Une soirée cuisante
Après l’heure de retenue, les stagiaires eurent le droit de monter dans leur chambre pour se doucher. La salle de bain était très grande, d’un côté une rangée de trois lavabos et de l’autre une série de pommes de douche fixées au plafond avec une chaîne pour faire couler l’eau.
Mademoiselle Chloé assurait la surveillance de cet instant un peu intime. Les six dames furent rapidement fixées sur ce qui les attendait :
— Trois à la douche et trois aux lavabos pour vous laver les dents, vous vous déshabillez dans vos chambres et vous ne laissez pas traîner vos affaires, vous ne prenez qu’une serviette pour aller à la salle de bain.
Les plus âgées se crurent revenues au pensionnat à l’heure des douches communes.
Elles commençaient à connaître leur anatomie respective, surtout du côté pile d’ailleurs, elles se mirent donc toute nue. En regardant les derrières de ses deux compagnes Lucie constata que les traces des punitions reçues tout au long de la journée étaient encore bien visibles, les fesses de Laetitia et d’Alice étaient encore rouges, elle tapota celle de son amie en riant :
— Elles savent y faire nos deux maîtresses, ton joli cul est appétissant.
Laetitia faisait la tête, elle frotta son derrière en soupirant :
— Ça me cuit encore, cette petite peste de Chloé ne m’a pas manqué, je ne compte même plus le nombre de fessées que j’ai reçu.
Alice lui claqua les fesses :
— C’est vrai que ton derrière est bien rouge ma chérie, finalement on est pas si sévère quand on vous flanque la fessée le matin.
Laetitia fit une grimace :
— Je sais pas, enfin je ne m’habitue pas à la fessée.
Alice avait fait pivoter Lucie :
— Montre-moi tes bonnes grosses fesses comme dit Chloé.
La croupe de son amie était vraiment rouge :
— Mazette, ça te brûle encore ?
Lucie remua son popotin d’un air coquin :
— Ça tu peux le dire, je ne sais pas laquelle des deux claque le plus fort. Elles te plaisent mes fesses ?
Chloé passa le nez à la porte :
— Qu’est-ce que c’est que ça, non, mais je rêve. J’ai dit à la douche et mesdemoiselles s’amuse. Attendez un peu !!
Elle décrocha le martinet.
— Tournez-vous et penchez-vous, je vais vous apprendre !
Les trois fessiers étaient tendus vers elle, tous encore bien rouges des corrections de la journée.
Elle leva le martinet et se mit à cingler l’une après l’autre les jolies croupes de ces dames redevenues des collégiennes.
Elle avait commencé par le milieu des fesses serrées, puis elle descendit sur le pli fessier et ensuite elle cingla l’arrière des cuisses.
Les trois punies sautillaient sur place et criaient aux rythmes de la fessée :
— Vous le sentez le martinet de mademoiselle Chloé, vos jolis derrières sont bien rouges. Maintenant vous filez à la salle de bain !
Lucie, Alice et Laetitia se pressèrent d’obéir, elles pleurnichaient, mais n’osaient pas se frotter les fesses brûlantes.
Les trois autres en entendant Chloé n’avaient pas demandé leur reste et s’étaient précipitées vers les douches.
Chloé avait suivi le mouvement, elle sourit en voyant ces six popotins bien rouges. Les trois qui venaient de recevoir le martinet étaient devant les lavabos, leurs croupes resplendissaient. Les trois autres étaient sous la douche. Claire et Clotilde étaient un peu gênées d’exposer leur nudité, mais Émilie avait l’habitude des douches collectives dans sa salle de gym. Elle se savonnait énergiquement, en fait c’était un moyen de frotter ses fesses sans s’attirer les foudres de Chloé. Celle-ci lança à la cantonade :
— Tachez de bien vous laver, vous frottez partout, je surveille.
Les trois premières sortirent de la douche, la sévère assistante les arrêta au moment où elles prenaient leur serviette :
— Stop ! Vérification de la propreté, vous allez passer l’une après l’autre. Émilie, amène-moi tes fesses !
La jeune femme avait pris goût à la fessée et au plaisir pervers de soumettre des dames à sa volonté, ce stage était vraiment un bonheur pour elle. Madame Sylvie lui avait donné toute latitude pour administrer des punitions humiliantes aux six stagiaires. Cela faisait partie de la thérapie afin de les ramener à l’humilité car à part Émilie, elles étaient toutes plus âgées que Chloé.
Elle s’installa sur un tabouret et posa une serviette sur ses genoux :
— En position ma chérie.
Émilie était encore mouillée, elle regarda d’un œil incrédule la sévère demoiselle :
— Mais… mademoiselle Chloé, je n’ai rien fait.
