vendredi 20 octobre 2023

Lucie et Christian 6

La revanche de Lucie

 


Lucie avait les fesses en feu en sortant du cabinet de la fessothérapeute. Elle avait eu quand même une petite compensation après s’être reculottée dans la salle d’examen, elle avait eu le plaisir d’admirer le fessier écarlate de Mlle Philea. En effet celle-ci avait été mise en pénitence par Mme Sylvie dans un coin du secrétariat, telle une mauvaise élève punie, elle exposait ses fesses nues, sa culotte baissée au niveau des genoux et la jupe tenue retroussée par une pince à linge. Chloé qui suivait Lucie s’était chargée de renseigner la jeune femme sur la suite du traitement de la dame.

- et bien voilà une bien jolie paire de fesses mademoiselle. Bien comme d’habitude vous allez rester là 30’ ensuite nous passerons à la suite.

Devant le regard amusé et interrogateur de Lucie, elle lui avait expliqué.

- Mlle a besoin d’avoir les fesses bien rouges et bien chaudes avant son séminaire, Madame Sylvie m’a donné les instructions pour que son fessier soit parfaitement préparé. Quatre fessées successives séparées par 15’ de coin, ainsi elle gardera les fesses rouges toute la soirée. C’est très relaxant même si c’est un peu douloureux surtout quand on doit rester assise toute la soirée.

Elle avait dit ça en riant et en adressant un petit clin d’oeil à la jeune femme. Les contractions du derrière de la demoiselle montrait qu’elle redoutait la suite de la séance.

Dès qu’elle fut dans sa voiture, Lucie envoya un petit message à Christine.

«tu as 30’ pour rentrer à la maison, je veux te trouver en tenue de punition, au coin du salon fesses à l’air quand j’arrive. Tâche de ne pas être en retard sinon je te garantis que tes fesses vont te cuire toute la nuit et même demain»

Christian-Christine était dans le bureau de Mme Vigreu sa cheffe de service quand son téléphone vibra, vu l’heure qu’il était, il fut sûr que c’était Lucie. Il jeta un oeil sur l’écran, le message était explicite sur ce qui l’attendait en rentrant, il ne put s’empêcher de rougir. Mme Vigreu leva les yeux et le questionna.

- vous avez un problème Christian ?

Il était pris au dépourvu, il lui fallait trouver une raison pour pour pouvoir partir rapidement, il répondit sans réfléchir.

- euh oui, madame, mon épouse à eu un petit accrochage, il faudrait que j'y aille elle est un peu paniquée.

Mme Vigreu était réputée pour son intransigeance mais elle était aussi très attentive envers ses subordonnés, elle leva les yeux vers Christian.

- j'espère que ce n'est pas grave, allez-y. On se verra demain matin

Soulagé Christian quitta précipitamment le bureau en laissant son ordinateur portable sur le bureau. Mme Vigreu sourit devant l'empressement de son adjoint à secourir son épouse. Elle allait refermer l'ordinateur quand une alerte clignota sur l'écran, elle n'était pas spécialement curieuse mais c'était trop tentant, elle ouvrit le mail et le lu.

Lucie répétait le même message que sur WhatsApp avec une petite précision.

"Tu n'as pas répondu à mon message, j'espère que tu as une bonne raison, de toute façon ça va se rajouter à la fessée déculottée que je t'ai promis. A bientôt ma petite Christine, tu peux préparer tes fesses "

Pensive et un peu déstabilisée,  Aurore Vigreu ferma la messagerie et éteignit l'ordinateur. Ainsi ce jeune homme recevait la fessée déculottée par son épouse ? Elle sourit en imaginant la scène, après tout c'était son affaire. Par contre il venait de la prendre pour une gourde en lui servant l'histoire classique de la pauvre épouse à dépanner. Demain matin ce petit monsieur allait devoir s'expliquer.

