Clémentine avait quitté la grande maison de Sylvie avec une paire de fesses bien rouges sous sa culotte de petite fille et sa courte jupette. Sa nouvelle maîtresse lui avait claqué une bise sur chaque joue et sa main avait caressé la croupe par dessus la robe.
- alors ma petite chérie, tu ne vas pas avoir froid aux fesses je pense. Tu vas penser à mamie Sylvie.
Clémentine avait rougi, de confusion ou de plaisir? Sans doute un peu des deux. Maintenant la situation était légèrement plus embarrassante, elle devait rentrer chez elle habillée en fillette et donc prendre le bus au risque de rencontrer des regards moqueurs ou pire des connaissances. Elle attendait dans l’abribus, son derrière cuisant l’empêchait de s’asseoir, une dame d’une quarantaine d'années lui fit un sourire, elle la regardait comme si elle avait 14 ans. Clémentine ne put s'empêcher de rougir et de baisser les yeux. Heureusement le bus arriva, il n'y avait pratiquement personne, Clémentine hésita, elle ne pouvait pas rester debout sous peine d'attirer l'attention, elle se décida et posa délicatement son fessier douloureux sur la banquette, elle ne put s'empêcher de faire une petite grimace, Sylvie ne l'avait pas manqué son derrière la cuisait. La dame ne l'avait pas quitté des yeux, son regard bienveillant avait légèrement changé.
- on a pas été sage, à ce que je vois.
Clémentine surprise leva les yeux et rougi violemment, ses joues du haut ressemblaient à celle du bas. Calmement la dame sans cesser de la fixer poursuivit.
- je pense que la fessée a été efficace si j'en juge à votre grimace.
Clémentine baissa les yeux mais ne répondit pas, la dame se rapprocha d'elle et lui prit le menton pour la forcer à la regarder.
- quand on est polie jeune fille, on répond aux questions des adultes!
Clémentine était au comble de la confusion, elle bredouilla une excuse.
Satisfaite la dame s'assit en face d'elle. La jeune femme se tortillait discrètement sur son siège passant d'une fesse sur l'autre pour atténuer la cuisson qui continuait à lui embraser les fesses. Le bus s'était arrêté, la dame se leva et prenant la main de clémentine, elle la fit se lever.
- venez avec moi, nous avons à discuter.
Clémentine protesta,
- mais enfin madame ! laissez moi tranquille !
Valérie, c'était le nom de la dame, fronça les sourcils et ne relâcha pas sa pression sur la main de la jeune femme.
- c'est bien ce que je pensais vous êtes vraiment mal élevée. Préférez vous que je vous administre la fessée déculottée que vous méritez ici-même.
Clémentine n'en croyait pas ses oreilles, elle était menacée d'une fessée déculottée en public. Son derrière encore brûlant, l'incita à la prudence, elle cessa de résister et suivi l'énergique maîtresse.
Satisfaite, celle-ci esquissa un sourire.
- à la bonne heure, mademoiselle devient raisonnable.
Valérie avait 45 ans, elle était professeur de français, mais surtout elle était amatrice de fessées, elle avait découvert ce plaisir à l'adolescence en même temps que sa sexualité avec une petite amie et les amours féminines ainsi que les croupes rougies faisaient partie intégrante de sa vie intime.
Malheureusement les châtiments corporels ne faisaient plus partie de l'arsenal pédagogique aussi avait elle trouvé un exutoire à ses pulsions en donnant des cours particuliers à des adultes, elle précisait sur ses annonces qu'elle était partisane des méthodes d'éducation traditionnelle, dès la première rencontre avec ses futures élèves (uniquement des dames faut il le préciser), elle détaillait ses propos en précisant que sa méthode incluait la fessée déculottée. Et malgré cela son carnet de rendez-vous était toujours rempli.