Celle-ci se mit à rire :
— Mais je le sais ma petite chérie, je veux juste vérifier si tu as bien nettoyé ton derrière.
Rouge de honte, la jeune comptable se coucha sur les genoux de Chloé. L’assistante commença par écarter les fesses, elle titilla l’anus puis ses doigts descendirent sur les lèvres qu’elle écarta :
— C’est bien tu es toute propre, je vais te sécher les fesses.
En riant, elle administra une courte mais cuisante fessée à la jeune femme, ses fesses étaient déjà rouges, mais elles redevinrent écarlates :
— Voilà je t’ai avancé le travail, fini de te sécher.
Émilie avait les yeux humides quand elle se releva, elle prit sa serviette et entreprit de se sécher, comme tout à l’heure elle en profita pour frotter son derrière.
Claire et Clotilde avaient assisté avec effroi au traitement d’Émilie, elles se tenaient debout, les bras ballants :
— Claire approche un peu que je vérifie tes bonnes grosses fesses.
La cheffe de service rougit sous cette injonction ironique, cependant instruite par ses précédentes corrections, elle se dirigea vers la jeune femme, en un clin d’œil comme une maman sévère l’aurait fait avec sa fille, elle bascula la cinquantenaire en travers de ses cuisses. L’examen humiliant ne fut pas moins complet que pour la jeune comptable et il se termina par la fessée de séchage du postérieur. Dès que Claire fut debout, Clotilde s’approcha, elle était soumise et elle espérait s’éviter une remarque honteuse, Chloé lui prit la main en riant :
— Tu es pressée de me montrer ton bon gros derrière, voyons un peu ça.
Comme vous le savez, la cheffe comptable possédait un volumineux popotin, c’était un aimant pour la main d’une fesseuse, Chloé n’y était pas insensible. Il lui rappelait celui de sa mère qui devait avoir approximativement le même âge, l’impression d’administrer une bonne fessée cul nu à sa maman accentuait le plaisir de la jeune femme.
Clotilde eut donc droit à un examen minutieux de son intimité et la fessée sur la peau mouillée dura plus longtemps, la main s’occupa également de l’arrière des cuisses. Clotilde pleurait à chaudes larmes quand Chloé la fit se relever.
Les trois autres stagiaires avaient assisté ébahies à cette punition gratuite, décidément cette petite peste prenait vraiment plaisir à rougir les derrières.
— Vous n’êtes pas encore sous la douche ! Décidément le martinet n’a pas suffi et bien vous goûterez à la fessée mouillée, dépêchez-vous !
Elles se précipitèrent sous la douche et se savonnèrent avec entrain, comme pour les autres, c’était une bonne occasion pour se frotter le derrière.
Madame Sylvie pointa son nez au moment où Chloé commençait le séchage du popotin de Lucie, elle se mit à rire :
— Très bonne idée Chloé, ces chipies ont encore fait des siennes ?
— Oh oui madame, mais la fessée mouillée fait des miracles, regardez les trois là, avec leurs derrières bien rouges, elles sont toutes mignonnes.
La fessothérapeute fronça les sourcils :
— Vous avez été vilaines, tournez-vous que je voie vos fesses.
Les trois croupes cramoisies se présentèrent au regard amusé de Sylvie :
— Mes félicitations Chloé, six tomates bien mûres.
Elle caressa les fesses tendues vers elle, puis claqua sèchement le dernier fessier qui était celui de Claire :
— Je suis très mécontente de vous mes chéries, filez dans votre chambre, on va régler ça.
Les trois punies tête basse quittèrent la salle de bain, elle ressentait une forme d’injustice, car la fessée que leur avait administrée Chloé était sans raison. Il ne faisait aucun doute que madame Sylvie allait à son tour s’occuper de leurs fesses.
Arrivée dans la chambre, la fessothérapeute désigna les lits :
— A genoux et vous vous penchez en avant sur le lit. Vous me présentez bien vos popotins.
Elle décrocha le martinet et fit glisser les lanières sur la croupe cramoisie de Claire :
— Je vais vous apprendre à être vilaines, je vous garantis qu’à la fin du week-end vous serez mignonnes, même si vous avez du mal à vous asseoir.
Elle leva le martinet et administra dix coups sur la partie bien charnue des fesses de la cheffe de service, celle-ci serra les fesses et ses pieds tambourinèrent sur le sol, elle commençait à être habituée aux solides corrections administrées par madame Sylvie, mais celle-là en complément de la fessée mouillée était particulièrement cuisante. Clotilde reçut la même dose et se mit à pleurer, puis Émilie brailla sous les cinglées de l’instrument de correction familial.
