mardi 2 septembre 2025

Mademoiselle Héloïse 2

 La punition de Sylvie



Mademoiselle Héloïse me l’avait dit, « la prochaine fois que je dois te donner une fessée, le lendemain c’est journée fesses rouges. » Eh bien on y est, hier je n’ai pas pu m’empêcher de Twitter en conduisant, évidemment ma jeune et sévère maîtresse l’a appris. Quand elle est entrée dans la pièce, j’ai reconnu son regard, celui qui ne dit rien qui vaille pour mes fesses :

— Tu le sais pourtant qu’il ne faut pas que tu prennes ton téléphone quand tu conduis, combien de fois te l’ai-je dit ?

J’ai baissé les yeux comme une gamine prise en faute et je n’ai pas répondu.

Je n’avais pas imaginé qu’elle devinerait que j’avais répondu à son message en conduisant.



Depuis que j’ai repris en main l’éducation de Sylvie je suis toujours surprise par son comportement, j’ai vingt et un ans et elle plus de soixante-dix, mais ça ne se voit pas quand elle vient de faire une bêtise, elle se comporte comme une gamine désobéissante prise en faute et je suis sa maman sévère.

J’avoue qu’elle est mignonne avec son air de petite fille, la tête baissée, mais je ne vais pas céder elle mérite d’être punie et sévèrement. Elle sait qu’elle va recevoir une bonne fessée déculottée, mais elle accepte mon autorité, bien sûr recevoir ce châtiment enfantin quand on a son âge n’est pas très agréable mais c’est nécessaire.

Nous sommes chacune dans notre rôle, même si c’est excitant je ne cède pas à un quelconque fantasme, elle a accepté de se mettre sous mon autorité, elle va regretter son comportement.



Elle s’est assise sur la chaise qui est posée là comme si elle était prévue pour ma punition, son doigt me fait ce petit signe que je commence à connaître, je serre les fesses, mais j’approche je ne peux pas refuser :

— Je suppose que tu connais la position ma chérie.

Bien sûr que je la connais et j’ai toujours autant de mal à m’habituer à cette humiliation d’être couchée en travers des genoux de ma jeune maîtresse, la tête près du sol et les fesses tendues vers le ciel, je m’allonge sans discuter et immédiatement elle rectifie ma position en me basculant un peu plus vers l’avant :

— Tu le sais pourtant que je veux avoir tes fesses à ma disposition, la prochaine fois que tu ne te coucheras pas correctement sur mes cuisses, je doublerai ta punition.



J’adore quand Sylvie est dans cette position, elle est entièrement soumise à ma volonté, j’exige qu’elle s’habille assez court, ça n’a pas été sans difficulté, mais après quelques bonnes déculottées le résultat est là, elle ne porte plus que des jupes évasées qui s’arrêtent dix centimètres au-dessus du genou, bien sûr je lui ai interdit les collants, quand il fait frais elle est devenue adepte des bas autofixants. En la faisant basculer vers l’avant ses pieds quittent le sol et sa jupe remonte naturellement découvrant la lisière des bas et même le bas de sa petite culotte, c’est mignon comme tout.



Ça y est, nous y sommes, je me remémore rapidement ce qui m’a conduit à me retrouver à mon âge, en position disciplinaire sur les genoux d’Héloïse.

J’ai été élevée par une mère stricte et autoritaire, mes deux sœurs et moi avons été punies comme des gamines jusqu’à l’adolescence, vous comprendrez que punies comme des gamines signifie qu’elle utilisait la fessée déculottée quand c’était nécessaire et qu’un martinet était suspendu dans la cuisine. Cette situation perdura jusqu’à dix-huit ans, âge où je quittai la maison pour poursuivre mes études, mes sœurs continuèrent à être traitée comme des gamines bien après leur majorité, en fait jusqu’à leur mariage.

Je ne sais si c’est le fait d’avoir été fessée au moment de mes premiers émois sexuels, mais depuis l’adolescence j’ai toujours fantasmé sur la fessée. Mon métier de professeur de français dans une institution privée où malgré les instructions officielles les châtiments corporels étaient encore tolérés a entretenu ce fantasme. Les jeunes filles même les plus âgées pouvaient recevoir en privé dans le bureau de la directrice une fessée déculottée et la professeure principale était souvent invitée à assister au châtiment. J’avoue que de voir une grande jeune fille se faire baisser la culotte et rougir les fesses, provoquait chez moi une excitation. En fait je m’imaginais à sa place.

Je ne me suis jamais mariée, mon attirance pour les dames m’a fait connaître de nombreuses aventures et quelques-unes se sont terminées pour moi avec un derrière rouge et cuisant.

Depuis quelques années je traînais sur internet pour assouvir mes pulsions fessophiles, sur un forum j’ai rencontré Héloïse.



Sylvie adore la fessée et moi aussi, mais pas du même côté, pour elle s’est couchée sur mes genoux, pour moi s’est les culottes que je baisse et la sienne n’est pas souvent sur ses fesses quand nous nous rencontrons.

Dès nos premières discussions, elle m’a fait part de son désir d’être dirigée dans sa vie, pour tout dire j’ai compris qu’elle avait besoin d’une maîtresse sévère et exigeante.

Même si elle fantasme sur ce châtiment enfantin, je peux vous dire que dès que je commence à m’occuper de son bon gros derrière elle ne fait plus la maligne et elle regrette amèrement de m’avoir provoquée, elle devrait le savoir depuis le temps, mais elle est incorrigible. Je n’administre jamais de semblant de fessées, ce sont toujours des corrections sévères dont elle se souvient longtemps.



Je le savais pourtant que je risquais de me prendre une bonne déculottée, pourquoi ai-je répondu à son message en conduisant, maintenant c’est trop tard, la position a fait remonter ma jupe, elle a une vue parfaite sur l’arrière de mes cuisses et certainement qu’elle aperçoit ma culotte, sa main tapote mon fessier, j’ai honte elle le sait et elle va faire durer le plaisir.

— Tu es bien installée ? Nous en avons pour un moment.

Je sais qu’il me faut répondre à toutes ses questions, même les plus indiscrètes ou les plus humiliantes, au début j’hésitais, mais mes fesses ont vite compris qu’Héloïse exigeait une réponse précise et rapide à ses interrogations.

— Oui mademoiselle Héloïse.

Évidemment, comme vous pouvez vous en douter, si elle me tutoie, je dois l’appeler respectueusement mademoiselle Héloïse.

— Parfait, pourquoi m’as-tu encore désobéi, tu le sais que je t’ai interdit de Twitter ou de te servir de ton téléphone en conduisant ?

Je dois répondre la vérité, bien sûr que je n’ai pas voulu lui désobéir, j’ai pris mon téléphone machinalement.

— Pardon mademoiselle, je n’ai pas fait exprès, mais… Aïe, aïe…

Sa main vient de claquer l’arrière de mes cuisses, j’aurais dû m’en douter, elle déteste quand j’utilise l’expression « je ne l’ai pas fait exprès ».

— En plus tu te moques de moi ! A tu ne l’as pas fait exprès ? Eh bien moi, je vais faire exprès de t’administrer la bonne fessée déculottée que tu mérites.

Sa main claque successivement chacune de mes cuisses une dizaine de fois, je déteste ce genre de préambule, ça brûle énormément, je crie et gigote sur ses genoux, ce n’est pourtant que le début de ma punition.



Ma petite Sylvie comme je l’appelle désormais n’a pas son pareil pour parler comme une gamine malgré ses soixante-dix ans passés. « Je ne l’ai pas fait exprès !! » et puis quoi encore, je vais te rappeler de ne pas utiliser ces mots ma grande. L’arrière de ses cuisses est déjà rouge et à voir ces gigotements et le mouvement de ses pieds, ça doit la brûler ma petite chérie. J’adore l’avoir à ma disposition et la faire attendre avant de commencer la vraie fessée.



Les claques sur les cuisses viennent de cesser, j’étais à deux doigts de commencer à pleurer, cette jeune femme sait vraiment y faire. Même si j’ai besoin d’être soumise et que ça m’excite, je peux vous dire qu’à cet instant précis je suis loin de ces fantasmes. Je ne suis plus qu’une dame qui a désobéi et qui va être punie comme il se doit par sa maman sévère. La main d’Héloïse repose à nouveau sur mon fessier :

— Alors ? J’attends tes explications et pas cette phrase idiote de gamine.

— Pardon mademoiselle, je… je n’ai pas réfléchi, je l’ai pris machinalement…

Je sens sa main qui tapote mon derrière :

— Tu n’as pas réfléchi ? Tiens donc, décidément tu as besoin que je te mette du plomb dans la cervelle. Je te garantis qu’avec la fessée que tu vas recevoir, la prochaine fois tu vas y regarder à deux fois avant de prendre ton téléphone quand tu conduis.

Je sens ma jupe se retrousser, elle doit avoir une vue parfaite sur mon bon gros derrière comme elle l’appelle, il est encore culotté, mais je serre les fesses. Je sais que les préliminaires ne sont pas encore terminés.



C’est vrai que ma petite Sylvie a vraiment une bonne paire de fesses, elles sont moulées parfaitement par sa petite culotte en coton. Quand je l’ai rencontrée la première fois et que je lui ai administré sa première fessée, elle portait déjà des culottes blanches en coton assez sage avec juste un liseré de dentelle au niveau des cuisses. Mais depuis comme pour la longueur de la jupe et les collants, elle s’habille comme je le décide, je lui ai fait acheter de vraies culottes de gamines avec des pois ou des petites fleurs. C’est vraiment ravissant de voir son bon gros popotin moulé dans ce genre de culottes.

Je ne les vois pas encore, mais je sais que ses fesses sont serrées par l’angoisse et la honte, je vais faire durer le plaisir encore un peu.



Je sens ses doigts s’insinuer sous ma culotte, j’ai honte de porter ces culottes de gamine, mais elle m’a dit « quand on reçoit encore la fessée déculottée, c’est ce genre de lingerie que l’on doit porter. »

J’ai eu un peu de mal à trouver des petites culottes en coton avec des fleurs en taille quarante-deux, heureusement que j’ai pu les commander sur internet, j’imagine la tête de la vendeuse si elle avait deviné que c’était pour moi.

— Tu dois aimer que je te déculotte n’est-ce-pas ?



Je déteste qu’elle me pose ce genre de question, mais je dois répondre, c’est très humiliant d’être ainsi couchée les fesses en l’air exposée à la vue de sa maîtresse, je la devine souriante lissant ma culotte sur mon fessier.

— Oh non mademoiselle… Aïe, aïe, aïe…

— Ah tu n’aimes pas que je te baisse la culotte et pourquoi continues-tu à désobéir ?