Tout cela Clémentine l'ignorait tandis qu'elle suivait Valérie toujours fermement tenue par la main. Arrivée devant un immeuble cossu, la dame composa le code et après une rapide montée en ascenseur, Clémentine découvrit l'appartement de Valérie, une immense pièce avec un grand canapé, une table basse en acajou, un fauteuil Voltaire, dans un coin de la pièce un bureau d'école ancien, elle remarqua également un prie dieu, tout un ensemble de meubles un peu hétéroclite mais qui était assemblé avec goût. Après avoir posé négligemment sa veste, Valérie qui lui avait lâché la main s'adressa à Clémentine.
- bien, maintenant jeune fille avant de discuter j'aimerais voir vos fesses, à la manière dont vous vous trémoussiez dans le bus elles doivent être bien rouges.
Clémentine protesta faiblement,
- oh non madame, s'il vous plaît?
- bien sûr que si, et tu vas te dépêcher!
Valérie était passée au tutoiement qui ramenait la jeune femme au rang de gamine. Clémentine ne bougeait toujours pas.
- je vais compter jusqu'à trois, je te garantis que si c'est moi qui te baisse la culotte tu vas le regretter.
- mais enfin madame….
- un….
Clémentine était pétrifiée, elle ne bougeait pas.
- deux….
Valérie comptait lentement en souriant.
- non, non madame attendez!
Clémentine avait glissé ses mains sous sa jupe et elle se déculottait. Valérie était satisfaite, cette jeune femme était ravissante, en fesseuse avertie elle avait immédiatement remarqué sa croupe potelée. Sa tenue juvénile avait éveillé ses penchants saphiques. La petite culotte blanche apparaissait maintenant sous la jupe, c'était bien mais insuffisant pour Valérie.
- parfait, tu deviens obéissante, maintenant tu trousse ta jupe et tu te retourne.
Clémentine rouge de honte, saisi le bas de sa jupe et tout en se retournant elle la releva sur ses reins pour présenter son derrière. Les quatre fessées que lui avait administré sans ménagement Sylvie avait laissé des traces, les deux fesses rondes étaient encore bien rouges, quelques marques plus foncées indiquaient l’usage de la brosse à cheveux. La mise à nu de ses rondeurs rappelait à Clémentine son nouveau statut, celui d’une gamine qui reçoit encore la fessée cul nu, elle serra ses fesses dans l’attente d’une prochaine correction.
Valérie jouissait du spectacle, c’était toujours avec ravissement qu’elle découvrait une nouvelle paire de fesses et celle de Clémentine était vraiment appétissante.
- approche un peu que je vois ton petit derrière de plus près.
Elle s’était assise sur le canapé, Clémentine fit un pas vers elle, maintenant sa croupe juvénile était à portée de main de la sévère professeure. Valérie en profita immédiatement, elle tendit la main pour caresser la peau encore chaude.
- tu as du être très vilaine pour recevoir une si bonne fessée.
Sa main palpait sans vergogne les jolies fesses, quel plaisir de prendre possession d'un nouveau fessier. Toi ma petite, tu vas goûter à la bonne fessée de Valérie, ton petit cul va être souvent rouge, la sévère professeure se parlait à elle même tandis que ses doigts exploraient l'anatomie intime de Clémentine, celle-ci, soumise après les quatre fessées reçues dans l'après-midi, se laissait faire. Toutefois quand les doigts de Valérie s'insinuèrent dans sa raie, elle serra les fesses, ce qui lui valu immédiatement une magistrale claque qui lui fit pousser un cri.
- ma petite je te déconseille de recommencer, c'est moi qui décide et si je veux voir ton petit trou je le verrai, d'ailleurs tu vas te pencher pour t'apprendre à obéir.
Clémentine s'exécuta, ses fesses encore cuisantes n'avaient pas besoin de ça. Elle s'inclina ce qui fit ouvrir légèrement ses fesses, la sévère maîtresse les écarta un peu plus. Elle jouissait de la soumission de sa nouvelle conquête, quelque chose lui disait que celle ci ne serait pas indifférente à certains jeux. Elle tapota légèrement la jolie croupe.