Sylvie revint vers Claire :
— Pour finir dix coups sur tes cuisses ma chérie, tu vas sentir la punition de madame Sylvie chaque fois que tu vas t’asseoir.
Dans l’attente du premier coup, la cinquantenaire contracta ses fesses, ce qui fit sourire la fesseuse :
— Tu as raison de serrer ton bon gros derrière ma chérie, mais ça n’empêchera pas ta punition.
Les trois punies reçurent la même correction puis Sylvie leur annonça la suite :
— Vous pouvez vous rhabiller, mais vous êtes privée de culotte toute la soirée.
Elle revint dans la salle de bain, deux fessiers écarlates attendaient le nez collé contre le mur, c’était au tour d’Alice de se faire sécher le derrière, comme pour Clotilde, la jeune assistante qui appréciait les croupes bien joufflues avait réservé un traitement de faveur aux jolies fesses de la secrétaire. Après lui avoir administré une magistrale et longue fessée sur la peau mouillée, elle finissait par l’arrière des cuisses, entraînant une danse effrénée des fesses et des jambes de la punie.
La sévère directrice apprécia en connaisseuse la prestation de son assistante :
— Voilà un derrière cuit à point, mais ça ne lui évitera pas le martinet comme pour les trois autres chipies. Allez en piste les vilaines, je vous suis.
Lucie, Laetitia et Alice durent se mettre à genoux au pied de leur lit comme leur camarade.
Sylvie avait décroché le martinet, elle regardait les trois paires de fesses bien rouges, celle d’Alice était la plus resplendissante. Elle décida de la garder pour la fin, Lucie fut la première à se faire cingler le joufflu, elle se mit à crier comme d’habitude, Laetitia fit de même. Les deux fessiers étaient maintenant identiques à celui de la jeune secrétaire, celle-ci serrait ses fesses en entendant ses camarades pleurer et supplier.
Sylvie s’approcha d’elle et lui tapota les fesses :
— Tu as été la plus vilaine si j’en juge à la couleur de ton derrière. Je vais t’apprendre, tu vas voir ma chérie, monsieur martinet va s’en charger.
Elle leva l’instrument et cingla la belle paire de fesses, elle administra une dizaine de coups supplémentaires à Alice. Décidément ce n’était pas un avantage d’avoir la plus belle croupe.
Il restait l’arrière des cuisses, Lucie, Laetitia et Alice pleuraient à chaudes larmes quand la fessothérapeute raccrocha le martinet :
— Relevez-vous et cessez de pleurnicher, vous l’aviez méritée celle-là. Vous vous rhabillez, mais vous êtes privées de culotte.
Elle revint vers l’autre chambre, les trois stagiaires avaient repris une tenue plus conforme :
— Tournez-vous.
Elle sortit de sa poche trois pinces et épingla les jupes dans le dos des punies :
— Vos fesses sont tellement jolies que ça serait dommage de les cacher.
Elle fit de même avec les trois autres puis Chloé reprit le flambeau :
En attendant le repas vous allez prendre l’air, ça va faire du bien à vos derrières.
Les six fessiers cramoisis descendirent l’escalier suivit par la jeune femme qui se régalait de voir les fesses se dandiner au rythme de la marche. Arrivée dans la cour, les stagiaires se placèrent contre le mur afin de ne pas exposer leur derrière dénudé à d’éventuelles passantes. Chloé ne l’entendait pas de cette oreille :
— Vous n’allez pas rester plantée là, vous marchez un peu.
Elles obéirent en jetant des coups d’œil inquiets du côté de la clôture. Seule Laetitia resta contre le mur, Chloé la regarda en souriant :
— Tu ne veux pas qu’on voie ton derrière tout rouge ? Je vais t’apprendre à désobéir.
Elle saisit la comptable par l’oreille et après s’être installée sur une chaise, elle la bascula en travers de ses genoux. Laetitia ne voulait pas montrer ses fesses, mais elle allait recevoir une fessée cul nu en plein air. La correction fut rapide, mais la quadragénaire cria et pleura abondamment, sa croupe cramoisie était tellement sensible. Quand elle eut fini, la jeune assistante, ravie de pouvoir se livrer à ses plaisirs pervers, sortit de sa poche un thermomètre. Elle écarta les deux fesses et introduisit profondément l’instrument médical dans le fondement de la rebelle :
— Ma petite Laetitia, en plus de montrer ton derrière bien rouge, tu vas garder le thermomètre pendant toute la récréation, serre bien les fesses, gare à toi s’il ressort.
Elle fit relever la punie, plaça la chaise face au mur :
— Tu te mets à genoux et les mains sur la tête.