Sa main avait claqué le sommet des cuisses juste sous la culotte, elle devait voir la base de mes fesses, ça brûle…

— Pardon mademoiselle… Pardon…

Elle se met à rire tout en tapotant mon derrière culotté.

— C’est drôle comme dès que tu es en position pour recevoir une fessée tout d’un coup tu demandes pardon.



J’adore l’avoir à ma merci, obligée de répondre sous peine de correction encore plus sévère, elle est au bord des larmes je le sens, je vais attendre encore un peu avant de lui claquer le derrière. Je vais d’abord la déculotter, jamais je n’aurais cru que baisser la culotte d’une dame d’âge mûr m’aurait provoqué une telle excitation. Il faut dire que Sylvie a des fesses faites pour la fessée. J’ai été un peu surprise quand je lui ai baissé la culotte pour la première fois, ses fesses ne ressemblaient pas à celle de mes copines que j’ai l’habitude de fesser. Elle a ce qu’on appelle un bon popotin, bien large et rebondi, mais il manque un peu de fermeté. Malgré tout c’est une belle croupe, deux belles fesses séparées par une profonde raie médiane. Je m’y suis habituée à son bon gros derrière comme je l’appelle, je sais que ça lui fait honte alors maintenant c’est systématique, quand je dois la corriger elle a droit au traditionnel « amène-moi un peu tes bonnes grosses fesses que je m’en occupe ».



Ça y est je sens ma culotte glisser sur mes fesses, c’est toujours la même honte mêlée à une petite excitation, je sais qu’elle a désormais une vue imprenable sur mon derrière, mon bon gros derrière. Dès qu’elle a commencé à me corriger et donc à me baisser la culotte elle a fait des commentaires moqueurs sur la taille de mon postérieur et sur sa fermeté. Elle m’a assurée qu’avec le nombre de fessées qu’elle allait m’administrer j’aurais bientôt un derrière en béton.

— Écarte les cuisses, tu sais que je déteste quand tu serres les fesses.

Je le sais bien sûr, mon derrière a bien souvent payé pour l’apprendre, j’écarte donc les jambes, consciente de l’impudeur de ma position. Ses doigts se mettent à explorer mon intimité, je me concentre pour ne pas resserrer les cuisses, la sanction serait immédiate, elle ne se gêne pas pour écarter également mes fesses, c’est le moment le plus humiliant, tout à l’heure elle va certainement me mettre le thermomètre ou ce gros stylo qu’elle a découvert et qu’elle enfonce profondément dans mon petit trou.

— Tu devrais avoir honte ma chérie de montrer tes fesses comme ça. Mais comme j’ai l’impression que ça ne te fait ni chaud ni froid, on va passer à autre chose, la prochaine fois tu auras droit à la fessée cul nu en public.

Je ne peux m’empêcher de gémir et de protester.

— Oh non mademoiselle s’il vous plaît, j’aurai trop honte.

Je la devine souriante tenant avec deux doigts mes fesses largement écartées :

— C’est justement pour ça ma chérie, pour te faire bien honte et t’apprendre à ne plus me désobéir. Oui une bonne fessée déculottée devant mes copines, tu l’as bien cherchée ça va te faire le plus grand bien.



Depuis le temps que je lui promets qu’un jour je vais lui baisser la culotte en public, je crois que le moment est arrivé. Elle est prête pour ça, je sais que ce sera une épreuve douloureuse aussi bien pour ses fesses que pour son amour propre, mais il le faut pour qu’elle comprenne qu’elle est désormais entièrement sous mon autorité.

Je ne vais pas la déculotter devant des inconnues bien sûr, non juste deux ou trois copines avec qui je joue souvent à panpan cucul ? Elles vont être ravies et ma petite Sylvie qui ne les connaît pas, va découvrir la honte de montrer ses fesses à d’autres personnes qu’à sa maman Héloïse.



Ça fait longtemps qu’elle me menace de ce genre de punition, mais je ne croyais pas qu’elle la mettrait à exécution. Mon dieu faîtes que ça soit un mauvais rêve.

Soudain la fessée a commencé, comme d’habitude c’est immédiatement cuisant, ma jeune maîtresse ne sait pas donner de petite fessée, elle claque très fort d’emblée et je me mets à crier et à battre des jambes. Chaque fois je me jure de résister mais c’est impossible ça brûle trop.

— Aïe, aïe, aïe, aïe, non, non mademoiselle ça brûle, s’il vous plaît…

— J’espère bien que ça te brûle ma chérie c’est pour ça que je te donne la fessée déculottée, et ce n’est qu’un début. Je te garantis que tu vas regretter d’avoir désobéi !



J’aime claquer son large derrière, même s’il n’est pas assez ferme à mon goût c’est une belle paire de fesses qui rougit vite et bien. Quand il est écarlate il devient vraiment mignon, sa raie fessière s’écarte, dévoilant son intimité.

Quel plaisir d’avoir cette dame d’âge mûr à mon entière disposition, elle me supplie d’arrêter comme si elle était une gamine et je vais bien sûr continuer. Ses bonnes grosses fesses ont besoin d’être corrigées sévèrement, je le sais ma main ne suffira pas si je veux que son derrière reste rouge longtemps et qu’elle se rappelle qu’elle doit m’obéir sans discuter.



Je commence à la connaître, ma sévère maîtresse ne va pas s’arrêter, mon derrière est en feu et ce que je voulais éviter arrive, je me mets à pleurer comme quand j’étais adolescente et que ma mère m’administrait la fessée cul nu :

— Oh tu peux pleurer ma chérie, maman Héloïse va quand même continuer à te corriger encore un peu et ensuite tu iras au coin pour réfléchir.

La fessée s’arrête enfin, mais elle me garde couchée sur ses genoux :

— Ton bon gros derrière est très joli. Tu recommenceras à me désobéir ?

Elle me caresse les fesses brûlantes, je suis soulagée qu’elle ne les claque plus, même si cette position est humiliante.

— Non, non mademoiselle promis… Aïe, aïe.

Sa main vient de reclaquer sèchement chacune de mes fesses :

— J’espère bien, mais je n’en ai pas encore fini avec ton derrière, crois-moi ce soir tu iras au lit avec une paire de fesses bien rouges. En attendant tu vas aller réfléchir au coin.

Je me relève doucement, c’est toujours pareil après une correction, je suis tellement contente que la fessée s’arrête que la honte d’aller exposer mes fesses nues en est atténuée. Elle m’a saisi l’oreille pour me conduire au coin.

Depuis que je m’occupe de l’éducation de Sylvie, j’ai fait beaucoup de progrès en sévérité, je suis devenu une maman très stricte. Quand je lui annonce qu’elle va être punie, je prends toujours un ton autoritaire et mon regard sévère, je souris intérieurement en voyant ma petite Sylvie, cette dame d’âge mûr rougir et baisser la tête quand je la gronde. Je l’ai interrogée sur la manière dont sa mère la punissait et je me suis documentée, maintenant elle est vraiment traitée comme une gamine quand je la corrige.

La saisir par l’oreille pour l’amener au coin ou pour me suivre vers l’endroit où elle sera punie est un passage obligé. Pour augmenter sa gêne et rendre la punition plus efficace, comme je suis plus grande qu’elle, de temps en temps je tire sur son oreille pour la faire mettre sur la pointe des pieds. Dans ces cas-là, elle sait que je suis vraiment en colère et que la correction sera sévère.

Même si c’est agréable de la déculotter pour la corriger, je prends mon rôle au sérieux et je me mets souvent en colère comme une maman excédée par sa fille. C’est le cas aujourd’hui, Twitter en conduisant c’est vraiment dangereux, je l’ai déjà punie pour ça et elle a quand même recommencé, ses fesses vont en payer le prix, il faut qu’elle s’en souvienne longtemps. Elle va rester au coin fesses à l’air pendant un bon quart d’heure, je sais qu’elle n’aime pas trop ça donc ça va lui faire le plus grand bien. Ensuite une deuxième fessée déculottée avec ma brosse à cheveux et je finirai certainement avec le martinet. Même si elle va avoir du mal à s’asseoir ensuite et qu’elle aura les fesses encore rosées demain, son bon gros derrière a l’habitude et je pourrai recommencer à la fesser sans aucun problème.



Maintenant elle tire sur mon oreille, ça fait très mal, elle est plus grande que moi et je suis obligée de me tenir sur la pointe des pieds, je me sens ridicule :

— Tiens ta jupe retroussée !

L’ordre a claqué en même temps que sa main sur mon derrière endolori.

— Aïe, aïe, aïe, pardon mademoiselle.

Elle continue de me claquer les fesses pour me faire avancer. Je suis arrivée le nez contre le mur, elle prend l’ourlet de ma jupe pour l’épingler dans mon dos :

— Les mains sur la tête !

Elle remonte ma petite culotte à mi-cuisse, si je tourne légèrement la tête je peux voir dans la glace le spectacle que je lui offre. Mes fesses écarlates encadrées par la culotte et la jupe épinglée, mon derrière tendu s’offre à sa vue.

— Aïe, aïe, aïe…

— Je t’ai dit de coller ton nez contre le mur !! Décidément tu as décidé de m’énerver !!

Elle m’a à nouveau saisi par la taille et courbée vers l’avant, mon fessier est tendu. Je me reprends une courte mais magistrale fessée, puis elle me recolle le nez contre le mur en m’administrant deux formidables claques, une pour chaque fesse :

— Puisque tu as décidé de n’en faire qu’a ta tête, tu vas rester au coin une demi-heure ! Je vais t’apprendre et ne t’avise pas de bouger !!

J’ai mérité ce temps de coin supplémentaire, je le sais, mais je n’ai pas pu me retenir de regarder mon derrière dans la glace, j’avoue que ça me provoque une trouble excitation de contempler mes fesses rouges après avoir reçu une fessée.



Ma petite Sylvie est vraiment incorrigible, elle ne peut s’empêcher de désobéir, m’offrant autant de raison de lui flanquer une déculottée. Je sais qu’elle aime voir son derrière bien rouge, je vais lui faire plaisir. Je prends ses bonnes grosses fesses écarlates en photo et je vais publier le cliché sur mon compte Twitter, tous mes abonnés vont se régaler, surtout que je vais y rajouter un petit commentaire humiliant et qu’elle sera obligée de poster un tweet où elle racontera sa punition.



En attendant je me régale à la voir dans le coin exposer son bon gros derrière, ça doit lui cuire, ses fesses se serrent puis s’ouvre, c’est le seul moyen pour atténuer la brûlure. Je suis sûre qu’elle rêve de frotter son fessier, mais elle doit garder ses mains sur la tête. Il faut que j’appelle Ambre.