- c'est bien, je vois que tu comprends vite, tes fesses sont encore un peu rouges pour que je t'administre maintenant la fessée que tu mérites, tu vas aller les faire refroidir au coin.
Clémentine tenait toujours sa jupe retroussée sur ses reins, elle se dirigea vers le coin que lui avait désigné Valérie. Celle-ci l'avait suivi, elle coinça la jupe dans la ceinture et claqua sèchement les fesses bien présentées.
- tu colles ton nez contre le mur et tu mets tes mains sur la tête. Je ne veux pas t'entendre ni te voir bouger!
Clémentine avait l'habitude de se genre de pénitence et elle détestait ça, mais la situation était imprévisible et son derrière cuisant l'incitait à la prudence, aussi elle décida de se tenir tranquille. C'était curieux de constater que cette jeune femme impertinente et souvent rebelle avait changé d'attitude en une après-midi après quelques fessées et passage au coin fesses à l'air. Un observateur avisé n'aurais pas manqué d'en tirer quelques conclusions sur les bienfaits de la mise à l'air des rondeurs chez les jeunes femmes….
Valérie tout en jetant de temps en temps un œil sur Clémentine, s'était mis à corriger des copies. Le temps paraissait interminable à la punie, au bout de 20 minutes, Valérie l'appela.
- bien, viens ici vilaine fille.
Quand Clémentine fut devant elle, elle lui prit le menton pour lui relever la tête.
- tu me regarde quand je te parle! Bien, pourquoi vas tu recevoir la fessée?
Clémentine hésitait mais le regard sévère de Valérie et le souvenir des claques énergiques qu'elle avait reçu la décida.
- euh… parce que j'ai été impolie…
- c'est tout à fait ça et quand une gamine est impolie elle reçoit une bonne fessée déculottée, je pense que tu vas t'en souvenir. Tu connais la position, je suppose.
Elle avait pris la main de Clémentine et elle la bascula en travers de ses genoux. Pour la cinquième fois de la journée la jeune femme se retrouvait dans cette position si humiliante, la tête près du sol, les fesses bien tendues et à la disposition de la main de sa fesseuse. Valérie passa à nouveau sa main sur le derrière si bien présenté, c’était comme si elle en prenait possession. Tu vas voir ma belle comme ma main va claquer ton joli petit cul, à nouveau son esprit vagabondait, ses fantasmes étaient assouvi dès qu’elle avait une paire de fesses à sa disposition. Ayant bien pris la mesure de ce nouveau fessier, elle leva la main et commença la correction. Dès la première claque Clémentine se mit à gémir, Valérie administrait la fessée avec vigueur mais sans trop de sévérité, il fallait marquer le coup pour une première punition mais vu l’état des fesses de Clémentine elle ne pouvait pas donner la fessée qu’elle donnait habituellement aux petites insolentes.
Clémentine n’avait cure de la pseudo clémence de sa nouvelle maîtresse, ses fesses endolories par les précédentes fessées ressentaient celle ci comme une véritable correction. Elle battait des pieds au rythme des claques, ses fesses se serraient et s’ouvraient comme pour essayer d’atténuer la cuisson. Valérie était aux anges, cette petite avait des dispositions pour la danse des fesses et l’exposition bien involontaire de ses trésors cachés était ravissante. La fessée dura cinq bonne minutes à l’issue desquelles Clémentine pleurait à chaudes larmes, Valérie cessa la punition ce n’était pas une fessée magistrale mais c’était quand même une bonne fessée. L’ensemble de la croupe du haut des cuisses jusqu’aux reins était d’un beau rouge carmin.
- voilà mademoiselle ce qui arrive quand on est impolie, j’espère que tu as compris la leçon. Mais si ce n’est pas suffisant rassure toi tu reviendras faire un petit séjour sur mes genoux.
Clémentine avait cessé de pleurer mais elle sanglotait encore un peu, Valérie la laissa se calmer en la gardant dans cette position humiliante, les fesses écarlates bien exposées. Puis elle lui tapota les fesses.