En pleurnichant Laetitia s’exécuta, les deux hémisphères se serraient convulsivement, le bout du thermomètre dépassait au milieu de la raie médiane.
Ses collègues avaient regardé avec intérêt la punition, Lucie glissa à Alice :
— Quelle gourde, elle devrait commencer à savoir qu’on est pas là pour faire les malignes. Remarque c’est bien, on a une vue magnifique sur son joli cul.
Bien sûr la récréation ne se termina pas sans la visite de la voisine, Chloé alla discuter avec elle par-dessus le muret, Virginie se régalait du spectacle :
— C’est la récréation des culs nus ?
Chloé se mit à rire :
— Culs nus bien rouges tu remarqueras.
— Oui j’ai vu, vous n’avez pas chômé avec madame Sylvie. Elles sont vilaines ?
— Oh pas spécialement, disons qu’elles ont besoin d’une petite mise au point de temps en temps.
La voisine remarqua Laetitia en pénitence sur sa chaise :
— C’est original cette façon de la mettre au coin.
Chloé lui fit un petit signe :
— Elle a eu droit à un petit bonus, vient voir.
Elle ouvrit le portillon et la dame se dirigea vers Laetitia :
— Mazette, elle en a vraiment pris une bonne, ce n’est plus des fesses, c’est des tomates.
Virginie riait de bon cœur, Chloé s’approcha et écarta les deux fesses :
— Regarde un peu, c’est un petit complément pour les très vilaines.
La quadragénaire poussa un « oh » de surprise :
— C’est un thermomètre ?
— Oui, ça calme de se faire prendre la température dans les fesses comme une gamine. Et encore plus quand c’est en public.
Chloé tapota les fesses brûlantes :
— Tu désobéiras encore ma chérie ?
Laetitia était morte de honte et son derrière brûlait énormément, elle répondit en gémissant :
— Non, non mademoiselle Chloé… Pardon, je serai sage… S’il vous plaît.
Virginie était hypnotisée par la croupe et le thermomètre planté au milieu, Chloé claqua sèchement le fessier :
— J’espère bien que tu seras sage, c’est pour ça que tu es punie. Tu voudrais peut-être que je t’enlève le thermomètre.
— Oui mademoiselle Chloé, s’il vous plaît, j’ai trop honte.
Chloé regarda Virginie en souriant :
— Tu vois comme mon traitement fait des miracles, notre petite Laetitia n’a plus quarante ans, c’est une gentille petite fille.
Elle reclaqua le derrière :
— Je suis désolée ma chérie, mais ta pénitence n’est pas terminée, tu dois encore réfléchir à ton comportement et je pense que le thermomètre dans tes fesses va t’aider.
Virginie s’éloigna, sa visite avait été fructueuse, elle se tourna vers Chloé alors que Clotilde passait à côté, elle désigna la plantureuse croupe cramoisie :
— Jolie couleur, elle ne va pas avoir froid aux fesses.
— La jeune assistante attrapa la cheffe comptable et la courba sous son bras, la forçant à tendre sa croupe :
— Tu veux voir la température de son gros derrière ? Tiens touche.
Timidement Virginie posa la main sur les fesses tendues :
— Olala, c’est vrai que c’est brûlant. Elle a vraiment un beau derrière.
Chloé tenait toujours Clotilde courbée sous son bras :
— N’est-ce pas. C’est mon préféré, il y a de quoi claquer.
Elle administra quelques claques sur le fessier et relâcha sa victime.
— Allez file.
Le temps n’avait pas tourné assez vite pour les dames aux fesses nues, elles étaient pressées de rentrer, c’était encore pire pour Laetitia qui serraient ses fesses sur le thermomètre. Chloé frappa dans ses mains :
— Nous allons passer à table, mettez-vous en rang.
Les cinq adultes se comportèrent comme des collégiennes elles se mirent par deux immédiatement. Chloé s’approcha de Laetitia et la fit descendre de la chaise en lui tirant l’oreille, elle s’installa à sa place et coucha la comptable sur ses genoux, elle regarda les stagiaires :
— Regardez ce qui arrive quand on désobéit, on reçoit une fessée supplémentaire et on garde un thermomètre dans les fesses. Ah tu ne voulais pas montrer ton derrière ma petite Laetitia et bien tu l’exposes à tout le monde, j’écarte bien tes fesses pour que tout le monde voie bien ton petit trou.
Laetitia morte de honte sanglotait :
— Cesse de pleurnicher, tu l’as bien méritée cette punition.
Elle retira doucement le thermomètre juste au moment où madame Sylvie arrivait :
— Eh bien qu’a fait cette chipie ?
Chloé tenant toujours les fesses bien écartées expliqua la situation, Sylvie fronça les sourcils :
— Très bien, tu es privée de dessert, tu recevras une fessée par madame Louise à la place et une soirée thermomètre.