Je l’entends parler au téléphone et bien sûr la conversation me concerne, elle rit de bon cœur en racontant à sa copine ma correction, comment elle m’a déculottée, comment j’ai gigoté, la couleur de mes fesses.

— Tu as vu la photo sur Twitter ?

— …

— Ça tu peux le dire, elle en a pris une bonne.

— …

— Elle était prévenue, mais je n’ai pas fini.

— …

— Tu as vu sa paire de fesses, une seule fessée ne suffit pas.

La conversation s’éternise et je suis là, impuissante, j’ai vraiment l’impression que sa copine est dans la pièce et qu’elle aussi contemple mon derrière.

— Rassure-toi tu les verras bientôt en vrai, je lui ai promis une fessée cul nu en public.

Sa menace prend forme, je serre les fesses, m’attirant une réflexion ironique :

— Tu as raison de serrer tes grosses fesses ma chérie, Ambre va bientôt les voir de près.



Ambre est une coquine, je lui ai souvent claqué les fesses, mais ce qu’elle préfère c’est faire panpan cucul à nos copines respectives, elle a une redoutable technique pour déculotter la fille qui se penche et lui tend ses fesses, elle baisse le legging en même temps que la culotte et administre quelques claques bien senties. Ce n’est pas une vraie fessée déculottée comme celle que j’administre à Sylvie, mais la déculottée surprend la punie et lui rougit quand même le derrière. Je ne sais pas encore si je l’autoriserai à fesser ma petite chérie, je crois qu’elle sera seulement spectatrice de sa correction, ce sera déjà assez humiliant pour Sylvie de se faire baisser la culotte devant elle. Je raccroche en lui disant que la surprise est pour bientôt.



Je l’entends faire une bise à sa copine :

— Viens un peu ici vilaine fille.

Quand je me retourne, je n’enlève pas mes mains de ma tête, je sais qu’il faut que j’attende son autorisation. Elle tient sa brosse à cheveux à la main, elle l’a achetée spécialement pour mon derrière, elle est large et lourde, chaque coup provoque une douleur intense, je sais que ça ne sert à rien mais j’essaye quand même :

— Non mademoiselle, s’il vous plaît… pas la brosse, j’ai déjà été bien punie, mes fesses me brûlent.

Elle sourit et me fait un petit signe du doigt :

— Bien sûr que tu vas recevoir la fessée avec la brosse, c’est ce qu’il faut aux vilaines filles. Ton bon gros derrière à besoin de ça ma petite chérie pour apprendre à ne plus désobéir. Approche !



Elle est la, devant moi, les joues rouges de honte, adorable avec ses mains sur la tête. Bien sûr que je vais lui administrer la fessée qu’elle mérite, ma brosse à cheveux va s’occuper de ses fesses déjà bien rouges, elle est contre mes genoux, je claque sa croupe pour l’inciter à se mettre en position.

Voilà elle est couchée en travers de mes cuisses, j’adore cette position pour donner la fessée déculottée. Otk en anglais, c’est la plus honteuse pour une adulte, ça la ramène à l’enfance, et ses fesses sont à disposition, parfaitement exposées. Je la fais basculer vers l’avant pour que ses pieds quittent le sol, j’aime tellement les voir danser pendant la correction.



Je suis en position disciplinaire pour la deuxième fois de la journée, avant de rencontrer ma jeune maîtresse, je fantasmais sur cette position. Présenter mon derrière dénudé quelle honte et quelle excitation, mais maintenant que j’ai goûté à ses sévères corrections toute excitation à disparu, seule persiste la honte et l’angoisse de la punition.

Soudain une brûlure intense sur ma fesse droite puis sur la gauche, pas de préliminaires pour la fessée, mademoiselle Héloïse est en colère :

— À tu ne veux pas obéir et bien tant pis pour tes fesses, je te garantis que tu vas la sentir celle-là !



Ses bonnes grosses fesses se sont mises à danser immédiatement, j’adore ce spectacle de la raie qui s’ouvre largement, de ses pieds qui battent l’air. Elle crie et supplie immédiatement, à soixante-dix ans elle a retrouvé ses accents de gamine, j’aime la corriger mais ce n’est pas un jeu c’est une vraie punition. Son derrière était déjà bien rouge mais il est maintenant cramoisi et elle pleure. Je compte toujours mes coups, j’en suis à cinquante sur chacune de ses fesses, je pose ma main dessus, elles sont brûlantes :

— Tu désobéiras encore ?

— Non, non mademoiselle Héloïse… pardon…

Je souris en pensant à sa prochaine fessée déculottée devant mes copines.

— Je veux en être sûre, encore dix sur chaque fesse.




Bien sûr que je ne désobéirai plus, quand vous venez de prendre une telle correction, vous promettez tout ce que veut la maîtresse. Dix de plus, non mon dieu… mes fesses ne sont plus qu’une boule de feu. Elle a administré les dix coups sur chacune de mes fesses, calmement en prenant son temps comme pour mieux apprécier cette fessée, puis elle m’a encore gardé un moment couchée sur ses genoux. Quand la correction s’arrête la cuisson persiste, mais c’est quand même un soulagement, sa main caresse mon derrière :

— Alors ma chérie, tu as compris ?

— Oui, oui mademoiselle.

J’espère toujours l’amadouer en répondant vite.

— Tu vas retourner au coin, pour bien réfléchir à ton comportement, allez debout !

Elle a claqué sèchement ma croupe endolorie pour me faire relever et une nouvelle fois elle m’a tiré par l’oreille pour m’amener dans ce coin que je commence à connaître :

— Tu vas rester là une heure, je commence à en avoir assez de ton comportement, ça va t’apprendre.

Je savais que ma punition n’était pas finie, mais pas à rester si longtemps le nez contre le mur. C’est la première fois qu’elle m’impose ça.

J’ai gémi, mais elle m’a vite calmée en me coinçant sous son bras et en m’administrant une dizaine de très fortes claques sur les fesses :

— Tu arrêtes de pleurnicher, j’ai dit une heure, ce sera une heure, je ne veux plus t’entendre !!

Je suis donc restée une heure en pénitence, les fesses rouges bien exposées, elle a fait de nombreuses photos qu’elle a posté sur Twitter.

Je peux vous dire que c’est vraiment long et quand elle m’a appelée je lui ai promis de ne plus recommencer, j’étais soumise totalement à ma jeune et sévère maîtresse. Malheureusement celle-ci n’oublie jamais ses promesses, elle m’a promis une punition exemplaire, elle m’annonce donc la suite :

— Tu retires ta culotte, tu en es privée jusqu’à ce soir, tu garderas également ta jupe épinglée dans ton dos et tu vas aller commenter ta punition sur Twitter avec les photos que j’ai faites, je veux que tous tes abonnés et les miens soient au courant de la bonne fessée déculottée que tu viens de recevoir. Et ce soir avant d’aller au dodo à vingt heures trente comme une vilaine fille, tu auras droit au martinet, tu verras comme on dort bien avec une paire de fesses bien chaudes.

Le programme s’est déroulé à la lettre,, j’ai donc posté mes fesses rubicondes sur mon compte et j’ai expliqué pourquoi Héloïse m’avait punie, c’était encore une humiliation supplémentaire, mais malgré tout teintée d’une légère excitation.



Je vais dormir chez ma chipie ce soir, je lui ai promis une dernière déculottée au martinet et je veux pouvoir la surveiller cette nuit. Surtout qu’elle ne le sais pas encore, mais demain c’est journée fesses rouges.

Elle était prévenue qu’à la prochaine désobéissance nécessitant une fessée déculottée, elle y aurait droit. J’en suis tout excitée, j’ai lu sur le blog d’une autre Sylvie comment il fallait s’y prendre pour que la punie garde une belle paire de fesses écarlates en permanence, ma petite chérie va y goûter.



A l’heure dite, j’ai été envoyée dans ma chambre :

— Tu files te préparer, pipi, laver les dents et tu m’attends en tenue pour la nuit.

C’est très curieux de recevoir ce genre de consignes à mon âge, mais je commence à m’y habituer, par contre aller au lit si tôt, c’est un peu difficile. Ma tenue pour la nuit a changé également sur instructions de ma sévère maman, j’étais adepte des pyjamas, j’ai dû les abandonner pour des nuisettes assez courtes à porter bien sûr sans culotte :

— Tes fesses seront plus vite à ma disposition.

C’est ainsi qu’elle avait justifié cette tenue, j’avais rougi et le lendemain j’avais été acheter trois nuisettes blanches avec un peu de dentelle au niveau de l’ourlet ; C’est dans cette tenue que je l’attendais au pied de mon lit.

Elle est entrée avec le martinet à la main, elle a désigné le lit :

— Tu te mets à genoux et tu couches ton buste sur le lit.



Dès que j’ai été en position, elle a relevé la chemise de nuit bien haut sur mes reins, en tournant la tête, je pouvais voir dans la glace mon derrière encore rouge, bien tendu vers l’arrière. J’ai senti les lanières caresser mon fessier, c’est angoissant, mais ça me rappelle tant de souvenir, quand j’étais jeune fille et que ma mère utilisait le martinet pour me corriger, je serre les fesses ce qui fait rire Héloïse :

— Tu peux serrer les fesses ma chérie monsieur martinet adore cingler les bons gros derrières comme le tien.

Elle tapote ma croupe avec sa main :

— Détends-toi, de toute façon tu vas la recevoir, tu le sais que ça fait plus mal quand on a les fesses serrées.

Bien sûr que je le sais, mais c’est quand même dur… Je relâche la contraction de mon derrière.

— On va dire trente coups de martinet ma petite chérie.

— Oh non, mademoiselle, pas trente…

Je le sais pourtant qu’il ne faut jamais contester une punition, la sanction a été immédiate :

— Comment ça non ? Eh bien on va dire quarante, ça te convient mieux ?

J’ai enfoui ma tête dans la couette et j’ai répondu en sanglotant :

— Euh… oui pardon mademoiselle.

Elle s’est mise à rire en caressant mes fesses :

— Eh bien voilà, nous sommes d’accord, je crois que ton bon gros derrière en a vraiment besoin.

Les lanières ont commencé à cingler mes fesses tendues, ça brûle énormément, je vous prie de le croire. Quand la correction a été finie, je pleurais comme une madeleine.



Ma petite chérie a le don pour me tendre la perche, elle le sait que comme sa maman quand elle était adolescente, j’augmente toujours la punition si elle se met à récriminer, et bien elle a eu droit à dix coups de martinet en plus. Sa bonne paire de fesses peut très bien les supporter, l’avantage de cet instrument, c’est qu’il rougit parfaitement le derrière sans blesser ni laisser de traces disgracieuses. Par contre si j’en juge à ses cris et à ses pleurs, elle l’a senti passer cette dernière fessée. Ses fesses ressemblent à deux grosses tomates bien mûres, quel régal. Je vais lui concocter une dernière petite humiliation avant le dodo.

