classe et se tenait au fond, elle souriait ravie du spectacle. 


La vraie fessée démarra, les fesses étaient déjà colorées par la fessée préparatoire. Mais ce n’était rien à côté de la rougeur qui envahi bientôt la croupe, la punie n’avait plus cinquante ans, elle tortillait son derrière, ses jambes battaient l’air, elle criait, suppliait comme une adolescente punie par son institutrice :

— Tu la sens bien la fessée de madame Sylvie, ton bon gros derrière est bien rouge, mais je peux t’assurer qu’il va l’être encore plus, je vais t’apprendre à travailler tu vas voir la prochaine fois tu la sauras ta poésie.

Elle se tourna légèrement et saisi la règle plate posée sur le bureau. Clotilde hurla dès le premier coup, madame Sylvie avait visé le pli séparant les fesses des cuisses, elle choisissait toujours cette zone très sensible pour que la punie comprenne que la correction serait sévère, et elle le fut. Les fesses bondissaient dans tous les sens, le public avait une vue magnifique sur l’intimité de la cheffe comptable qui désormais pleurait à chaudes larmes. Son large fessier était cramoisi, c’était la première fessée très sévère du week-end, Sylvie n’avait pas pu résister à la tentation de corriger cette belle paire de fesses.

Les cinq stagiaires n’en menaient pas large, elles essayaient de se rappeler cette foutue poésie.

La correction de Clotilde était maintenant terminée, elle continuait à pleurer, la directrice posa sa main sur sa croupe :

— Je pense que la prochaine fois tu vas travailler correctement, ton derrière est brûlant, c’est ce qu’il faut aux paresseuses. Lève-toi.





Clotilde se releva péniblement, on sentait que ses mains mourraient d’envie de frotter son large postérieur, Sylvie était ravie, la jupe épinglée découvrait bien la paire de fesses de la punie, la culotte entourait les genoux :

— Mets tes mains sur ta tête et tourne-toi que tout le monde voie ton bon gros derrière bien rouge.

Clotilde en sanglotant s’exécuta, la fessothérapeute appuya sa main sur son dos pour la faire se pencher légèrement puis elle regarda les spectatrices :

— Vous voyez ce qui arrive quand on ne travaille pas correctement, que ça vous serve de leçon, ma main n’est pas fatiguée.

Elle saisit l’oreille de la punie et la conduisit contre le mur à côté du tableau, à la place qu’avait occupée Alice. Elle prit la poésie et la posa devant le visage de Clotilde :

— Tu tiens la feuille avec ton nez et gare à tes fesses si elle tombe.

Elle se retourna vers les stagiaires, celles-ci n’en menaient pas large :

— Laetitia au tableau !

La comptable se leva, ses joues étaient quasiment de la même couleur que les fesses de Clotilde, elle s’approcha lentement :

— Dépêche-toi un peu, j’espère que tu as mieux travaillé que ta petite camarade.

Laetitia baissa la tête, elle était sur l’estrade, tirant maladroitement sur sa courte jupette, Chloé au fond de la classe se régalait du spectacle de ces six dames adultes ravalées au rang de gamines.

Sylvie s’était réinstallée derrière son bureau et elle tambourinait avec ses doigts sur le plateau :

— Je t’écoute.

Laetitia avala sa salive et commença à réciter le poème, elle alla un peu plus loin que Clotilde, elle réussit à réciter les deux premiers quatrains, mais elle commença à buter sur la suite, elle se mit à bégayer :

— Je… je ne… pardon madame Sylvie…

— Décidément, ce n’est guère mieux. Tu connais le tarif pourtant.

Sylvie fit un signe à Chloé :

— Mademoiselle Chloé, déculottez-moi cette paresseuse, peut-être que cul nu la mémoire va lui revenir.

La jeune assistante traversa la salle rapidement et monta sur l’estrade, en un clin d’œil elle retroussa la jupe et l’épingla bien haut, elle aussi avait une provision de pince dans sa poche, la culotte fut retournée et descendue jusqu’à mi-cuisse, Sylvie savourait la honte de la quarantenaire. Se faire mettre les fesses à l’air par cette jeune femme devant tout le monde :

— Tournez-la, qu’elle montre son derrière à ses camarades.

Chloé fit pivoter Laetitia, son fessier rebondi très pâle, s’étalait devant les yeux des quatre stagiaires restantes. Les fesses étaient serrées par l’appréhension :

— Alors mademoiselle, est-ce que l’air frais sur votre derrière rafraîchit également votre mémoire ?

Madame Sylvie savait manier l’ironie, la dame déculottée ne répondit pas.

— Bien, bien… Toujours rien ? Remonte ta culotte.

La mise en scène fut la même que pour la cheffe comptable, la dame de quarante se retrouva rapidement allongée en travers de cuisses de la directrice, exposant sa petite culotte blanche moulant parfaitement son derrière rebondi. La fessée d’échauffement sur la culotte fut aussi sévère, le déculottage lentement effectué impressionna les spectatrices :

— Voilà ma petite chipie paresseuse, tu devrais avoir honte à ton âge de montrer tes fesses. Elles sont déjà rouges, mais pas assez à mon goût. Oh oui tu as raison de les serrer ça va te cuire crois-moi.