Christian au fur et à mesure qu'il s'approchait de chez lui redevenait Christine la petite femme soumise de Lucie. Il monta les escaliers quatre à quatre, ouvrit la porte et consulta sa montre, il lui restait 5'. C'était suffisant, il se dirigea vers la chambre et entrepris de quitter son costume de monsieur pour celui de Christine. Il était en culotte, il enfila des bas autofixants, mis un chemisier blanc et enfila sa jupe très courte,  c'était celle réservée aux soirées punition. Elle lui arrivait à mi cuisses et quand elle se penchait on apercevait sa culotte. Elle revérifia à nouveau l'heure, il était temps de se mettre au coin. La porte ne devait pas être verrouillée pour rendre la situation encore plus angoissante. Elle se dirigea vers le coin qui lui était maintenant réservé, il faisait face à la porte et à une baie qui donnait sur la terrasse. Elle glissa ses doigts sous sa jupe et baissa sa culotte sous ses fesses puis elle croisa ses mains dans le dos pour tenir sa jupette retroussée. Elle tourna la tête pour vérifier sa tenue dans la glace. Ses fesses étaient parfaitement exposées comme l'avait demandé Lucie, elle posa son nez contre le mur et attendit.

Lucie n’était pas trop pressée de rentrer, elle avait donné 30’ à Christine mais c’était pour lui mettre la pression, elle savait qu’elle ne se hasarderait pas à désobéir et qu’elle allait la trouver cul nu dans le coin du salon et le nez contre le mur. La faire patienter faisait partie de la punition.

Elle décida de faire un peu de shopping, elle entra dans une boutique de lingerie pour voir si elle trouvait des culottes un peu humiliante à faire porter à sa petite chérie. La jeune vendeuse s’approcha pour lui proposer ses conseils. Lucie avait un petit sourire coquin, elle décida de jouer son rôle de maîtresse sévère.

- oui mademoiselle, ma petite amie a une bonne paire de fesses et je m’occupe de sa lingerie, il me faudrait des culottes sages en coton style petite fille quand elle est punie et quelque chose d’un peu sexy en dentelle qui mette en valeur ses fesses quand on a une soirée.

En entendant la phrase «culotte de petite fille quand elle est punie», la jeune vendeuse avait légèrement rougi. Lucie l’avait remarqué, elle se mit à sourire.

- oui vous comprenez quand je lui donne la fessée et que je lui trousse la jupe je veux qu’elle se rende compte qu’elle est encore une gamine qui se fait baisser la culotte. Donc une petite culotte en coton fait très bien l’affaire. Quand pensez-vous ?

La jeune femme avait maintenant les joues très rouges, elle bafouilla un peu.

- euh oui, sans doute, mais euh ... quel âge à votre amie ? vous lui donnez vraiment la fessée ?

Lucie se mit à rire.

- oui et déculottée si vous voulez savoir. Elle à 35 ans mais il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée si on la mérite. Vous n’êtes pas d’accord ?

De plus en plus gênée par le tour prit par la conversation la jeune femme baissa les yeux.

- si, enfin je ne sais pas, je ....

- vous recevez encore la fessée vous aussi ?

Lucie avait posé la question en regardant fixement Elodie, c’était le prénom de la jeune vendeuse, marqué sur son badge.

Celle-ci ne répondit pas immédiatement complètement déstabilisée par la question. Lucie s’était approchée et avait mis son doigt sous son menton pour lui faire relever la tête.

- je vous ai posé une question mademoiselle. Votre silence vaut peut-être acquiescement ?

Elodie se ressaisit enfin, ses joues étaient écarlates.

- non madame jamais de la vie!!

Elle aurait pu ajouter cependant que pendant ses rêves il arrivait souvent qu’une dame sévère la courbe sous son bras pour lui administrer une fessée après l’avoir déculottée, mais ça c’était son secret.