J’aime lui garnir les fesses après la fessée, j’ai mis un oreiller au milieu du lit et je l’ai fait s’allonger dessus, son fessier est bien surélevé. J’écarte avec deux doigts ses deux globes brûlant, je sais qu’elle déteste ça, au début elle resserrait ses fesses, mais après quelques bonnes déculottées, elle se laisse faire. J’adore cet instant où je mets à jour son petit trou habituellement caché entre ses deux fesses serrées, je pose mon doigt dessus pour qu’elle comprenne ce qui va lui arriver :

— Tu n’as pas été sage maman Héloïse n’est pas contente, tu sais ce qui va t’arriver maintenant ?



Elle tient mes fesses largement écartées, j’en ai l’habitude mais c’est toujours une humiliation de sentir ses deux doigts dans ma raie, elle a le chic pour poser les questions auxquelles on a pas trop envie de répondre. Mes fesses sont trop cuisantes pour une autre fessée :

— Euh… oui mademoiselle, vous allez me prendre la température…

Elle se met à rire et je sens son doigt qui titille mon petit trou :

— En quelque sorte, mais le thermomètre n’est pas assez gros pour te punir ma chipie. Tu vas avoir droit à mon gros stylo et tu vas le garder un bon moment crois-moi.

Elle a trouvé ce gros stylo à bout arrondi et renflé, elle l’a toujours sur elle et j’ai déjà dû le garder des heures entières bien enfoncé entre mes fesses.

Je le sens pénétrer, j’essaye de détendre mes muscles, si elle sent une résistance je suis bonne pour la brosse à cheveux. Enfin ses doigts relâchent mes fesses :

— Il est bien en place, il va y rester au moins une heure.

Je me suis fait une raison, de toute façon cette punition était méritée, je le sais… Mais soudain elle ajoute en me tapotant le derrière :

— Tu te rappelles ce que je t’ai promis la dernière fois ?

Mon sang se glace, elle a encore des projets pour mes fesses ?

— Euh, non mademoiselle.

— Ah bon ? Eh bien je vais te rafraîchir la mémoire. Je t’ai promis une journée fesses rouges à ta prochaine bêtise, eh bien nous y sommes, demain je vais m’arranger pour que tes fesses gardent une jolie couleur pendant vingt-quatre heures.



Chose promise, chose due, je suis sûre qu’elle avait oublié la journée fesses rouges, à la manière dont son derrière s’est crispé, je pense qu’elle regrette amèrement d’avoir utilisé son téléphone en conduisant. La leçon sera profitable.



mardi 26 août 2025

L'institut suite 9

 

Un plug pour Héloïse



Quand madame Rose arriva, Héloïse était couchée sur les genoux de Sophie pour la dernière fessée de la pénitence, elle s’arrêta pour regarder en souriant le fessier de la jeune femme.

— Ces fesses sont bien rouges, tu as eu des problèmes avec cette demoiselle ?

Sophie cessa la punition mais garda Héloïse en position, elle avait posé sa main sur la fesse droite de la jeune femme. Elle se fit un plaisir de raconter les difficultés qu’avait cette jeune patiente pour accepter le thermomètre et le suppo. Elle expliqua en détail les punitions qu’elle lui avait administrées. Héloïse écoutait en silence, elle sentait la main de la jeune assistante posée sur son derrière et le regard réprobateur de la directrice, ses fesses n’allaient certainement pas être au repos. Madame Rose s’approcha et palpa le fessier brûlant :

— Je crois que je vais encore avoir un entretien avec les fesses de cette jeune femme. Tu me l’enverras dès que tu auras terminé.

La fessée repris avec les supplications d’Héloïse, ce léger intermède avait permis aux fesses de retrouver leur sensibilité, la cuisson était pire.

Dès qu’elle fut relevée, Sophie après lui avoir remonté la culotte à mi-cuisse la conduisit, en la tenant par l’oreille, au bureau de madame Rose.

Celle-ci regarda d’un air gourmand la jeune étudiante, elle aimait fesser les dames d’âge mûr et les ramener à un rôle de gamine, mais les derrières bien rebondis et fermes comme celui d’Héloïse était très agréable à corriger. Elle fit un petit signe à Sophie pour qu’elle fasse pivoter la punie :

— Montre-moi le résultat.

La croupe bombée, d’un rouge profond, était magnifique, elle se contractait spasmodiquement pour atténuer la brûlure qui devait l’envahir, madame Rose adressa un sourire à son assistante :

— Joli travail, cette demoiselle a un derrière à fessée, je me demande si elle n’aime pas se le faire rougir. Mets-la au coin en attendant, il faut que ses fesses refroidissent un peu pour mieux sentir la suite.

Sophie s’exécuta et aborda le cas d’Agnès :

— Je ne sais pas ce que nous allons faire, ses fesses sont toujours aussi joufflues, bon c’est agréable pour lui donner la fessée, mais quand même.

Madame sourit à la remarque malicieuse de sa jeune employée, elle aimait donner la fessée ça se voyait, elle en recevait beaucoup mais en distribuait certainement plus. Avec Aurélie elle formait une bonne équipe, elle leur faisait entièrement confiance, cette petite Ambre avec son magnifique fessier et son petit air pervers serait certainement une bonne recrue.

Elle se fit expliquer le traitement d’Agnès :

— Effectivement on ne peut guère l’augmenter, mais on peut sans doute l’améliorer. Amène-la-moi.

Quelques instants plus tard, les joues rouges et les yeux larmoyants, Agnès entra dans le bureau, Sophie lui claquait le derrière pour la faire avancer, madame Rose avait pris son air sévère :

— Voilà notre délinquante, approchez !!

Comme elle l’avait fait pour Héloïse la jeune assistante la fit pivoter afin qu’elle présente son large derrière à la directrice de l’institut :

— Effectivement il y a du travail, comme pour Héloïse je te félicite, jolie couleur.

Elle s’approcha d’Agnès et lui saisit l’oreille :

— Venez un peu ici madame, je vais avoir une petite conversation avec vos fesses, je crois que vous avez beaucoup de choses à me raconter.

Elle s’était installée sur une chaise et elle bascula la responsable du magasin de lingerie en travers des ses cuisses. Elle commença à palper le derrière, le pinçant, écartant les deux bonnes grosses fesses :

— Pourquoi n’avez-vous pas suivi le traitement ?

Une magistrale claque avait accompagné la question, suivi d’un cri d’Agnès.

— Aïe, pardon madame, je, je… n’avais pas le temps… aïe, aïe, aïe…

Une dizaine de claques s’abattirent sur la croupe déjà très rouge :

— Vous vous moquez du monde, je vais vous apprendre.

Une énième fessée s’abattit sur les fesses de la pauvre Agnès, Héloïse, le nez collé contre le mur avait mal pour son amie, elle pensa « bientôt ce sera mon tour ».



Enfin madame Rose cessa de martyriser le plantureux derrière, Agnès sanglotait doucement. Calmement la sévère matrone posa sa main sur le fessier :

— Puisque vous semblez vouloir n’en faire qu’à votre tête, on va s’occuper particulièrement de vous. Vous allez continuer le traitement actuel jusqu’à ce que vos fesses aient diminué de volume et gagné en fermeté, vous viendrez donc matin et soir tous les jours, la séance dure environ une heure trente, vous serez là tous les matins à huit heures, ensuite vous irez au travail et vous aurez votre séance du soir à dix-huit heures. Pendant un mois vous viendrez en pénitence tous les midis, on en profitera pour vous mettre le suppo. Pour finir, comme vous avez besoin d’être surveillée, tous les week-ends vous irez à tour de rôle chez moi puis chez Sophie et Aurélie, comme ça vous n’aurez pas d’interruption du traitement et ça vous évitera de faire des bêtises, ceci jusqu’à ce que je juge le traitement suffisant.

Elle termina sa péroraison en administrant une bonne claque sur chacune des bonnes grosses fesses :

— Vous avez compris ?

— Oui madame Rose, aïe, aïe…

La directrice venait de lui administrer une dizaine de claques :

— Bien, vous allez pouvoir y aller, je vous attends ce soir à dix-huit heures pile pour votre traitement.

Elle se pencha et retira complètement la culotte.

— Vous êtes privée de culotte pour l’après-midi, ça permettra à vos fesses de refroidir.

Agnès se releva, elle devait avoir littéralement le feu aux fesses et le programme annoncé par madame Rose lui promettait de les avoir rouges quasiment en permanence. Sophie la raccompagna dans le secrétariat, elle la fit tourner pour lui dégrafer la jupe :

— Voilà, vous allez pouvoir travailler cet après-midi avec les fesses bien aérées.

Elle claqua une dernière fois le fessier avant de remettre la jupe en place.

— Soyez à l’heure.

Dans le box voisin, Aurélie s’occupait d’une jeune fille, Ambre assistait à la correction, comme la porte était ouverte, Sophie put constater que sa collègue ne lui avait pas permis de remettre sa jupe en place, son magnifique derrière cramoisi était parfaitement exposé. On distinguait le battement de jambes de la punie, ses fesses étaient masquées par la jeune femme.

Dans le bureau de la directrice une autre pièce se jouait, dès qu’Agnès eut quitté le bureau elle avait appelé Héloïse :

— Viens ici !!

Le tutoiement et le ton sans réplique avait impressionné la jeune femme, elle s’était retournée en gardant ses mains sur la tête, madame Rose était restée assise, elle lui fit un petit signe :

— En position jeune fille, nous avons à parler.

Héloïse compris que c’était surtout à ses fesses que la sévère matrone allait s’adresser, en un clin d’œil elle retrouva cette position qui lui devenait familière, pourtant une semaine auparavant elle n’aurait jamais cru cela possible, recevoir une fessée déculottée à son âge.

— Tu es bien installée ?

Madame Rose explora le joli derrière bien rouge, elle écarta les fesses largement, instruite par l’expérience la jeune femme se laissait faire.

— Alors comme ça tu n’aimes pas montrer ton petit trou.

Elle avait posé son doigt sur l’anus et le titillait :

— Il va falloir t’habituer ma petite sinon tu auras souvent les fesses rouges. Pour t’apprendre tu vas avoir droit à un plug pendant deux heures, si ce n’est pas suffisant et qu’on est encore obligée de sévir, ça sera une demi-journée puis une journée entière.

Elle prit un plug de petite taille et le posa sur la rondelle, Héloïse gémit en le sentant pénétrer :

— Cesse immédiatement ces jérémiades, je sais que c’est plus gros qu’un suppo mais la prochaine fois tu laisseras Sophie te le mettre.