- allez cesse de pleurer, ce n’était qu’une petite fessée et tu l’avais bien mérité. Maintenant tu vas te lever et tu vas m’expliquer ce qui t’a valu une paire de fesses aussi rouge.
Clémentine était maintenant debout, elle porta la main à son derrière cuisant mais le regard sévère de Valérie la dissuada de frotter ses fesses. Sa fesseuse s’était levée et elle avait disposé le prie dieu juste à côté du canapé.
- bien nous allons discuter, tu vas me raconter pourquoi tu as reçu la fessée cet après midi. Ce prie dieu est parfait pour la confession, tu vas t'agenouiller dessus, tes fesses seront à ma portée si ta mémoire te fais défaut. Tu vois mademoiselle claquefesse est là dans ma main prête à t'aider.
Elle tenait à la main une règle plate en bois, elle l'avait surnommé d'un petit nom évocateur, mademoiselle claquefesse. Clémentine la regarda d'un air inquiet, elle avait raison, Valérie leva la règle et l'abattit en travers des deux fesses tendues, elle poussa un cri, la brûlure sur les fesses déjà rouges était intense.
- te voilà prévenue, tâche de bien te confesser.
Clémentine commença donc à raconter son après midi, de temps en temps la règle claquait son derrière quand Valérie jugeait qu'elle hésitait à tout lui dire. Au bout d'un quart d'heure, Valérie connaissait tout d'elle et de ses rapports avec Sylvie, ses fesses avaient prit des couleurs encore plus éclatante.
- c'est bien, je vois que tu as vraiment besoin d'une reprise en main, ne t'inquiète pas entre moi et Sylvie tu vas bien progresser, je vais l'appeler. En attendant tu retournes au coin pour faire refroidir ton petit derrière et pour réfléchir à ton attitude.
Clémentine s'exécuta, elle avait changé de statut, elle n'était plus la jeune femme impertinente mais une gamine désobéissante et mal polie qui avait reçu une bonne fessée déculottée pour son attitude.
Elle était au coin depuis 10 minutes quand la sonnette retenti, en entendant Valérie accueillir une visiteuse et la faire rentrer, elle se crispa, serrant inconsciemment ses fesses elle appuya un peu plus son nez contre le mur. Elle aurait voulu disparaître, sa tenue et sa position humiliante, fesses à l'air, main sur la tête c'était impossible…
Mais la voix sévère de Valérie retenti dans la pièce.
- dix minutes de retard, décidément la fessée d'hier ne vous a pas suffit et bien on va recommencer.
La visiteuse protesta faiblement.
- pardon madame, je vais vous expliquer…
- oh oui vous allez m'expliquer mais avec des fesses bien rouges, ça sera mieux. Venez ici.
Clémentine écoutait avec attention, elle n'était pas la seule à recevoir ce châtiment enfantin. Elle entendit un bruit de chaise et un petit cri.
Valérie s'était assise au milieu du salon et elle avait tiré son élève par la main, en un clin d'œil la dame de quarante ans venue pour prendre son cours de français était allongée sur ses genoux. La jupe avait été retroussée et Dorothée Duval exposait une jolie culotte blanche avec de la dentelle autour des cuisses, elle était dotée d'une paire de fesses plantureuse, un régal pour une fesseuse, la culotte moulait parfaitement le fessier, elle portait des bas autofixants qui rendait la scène encore plus équivoque. Valérie commença la fessée sur la culotte et immédiatement Dorothée se mit à gémir.
- oh cessez vos jérémiades, ce n'est qu'un début, vous aviez été prévenue que je ne tolérerais pas un nouveau retard.
Clémentine n'en croyais pas ses oreilles, la voix de la visiteuse n'était pas celle d'une gamine et pourtant elle recevait une bonne fessée.
Valérie avait cessé les claques et elle avait glissé ses doigts sous la ceinture de la culotte, en un instant elle la descendit à mi cuisses et repris la correction.