La fessée crépita à nouveau dans la salle de classe, les quatre spectatrices n’étaient pas rassurées, à qui le tour après Laetitia. Celle-ci braillait et battait désespérément des pieds pendant que la main de la fessothérapeute claquait avec application toute la surface du fessier, du haut des cuisses jusqu’au sommet des fesses. Quand la punition prit fin le postérieur cramoisi de la comptable fut exposé à la classe. C’est Chloé qui s’en chargea, la faisant se pencher en avant afin de tendre ses fesses, puis elle la conduisit à côté de Clotilde, elle dut également tenir la poésie avec son nez et mettre ses mains sur la tête.

Sylvie s’était levée, elle regardait les quatre dames se régalant de leur angoisse :

— Bien, c’est l’heure de la récréation, rangez vos affaires et vous sortez en silence.

Soulagée, Claire, Émilie, Lucie et Alice se levèrent et gagnèrent la porte. Chloé les suivait, c’était elle qui avait la charge de surveiller la cour. En fait c’était un petit enclos devant le gîte, une petite route passait devant, Claire regarda à l’extérieur d’un air inquiet, si quelqu’un passait et les voyait dans cette tenue ridicule. Chloé l’apostropha :

— Alors ma petite Claire, ça c’est bien passé pour ton derrière quand tu es allé chez madame Sylvie ?

La cheffe de service rougit, cette petite peste savait très bien qu’elle avait reçu une bonne fessée déculottée. Il lui fallait quand même répondre pour ne pas lui donner l’occasion de sévir :

— Oui mademoiselle Chloé.

— Elle t’a baissé la culotte ?

— euh… Oui, oui.

Claire était au supplice, heureusement la directrice passa la tête par la porte :

— Chloé, vous irez chercher les deux punies et vous les mettrez en pénitence contre le mur, ça fera du bien à leur derrière de prendre l’air.

En souriant la jeune femme acquiesça :

— Tout de suite madame Sylvie, pas de problème.

Un instant plus tard, Clotilde et Laetitia apparurent, elles étaient tenues chacune par une oreille par Chloé, elle tenait la poésie à la main. La jeune assistante les conduisit contre le mur :

— Donnez-moi votre poésie et mettez vos mains sur la tête.

Une claque sur chacun des fessiers les fit activer. Puis elle coinça à nouveau la poésie entre leur nez et le mur :

— Tâchez de ne pas bouger, je vous ai à l’œil. Vos deux jolies paires de fesses égayent la cour, c’est parfait.

Elle alla s’installer sur une chaise et regarda les quatre dames qui se comportaient comme des adolescentes dans une cour de récréation, elles discutaient entre elles. Au début Claire avait hésité mais en réfléchissant, elle s’était dit que le week-end allait être long, autant ne pas faire la tête, après tout elles étaient toutes logées à la même enseigne et susceptible de se faire baisser la culotte à tout instant. D’ailleurs pour leur rappeler leur condition, il y avait les deux punies exhibant leurs fessiers cramoisis et Alice, la jupe épinglée dans le dos montrant sa petite culotte blanche.

Soudain, elles tournèrent la tête, une dame passait sur la route en vélo, elle fit un signe à Chloé qui le lui rendit et se leva.

La cycliste s’était arrêtée le long du muret qui marquait la limite de la propriété :

— Coucou Chloé, vous avez un stage ce week-end ?

— Bonjour Virginie, tu vas bien ?

La dame devait avoir la quarantaine, cheveux coupé court, un grand sourire éclairait en permanence son visage.

— Oui, je profite du beau temps.

— C’est vrai, on a de la chance, on a commencé ce matin, six stagiaires.

La cycliste désigna les deux fessiers écarlates qui ornaient le mur :

— À ce que je vois, le stage commence bien.

Puis elle regarda le groupe de quatre, qui s’était retournée et se taisait pour ne pas être remarquée :

— Elles ont l’air mignonnes. Remarque avec ces tenues de collégiennes c’est normal.

— Oh, il ne faut pas s’y fier, on leur donnerait le bon dieu sans confession, mais depuis ce matin, pas une n’a échappé au déculottage.

Virginie se mit à rire :

— Comme je te connais, ce n’est pas pour te déplaire. Bon j’y vais. Salue madame Sylvie de ma part.

Les stagiaires étaient sidérées, ainsi le voisinage était au courant de ce qui se passait au gîte et trouvait normal que des dames adultes soient traitées le temps d’un week-end comme des adolescentes dans les années cinquante. Ce qui était particulièrement choquant c’est qu’il était fort possible que la voisine en question assiste à un déculottage ou pire à une fessée, puisque apparemment ça ne gênait pas madame Sylvie de punir en extérieur.

La fessothérapeute revint dans la cour et tapa dans ses mains :

— La récréation est finie, les punies vous pouvez vous reculotter. Tout le monde suit mademoiselle Chloé pour la visite médicale, vous prenez vos carnets de correspondance.

Clotilde et Laetitia avaient caché leurs fesses, elle les regarda en souriant :

— Vos derrières ont bien rafraîchi ? Vous n’oublierez pas de noter votre punition sur votre carnet.

 


 

 

 

 





Lucie et Christian 30

Une soirée cuisante Après l’heure de retenue, les stagiaires eurent le droit de monter dans leur chambre pour se doucher. La salle de bain ...