La jeune fille sentait l’instrument de punition la pénétrer, elle essayait de ne pas contracter ses fesses, c’était une sensation nouvelle pour elle, c’était légèrement douloureux mais beaucoup moins qu’une fessée et elle sentait une légère excitation la gagner, comme quand Sophie avait fait coulisser le thermomètre. Il lui semblait que l’engin n’allait jamais finir de rentrer, madame Rose souriait, elle devinait la honte de la jeune femme, mais elle savait aussi qu’un plug était souvent excitant elle le ressortit puis le rentra encore plus profondément, il fallait que la punie le sente bien dans son fondement et qu’elle intègre sa punition.

— Tu le sens bien dans ton petit trou ? voilà il est bien en place, maintenant on va régler ton problème de désobéissance.



Elle prit la lourde brosse à cheveux et commença à fesser le derrière rebondi, sous la brûlure Héloïse se cabra et hurla, la douleur était intense, comme l’avait prévu l’experte fesseuse, le temps de coin avait permis aux fesses de refroidir légèrement et de retrouver leur sensibilité. La fessée n’en était que plus douloureuse donc plus efficace. Héloïse la gratifia d’une jolie danse des fesses.

— Maintenant, tu files voir Sophie qu’elle te remette au coin, ton derrière va illuminer le secrétariat.

Héloïse, les joues baignées de larme, quitta le bureau, madame Rose la regarda s’éloigner en souriant, cette petite avait vraiment une jolie paire de fesses. Elle aurait peut-être du mal à s’asseoir ce soir.

Sophie leva les yeux en entendant la punie arriver :

— Tu as chaud aux fesses ? Montre-moi ça.

Docilement Héloïse présenta son fessier, il était littéralement cramoisi après la dernière fessée à la brosse. L’assistante s’approcha et passa un doigt sur les fesses :

— Madame Rose t’a bien soignée dis-moi. Tu recommenceras à serrer les fesses quand je te mettrai le thermomètre ?

— Non, non mademoiselle Sophie.

Elle écarta les deux fesses :

— Et le plug ? c’est bon ?

Héloïse se mit à gémir :

— Oh non mademoiselle, c’est gros… Aïe.

La main de Sophie venait de claquer le derrière de la jeune étudiante :

— Cesse de chouiner, si tu n’avais pas fait toutes ces histoires pour te faire mettre le thermomètre et le suppositoire, tu n’en serais pas là. Que t’as dit madame Rose ?

Héloïse se mit à pleurnicher :

— Je… je dois aller au coin…

— Eh bien qu’est-ce que tu attends, file !

Une magistrale claque sur le derrière écarlate indiqua la direction à la jeune femme.

La punie regagna à nouveau ce coin où elle avait passé de longs moments depuis ce matin, c’était humiliant d’exposer ainsi sa croupe bien rouge, mais c’était beaucoup mieux que d’être couchée sur les genoux d’une dame de l’institut en train de recevoir une fessée. Dans un coin elle aperçut une autre paire de fesses juvénile qui avait la même couleur que les siennes.

C’était la jeune fille qui recevait la fessée au moment où Agnès quittait l’institut, elle s’appelait Clémentine, elle en eu la confirmation quand Aurélie s’approcha d’elle pour lui palper le derrière :

— Cesse de te tortiller comme ça ma petite Clémentine, tu en as encore pour une demi-heure et je pense que tes fesses seront encore rouges quand tu retourneras à l’école.

Ambre faisait le ménage, elle était toujours les fesses à l’air, Aurélie ayant décidé que son derrière méritait d’être exposé en permanence. C’était un spectacle particulièrement coquin que de la voir se pencher ou tortiller ses fesses bien rouges, les deux assistantes la regardaient, amusées :

— Notre petite stagiaire met du cœur à l’ouvrage, tu ne trouves pas que son derrière a un peu trop pâli ?

Sophie n’avait pas fessé Ambre depuis la veille et sa main la démangeait, sa collègue la regarda en souriant :

— Toi, je crois que tu aimerais bien lui en flanquer une.

— Tu as deviné ! Un si beau fessier ça mérite d’être entretenu et puis si on la met au coin à côté des deux autres chipies, on pourra comparer les couleurs.

Aurélie se mit à rire :

— Très bonne idée, tu vas utiliser quoi pour lui tanner le derrière ?

— Elle a goûté à quoi depuis ce matin ?

— On va lui demander et si elle se trompe elle aura droit à une double fessée. Ambre vient un peu là.

La jeune stagiaire leva la tête en rougissant, elle n’avait rien perdu de la discussion la concernant, son derrière s’était crispé en entendant la dernière phrase d’Aurélie, elle s’approcha :

— Tourne-toi qu’on voit bien ton derrière et tu expliques à Sophie combien je t’ai donné de fessées et avec quoi ?

Ambre tendait sa croupe écarlate, elle espérait amadouer les deux assistantes en leurs présentant bien son fessier. Elle avait tort, car ces deux-là aimaient vraiment les fesses des dames, en avoir de très appétissantes à disposition ne pouvaient que leur donner des idées.

— Euh… j’ai reçu cinq fessées… avec la main, euh… aïe, aïe…

— Dépêche-toi un peu !

La main d’Aurélie venait de claquer très sèchement le derrière de la jeune femme.

— Oui, oui, pardon mademoiselle Aurélie, avec mademoiselle Claquefesse, avec madame Tapecul et…

Elle hésita, depuis le début de son stage, ses fesses avaient goûté à tellement d’instruments qu’elle s’y perdait un peu. Sophie fit un petit clin d’œil à sa collègue :

— Je crois que cette chipie à besoin qu’on lui rafraîchisse la mémoire. Une double fessée, ça te dit ?

— Oh que oui, il faut que notre petite Ambre découvre ça.

Elle disposa une deuxième chaise en face de celle qui avait servi pour les diverses fessées de la journée et elles s’installèrent face à face, les genoux de l’une, s’insinuaient entre les cuisses de l’autre formant une plate-forme. Sophie tendit la main et attrapa Ambre par le poignet puis elle la fit se coucher sur les quatre cuisses :

— Allez en piste ma petite, tu vas goûter à une spécialité maison.

Elles se regardèrent pour bien coordonner la fessée, c’est Sophie qui administra la première claque sur la fesse droite, Ambre eu à peine le temps de crier que la main d’Aurélie s’abattait sur la gauche. Dès que la main de l’une se relevait, l’autre atteignait la fesse, il n’y avait aucune interruption dans la brûlure, même une fessée donnée très rapidement ne pouvait atteindre ce rythme.



Le derrière de la jeune stagiaire ressemblait à un brasier ardent, mais ce fut bientôt pire car délaissant la fessée manuelle, les deux perverses saisirent chacune une mademoiselle Claquefesse, ses cris furent déchirants, les pleurs se mêlaient au bruit infernal des deux spatules en cuir claquant la peau nue.

Héloïse et Clémentine, les deux punies qui étaient au coin, serraient les fesses en entendant cette magistrale correction, elles étaient finalement contentes d’être en pénitence.

Après la fessée avec mademoiselle Claquefesse, le derrière d’Ambre bien que fumant et cramoisi goûta une courte correction avec la redoutable paddle, madame Tapecul.

Estimant que les fesses de leur future collègue avaient été suffisamment corrigées, elles cessèrent de les claquer :

— Alors ma petite chérie, ta mémoire t’es revenue ?

Ambre sanglotait toujours, sa croupe la brûlait atrocement.

— Oui… mademoiselle… ça brûle…

— C’est fait pour ça ma chérie, alors ?

— Euh, le martinet, la babouche en cuir…

— Eh bien, nous y voilà, c’est curieux comme une bonne fessée peut être efficace… Tu vas retourner au travail, je viendrai vérifier tout à l’heure si ce box est correctement nettoyé, si ce n’est pas le cas, je te ferai goûter à un autre instrument. Allez file !!

Héloïse était restée une heure au coin, Sophie jugea que ses fesses avaient besoin de reprendre un peu de couleur, elle l’appela alors qu’une patiente entrait :

— Bonjour, si vous permettez, je dois d’abord m’occuper des fesses de cette demoiselle, je suis à vous tout de suite.

Elle courba la jeune étudiante sous son bras et lui administra une rapide mais cuisante fessée avec mademoiselle Claquefesse, celle-ci trépigna sur place sous le regard amusé de la dame.

Recevoir une vraie fessée en public voilà qui était nouveau, elle n’avait reçu ce châtiment humiliant que devant des gens qu’elle connaissait plus ou moins, maintenant elle pleurait autant de honte que de douleur de la recevoir devant une inconnue.

Pour compléter son humiliation, Sophie la fit se coucher sur la plate-forme à côté de son bureau. Sa croupe écarlate était étalée devant les yeux de toutes les clientes. La position laissait également entrevoir le plug qui garnissait son petit trou.

Satisfaite, Sophie se tourna vers la dame :

— Je suis à vous.

— Bonjour, mademoiselle quelle technique, je vous félicite, cette demoiselle a vraiment une magnifique paire de fesses. Une amie, la baronne De Nouvel m’a parlé de votre service de fessées à domicile, je suis intéressée.

Tout en parlant la dame énergique jetait de temps en temps un regard intéressé aux fesses d’Héloïse, elles étaient vraiment ravissantes. Elle expliqua qu’elle dirigeait à la suite de sa mère un petit atelier de confection, celle-ci y faisait régner une stricte discipline. Elle ajouta dans un sourire en regardant le fessier cramoisi de la jeune femme :

— Maman obtenait de très bons résultats en rougissant de cette façon les derrières de ses employées. Mais malheureusement depuis qu’elle est disparue je me sens un peu démunie pour faire régner l’ordre dans l’atelier, il y a du relâchement, les plus âgées des dames m’ont connue plus jeune et elles m’ont vue recevoir la fessée par maman, je ne me sens pas très légitime pour les corriger.

Sophie avait écouté en silence :

— Effectivement il est temps de reprendre les choses en main. Vous n’avez donc pas administré la moindre fessée depuis la disparition de votre mère ?

— Non… Depuis trois mois aucun derrière n’a pris l’air dans l’atelier, alors que du temps de maman c’était quotidien.

— Et pour vous c’est pareil ?

Blandine, c’était le nom de la jeune femme la regarda étonnée :

— Comment ça pour moi ?

— Oui, vous n’avez pas été déculottée depuis plus de trois mois ?

La cliente piqua un fard et baissa les yeux, Sophie n’y avait pas été par quatre chemins, le mot déculottée était explicite.

— Euh, non, c’est-à-dire, c’est un peu gênant.