Lucie la fixait droit dans les yeux, elle avait envie de voir jusqu’où elle pouvait aller avec cette petite. Ses fesses brûlantes et sa sodomisation par Chloé l’avait fortement excitée.

- ma petite Elodie, j’aimerais voir votre culotte.

La jeune vendeuse se recula.

- mais enfin madame, vous n’y pensez pas !

Lucie souriait.

- vous préférez peut-être que je revienne quand votre patronne sera là pour lui dire comment vous avez été désagréable et comment vous avez refusé de me servir.

- mais vous n’avez pas le droit, c’est faux !

La jeune femme avait les larmes aux yeux. Lucie poussa son avantage.

- comme vous voulez, on verra bien demain comment réagira votre patronne.

Elle se dirigea vers la sortie. Elodie l’interpella.

- attendez madame.

Lucie se retourna en souriant.

- oui mademoiselle. Vous avez réfléchis ?

- euh, c’est à dire ... oui si vous voulez mais pas ici quand même.

Le sourire de Lucie se fit plus coquin.

- ce serait pourtant ce que vous mériteriez, mais je comprends. Pour cette fois nous irons dans l’arrière boutique.

La jeune vendeuse se précipita pour fermer la porte d’entrée du magasin et se dirigea vers la pièce derrière le comptoir. Lucie la suivait en regardant son mignon petit derrière moulé dans un jeans.

Arrivée dans l’arrière boutique, Lucie croisa les bras pour signifier son impatience à la jeune femme.

- bien maintenant, il est temps mademoiselle, baissez votre jeans. La prochaine fois je vous veux en jupe, ça sera plus pratique.

Elodie n’en croyait pas ses oreilles, cette dame inconnue lui avait dit «la prochaine fois», elle comptait donc lui faire montrer sa culotte une autre fois ? Son fantasme de domination féminine la poussait à obéir mais passer à la réalisation du dit fantasme se révélait quand même plus difficile. C’était un moment très humiliant.

Elle dégrafa son jeans et le fit glisser sur ses rondeurs, Lucie l’arrêta.

- tournez vous que je voies bien votre joli derrière.

Elodie rouge comme une pivoine s’exécuta. Le jeans était maintenant sous ses fesses, dévoilant une mignonne petite culotte rose en dentelle qui ne cachait pas grand chose du fessier de la donzelle. Lucie était ravie, ça compensait un peu sa cuisante journée.

- baisse complètement ton jeans !

Elle était passée naturellement au tutoiement, elle n'allait quand même pas vouvoyer cette jeunette qu'elle comptait bientôt fesser.

Elle s'approcha et passa sa main sur les fesses culottées. Elodie avait des petites fesses bien rondes et fermes. Elle appuya légèrement sur le dos de la jeune femme pour la faire un peu se pencher en avant.

- tu as une très jolie petite culotte, elle ne cache pas grand chose.

Sans lui laisser le temps de réagir, elle avait saisi l'élastique de la culotte et l'avait fait glisser jusque sous les fesses. Elodie poussa un petit cri mais ne bougea pas. Elle était subjuguée par l'autorité naturelle de Lucie, c'était inconsciemment ce qu'elle recherchait. Elle crispa légèrement ses fesses dans l'attente de la première claque mais elle ne vint pas.

Lucie se contenta de lui tapoter le derrière.

- c'est bien, tu es obéissante. Je n'ai pas le temps de te donner la fessée déculottée que tu mérites. On verra ça demain, je repasse à la même heure.

Elle remonta elle même la culotte d'Elodie.

- tu peux remettre ton jeans, n'oublie pas demain, tu dois être en jupe. Prépare moi une sélection des culottes que je t'ai demandée pour ma petite amie.

Puis elle quitta le magasin laissant la pauvre Elodie toute chamboulée par ces événements.