Ses camarades furent surprises de la sévérité de madame Sylvie, personne n’allait s’aventurer à désobéir.
En entrant dans la salle à manger, Sylvie les arrêta et appela la cuisinière serveuse :
— Madame Louise, vous pouvez venir s’il vous plaît.
La forte matrone entra dans la pièce en souriant :
— Oui madame ?
La fessothérapeute se tourna vers les stagiaires :
— Vous allez montrer vos fesses à madame Louise, ça vous apprendra, allez demi-tour et penchez-vous.
Instruite par les corrections précédentes, les six dames présentèrent leur derrière rubicond à la cuisinière. Celle-ci souriait, elle s’approcha et palpa quelques fessiers :
— Joli résultat madame.
Sylvie claqua dans ses mains :
— Maintenant à table et tâchez de bien vous tenir.
Le repas se déroula sans encombre, au moment du dessert, madame Louise qui avait été prévenue par la directrice, s’approcha de Laetitia :
— Viens un peu là ma jolie, je vais te donner ton dessert
Elle disposa une chaise en face de la table des deux fesseuses, les stagiaires avaient une vue parfaite sur le postérieur de la punie. Elle bascula la quadragénaire en travers de ses larges cuisses et sortit de sa poche une cuillère de cuisine en bois. Les fesses de Laetitia étaient encore très rouges des différentes corrections reçues tout au long de la journée, elle passa sa main sur l’épiderme :
— C’est encore bien chaud madame, peut-être que la main suffirait.
Sylvie en souriant, regarda l’assemblée :
— Ma grand-mère disait, la peau des fesses repousse toujours, c’est sûr que notre petite Laetitia va dormir sur le ventre cette nuit et que demain elle aura du mal à s’asseoir, mais c’est comme ça. Commencez par cent claques sur chaque fesse à la main et finissez par vingt coups de cuillère également sur chaque fesse.
En entendant la sentence, laetitia se mit à supplier :
— Non, non, s’il vous plaît madame, non… pardon plus la fessée, je serai sage… mes fesses me font trop mal.
Madame Louise interrogea du regard la directrice, celle-ci lui fit un petit signe :
— Allez-y, elle pleurera au moins pour quelque chose.
La fessée fut terrible pour le pauvre derrière déjà meurtri, les pleurs et les cris de la comptable envahissaient la pièce. Quand elle put se relever, ses joues du haut et du bas étaient cramoisies, madame Louise sans qu’on ait eu besoin de lui dire la conduisit au coin.
Tout le monde termina son dessert, les cinq dames compatissaient au sort de leur camarade, mais elles étaient contentes d’avoir échappé à la punition.
La soirée fut consacrée à des activités libres, télévision ou lecture, elles étaient toujours les fesses à l’air.
Chloé avait installé Laetitia sur un pouf au milieu du salon et lui avait introduit le thermomètre en lui disant :
— Tu vas le garder toute la soirée ma chérie.
Elle regarda autour d’elle, pour voir si elle ne pouvait pas jouer avec une stagiaire, Claire et Clotilde avaient vraiment de belles paires de fesses de dames mûres. Elle s’approcha d’elle :
— Vous avez rempli vos carnets de correspondance j’espère.
Elle savait pertinemment que non, les deux quinquagénaires rougirent et bredouillèrent :
— Euh, non mademoiselle Chloé, on a pas eu le temps.
La jeune femme sourit et s’approcha :
— Ah oui ? Eh bien moi je vais avoir le temps de vous punir mes petites chéries. Vous connaissez le tarif ?
Claire essaya de négocier :
— C’est vrai qu’on aurait dû le faire mademoiselle Chloé, on va le faire tout de suite.
— Trop tard ma chérie, je vais d’abord m’occuper de vos deux gros derrières. Qui veut commencer ?
Les deux cinquantenaires baissèrent la tête, elle savait qu’elle n’allait pas échapper au châtiment habituellement réservé aux gamines, mais se présenter elle-même pour le recevoir, c’était compliqué :
— C’est donc moi qui vais décider laquelle de vous deux va me présenter ses fesses en premier, la punition sera doublée, tant pis pour vous. Claire vient ici !
La cheffe de service s’approcha. Que de choses avait changé en douze heures à peine, depuis son arrivée dans le gîte, elle la redoutable fesseuse qui déculottait et claquait les derrières, combien de fois s’était-elle retrouvée en position disciplinaire, présentant ses fesses nues à la main de madame Sylvie ou pire à celle de cette jeune femme.