Sophie était devenue psychologue, elle savait immédiatement si elle avait affaire à une soumise ou à une dominatrice, Blandine se rangeait dans la première catégorie, il était temps de ferrer le poisson :

— Pas plus gênant que de regarder les fesses rouges d’Héloïse, venez ici !

La jeune femme chercha à protester, mais Sophie la tenait déjà par le poignet :

— Vous désirez bénéficier de notre service de fessées à domicile, je vous propose une séance d’essai gratuite.

En un clin d’œil, Blandine se retrouva dans une position qui ne lui était pas inconnue puisque c’était celle qu’utilisait sa mère pour la fesser. Sophie ne s’embarrassa pas de fioriture, la jupe vola sur les reins, dévoilant des dessous sexy et une jolie paire de fesses, bien joufflue mais qui paraissait ferme malgré tout, le déculottage fut tout aussi rapide et la fessée manuelle également.




Héloïse malgré sa position humiliante était satisfaite que la dame qui avait pu assister à sa fessée et admirer son fessier, reçoive elle aussi ce châtiment enfantin. Blandine avait l’air d’être habituée à recevoir de sévères corrections, car si elle avait crié et battu des jambes, elle n’avait pas pleuré, pourtant comme à son habitude, Sophie n’avait pas ménagé sa peine. Elle palpa le fessier, il était rouge et chaud, mais pas brûlant :

— Après cette fessée d’échauffement que nous proposons comme service de base, je vais vous faire goûter à l’une de nos spécialités maison.

Elle avait à la main la paddle percée appelée madame Tapecul, celle-ci s’écrasa avec un bruit sec sur la croupe déjà rouge et les cris de la dame reprirent de plus belle, Sophie ne cessa la punition que quand Blandine se mit à pleurer.

— Nous y voilà, la maison garantit ses fessées, les dames qui la reçoivent finissent toujours avec un derrière brûlant et des larmes qui coulent.

Elle fit relever la dame, celle-ci porta les mains à ses fesses, Sophie la regarda sévèrement ce qui eu pour effet immédiat de lui faire mettre les bras le long du corps :

— Reculottez-vous. Pas de passage au coin pour aujourd’hui, mais ça ne sera pas toujours le cas.

Tandis que Blandine remontait sa culotte, elle posa sur son bureau une brochure :

— Vous avez là toutes nos prestations, je vous laisse réfléchir, si vous êtes d’accord avec nos propositions, il vous faudra avoir un rendez-vous avec madame Rose la directrice de l’institut.

La nouvelle cliente remercia et quitta le secrétariat non sans avoir jeté un dernier coup d’œil au derrière d’Héloïse. Sophie le palpa :

— Encore un quart d’heure, tu vas rester là tes fesses sont bien mises en valeur.






mardi 19 août 2025

L'institut suite 8

 

Traitement et punition du midi



À huit heures pile, elles se retrouvèrent à la porte de l’institut, Agnès fit une bise à sa nouvelle jeune maîtresse. Héloïse lui sourit en posant sa main sur son derrière :

— Ça va ce matin ? Ton gros popotin te cuit encore.

La dame qui aurait pu être sa mère ne s’offusqua pas de ce geste, elle eut sourire coquin :

— Tu fesses bien pour ton âge mais Mado avait une main encore plus sèche, quant aux deux chipies de l’institut je ne t’en parle même pas. J’ai beau avoir l’habitude je ne peux pas m’empêcher de serrer les fesses sous ma culotte.

Elles discutaient encore quand Ambre leur passa devant. Elle ne les regarda pas, elle avait l’air soucieuse, Héloïse fut surprise de sa tenue de collégienne et de cette jupe ultra courte qui montrait presque sa culotte. Son visage ne lui était pas inconnu, elle commença à réfléchir et juste au moment où la jeune femme disparaissait, elle se souvint d’elle. Mais oui, c’était Ambre, cette coquine qui était dans sa classe au collège, elle n’avait pas trop changé, déjà à quatorze ans elle était fière de ses fesses, depuis elles avaient pris du volume et de la fermeté.

Héloïse se mit à rire intérieurement « toi ma petite, tu ne vas pas avoir froid au derrière, avec un popotin pareil, j’en connais deux qui vont se régaler ». Elle n’avait pas tort, à peine étaient-elles entrées dans le secrétariat que des éclats de voix se firent entendre, suivi du bruit si caractéristique dans ses murs, celui de la main claquant la peau nue :

— Je vais t’apprendre à répondre, ton derrière était encore rosé, mais je te garantis qu’il va être rouge.

— Non, non, aïe, aïe pardon mademoiselle Aurélie…

C’était bien la voix aiguë d’Ambre, elle n’avait pas changé, la porte s’ouvrit et Aurélie apparut tirant la jeune femme par l’oreille, elle était gênée pour marcher par sa culotte entravant ses genoux :

— On va commencer la journée par une bonne fessée cul nu devant tout le monde !!

Ambre était à peu près de la même taille qu’Aurélie, elle était musclée, mais la jeune assistante avait une grande habitude, elle distribuait les corrections plusieurs fois par jour, en un clin d’œil elle la souleva et la percha sur sa cuisse horizontale, la jupe remontée par la position dévoilait déjà la magnifique croupe, une fois retroussée, l’orgueilleux derrière apparut dans toute sa splendeur. Héloïse avait vu juste, cette paire de fesses musclées et bien ferme était vraiment volumineuse, des fesses à fessée comme on les aimait à l’institut.

Le derrière était déjà rouge de la première fessée reçue dans le box, mais ce n’était bien sûr pas suffisant, il fallait que les fesses brillent de mille feux, qu’elles fument comme disaient les deux assistantes quand elles voulaient administrer une magistrale fessée.

La pauvre Ambre avait déjà reçu un nombre considérable de fessées depuis qu’elle avait commencé son stage, mais celle-là compterait parmi les plus mémorables.

Héloïse et Agnès avaient assisté avec ravissement à la correction de la jeune femme, ce serait bientôt leur tour de montrer leurs fesses et connaissant Sophie nul doute qu’elles seraient rouges également. Héloïse se souvenait de la manie qu’avait sa copine de collège de claquer les fesses de ses camarades où même de leur baisser leurs leggings quand elles ne s’y attendaient pas, aujourd’hui c’était son tour de montre son derrière et d’effectuer une magnifique chorégraphie avec ses jambes qui pédalaient dans le vide et ses fesses qui s’ouvraient largement.

Sophie était assise au secrétariat, elle regarda les deux spectatrices :

— À nous maintenant, dans le box numéro deux, en culotte et soutien-gorge, vite !

Héloïse et Agnès furent déçues de ne pas assister à la fin de la correction, Aurélie venait de prendre mademoiselle Claquefesse et Ambre s’était mise à pleurer.

Instruites par l’expérience, elles se dépêchèrent de se dévêtir, Agnès avait abandonné les bas et porte jarretelles elle avait mis des bas autofixants et une jolie culotte rose ornée de dentelle qui avait bien du mal à contenir son plantureux popotin. Héloïse avait opté pour une culotte blanche assez échancrée qui laissait voir la base de son postérieur. Sophie entra en souriant :

— C’est bien vous n’avez pas traîné, ça vaut mieux pour vous, je viens de voir que vous êtes punies à midi, Aurélie m’a raconté, c’est du joli !!

Elle se tourna vers Agnès :

— Vous étiez passée où ? Je viens de voir votre dossier, votre dernière séance remonte à deux mois et les résultats n’étaient pas brillants.

Elle s’approcha de la dame de quarante-cinq ans qui rougissait comme une gamine grondée par son institutrice, elle la fit pivoter et pinça le morceau de fesses qui dépassait de la culotte :

— Eh bien, ça ne s’est pas arrangé, on en était déjà à deux séances par jour et trois suppos, on va commencer comme ça, mais je crains que cela ne soit pas suffisant, je verrai avec madame Rose.

Agnès ne répondit pas, mais comme elle l’avait dit à sa jeune amie, ses fesses étaient serrées sous sa culotte.

— On va passer aux mensurations, pour toi Héloïse c’est déjà fait, allonge-toi que je te mette le thermomètre, ça va nous faire gagner du temps.

La jeune femme frissonna, le ton sans réplique de la jeune assistante l’impressionnait, elle ne savait pas si elle allait décontracter ses fesses suffisamment. Elle s’allongea sur le ventre, Sophie plaça un coussin sous son abdomen et tapota le fessier tendu :

— Jolie culotte, mais un peu trop échancrée, tu t’es déjà fait confisquer celle d’hier, je crains que madame Rose n’apprécie pas non plus celle-ci.

Elle glissa ses doigts sous la lingerie et déculotta largement la jeune femme, même si elle commençait à avoir l’habitude de montrer son derrière, elle ne put s’empêcher de serrer les fesses, la raie médiane ne faisait plus qu’un trait au milieu des deux hémisphères. Sophie souriait, c’était toujours pareil avec les nouvelles, elles avaient un peu de mal avec le déculottage. Au cours du temps, elles s’habituaient à se faire baisser la culotte et à exposer leur derrière dénudé, elle prit un thermomètre et palpa le fessier :

— Il va falloir me desserrer ça ma petite, Aurélie m’a expliqué qu’elle avait dû te rougir le derrière, j’espère que tu as compris.

Héloïse se concentra pour relâcher ses muscles fessiers, elle savait que la perverse assistante n’attendait qu’une occasion pour lui flanquer une fessée. Elle sentit ses deux doigts se glisser dans la raie pour l’écarter, même si elle n’était pas une oie blanche et qu’elle jouait à des petits jeux pervers avec ses copines, se faire examiner son intimité ainsi était particulièrement honteux, surtout que Sophie savait y faire. Tout en tenant les fesses largement écartées elle posa son doigt sur l’anus de la jeune femme :

— On dirait que tu n’aimes pas montrer ton petit trou ma chérie, il va pourtant falloir que tu t’y habitues, ça fait longtemps que maman ne te prends plus la température ?



Héloïse était mortifiée d’être traitée comme une gamine, mais elle ravala sa fierté, Sophie avait la main leste. Elle sentit l’embout du thermomètre pénétrer doucement dans son fondement, la jeune assistante savait y faire, elle le fit coulisser, le rentrant puis le sortant :

— Détends-toi ma chérie, il ne peut pas rentrer ce n’est pas normal, fait un effort sinon c’est panpan cucul.

Elle poussa doucement sur l’instrument médical, mais les muscles du sphincter résistait, elle le retira complètement :

— On va passer aux bonnes vieilles méthodes, lève-toi !

Héloïse aperçut le sourire malicieux d’Agnès, celle-ci avait assisté avec un plaisir non dissimulé au traitement humiliant de sa jeune amie. Elle se jura de lui faire payer ce sourire ironique « tu vas voir ce soir ma chipie, tes fesses vont te cuire ». Sophie s’était installée sur une chaise et elle bascula sa patiente en travers de ses genoux :

— Je pense que tes fesses ont besoin d’être rouges pour se détendre.