Le bruit des claques sur la peau nue avait renseigné Clémentine, cette fois c'était une fessée déculottée que recevait la dame et à en juger à ses cris elle était magistrale.
Valérie tenait fermement son élève par la taille et elle s'appliquait à distribuer les claques sur toute la surface des larges fesses, du rose elles étaient passées au rouge. Dorothée Duval n’était plus une dame d’âge mûre, elle était redevenue l'adolescente que sa mère punissait encore de cette façon jusqu'à ses 16 ans. Elle en avait retrouvé les accents.
- noon, aïe, pardon madame, arrêtez ça brûle, aïe aïe aïe.
Valérie adorait administrer la fessée déculottée pour satisfaire ses pulsions saphiques quel régal de voir des croupes féminine se tortiller sous ses claques, mais elle aimait aussi entendre ses dames redevenir des gamines et implorer sa clémence. Dorothée était une bonne cliente, malgré ses formes épanouies et ses quarante ans, quand elle était couchée sur ses genoux fesses à l'air, Valérie avait l'impression de corriger une gamine.
Clémentine compatissait un peu au sort de sa compagne d'infortune, la fessée ne semblait pas vouloir finir, maintenant comme elle un peu plus tôt, la dame pleurait. C'était certainement ce qu'attendait la maîtresse car la fessée s'arrêta.
- voilà, j'espère que vous avez compris, vous avez de la chance, j'ai été gentille, normalement avec 10 minutes de retard vous auriez du recevoir la fessée pendant 10 minutes. Bien j'attends vos explications.
Elle garda Dorothée dans cette position humiliante, les fesses écarlates bien présentées et celle ci dut lui expliquer la cause de son retard. Elle avait manqué son bus. Ce qui lui valu un petit supplément de fessée pour lui apprendre à partir plus tôt. Puis elle fit relever son élève et la prenant par l’oreille comme elle l’aurait fait pour une élève dissipée, elle la conduisit au coin. Comme pour Clémentine, elle coinça la jupe retroussée dans la ceinture remonta un peu le culotte qui était descendue aux niveau des genoux et indiqua à la punie de mettre ses mains sur sa tête. Elle était perfectionniste, elle voulait que le spectacle offert par la punie soit parfait et très suggestif, elle recula pour apprécier le spectacle.
- vous êtes très mignonne avec vos fesses bien rouges, vous allez rester là à réfléchir pendant que j’en finis avec Clémentine.
Clémentine sursauta en entendant son nom, c’était donc son tour, ses fesses étaient encore cuisantes, elle pria pour que Valérie ne la fesse pas à nouveau. A l’appel de son nom, elle quitta son coin mais garda ses mains sur sa tête ce qui fit sourire Valérie.
- tu peux baisser tes mains, je vais examiner tes fesses, viens un peu là.
Elle prit la main de Clémentine et la fit à nouveau basculer en travers de ses genoux. La jeune femme était généralement assez fière de ses fesses mais se les faire examiner dans cette position était quand même assez gênant. Valérie était satisfaite du résultat de sa punition, cette jeune femme était devenue très obéissante et son derrière écarlate était ravissant, elle palpait les fesses, les écartait glissant ses doigts entre les fesses et même plus bas, elle eut un petit sourire en constatant l'humidité de la fente de Clémentine. Ainsi cette petite n'était pas indifférente à la fessée déculottée et à l'exposition de ses fesses.
- ce petit derrière est bien chaud, on va vérifier ta température.
Clémentine sursauta, que voulait dire Valérie, elle le sut rapidement, elle senti deux doigts qui écartaient largement ses fesses pour mettre à jour son petit trou, un objet froid y pénétrait, ses fesses se serrèrent par réflexe, mal lui en prit. Calmement Valérie déposa le traditionnel thermomètre en verre qu'elle allait introduire dans le fondement de Clémentine puis elle saisit mademoiselle claquefesse et administra rapidement une vingtaine de coups sur chaque fesses. Clémentine se mit à crier et à se débattre sous la brûlure de l'instrument mais elle était bien maintenue par la taille et elle du subir cette fessée supplémentaire sans pouvoir y échapper.