Chloé appréciait cet instant où la punie abandonnait son statut d’adulte pour subir sa punition, les fesses serrées par l’angoisse, un petit gémissement, quelquefois une supplique « s’il vous plaît mademoiselle Chloé, pas la fessée ». Ces deux dames d’âge mûr allaient gigoter et pleurer sur ses genoux, elle écarta les deux larges fesses :
— Après la fessée ma chérie tu auras droit au thermomètre comme Laetitia, je vais t’apprendre à désobéir.
La fessée crépita dans la pièce, au moment où Claire avait basculé sur les genoux de Chloé, Lucie avait donné un petit coup de coude à Alice et avait chuchoté « Panpan cucul pour la mère Dugou, il y a une justice quand même ».
La jeune fesseuse termina la correction avec la brosse à cheveux :
— Ça, c’est pour ne pas être venue toute seule me présenter tes bonnes grosses fesses.
Puis les trois stagiaires qui avaient évité la punition se régalèrent de voir la raie fessière largement écartée et l’instrument médical pénétrer lentement le plantureux derrière. Claire sanglotait, la cuisson de sa croupe était intense et l’introduction en public du thermomètre achevait son humiliation.
Elle put enfin se relever, Chloé disposa un autre pouf à côté de celui de Laetitia et la punie dut s’y allonger, les fesses bien surélevées.
Ce fut au tour de Clotilde, elle sanglotait avant de se retrouver en position disciplinaire, son joufflu était déjà cramoisi, mais Chloé ne s’en préoccupa pas, suivant les principes de madame Sylvie « La peau des fesses repousse toujours et si la nature à pourvu les dames d’une bonne paire de fesses, c’est pour qu’elles puissent recevoir la fessée ».
Trois derrières d’un rouge profond pointaient vers le ciel, tous garnis d’un thermomètre en leur milieu.
Discrètement les trois autres stagiaires avaient rempli leur carnet de correspondance pendant la punition de Claire et Clotilde.
Sylvie arriva un peu plus tard, elle paraissait très contente, Chloé l’interrogea du regard :
— Je viens d’avoir une petite conversation avec les fesses de madame Louise, elles sont resplendissantes. Elle restera au coin dans la cuisine pendant une heure, je te chargerai de l’accompagner dans sa chambre.
— Bien madame. Un complément sera nécessaire ?
La fessothérapeute regarda son assistante en souriant, décidément cette petite avait fait de gros progrès :
— Si tu le juges nécessaire. Je te fais confiance.
La soirée touchait à sa fin, Sylvie s’était installée dans un fauteuil pour assister à la dernière humiliation des trois punies, l’une après l’autre, elles durent venir s’allonger sur les genoux de Chloé pour se faire retirer le thermomètre. Elle prenait son temps écartant largement les fesses et commentant l’aspect du fessier, elle terminait invariablement par une petite fessée rapide sous l’œil rieur de la fessothérapeute.
Sylvie donna le signal du coucher :
— En rang par deux et on monte dans les chambres.
Les six fessiers plus ou moins colorés grimpèrent les marches sous le regard amusé des deux fesseuses.
— Vous mettez vos chemises de nuit, dans dix minutes extinction des lumières, ne lambinez pas, monsieur martinet est prêt.
Les nuisettes arrivaient à mi-cuisses, les plus jeunes qui avaient l’habitude de dormir en pyjama firent la grimace, mais l’instrument suspendu à côté de la porte les incita à ne rien dire.
Chloé surveillait la chambre de Lucie, Alice et Laetitia, les deux premières avaient échappé à la punition en soirée, elles étaient nues toutes les trois, si les fesses de Lucie et d’Alice étaient encore bien colorées, celles de Laetitia étaient cramoisies résultat des magistrales corrections reçues avant et après le repas. Elles se dépêchèrent d’enfiler la chemise de nuit sous le regard moqueur de la jeune assistante qui se régalaient à les traiter comme des gamines :
— Vous allez vous laver les dents et faire pipi. Pressez-vous un peu.
Quand elles revinrent, la jeune femme leur fit un signe :
— Vous vous mettez au pied du lit et vous me montrez vos derrières !
Elle s’approcha du fessier meurtri de la comptable, elle le caressa et le palpa :
— Tes fesses sont encore bien chaudes ma chérie, tu vas bien dormir. J’espère que tu seras sage demain et que je ne serai pas obligée de te déculotter aussi souvent.
Elle passa ensuite à celui de Lucie, celle-ci serra instinctivement les fesses en sentant la main de Chloé :
— Tu as peur que je fasse panpan cucul ? Tu as quelque chose à te reprocher ?
— Non, non mademoiselle Chloé, je n’ai rien fait, je vous assure.