La fessée pétarada immédiatement dans la pièce et Héloïse accompagna le bruit des claques sur ses fesses par un joli chœur de cris, de gémissements puis de pleurs. Son derrière était écarlate quand Sophie cessa la punition, elle écarta immédiatement les deux hémisphères rubiconds et comme par enchantement le thermomètre trouva son chemin et pénétra profondément sous les gémissements d’Héloïse, ce qui lui valu quelques claques supplémentaires :

— Vas-tu cesser de chouiner, tu veux une autre fessée ?

Elle la fit relever :

— Tu te remets en position et je ne veux plus t’entendre, tu as gagné une demi-heure de coin au secrétariat après ta séance.

Agnès avait apprécié le spectacle, mais c’était maintenant son tour, Sophie innova elle la déculotta avant de la faire monter sur la balance. Une bonne claque au milieu du fessier l’incita à se presser, c’était excitant de voir cette dame d’âge mûr la culotte à mi-cuisse, exposant son plantureux derrière, monter sur le pèse personne. Puis ce fut les mensurations des fesses des cuisses et de la taille. Sophie notait scrupuleusement sur l’ordinateur, elle fit une petite grimace quand ce fut fini :

— C’est bien ce que je pensais, le logiciel va mouliner tout ça, mais au vu des chiffres, un traitement standard ne suffira pas. Allez, en piste pour le thermomètre.

Agnès avait l’habitude, elle se laissa prendre la température sans difficulté, ce ne fut pas du goût de Sophie qui lui administra quand même une petite fessée en la morigénant :

— Ce n’est pas possible de se laisser aller comme ça, croyez-moi, je vais vous soigner, vous en avez pour un moment à venir me présenter vos bonnes grosses fesses.

Aurélie passa la tête par la porte :

— Ça se passe bien avec ces deux chipies ?

Elle vit le derrière écarlate de la jeune étudiante :

— Ah mademoiselle a encore eu du mal avec le thermomètre.

Sophie se mit à rire :

— Oui mais à force d’avoir le derrière bien rouge, on va y arriver.

Aurélie remarqua les fesses à peine colorées d’Agnès :

— Tu sais que cette dame a omis de revenir nous voir, je pense qu’en plus de son traitement, il faut lui prévoir quelque chose.

— Ne t’inquiète pas, elle aura un joli derrière bien rouge pour la pénitence du midi, tu en es où avec notre petite Ambre ?

— Elle vient de prendre un lavement, je lui laisse cinq minutes avec la canule dans les fesses, ensuite elle a rendez-vous avec madame Rose, elle doit lui mettre un plug pour le reste de la journée.

Sophie qui avait déjà goûté à ce genre de punition fit une grimace :

— Jusqu’à ce soir ? Eh bien cette petite a droit à un stage complet. Combien de fessées ?

— Deux seulement, j’ai été gentille.

Sophie esquissa un sourire :

— C’est vrai, cette chipie à vraiment un fessier adorable, un vrai plaisir de le lui claquer, il est tellement ferme que la main rebondit et puis il prend tout de suite une jolie couleur. Elle est mignonne comme tout quand elle gigote en travers de tes genoux, malheureusement pour elle, je crois que madame Rose a un faible pour son derrière.

Aurélie se mit à rire :

— C’est bien ça mettra les nôtres au repos.

Malgré sa honte d’exposer son derrière, Héloïse avait écouté avec plaisir les deux assistantes parler du sort de son ancienne copine. Elle ne savait pas encore pourquoi elle était là, elle le saurait bien assez tôt.

Le traitement se déroula sans accroc majeur, bien qu’elle ait déjà les fesses chaudes, la jeune femme n’échappa pas à la solide fessée destinée à chauffer l’épiderme du postérieur, elle s’allongea à nouveau sur la table d’examen avec une bonne couche de crème qui masquait à peine la rougeur de ses fesses. Sophie réserva un traitement spécial au bon gros derrière d’Agnès, habituellement les patientes n’avaient droit qu’à la main pour échauffer les fesses, mais elle eut droit en plus à mademoiselle Claquefesse. Elle pleurait à chaudes larmes quand la jeune femme lui créma le derrière.

Elles étaient là depuis déjà une bonne demi-heure, Sophie leur annonça qu’elle resterait ainsi les fesses exposées pendant encore une autre demi-heure, elle laissa la porte du box grande ouverte et vaqua à ses occupations. Elle avait à préparer sa visite hebdomadaire chez la baronne, elle l’appela pour connaître ses desiderata quant aux punitions prévues pour le personnel du château.

Aurélie s’occupait d’une jeune fille dans un box voisin, ça claquait dur.

Agnès et Héloïse avaient terminé leur traitement par une demi-heure au coin les fesses à l’air.

Héloïse avait repris une fessée supplémentaire au moment de l’introduction du suppositoire, Sophie lui avait annoncé :

— Tu vas t’y habituer ma chérie, sinon je vais être obligée de t’en mettre encore plus souvent.



Sophie regarda sa montre, il était onze heures trente et les deux punies étaient convoquées à midi pour la pénitence, elle décida d’être magnanime :

— Reculottez-vous, je vous laisse libre jusqu’à midi. Vos jolies fesses vont se reposer un peu. Mais soyez à l’heure.

Les deux amies se retrouvèrent dehors, un café se trouvait juste en face, elles y entrèrent. La serveuse leur jeta un regard ironique, elle les avait vu sortir de chez madame Rose. Les précautions qu’elles prirent pour s’asseoir confirma son impression, comme beaucoup de dames sortant de l’institut, ces deux-là devaient avoir une paire de fesses bien rouges sous leur culotte. Elles commandèrent un café.

— Cette garce de Sophie a toujours la main aussi sèche, je l’avais oublié.

Agnès glissa sa main sous son popotin et se mit à le frotter discrètement, ce qui fit sourire sa jeune amie

— Madame à chaud aux fesses, je te rappelle que ce soir je reviens m’en occuper.

Agnès fit une grimace et minauda :

— Oh non, s’il te plaît avec ce que je vais recevoir tout à l’heure.

Héloïse prit son air sévère :

— Apparemment ça n’a pas suffi hier, tu sais bien que chaque fois que tu protestes tu as droit à une fessée supplémentaire. Tu en recevras donc deux.

Agnès la regarda estomaquée, elle était de plus en plus surprise par Héloïse qui était aussi sévère que ses deux précédentes fesseuses. En même temps elle ne pouvait s’empêcher d’avoir un tendre sentiment pour elle.

Elle la regarda amoureusement :

— Oui mademoiselle, pardonnez-moi.

La serveuse leur apporta le café et leur demanda ironiquement :

— Vous êtes bien installées, les sièges sont confortables.

Sans attendre la réponse, elle tourna les talons, son fessier était moulé dans une jupe étroite, Héloïse se retient pour ne pas lui administrer une bonne claque dessus.

Agnès regarda sa montre, il était temps d’y aller. Elles virent Élisabeth arriver, Héloïse se tourna vers Agnès :

— Elle était déjà la hier, décidément ses fesses ne doivent pas être souvent blanches.

— Je la connais, effectivement elle est très souvent à l’institut, les deux chipies adorent son derrière. Si j’ai bien compris c’est une baronne et malgré on âge, sa mère a décidé qu’elle devait recevoir la fessée régulièrement. Quand ce n’est pas Sophie ou Aurélie qui la convoque, c’est sa mère qui l’envoie.

Elles entrèrent à la suite de la baronne De Nouvel, Aurélie sortait du box, elle leur jeta un regard moqueur :

— Alors les chipies, vos fesses sont reposées ? Sophie va s’en occuper.

Ambre se tenait à côté de Sophie, elle avait les yeux rougis, derrière elle suspendue à son crochet, sa culotte était exposée.

— C’est bien vous êtes à l’heure, tournez-vous.

Sophie prenait la direction des opérations, elle s’adressa à sa future jeune collègue :

— Tu retrousses les jupes des punies. Tu as des épingles ?

Ambre lui montra, il y avait une petite poche dans sa jupe. Elle se dirigea vers les trois dames qui lui tournait le dos. Elle commença par Élisabeth, celle-ci portait sa culotte de gamine, en coton blanc, qui jurait un peu avec ses bas et porte jarretelles de dame, elle lui tapota le derrière culotté, bientôt ce serait à elle de claquer ces derrières de bourgeoises.

Puis ce fut au tour d’Agnès d’exposer sa lingerie fine et son fessier qui en débordait largement. Elle eut droit elle aussi à une claque sur la base du derrière.

Ambre avait reconnu son ancienne copine, elle lui retroussa lentement la jupe, la culotte échancrée en dentelle dévoilait beaucoup le derrière rebondi, après avoir épinglé la jupe elle se tourna vers Sophie :

— Cette forme de culotte est autorisée ?

Elle claqua deux fois très sèchement la partie découverte des fesses. Sophie appréciait les initiatives de la jeune femme, c’était une bonne recrue.

— Je ne pense pas, notre petite Héloïse va encore être privée de culotte pour rentrer chez elle.

Elle se dirigea vers le râtelier à instrument, trois fessiers mais quatre instruments, Ambre compris qu’encore aujourd’hui elle serait soumise au même traitement que les punies. Sophie posa devant elle une brosse à cheveux, mademoiselle Claquefesse, un martinet et une babouche avec semelle de cuir. Elle ne proposa pas à la jeune stagiaire de choisir, elle avait déjà décidé quel fessier goûterait tel instrument.

Les trois punies lui tournaient toujours le dos, elles avaient posé naturellement leur main sur la tête, on sentait les fesses crispées sous la lingerie, Sophie s’approcha en souriant et palpa successivement les trois paires de fesses :

— Qui va venir en premier sur mes genoux pour que je la déculotte ?

Elle les laissa dans l’expectative et se tourna vers Ambre :

— Viens un peu ici.

Surprise du changement de ton, la jeune femme s’approcha, Sophie la fit pivoter et retroussa la courte jupette. Les fesses étaient encore bien colorées, elle la courba sous son bras :

— Écarte les jambes.

Une claque sèche au milieu du fessier incita Ambre à s’exécuter rapidement, l’assistante écarta les fesses, la rondelle du plug apparu au centre de la raie fessière.



— Un numéro trois, madame Rose t’a gâtée. Tu le sens bien dans ton petit trou ?

Elle palpa le fessier si ferme et si attrayant pour une fesseuse.

— On va remettre un peu de couleur.