- je déteste qu'on désobéisse, tu devrais le savoir. Si jamais tu recommence je te promets une fessée qui t'empêchera de t'asseoir pendant un moment.
Elle posa la règle plate et repris le thermomètre, cette fois-ci la jeune femme se laissa écarter les fesses et le thermomètre pénétra lentement. Valérie se régalait du spectacle et des efforts que faisait sa punie pour relâcher ses muscles fessiers, elle gémissait doucement sous le viol de son intimité.
- c'est bien, tu es très sage, tu vois bien que ce n'est pas si terrible, allez encore un peu, détend toi il va être en place. Maman ne te prenait pas la température?
Le thermomètre était maintenant profondément enfoncé, il ne dépassait qu'un petit bout quand Valérie relâcha les fesses. Clémentine ne se souvenait pas d'une humiliation pareil, bien sûr que sa mère lui avait pris la température mais elle avait 10 ans et elle n'était pas couchée sur ses genoux. Maintenant Valérie tapotait doucement la croupe écarlate.
- voilà il est en place, tu vas le garder un moment, tu te serais laisser faire ça t'aurait éviter cette petite fessée supplémentaire. Je vais appeler Sylvie pour lui parler de toi.
Clémentine leva légèrement la tête et elle aperçut dans le coin de la pièce Dorothée qui exposait son large fessier rubicond, ce n'était donc pas une jeune fille qui avait reçu cette fessée magistrale. Ça ne calmait pas la brûlure de ses propres fesses mais ça la consolait un peu, elle n'était pas la seule à recevoir ce châtiment enfantin. Soudain elle revint à la réalité, c'était bien d'elle dont on parlait.
- oui elle a été insolente, vous comprenez que j'ai été obligée de sévir, oui oui cul nu, c'est toujours comme ça que je donne la fessée, dites moi vous ne l'aviez pas manqué vous non plus.
-
- oh oui elle a une bonne paire de fesses, elle peut supporter ça je pense.
-
Pendant les blancs, Clémentine imaginait Sylvie commenter la punition en souriant.
- pour le moment elle est couchée sur mes genoux avec des fesses bien rouges, je lui prends la température.... non elle n'aime pas ça mais avec une bonne fessée on arrive à tout.
Au bout d'un temps qui lui parut interminable, Valérie raccrocha, puis elle saisit le bout du thermomètre et le fit coulisser et tourner dans l'anus de Clémentine. Ce n'était pas sans effet sur sa libido et malgré la cuisson de ses fesses et la honte de sa position elle se mit à mouiller.
Cela faisait 10 minutes qu'elle présentait ainsi ses fesses quand elle senti le thermomètre sortir, immédiatement la main indiscrète de Valérie se glissa entre ses cuisses. Elle lui murmura.
- tu n'es qu'une petite coquine, je te garantis que tu vas avoir souvent les fesses bien rouges.
Puis elle la fit se relever, Clémentine put jouir du spectacle de Dorothée fesses à l'air et mains sur la tête, le nez bien collé au mur, c'était à elle maintenant de montrer ses fesses après avoir pu admirer celle de Clémentine.
- tu peux te reculotter, je t'attends demain soir à 18 heure, tu as vu ce qui arrive si on est en retard.
Clémentine était contente d'enfin pouvoir cacher ses fesses mais elle fit une grimace quand sa culotte rentra en contact avec la peau brûlante de sa croupe. La soirée allait être douloureuse, Valérie en souriant lui confirma.
- prévois un coussin pour ton petit derrière ma chérie.
La jupe était retombée cachant la culotte, Valérie tapota les fesses de la jeune femme.
- bonne soirée et soit sage.
Clémentine rentra enfin chez elle après cette cuisante après-midi.