En regagnant sa voiture, elle était toute guillerette en pensant à demain soir, elle en aurait presque oublié qu'avant elle devrait affronter Chloé et Mme Dugou.  Elle regarda sa montre, cela faisait une heure qu'elle avait envoyé le message à sa petite chérie, celle-ci attendait donc au coin fesses à l'air depuis au moins 1/2 heure. C'était parfait l'attente fait partie de la punition.

Elle monta rapidement les escaliers et ouvrit brusquement la porte, elle savait que les fesses de Christine allait être exposées et bien visible. Celle-ci sursauta en entendant le bruit de la porte, elle espérait que ça ne soit que Lucie mais elle ne la voyait pas,  celle-ci voulant la laisser dans l'angoisse ne disait rien.

Elle s'approcha de sa petite chérie et posa sa main sur les fesses.

- c'est bien tu as été obéissante.

Christine avait tressailli en sentant la main sur ses fesses nues mais la voix de Lucie l'avait tout de suite rassurée.  Pourtant la suite s’annonçait cuisante, Lucie avait encore les fesses douloureuses de la dernière fessée de Chloé. Elle coinça la jupe dans la ceinture pour libérer les mains de Christine.

- mets tes mains sur la tête !

L’ordre avait claqué, Christine obéit immédiatement. Puis elle saisit Christine par l’oreille pour la faire pivoter.

- alors ma petite chérie tu as eu le temps de réfléchir à la bonne fessée déculottée que maman Lucie va t’administrer ?

Christine savait qu’il lui fallait toujours répondre aux questions même si elles étaient humiliantes.

- oui maman Lucie.

C’était comme ça que son épouse voulait qu’elle s’adresse à elle.

- oui, une bonne déculottée, tu vas voir comment je vais m’occuper de ton bon gros derrière.

Elle fit à nouveau pivoter Christine pour qu’elle lui présente ses fesses, puis elle leva la main et administra deux claques sonores sur chacune des fesses.

- va me chercher la brosse à cheveux dans la chambre. Vite !!

La main avait claqué encore deux fois le derrière rebondi.

Christine ne se le fit pas dire deux fois elle se dépêcha d’aller récupérer l’instrument de sa punition.

Quand elle revint, Lucie était assise sur le canapé, elle lui fit un petit signe du doigt.

- vient un peu là, vilaine tu vas voir comment maman va te soigner.

Christine était maintenant contre sa cuisse, elle lui désigna ses genoux.

- allez en piste ma  petite, je suppose que depuis ce matin tu n’as pas oublié la position.

Docilement Christine se coucha en travers de ses cuisses. Les fesses étaient déjà rosies par les quelques claques que Lucie lui avait généreusement distribuée. Le déculottage était inutile, les fesses étaient déjà à sa disposition, elle positionna un peu mieux Christine, sa tête touchait presque le sol, son fessier était parfaitement exposé, elle baissa la culotte jusqu’aux genoux pour bien dégager la zone à punir.

Puis elle passa le dos de la brosse sur la peau des fesses, instinctivement Christine serra les fesses, ce qui fit rire Lucie.

- olala, ma petite Christine à peur de la fessée on dirait. Et oui maman va faire panpan cucul. Tu peux serrer les fesses je te garantis que bientôt elles vont danser. Et pour danser, elles dansèrent, un véritable ballet, elles s'ouvraient largement puis se serraient, les jambes battaient l'air désespérément. Lucie se régalait, les fesses avaient pris rapidement une jolie couleur rouge, elle s'appliquait à colorer toute la surface, la brosse s'était même abattu sur l'arrière des cuisses et la zone si sensible qui sépare les fesses des cuisses. Les cris désespérés et les ruades de Christine attestaient de la sévérité de la punition.



Ce n'était pas très juste car Christine n'avait pas été très fautive aujourd'hui mais pour son malheur et celui de son derrière, Lucie avait été sévèrement punie. Il fallait bien qu'elle se venge, les fesses de Christine était là pour ça.