La main sèche claqua une centaine de fois la croupe de la jeune femme qui trépigna sur place. Puis elle la relâcha et lui dit en souriant :

— Elles sont parfaitement échauffées pour la suite, Élisabeth venez ici.

La baronne se tourna et s’approcha, Sophie la bascula sans ménagement sur ses genoux, la déculotta et lui administra la traditionnelle fessée à la main et comme à son habitude la fière bourgeoise se comporta comme quand elle était gamine et que sa mère la corrigeait. Une fois remise sur ses pieds, Sophie lui indiqua le mur :

— Au coin, vilaine fille !

La baronne n’aurait même pas la maigre consolation d’assister à la fessée de ses deux compagnes d’infortune, elle ne les verrait pas gigoter et battre des jambes sur les genoux de la jeune assistante.

Pourtant le spectacle offert par Agnès fut magnifique, les spectatrices constatèrent que son bon gros fessier savait encore danser, ses larges fesses s’ouvrirent et se serrèrent sous l’intensité des claques de Sophie.

Héloïse était impressionnée, elle commençait à avoir l’habitude de recevoir la fessée, mais ce serait sa première correction réellement publique et se faire déculotter restait quand même une épreuve. En voyant les contorsions et les pleurs d’Agnès, elle devinait que l’épreuve en plus d’être humiliante serait très douloureuse. Elle n’avait pas tort, quelques instants plus tard elle gisait en travers des cuisses de Sophie le derrière cramoisi, pleurant à chaudes larmes après la magistrale fessée qu’elle venait de recevoir.



Agnès était à côté d’Elisabeth, le nez contre le mur exposant sa croupe non moins rouge, Héloïse les rejoignit après avoir été stimulée par une bonne claque administrée au milieu de son fessier rougeoyant.

Les trois paires de fesses illuminaient la pièce, elle se tourna vers Ambre :

— C’est quand même mignon des fesses bien rouges.

Elle décida d’inverser l’ordre des punitions, elle avait réservé le martinet aux fesses rondes et musclées d’Héloïse, elle demanda à Ambre d’aller la chercher pour la mettre en position. La jeune stagiaire était ravie de cette responsabilité, saisir par l’oreille son ancienne copine pour la faire coucher sur la plate-forme destinée à la punition au martinet fut un vrai plaisir pervers, elle se permit de tapoter le derrière bien rouge d’Héloïse et de lui glisser :

— Tu es bien installée ? Tes fesses sont ravissantes.

Celle-ci ne répondit pas, humiliée d’être ainsi traitée par cette petite peste, sa croupe était parfaitement présentée, Ambre aurait bien aimé manier le martinet, mais Sophie ne lui proposa pas.

— Cinquante coups pour ce joli derrière.

Héloïse se mit à gémir :

— Oh non mademoiselle… mes fesses sont déjà brûlantes…

Sophie passa sa main sur le derrière en souriant :

— C’est vrai ma chérie, on va donc dire soixante pour t’apprendre à récriminer.

La jeune étudiante faisait l’apprentissage douloureux des coutumes de l’institut, se plaindre valait toujours une augmentation de la punition. Elle ne répondit pas se contentant de pleurer. Soixante coups de martinet, son derrière allait-il les supporter, elle apprendrait rapidement qu’un beau derrière féminin comme le sien pouvait en recevoir bien plus. Les lanières claquaient inlassablement la croupe orgueilleusement exposée, la brûlure descendait même sur le haut des cuisses que la sévère jeune femme n’épargna pas. Quand la correction fut terminée, Sophie chargea Ambre de la remettre au coin, ce qu’elle fit avec un plaisir non dissimulé, quelques claques généreusement distribuées accompagnèrent cette marche honteuse.

Pendant ce temps Sophie avait installé Agnès sur ses genoux, les plantureux derrière goûterait à la brosse à cheveux, puis Élisabeth fut mise elle aussi en position disciplinaire et mademoiselle Claquefesse se chargea de lui rôtir les fesses.

Pendant qu’elle pleurait étalée en travers des cuisses de Sophie, Ambre osa une question :

— Élisabeth vient tous les jours ?

La jeune femme caressa le derrière brûlant en souriant :

— Notre petite Élisabeth a besoin de recevoir régulièrement la fessée, je dirais quasiment quotidiennement. C’est une chipie et l’âge n’y fait rien si on lui lâche la bride elle fait des bêtises. La semaine dernière elle a été désobéissante, sa maman nous l’a confiée. Je pense qu’à la fin de la semaine elle n’aura pas envie de recommencer.

Elle tapotait le derrière tout en parlant :

— Elle a vraiment un magnifique derrière, on dirait qu’il a été fait pour recevoir la fessée.

Élisabeth rejoignit ses compagnes d’infortune et Sophie se tourna vers Ambre :

— Je vais te faire goûter à la babouche à semelle de cuir, c’est madame Rose qui l’a ramené du Maroc, les mamans s’en servent beaucoup là-bas. C’est pratique elles sont toujours à disposition.

Elle utilisa la position en équilibre sur sa cuisse qu’Ambre avait déjà expérimentée, elle put battre des jambes à sa guise, les mains cramponnées à la chaise sur laquelle Sophie avait posé son pied. Effectivement la fessée à la babouche était vraiment cuisante, Ambre se jura de l’utiliser souvent quand elle aurait le droit de fesser.

Les quatre fessiers écarlates étaient parfaitement exposés, Sophie put s’installer à son bureau pour discuter avec ses copines sur WhatsApp.

Soudain elle songea qu’Agnès n’avait pas eu son deuxième suppositoire, elle appela Ambre :

— Tu peux venir ici, je vais t’expliquer comment mettre un suppo dans le derrière d’une dame.

Elle alla chercher Agnès et l’installa en travers de ses cuisses. La responsable du magasin de lingerie avait l’habitude des petites humiliations, mais celle-ci était particulière, elle savait que cette très jeune femme qui aurait pu être sa fille allait assister à l’écartement de ses fesses et à l’introduction du suppositoire dans son petit trou.

Les doigts de Sophie tenaient largement écartées les deux belles tomates bien mûres, elle regarda Ambre :

— Tu vois c’est simple, tu mets la patiente sur tes genoux comme pour une fessée et tu écartes bien les fesses, en général les premières fois tu es obligée de donner une fessée pour qu’elles se laissent faire, ce n’est pas très agréable pour elles. Mais tu vois Agnès est devenue très docile, ses bonnes grosses fesses sont détendues.

Pendant qu’elle parlait, la raie fessière était ouverte et l’anus de la punie bien exposé. Elle prit un suppo et le posa sur la rondelle brune.

— Tu le pousses doucement, en général la première fois, elles sont surprises et tu es obligée de sévir.

Le suppo avait disparu, Sophie relâcha les fesses.

— On serre bien les fesses madame, s’il ressort c’est panpan cucul.

Elle tapota le bon gros derrière pour la faire relever et Agnès regagna son coin. Ambre était excitée d’avoir assisté à ce spectacle honteux, Sophie appela Héloïse :

— Viens un peu ici ma chipie.

La jeune femme les joues rouges et les yeux encore humides se présenta devant la sévère assistante. Celle-ci se tourna vers Ambre :

— Tu m’as vu faire, maintenant tu vas mettre en pratique, notre petite Héloïse à un peu de mal à nous montrer son petit trou. Ça va lui faire le plus grand bien de se prendre un deuxième suppositoire.

La jeune étudiante ouvrit de grands yeux, décidément rien ne lui serait épargné, déjà qu’elle avait eu du mal ce matin à se laisser faire. Elle regarda Ambre et le sourire malicieux qui illuminait son visage, cette petite peste allait se régaler de son humiliation.

La jeune stagiaire s’était déjà installée sur la chaise :

— Viens un peu là ma chérie, mademoiselle Ambre va mettre un suppo dans ton trou-trou…

Sophie claqua les fesses d’Héloïse pour la faire avancer, elle se retrouva en position disciplinaire rapidement. Ambre la fit basculer vers l’avant pour mieux avoir ses fesses à disposition, ses pieds étaient décollé du sol. Elle était humiliée d’être traitée ainsi par son ex copine, qui plus est en public, mais le comble fut atteint quand elle sentit les doigts de la jeune stagiaire se glisser dans sa raie afin de l’écarter :

— Allez ma petite chérie, il va falloir te laisser faire, tu as entendu Sophie, si tu ne desserres pas les fesses c’est panpan cucul.

Sophie s’approcha et palpa le derrière :

— Héloïse !! Tu sais ce qui t’es arrivé ce matin, tu veux une autre fessée ?

La jeune femme se mit à gémir son derrière était encore brûlant et elle sentait l’ombre d’une nouvelle correction planer dessus :

— Non, non mademoiselle Sophie, pardon je ne fais pas exprès.

— Ah oui ? Tu te moques de moi ! Ambre, fesse-moi cette chipie apparemment son derrière ne la cuit pas encore assez.

Il ne fallut pas longtemps à la jeune femme pour tirer des larmes à sa copine, quelle joie pour elle, d’un seul coup elle avait oublié la cuisson de la babouche. Dans cette position Héloïse pouvait gigoter à sa guise, le battement de ses jambes était impressionnant. Sophie apprécia la démonstration de sa stagiaire, question fessée elle n’avait rien à lui apprendre. Les fesses de la pauvre Héloïse n’étaient plus qu’une boule de feu.

Ambre écarta à nouveau les deux tomates bien mûres :

— Eh ben voilà, vous aviez raison mademoiselle Sophie, notre petite Héloïse n’avait pas encore le derrière assez chaud.

La honte était totale pour la jeune étudiante, mais elle avait tellement mal aux fesses qu’elle ne pensait pas au spectacle qu’elle offrait. Sa raie largement écartée son petit trou bien exposé, elle sentit le doigt d’Ambre se poser sur son anus comme pour le forcer :

— Ton petit trou-trou est bien détendu, c’est bien ma chérie, tu vas voir comme le suppo va rentrer tout seul.

Héloïse était résignée, elle sanglotait doucement, elle n’était plus la jeune femme un peu arrogante et sûre d’elle-même qui n’hésitait pas à claquer les derrières y compris celui d’Agnès. Elle était une gamine aux fesses bien rouges couchée sur les genoux de sa maman pour se faire mettre un suppo, que la maman en question ait le même âge qu’elle, était secondaire.

Ambre avait poussé le suppo et maintenant elle maintenait les fesses serrées :

— Tu vas retourner au coin, ta pénitence n’est pas terminée.

Sophie la regarda en souriant :

— Pour toi non plus ma petite Ambre, ton coin t’attend.





Mademoiselle Héloïse 2

 La punition de Sylvie Mademoiselle Héloïse me l’avait dit, « la prochaine fois que je dois te donner une fessée, le lendemain c’est journée...