La jeune perverse se mit à rire :
— Je n’en suis pas si sûre. Tu t’es bien régalée à assister aux fessées de tes petites camarades n’est-ce pas ?
— Non, non mademoiselle Chloé.
Lucie sentait que ses fesses allaient lui cuire rapidement :
— Aïe, aïe, aïe, non, non mademoiselle Chloé, je n’ai rien fait… Aïe…
La main claquait sèchement les fesses tendues, elle s’arrêta et décrocha le martinet :
— Dix coups pour t’apprendre, présente-moi tes fesses mieux que ça !!
Lucie brailla et sautilla sur place pendant sa courte punition. Alice n’en menait pas large, elle maudissait cette petite peste de Chloé, la soirée avait été tranquille et voilà qu’elle leur flanquait une correction juste avant d’aller au lit.
La fesseuse s’était approchée de la secrétaire au magnifique fessier, elle posa le martinet sur les reins et entrepris d’examiner méticuleusement le postérieur d’Alice. Celle-ci ne resta pas insensible aux caresses surtout que la vue de tous ces fessiers rougis pendant la soirée l’avait émoustillée, Chloé sourit en constatant les sécrétions abondantes au niveau de ses lèvres :
— On dirait que ça te fait de l’effet d’assister aux fessées de tes petites camarades, on va voir si de la recevoir c’est pareil.
La main claqua vigoureusement la croupe tendue, puis elle reçut également dix coups de martinet :
— Maintenant au lit, et je ne veux plus rien entendre, vous allez voir comme on dort bien avec une paire de fesses bien chaudes.
En sortant de la chambre, elle constata que la porte de celle occupée par les deux dames d’âge mûr et Émilie, était entrouverte mais la lumière éteinte. Elle s’approcha pour écouter, aucun bruit ne sortait de la pièce, elle éteignit la lumière du couloir et laissa les portes des deux chambres légèrement ouvertes.
Il lui fallait maintenant s’occuper de madame Louise, arrivée dans la cuisine, elle constata que la cuisinière n’avait pas bougé, elle se tenait le nez contre le mur, la robe épinglée dans le dos et la culotte baissée aux genoux. Ses fesses portaient les stigmates d’une solide fessée, elles étaient encore rouges comme le haut des cuisses, la cuillère en bois qui avait dû servir sur la croupe grassouillette, était posée sur la table.
Elle s’approcha et saisit l’oreille de la solide matrone :
— Allons-y ma petite Louise, madame Sylvie m’a chargée de vous mettre au lit, mais avant nous avons à discuter.
La cuisinière n’avait plus cinquante ans, elle était redevenue une adolescente conduite dans sa chambre par sa maman, sauf que la maman en question avait tout juste vingt-cinq ans. Elles montèrent l’escalier, Louise toujours tenue par l’oreille et Chloé lui claquant les fesses de sa main libre pour la faire avancer plus vite. Sur le palier elles se dirigèrent dans un couloir qui menait à la chambre de la cuisinière. Elle était meublée simplement, un lit un petit bureau, deux chaises et une armoire, comme dans les chambres des stagiaires un martinet était suspendu à un crochet à droite de la porte.
Chloé s’installa au bout du lit et fit basculer la cinquantenaire en travers de ses cuisses, comme à son habitude elle commença à explorer ce nouveau fessier. Décidément elle était gâtée, encore une dame d’âge mûr avec une belle paire de fesses. La croupe de Louise ressemblait beaucoup à celle de Clotilde, deux hémisphères bien larges d’un blanc nacré séparés par une profonde raie médiane. Les doigts s’insinuèrent entre les cuisses puis remontèrent dans la raie fessière pour l’écarter, la matrone gémissait doucement :
— Oh non, s’il vous plaît mademoiselle Chloé, j’ai trop honte… aïe, aïe, aïe.
La main venait de claquer sèchement le derrière :
— Veux-tu bien te taire. J’espère bien que tu as honte, c’est quand même malheureux qu’on soit encore obligée de te déculotter à ton âge.
Les fesses étaient encore rouges, Chloé les tapota :
— Maintenant que tu es en bonne position, tu vas m’expliquer pourquoi madame Sylvie t’a donné la fessée ?
Louise sanglotait de honte, certes la fessothérapeute l’avait habituée à recevoir ce châtiment humiliant, mais le recevoir par cette gamine. Une claque très sèche sur chaque fesse la convainquit que Chloé ne plaisantait pas :
— Euh… voilà, madame a trouvé que ma cuisine n’était pas rangée.
— Très bien… C’est tout ?
Une nouvelle claque avait retenti dans la chambre.
— Euh, non mademoiselle Chloé… mais… mais j’ai honte… Aïe, aïe, aïe, aïe…
— Tu vas surtout avoir mal aux fesses si tu ne te dépêches pas !!!