La fessée dura suffisamment longtemps pour que les cris de douleur se transforme en pleurs continu, Lucie avait maintenant devant les yeux la croupe cramoisie de Christine, elle posa la brosse et passa sa main sur les fesses nues, elles étaient brûlantes.

- voilà ce qu'on peut appeler une bonne déculottée n'est ce pas ? Je pense que tes fesses vont te rappeler à l'ordre si il te vient à l'idée de me désobéir ou de faire des bêtises.

Elle claqua sèchement le derrière de Christine.

- allez maintenant tu retournes au coin pour faire refroidir ce vilain derrière.

Soulagée que la fessée soit finie la pauvre Christine se précipita dans le coin et repris immédiatement la position requise, à savoir le nez contre le mur et les mains sur la tête.



Lucie était très excitée par l'administration de cette fessée et le spectacle que lui offrait sa petite chérie. Ses fesses étaient encore très sensible mais c'était presque agréable maintenant, elle glissa sa main dans sa culotte et se caressa.

Christine dut rester au coin fesses à l'air pendant encore une demi-heure puis Lucie la fit venir devant elle.

- bien j'espère que cette petite mise au point te servira de leçon, bien sûr ça ne supprime pas ta fessée du coucher et le reste.

Elle avait dit ça avec un air gourmand, elle imaginait déjà Christine la tête posée sur le lit, présentant ses fesses écarlates bien relevées prête à être prise par son god ceinture. Elle la fit se tourner, la culotte blanche était baissée au niveau des genoux, elle la remonta sous les fesses et claqua les fesses bien rouges.

- allez maintenant tu vas pouvoir préparer le repas, mais tu restes fesses à l'air, si tu lambines elles seront à ma disposition.

Christine se dirigea vers la cuisine, ses fesses rubicondes se tortillaient suggessivement, ce qui fit sourire Lucie. Décidément la transformation de Christian en Christine était très réussie.

Elle devait prendre rendez-vous pour la faire épiler complètement, ça serait encore plus mignon.

La soirée se déroula comme prévu, Christine avait eu l'autorisation de se reculotter pour dîner. Mais la fessée déculottée du coucher fut magistrale et la suite avec Lucie harnachée de son gode ceinture fut un plaisir pour la jeune femme,  un peu moins pour la pauvre Christine qui avait les fesses en feu.

Le lendemain matin fut la copie conforme de la veille, Lucie avait décidé que Christine devait partir au travail avec une paire de fesses bien rouges et bien chaudes, elle ne dérogea pas à la règle. La brosse à cheveux repris du service.



Quand il arriva au bureau Christian avait les fesses en feu sous la petite culotte blanche ornée de dentelle que Lucie lui avait fait mettre.

Il reçu un coup de téléphone de Mme Vigreu lui demandant de venir dans son bureau,  en entrant il vit son ordinateur posé devant sa cheffe de service.

- vous l'avez oublié en partant hier, vous étiez bien pressé. Comment va votre épouse ?

Christian était un peu perturbé,  il répondit sans réfléchir.

- bien, bien, pourquoi ?

- elle n'a pas eu un accident hier ?

Christian se remémorant l'excuse qu'il avait servi à Mme Vigreu.

- ah oui, non tout va bien.

La cheffe de service planta ses yeux dans ceux de Christian.

- et vos fesses, elles vont bien  ?

Le visage de Christian s'empourpra.

- mais, mais, pardon que...que voulez-vous dire madame.

Aurore Vigreu était célibataire et bisexuelle, elle avait une vie très active. En rentrant chez elle hier, elle avait réfléchi à la situation de son jeune collaborateur. Elle se l'était imaginé, couché sur les genoux de sa femme les fesses à l'air en train de recevoir une bonne fessée déculottée. C'était assez excitant de l'avoir en face d'elle, les joues écarlates et bafouillant. Elle décida de pousser son avantage,  elle alluma l'ordinateur ouvrit la boîte mail. Puis elle le tourna vers Christian.

- je veux dire mon petit qu'il ne faut pas laisser traîner ses affaires.

Christian-Christine baissa les yeux, le sol semblait se dérober sous ses pieds.

- madame vous à donc flanqué une bonne fessée déculottée ? Une ou plusieurs ?

Elle s'était levée et avait fermé à clé la porte de son bureau.

- nous allons vérifier ça immédiatement. Venez ici !

Abasourdi le jeune cadre dynamique approcha de sa supérieur. Il y a quelques semaines il aurait protesté et refusé, mais depuis de l’eau avait coulé sous les ponts. Il avait reçu une magistrale fessée déculottée par Mme Sylvie qui avait été complétée par une non moins cuisante correction administrée par Chloé la jeune assistante de la fessothérapeute. Et depuis cette date il avait changé de statut à la maison et était soumis à un stricte discipline domestique.

Obéir à un ordre donné par une femme autoritaire était devenu naturel chez lui, il était maintenant devant Aurore Vigreu, celle-ci s’était assise, elle dégrafa sans plus de façon le pantalon de son jeune assistant et le fit glisser jusqu’à ses chevilles. Elle poussa un petit «Oh» en découvrant la culotte féminine que portait Christian. Elle venait de comprendre pourquoi dans le mail son épouse l’avait appelé Christine. Elle se mit à sourire.

- et bien, mazette. Quelle jolie petite culotte, tournez-vous Mlle Christine.

Elle avait prononcé distinctement le prénom féminin de son subordonné. Maintenant celui-ci lui présentait son fessier rebondi moulé dans cette culotte blanche ornée de dentelle qui avait bien du mal à contenir son «gros derrière» comme disait Lucie. Il débordait un peu et la culotte rentrait dans la raie fessière laissant voir la base des fesses bien rouge de la fessée matinale.

- on a déjà reçu la fessée ce matin on dirait.

Elle saisit l’élastique de la fine lingerie et baissa la culotte sous les fesses.

- c’était même une très bonne fessée déculottée n’est-ce-pas ?

Les fesses de Christine étaient encore très rouges, Mme Vigreu passa la main sur les fesses dénudées. C’était très incongru et très excitant, elle voulait faire durer son plaisir.

Elle décrocha son téléphone et demanda à sa secrétaire qu’on ne la dérange pas. Christine exposait toujours ses fesses nues.

- mets tes mains sur la tête et va au coin pendant que je réfléchis à la punition que tu mérites pour ton mensonge d’hier.

Elle avait claqué le fessier de Christine pour lui indiquer la direction à prendre. Celle-ci retrouva rapidement ses habitudes de la maison et elle plaqua son nez contre le mur du coin du bureau.

Elle prit le téléphone de Christine et composa le numéro de Lucie. Celle-ci fut surprise d’entendre une voix féminine.

- allo, oui c’est Mme Vigreu, la cheffe de service de votre mari.

- ....

- oui tout va bien, je voulais vous féliciter pour le choix des sous vêtements de Christine, cette petite culotte et ravissante.

- ...

- oui il est cul nu au coin, il attend sa fessée.

- ....

- c’est ce que je vois, ses fesses sont encore bien rouges.

- ...

- oui rassurez vous, il va la sentir passer, il a une bonne paire de fesses.

- ...

- à oui, pardon, c’est d’accord, ce sera Christine désormais. Oui elle a une bonne paire de fesses. Promis je vous envoie une photo quand j’aurai fini.

Christian-Christine avait écouté sans un mot la conversation d’Aurore Vigreu avec Lucie, il était effondré, son nouveau statut n’appartenait plus maintenant à la sphère privée.

Désormais une quatrième personne pourrait s’occuper de ses fesses et la traiter comme une gamine désobéissante si elle le jugeait utile.

Nul doute qu’elle n’allait pas s’en priver.


A suivre. 

Deux étudiantes 22

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