— Oui, oui mademoiselle… pardon.
— Mademoiselle Chloé !!!
La fessée avait repris de plus belle.
— Aïe, pardon mademoiselle Chloé.
— Alors ? J’attends !!
— Euh… Madame Sylvie a dit que ma culotte n’était pas propre.
Chloé eut un sourire ironique, c’était une nouveauté de sa patronne.
— Ah oui ? C’est du joli.
Elle se pencha et remonta légèrement la culotte pour en examiner le fond, effectivement il y avait quelques traces qui aurait pu passer en fin de journée. Chloé apprécia la perversité de la fessothérapeute. Se faire examiner la culotte à cinquante ans, voilà qui rajoutait à la honte de recevoir une fessée cul nu comme une gamine.
— Madame Sylvie t’a punie, mais elle m’a recommandé de compléter ta punition avant de te mettre au lit. On va commencer par une bonne fessée déculottée, puisque tu es une gamine tu seras corrigée comme telle.
La main se mit à claquer le large derrière, c’était vraiment plaisant de voir les deux belles fesses ballotter à droite et à gauche au rythme des claques. Rapidement les jambes se mirent à battre l’air et les fesses se serrèrent puis s’ouvrir en grand. Le bruit de la main sur la peau nue se mêlait aux cris puis aux pleurs de Louise.
— Ton bon gros derrière est bien rouge, maintenant on va passer à la suite.
Elle fit glisser la culotte jusqu’aux chevilles et la retira. Dès que la cuisinière fut debout, elle mit la lingerie en boule :
— Ouvre la bouche !
Elle glissa la culotte entre les lèvres de la punie.
— C’est comme ça que je traite les petites souillons.
Puis elle fit glisser la robe par-dessus la tête et Louise se retrouva entièrement nue :
— Viens par ici.
Elle ouvrit la porte de la salle de bain et poussa Louise vers la baignoire :
— Monte là, je vais t’apprendre la propreté.
Elle prit la pomme de douche, régla le robinet sur froid, puis elle fit pivoter la cuisinière afin qu’elle lui présente ses fesses écarlates. Quand l’eau glacée frappa son derrière elle trépigna :
— Non, non mademoiselle Chloé, c’est froid.
La jeune femme se mit à rire :
— Eh oui, lavage des fesses à l’eau froide, c’est comme ça qu’on traite les petites sales. Écarte les cuisses et penche-toi.
Elle prit un gant de toilette et entrepris un savonnage en règles des fesses, elle ne se gêna pas pour les écarter et son doigt s’égara sur l’anus pour le titiller, ensuite elle écarta les lèvres et continua le nettoyage de l’intimité de sa punie qui pleurnichait de honte. Elle rinça le fessier toujours à l’eau froide, puis elle fit sortir la cuisinière qui avait les joues aussi rouges que son derrière, elle posa une serviette sur ses genoux et bascula la pauvre Louise en travers de ses cuisses :
— Je vais te sécher les fesses à l’ancienne ma chérie, je ne voudrais pas que tu attrapes froid.
La fessée sur la peau mouillée est un must de fesseuse, mais une brûlure intense pour celle qui reçoit sa déculottée. La quinquagénaire battit des jambes rua, serra les fesses et les ouvrit en grand, mais rien n’y fit la punition alla à son terme et quand elle se releva son postérieur était brûlant mais parfaitement sec :
— Tu finis de te sécher je t’attends dans la chambre.
En pleurnichant la cuisinière s’exécuta, elle avait déjà reçu nombre de fessée, mais celle-ci compterait parmi les plus cuisantes. Quand elle arriva dans la chambre elle vit que Chloé tenait le martinet à la main :
— Non, non mademoiselle Chloé, plus la fessée s’il vous plaît.
En souriant la jeune femme lui fit signe de se tourner :
— Dépêche-toi de me montrer tes fesses.
Elle appuya sur le dos de Louise et palpa le derrière :
— Tes fesses sont cuites à point ma chérie, deux belles tomates. Mais il reste tes cuisses, tu sais comme maman faisait quand tu étais vilaine, le martinet sur les cuisses et les mollets. Je te fais cadeau des mollets pour aujourd’hui, vingt coups sur tes jolies cuisses et au dodo.
La correction fut appliquée sans faiblir, ensuite elle tendit la nuisette à la punie.
— Demain je vérifierai ta culotte, gare à ton derrière si elle n’est pas nickel, maintenant tu dors et je ne veux plus t’entendre.
Elle éteignit la lumière et laissa la porte entrouverte, dès qu’elle fut seule Louise entreprit de frotter son large derrière pour atténuer la cuisson.